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- Sabine Roussy
- il y a 8 ans
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1 1. la nitroglycérine A. est à l'origine de la production industrielle de dynamite B. est couramment utilisée dans le traitement de l'angine de po itrine C. est à l'origine du développement des dérivés nitrés D. possède des propriétés antiulcéreuses E. libère du monoxyde d'azote (NO } F. toutes les propositions précédentes so nt inexactes 2. La pénicilline A. est le médicament le plus vendu en officine B. a été découverte par hasard en 1948 C. est une copie thérapeutique D. est un antibactérien E. est produite par un champignon microscopique F. t outes les propositions précédentes sont inexactes 3. la modélisation moléculaire A. nécessite la connaissance de la cible B. permet d'adapter la géométrie tridimensionnelle d'une molécule à sa cible C. permet une augmentation de la sélectivité dans une série chimique donnée D. permet d'optimiser la structure des principes actifs E. utilise la conception assistée par ordinateur 4. Le sildénafil A. est utilisé dans le traitement de l' hypertension artérielle pulmonaire B. est un immunostimulant C. est un produit d'extraction végétale D. est un antagoniste de récepteur E. est un inhibiteur de la phosphodiestérase de type 5
2 S. Les anticorps monoclonaux A. sont utilisés depuis la deuxième guerre mondiale B. sont dirigés contre des récepteurs intracellulaires C. sont des médicaments issus des biotechnologies D. sont produits par des cultures d'hybridomes E. peuvent être utilisés dans le traitement de certaines maladies pulmonaires 6. Le développement préclinique A. consiste à faire des tests d'efficacité B. consiste à faire des tests de sécurité C. consiste à déterminer le mécanisme d' action d'un nouveau composé D. consiste à déterminer le devenir d'une molécule dans l'organisme E. n'est plus obligatoire depuis La NOAEL A. est la dose minimale non létale B. est la dose la moins forte pour laquelle aucun effet toxique n'est observé C. est déterminée sur au moins 2 espèces de mammifères dont une espèce non-rongeur D. est calculée lors des études de reprotoxicité E. n'est plus obligatoire depuis Les études de reprotoxicité et de tératogenèse A. doivent être réalisées exclusivement chez des rats males B. doivent être réalisées obligatoirement par voie orale C. doivent être réalisées en escalade de doses D. nécessitent le prélèvement du foie E. sont facultatives pour les médicaments d'extraction végétale 2
3 9. Concernant la définition du médicament A. un médicament antipyrétique est un médicament symptomatique B. un médicament anti-infectieux est un médicament étiologique C. l'albumine est un médicament dérivé du sang D. les produits présentés comme supprimant l'envie de fumer sont des médicaments E. un médicament possède obligatoirement des propriétés curatives 10. Concernant l'histoire du médicament A. la théorie des contraires d'hippocrate est appelée allopathie B. 200 plantes médicinales sont actuellement utilisées par la médecine ch inoise C. Claudius Galenus est considéré comme le père de la pharmacie D. La thériaque contient environ 200 composants végétaux, animaux et minéraux E. Paracelse est le théoricien de la notion de dose-réponse 11. Concernant le marché du médicament A. son chiffre d'affaires mondial en 2010 approche 900 millions de dollars B. son chiffre d'affaires mondial a augmenté d'environ 4 à 5 fois depuis 20 ans C. il est 4 à 5 fois inférieur à celui des dispositifs médicaux stériles D. le marché américain constitue le 1er marché mondial E. le marché français constitue le 2 nd marché mondial 12. Concernant les génériques en France A. leur part de marché en valeur est supérieure à leur part en volume B. leur utilisation permet une économie annuelle d'environ 2 milliards d'euros C. leur utilisation plus systématique permettrait une économie annuelle supplémentaire estimée à 1 milliard d'euros D. leur taux d'utilisation est variable selon les classes thérapeutiques E. ils sont produits en majorité hors de l'union européenne 3
4 13. Concernant le médicament en France A. son chiffre d'affaires est d'environ 50 milliards d'euros B. la part de son chiffre d'affaires réalisée à l'exportation est très majoritaire C. la part de son chiffre d'affaires réalisée à l'hôpital est inférieure à celle de l'officine D. les effectifs des personnels en recherche-développement sont inférieurs à ceux de la production E. l'industrie pharmaceutique emploie environ personnes 14. Concernant les dépenses de santé en France A. elles sont d'enviro n 230 milliards d' euros B. elles correspondent à environ 10% du produit intérieur brut C. celles des soins hospitaliers sont supérieures à celles des soins ambulatoires D. la consommation annuelle moyenne en médicament par habitant est d'environ euros E. les dépenses de soins sont financées à environ 75% par la sécurité sociale 15. Concernant l'absorption par diffusion passive A. son flux de passage est proportionnel à la surface de l'épithélium et à la perméabilité