RAPPORT D ETUDE. Evaluation de la qualité de l air sur la zone industrielle de Sarralbe-Willerwald et ses environs en 2008

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "RAPPORT D ETUDE. Evaluation de la qualité de l air sur la zone industrielle de Sarralbe-Willerwald et ses environs en 2008"

Transcription

1 RAPPORT D ETUDE Evaluation de la qualité de l air sur la zone industrielle de Sarralbe-Willerwald et ses environs en 2008 Date de publication : 03/02/2010 Référence: 2008/04/ /01/06_Willerwald_LM-TP_RC

2 Atmo LORRAINE NORD est une association régie par le Code Civil Local«loi 1908», représentée par son P résident. Agréée par le Ministère en charge de l E nvironnement, elle a pour objectifs principaux : la s urveillance de la qualité de l air et l information de la population sur les départements de la Moselle (s auf l arrondissement de Sarrebourg) et de la Meurthe-et-Moselle (arrondissement de Briey, cantons de Dieulouard et de P ont-à-mousson). Elle regroupe une soixantaine de membres répartis au sein de quatre collèges (Etat et établissements publics de l Etat, collectivités territoriales, représentants des activités contribuant à l émission des substances surveillées et associations et personnes compétentes). Atmo LORRAINE NORD est membre du réseau national ATMO qui rassemble toutes les associations françaises de surveillance de la qualité de l air. Les quatre principales missions de l association sont : Surveiller et connaître la qualité de l air Le réseau assure une surveillance en continu dans 27 communes à l aide d une trentaine de station, soit un parc d une centaine d analyseurs. Au quotidien, 14 spécialiste s veillent au bon fonctionnement du réseau. Pour les secteurs dépourvus de mesures en continu, l association dispose de laboratoires mobiles, de tubes passifs, de préleveurs et peut également s orienter vers de la modélisation. Ces mesures permettent d appréhender la qualité de l air et de mieux comprendre les phénomènes de pollution. Alerter L association Atmo LORRAINE NORD est soumise aux arrêtés préfectoraux et interdépartementaux qui impos ent une alerte en cas de dépassements de seuils. Informer et sensibiliser L association assure un suivi en temps réel de la qualité de l air sur différentes communes de sa zone compétence. Ces données sont consultables sur le site Outre ce s uivi, l association informe quotidiennement les médias, la population les autorités et les décideurs sur la qualité de l air. La volonté est également de conseiller et de sensibiliser toute personne à la qualité de l air. Enfin, l association est à votre écoute grâce à la mise en place d un numéro vert : Collaborer De par sa position géographique, l association entreprend des collaborations régionales avec les partenaires lorrains (AIRLOR, ALQA), interrégionales avec des laboratoires de métrologie et de chimie du Grand-Est et transfrontalières avec l Allemagne, le Luxembourg et la Belgique.

3 Evaluation de la qualité de l air sur la zone industrielle de Sarralbe- Willerwald et ses environs en 2008 Etudes menées dans le cadre du Plan de Surveillance de la Qualité de l Air du réseau Atmo LORRAINE NORD Publication du rapport : 03/02/2010 Nombre de pages du rapport (hors annexes) : 36 Nombre de pages d annexes : 37 Conditions de diffusion : Diffusion libre Toute utilisation partielle ou totale du document doit faire référence à l association Atmo LORRAINE NORD Les données validées des campagnes de mesures peuvent être fournies sur simple demande auprès de notre association à l adresse suivante : contact@atmo-lorraine-nord.org Le rapport d étude peut faire l objet de modifications ultérieures. Dans ce cas, la dernière version sera mise en ligne sur le site Intervenants : Réalisation des campagnes : Christelle Dabrowski, Bérénice Jenneson, Emmanuel Jantzem, Jonathan Signoret Rédacteur : Emmanuel Jantzem Vérificateur : Bérénice Jenneson Approbateur : Denis Dolisy

4 SOMMAIRE I. ETUDE ET CONTEXTE... 7 II. REGLEMENTATION... 8 III. MATERIELS ET METHODES Polluants étudiés Méthodes de mesures Le laboratoire mobile Les tubes passifs Plan d échantillonnage Spatiale Le laboratoire mobile Les tubes passifs Temporelle IV. VALIDITE DES DONNEES Taux de données valides pour le laboratoire mobile Contrôle de qualité des données pour les tubes passifs Mesures de blancs Tests de répétabilité V. RESULTATS Représentativité de la période de campagne Les conditions météorologiques Campagnes menées avec le laboratoire mobile Campagne estivale du 1 e r au 28 avril Campagne hivernale : du 21 novembre 2008 au 6 janvier Campagnes menées avec les tubes passifs : du 13 au 27 mai Résultats des mesures effectuées avec le laboratoire mobile Le dioxyde de soufre Les oxydes d azote L ozone Les particules PM Le monoxyde de carbone Résultats de la campagne menée avec les tubes passifs Le dioxyde d azote Le benzène L hexane VI. CONCLUSION GENERALE ANNEXES : Annexe A : présentation des polluants surveillés au cours des campagnes de mesures Annexe B1 : résultats des mesures du laboratoire mobile en période estivale Annexe B2 : résultats des mesures du laboratoire mobile en période hivernale Annexe C : présentation de la méthode de reconstitution des données Annexe D : résultats des mesures par tubes passifs 2008/04/ /01/06_Willerwald_LM-TP_RC 4

5 RESUME Dans le cadre de la réalisation de la surveillance, en continue, de la qualité de l air en Lorraine Nord, l association Atmo LORRAINE NORD dispose d une trentaine de stations de mesures fixes. En tout, 27 communes sont concernées par ce dispositif. Pour les secteurs dépourvus de surveillance fixe en continu, Atmo LORRAINE NORD déploie d autres dispositifs de mesures (laboratoire mobile, tubes passifs, préleveurs, ) qui permettent d entreprendre une démarche de surveillance de façon discontinue. Dans le cadre des objectifs définis dans le Plan de Surveillance de la Qualité de l Air du réseau Atmo LORRAINE NORD, l association a entrepris, en 2008, une démarche d évaluation de la qualité de l air sur la zone industrielle de Sarralbe-Willerwald et de ses environs. Pour ce faire, deux périodes (estivale et hivernale) de mesures avec le laboratoire mobile sur la commune de Sarralbe ont été effectuées ainsi qu une campagne de mesures, sur 15 jours, avec des tubes passifs. Différents polluants ont pu être mesurés : particules PM10, oxydes d azotes, composés organiques volatils, dioxyde de soufre, ozone et monoxyde de carbone. En comparant les résultats obtenus d oxydes d azote et d ozone avec le laboratoire mobile par rapport aux autres stations présentes sur le secteur de Moselle-Est, nous observons des niveaux comparables à ceux observés en milieu périurbain. Les concentrations en dioxyde de soufre et monoxyde de carbone sont, quant à elles, faibles et similaires aux niveaux de fond rencontrés en milieu urbain. Enfin, pour les particules PM10, une influence d émissions industrielles, sous certaines conditions météorologiques, semble être observée. Les concentrations mesurées, pour l ensemble des polluants, semblent respecter les valeurs réglementaires définies dans la directive 2008/50/CE. Toutefois, un dépassement de la valeur de 120 µg/m 3 (maximum journalier de la moyenne glissante sur 8 heures) pour l ozone ainsi qu un dépassement de la moyenne journalière de 50 µg/m 3 en particules PM10 ont toutefois été constatés. La campagne sur deux semaines avec les tubes passifs a permis de mettre en évidence des secteurs influencés par les émissions de dioxyde d azote liées au trafic routier (A4, N61, ) et une source émettrice d hexane située au nord de la commune de Sarralbe. 2008/04/ /01/06_Willerwald_LM-TP_RC 5

6 2008/04/ /01/06_Willerwald_LM-TP_RC 6

7 I. ETUDE ET CONTEXTE Les campagnes de mesures menées en 2008 sur la zone industrielle Sarralbe-Willerwald et ses environs ont été effectuées pour évaluer la qualité de l air sur ce secteur qui ne fait pas l objet d une surveillance par des mesures fixes type analyseur automatique. La stratégie de surveillance mise en place avait pour but de répondre à deux objectifs différents mais complémentaires : Utilisation du laboratoire mobile pour répondre aux critères minimaux définis dans la directive 2008/50/CE dans le cadre de la surveillance d un site non soumis à une obligation de surveillance par des mesures fixes : deux périodes de mesures distinctes (estivale et hivernale) du point de vue des conditions météorologiques avec un minimum de 8 semaines de mesures (soit 14 % d une année). Ainsi, l association a pu, de manière indicative, calculer les moyennes annuelles des principaux composés surveillés. Utilisation des tubes passifs sur une zone d étude étendue (12km x 6km) pour observer, sur deux semaines, la répartition spatio-temporelle de composés émis potentiellement par différentes sources présentes sur le secteur. Enfin, à titre d expérimentation, l association a entrepris d utiliser une méthodologie développée par le Laboratoire Central de Surveillance de la Qualité de l Air (LCSQA) dont l objectif est de pouvoir reconstituer une moyenne annuelle à partir de données d échantillonnage et d estimer son intervalle de confiance. L essai sera effectué sur les mesures de dioxyde d azote obtenues avec l analyseur du laboratoire mobile. La description de la méthode utilisée et des différentes étapes à suivre seront présentées en annexe du rapport. 2008/04/ /01/06_Willerwald_LM-TP_RC 7

