Management des Situations Extrêmes
|
|
- Yolande Barrette
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Chaire Gestion de Projet ESG UQAM 12 mai 2014 Management des Situations Extrêmes Pascal Lièvre Professeur des Universités UDA-CRCGM-MSE
2 Carte de Visite Docteur en Sciences Economiques de l Université Lyon II Habilitation à Diriger des Recherches en Gestion à l Université Aix Marseille II Professeur des Universités en Sciences de Gestion CRCGM EA 3849 Université d Auvergne Responsable du Programme Management des Situations Extrêmes Professeur Associé à FBS Clermont Directeur Scientifique de GeCSO (Gestion des Connaissances, Société et Organisation) Membre associé de la Chaire de Gestion de Projet, ESG- UQAM, Québec. Membre du CA de MCX (Programme Modélisation de la Complexité) Membre AIMS, AGRH, EGOS, AOM, SportNature.Org Expert pour l ANR (Agence Nationale de la Recherche) & le FQRSC (Fonds de Recherche sur la Société et la Culture Québec) Participation au Programme Blanc ANR «Darwin : une équipe d alpiniste en situation d incertitude» PascalLievre@orange.fr - CRCGM - MSE
3 Chaire Management des Situations Extrêmes - CRCGM - MSE
4 Argument et Positionnement
5 Economie de l innovation fondée sur la connaissance Conception et mise en œuvre d une action collective, prenant la forme d un projet, intensif en connaissance, dans un contexte évolutif, incertain et risqué Situation Extrême de Gestion * Construction du Sens * Ambidextrie Organisationnelle * Expansion des connaissances * Théorie de la pratique * Outil investigation Les pratiques en milieux extrêmes Une théorie sociale de l apprentissage dans les projets
6 Terrains - CRCGM - MSE
7 Références Aubry M., Lièvre P., 2014, (dir.), Project Management in Extreme Situations: Lessons from Polar Expeditions, Military and Rescue Operations and Wilderness Explorations Routledge, Francis and Taylor Group, New-York, USA, 330p. Lièvre P., Rix-Lièvre G., 2013, Leadership and organizational learning in extreme situations. Lessons of a comparative study of two polars expeditions: one of the greatest disasters (Franklin, 1855) and one the best achievements (Nansen, 1892) in Extreme Leaderships: Leaders, Teams and Situations Outside the Norm, Cristina M. Giannantonio and Amy E. Hurley-Hanson, Edward Elgar. PascalLievre@orange.fr - CRCGM - MSE
8 - CRCGM - MSE
9 Une situation évolutive. Elle apparaît comme présentant une certaine rupture par rapport à un «avant» (Rivolier, 1998). Il y a toujours un écart entre une situation antérieure et une situation actuelle et/ou une situation actuelle et une situation future Une situation incertaine. Nous sommes ici en présence d une incertitude radicale des situations au sens de Knight où la probabilité d apparition d un événement n est pas mesurable, où le nouveau peut apparaître (Orléan, 1986), où l imprévisible est possible comme l exprime Jean-Louis Le Moigne (1990) Une situation à risque où la possibilité qu un événement non souhaité survienne ne peut pas être écartée et que celui-ci cause des dommages plus ou moins importants à l organisation.
10 Situations Extrêmes de Gestion et Expéditions Polaires Des hommes ont du affronter depuis le XIXème siècle, des situations «extrêmes» de gestion, telles les expéditions polaires, dont il est possible de dégager des leçons pour aborder les problèmes organisationnels contemporains issus d une économie de l innovation fondée sur la connaissance. PascalLievre@orange.fr
11 L expédition de Nansen au Pôle Nord en 1893
12 Les expéditions polaires Les «pratiques» des expéditeurs polaires
13 Les «pratiques» Qu est ce qu une pratique? = Ce que font les gens en situation singulière et comment ils le font? Pratique issue d un calcul Pratique réflexive = je fais ce que je dis qui est ce que je pense Pratique «ordinaire» = disposition à agir non conscientisée = Habitus au sens de Bourdieu, conscience pré-réflexive (Husserl), connaissance en acte (Piaget), Connaissance tacite (Polanyi) PascalLievre@orange.fr
14 La pratique de la conduite automobile Nous connaissons le code de la route (code écrit, examen) Nous avons appris à conduire (auto-école, examen) Nous conduisons régulièrement une voiture Nous avons une pratique de la conduite automobile Nous avons tous la même pratique de la conduite automobile = NON
15 Les Pratiques de la Conduite Automobile
16 Instruction au sosie «marsien» sur la manière dont vous conduisez votre voiture
17 Vous avez la nuit pour lui transmettre toutes vos connaissances De façon à ce que le lendemain, lorsque le «marsien» va emprunter votre voiture votre voisine en voyant partir votre voiture dise : Ah! C est bien lui! Je reconnais bien sa conduite!
18 Comment accéder aux connaissances issues de la pratique?
19 Différentes méthodes d investigation Interview d expert Investigation des journaux de bords Enquête sur les problèmes Histoire des expéditions polaires Suivi du déroulement d expédition : A distance Au plus prés PascalLievre@orange.fr
20 Cote E Groenland 2000 Cote E Groenland 2002 Cote W du Groenland 2002 Finlande 2004 Terre de Baffin 2005 PascalLievre@orange.fr
21 Vidéo-Ethnographie Organisationnelle Lièvre P., Rix-Lièvre G., 2013, Vers une ethnographie «constructiviste» et en termes de «pratique située», Revue Internationale de Psychosociologie et de Comportement organisationnel, Numéro Spécial dirigé par Sylvie Grosjean et Carole Groleau Rix-Lièvre G., Lièvre P., 2014, «La petite histoire d une ethnographie d une expédition polaire, de la construction d un dispositif d investigation à l exercice d une réflexivité méthodologique», Recherches Qualitative.