B. la perméabilité est inversement proportionnelle au coefficient de diffusion et au coefficient de partage C. une molécule polaire a une faible perméabilité par diffusion passive D. une molécule de poids moléculaire élevé a une faible perméabilité par diffusion passive E. la perméabilité est influencée par l'ionisation 16. Concernant l'effet de premier passage (EPP) et la biodisponibilité A. I'EPP est plus faible par voie transdermique que par voie orale B. I'EPP diminue la quantité de principe actif disponible C. I'EPP augmente la vitesse de passage du principe actif dans la circulation systémique D. un principe actif qui a une absorption de 70% et un EPP de 50% a une biodisponibilité de 35% E. la biodisponibilité absolue est toujours inférieure ou égale à 100% 4
5 17. Concernant la fir.rrk~l"' 18. A. elle s'eu:_ -= =-- B. elle s'e--::::--=----_ s ine c. D. E. F. B. c. r les principes act drophobie o réversible s précédentes so nt inexactes a "b tion des principes actifs o isée par leur lipophilie e e est li itée par leur fixation sur les protéines plasmatiques e e est favorisée par leur ionisation el e es restreinte dans les tissus et organes peu vascularisés elle est augmentée par la présence de transporteurs d'efflux outes les propositions précédentes sont inexactes nisables 19. Concernant le métabolisme de phase 1 des principes actifs A. il conduit à des métabolites polaires B. il est du à des réactions de conjugaison C. il implique principalement le cytochrome 3A4 D. il augmente la concentration de métabolites en cas d'induction enzymatique E. le cytochrome 3A4 présente un polymorphisme génétique 20. Concernant l'excrétion rénale des principes actifs A. elle est augmentée par la sécrétion tubulaire B. elle est diminuée par la réabsorption tubulaire C. la filtration glomérulaire est influencée par la lipophilie D. la filtration glomérulaire est influencée par la fixation aux protéines plasmatiques E. la filtration glomérulaire est influencée par l'ionisation 5
6 21. La Commission d'évaluation initiale du rapport bénéfice/risque des produits de santé A. est une commission qui dépend de la Haute Autorité de Santé B. évalue la sécurité d'emploi, l'efficacité et la qualité des médicaments C. donne un avis favorable motivé par l'évaluation du rapport bénéfice 1 risque D. prend la décision d'autorisation de mise sur le marché E. évalue l'amélioration du service médical rendu 22. Le service médical rendu évalué par la Commission de Transparence prend en compte A. la gravité de la maladie B. le rapport efficacité j sécurité du médicament C. le rapport bénéfice 1 risque du médicament D. les autres thérapies disponibles E. l'intérêt pour la santé publique 23. Concernant le remboursement d'un médicament en France A. il est décidé par le Collège de la Haute Autorité de Santé B. il est décidé par le Ministre de la Santé C. son taux dépend du niveau de service médical rendu D. un médicament est remboursable s'il apporte un progrès thérapeutique E. un médicament est remboursable s'il induit une économie dans le coût du traitement 24. Le médecin A. est totalement libre de ses prescriptions B. a une liberté de prescription dans les limites fixées par la loi C. fait les prescriptions qu'il estime les plus appropriées D. doit limiter ses prescriptions à ce qui est nécessaire à la qualité, à la sécurité et à l'efficacité des soins E. doit tenir compte des avantages, des inconvénients et des conséquences des différentes investigations et thérapeutiques possibles 6
7 25. l'ordonnance A. est un vecteur d'informations et d' instructions pour un seul malade B. doit être complétée d' une information ora le du ma lade et/ ou de son entourage C. doit avoir un duplicata D. doit comporter l'identification du prescripteur E. doit être datée et signée 26. l'inscription d'un médicament A. sur une liste (1, Il, stupéfiants) rend sa prescription médicale obligatoire et cond itionne les modalités de sa délivrance B. sur la liste 1 oblige à une prescription sur une ordonnance simple, non renouve lable sa uf mention contraire du prescripteur C. sur la liste Il impose une délivrance limitée à 14 jours D. sur la liste des stupéfiants oblige à une prescription sur une ordonnance sécurisée E. sur la liste des stupéfiants fait que sa prescription a une validité d'exécution limitée à 30 jours 27. les Centres Régionaux de Pharmacovigilance (CRPV) sont chargés A. de recue illir les déclarations que leur adressent les professionnels de santé B. de recue illir les informations relatives aux effets indésirables médicamenteux C. de transmettre à l'agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM), sans délai, les informations concernant les effets indésirables médicamenteux graves D. de remplir une mission d'expertise en conduisant les travaux demandés par l' ANSM E. de contribuer au développement des conna issances sur les méthodes de pharmacovigilance et sur la nature et les mécanismes des effets indésirables médicamenteux 28. les principes du bon usage des médicaments sont A. de fixer des objectifs thérapeutiques B. de hiérarchiser les objectifs thérapeutiques C. de discuter les options thérapeutiques et le rapport bénéfice/risque individualisé de chacune D. de mettre en place un suivi thérapeutique E. de remettre régulièrement en question la prescription 7