8 II. REGLEMENTATION La réglementation française pour l'air ambiant s'appuie principalement sur des directives européennes et leur retranscription en droit français. Ces dernières ont été conçues en tenant compte des recommandations de l'organisation Mondiale de la Santé (OMS), qui déterminent des seuils à ne pas dépasser pour une vingtaine de polluants en fonction de leur impact sur la santé humaine. La directive 2008/50/CE du 21 mai 2008 concernant la qualité de l air ambiant et un air pur pour l Europe précise les valeurs réglementaires pour le dioxyde de soufre, le dioxyde d azote et les oxydes d azote, les particules PM10 et PM2,5, l ozone, le benzène, le monoxyde de carbone ainsi que le plomb. Enfin, les arrêtés préfectoraux n 2004-AG/2-297 en date du 9 juillet 2004 (Moselle), n 2004/38/SIDPC du 12 juillet 2004 (Meurthe-et-Mos elle) pour le dioxyde d azote, le dioxyde de soufre et l ozone et les arrêtés interdépartementaux n du 10 j uillet 2008 et n 2009/004/CAB/SIRACEDPC du 16 février 2009 pour les particules en suspension PM10, fixent les seuils de déclenchements des procédures d information et de recommandation ou d alerte. Le tableau suivant résume la réglementation qui doit être respectée, par polluant, pour la protection de la santé humaine pour l année Tableau I : réglementation pour la protection de la santé humaine en 2008 Niveau réglementaire Valeur réglementaire Moyenne DIOXYDE D AZOTE (NO 2) Objectif de qualité 40 µg/m³ Mo yenne annuelle 220 µg/m³ Mo yenne horaire à ne pas dépasser (200 µg/m³ en 2010) plus de 18 heures par an Valeurs limites 44 µg/m³ Mo yenne annue le (40 µg/m³ en 2010) Seuil de recommandation 200 µg/m³ Mo yenne horaire * Seuils d'alerte 400 µg/m³ Mo yenne horaire * OZONE (O 3) 3 Ma ximum journalier Objectif à long terme 120 µg/m de la moyenne glissante sur 8 heures Seuil de recommandation 180 µg/m³ Mo yenne horaire 1 er Mo yenne horaire seuil : 240 µg/m³ Seuils d'alerte pour la mise en pendant 3 heures consécutives œuvre progressive de mesures 2 e Mo yenne horaire seuil : 300 µg/m³ d urgence pendant 3 heures consécutives 3 e seuil : 360 µg/m³ Mo yenne horaire PARTICULES en SUSPENSION (PM10) Objectif de qualité 30 µg/m³ Mo yenne annue le Valeurs limites 50 µg/m³ Mo yenne journalière à ne pas dépasser plus de 35 jours par an 40 µg/m³ Mo yenne annue le Seuil de recommandation 80 µg/m³ Moyenne calculée sur les 24 heures précédentes, à 8h et à 14h, heure locale** 2008/04/ /01/06_Willerwald_LM-TP_RC 8

9 Seuils d'alerte 125 µg/m³ Moyenne calculée sur les 24 heures précédentes, à 8h et à 14h, heure locale** DIOXYDE de SOUFRE (SO 2) Objectif de qualité 50 µg/m³ Mo yenne annue le Valeurs limites 350 µg/m³ Mo yenne horaire à ne pas dépasser plus de 24 heures par an 125 µg/m³ Mo yenne journalière à ne pas dépasser plus de 3 jours par an Seuil de recommandation 300 µg/m³ Mo yenne horaire* Seuil d'alerte 500 µg/m³ Mo yenne horaire sur 3 heures consécutives* MONOXYDE de CARBONE (CO) Valeur limite 10 mg/m³ soit µg/m³ BENZENE Objectif de qualité 2 µg/m³ Mo yenne annue le Valeur limite 7 µg/m³ (5 µg/m³ en 2010) Mo yenne annue le Ma ximum journalier de la moyenne glissante sur 8 heures * Le dépassement doit être observé sur deux stations représentatives de la même zone à moins de trois heures d intervalle ** Le dépassement doit être observé simultanément sur deux stations de la région Lorraine 2008/04/ /01/06_Willerwald_LM-TP_RC 9

10 III. MATERIELS ET METHODES 1. Polluants étudiés Les polluants surveillés au cours des différentes campagnes de mesures menées en 2008 sur la zone industrielle de Sarralbe-Willerwald et ses environs sont présentés dans le tableau II. Tableau II : polluants surveillés dans la zone d étude Polluants surveillés Particules en suspension PM10 Monoxyde de carbone Dioxyde de soufre Ozone Oxydes d azote (monoxyde et dioxyde d azote) Composés organiques volatils (dont le benzène) Méthodes de mesures utilisées Analyseur automatique (laboratoire mobile) Analyseur automatique (laboratoire mobile) Analyseur automatique (laboratoire mobile) Analyseur automatique (laboratoire mobile) Analyseur automatique (laboratoire mobile) et tube passif pour le dioxyde d azote Tubes passifs La description des polluants sur leurs origines, leurs effets sur la santé et sur l environnement est présentée en annexe A. 2. Méthodes de mesures 2.1 Le laboratoire mobile Le laboratoire mobile est un véhicule comprenant des unités analytiques (analyseurs), des équipements divers (capteurs météorologiques) pour la surveillance des polluants classiques ainsi qu un système d acquisition et de télétransmission des données. Il est l équivalent d une station de mesure classique très complète, sa mobilité et sa facilité d utilisation en font un outil important dans le cadre de la surveillance organisée par Atmo LORRAINE NORD. Il permet également de suivre les conditions météorologiques au cours de la campagne (le rayonnement solaire global, la température, l humidité relative, la direction et la vitesse du vent) 2.2 Les tubes passifs Le principe général du tube à diffusion passive consiste en un capteur contenant un adsorbant (charbon actif) ou un absorbant (support solide imprégné de réactif chimique) adapté au piégeage spécifique d un ou de plusieurs polluants gazeux. Dans le cadre de la mesure du dioxyde d azote, le triéthanolamine permet de piéger le composé en l absorbant. 2008/04/ /01/06_Willerwald_LM-TP_RC 10

11 Le polluant gazeux est transporté par diffusion moléculaire à travers la colonne d air formée par le tube jusqu à la zone de piégeage où il est retenu. Dans la pratique, la durée d exposition du tube à diffusion passive est fonction du polluant mesuré.(figure 1). Après le prélèvement, le tube passif est envoyé au laboratoire où une extraction puis une analyse sont réalisées. L analyse permet de connaître le niveau moyen de concentration des composés surveillés, durant la période d exposition, au niveau du point de mesure. Figure 1 : dispositif de mesures du benzène et du dioxyde d azote avec des tubes à diffusion passive Les analyses des tubes passifs pour le dioxyde d azote ont été réalisées par le laboratoire du réseau Atmo LORRAINE NORD. Les analyses des tubes passifs pour le benzène ont, quant à elles, été réalisées par le Laboratoire Interrégional de Chimie situé à Schiltigheim. Le tableau suivant définit le dispositif qui a été utilisé pour la réalisation de la campagne : Tableau III : matériels utilisés pour les campagnes de mesures par tubes passifs Support Matériel Tubes RADIELLO Diffusion (axial / radial) Durée de prélèvement Incertitudes sur la mesure (théorique) Composés mesurés Corps diffusif Radial 7 jours < 30 % Benzène, Toluène, Ethylbenzène, Xylènes (BTE X) Cartouche Tubes PASSAM (tubes de «Palmes») Axial 14 jours % Dioxyde d azote 2008/04/ /01/06_Willerwald_LM-TP_RC 11

12 3. Plan d échantillonnage 3.1 Plan d échantillonnage spatial Le laboratoire mobile Tableau IV : la ville de Willerwald en quelques chiffres Région Willerwald Lorraine La commune de Willerwald fait partie de la Communauté d Agglomération de Sarreguemines Confluences. Département Moselle Arrondissement Sarreguemines Proximité infrastructures routières : la Canton Sarralbe commune est traversée par la nationale N61 Intercommunalité Communauté d Agglomération de Sarreguemines tandis que l autoroute A4 (permettant de Confluences relier Paris à Strasbourg) est située à 1 km Altitude 206 m (mini) 265 m (maxi) au nord de la commune. Superficie 6,31 km 2 Population sans hab. doubles comptes (2006) Densité 233 hab./km 2 Proximité industrielle : au nord de la commune se trouve l Europôle, zone où se trouve l industrie SMART France SAS qui produit des véhicules automobiles. Au sud de la commune de Willerwald, nous retrouvons l industrie INEOS. Les produits de fabrication de l entreprise sont le polyéthylène haute densité et le polypropylène. Ce dernier sera transformé en une variété de produits textiles, de films, de conditionnement, de jouets et de composants automobiles. L emplacement du laboratoire mobile, pour les différentes campagnes de mesures était la cours de l école primaire, à proximité de la rue de la Croix à Willerwald. Figure 2 : emplacement du laboratoire mobile lors des campagnes réalisées à Willerwald 2008/04/ /01/06_Willerwald_LM-TP_RC 12

