Rapport d activités 2012

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1 Rapport d activités 2012

2 Sommaire Le billet du directeur Job Service aujourd hui : le contexte et le sens de son action 3 Les activités, prestations, programmes et projets en 2012, c est en quelques chiffres, c est 8 Focale sur 11 - L insertion professionnelle et l économie privée 11 - La pédagogie du Village d artisans : un lieu, une double application 14 - Insertion sociale et développement local : une démarche participative à partir des jardins 16 Des professionnel-le-s à votre service! 18 Le Comité directeur de la Fondation 21 2

3 Le billet du directeur Job Service aujourd hui : le contexte et le sens de son action 25 ans aujourd hui. Pour comprendre l existence de Job Service, au-delà de moments plus difficiles, il faut en comprendre le sens. Si ce service est toujours sollicité par son public et son réseau socio-économique, c est parce qu il a su rester fidèle au sens de son engagement en faveur des jeunes de ce canton. En effet, il y 25 ans, Job Service a vu le jour avec le soutien affirmé des autorités qui ont été des précurseurs. Effectivement, la création d un service spécifique s adressant aux jeunes pour faciliter leur insertion professionnelle dans un moment de transition entre l adolescence et le monde des «adultes» était une première en Suisse. C est dans cet esprit que le choix avait été fait, dès le début, d ouvrir ce service à tous les jeunes sans distinction. De même, il était également de notre volonté de travailler avec l économie afin de disposer de solutions en termes de travail, d expériences, de stages, d évaluation et d autres services offerts par les entreprises. Ainsi, Job Service s est constitué autour de son service de placement gratuit. L ensemble des outils, projets et programmes développés par la suite et jusqu à aujourd hui, l ont été dans une perspective de retour vers l emploi et/ou la formation. Ces dernières années, le climat social s est considérablement modifié et les stratégies politiques, inscrites dans une perspective de réformes et de redressement des finances, 3

4 ont eu pour conséquence de compartimenter non seulement l aide sociale avec toutes ses composantes mais aussi les mesures du marché de l emploi. Les résultats sont clairs : le canton de Neuchâtel connaît le plus fort taux de chômage en Suisse, dont un grand pourcentage concerne des jeunes. Au niveau de l aide sociale, les coûts n arrêtent pas d exploser et les moyens nécessaires pour apporter des réponses adaptées se font attendre. Plus étonnant encore, le canton de Neuchâtel, pionnier dans les années 1990 dans le cadre des programmes pilotes développés par le Secrétariat d Etat à l Economie (SECO) par rapport aux mesures du marché du travail, s est vu reléguer à l avant-dernier rang concernant l efficacité de ces mesures de retour à l emploi. Ces différents éléments révèlent malheureusement une réalité qui a modifié les rapports entre partenaires. En effet, et de manière générale, il semble que nous soyons passés d un système de confiance à un système de contrôle visant à recenser, cataloguer, compartimenter, analyser les publics concernés, sans forcément se préoccuper des moyens utiles à mettre en place et de leur efficacité, ou plutôt de leur pertinence. Pour la fondation Job Service, cela s est traduit, dans ses relations avec l Etat de Neuchâtel, par le passage d un financement global à un financement par mandats. Si cette situation complexifie le travail administratif et les aspects de gestion, cela n a pas modifié les attentes et les besoins des jeunes. Ce que Job Service, et d autres partenaires, continuent de défendre envers et contre tout, c est bien l adaptation de ses prestations et de ses outils à chaque situation 4

