Ebola Virus Disease (EVD) Informations contextuelles
|
|
- Flavien Papineau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Ebola Virus Disease (EVD) Informations contextuelles
2 Ebola Virus Disease (EVD) Origines Le virus Ebola porte le nom de la Rivière Ebola qui se trouve dans ce qui était le Zaïre (maintenant la République Démocratique du Congo) où il est apparu pour la première fois à Yambuku, en République Démocratique du Congo, en 1976, et simultanément à Nzara, au Soudan. Les crise de contamination, maladie du virus Ebola (EVD), (précédemment nommée Fièvrehémorragique Eb ola ou FH Ebola) se sont produites plus de 20 fois en Afrique depuis les premières apparitions en L EVD est une maladie grave avec un taux de mortalité élevé (>50%) qui peut toucher les humains et certains primates (singes, chimpanzés et gorilles). Source/ Réservoir naturel De nombreuses enquêtes ont été réalisées sur l hôte transportant le virus, mais pour l instant, le réservoir naturel n a pas été confirmé. Les chercheurs pensent que le virus est transporté par les animaux (zoonotique), les chauvesouris frugivores (famille pteropodidae) étant l hôte le plus probable. Selon l OMS, la contamination des humains a été avérée par la manipulation de chimpanzés, gorilles, chauvesouris frugivores, singes, antilopes de forêt et porc-épics infectés trouvés malades ou morts dans la forêt tropicale. Du fait que les porcheries en Afrique peuvent attirer les chauvesouris frugivores et que les porcheries semblent amplifier l apparition de l EVD, des mesures doivent être prises afin de limiter la transmission via les porcheries. Le virus causant l EVD (genre Ebolavirus) est l un des trois virus de la famille des virus filoviridés. Il existe cinq sous-espèces de l Ebolavirus identifiées à ce jour. Quatre d entre elles (Ebolavirus Zaïre, Ebolavirus Soudan, Ebolavirus Forêt de Taï, et Ebolavirus Bundibugyo) sont suspectées d avoir engendré la maladie chez les humains. La cinquième (Ebolavirus Reston) est suspectée d avoir infecté et causé la maladie chez les primates. Il peut également toucher les humains, mais n a jusqu ici engendré aucune maladie chez les humains. Risque d exposition géographique Les cas confirmés d EVD se trouvaient dans les pays suivants d Afrique centrale et de l Ouest, principalement dans des villages isolés et près des forêts tropicales : Guinée Liberia Sierra Leone République Démocratique du Congo Gabon Sud Soudan Côte d ivoire Ouganda République du Congo Afrique du Sud (importé)
3 Moyen de transmission La manière selon laquelle le virus apparait (moyen de transmission) n est pas non plus fermement établie. Toutefois, les meilleures preuves à ce jour suggèrent que le contact avec un animal infecté (une morsure ou un contact avec les sécrétions corporelles ou les organes) peut causer une transmission initiale des animaux aux humains, et la transmission d humain à humain se produit par des blessures de la peau ou de la membrane muqueuse et le contact avec le sang ou les liquides corporels contaminés, causant ainsi son apparition. Nous ne pensons pas que l EVD se transmet par l air, l eau ni les aliments, bien que nous pensons que la consommation de lait cru, viande crue ou organes crus d un animal contaminé puisse être une source potentielle de contamination pour les humains. Tous les aliments (en particulier la viande) doivent être bien cuits afin d éviter tout risque de transmission. Les précédentes apparitions de l EVD se sont étendues à la famille et aux amis des personnes contaminées. Nous pensons que cela se produit via les contacts proches avec des sécrétions contaminées lorsque les personnes s occupent d un membre malade de leur famille ou la manipulation du corps après le décès, causant une exposition similaire aux liquides corporels contaminés. Lors d une crise, la maladie peut se répandre rapidement via le contact direct et l exposition au sang ou aux liquides corporels contaminés, ou indirectement via le contact de l environnement contaminé par le sang ou les liquides corporels contaminés. Cela est particulièrement le cas lorsque les personnes proches de la personne contaminée (famille, services de santé, personnel de nettoyage, clergé, etc.) n utilisent pas de protection adaptée, comme