13 3.1.2 Les tubes passifs La répartition des points de mesures a été définie pour répondre aux objectifs suivants : Evaluer les niveaux de proximité (émissions industrielles et routières) en dioxyde d azote (NO 2 ) et en composés organiques volatils, dont le benzène et l hexane. Les principales industries intégrées à la zone d étude sont : Tableau V : principales industries de la zone d étude Industries INE OS (fabrication de matières plastiques de base) SMART France SAS (construction de véhicules automobiles) *Registre français des émissions polluantes Principaux polluants émis (base IREP* 2005) COV, dont l hexane NOx (chaufferie de l industrie) COV Communes à surveiller en priorité WILLERWALD / SARRALBE / SALZB RONN HAMBACH / WILLERWALD / NEUFGRANGE Les principales routes/autoroutes intégrées à la zone d étude sont : Tableau VI : principaux axes routiers de la zone d étude Routes / Autoroutes A4 (autoroute Paris-Strasbourg) N61 / N56 (Nationales traversant Willerwald / Sarralbe) Principaux polluants émis COV, dont le benzène et le toluène NOx COV, dont le benzène et le toluène NOx Communes à surveiller en priorité HA MBACH / SAINT- MICHEL/ WILLERWALD/ HERBITZHEIM WILLERWALD/ SARRALBE Evaluer les niveaux de fond en dioxyde d azote (NO 2 ) et en composés organiques volatils, dont le benzène et l hexane. Les communes intégrées à la zone d étude sont les suivantes : Tableau VII : communes intégrées à la zone d étude Communes de Moselle Hambach Neufgrange Sarralbe Willerwald Communes du Bas-Rhin Herbitzheim Keskastel Siltzheim 2008/04/ /01/06_Willerwald_LM-TP_RC 13

14 Au total, 101 sites de mesure avec des tubes passifs ont été définis sur la ville de Sarralbe et les communes voisines (figure 3). Figure 3 : emplacement des sites de mesures pour les tubes passifs 3.2 Plan d échantillonnage temporel La figure suivante présente les périodes de mesures effectuées en 2008, sur le secteur de Willerwald, en fonction du dispositif de mesures utilisé. Les mesures avec le laboratoire mobile ont eu lieu respectivement du 1 er au 28 avril 2008 et du 20 novembre 2008 au 6 janvier Concernant les mesures par tubes passifs, la campagne a eu lieu du 13 au 27 mai /05/ /05/ /04/ /04/ /11/ /01/ Laboratoire mobile Tubes passifs Figure 4 : répartition temporelle des campagnes de mesures 2008/04/ /01/06_Willerwald_LM-TP_RC 14

15 IV. VALIDITE DES DONNEES 1. Taux de données valides pour le laboratoire mobile Les résultats qui seront présentés dans la partie V ont suivi les étapes de validation des données d un point de vue technique et environnemental. Les mesures d oxydes d azote, de particules PM10, de dioxyde de soufre et d ozone, effectuées avec les analyseurs du laboratoire mobile respectent l objectif de qualité de 75 % de données valides permettant d effectuer les calculs réglementaires. Tableau VIII : taux de données valides pour les analyseurs Composés mesurés Taux de données valides (%) Période estivale Période hivernale Dioxyde de soufre Monoxyde de carbone Oxydes d'azote Ozone Particules en suspension PM Données météorologiques 88 à à 87 Le taux de données valides de 75 % n a pas été respecté, sur les deux périodes de mesures, pour le monoxyde de carbone. Ainsi, aucun calcul de moyennes sur les périodes de mesures ne pourra être effectué. Seul des dépassements de seuils sur de courtes durées pourront être observés et expliqués. Les données météorologiques avec un taux de données valides de 24 %, au cours de la période hivernale, concernent les mesures de vents. Pour pallier à ce manque d information, il a été décidé, pour la période hivernale, de présenter les données de vents de la station de Spicheren, située à 20 kilomètres du lieu de mesures. 2. Contrôle de qualité des données pour les tubes passifs Dans le cadre de la validation des données obtenues avec les tubes passifs, Atmo LORRAINE NORD a développé un outil dans lequel est repris l ensemble des critères permettant de statuer sur la validité d une donnée. Pour l étude menée à Willerwald, les critères de valeurs de blancs et de répétabilité des mesures ont été suivis. 2.1 Mesures de blancs Selon la norme NF EN novembre 2005 «Dosage du benzène Prélèvement par diffusion», les blancs pour la mesure du benzène avec des tubes passifs doivent suivre la même procédure que des tubes exposés, hormis l exposition des tubes (cartouches non exposées, gardées dans leurs tubes à essai fermés hermétiquement et placés sur le site pendant la période d exposition des autres cartouches). Il s agit de blancs «terrain». Le nombre de blancs à réaliser 2008/04/ /01/06_Willerwald_LM-TP_RC 15

16 n y est pas défini. Il en est de même pour les blancs «terrain» réalisés pour la mesure du dioxyde d azote. Dans le cadre de cette étude, Atmo LORRAINE NORD a réalisé des blancs «terrains» pour le NO 2 et pour le benzène. Les résultats des blancs sont satisfaisants pour les deux composés surveillés. Il a été décidé que la concentration obtenue avec les blancs ne serait pas retranchée aux moyennes obtenues avec les tubes passifs exposés. 2.2 Tests de répétabilité La répétabilité des mesures, évaluée par le calcul du coefficient de variation (C.V.), traduit la variation des mesures autour de leur moyenne et représente l erreur aléatoire de la méthode. σ Le coefficient de variation (C.V.) est calculé grâce à la formule suivante : CV(%) = *100 moyenne σ : écart-type La répétabilité des mesures a été réalisée sur différents sites de mesures de fond mais également de proximité (industrielle ou trafic routier). Chaque site de mesure a été équipé de 3 tubes à diffusion passive pour le benzène et le dioxyde d azote. Les résultats de la répétabilité des mesures ont permis de confirmer la mesure de chaque site où les tests ont été effectués et, ainsi, de valider l ensemble des données en benzène et dioxyde d azote. Seule une mesure d un tréplicat, au cours de la seconde campagne de mesures, présentait un écart trop important avec les autres mesures de benzène. Elle a été invalidée. 2008/04/ /01/06_Willerwald_LM-TP_RC 16

17 V. RESULTATS 1. Représentativité de la période de campagne Pour des mesures considérées comme indicatives, une extension temporelle concernant 14 % de l année (8 semaine de mesures), également répartie sur l année pour être représentative de l ensemble des conditions météorologiques rencontrées au cours d une année, peut être utilisée (Directive 2008/50/CE). La campagne effectuée avec le laboratoire mobile à Willerwald, pendant les deux périodes de mesures, respectent le critère de 14 % de mesures au cours de l année Les deux campagnes ont été effectuées sur deux périodes de conditions météorologiques différentes (période estivale et hivernale) par souci de représentativité de l ensemble des conditions météorologiques rencontrées sur le secteur. La répartition sur l année des 8 semaines de mesure est satisfaisante pour fournir une moyenne annuelle brute pour le dioxyde de soufre, le dioxyde d azote et les particules PM10. La moyenne annuelle brute est la moyenne des moyennes horaires calculées pour chaque période de mesures (période estivale et hivernale). La moyenne annuelle reconstituée présentée pour le dioxyde d azote est calculée selon une méthode de régression. L objectif est d estimer les concentrations du polluant sur les périodes où aucune mesure par analyseur automatique n a été effectuée et de les intégrer au calcul de l estimation de la moyenne annuelle. L objectif de qualité, pour la méthode employée, est de 100% en termes d incertitudes sur la mesure. Concernant les tubes passifs, différents tests ont permis de valider les données (cf. partie IV) : tests de répétabilité, blancs terrain, comparaison des résultats en fonction de leur situation géographique (validation environnementale). A titre indicatif, les résultats seront comparés aux valeurs réglementaires définies pour des moyennes annuelles (valeur limite annuelle). 2. Les conditions météorologiques 2.1 Campagnes menées avec le laboratoire mobile Campagne estivale du 1 er au 28 avril 2008 La rose des vents de la figure 5 présente des vents dominants sur deux directions opposées : de nord-est (33 %) et de sud-ouest (52 %). Les vents de sud-est et de nord-ouest représentent respectivement 9 % et 6 % du temps. Les périodes de prédominance de vents de sud-ouest sont du 2 au 8 avril, du 12 au 15 avril et du 24 au 26 avril Les autres périodes ont présenté des vents provenant majoritairement du nordest. 2008/04/ /01/06_Willerwald_LM-TP_RC 17

18 Figure 5 : rose des vents de la campagne estivale Le tableau suivant fournit la répartition des vitesses de vents au cours de la période estivale. Les vents faibles étaient majoritaires avec 76,2 % du temps de la campagne de mesures. Tableau IX : répartition des vitesses de vent lors de la période estivale Vents calmes Vents faibles Vents modérés (< 1m/s) [1m/s ; 4m/s[ [4m/s ; 8m/s[ 23,2% 76,2% 0,6% Au cours du mois d avril, les précipitations ont été très abondantes (plus de 80 mm sur le mois). Elles se sont réparties sur l ensemble du mois avec toutefois des précipitations plus intenses entre le 5 et le 13 avril La température moyenne au cours de la campagne du mois d avril a été de 8,6 C, avec, comme jour le plus froid, le 7 avril 2008 (moyenne journalière de 1 C). A partir de cette date, les températures ont augmenté, excepté pour la période du 14 au 17 avril 2008, pour atteindre une moyenne journalière de 16,2 C le 27 avril Par rapport aux pressions atmosphériques, nous observons que le début et la fin de la campagne a été marquée par des périodes anticycloniques. Entre ces deux périodes, les pressions montraient majoritairement une période de dépression (< à 1013 hpa). Pression atmosphérique (hpa) avr. 3-avr. 5-avr. 7-avr. 9-avr. 11-avr. 13-avr. Précipitation. (mm) - Température ( C) 15-avr. 17-avr. 19-avr. 21-avr. 23-avr. 25-avr. 27-avr. Figure 6 : température, précipitation et pression atmosphérique en moyenne journalière lors de la campagne estivale 2008/04/ /01/06_Willerwald_LM-TP_RC 18

