Ebola Virus Disease (EVD) Informations contextuelles

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1 Ebola Virus Disease (EVD) Informations contextuelles

2 Ebola Virus Disease (EVD) Origines Le virus Ebola porte le nom de la Rivière Ebola qui se trouve dans ce qui était le Zaïre (maintenant la République Démocratique du Congo) où il est apparu pour la première fois à Yambuku, en République Démocratique du Congo, en 1976, et simultanément à Nzara, au Soudan. Les crise de contamination, maladie du virus Ebola (EVD), (précédemment nommée Fièvrehémorragique Eb ola ou FH Ebola) se sont produites plus de 20 fois en Afrique depuis les premières apparitions en L EVD est une maladie grave avec un taux de mortalité élevé (>50%) qui peut toucher les humains et certains primates (singes, chimpanzés et gorilles). Source/ Réservoir naturel De nombreuses enquêtes ont été réalisées sur l hôte transportant le virus, mais pour l instant, le réservoir naturel n a pas été confirmé. Les chercheurs pensent que le virus est transporté par les animaux (zoonotique), les chauvesouris frugivores (famille pteropodidae) étant l hôte le plus probable. Selon l OMS, la contamination des humains a été avérée par la manipulation de chimpanzés, gorilles, chauvesouris frugivores, singes, antilopes de forêt et porc-épics infectés trouvés malades ou morts dans la forêt tropicale. Du fait que les porcheries en Afrique peuvent attirer les chauvesouris frugivores et que les porcheries semblent amplifier l apparition de l EVD, des mesures doivent être prises afin de limiter la transmission via les porcheries. Le virus causant l EVD (genre Ebolavirus) est l un des trois virus de la famille des virus filoviridés. Il existe cinq sous-espèces de l Ebolavirus identifiées à ce jour. Quatre d entre elles (Ebolavirus Zaïre, Ebolavirus Soudan, Ebolavirus Forêt de Taï, et Ebolavirus Bundibugyo) sont suspectées d avoir engendré la maladie chez les humains. La cinquième (Ebolavirus Reston) est suspectée d avoir infecté et causé la maladie chez les primates. Il peut également toucher les humains, mais n a jusqu ici engendré aucune maladie chez les humains. Risque d exposition géographique Les cas confirmés d EVD se trouvaient dans les pays suivants d Afrique centrale et de l Ouest, principalement dans des villages isolés et près des forêts tropicales : Guinée Liberia Sierra Leone République Démocratique du Congo Gabon Sud Soudan Côte d ivoire Ouganda République du Congo Afrique du Sud (importé)

3 Moyen de transmission La manière selon laquelle le virus apparait (moyen de transmission) n est pas non plus fermement établie. Toutefois, les meilleures preuves à ce jour suggèrent que le contact avec un animal infecté (une morsure ou un contact avec les sécrétions corporelles ou les organes) peut causer une transmission initiale des animaux aux humains, et la transmission d humain à humain se produit par des blessures de la peau ou de la membrane muqueuse et le contact avec le sang ou les liquides corporels contaminés, causant ainsi son apparition. Nous ne pensons pas que l EVD se transmet par l air, l eau ni les aliments, bien que nous pensons que la consommation de lait cru, viande crue ou organes crus d un animal contaminé puisse être une source potentielle de contamination pour les humains. Tous les aliments (en particulier la viande) doivent être bien cuits afin d éviter tout risque de transmission. Les précédentes apparitions de l EVD se sont étendues à la famille et aux amis des personnes contaminées. Nous pensons que cela se produit via les contacts proches avec des sécrétions contaminées lorsque les personnes s occupent d un membre malade de leur famille ou la manipulation du corps après le décès, causant une exposition similaire aux liquides corporels contaminés. Lors d une crise, la maladie peut se répandre rapidement via le contact direct et l exposition au sang ou aux liquides corporels contaminés, ou indirectement via le contact de l environnement contaminé par le sang ou les liquides corporels contaminés. Cela est particulièrement le cas lorsque les personnes proches de la personne contaminée (famille, services de santé, personnel de nettoyage, clergé, etc.) n utilisent pas de protection adaptée, comme des masques, des blouses et des gants. On pense également que l équipement et les instruments peuvent être une source de contamination s ils ont été contaminés par le sang ou les liquides corporels et ne sont pas désinfectés ou stérilisés correctement après leur contamination. Cela inclut également la réutilisation d aiguilles et de seringues contaminées sans qu elles aient été stérilisées. Alors qu une personne contaminée doit présenter les symptômes de l EVD pour être contagieuse, les personnes guérissant de l EVD peuvent encore transmettre le virus Ebola pendant une durée inconnue par les liquides corporels, après la disparition des symptômes. Les personnes sont considérées comme étant contagieuses tant que leur sang et liquides corporels contiennent le virus, ce qui peut durer jusqu à 8 semaines selon les preuves limitées des précédentes apparitions du virus. L OMS signale que dans un cas bien documenté, le virus a été transmis lors de rapports sexuels sept semaines après la guérison de la maladie. Une fois que la transmission vers un hôte humain se produit, le virus peut être transmis à d autres personnes via : le contact avec le sang ou les sécrétions d une personne contaminée (contact direct) l exposition à des aiguilles, pansements, vêtements ou autres objets contaminés (contact indirect) Les premiers symptômes incluent : soudaine poussée de fièvre, faiblesse intense, douleurs musculaires, maux de tête et maux de gorge. Suite aux premiers symptômes, la personne souffre de vomissements, diarrhée, rougeurs, fonctions des reins et du foie réduite, et dans certains cas, des saignements. La liste complète des symptômes inclut : Signes et symptômes de l EVD Rougeurs Yeux rouges Hoquet Toux Maux de gorge Douleur thoracique Difficultés à respirer Difficultés à avaler Saignements internes et externes Certains patients peuvent également avoir Fièvre Maux de tête Douleurs aux articulations et musculaires Faiblesse Diarrhée Vomissements Douleurs à l estomac Manque d appétit Une fois la contamination réalisée, les symptômes apparaissent rapidement. Les symptômes apparaissent généralement 8 à 10 jours après l exposition, mais peuvent apparaitre 2 à 21 jours après l exposition. Alors que le taux de mortalité du virus Ebola est de 40 à 90 %, les raisons de décès ou de survie ne sont pas bien comprises. Nous savons que les gens qui décèdent de l EVD n ont pas développé de réponse immunitaire significative au virus, mais les facteurs influençant cela ne sont pas bien compris. Des essais cliniques sont en cours avec un vaccin potentiel, mais pour le moment, aucun vaccin avéré n est disponible.