des masques, des blouses et des gants. On pense également que l équipement et les instruments peuvent être une source de contamination s ils ont été contaminés par le sang ou les liquides corporels et ne sont pas désinfectés ou stérilisés correctement après leur contamination. Cela inclut également la réutilisation d aiguilles et de seringues contaminées sans qu elles aient été stérilisées. Alors qu une personne contaminée doit présenter les symptômes de l EVD pour être contagieuse, les personnes guérissant de l EVD peuvent encore transmettre le virus Ebola pendant une durée inconnue par les liquides corporels, après la disparition des symptômes. Les personnes sont considérées comme étant contagieuses tant que leur sang et liquides corporels contiennent le virus, ce qui peut durer jusqu à 8 semaines selon les preuves limitées des précédentes apparitions du virus. L OMS signale que dans un cas bien documenté, le virus a été transmis lors de rapports sexuels sept semaines après la guérison de la maladie. Une fois que la transmission vers un hôte humain se produit, le virus peut être transmis à d autres personnes via : le contact avec le sang ou les sécrétions d une personne contaminée (contact direct) l exposition à des aiguilles, pansements, vêtements ou autres objets contaminés (contact indirect) Les premiers symptômes incluent : soudaine poussée de fièvre, faiblesse intense, douleurs musculaires, maux de tête et maux de gorge. Suite aux premiers symptômes, la personne souffre de vomissements, diarrhée, rougeurs, fonctions des reins et du foie réduite, et dans certains cas, des saignements. La liste complète des symptômes inclut : Signes et symptômes de l EVD Rougeurs Yeux rouges Hoquet Toux Maux de gorge Douleur thoracique Difficultés à respirer Difficultés à avaler Saignements internes et externes Certains patients peuvent également avoir Fièvre Maux de tête Douleurs aux articulations et musculaires Faiblesse Diarrhée Vomissements Douleurs à l estomac Manque d appétit Une fois la contamination réalisée, les symptômes apparaissent rapidement. Les symptômes apparaissent généralement 8 à 10 jours après l exposition, mais peuvent apparaitre 2 à 21 jours après l exposition. Alors que le taux de mortalité du virus Ebola est de 40 à 90 %, les raisons de décès ou de survie ne sont pas bien comprises. Nous savons que les gens qui décèdent de l EVD n ont pas développé de réponse immunitaire significative au virus, mais les facteurs influençant cela ne sont pas bien compris. Des essais cliniques sont en cours avec un vaccin potentiel, mais pour le moment, aucun vaccin avéré n est disponible.
4 Diagnostique Réaliser un diagnostique sur une personne contaminée depuis seulement quelques jours et difficile car les premiers symptômes (maux de tête, fièvre, yeux rouges, rougeurs, etc.) peuvent ne pas provenir seulement d une contamination par l Ebolavirus. Les symptômes pouvant survenir tôt dans la maladie sont souvent observés chez des patients ayant des maladies plus courantes. Le diagnostique et le traitement ne doivent être réalisés que par un médecin qualifié pouvant éliminer d autres maladies potentielles dont : malaria, fièvre typhoïde, shigellose, choléra, leptospirose, peste, rickettsiose, fièvre récurrente, méningite, hépatite, et autres fièvres virales hémorragiques. S il existe une raison de suspecter l EVD, comme les premiers symptômes de l EVD, le médecin ordonnera que le patient reste isolé et les autorités sanitaires publiques doivent en être informées. Des échantillons seront prélevés sur le patient et envoyés au laboratoire afin de confirmer le diagnostique. Seul le personnel qualifié doit manipuler les échantillons d un patient potentiellement atteint de l EVD, car ils doivent être traités dans un confinement Bio-sécurité de niveau 4 (BSL-4). Les personnes atteintes de l EVD deviendront gravement malades et auront besoin soins intensifs nécessitant l intervention d un personnel de santé qualifié. Les patients souffrant de l EVD pouvant également souffrir d autres états ou maladies en même temps, le patient peut avoir besoin d être traité pour d autres états ou maladies en plus de l EVD. Cette discussion est limitée aux études en rapport avec l EVD à des fins de clarté.