19 2.1.2 Campagne hivernale : du 21 novembre 2008 au 6 janvier 2009 Suite à des périodes d absences de données conséquentes pour les directions et les vitesses de vents, les résultats présentés dans ce paragraphe proviennent de la station de Spicheren située à environ 20 km du site de mesures avec le laboratoire mobile. Figure 7 : rose des vents de la campagne hivernale de 2008 La rose des vents présente des vents dominants sur deux directions opposées : de nord-est (30,2 %) et de sud-ouest (35,3 %). Les vents de sud-est et de nord-ouest représentent respectivement 14,7 % et 19,6 % du temps. Le tableau suivant fournit la répartition des vitesses de vents au cours de la période hivernale. Les vents faibles étaient majoritaires avec 67,2 % du temps de la campagne de mesures. Toutefois, des vents modérés étaient présents à hauteur de 16 % alors qu ils étaient quasiment absents lors de la campagne du mois d avril Tableau X : répartition des vitesses de vent lors de la période hivernale Vents calmes (< 1m/s) Vents faibles [1m/s ; 4m/s[ Vents modérés [4m/s ; 8m/s[ 16.8% 67.2% 16.0% Le début de la campagne a été marqué par une période dépressionnaire qui a duré du 21 novembre 2008 au 5 décembre Au cours de cette période, des pluies soutenues ont été mesurées du 21 au 24 novembre et du 30 novembre au 5 décembre Enfin, au cours de cette période, les températures, en moyennes journalières, ont varié entre 0 et 5 C. A partir du 5 décembre 2008, les conditions météorologiques se sont améliorées avec l apparition d une période anticyclonique très forte, surtout à partir du 15 décembre Aucune précipitation n est apparue au cours de cette période. Les températures ont oscillé de 0 C à 8,5 C entre le 5 et le 21 décembre 2008 puis elles ont chuté pour atteindre rapidement des températures 1010 moyennes en dessous de 0 C Figure 8 : température, précipitation et pression atmosphérique en moyenne journalière lors de la campagne hivernale Pression atmosphérique (hpa) nov. 23-nov. 25-nov. 27-nov. 29-nov. 1-déc. 3-déc. 5-déc. 7-déc. 9-déc. 11-déc. 13-déc. 15-déc. 17-déc. 19-déc. 21-déc. 23-déc. 25-déc. 27-déc. 29-déc. 31-déc. 2-janv. 4-janv. 6-janv Précipitation. (mm) - Température ( C) 2008/04/ /01/06_Willerwald_LM-TP_RC 19

20 2.2 Campagnes menées avec les tubes passifs : du 13 au 27 mai 2008 Le tableau ci-dessous résume les conditions météorologiques rencontrées lors des deux semaines de mesures avec les tubes passifs. Tableau XI : conditions météorologiques rencontrées lors de la campagne par tubes passifs du 13 au 27 mai 2008 Période de mesure 13/05/08 20/05/08 Rose des vents Conditions de vents Observations complémentaires Les vents provenaient majoritairement du nord-est (49,4 %) puis du sud-ouest (33,6 %). Au cours de cette période de mesure, les vents étaient majoritairement faibles (81,2 %). Les vents modérés (8,6 %) sont apparus pour des origines dul nord-est. La période a été marquée par un régime dépressionnaire. Les températures ont chuté au cours de la première semaine (19 C de moyenne le 13 mai contre 12 C de moyenne le 20 mai). De fortes précipitations sont apparues le 18 mai. 20/05/08 27/05/08 Lors de la deuxième semaine de mesure, les vents provenaient majoritairement de l est (nord-est : 51,3 % ; sud-est : 41,2 %). Les vents étaient majoritairement faibles (72,1 %) mais la part de vents modérés était plus importante que lors de la première semaine de mesure (12,1 %). Au cours de la deuxième semaine, les températures ont augmenté, passant de 12 C le 20 mai à 19 C le 27 mai. Les pressions étaient plus stables, aux alentours de 1013 hpa. Cependant, quelques précipitations ont fait leur apparition entre le 24 et le 27 mai. 3. Résultats des mesures effectuées avec le laboratoire mobile Pour chaque polluant sont présentés les résultats des mesures effectuées avec le laboratoire mobile en 2008, au cours des périodes du 1 er au 28 avril 2008 et du 21 novembre 2008 au 6 janvier Les moyennes horaires des polluants mesurés au cours des deux périodes sont présentées en annexe B. 3.1 Le dioxyde de soufre Les graphiques de la figure 9 montrent les moyennes horaires mesurées en dioxyde de soufre lors de la période estivale et hivernale. Par rapport au seuil horaire retenu pour l information et la recommandation (300 µg/m 3 en moyenne horaire), aucun dépassement n a été constaté. Quelque soit la période de mesure, les concentrations en dioxyde de soufre sont restées très faibles. En moyenne journalière, le maximum observé au cours des deux périodes de mesures a été de 12 µg/m 3 le 12/12/08. Les valeurs sont très en-dessous de la valeur limite journalière de 125 µg/m /04/ /01/06_Willerwald_LM-TP_RC 20

21 350 µg/m 3 Période du 01/04 au 27/04/2008 : moyenne horaire en dioxyde de soufre (µg/m 3 ) Période du 21/11/2008 au 06/01/2009 : moyenne horaire en dioxyde de soufre (µg/m 3 ) Seuil d'information et de recommandation /04/08 03/04/08 05/04/08 07/04/08 09/04/08 11/04/08 13/04/08 15/04/08 17/04/08 19/04/08 21/04/08 23/04/08 25/04/08 27/04/08 21/11/08 23/11/08 25/11/08 27/11/08 29/11/08 01/12/08 03/12/08 05/12/08 07/12/08 09/12/08 11/12/08 13/12/08 15/12/08 17/12/08 19/12/08 21/12/08 23/12/08 25/12/08 27/12/08 29/12/08 31/12/08 02/01/09 04/01/09 06/01/09 Figure 9 : moyennes horaires en SO 2 mesurées lors des périodes estivale et hivernale Le tableau ci-dessous permet de comparer les résultats obtenus entre les deux campagnes de mesures. Hormis pour la journée du 12/12/08 où des concentrations plus élevées en dioxyde de soufre ont été mesurées tout au long de la journée, les résultats sont très similaires entre les deux périodes. Les moyennes de chaque période sont très basses (inférieures à 2 µg/m 3 ). Pour la journée du 12/12/08, une augmentation des concentrations a également été observée pour d autres composés (dioxyde d azote et particules PM10). Il s agissait d une période anticyclonique avec des vents provenant du nord favorable à l accumulation des polluants dans l air. Pour le dioxyde de soufre, les émissions en période hivernale proviennent essentiellement du secteur résidentiel / tertiaire et des centrales thermiques. Tableau XII : bilan des résultats obtenus en dioxyde de soufre pour chaque période de mesure Période estivale du 01/04 au 27/04/08 Période hivernale du 21/11/08 au 06/01/09 Taux de données valides 99 % 99 % Constat de dépassements de valeurs réglementaires Non Non Maximum moyenne journalière 4 µg/m 3 18 µg/m 3 Maximum moyenne horaire Le 04/04 et le 24/04/08 38 µg/m 3 Le 24/04/08 à 8h00 (heure T.U.) Le 12/12/08 44 µg/m 3 Le 12/12/08 à 15h00 (heure T.U.) Moyenne période de mesure 1,3 µg/m 3 1,9 µg/m 3 Moyenne annuelle brute 1,6 µg/m 3 Estimation de la moyenne annuelle par reconstitution de données Non déterminée* * La moyenne annuelle en dioxyde de soufre n a pas été reconstituée car aucune bonne corrélation entre les mesures à Willerwald et l ensemble des mesures de Moselle-Est du réseau Atmo LORRAINE NORD n a été observée, toute typologie de fond (urbaine, périurbaine, rurale) confondue. La méthode de reconstitution n a donc pas été utilisée pour ce composé. 2008/04/ /01/06_Willerwald_LM-TP_RC 21