22 Théories Intermédiaires (Glaser, Strauss, 1967; David, 2000) Champ du corpus universaliste scientifique Champ des théories intermédiaires Champ des pratiques
23 1. Economie de l innovation fondée sur la connaissance = Des nouvelles règles pour le fonctionnement de l entreprise
24 Economie de la connaissance Une nouvelle configuration de l économie contemporaine qui prend la forme d une économie de l innovation fondée sur la connaissance (Amin, Cohendet, 2003; Foray, 2009) Un régime d innovation intensive (Hatchuel, Weill, 2000) Obligation d innover d une manière globale et permanente (Alter, 2003) La création et la circulation des connaissances au cœur de l organisation (Nonaka, Takeuchi, 1995) Nouvelles règles de fonctionnement de l entreprise
25 Rapport entre la Demande et l Offre Connaissance de la Demande Economie de Production de Masse La demande est supérieure à l offre La demande est prévisible Economie de la Qualité La demande est égale à l offre La demande est probable Economie de la Connaissance La demande est inférieure à l offre La demande est incertaine Cycle de vie du Produit Long Moyen Court Taille du Marché National Continental Mondial Technologie Gros système informatique Micro-informatique et web EDI, Réseau, GPS, Logiciel intégré Positionnement Concurrentiel Le prix La qualité L innovation Philosophie du Management - Management de la Production de masse - Zéro temps d inoccupation Management de la qualité - Zéro stock - Zéro défaut Management de l innovation - Zéro temps de réponse - Zéro Mépris L Acteur Priviligié Le producteur Le client L innovateur Outil de Gestion Place du Facteur Humain Algorithme de chemin le plus court L homme = force productive JAT, Qualité Totale, ERP L homme = associé à la création de valeur KM, Conception par l usage, modèle C/K L homme = acteur pivot du changement Forme de l entreprise Hiérarchique Réseau Communautaire Source : Lièvre P., 2006, La logistique, Edition La Découverte
26 Economie Contemporaine et Projet Economie de la production de masse = Concurrence par les prix = Management des Opérations Standards Economie de la qualité = Concurrence par la qualité = Management des Projets Economie de la connaissance = Concurrence par l innovation (Baumol, 2004) = Management des Projets Innovants (Nonaka, Takeuchi, 1996) Cours Management de Projet/ Pascal Lièvre/ CRCGM/ PascalLievre@orange.fr
27 2. Repères pour un management des projets en environnement extrême Registre d intelligibilité des situations
28 Trois registres La construction de sens des acteurs en situation qui renvoie à la nature de leurs engagements et à leurs attentes dans le projet La possibilité de jouer d une manière alternative entre divers mode d action (anticipation/adaptation, exploration/exploitation), L expansion des connaissances scientifiques et expérientielles dans la construction du projet
29 2.1 La construction de sens (Weick, Clot, Wenger) C est parce que les acteurs trouvent du sens à une situation qu ils peuvent avoir un comportement adapté, qu ils apprennent. Nous faisons ici référence aux travaux pionniers de Karl Weick en la matière. Dans son fameux article sur l accident des pompiers de Mann Gulch, Weick (1993) montre que c est parce que la situation ne fait plus sens pour eux que les pompiers ne suivent pas les conseils de leur chef et s enfuient poursuivis par le feu, courants à leurs pertes. Nous avons travaillé la construction du sens des acteurs dans un projet à partir de la nature de l engagement des acteurs et aussi leurs attentes.
30 Ce phénomène a fait l objet d attention dans le champ du management de projet comme le remarque Xavier Baron (1993) : la performance d un individu dans un projet est moins liée à des critères de compétence en référence au projet qu à la cohérence entre ses aspirations professionnelles et personnelles et le projet luimême. C est pourquoi l élucidation des engagements et des attentes des acteurs vis-à-vis de la nature de l action collective à entreprendre est essentielle
31 L engagement des acteurs C est la question de la place que prend l activité pour un acteur donné par rapport à sa vie et du sens de cette activité en rapport avec son projet de vie. Nous ne pouvons apprendre d une situation qui ne nous affecte pas positivement, qui est l écart de nos préoccupations existentielles (Vygotski). Nous ne pouvons apprendre d une situation qui ne fasse pas pleinement sens pour nous. C est le fort degré d engagement des acteurs dans leurs activités qui va permettre de comprendre pourquoi ils apprennent, pourquoi ils sont capables de «faire face» en situation. Dans le champ des expéditions polaires, il est possible de percevoir des différences d intensité des engagements des acteurs, il y a des acteurs «qui font des expéditions polaires» et d autres «qui sont des expéditeurs polaires». Les «expéditeurs polaires» apprennent, pas «ceux qui font des expéditions»
32 Les attentes des acteurs Les investigations réalisées dans le domaine des expéditions polaires montrent que des acteurs fortement engagés dans leur activité, depuis de nombreuses années, inventent à leur manière l ensemble des opérations constitutives du déroulement d une expédition en fonction de ce que nous avons appelé leurs attentes implicites (Lièvre, Recopé, Rix, 2003). Cette notion, distincte de l intention affichée délibérément par un acteur vis-à-vis d une action, est difficile à cerner puisqu elle s exprime avant tout dans les actes des acteurs en situation et que ceux-ci ne sont pas toujours capables spontanément de l exprimer d une manière claire, explicite. L attente est la finalité fortement implicite et faiblement explicite que construit un acteur, au fil du temps, dans une activité en rapport avec sa sensibilité, son monde propre, ses valeurs, ses attentes profondes, sa tendance vitale (Recopé, 2007).
33 Des attentes qui renvoient à des styles d organisation des expéditions On peut pour un même projet comme la traversée de la calotte du Groenland avoir des attentes orthogonales. Pour certains, c est l exploit sportif qui est recherché et qui va orienter l ensemble de l organisation, pour d autres, c est le plaisir relatif à la progression à ski.