5 Prévention Les moyens spécifiques de contamination étant mal compris, les principales méthodes de prévention sont considérées comme des recommandations de règles professionnelles, mais ne sont pas nécessairement basées sur des preuves. Le CDC (Centre de Contrôle des Maladies) et l OMS conseillent des précautions standards de contact et de goutelette pour les patients hospitalisés. Les personnes s occupant des patients présentant un risque d exposition au virus Ébola (EVD) lorsqu elles prodiguent des soins. La principale considération est la prévention de contact avec le sang et les liquides corporels d une personne contaminée, qui pourrait permettre au virus de passer les barrières de la membrane muqueuse ou de pénétrer par des coupures de la peau et donc contaminer l autre personne. Pour un cas suspecté d EVD, les établissements doivent être préparés à appliquer des précautions d isolation en cas de fièvre hémorragique virale, incluant : un Équipement de protection adapté, avec des gants, des blouses imperméables, des masques et une protection oculaire. Des mesures de contrôle de contamination, comme la décontamination des équipements, la désinfection, et la stérilisation, si besoin est. L utilisation d un désinfectant approuvé par le gouvernement national est toujours préférée, mais dans un pays ayant des ressources limitées, le CDC conseille également l utilisation de 500 ppm d une solution d hypochlorite de sodium (eau de Javel). Le lavage des mains conformément aux cinq moments de l OMS et avant/ après le port de gants. L isolement de patients suspectés d être contaminés par l EVD des personnes non protégées. Si un patient atteint de l EVD décède, il est tout aussi important d éviter un contact direct avec le corps du défunt. Les directives sont disponibles auprès du CDC et de l OMS afin d aider à mieux comprendre la maladie et sa prévention. Ces références ont été utilisées pour la rédaction du présent document.
6 Le bien-être des gens où qu ils soient dans le monde dépend de la durabilité de ce monde. La Division Diversey Care de Sealed Air offre des solutions pour prévenir les contaminations, l hygiène des cuisines, le soin des tissus et des bâtiments et des conseils. Nos solutions protègent les marques, sont efficaces et améliorent les performances de nos partenaires dans les secteurs de la santé, de l alimentation, de la vente, de l hôtellerie et de l équipement. Notre grande expertise intègre des systèmes de produits, équipements, outils et services dans des solutions innovantes qui réduisent la consommation d eau et d énergie et augmentent la productivité. En offrant de meilleurs résultats, nous aidons à créer des entreprises durables rentables pour un futur plus propre et plus sain. Pour en savoir plus, consultez Sealed Air Corporation. Tous droits réservés /14 fr
Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola
Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Août 2014 l enfance aux enfants Organisation mondiale de la Santé 2014 Tous droits réservés. Les appellations employées dans la présente
Plus en détailBOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA
BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA INSTRUCTIONS À L ATTENTION DE L ANIMATEUR La boite à images pour la prévention de la FHVE (La Fièvre Ebola est une maladie épidémique, contagieuse
Plus en détailService d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport
Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins
Plus en détailPlan de veille et de préparation à la riposte contre la Maladie à Virus Ebola
ا ـ ا Royaume du Maroc وزارة ا Ministère de la Santé Plan de veille et de préparation à la riposte contre la Maladie à Virus Ebola Version 2, Octobre 2014 SOMMAIRE Introduction I. Connaissances actuelles
Plus en détailCe que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant)
Ce que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant) 3 mai 2009, 15 h HNE Sur cette page : Que dois-je faire si je contracte ce nouveau virus et que
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailGestion de la crise sanitaire grippe A
Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe
Plus en détail1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme
Situation n 2 : EN QUOI L EPIDEMIE DE CHIKUNGUNYA APPORTE T- ELLE DES CHANGEMENTS DANS NOTRE VIE QUOTIDIENNE? Séance n 1 : Le chikungunya Objectif : Prévenir le risque infectieux Tout d un coup, Adeline
Plus en détailQu est-ce que la peste?
Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Santé publique Qu est-ce que la peste? État : 1 juin 2008 Réponses aux questions fréquemment posées concernant
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailPLAN DE COMMUNICATION POUR LA PREVENTION CONTRE L EPIDEMIE DE LA FIEVRE EBOLA
------- MINISTERE DE LA SANTE ET DE LA LUTTE CONTRE LE SIDA- REPUBLIQUE DE COTE D IVOIRE Union Discipline Travail ------------ PLAN DE COMMUNICATION POUR LA PREVENTION CONTRE L EPIDEMIE DE LA FIEVRE EBOLA
Plus en détailConseils aux voyageurs
Conseils aux voyageurs Informations issues du site du Ministère des Affaires Etrangères en France : http://www.diplomatie.gouv.fr/ Entrée / Séjour : Un visa d entrée est nécessaire pour les ressortissants
Plus en détailInfection par le VIH/sida et travail
Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage
Plus en détailLa vaccination, une bonne protection
Vaccin contre l hépatite A et l hépatite B La personne qui reçoit ce vaccin se protège contre l hépatite A, l hépatite B et leurs complications. L hépatite A et l hépatite B sont des infections du foie
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailIST et SIDA : s'informer pour se protéger!