22 3.2 Les oxydes d azote Les moyennes horaires en dioxyde d azote présentées ci-dessous ne montrent aucun dépassement du seuil d information et de recommandation de 200 µg/m 3, en moyenne horaire. En grande majorité, les moyennes horaires ont oscillé entre 0 et 50 µg/m 3, quelque soit la période de mesures considérée. Toutefois, la fréquence d apparition de valeurs plus élevées en dioxyde d azote était plus importante au cours de la période hivernale. 250 µg/m 3 Période du 01/04 au 27/04/2008 : moyenne horaire en dioxyde d'azote (µg/m 3 ) Période du 21/11/2008 au 06/01/2009 : moyenne horaire en dioxyde d'azote (µg/m 3 ) Seuil d'information et de recommandation /04/08 03/04/08 05/04/08 07/04/08 09/04/08 11/04/08 13/04/08 15/04/08 17/04/08 19/04/08 21/04/08 23/04/08 25/04/08 27/04/08 21/11/08 23/11/08 25/11/08 27/11/08 29/11/08 01/12/08 03/12/08 05/12/08 07/12/08 09/12/08 11/12/08 13/12/08 15/12/08 17/12/08 19/12/08 21/12/08 23/12/08 25/12/08 27/12/08 29/12/08 31/12/08 02/01/09 04/01/09 06/01/09 Figure 10 : moyennes horaires en NO 2 mesurées lors des périodes estivale et hivernale La moyenne en dioxyde d azote est plus élevée au cours de la campagne hivernale. Les conditions météorologiques associées à une augmentation des émissions expliquent, en grande partie, cette différence. En Lorraine, les oxydes d azote proviennent des transports routiers (35%), puis de la production/distribution d énergie (26%) et de l industrie (19%) (S ource : inventaire régional des émissions en 2002 méthodologie 2006) Tableau XIII : bilan des résultats obtenus en dioxyde d azote pour chaque période de mesure Période estivale du 01/04 au 27/04/08 Période hivernale du 21/11/08 au 06/01/09 Taux de données valides 99 % 99 % Constat de dépassements de valeurs réglementaires Non Non Maximum moyenne journalière 24 µg/m 3 38 µg/m 3 Maximum moyenne horaire Le 08/04/08 49 µg/m 3 Le 16/04/08 à 6h00 (heure T.U.) Le 12/12/08 60 µg/m 3 Le 27/11/08 à 18h00 (heure T.U.) Moyenne période de mesure 12 µg/m 3 20 µg/m 3 Moyenne annuelle brute 16 µg/m 3 Estimation de la moyenne annuelle par reconstitution de données 12,1 µg/m 3 L estimation de la moyenne annuelle par reconstitution des données se rapproche fortement de la moyenne observée à la station périurbaine de Spicheren (12 µg/m 3 ) en Le détail du calcul ainsi que la présentation de la méthode utilisée est présentée en annexe C. 2008/04/ /01/06_Willerwald_LM-TP_RC 22

23 3.3 L ozone Les concentrations en ozone sont plus élevées au mois d avril 2008 que lors de la campagne hivernale de L ensoleillement et les températures plutôt élevées, accompagnées de concentrations en oxydes d azote qui augmentent dans l air ambiant, sont les principaux facteurs à l origine de la production d ozone, polluant à caractère régional. Ces conditions étaient notamment réunies à la fin du mois d avril Au cours de ce mois, le cycle de formation (diurne) / destruction (nocturne) de l ozone s observe (figure 11). Le seuil d information et de recommandation de 180 µg/m 3 en moyenne horaire n a pas été dépassé au cours des deux campagnes de mesures µg/m 3 Période du 01/04 au 27/04/2008 : moyenne horaire en ozone (µg/m 3 ) Période du 21/11/2008 au 06/01/2009 : moyenne horaire en ozone (µg/m 3 ) Seuil d'information et de recommandation 01/04/08 03/04/08 05/04/08 07/04/08 09/04/08 11/04/08 13/04/08 15/04/08 17/04/08 19/04/08 21/04/08 23/04/08 25/04/08 27/04/08 21/11/08 23/11/08 25/11/08 27/11/08 29/11/08 01/12/08 03/12/08 05/12/08 07/12/08 09/12/08 11/12/08 13/12/08 15/12/08 17/12/08 19/12/08 21/12/08 23/12/08 25/12/08 27/12/08 29/12/08 31/12/08 02/01/09 04/01/09 06/01/09 Figure 11 : moyennes horaires en O 3 mesurées lors des périodes estivale et hivernale Les graphiques de la figure 12 présentent les maxima journaliers des moyennes glissantes sur 8 heures en ozone. Tout comme pour les moyennes horaires, les valeurs les plus élevées ont été obtenues au cours de la période estivale de Ces dernières ont progressivement augmenté à la fin de la campagne pour dépasser l objectif à long terme de 120 µg/m 3, maximum journalier de la moyenne glissante sur 8 heures, le 27/04/08. A la station de mesure de Spicheren, en typologie périurbaine, les dépassements de l objectif à long terme se sont observés dès le 26/04/08 avec un maxima journalier de la moyenne glissante sur 8 heures de 151 µg/m 3 le 27/04/08. Pour d autres stations comme la station rurale de Volmunster, aucun dépassement n avait été constaté pour cette même période. 140 µg/m 3 Période du 01/04 au 27/04/2008 : maximum journalier de la moyenne glissante sur 8 heures en ozone (µg/m 3 ) Période du 21/11/2008 au 06/01/2009 : maximum journalier de la moyenne glissante sur 8 heures en ozone (µg/m 3 ) Objectif à long terme /04/08 03/04/08 05/04/08 07/04/08 09/04/08 11/04/08 13/04/08 15/04/08 17/04/08 19/04/08 21/04/08 23/04/08 25/04/08 27/04/08 21/11/08 23/11/08 25/11/08 27/11/08 29/11/08 01/12/08 03/12/08 05/12/08 07/12/08 09/12/08 11/12/08 13/12/08 15/12/08 17/12/08 19/12/08 21/12/08 23/12/08 25/12/08 27/12/08 29/12/08 31/12/08 02/01/09 04/01/09 06/01/09 Figure 12 : maximum journalier des moyennes glissantes 8 heures en O 3 mesurées lors des périodes estivale et hivernale 2008/04/ /01/06_Willerwald_LM-TP_RC 23

24 Le tableau suivant présente un bilan des résultats obtenus pour l ozone au cours des deux périodes de mesures à Willerwald en Tableau XIV : bilan des résultats obtenus en ozone pour chaque période de mesure Période estivale du 01/04 au 27/04/08 Période hivernale du 21/11/08 au 06/01/09 Taux de données valides 99 % 99 % Oui Constat de dépassements de valeurs Le 27/04/08 : dépassement de l objectif à long terme (120 µg/m 3 : réglementaires maximum journalier en moyenne Non glissante sur 8 heures) Maximum journalier de la moyenne glissante 8 heures Maximum moyenne horaire 124 µg/m 3 Le 27/04/ µg/m 3 Le 27/04/08 à 16h00 (heure T.U.) 58 µg/m 3 Le 22/11/08 62 µg/m 3 Le 22/11/08 à 18h00 (heure T.U.) Pour l ozone, la reconstitution de données aurait été choisie pour calculer le nombre de dépassements des différents seuils réglementaires appliqués au polluant pour des pas de temps horaires ou journaliers. Cependant, de part ses caractéristiques, l ozone se forme essentiellement en période estivale ce qui nécessite qu une surveillance conséquente soit définie sur cette période. La directive 2008/50/CE indique une période minimale de mesure supérieure à 10 % exclusivement en été. Or, la période estivale de mesure (avril 2008) n est pas propice à l observation de pics de pollution et ne permet pas d estimer un nombre de dépassements de valeurs seuils sur l année entière. 3.4 Les particules PM10 En Lorraine, comme en France, les principales sources d émissions de particules en suspension dans l air sont l industrie (près de 28 %), puis l agriculture (24%), suivi par le résidentiel/tertiaire (21%) et le transport routier (15%). (Source : inventaire régional des émissions en 2002 méthodologie 2006) µg/m 3 Période du 01/04 au 27/04/2008 : moyenne glissante 24 heures en particules PM10 (µg/m 3 ) Période du 21/11/2008 au 06/01/2009 : moyenne glissante 24 heures en particules PM10 (µg/m 3 ) Seuil d'information et de recommandation 01/04/08 03/04/08 05/04/08 07/04/08 09/04/08 11/04/08 13/04/08 15/04/08 17/04/08 19/04/08 21/04/08 23/04/08 25/04/08 27/04/08 21/11/08 23/11/08 25/11/08 27/11/08 29/11/08 01/12/08 03/12/08 05/12/08 07/12/08 09/12/08 11/12/08 13/12/08 15/12/08 17/12/08 19/12/08 21/12/08 23/12/08 25/12/08 27/12/08 29/12/08 31/12/08 02/01/09 04/01/09 06/01/09 Figure 13 : moyennes glissantes 24 heures en PM10 mesurées lors des périodes estivale et hivernale La figure 13 présente les moyennes glissantes 24 heures pour les particules PM /04/ /01/06_Willerwald_LM-TP_RC 24