34 Une expédition polaire = Un enchaînement d opérations élémentaires
35 Expert A Expert B
36 Topologie des styles d expédition en matière d attente EXPLOIT SPORTIF TECHNIQUE PROGRESSION EXPLORATION DECOUVERTE SCIENTIFIQUE PEDAGOGIQUE PascalLievre@orange.fr
37 Le projet fait sens pour l acteur parce que ce projet occupe une grande place dans sa vie, parce qu il répond à ses attentes alors il peut faire face en situation d une manière adaptée il peut apprendre
38 2.2. La possibilité de jouer d une manière alternative entre divers mode d action (anticipation/adaptation, exploration/exploitation),
39 Anticipation/Adaptation & Exploitation/Exploration Un apport important de l étude des expéditions polaires est de montrer que la réussite des projets en environnement extrême suppose une combinaison entre divers modes d action tout le long du projet : anticipation et adaptation, exploration et exploitation. C est la possibilité pour l action collective de jouer si nécessaire avec ces différents modes d action qui semble discriminante. (Aubry, Lièvre, 2011).
40 Le plan = une ressource pour l action Au départ de nos réflexions (Lièvre, 2001), il apparaît que la phase de mise en œuvre sur le terrain échappe toujours à toute planification et que la bonne attitude consiste surtout à ne pas vouloir appliquer le plan mais plutôt de se mettre dans une posture d adaptation permanente. Le plan doit alors être considéré comme une ressource plus globale pour l action au sens de Suchman (1997) et non un déroulement à suivre scrupuleusement. L excès de planification peut conduire à diminuer la vigilance des acteurs en s obligeant à faire plier la réalité dans le plan. On préférera l anticipation, la préparation à la planification. Dans le même temps, un déficit d anticipation dans la phase de conception peut avoir des conséquences lourdes dans la phase de mise en œuvre.
41 Ambidextrie au sens de Mintzberg il faut pouvoir jouer sur les deux modes : anticipation et adaptation. Nous sommes dans une logique d ambidextrie au sens de Mintzberg (1996). Il faut pouvoir tout autant faire ce qu on a prévu que changer de plan
42 Ambidextrie au sens de March : exploration/exploitation Or d autres modes d action ne rentraient pas dans ce couple anticipation/adaptation dans le déroulement d un projet. Les acteurs étaient amenés à inventer des nouvelles manières de faire à l écart de leurs expériences dans différentes phases du projet ou ils mobilisaient des compétences existantes à différents moments du déroulement du projet. Ces préoccupations rejoignaient toute une littérature en sciences de gestion depuis les travaux pionniers de March (1991) qui montrent l importance pour une organisation dans le contexte d une économie de l innovation de développer à la fois une logique d exploration (acquérir de nouvelles compétences) et une logique d exploitation (mobiliser les routines) (Chanal, Mothe, 2005 ; Brion, Favre-Bonté, Mothe, 2007). Il faut tout autant mobiliser les compétences existantes que d inventer de nouvelles manières de faire
43 Double ambidextrie organique Il faut pouvoir tout autant faire ce qu on a prévu que changer de plan Il faut tout autant mobiliser les compétences existantes que d inventer de nouvelles manières de faire
44 3. L expansion des connaissances scientifiques et expérientielles tout au long du projet
45 Expansion des connaissances dans le projet La capacité des collectifs en situation extrême à mobiliser des connaissances de toute nature dans le projet, et plus particulièrement dans la phase amont, est discriminante dans la performance globale du projet (Garel, Lièvre, 2010). Selon Garel (2003), les projets innovants obligent les équipes projets à mobiliser des connaissances de plus en plus à l écart de leurs compétences propres, de leurs milieux proches afin d entreprendre une véritable exploration. Lenfle et Gautier (2004) ont bien montré l importance essentielle de cette phase amont dans une démarche d innovation d exploration dans la performance globale du projet. Une phase où la question de l expansion des connaissances est discriminante dans la conduite du projet.
46 Les connaissances expérientielles et les connaissances scientifiques Cette distinction s appuie sur le courant de la philosophie pragmatique américaine (Dewey, James) mais aussi J. Piaget et de L. Vygotski, elle est reprise aujourd hui dans la littérature en management des connaissances par Amin et Cohendet (2003) et Foray (2011). Ces connaissances sont toutes aussi importantes l une que l autre pour les organisations. C est le principe de symétrie de la connaissance telle qu elle est développée par Callon et alii (2001), dans le forum hybride. Mais les registres de pertinence sont différents comme le dit Vygostki (1993) «les concepts scientifiques s avèrent dans une situation non scientifique tout autant inconsistants que les concepts quotidiens dans une situation scientifique».
47 Les connaissances scientifiques sont acquises par des chercheurs dans des laboratoires en mobilisant une méthode spécifique et elles ne prennent forme qu à travers des écrits qui sont évalués par des pairs. Il est facile d y accéder sur des banques de données, des bibliothèques. Ces connaissances en l état ne sont pas actionnables, il faut opérer une traduction pour qu elle soit utilisable dans l action. Les connaissances expérientielles sont acquises par les acteurs dans l action en situation et elles sont implicites (Lièvre, Rix-Lièvre, 2012). Il est difficile d accéder à ces connaissances, mais elles sont actionnables. La nature de ces connaissances et leurs formes vont avoir des conséquences sur leurs conditions d accès et leurs proximités avec l action.