4 Diagnostique Réaliser un diagnostique sur une personne contaminée depuis seulement quelques jours et difficile car les premiers symptômes (maux de tête, fièvre, yeux rouges, rougeurs, etc.) peuvent ne pas provenir seulement d une contamination par l Ebolavirus. Les symptômes pouvant survenir tôt dans la maladie sont souvent observés chez des patients ayant des maladies plus courantes. Le diagnostique et le traitement ne doivent être réalisés que par un médecin qualifié pouvant éliminer d autres maladies potentielles dont : malaria, fièvre typhoïde, shigellose, choléra, leptospirose, peste, rickettsiose, fièvre récurrente, méningite, hépatite, et autres fièvres virales hémorragiques. S il existe une raison de suspecter l EVD, comme les premiers symptômes de l EVD, le médecin ordonnera que le patient reste isolé et les autorités sanitaires publiques doivent en être informées. Des échantillons seront prélevés sur le patient et envoyés au laboratoire afin de confirmer le diagnostique. Seul le personnel qualifié doit manipuler les échantillons d un patient potentiellement atteint de l EVD, car ils doivent être traités dans un confinement Bio-sécurité de niveau 4 (BSL-4). Les personnes atteintes de l EVD deviendront gravement malades et auront besoin soins intensifs nécessitant l intervention d un personnel de santé qualifié. Les patients souffrant de l EVD pouvant également souffrir d autres états ou maladies en même temps, le patient peut avoir besoin d être traité pour d autres états ou maladies en plus de l EVD. Cette discussion est limitée aux études en rapport avec l EVD à des fins de clarté.

5 Prévention Les moyens spécifiques de contamination étant mal compris, les principales méthodes de prévention sont considérées comme des recommandations de règles professionnelles, mais ne sont pas nécessairement basées sur des preuves. Le CDC (Centre de Contrôle des Maladies) et l OMS conseillent des précautions standards de contact et de goutelette pour les patients hospitalisés. Les personnes s occupant des patients présentant un risque d exposition au virus Ébola (EVD) lorsqu elles prodiguent des soins. La principale considération est la prévention de contact avec le sang et les liquides corporels d une personne contaminée, qui pourrait permettre au virus de passer les barrières de la membrane muqueuse ou de pénétrer par des coupures de la peau et donc contaminer l autre personne. Pour un cas suspecté d EVD, les établissements doivent être préparés à appliquer des précautions d isolation en cas de fièvre hémorragique virale, incluant : un Équipement de protection adapté, avec des gants, des blouses imperméables, des masques et une protection oculaire. Des mesures de contrôle de contamination, comme la décontamination des équipements, la désinfection, et la stérilisation, si besoin est. L utilisation d un désinfectant approuvé par le gouvernement national est toujours préférée, mais dans un pays ayant des ressources limitées, le CDC conseille également l utilisation de 500 ppm d une solution d hypochlorite de sodium (eau de Javel). Le lavage des mains conformément aux cinq moments de l OMS et avant/ après le port de gants. L isolement de patients suspectés d être contaminés par l EVD des personnes non protégées. Si un patient atteint de l EVD décède, il est tout aussi important d éviter un contact direct avec le corps du défunt. Les directives sont disponibles auprès du CDC et de l OMS afin d aider à mieux comprendre la maladie et sa prévention. Ces références ont été utilisées pour la rédaction du présent document.

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