25 Par rapport au seuil d information et de recommandation de 80 µg/m 3, calculé en moyenne glissante sur 24 heures à 8h00 et 14h00, heure locale, aucun dépassement n a été constaté au cours de la période hivernale. Il en a été de même pour l ensemble des mesures de particules PM10 effectuées sur le secteur de Moselle-Est. Concernant l évolution des moyennes journalières en particules PM10, nous observons des pics plus importants au cours de la période hivernale. La période estivale a présenté des oscillations qui se situaient entre 10 et 40 µg/m 3, la moyenne journalière maximale de 39 µg/m 3 ayant été atteinte le 23/04/ µg/m 3 Période du 01/04 au 27/04/2008 : moyenne journalière en particules PM10 (µg/m 3 ) Période du 21/11/2008 au 06/01/2009 : moyenne journalière en particules PM10 (µg/m 3 ) Seuil d'information et de recommandation 01/04/08 03/04/08 05/04/08 07/04/08 09/04/08 11/04/08 13/04/08 15/04/08 17/04/08 19/04/08 21/04/08 23/04/08 25/04/08 27/04/08 21/11/08 23/11/08 25/11/08 27/11/08 29/11/08 01/12/08 03/12/08 05/12/08 07/12/08 09/12/08 11/12/08 13/12/08 15/12/08 17/12/08 19/12/08 21/12/08 23/12/08 25/12/08 27/12/08 29/12/08 31/12/08 02/01/09 04/01/09 06/01/09 Figure 14 : moyenne journalière en PM10 mesurées lors des périodes estivale et hivernale Au cours de la période hivernale, deux jours de dépassements de la valeur limite journalière de 50 µg/m 3 (à ne pas dépasser plus de 35 fois au cours d une année) ont été constatés les 30 et 31 décembre Sur le secteur de Moselle-Est, d autres stations ont présenté des dépassements de la valeur limite journalière, à savoir Freyming-Merlebach (typologie urbaine sous influence du trafic routier), L Hôpital-Bois-Richard et Carling (typologie de proximité industrielle). La comparaison de l évolution des mesures de PM10 à Willerwald avec celles ayant présentées des dépassements en période hivernale montre de très bonnes corrélations. Pour la période hivernale, la moyenne obtenue à Willerwald est la plus élevée par rapport à celles qui ont été mesurées sur le secteur de Moselle-Est. Les niveaux de concentrations se rapprochent des valeurs obtenues en proximité industrielle. Au cours de cette période, nous pouvons émettre l hypothèse que les activités industrielles du secteur ont contribué à l augmentation du niveau de fond en particules PM10, au même titre que les émissions du résidentiel/tertiaire et du trafic routier. 2008/04/ /01/06_Willerwald_LM-TP_RC 25

26 Tableau XV : bilan des résultats obtenus en particules PM10 pour chaque période de mesure Période estivale du 01/04 au 27/04/08 Taux de données valides 99 % 85 % Période hivernale du 21/11/08 au 06/01/09 Oui Constat de dépassements de valeurs Les 30/12 et 31/12/08 : Non dépassement de la réglementaires valeur limite journalière de 50 µg/m 3 Maximum moyenne journalière 39 µg/m 3 67 µg/m 3 Le 23/04/08 Le 31/12/08 Maximum moyenne glissante 24 heures 40 µg/m 3 69 µg/m 3 Le 24/04/08 Le 01/01/09 Moyenne période de mesure 20 µg/m 3 26 µg/m 3 Moyenne annuelle brute 23 µg/m 3 Estimation de la moyenne annuelle par reconstitution de données Non déterminée* * La moyenne annuelle en particules PM10 n a pas été estimée car la méthode de reconstitution des données a été développée pour des sites de typologie de fond (urbaine, périurbaine, rurale). 3.5 Le monoxyde de carbone Entre la période estivale et la période hivernale, les concentrations en monoxyde de carbone sont restées très faibles. Les maxima journaliers de la moyenne glissante sur 8 heures ont été obtenus au cours la période hivernale (0,9 mg/m 3 les 01/04 et 04/04/09) µg/m 3 Période du 01/04 au 27/04/2008 : maximum journalier de la moyenne glissante sur 8 heures en monoxyde de carbone (mg/m 3 ) Période du 21/11/2008 au 06/01/2009 : maximum journalier de la moyenne glissante sur 8 heures en monoxyde de carbone (mg/m 3 ) Valeur limite /04/08 03/04/08 05/04/08 07/04/08 09/04/08 11/04/08 13/04/08 15/04/08 17/04/08 19/04/08 21/04/08 23/04/08 25/04/08 27/04/08 21/11/08 23/11/08 25/11/08 27/11/08 29/11/08 01/12/08 03/12/08 05/12/08 07/12/08 09/12/08 11/12/08 13/12/08 15/12/08 17/12/08 19/12/08 21/12/08 23/12/08 25/12/08 27/12/08 29/12/08 31/12/08 02/01/09 04/01/09 06/01/09 Figure 15 : maximum journalier des moyennes glissantes 8 heures en CO mesurées lors des périodes estivale et hivernale Aucun dépassement de la valeur limite de 10 mg/m 3, maximum journalier de la moyenne glissante sur 8 heures, n a été mesuré. 2008/04/ /01/06_Willerwald_LM-TP_RC 26

27 Tableau XVI : bilan des résultats obtenus en monoxyde de carbone pour chaque période de mesure Période estivale du 01/04 au 27/04/08 Taux de données valides 74 % 59 % Constat de dépassements de valeurs réglementaires Non Non Maximum moyenne horaire 0,7 mg/m 3 Le 08/04/08 à 5h00 (heure T.U.) Période hivernale du 21/11/08 au 06/01/09 1,0 mg/m 3 Le 01/01/09 de 1h00 à 5h00 et le 04/01/09 à 8h00 (heure T.U.) Maximum journalier de la moyenne 0,5 mg/m 3 0,9 mg/m 3 glissante 8 heures Les 03/04, 08/04, 11/04 et 19/04/08 Les 01/01 et 04/01/09 Moyenne période de mesure Non déterminée* Non déterminée* *Le taux de données valides sur les deux périodes de mesures ne permet pas de calculer la moyenne de monoxyde de carbone sur chaque période considérée. Les résultats obtenus en monoxyde de carbone sont inférieurs aux mesures effectuées en milieu urbain de fond (Thionville-Centre et Metz-Centre) dont les moyennes, par période de mesures, se situaient entre 0,3 et 0,4 µg/m Résultats de la campagne menée avec les tubes passifs L ensemble des mesures obtenues lors de la campagne effectuée avec les tubes passifs est présenté en annexe D. La densité de sites de mesures était plus importante sur les communes de Sarralbe et de Hambach afin d apprécier la répartition des concentrations des différents polluants mesurés sur la zone d étude, sur les secteurs les plus peuplés et susceptibles d être impactés par les émissions industrielles. 4.1 Le dioxyde d azote A titre d indication, toutes les valeurs de dioxyde d azote mesurées pendant les deux semaines de la campagne ont respecté la valeur limite annuelle de 40 µg/m 3 applicable en La figure de la page suivante présente le résultat de l interpolation des concentrations moyennes de dioxyde d azote mesurées du 13/05 au 27/05/2008. Sur la majorité de la zone d étude, les concentrations en dioxyde d azote se situent entre 11 et 20 µg/m 3. En milieu relativement éloigné de tout axe routier, les concentrations moyennes en dioxyde d azote se situent autour de 10 µg/m 3. On peut toutefois observer quatre secteurs de mesures où les concentrations moyennes en dioxyde d azote sont plus élevées (secteur en jaune). Chacune de ces zones intègrent le passage d un axe routier avec un trafic relativement important et dont les émissions des véhicules influencent les niveaux de concentrations en dioxyde d azote dans leur environnement proche. 2008/04/ /01/06_Willerwald_LM-TP_RC 27

Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg

Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg Etude de la qualité de l air en proximité automobile sur la Communauté Urbaine de Strasbourg Simulation état 2006 Avec le soutien de la Communauté Urbaine de Strasbourg Strasbourg Communauté Urbaine ASPA

Plus en détail

BILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011

BILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011 18/06/2012 QUALITAIR CORSE BILAN PSQA ANNEES 2010 ET 2011 Bilan PSQA 2010-2015 version 2012 Savelli Page blanche TABLE DES MATIERES Introduction... 1 1 Composition et financement de l association... 2

Plus en détail

Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014»

Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Projet d ensemble commercial Ametzondo Tableau 7: Emissions polluantes scénario «futur avec projet 2014» Remarques : Aucune émission ne sera prise en compte sur le parking pour un fonctionnement dominical.

Plus en détail

LIAISON A50 A57 TRAVERSEE

LIAISON A50 A57 TRAVERSEE LIAISON A5 A57 TRAVERSEE SOUTERRAINE DE TOULON SECOND TUBE (SUD) ANALYSE DES DONNEES DE QUALITE DE L AIR NOVEMBRE 27 A JANVIER 28 TOULON OUEST, PUITS MARCHAND, TOULON EST Liaison A5 A57 Traversée souterraine

Plus en détail

Quelle qualité de l air au volant? Premiers éléments de réponse en Ile-de-France

Quelle qualité de l air au volant? Premiers éléments de réponse en Ile-de-France Quelle qualité de l air au volant? ---------------------------- Les automobilistes sont nettement plus exposés à la pollution atmosphérique que les piétons, même à proximité des grands axes. Tel est le

Plus en détail

CARTOGRAPHIE FINE DES NIVEAUX DE DIOXYDE D AZOTE DANS LE COEUR DENSE DE L AGGLOMÉRATION PARISIENNE. Janvier 2012

CARTOGRAPHIE FINE DES NIVEAUX DE DIOXYDE D AZOTE DANS LE COEUR DENSE DE L AGGLOMÉRATION PARISIENNE. Janvier 2012 CARTOGRAPHIE FINE DES NIVEAUX DE DIOXYDE D AZOTE DANS LE COEUR DENSE DE L AGGLOMÉRATION PARISIENNE Janvier 2012 AIRPARIF Surveillance de la Qualité de l Air en Ile-de-France Cartographie fine des niveaux

Plus en détail

III RESULTATS LE LONG DU TRACE PREFERENTIEL DE LA LIGNE 2

III RESULTATS LE LONG DU TRACE PREFERENTIEL DE LA LIGNE 2 FUTURE LIGNE 2 DE TRAMWAY DE L'AGGLOMERATION DE MONTPELLIER Etat initial des principaux traceurs de la pollution liée au trafic routier Résumé Rédacteur : AFM Date : 29/1/3 pages I CONTEXTE Etude réalisée

Plus en détail

Exposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles

Exposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles Exposition de la Population aux Polluants atmosphériques en Europe Projet PEOPLE à Bruxelles Description du projet Parmi les activités liées à la santé qui sont menées à l Unité d Emissions et de Santé

Plus en détail

ÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN

ÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN ÉVALUATION PROSPECTIVE DES ÉMISSIONS ET DES CONCENTRATIONS DE POLLUANTS ATMOSPHÉRIQUES À L HORIZON 2020 EN ÎLE-DE-FRANCE - GAIN SUR LES ÉMISSIONS EN 2015 Révision du Plan de Protection de l Atmosphère

Plus en détail

DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88)

DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88) DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88) Ce document a été réalisé en collaboration avec APAVE Alsacienne SAS 3 rue de l Euron BP 21055 Maxeville 54522 LAXOU Cedex Références

Plus en détail

1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.