48 L accroissement des connaissances expérientielles du GMHM Le processus d expansion des connaissances pour le GMHM passe dans la phase de préparation par l identification des déficits en connaissance de l équipe en fonction de celles requises par la situation. Après avoir gravi l Everest en 1993, l équipe du GMHM décide d affronter le pôle Nord. Trois apprentissages sont nécessaires pour des alpinistes himalayistes avertis qui veulent tenter ce genre d aventure polaire : il faut apprendre le froid, la durée et la banquise. Les membres du GMHM décident d organiser trois expéditions pour apprendre sur chacun de ces registres (Cayrol, 2001). Pour apprendre «le froid», ils partent en Terre de Baffin au mois de janvier «pour réaliser un raid de quinze jours où ils vont acquérir les connaissances découlant d un froid de - 38 C en moyenne». Pour apprendre «la durée», ils effectuent une traversée de la calotte de glace du Groenland sur km. Enfin, pour apprendre «une banquise instable», un séjour fin avril à la pointe des îles Ellesmere (Canada) va permettre à l équipe de se confronter à une banquise en pleine transformation : apparition de chenaux d eaux libres, dégel-gel-dégel
49 La mobilisation des connaissances scientifiques Les connaissances mobilisées peuvent être aussi scientifiques. Alain Hubert (2003), un expéditeur belge chevronné, lors de la préparation de la traversée du Pôle Sud, est confronté à un problème insoluble : identifier un itinéraire qui minimise la confrontation avec le vent dans une zone où les rafales peuvent aller jusqu à 200 km à l heure. C est la rencontre avec Hubert Gallée, physicien de l atmosphère, à l Institut Georges Lemaitre en Belgique qui va résoudre son problème. Ce chercheur a construit un modèle mathématique permettant de modéliser les vents en antarctique. C est grâce à ce modèle qu il va établir d une manière définitive son itinéraire.
50 Conclusion
51 Un accroissement de l intelligibilité de la performance des équipes projets L investigation des projets en environnement extrêmes à partir de ces trois registres permettent d accroitre l intelligibilité de la performance des équipes projets. C est ce que montre l étude de cas comparative de deux expéditions ayant le même objectif (La Cordillère Darwin) : l une échoue, l autre réussie.
52 Le management des situations extrêmes apparait avant tout comme un management des ruptures qui suppose un apprentissage organisationnel. Or de nombreuses équipes n apprennent pas et échouent.
53 Les pré-requis à l apprentissage organisationnel?
54 La perception d un décalage comme prérequis à l apprentissage organisationnel La perception d un écart entre mes compétences et la situation (Senge) La perception d un écart entre ce qui se passe et ce qui a été prévu (Argyris et Schön) Sans perception de ces écarts pas de mise en œuvre d un apprentissage
55 Les 4 registres qui conditionnent la perception d un décalage dans une situation (Gautier, Lièvre, Rix, 2008) 1 La place du projet dans la vie de l acteur 2 La cohérence entre le style du projet et les attentes de l acteur 3 Le niveau de décalage entre les compétences possédées et requises 4 Les modalités de dialogue entre les acteurs autour de ces décalages
56 La perception d un décalage comme condition nécéssaire, mais pas suffisante à l apprentissage organisationnelle
57 Vers une théorie «sociale» de l apprentissage au sens de Wenger dans les projets Il s agit bien de lier le processus d apprentissage des acteurs au processus de construction de sens, au processus de construction identitaire et au processus de socialisation.
58 En En vous remerciant de votre attention
59
60
M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager
Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION
Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information
Plus en détailN 163 - ROUX-PEREZ Thérèse. 1. Problématique
N 163 - ROUX-PEREZ Thérèse CONSTRUCTION IDENTITAIRE DES ENSEIGNANTS EN FORMATION INTIALE : ENTRE REPRESENTATIONS PARTAGEES ET ELEMENTS DE DIFFERENCIATION DANS LE RAPPORT AU METIER 1. Problématique L étude
Plus en détailCertification Appreciative Inquiry Accompagnement des Transformations dans les Organisations
Certification Appreciative Inquiry Accompagnement des Transformations dans les Organisations Ce programme a été conçu par les professeurs de la Weatherhead School of Management de la Case Western Reserve
Plus en détailENSEIGNEMENT DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE A L ECOLE PRIMAIRE : QUELLE DEMARCHE?
ENSEIGNEMENT DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE A L ECOLE PRIMAIRE : QUELLE DEMARCHE? Les nouveaux programmes 2008 confirment que l observation, le questionnement, l expérimentation et l argumentation sont
Plus en détailSCIENCES DE L ÉDUCATION
UniDistance 1 Centre d Etudes Suisse Romande Formation universitaire SCIENCES DE L ÉDUCATION En collaboration avec L Université de Bourgogne à Dijon Centre de Formation Ouverte et A Distance CFOAD UniDistance
Plus en détailQuand le bâtiment va, tout va
Quand le bâtiment va, tout va Citation de Martin Nadeau en 1849 à l Assemblée législative de la France Martin Nadeau Ancien ouvrier maçon Député à l Assemblée législative Les sots font bâtir les maisons
Plus en détailCOLLOQUE ARY BORDES. Investir dans les ressources humaines pour reconstruire un système de santé performant. Bilkis Vissandjée, PhD 24 mars 2011
COLLOQUE ARY BORDES Investir dans les ressources humaines pour reconstruire un système de santé performant Bilkis Vissandjée, PhD 24 mars 2011 Faculté des sciences infirmières Faculté des sciences infirmières
Plus en détailÉCOLE DE COACHING FRANCOPHONE CATALOGUE DE FORMATION
ÉCOLE DE COACHING FRANCOPHONE CATALOGUE DE FORMATION ÉCOLE DU RÉSEAU PAUL PYRONNET INSTITUT Paul Pyronnet Institut - contact@ecole-coaching-ecppi.com - contact@paul-pyronnet-institut.fr www.ecole-coaching-ecppi.com
Plus en détailLes relations réciproques Ecole Familles en grandes difficultés
Familles en grandes difficultés et école : des relations complexes Résumé du rapport de recherche : Les relations réciproques Ecole Familles en grandes difficultés Rapport de recherche du CERSE Université
Plus en détailINTEGRALMANAGER by EICL
by EICL Le management Humaniste Integral Manager by EICL Le coaching Humaniste 1 Cycle de formation Le management Humaniste Le management de proximité qui réconcilie éthique et performance Integral Manager
Plus en détailMASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS
MASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS Le Master 1 : Management Public Environnemental forme aux spécialités de Master 2 suivantes : - Management de la qualité o Parcours
Plus en détailLES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION
LES CARTES À POINTS : POUR UNE MEILLEURE PERCEPTION DES NOMBRES par Jean-Luc BREGEON professeur formateur à l IUFM d Auvergne LE PROBLÈME DE LA REPRÉSENTATION DES NOMBRES On ne conçoit pas un premier enseignement
Plus en détailCatalogue de formations. Leadership & développement durable
Catalogue de formations Leadership & développement durable Table des matières La formatrice 3 L Art de prendre de bonnes décisions 4 Mieux communiquer pour mieux collaborer 5 Développer sa capacité d influence
Plus en détailFormation certifiante au métier de coach scolaire
Formation certifiante au métier de coach scolaire 1 Préambule CoachingMaestro est un portail de formations dédié à toute personne intéressée dans l accompagnement des jeunes. Préambule Ses missions sont
Plus en détailMANUEL DU BLENDED LEARNING
MANUEL DU BLENDED LEARNING ÉDITION 2014 www.360learning.com SOMMAIRE Définition... 4 Pourquoi proposer du Blended Learning à ses clients... 5 Les phases du Blended Learning... 7 9 arguments pour vendre
Plus en détailLa communauté de pratique selon Étienne Wenger
La communauté de pratique selon Étienne Wenger Sommaire France Henri Introduction 1. La communauté de pratique, une structure sociale de connaissances 2. Le contexte d émergence de la communauté de pratique
Plus en détail10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF
10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX
Plus en détailProblématique / Problématiser / Problématisation / Problème
Problématique / Problématiser / Problématisation / PROBLÉMATIQUE : UN GROUPEMENT DE DÉFINITIONS. «Art, science de poser les problèmes. Voir questionnement. Ensemble de problèmes dont les éléments sont
Plus en détail1. Présentation générale du volet «Recherche» du projet PASS
1. Présentation générale du volet «Recherche» du projet PASS Parallèlement aux activités d échange et d organisation des rencontres et du séminaire thématique, nous avons réalisé durant les premières phases
Plus en détailStages de recherche dans les formations d'ingénieur. Víctor Gómez Frías. École des Ponts ParisTech, Champs-sur-Marne, France
Stages de recherche dans les formations d'ingénieur Víctor Gómez Frías École des Ponts ParisTech, Champs-sur-Marne, France victor.gomez-frias@enpc.fr Résumé Les méthodes de l ingénierie ont été généralement
Plus en détailACCOMPAGNEMENT INDIVIDUEL
ACCOMPAGNEMENT INDIVIDUEL DES MANAGERS ET DES DIRIGEANTS des démarches de croissance, d adaptation continue et de créativité dans des environnements et des marchés en mutation DIRIGEANTS ET MANAGERS EN
Plus en détail«Identifier et définir le besoin en recrutement»
«Identifier et définir le besoin en recrutement» LES ETAPES DU RECRUTEMENT Le recrutement est une démarche structurée qui comporte plusieurs étapes aux quelles il faut attacher de l importance. La majorité
Plus en détailAnimer un débriefing
Animer un débriefing Introduction Dans une démarche de retour d expérience, le processus mis en place par l organisation est important. Le débriefing peut être parfois négligé alors qu il est un moment
Plus en détailDéveloppement personnel
Développement personnel 50 REPÉRAGE DES TALENTS : COMPÉTENCES ET PERFORMANCE DE L'ENTREPRISE Repérer dans l'organisation les "talents" nécessaires à l'atteinte des objectifs de l'entreprise Construire
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailSynthèse «Le Plus Grand Produit»
Introduction et Objectifs Synthèse «Le Plus Grand Produit» Le document suivant est extrait d un ensemble de ressources plus vastes construites par un groupe de recherche INRP-IREM-IUFM-LEPS. La problématique
Plus en détailColloque International IEMA-4
Comment mettre en place un dispositif coordonné d intelligence collective au service de la stratégie de l entreprise. Conférence de Mr. Alain JUILLET - Le 17/05/2010 IEMA4 Pour ne pas rester dans les banalités
Plus en détailLa recherche interventionnelle en santé des populations : moteur d innovation
La recherche interventionnelle en santé des populations : moteur d innovation L O U I S E P O T V I N, P h D C H A I R E D E R E C H E R C H E D U C A N A D A A P P R O C H E S C O M M U N A U T A I R
Plus en détailPlanifier avec les expériences clés pour les enfants de 3 à 5 ans
Planifier avec les expériences clés pour les enfants de 3 à 5 ans Ginette Hébert formatrice en petite enfance AFÉSÉO FORUM 2012 Cette formation s appuie sur mon expérience d accompagnement d éducatrices
Plus en détailDécliCC. savoir. cahier des charges
DécliCC savoir S ORGANISER cahier des charges Du PARCOURS déclicc savoir S ORGANISER Développer ses compétences clés pour savoir s organiser Module A 30 à 40 heures Organiser l exécution d une tâche Contexte
Plus en détailLe MBA Telfer à Metz Le pouvoir d exceller
L École Nationale d Ingénieurs de Metz en partenariat avec L ÉCOLE DE GESTION TELFER DE L UNIVERSITÉ D OTTAWA Le MBA Telfer à Metz Le pouvoir d exceller La HAUTE PERFORMANCE Partenariat unique L École
Plus en détailisrs 7 Améliorer la performance Sécurité, Environnement et Opérationnelle
isrs 7 Améliorer la performance Sécurité, Environnement et Opérationnelle 2 isrs 7 : pour la santé de votre entreprise Pour répondre à l accroissement des multiples exigences de vos Parties Intéressées,
Plus en détailSynthèse Mon projet d emploi
Synthèse Mon projet d emploi Nom : Date : Complété par : TÉVA Estrie 2012 La synthèse permet de recueillir les informations notées dans les questionnaires et de constater les ressemblances et les différences
Plus en détailQuels outils pour prévoir?
modeledition SA Quels outils pour prévoir? Les modèles de prévisions sont des outils irremplaçables pour la prise de décision. Pour cela les entreprises ont le choix entre Excel et les outils classiques
Plus en détail360 feedback «Benchmarks»
360 feedback «Benchmarks» La garantie d un coaching ciblé Pour préparer votre encadrement aux nouveaux rôles attendus des managers, Safran & Co vous propose un processus modulable, adapté aux réalités
Plus en détailFormation-action L intelligence collective au service du leadership dans la complexité
En partenariat avec Formation-action L intelligence collective au service du leadership dans la complexité Un levier indispensable pour booster la performance et l innovation Lyon 10 février 2014 S.A.R.L.