5 rencontrée et non pas de tenter d adapter les personnes aux structures ou d exiger ce qui est bien pour eux. L adaptation des structures aux réalités du terrain (et non l inverse) implique un travail réflexif permanent, la mise en place d un système d échange et de supervision et surtout une réelle capacité de remise en question. Il faut également pouvoir accepter le doute et les changements permanents que cette approche requiert, qui plus est avec un public jeune. Par ailleurs, l expérience nous montre qu il n a jamais été possible, mis à part dans des situations extrêmes (emprisonnement, placements pénaux et autres mesures disciplinaires), d exiger d une personne, à fortiori d un jeune adolescent ou d un jeune adulte (par définition en recherche et en révolte), qu il aille, sans comprendre pourquoi, où on lui demande d aller car c est pour son bien! C est pourquoi l équipe de Job Service poursuivra son action dans cette perspective. De beaux projets, pensés et conçus dans un esprit de collaboration, d ouverture et de souplesse, sont en cours de réalisation avec différents partenaires, notamment les villes du canton. Dans cet esprit, je remercie l ensemble de l équipe pour son engagement et son soutien. Michel Roulin, Directeur 5

6 Les activités, prestations, programmes et projets en 2012, c est des prestations pour les jeunes Un service de placement auprès des entreprises Des consultations et conseils spécialisés Du soutien scolaire bénévole Des interventions collectives : cours sur les techniques de recherche d emploi (TRE), Job A Venir, portfolio-bilan de compétences des programmes qui ont fait leurs preuves Le Village d artisans de Neuchâtel avec 10 micro-entreprises Le programme stagiaires en transition avec Coop, Migros et Manor Fruct osez, une entreprise sociale de livraison de fruits qui offre un poste salarié pour des jeunes en insertion 6

7 des mandats avec les collectivités publiques Les villes de Neuchâtel, Chaux-de-Fonds et Le Locle L office cantonal de l aide sociale L office cantonal de l assurance-invalidité Le service des migrations et le service de la cohésion multiculturelle des projets innovants Les jardins coopératifs en ville du Locle Le Village des artisans horlogers, Paix 152 à La Chaux-de-Fonds, avec 4 micro-entreprises Des prestations de qualité, diversifiées, certifiées eduqua, offertes de manière individuelle et/ou collective 7

8 2012 en quelques chiffres, c est 2 bureaux qui accueillent des jeunes de tout le canton, à Neuchâtel et La Chaux-de- Fonds 334 nouvelles inscriptions de jeunes à la recherche d une insertion professionnelle adaptée à leur situation plus de interventions, consultations et suivis de dossiers en cours plus de 600 visites de jeunes en dehors des rendez-vous fixés 230 offres d emploi traitées et 192 placements 12 jeunes qui ont bénéficié d un module d insertion professionnelle en entreprise (formation-emploi durant dix mois) avant de bénéficier d une place de formation ou d un contrat de travail à durée indéterminée 53 jeunes en stage aux Villages d artisans de Neuchâtel et du Haut pour une durée moyenne de trois mois 8

9 des cours collectifs sur les Techniques de recherche d emploi et les Portfoliobilans de compétences organisés pour 20 jeunes qui ont suivi ces modules sur plusieurs semaines un réseau de plus de 300 entreprises qui offrent des emplois, des places de formation, des stages, des possibilités d évaluation des compétences en entreprise l entreprise Fruct osez qui offre une place de travail à des jeunes en insertion au travers d'un service de livraison de paniers de fruits une Association qui, en parallèle aux travaux et aux structures de la Fondation, a pour objectif de soutenir et de développer des projets en lien avec l équipe des professionnels de Job Service. Elle peut compter sur 100 membres dont la plupart sont des entreprises toutes celles et ceux qui participent à l effort d insertion développé par Job Service depuis 25 ans en offrant de leur temps, de leurs savoirs et de leurs compétences «gratuitement». Nous pensons aux artisans-entrepreneurs des Villages d artisans et aux deux groupes de bénévoles qui interviennent pour des soutiens scolaires et des accompagnements de jeunes en entreprise 9