1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. 1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin

Plus en détail

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?

Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la

Plus en détail

Zoom sur le métier de technicien(ne) d exploitation

Zoom sur le métier de technicien(ne) d exploitation Bulletin trimestriel - mai - juin Zoom sur le métier de technicien(ne) d exploitation L équipe d Atmo Auvergne se compose de 12 personnes réparties dans les pôles : administration, études/communication,

Plus en détail

Mesurage de la qualité acoustique de revêtements. acoustique de revêtements

Mesurage de la qualité acoustique de revêtements. acoustique de revêtements Monitoring de la performance acoustique d un d revêtement phonoabsorbant en milieu urbain François Aballéa, Pierre-Jean René a Olivier Schalbetter, Lucien Pignat b Daniel Vaucher de la Croix, Fabien Lassablière

Plus en détail

DOSSIER : L OZONE SOUS TOUTES SES COUTURES

DOSSIER : L OZONE SOUS TOUTES SES COUTURES DOSSIER : L OZONE SOUS TOUTES SES COUTURES Avec le soleil et la chaleur de l été, c est aussi les épisodes de pollution à l ozone qui reviennent. Le dossier ci-dessous propose de répondre aux 12 questions

Plus en détail

de l air pour nos enfants!

de l air pour nos enfants! B u l l e t i n d e l O Q A I n 1 Crèches et lieux d enseignement : de l air pour nos enfants! Le programme de l OQAI «Lieux de vie fréquentés par les enfants» a débuté en 2006. Une première phase de recueil

Plus en détail

Introduction 1. 1/ Présentation de l étude 2. 1.1/ Contexte environnemental du port 2. 1.2/ Mode opératoire de l étude 3. 2/ Résultats de l étude 5

Introduction 1. 1/ Présentation de l étude 2. 1.1/ Contexte environnemental du port 2. 1.2/ Mode opératoire de l étude 3. 2/ Résultats de l étude 5 EVALUATION DE LA QUALITE DE L AIR SUR LA ZONE DU PORT DE NICE Janvier - Mars / Août - Septembre 25 SOMMAIRE Introduction 1 1/ Présentation de l étude 2 1.1/ Contexte environnemental du port 2 1.2/ Mode

Plus en détail

La gamme SAM ARGOPOL

La gamme SAM ARGOPOL La gamme SAM ARGOPOL La gamme : SAM ARGOPOL 2 Les systèmes d acquisition SAM ARGOPOL La gamme SAM ARGOPOL se compose d un ensemble de stations d acquisition de données. Robustes, fiables, modulaires, elles

Plus en détail

Surveiller la qualité de l air avec les élèves

Surveiller la qualité de l air avec les élèves Surveiller la qualité de l air avec les élèves L air que nous respirons est à la fois l affaire et la responsabilité de tous. La santé publique, l environnement et les conditions de vie future sur Terre,

Plus en détail

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)

4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4) PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com

Plus en détail

CHROMATOGRAPHE BTEX GC 5000 BTX

CHROMATOGRAPHE BTEX GC 5000 BTX FICHE PRODUIT - Le a été spécialement développé pour la surveillance en continu des polluants organiques dans l air ambiant dans la gamme C4-C12. L instrument se caractérise par son design compact et sa

Plus en détail

Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes

Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes ATMO Poitou-Charentes, centre régional de surveillance de la qualité de l air Bilan d activité 2013 de la surveillance des pollens en Poitou-Charentes Crédit-photo : Gérard Sulmont (RNSA) Référence : POLN_EXT_12_193

Plus en détail

Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès

Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès Véhicules Propres pour l amélioration de la qualité de l air Les Stratégies de progrès Andre Douaud Ancien Directeur Technique Constructeurs Français Automobiles CCFA À Rabat, Avril 21 Moteurs et Carburants

Plus en détail

Descriptif du dispositif - décembre 2003 -

Descriptif du dispositif - décembre 2003 - www.respiralyon.org Descriptif du dispositif - décembre 2003 - Communiqué de presse du 24 novembre 2003 Lancement du dispositif RESPIRALYON La qualité de l air dans l agglomération lyonnaise est l une

Plus en détail

Surveillance de la qualité de l air : Description du système français d'assurance qualité

Surveillance de la qualité de l air : Description du système français d'assurance qualité Surveillance de la qualité de l air : Description du système français d'assurance qualité NOVEMBRE 2010 Tatiana Macé (LNE) François Mathé (EMD) Eva Léoz-Garziandia (INERIS) PREAMBULE Le Laboratoire Central

Plus en détail

MESURES DE BRUIT A l ÉTAT INITIAL

MESURES DE BRUIT A l ÉTAT INITIAL DOSSIER DE DEMANDE D AUTORISATION D EXPLOITER UNE UNITE DE METHANISATION DE MATIERES ORGANIQUES Siège social : FRANCE BIOGAZ VALORISATION 12 rue Finkmatt 67000 STRASBOURG Tél. : 03 88 23 47 72 Fax : 03

Plus en détail

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque

Plus en détail

Ensemble nous aurons l air meilleur!

Ensemble nous aurons l air meilleur! Les bons gestes au quotidien pour préserver la qualité de notre air Ensemble nous aurons l air meilleur! Saviez-vous que nous avons besoin d un litre et demi d eau et de 14 000 litres d air par jour pour

Plus en détail

par Maxime Lalonde-Filion

par Maxime Lalonde-Filion ANALYSE DES IMPACTS ÉNERGÉTIQUES ET ENVIRONNEMENTAUX ASSOCIÉS À L'IMPLANTATION MASSIVE DES VÉHICULES HYBRIDES ÉLECTRIQUES RECHARGÉS PAR LE RÉSEAU (PLUG-IN HYBRID ELECTRIC VEHICLE : PHEV) AUX ÉTATS-UNIS

Plus en détail

Evaluation des performances métrologiques des appareils de mesure spécifiques de l'air intérieur

Evaluation des performances métrologiques des appareils de mesure spécifiques de l'air intérieur Air intérieur Evaluation des performances métrologiques des appareils de mesure spécifiques de l'air intérieur Décembre 2008 Programme 2008 C. MARCHAND PREAMBULE Le Laboratoire Central de Surveillance

Plus en détail

L énergie en France et en Allemagne : comparaisons

L énergie en France et en Allemagne : comparaisons L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les

Plus en détail

Tableau 1 Routes nouvelles ou modifiées : les infrastructures concernées

Tableau 1 Routes nouvelles ou modifiées : les infrastructures concernées Codes l'environnement Décret 95-22 du 9 janvier relatif à la limitation du bruit des aménagements et transports terrestres mai relatif au bruit des 97-110 du 12 relative à la prise en compte du bruit dans

Plus en détail

la climatisation automobile

la climatisation automobile Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous

Plus en détail

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser

Plus en détail

RESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE

RESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE DIRECTION GENERALE ADJOINTE CHARGEE DE L AMENAGEMENT ET DU DEVELOPPEMENT Service études et prospective RESUMÉ NON TECHNIQUE ELABORATION DES CARTES DE BRUIT COMMUNAUTE D AGGLOMERATION DU HAUT VAL DE MARNE

Plus en détail

] sommaire. > N Spécial > Juin 2009 > EDITO P. 2 P. 3 P. 4-6 P. 7-8 P. 9 P. 10-11. P. 12 L union fait la force Les laboratoires spécialisés

] sommaire. > N Spécial > Juin 2009 > EDITO P. 2 P. 3 P. 4-6 P. 7-8 P. 9 P. 10-11. P. 12 L union fait la force Les laboratoires spécialisés > N Spécial > Juin 2009 > EDITO L ASPA dans l air du temps Il est des intuitions qui portent en elles le germe d une œuvre remarquable. «L alliance locale pour surveiller la qualité de l air», telle était

Plus en détail

Évolution du climat et désertification

Évolution du climat et désertification Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture

Plus en détail

Campagne de mesures d exposition aux fibres d amiante par microscopie électronique à transmission analytique (META)

Campagne de mesures d exposition aux fibres d amiante par microscopie électronique à transmission analytique (META) Campagne de mesures d exposition aux fibres d amiante par microscopie électronique à transmission analytique (META) Synthèse des résultats et recommandations F. CLERC 1, C. EYPERT- BLAISON 1, M. GUIMON

Plus en détail

Le Bas-Rhin, locomotive de la région ALCA*?