IST et SIDA : s'informer pour se protéger! Tous concernés! De quoi s agit-il? Les Infections Sexuellement Transmissibles (IST) sont des infections dues à des virus, des bactéries, des parasites ou des
Plus en détailSituation Epidémiologique Hebdomadaire Epidémie d Ebola en Guinée
Situation Epidémiologique Hebdomadaire Epidémie d Ebola en Guinée, 2 Table des matières Table des matières...2 Note technique...3 Résumé...4 1. Guinée...6 2. Conakry... 13 3. Boffa... 21 4. Coyah... 23
Plus en détailHépatite. ses causes ses conséquences sa prévention
Hépatite ses causes ses conséquences sa prévention Hépatite : l essentiel en bref Qu est-ce que l hépatite et quelles sont les conséquences de cette maladie? L hépatite est une inflammation du foie, dont
Plus en détailSTOP à la Transmission des microorganismes!
STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailSituation Epidémiologique Hebdomadaire Epidémie d Ebola en Guinée
Situation Epidémiologique Hebdomadaire Epidémie d Ebola en Guinée Semaine 12, 215 Table des matières Table des matières...2 Note technique...3 Résumé...4 1. Guinée...6 2. Conakry... 13 3. Boffa... 21 4.
Plus en détailSituation Epidémiologique Hebdomadaire Epidémie d Ebola en Guinée
Situation Epidémiologique Hebdomadaire Epidémie d Ebola en Guinée Semaine 13, 215 Table des matières Table des matières...2 Note technique...3 Résumé...4 1. Guinée...6 2. Conakry... 13 3. Boffa... 21 4.
Plus en détailSituation Epidémiologique Hebdomadaire Epidémie d Ebola en Guinée
Situation Epidémiologique Hebdomadaire Epidémie d Ebola en Guinée Semaine 1, 21 Table des matières Table des matières... 2 Note technique... 3 Résumé... 4 1. Guinée... 6 2. Conakry... 13 3. Boffa... 18
Plus en détailQUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA
QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA INFORMATIONS SUR LE TEST DE DEPISTAGE Q. Quels examens médicaux doit-on faire pour détecter
Plus en détail+ Questions et réponses
HÉPATITE B L hépatite B c est quoi? L hépatite B est un type de maladie du foie causée par le virus de l hépatite B, une des formes les plus courantes de l hépatite virale (les autres sont le virus de
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailQuelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées en réanimation en France?
53 e congrès national d anesthésie et de réanimation. Infirmiers. Infirmier(e)s de réanimation 2011 Sfar. Tous droits réservés. Quelles sont les maladies hautement contagieuses susceptibles d être hospitalisées
Plus en détailPandémie : pas de fermetures de classes Évaluation de la situation au 13 novembre 2009
Erziehungsdirektion des Kantons Bern Direction de l'instruction publique du canton de Berne Amt für Kindergarten, Volksschule und Beratung Office de l'enseignement préscolaire et obligatoire, du conseil
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailRhume ou grippe? Pas d antibiotiques!
Brochure d information En utilisant mal une ressource, elle devient inefficace! Rhume ou grippe? Pas d antibiotiques! z6creation.net Une initiative européenne en matière de santé. Rhume ou grippe? Pas
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailPROCÉDURE. Code : PR-DSI-000-31
Code : PR-DSI-000-31 PROCÉDURE Instance responsable : Direction des soins infirmiers Approuvée par : Diane Benoit Présentée et adoptée au comité de direction le : 16 janvier 2013 Entrée en vigueur le :
Plus en détailCONNAÎTRE LA TUBERCULOSE
Health CONNAÎTRE LA TUBERCULOSE Ce que tout le monde devrait savoir Nous sommes tous en relation par l air que nous respirons Table des matières Connaître la tuberculose Qu est-ce que la tuberculose et
Plus en détailGUIDE PRATIQUE N 1 HERPES ASSOCIATION HERPES. Agissons contre l herpès
GUIDE PRATIQUE N 1 HERPES ASSOCIATION HERPES Agissons contre l herpès L Herpès : une maladie très répandue En France, on estime qu environ 10 millions de personnes sont porteuses du virus de l herpès à
Plus en détailLe Livre des Infections Sexuellement Transmissibles
Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et
Plus en détailProtégeons-nous ensemble!