10 Focale sur L insertion professionnelle et l économie privée ou comment l économie participe activement à l insertion professionnelle des jeunes La vocation de Job Service a toujours été de favoriser l insertion par l économie car nous ne pouvons pas parler d insertion sans le concours des entreprises. Notre partenariat avec les entreprises reste, encore aujourd hui et plus que jamais, notre fondement. Cette participation active de l économie privée dans notre travail se traduit, de façon constante, par la recherche, la création et la mise en place de collaborations aussi riches que diverses dont l objectif premier est d intégrer les jeunes. L ensemble des actions développées en partenariat avec les entreprises depuis 25 ans permet un véritable échange et une complémentarité des compétences entre des spécialistes de l insertion et les entreprises. C est cette négociation des compétences et la constitution d une confiance commune qui assurent une intégration positive de jeunes qui éprouvent des difficultés à l entrée dans le monde du travail. Dans ce rapport d activités 2012, nous souhaitons mettre en évidence la spécificité et l originalité de chaque type de collaboration : 10

11 1) Le service de placement La spécificité de ce service est de mettre gratuitement en lien jeunes en recherche d emploi et entreprises. Cela permet d offrir aux jeunes de larges possibilités d'emplois et aux entreprises la possibilité de trouver rapidement du personnel. Ce service auprès de notre réseau de partenaires économiques permet en retour de négocier avec eux des possibilités de stages au travers desquelles les jeunes en recherche d apprentissage et/ou d emploi peuvent expérimenter le monde du travail réel avec la garantie d un accompagnement, d une évaluation et d un encadrement adapté. Cette collaboration est susceptible de fonctionner si le service de placement offert est rapide et professionnel. C est par l établissement d une réciprocité que cette collaboration fonctionne. -> service de placement 2) Les Villages d artisans Les différentes micro-entreprises qui composent ces Villages offrent en permanence des places d insertion permettant aux jeunes de pouvoir tester et d évaluer leurs compétences techniques, sociales et relationnelles dans un environnement adapté et un encadrement assuré par Job Service. Ces entreprises particulières jouent ce rôle d encadrement de jeunes dans un environnement pédagogique dans lequel Job Service intervient au quotidien. Plutôt que de créer une structure d insertion ad hoc, les Villages d artisans s appuient sur les entreprises pour mettre en place un projet pédagogique d accompagnement à travers les outils développés au cours du temps par Job Service. 11

12 3) Fruct osez L entreprise Fruct osez dont l activité est, pour rappel, la livraison de fruits, est née en 2010 de l initiative conjointe de 3 entreprises membres de notre Association et de Job Service. C est une création conjointe entre économie privée et Job Service d une entreprise sociale totalement autonome financièrement. C est grâce à une quarantaine d entreprises privées et publiques qui contractent un abonnement, dans un souci d investir en faveur de l insertion professionnelle, que Fruct osez permet, chaque année, d offrir à un jeune un emploi à durée déterminée comme tremplin vers une insertion professionnelle durable. La spécificité de cette collaboration est de permettre la création d un poste de travail et d une activité dans laquelle des entrepreneurs investissent un capital de départ et des compétences. 4) Stagiaires en transition Le programme «stagiaires en transition» mené conjointement avec les entreprises Coop, Migros et Manor, sur le canton de Neuchâtel, permet à des jeunes en difficulté d insertion de se voir offrir, chaque année, un stage de dix mois dans un magasin en vue d envisager un réel projet de formation dans le domaine de la vente. 12

13 Le mandat de Job Service est de participer à la gestion des Ressources Humaines, en collaboration avec les directions RH de ces trois enseignes, depuis la sélection des stagiaires, la mise en place des outils d accompagnement nécessaires, l évaluation, jusqu à l engagement des apprentis. La collaboration dans l aide à la gestion des ressources humaines pour un public en difficultés va jusqu à la dispense de cours aux gérant-e-s sur l encadrement spécifique de ces jeunes. 13