Plus en détailCURRICULUM VITAE PARCOURS PROFESSIONNEL
CURRICULUM VITAE Adresses professionnelles : Institut d Administration des Entreprises de l Université de Toulon Campus de La Garde - Bâtiment Z - Av. de l Université - BP 20132 83957 La Garde Cedex Tél
Plus en détailPRÉSENTATION GÉNÉRALE
PRÉSENTATION GÉNÉRALE Cadrage institutionnel : Arrêté du 27 août 2013 fixant le cadre national des formations dispensées au sein des masters «métiers de l enseignement, de l éducation et de la formation»
Plus en détailDocteur Nathalie Estellat
Mail : nathalie.estellat @esc-pau.fr Téléphone : / 06.85.57.25.63 Professeur de Management et GRH Responsable Majeure HR & People management Département Management Groupe ESC-Pau Professeur Associé ENAP
Plus en détailStratégies gagnantes pour la fabrication industrielle : le cloud computing vu par les dirigeants Dossier à l attention des dirigeants
Stratégies gagnantes pour la fabrication industrielle : Dossier à l attention des dirigeants Centres d évaluation de la technologie inc. Stratégies gagnantes pour l industrie : Synthèse Jusqu ici, les
Plus en détailJosée St-Pierre, Ph. D. Directrice Laboratoire de recherche sur la performance des entreprises
LES PME manufacturières sont-elles prêtes pour l ERP? Éditorial InfoPME est publié par le Laboratoire de recherche sur la performance des entreprises (LaRePE) Institut de recherche sur les PME Université
Plus en détailJour 1. Origines et évolution du marketing
Jour 1 Origines et évolution du marketing Origines et évolution du marketing Jour 1 Cette journée est consacrée à la présentation de la discipline au travers de trois sous-thèmes : l histoire du marketing,
Plus en détailLes projets d investissement en PME
Le point sur Les projets d investissement en PME Concilier performance économique et conditions de travail L investissement reste un moment clé du développement d une entreprise. C est l occasion de repenser
Plus en détailcoaching et formation en entreprise passons au niveau supérieur
coaching et formation en entreprise passons au niveau supérieur Au-delà de l approche économique et technique des problèmes, la performance durable passe aussi par un travail sur les comportements des
Plus en détailOptimiser la maintenance des applications informatiques nouvelles technologies. Les 11 facteurs clés de succès qui génèrent des économies
Application Services France the way we do it Optimiser la maintenance des applications informatiques nouvelles technologies Les 11 facteurs clés de succès qui génèrent des économies Chaque direction informatique
Plus en détailLYCEE GRANDMONT Avenue de Sévigné 37000 TOURS Tel : 02.47.48.78.78 Fax : 02.47.48.78.79 Site : www.grandmont.fr
LYCEE GRANDMONT Avenue de Sévigné 37000 TOURS Tel : 02.47.48.78.78 Fax : 02.47.48.78.79 Site : www.grandmont.fr Dans un parc de 17 ha 2160 élèves 560 internes 9 sections post-bac 21 classes de terminale
Plus en détailRESUME DESCRIPTIF DE LA CERTIFICATION (FICHE OPERATIONNELLE METIERS)
RESUME DESCRIPTIF DE LA CERTIFICATION (FICHE OPERATIONNELLE METIERS) Intitulé (cadre 1) Master Droit Economie Gestion, mention Management des Systèmes d Information, spécialité Management et Technologies
Plus en détailUne discipline scolaire
Les éléments constitutifs d une discipline scolaire Selon Michel Develay, De l apprentissage à l enseignement, Paris ESF éditeur, 1992, 2004 6, p. 32, «une discipline scolaire peut être définie par objets
Plus en détailApplication dans la formation des professionnels de l expertise comptable au Québec. Janie Bérubé, Annie Brisson et Patricia Michaud
Une démarche d'accompagnement pour une autoévaluation réflexive Application dans la formation des professionnels de l expertise comptable au Québec Janie Bérubé, Annie Brisson et Patricia Michaud Université
Plus en détailCatalogue de formations
Catalogue de formations 2011 Cher membre, cher sympathisant, Comme vous le savez peut-être déjà, les équipes d Ingénieurs Sans Frontières vous offrent la possibilité de vous investir à travers une grande
Plus en détailLE PROGRAMME D APPRENTISSAGE ET DE LEADERSHIP DU PERSONNEL ENSEIGNANT Résumé : Rapport de recherche 2013-2014
LE PROGRAMME D APPRENTISSAGE ET DE LEADERSHIP DU PERSONNEL ENSEIGNANT Résumé : Rapport de recherche 2013-2014 Carol Campbell, Ann Lieberman et Anna Yashkina avec Nathalie Carrier, Sofya Malik et Jacqueline
Plus en détailIntervention et pratique éducative reflet et/ou révélateur des tensions entre instructions, socialisation et qualification
Reconnaissance de la professionnalité de stagiaires en enseignement au secondaire et rôles des superviseurs Intervention et pratique éducative reflet et/ou révélateur des tensions entre instructions, socialisation
Plus en détailCohésion et coaching d équipe
Cohésion et coaching d équipe Institut du Selfcoaching Tél. : 09 75 61 33 17 Mob. 06 10 18 63 93 info@selfcoaching.fr www.selfcoaching.fr 1 Notre Vision du Coaching LE COACHING est un accompagnement sur
Plus en détailManagement des organisations et stratégies Dossier n 10 Veille et intelligence économique
Management des organisations et stratégies Dossier n 10 Veille et intelligence économique.i. Les enjeux et domaines de la veille.ii. La mise en place d un processus de veille.iii. Illustration d une démarche
Plus en détailRÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE
, chemin de la côte Saint-Antoine Westmount, Québec, HY H7 Téléphone () 96-70 RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE À TRANSMETTRE AU PARENTS Année scolaire 0-0 Document adapté par Tammy