Grippe saisonnière. Protégeons-nous ensemble! Informations importantes pour vous et votre famille. www.sevaccinercontrelagrippe.ch www.ofsp.admin.ch B C Qu est-ce que la grippe saisonnière et quels en
Plus en détailKit de dépistage et de déclaration du virus Ebola (CARE)
C A R E Kit de dépistage et de déclaration du virus Ebola (CARE) Si vous tombez malade, faites-vous soigner dès que possible pour avoir les meilleures chances de guérison! Cher voyageur, Que vous rentriez
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailvaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé)
EMA/90006/2015 EMEA/H/C/001104 Résumé EPAR à l intention du public vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) Le présent document est un résumé du rapport européen public d évaluation
Plus en détailProtection du personnel
PROTOCOLE POUR L EVACUATION DES EXCRETAS PAR LES ENTREPRISES DE VIDANGE/NETTOYAGE ET LES ONG s (Version 1.0, 23 décembre 2010) Sommaire I. Objectifs du protocole II. Protection du personnel III. Aspects
Plus en détailC. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B.
Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le C. difficile à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. DAVIS HÔPITAL D ENSEIGNEMENT DE L UNIVERSITÉ MCGILL www.jgh.ca 1. CLOSTRIDIUM
Plus en détailCONSEILS AUX VOYAGEURS
CONSEILS AUX VOYAGEURS Vous devez prochainement partir en mission à l étranger Au cours de votre séjour, vous pouvez être confronté à différents risques : risques infectieux : paludisme, diarrhées, hépatites,
Plus en détail1 ère manche Questions fermées
Quiz VIH 2011 1 ère manche Questions fermées Crips Ile-de-France / Mise à jour : août 2015 Thème : Dépistage Un test VIH négatif indique toujours que la personne qui a fait le test n est pas contaminée
Plus en détailOSIRIS GRIPPE A H1N1
REPUBLIQUE ET CANTON DE GENEVE État-major opérationnel OSIRIS OSIRIS INFORMATION ÉTAT-MAJOR OPÉRATIONNEL POLICE Genève, le 13 mai 2009 Rapport mensuel Avis de précaution Message urgent GRIPPE A H1N1 Recommandations
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailLa drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)
La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.
Plus en détailLe VIH-sida, qu est-ce que c est?
LES DROITS DE l ENFANT FICHE THÉMATIQUE Le VIH-sida, qu est-ce que c est? UNICEF/ NYHQ2010-2622 / Roger LeMoyne Chaque jour dans le monde, plus de 7 000 nouvelles personnes sont infectées par le VIH, 80
Plus en détailDocteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV
Docteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV 1 CONTEXTE EN ALGERIE Recrudescence des TIA HACCP obligatoire depuis 2010 Mise à niveau
Plus en détailFormation obligatoire d adaptation à l emploi
Cycle de formation Praxis Conforme à l arrêté du 16 juillet 2009 Formation obligatoire d adaptation à l emploi Agent de service mortuaire Madame, Monsieur, Depuis l arrêté du 16 juillet 2009 relatif à
Plus en détailSITUATION EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE
SITUATION EPIDEMIOLOGIQUE HEBDOMADAIRE (Semaine n 38 du 17 au 23/09/2012) BURKINA FASO MINISTERE DE LA SANTE SECRETARIAT GENERAL DIRECTION GENERALE DE LA PROTECTION SANITAIRE DIRECTION DE LA LUTTE CONTRE
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailPRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE
PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PG SPI SUR 014 v1 2011 1/5 OBJET Conduite à tenir dans le cadre de l'arrivée d'un patient atteint ou suspect de portage de Clostridium
Plus en détailMISE À JOUR SUR L ÉVOLUTION DE LA SITUATION CONCERNANT
22 février 2014 Message à tous les éleveurs et intervenants du secteur porcin du Québec MISE À JOUR SUR L ÉVOLUTION DE LA SITUATION CONCERNANT LA DIARRHÉE ÉPIDÉMIQUE PORCINE (DEP) PREMIER CAS DE DEP DANS
Plus en détailde plus de moitié, particulièrement dans les pays où la mortalité infantile est élevée 39.
postes de haut-fonctionnaires sont détenus par des femmes 38. Mais dans l ensemble, les avancées enregistrées par les pays africains dans leur progression vers la réalisation d une meilleure parité entre
Plus en détailPIL Décembre 2009. Autres composants: acide tartrique, macrogol 4000, macrogol 1000, macrogol 400, butylhydroxyanisol.