8 29. Concernant les cibles moléculaires des médicaments A. elles sont pour environ 40% représentées par des récepteurs membranaires B. environ 1200 cibles ont été identifiées et caractérisées à ce jour C. les inhibiteurs d'enzymes représentent 15% des médicaments D. le paracétamol agit sur la même cible moléculaire que l'aspirine E. une cible moléculaire est toujours une protéine 30. Concernant les récepteurs A. ils peuvent dans certains cas permettre le passage d'ions B. il existe des récepteurs spécifiques du monoxyde d'azote (NO) C. la liaison d'un ligand à son récepteur est toujours irréversible D. un médicament peut modifier la fonctionnalité d'un récepteur E. les récepteurs à activité guanylate cyclase permettent d'augmenter le taux d'am Pc 31. Concernant les ligands des récepteurs couplés aux protéines G A. ils représentent 25 %des médicaments B. ils se lient sur la face extracellulaire du récepteur C. la morphine est un médicament de ce type D. lorsque ces ligands sont des antagonistes, ils entrainent un changement discret de conformation du récepteur E. certaines enzymes sont identifiées dans cette catégorie 32. Concernant les systèmes de recapture A. les médicaments qui les inhibent augmentent les effets des ligands naturels B. ils sont particulièrement impliqués dans les systèmes de neurotransmission C. il existe des systèmes de recapture d'enzymes cytosoliques D. la fluoxétine est un inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine E. le salbutamol est un inhibiteur sélectif de la recapture de la noradrénaline 8
9 33. Concernant l'effet des quatre agonistes A, B, Cet D A. A est plus efficace que B B. A est plus puissant que B C. C est plus puissant que D D. A, Cet D présentent la même efficacité E. A, Cet D présentent la même puissance 34. Concernant la notion d'agoniste A. un agoniste entra îne généralement une réponse graduelle qui dépend de sa concentration B. un agoniste est notamment caractérisé par son efficacité sur une cible C. un agoniste peut être utilisé comme méd icament pour pallier un déficit de médiateur D. un agoniste peut être utilisé comme médicament pour s'opposer aux effets d'un ligand naturel E. un agoniste partiel présente le même effet qualitatif que le médiateur naturel 35. Concernant les paramètres fonctionnels d'activité d'un médicament A. ils peuvent être mesurés sur des fragments de membrane cellulaire B. ils nécessitent, si le médicament est un antagoniste, d'être évalués en présence d'un agoniste C. ils sont, dans la majorité des cas, caractérisés par des réponses de type «tout ou rien» D. ils sont exclusivement sous la dépendance de phosphorylations de protéines intra-cellulaires E. ils permettent de connaître la liaison spécifique du médicament à sa cible 36. la loi sur la recherche biomédicale du 9 août 2004 : A. concerne uniquement les essais médicamenteux B. permet de faire réaliser certaines recherches par une personne qualifiée autre qu'un médecin C. précise les conditions de la recherche chez les femmes enceintes D. rend opposables les Bonne Pratiques Cliniques E. a mis en place une base de données européenne des recherches 9
10 37. le promoteur d'une recherche biomédicale menée en France A. prend l'initiative de la recherche B. vérifie que le financement global est prévu C. assure la gestion de la recherche D. doit être établi dans la communauté européenne E. peut être une association de patients 38. la Commission Nationale de l'informatique et des Libertés (CNil) A. est une autorité administrative placée sous la tutelle du ministère de l'intérieur B. contrôle que les données recueillies sont strictement nécessaires à la recherche C. s'assure des mesures de sécurité prises pour l'accès aux données de la recherche D. se prononce sur la sécurité des patients E. doit être systématiquement sollicitée avant de débuter une recherche biomédicale 39. le Comité Consultatif sur le Traitement de l'information en matière de Recherche dans le domaine de la Santé (CCTIRS) A. est placé sous la tutelle du ministère de la Santé B. est chargé de l'évaluation scientifique des projets de recherche soumis à la CNIL C. s'assure des mesures de sécurité prises pour les transferts et les échanges de données D. se prononce sur l'information donnée aux patients E. délivre une autorisation pour réaliser une recherche rétrospective sur données 40. le Comité de Protection des Personnes (CPP) A. est agréé par les Préfets de Région B. est composé de personnes compétentes dans les domaines scientifique, éthique, social, psychologique et juridique C. analyse l'adéquation des moyens humains, matériels et techniques mis en œuvre pour réaliser une recherche D. analyse le formulaire de consentement E. délivre une autorisation 10
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