Plus en détailPosition de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets
Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets Les services publics locaux de l environnement : des services discrets mais moteurs de développement Depuis leur mise en
Plus en détailNous avons besoin de passeurs
1 Nous avons besoin de passeurs «Lier pratiques culturelles et artistiques, formation tout au long de la vie et citoyenneté» François Vercoutère Du point de vue où je parle, militant d éducation populaire
Plus en détailCatalogue de formations Management:
Catalogue de formations Management: Tuteur formateur...page 2 Tuteur Hiérarchique...page 3/4 Réussir sa réunion management...page 5 Animer et diriger son équipe...page 6/7 Les leviers de la motivation...page
Plus en détail10 ème Forum IES 2010 Enjeux et Perspectives de l Intelligence Economique Au carrefour des Pratiques REIMS 6-8 octobre 2010
10 ème Forum IES 2010 Enjeux et Perspectives de l Intelligence Economique Au carrefour des Pratiques REIMS 6-8 octobre 2010 Mission Chanvre pour le Cluster Beaujolais Numéro de la communication : IES-2010-28
Plus en détailNormes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes. En vigueur à compter du 1 er janvier 2014
Normes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes En vigueur à compter du 1 er janvier 2014 Normes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes En vigueur à compter du 1 er
Plus en détailCONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI
CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI Comprendre ses propres stratégies d échec et de réussite Mettre à jour ses freins, ses propres croyances Développer son potentiel et repousser ses
Plus en détailUN PROGRAMME INNOVANT AU CŒUR DES ENJEUX COMPÉTITIFS DE L ENTREPRISE MODERNE
UN PROGRAMME INNOVANT AU CŒUR DES ENJEUX COMPÉTITIFS DE L ENTREPRISE MODERNE SE DOTER D UNE VISION SYSTÉMIQUE DU MANAGEMENT STRATÉGIQUE BASÉ SUR LA THÉORIE DES CONTRAINTES (TOC), LE «LEAN MANUFACTURING»
Plus en détail8 formations. carrément commerciales. Catalogue 2015
8 formations carrément commerciales Catalogue 2015 8 formations pour : vendre plus et mieux Vendre ses prestations intellectuelles page 4 La relation client dans la gestion de projet page 5 Apprendre à
Plus en détailLe Management selon Deming
Le Management selon Deming Une démarche complète de management, basée sur les fondamentaux de la Qualité L Association Française Edwards Deming Votre attente Comprendre mieux ce qui est derrière le nom
Plus en détail«Management et Direction de Projets»
Centrale Paris & Cegos Vos partenaires pour un nouvel élan dans votre carrière MASTERE SPECIALISE «Management et Direction de Projets» Bienvenue! René PALACIN Responsable pédagogique MS Management et Direction
Plus en détailENSEIGNEMENTS ET SÉMINAIRES
CHAIRE ESSEC-AVENTIS ÉTHIQUE & BIOTECHNOLOGIES Dans un marché comme celui du médicament où les clients sont d abord des patients, les biotechnologies sont appelées à répondre à un double défi, à la fois
Plus en détailmajuscu lettres accent voyelles paragraphe L orthographe verbe >>>, mémoire préfixe et son enseignement singulier usage écrire temps copier mot
majuscu conjugaison >>>, L orthographe singulier syllabe virgule mémoire lettres et son enseignement graphie suffixe usage accent ; écrire féminin temps voyelles mot point Renforcer l enseignement de l
Plus en détailLa construction du temps et de. Construction du temps et de l'espace au cycle 2, F. Pollard, CPC Bièvre-Valloire
La construction du temps et de l espace au cycle 2 Rappel de la conférence de Pierre Hess -Démarche de recherche: importance de se poser des questions, de chercher, -Envisager la démarche mentale qui permet
Plus en détailEn savoir plus? www.securite-routiere.gouv.fr www.permisdeconduire.gouv.fr
En savoir plus? www.securite-routiere.gouv.fr www.permisdeconduire.gouv.fr Délégation à la sécurité et à la circulation routières Place des Degrés Tour Pascal B 92055 LA Défense Cedex Délégation à la sécurité
Plus en détailLe prescrit d un dispositif de stage Les contradictions du dispositif Deux études de cas
Le stage dans une formation française d ingénieurs : un objet au cœur de contradictions Congrès ACFAS, colloque 526 : Regard multidisciplinaire sur la formation d un professionnel en milieu de pratique
Plus en détailRÉFLÉCHIR AUX ENJEUX DU CRÉDIT
Activités éducatives pour les élèves de 10 à 11 ans RÉFLÉCHIR AUX ENJEUX DU CRÉDIT NIVEAU : PRIMAIRE GROUPE D ÂGE : ÉLÈVES DE 10 À 11 ANS SOMMAIRE DE L ACTIVITÉ Après avoir étudié les types de paiement,
Plus en détailDes consultants forment des consultants Comment créer ma boite de consultant
Des consultants forment des consultants Comment créer ma boite de consultant Ce document a comme objectif de présenter le contenu d'un cycle d ateliers de formations à la création d entreprise, spécifique
Plus en détailPROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET
PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES
Plus en détailUn écrivain dans la classe : pour quoi faire?
Un écrivain dans la classe : pour quoi faire? Entretien avec Philippe Meirieu réalisé pour l ARALD - Quel est votre sentiment sur la présence des écrivains dans les classes? Il me semble que ce n est pas
Plus en détailDans quelle situation se trouve l enseignant dans sa classe, sachant que nous restons là, à un degré de généralités?