Notice publique MOTILIUM Veuillez lire attentivement l intégralité de cette notice avant d utiliser ce médicament. Gardez cette notice, vous pourriez avoir besoin de la relire. Si vous avez d autres questions,
Plus en détailEBOLA - épidémie 2014 - Transport en ambulance d'un cas suspect
Virus Ebola Transmission : de personne à personne lors de contact avec liquides biologiques du malade (sang, excréments, vomissures, urine, salive, sperme). Incubation : de quatre à dix jours, au max 21
Plus en détailChapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème
Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes Mais, que dois-je savoir? Pour rattraper un cours manquant, retrouve-le sur le site du collège dans la rubrique «enseignements» : http://colleges.acrouen.fr/courbet/spipuser/
Plus en détail1 Organiser et gérer. son poste de travail
1 Organiser et gérer son poste de travail r é f é r e n t i e l Modes de contamination (contamination initiale) Hygiène du personnel Prévention des risques professionnels Situation Dès son arrivée dans
Plus en détailVIH : Parlons-en franchement!
VihCouv_vert(2011_02) 08/02/11 13:27 Page1 DESSINS PHILIPPE DELESTRE VIH : Parlons-en franchement! VIH : Parlons-en franchement! LE VIH C EST QUOI? Le VIH est un virus. C est le virus du Sida. VIH ÇA VEUT
Plus en détailLes vaccins et les médicaments contre le virus Ebola Foire aux questions (FAQs)
Les vaccins et les médicaments contre le virus Ebola Foire aux questions (FAQs) Voici quelques questions fréquemment posées (FAQs) sur les vaccins et les médicaments contre le virus Ebola, et qui couvrent
Plus en détailASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains
ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains Adoptée par la 18e Assemblée générale de l AMM, Helsinki, Finlande,
Plus en détailHUMI-BLOCK - TOUPRET
FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition professionnelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais
Plus en détailLes Arbres décisionnels
Les Arbres décisionnels Les aides à la décision plainte-traitement (ou arbres décisionnels ) sont tirés de travaux effectués dans le cadre de l Organisation Mondiale de la Santé. Ils sont destinés à soutenir
Plus en détailZ I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor
Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE
Plus en détailCOMMUNIQUE DE PRESSE. Remise de 6 ambulances et de matériel pour la lutte contre l épidémie Ebola
AMBASSADE DU JAPON Conakry, le 9 mars 2015 COMMUNIQUE DE PRESSE Remise de 6 ambulances et de matériel pour la lutte contre l épidémie Ebola Le 9 mars 2015, Son Excellence Monsieur Naotsugu Nakano, Ambassadeur
Plus en détailévaluation des risques professionnels
évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire
Plus en détailLes maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST)
Les maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST) MST est le terme utilisé pour décrire toute maladie, toute infection transmise par un rapport sexuel avec une personne déjà contaminée, et qui
Plus en détailEtes-vous vacciné? La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch
Etes-vous vacciné? La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch 0844 448 448 La rougeole oblige à rester à la maison. www.stoprougeole.ch Eliminer la rougeole un objectif international
Plus en détailQU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE?
QU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE? Information pour les patients TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION 1 LA TUBERCULOSE GÉNÉRALITÉS 1.1 Qu est-ce que la tuberculose? 1.2 La tuberculose est-elle toujours contagieuse?