14 Focale sur La pédagogie du Village d artisans : un lieu, une double application Le Village d artisans est à la fois un lieu d expérimentation pour les jeunes et un espace d évaluation par les professionnels. C est aussi un lieu de transition avant l entrée dans le monde professionnel. Par ce biais, les jeunes ont un accès privilégié au monde du travail et peuvent ainsi apprendre ou développer des compétences professionnelles. Le Village d artisans permet également l évaluation et le suivi des jeunes durant leur stage, ce qui leur donne une idée de leur évolution et de leurs acquis. Ce principe d évaluation permet d avoir une vision plus précise des connaissances des jeunes, de les confronter aux exigences d un métier et plus globalement, de celles du monde du travail. Pour se faire, une grille d auto-évaluation est transmise tant au stagiaire qu à l employeur afin de déterminer les compétences acquises durant la période de stage et de comparer l appréciation du jeune dans son environnement de travail avec celle du responsable. Ainsi, trois types de compétences sont définis : les compétences sociales et relationnelles, les compétences organisationnelles et les compétences techniques. Des objectifs sont également fixés entre le jeune et l artisan afin de mieux percevoir l évolution. Cela donne la possibilité aux jeunes de percevoir leurs qualités, ce qu ils ont à améliorer, leur progression et surtout de donner du sens à leurs stages. Pour se positionner dans le monde 14

15 du travail, les jeunes ont besoin d appréciations régulières de la part des adultes qui les entourent ; ils cherchent en permanence à interpréter les signes de reconnaissance ou de non-reconnaissance de leur travail. L évaluation tripartite est l un des outils essentiels de ce travail personnel d appropriation des exigences (et des contraintes) du monde du travail par les jeunes. Cette pédagogie a été développée et étendue depuis plusieurs années par Job Service dans tous les autres projets dans lesquels l expérimentation du monde du travail est privilégiée. 15

16 Focale sur L insertion sociale et le développement local : une démarche participative à partir des jardins Les jardins coopératifs en ville du Locle, portés par la ville du Locle et gérés et développés par Job Service, est un exemple de projet de développement local qui remet en question le rapport souvent entretenu entre professionnels du social et celles et ceux que l on appelle les «bénéficiaires». En partant d une démarche volontaire comme celle du domaine associatif, le projet des jardins coopératifs est formé aujourd hui d un collectif de 12 personnes initialement à l aide sociale qui ont choisi de s engager dans une démarche innovante : celle de cultiver, d auto-produire, de faire quelque chose pour soi, dans le cadre d un collectif coordonné en l occurrence par Job Service. Un animateur est présent une fois par semaine pour l échange de plantons, d outils, de méthodes, de projets. Les «bénéficiaires» n y prennent pas la place qui leur est assignée dans un programme, ils s intègrent volontairement dans un collectif en amenant leurs connaissances, leurs compétences et leur réseau afin de mener à bien des projets décidés en commun. Ce cercle de relations sociales s est considérablement élargi, au fil du temps, aux écoles enfantines proches qui ont une parcelle réservée et entretenue par le collectif, aux autres jardiniers et locataires des immeubles avoisinants, au personnel technique et administratif de la ville du Locle, aux élus, aux personnes de Suisse romande qui visitent le site en en 16

17 ayant entendu parler, etc. Le fait d avoir des légumes à soi, résultat de son propre travail, restaure également souvent les relations d échanges avec la famille, avec des voisins, avec des amis perdus. Cette démarche participative permet aux personnes qui s engagent de réussir des projets et, pour certain-e-s, de restaurer leurs capacités d agir sur leur environnement personnel également. Cela encourage à «réentreprendre» des choses pour soi, même si on est très éloigné du monde du travail. Cela permet enfin de mieux maîtriser son image sociale, ce que l on représente aux yeux des autres, et de défendre une situation de vulnérabilité qui ne relève pas uniquement de la responsabilité personnelle. Cette démarche participative est parfois plus difficile à accepter pour les professionnels parce qu elle suppose de laisser une part de pouvoir aux personnes que l on accompagne, de leur laisser participer à la définition des projets, de ce qui est mis en place. Démarche qui permet également à Job Service de se questionner sur sa démarche d accompagnement dans toutes les autres activités mises en place par la fondation. 17