L autonomie de l enseignant dans sa classe : quelles compétences? INTRODUCTION L autonomie, finalité qui avec la socialisation, la responsabilité, sont revenues sur le devant de la scène dans les discours
Plus en détailProgramme Bourses Diversité et Réussite
Donner à chacun les meilleures chances de réussir Programme Bourses Diversité et Réussite La Fondation INSA de Lyon Ensemble développons notre vocation L INSA de Lyon tire sa force de l intégration de
Plus en détailNOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2
NOM : Prénom : Date de naissance : Ecole : CM2 Palier 2 Résultats aux évaluations nationales CM2 Annexe 1 Résultats de l élève Compétence validée Lire / Ecrire / Vocabulaire / Grammaire / Orthographe /
Plus en détailCONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A
CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A ONUSIDA/CCP (36)/15.12 Date de publication : 24 juin 2015 TRENTE-SIXIÈME RÉUNION Date : 30 juin - 2 juillet 2015 Lieu : Salle du conseil exécutif,
Plus en détailUE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2. Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré
UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2 Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré ESPE Lille Nord de France Année 2014-2015 Cette note de cadrage a pour but d aider les collègues
Plus en détailFormation des formateurs en entreprise
en entreprise Le (CQFA) du Cégep de Chicoutimi et le Service de formation continue de l'université du Québec à Chicoutimi (UQAC) unissent leurs efforts et leur expertise respective pour offrir aux organisations
Plus en détailLeçon 11. les tâches de gestion du magasin
CANEGE Leçon 11 les tâches de gestion du magasin Objectif : A l'issue de la leçon l'étudiant doit être capable : d'appréhender la différence entre gestion dynamique des stocks et gestion des magasins d
Plus en détailChronique Assurances et gestion des risques. sous la responsabilité de Gilles Bernier 1
Chronique Assurances et gestion des risques sous la responsabilité de Gilles Bernier 1 Puisque ce numéro de la Revue, tout comme celui de janvier 2004, est consacré à l assurance automobile, j ai choisi
Plus en détailELABORER UN PROJET D ACCOMPAGNEMENT EDUCATIF
ELABORER UN PROJET D ACCOMPAGNEMENT EDUCATIF 1 ELABORER UN PROJET D ACCOMPAGNEMENT EDUCATIF I. Elaborer le projet SOMMAIRE - L accompagnement éducatif - principes généraux - les volets du projet - Identifier
Plus en détailGestionnaires. Parcoursd apprentissage
Gestionnaires Parcoursd apprentissage V2 VOTRE PARTENAIRE EN APPRENTISSAGE L École de la fonction publique du Canada offre des produits d apprentissage et de formation qui contribuent au renouvellement
Plus en détailPrésentation de la note Perspectives & Propositions Fin de vie, penser les enjeux, soigner les personnes
Présentation de la note Perspectives & Propositions Fin de vie, penser les enjeux, soigner les personnes par Dominique Folscheid et Brice de Malherbe, co-directeurs du département d Ethique biomédicale,
Plus en détailL AFMD et l ISTR brisent le tabou de la religion en entreprises
Communiqué de presse L AFMD et l ISTR brisent le tabou de la religion en entreprises Objectif : Aider les managers à gérer la diversité religieuse au quotidien Alors que la question de l expression religieuse
Plus en détailIntroduction à la méthodologie de la recherche
MASTER DE RECHERCHE Relations Économiques Internationales 2006-2007 Introduction à la méthodologie de la recherche geraldine.kutas@sciences-po.org Les Etapes de la Recherche Les étapes de la démarche Etape
Plus en détailLa pratique des décisions dans les affaires
Association Française Edwards Deming Une philosophie de l action pour le XXIème siècle Conférence annuelle, Paris, 8 juin 1999 Jean-Marie Gogue, Président de l AFED La pratique des décisions dans les affaires
Plus en détailPlates-formes de téléformation et modèles pédagogiques
POYET Françoise, (7095) Introduction Plates-formes de téléformation et modèles pédagogiques Depuis quelques années, on assiste à une stabilisation informatique des Technologies de l Information et de la
Plus en détailCoaching et Team Building
recherché par les entreprises Ils représentent deux leviers ENTREPRISE Coaching et Team Building des outils de management au service de la personne, des entreprises et des organisations Serge LANTEAUME
Plus en détailMASTER MAE MANAGEMENT
MASTER MAE MANAGEMENT Parcours INGÉNIERIE DE PROJET N habilitation de la formation au RNCP : 20070790 Présentation de la formation Année 2012 Public Cible N d agrément formation Diplômés de niveau Bac
Plus en détailComment repenser l articulation entre présence et distance dans les dispositifs hybrides?
Comment repenser l articulation entre présence et distance dans les dispositifs hybrides? Séminaire IDEFI 6 JUIN 2014 Patricia JULLIA & Catherine DE LAVERGNE Département Infocom ITIC, LERASS-CERIC, Questionnements
Plus en détailLE BAROMÈTRE DES FEMMES MANAGERS
LE BAROMÈTRE DES FEMMES MANAGERS Introduction Objectifs de l étude Les Essenti Elles, le réseau des femmes managers de BPCE S.A., a souhaité lancer un nouveau Baromètre concernant les Femmes Managers en
Plus en détailSOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE. alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT
SOCLE COMMUN: LA CULTURE SCIENTIFIQUE ET TECHNOLOGIQUE alain salvadori IA IPR Sciences de la vie et de la Terre 2009-2010 ALAIN SALVADORI IA-IPR SVT SOCLE COMMUN ET PROGRAMMES La référence pour la rédaction
Plus en détailConduire les entretiens annuels d évaluation
Ce guide s adresse aux dirigeants et aux responsables en charge de la fonction ressources humaines qui envisagent de mettre en place des entretiens annuels. Il constitue un préalable à l instauration d
Plus en détail