Plus en détailContexte réglementaire en hygiène alimentaire
Contexte réglementaire en hygiène alimentaire 1 Réforme de la législation communautaire pour la restauration collective Approche traditionnelle = obligation de moyens Réglementation Arrêté Ministériel
Plus en détailLES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE
LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE Tous les jours, des milliers de Néo-Brunswickois travaillent près de produits chimiques dangereux. Même si
Plus en détailEVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD
EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Dr. Nathalie MAUBOURGUET Lundi 24 novembre 2008 Ministère de la Santé, Salle Laroque Séminaire National sur l Organisation de la Prévention des Infections
Plus en détailInfestation par Dipylidium caninum,
Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le
Plus en détailLe psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se
Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées
Plus en détailL AMYGDALECTOMIE. Chirurgie d un jour Programme-clientèle santé de la femme et de l enfant. Pour vous, pour la vie
23 L AMYGDALECTOMIE Chirurgie d un jour Programme-clientèle santé de la femme et de l enfant Pour vous, pour la vie L amygdalectomie Cette brochure vous aidera à comprendre ce qu est l amygdalectomie L
Plus en détailInsuffisance cardiaque
Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles
Plus en détailFAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE
African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance
Plus en détailIl faut protéger votre organisation contre la pandémie qui menace «AVEZ-VOUS UN PLAN?» Marcel-M. Boucher MD
Il faut protéger votre organisation contre la pandémie qui menace «AVEZ-VOUS UN PLAN?» Marcel-M. Boucher MD Fonctions passées et présentes Urgentologue depuis 1977 CH Maisonneuve Rosemont Urgences-santé
Plus en détailLa planification familiale
La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup
Plus en détailInformation à un nouveau donneur de cellules souches du sang
Information à un nouveau donneur de cellules souches du sang Pour des raisons de simplification, les dénominations masculines s appliquent également aux femmes. La transplantation de cellules souches du
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailS engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée
S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée Rapport de situation 2013 RÉSUMÉ L UNICEF s est engagé à publier des rapports annuels de situation relatifs à la survie de l enfant en soutien
Plus en détailFiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR
Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Les produits d usage domestique comprennent les produits de nettoyage (p. ex., les nettoie-vitres et les produits de nettoyage
Plus en détailSavez-vous ce qu'est exactement un vaccin à part un produit qu'on injecte et qui protège contre une maladie?
Savez-vous ce qu'est exactement un vaccin à part un produit qu'on injecte et qui protège contre une maladie? C'est en fait, une petite quantité du germe (virus ou bactérie) responsables de la maladie que
Plus en détailRougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche
Rougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche Comment protéger vos enfants? La seule protection efficace : la vaccination R.O.R COQUELUCHE ANNUAIRE Livret élaboré en partenariat avec : Conseil Général du Loir-et-Cher
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailSolvants au Travail. Guide pour travailler en sécurité avec les solvants.
Solvants au Travail Guide pour travailler en sécurité avec les solvants. Qu est-ce qu un solvant? De nombreux produits chimiques utilisés pour dissoudre ou diluer d autres produits ou matériaux sont appelés
Plus en détailDracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL)
Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) 2014 1 Table des matières Introduction... 3 1. Historique et actualité... 3 2. Agent pathogène et cycle... 4 3.
Plus en détailLa lutte contre le paludisme
FICHES DE DIALOGUE Fiche n 1 La lutte contre le paludisme Montrez le premier dessin Question : Que voyez-vous sur cette image? Réponse : Un enfant qui a l air très malade. Il grelotte et transpire. Des
Plus en détailRapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde
Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Résumé d orientation La tuberculose reste l une des maladies transmissibles causant le plus de décès dans le monde. En 2013, selon les estimations,
Plus en détailVotre bébé a besoin de soins spéciaux
Votre bébé a besoin de soins spéciaux Ce guide se veut un document de référence afin de favoriser une meilleure compréhension de tous les aspects entourant la venue d un enfant prématuré ou malade. Il
Plus en détailRegistre des dossiers et des mesures correctives du programme LCQ
Programme Lait canadien de qualité des Producteurs laitiers du Canada Registre des dossiers et des mesures correctives du programme LCQ Utiliser avec le Registre et le Calendrier de DGI pour des dossiers
Plus en détailTraitements topiques. Utiliser conformément aux instructions figurant sur l emballage. Aident à éliminer les squames. Soulagent les démangeaisons.
SANS ORDONNANCE Solutions pour le bain et la douche : Huiles Farine d avoine Sels d Epsom Sels de al Mer Morte Utiliser conformément aux instructions figurant sur l emballage. Aident à éliminer les squames.
Plus en détailSommaire de la séquence 7
Sommaire de la séquence 7 De tout temps, l Homme a été frappé par des maladies mortelles qui décimaient des populations entières lors d épidémies connues comme la peste ou le choléra. Malgré ces fléaux,
Plus en détail