18 Des professionnel-le-s à votre service! Conseil, suivi et placement des jeunes, gestion et développement de projets : Michel Roulin, conseiller socio-professionnel et directeur. Il est au bénéfice d une formation dans le domaine technique et possède plus de vingt ans d expérience dans les domaines de l éducation, de l enseignement, de l animation et de l insertion professionnelle. Il est diplômé des Hautes Etudes des Pratiques Sociales (DHEPS) de l Université de Strasbourg en collaboration avec la HES La Source, Lausanne. Fabrice Plomb, conseiller socio-professionnel et responsable du bureau de La Chaux-de- Fonds. Au bénéfice d un doctorat en sociologie, il enseigne également la sociologie à l Université de Fribourg. Carine Tacchella, conseillère socio-professionnelle. Diplômée en lettres et sciences sociales, elle a ensuite travaillé dans une agence privée de placement dont elle était responsable. Parallèlement, elle exerce une seconde activité professionnelle dans le domaine de l insertion socio-professionnelle des personnes issues de l asile. Catherine Delhotal, conseillère socio-professionnelle et responsable du marketing entreprises. Au bénéfice d une formation commerciale et après plusieurs années d expérience dans le domaine administratif, elle a travaillé dans une agence privée de placement comme conseillère puis responsable. 18

19 Sabrina Cruz, conseillère socio-professionnelle. Au bénéfice d'une formation en psychologie clinique, elle a pu exercer à différents niveaux avec des enfants et des adolescents. Tamara Faedo, étudiante en master en psychologie du travail et des organisations. Depuis novembre 2012, elle effectue un stage, dans le domaine du conseil socio-professionnel, chez Job Service à Neuchâtel. Interventions collectives et travail pédagogique : Patricia Giménez, conseillère socio-professionnelle. Elle collabore à la réalisation des projets de travail collectif. Psychologue de formation clinique, elle a fait un DESS en conseil, orientation et management de compétences. Elle s'est spécialisée en accompagnement de groupes en démarche bilan-portfolio de compétences pour des jeunes/adolescents et des adultes. Dominique Wohlhauser, conseillère socio-professionnelle, responsable pédagogique et chargée de projets. Psychologue FSP, travail et orientation scolaire et professionnelle. Spécialiste dans l accompagnement de groupes en démarche bilan-portfolio de compétences pour des jeunes, des adolescents et des adultes. Elle exerce également une activité parallèle d indépendante dans le secteur de la gestion des fins de carrière. Elle enseigne à la HES / Lausanne (psychologie du travail, insertion professionnelle des jeunes). 19

20 Administration et secrétariat : Martine Stauffer, employée de commerce, collaboratrice administrative. Elle travaille au bureau de Neuchâtel. Danièle Cramatte, employée de commerce, collaboratrice administrative. Elle travaille au bureau de La Chaux-de-Fonds. Victor Viera Dias, apprenti employé de commerce en troisième année. Emine Yasar, apprentie employée de commerce de première année. 20

21 Le Comité directeur de la Fondation Jean-Claude Knutti, président Pierre-François Brunner, trésorier Pierre Borer, membre, vice-président, directeur du CSP Nathalie Schallenberger, membre, Conseillère communale de la Ville de La Chauxde-Fonds Christine Gaillard, membre, Conseillère communale de la Ville de Neuchâtel Grégory Quirino, membre, spécialiste en ressources humaines, Département fédéral des affaires étrangères, Berne Denis de la Reussille, membre, Conseiller communal et président de la Ville du Locle Daniel Perdrizat, membre à titre individuel Le Conseil de Fondation est pour sa part constitué de 13 membres actifs dans le domaine de l insertion/la réinsertion en Suisse et en Europe. Aspects financiers En 2012, Job Service a pu compter sur : le soutien du Canton de Neuchâtel par des mandats de prestations qui nous ont été confiés par l intermédiaire de différents services ; des trois villes du canton par leur soutien et le développement de différents projets locaux ; et sur l appui des entreprises et de donateurs. Nous les en remercions. 21

22 Contactez-nous! Job Service Quai Philippe-Godet Neuchâtel Tél. : Fax : info2000@job-service.ch Job Service Rue de la Paix 152 Case postale La Chaux-de-Fonds Tél. : Fax : info2300@job-service.ch 22