Le Bas-Rhin, locomotive de la région ALCA*? Le, locomotive de la région ALCA*? * Alsace, Champagne-Ardenne, Lorraine Sources : Insee Pôle emploi-dares (STMT) Urssaf-Acoss A l échelle de la France métropolitaine, la region ALCA représente : 10,6

Plus en détail

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR

SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable

Plus en détail

Evaluation de modèles pour la simulation de la pollution à proximité des axes routiers

Evaluation de modèles pour la simulation de la pollution à proximité des axes routiers Modélisation et traitements numériques Evaluation de modèles pour la simulation de la pollution à proximité des axes routiers Novembre 2007 Programme 2007 A. Wroblewski (EMD), V. Riffault (EMD), J-Y. Chatelier

Plus en détail

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire

L échelle du ph est logarithmique, c està-dire Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance

Plus en détail

Résumé non technique. Tableaux d estimation

Résumé non technique. Tableaux d estimation Résumé non technique Tableaux d estimation 4 Chapitre 1 Introduction 5 E n application de la directive européenne 2002/49/CE, et de ses retranscriptions en droit français (décret 2006-361 du 24 mars 2006

Plus en détail

TechniSim Consultants 2 rue Saint Théodore 69003 Lyon Tél : 04 72 33 91 67 Email : technisim@wanadoo.fr

TechniSim Consultants 2 rue Saint Théodore 69003 Lyon Tél : 04 72 33 91 67 Email : technisim@wanadoo.fr Réf. : 090 510 082A V1 Valbonne Sophia Antipolis TechniSim Consultants 2 rue Saint Théodore 69003 Lyon Tél : 04 72 33 91 67 Email : technisim@wanadoo.fr Zone d Aménagement Concertée (ZAC) des Clausonnes

Plus en détail

LA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE : UNE COMPARAISON INSTRUCTIVE

LA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE : UNE COMPARAISON INSTRUCTIVE LA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE : UNE COMPARAISON INSTRUCTIVE Bernard LAPONCHE 18 mai 2011 www.global-chance.org LA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE UNE COMPARAISON

Plus en détail

Installations classées pour la protection de l'environnement Campagne de mesure de bruit SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3

Installations classées pour la protection de l'environnement Campagne de mesure de bruit SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3 SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3 II. MODE OPERATOIRE... 3 A. MATERIEL UTILISE... 3 1) Sonomètre... 3 2) Calibreur... 3 B. METHODE DE MESURE... 4 C. POSITIONNEMENT DU MATERIEL... 4 III. CAMPAGNE DE MESURE...

Plus en détail

Production électrique : la place de l énergie éolienne

Production électrique : la place de l énergie éolienne Production électrique : la place de l énergie éolienne I Production électrique : principes de base L énergie électrique n est pas un fluide que l on pourrait «mettre en conserve», l énergie électrique

Plus en détail

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie

Plus en détail

Prise en compte des aspects sanitaires dans les Plans Régionaux pour la Qualité de l Air.

Prise en compte des aspects sanitaires dans les Plans Régionaux pour la Qualité de l Air. Prise en compte des aspects sanitaires dans les Plans Régionaux pour la Qualité de l Air. Bilan des études d impact sanitaires de la pollution atmosphérique urbaine réalisées Ce document a été réalisé

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

Le nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques

Le nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques Le nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques à l'incinérateur Mars 2010 Travaux publics Gestion des matières résiduelles CONTENU DE LA PRÉSENTATION 1. L incinérateur 2. Obligations

Plus en détail

Réduction de la pollution d un moteur diesel

Réduction de la pollution d un moteur diesel AUBERT Maxime SUP B Professeur accompagnateur : DELOFFRE Maximilien SUP B Mr Françcois BOIS PAGES Simon SUP E Groupe n Réduction de la pollution d un moteur diesel Introduction L Allemand Rudolf Diesel

Plus en détail

Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles

Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Version du

Plus en détail

TOTAL EXCELLIUM DIESEL l assurance d une consommation maîtrisée

TOTAL EXCELLIUM DIESEL l assurance d une consommation maîtrisée TOTAL EXCELLIUM DIESEL l assurance d une consommation maîtrisée COnCEnTRÉ DE TECHnOLOGiE Maîtrisez vos consommations grâce au concentré de technologie TOTAL EXCELLIUM DIESEL ) ) Une meilleure protection

Plus en détail

CPCU Chaufferie de Vaugirard 25 rue Georges Pitard 75015 PARIS. À l attention de Madame JOYCE-ERMOLLI RAPPORT DE VÉRIFICATION

CPCU Chaufferie de Vaugirard 25 rue Georges Pitard 75015 PARIS. À l attention de Madame JOYCE-ERMOLLI RAPPORT DE VÉRIFICATION CPCU Chaufferie de Vaugirard 25 rue Georges Pitard 75015 PARIS À l attention de Madame JOYCE-ERMOLLI RAPPORT DE VÉRIFICATION NIVEAUX SONORES ÉMIS DANS L ENVIRONNEMENT EN RÉFÉRENCE À L ARRÊTÉ DU 23 JANVIER

Plus en détail

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015

Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015 Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence

Plus en détail

Mortalité observée et mortalité attendue au cours de la vague de chaleur de juillet 2006 en France métropolitaine

Mortalité observée et mortalité attendue au cours de la vague de chaleur de juillet 2006 en France métropolitaine Mortalité observée et mortalité attendue au cours de la vague de chaleur de uillet en France métropolitaine FOUILLET A 1, REY G 1, JOUGLA E, HÉMON D 1 1 Inserm, U75, Villeuif, France. Inserm CépiDc, IFR9,

Plus en détail

Enjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise

Enjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise Enjeux de la sécurisation durable d anciennes décharges en Alsace par la chimie bâloise Journées d échanges franco-suisses sur la gestion des sites et sols pollués 14 15 juin 2012 Hans-Jürg Reinhart Carine

Plus en détail

Prescriptions Techniques

Prescriptions Techniques Prescriptions Techniques Application du décret n 2004-555 du 15 juin 2004 relatif aux prescriptions techniques applicables aux Canalisations et Raccordements des installations de transport, de distribution

Plus en détail

Bilan électrique français ÉDITION 2014

Bilan électrique français ÉDITION 2014 Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions

Plus en détail

1 INTERET ET ELEMENTS D INTERPRETATION DE L INDICATEUR

1 INTERET ET ELEMENTS D INTERPRETATION DE L INDICATEUR Fiche méthodologique INDICATEUR : L DEN LIÉ AU TRAFIC AÉRIEN THEME : BRUIT 1 INTERET ET ELEMENTS D INTERPRETATION DE L INDICATEUR Question posée par l indicateur : Quelle est la répartition spatiale des

Plus en détail

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51

Plus en détail

Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007

Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 SENTINELLE. (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) Réf. : ANR-07-PCO2-007 Monitoring de surface de sites de stockage de CO 2 (Pilote CO2 de TOTAL Lacq-Rousse, France) SENTINELLE Réf. : ANR-07-PCO2-007 Ph. de DONATO (INPL-CNRS) (Coordonnateur) PARTENAIRES Durée : 3 ans + 7 mois

Plus en détail

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l

Plus en détail

APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc.

APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc. APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS Gilles Rivard, ing. M. Sc. Québec 15 mars 2012 PRÉSENTATION Particularités des petits bassins

Plus en détail

ETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE

ETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE ETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE PROJET D AMÉNAGEMENT D UN CENTRE DE STOCKAGE DE SEDIMENTS Commune de Bessines-sur-Gartempe Maître d Ouvrage AREVA Etablissement de Bessines 1, Avenue du Brugeaud 87250 Bessines

Plus en détail

SOLAIRE BALLERUP LA VILLE CONTEXTE. (Danemark) Ballerup

SOLAIRE BALLERUP LA VILLE CONTEXTE. (Danemark) Ballerup SOLAIRE BALLERUP (Danemark) Utiliser l énergie solaire thermique avec un système de stockage de chaleur classique à accumulation et à régulation sur une longue période est une des alternatives les plus

Plus en détail

LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE?

LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE? LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE? Jean-Pierre SAWERYSYN 1 Matthieu OGET 2 Corinne SCHADKOWSKI 3 Judith TRIQUET 3 1 Professeur honoraire de l Université de Lille I, vice-président

Plus en détail

ACOUPHEN ENVIRONNEMENT GROUPEMENT COORDONNE PAR LA COMMUNE DE MONTESSON ETUDE REALISEE POUR LE COMPTE DU : RAPPORT D ETUDE RA-080001-07-A

ACOUPHEN ENVIRONNEMENT GROUPEMENT COORDONNE PAR LA COMMUNE DE MONTESSON ETUDE REALISEE POUR LE COMPTE DU : RAPPORT D ETUDE RA-080001-07-A MANAGEMENT DE L SONORE WWW.ACOUPHEN-.COM CONTACT@ACOUPHEN-.COM SIEGE SOCIAL LYON CAMPUS DE LA DOUA 66, BD NIELS BOHR B.P. 52132 69603 VILLEURBANNE CEDEX TEL / 33 (0)4 72 69 01 22 FAX / 33 (0)4 72 44 04

Plus en détail

DeltaCal BGI. Débitmètre étalon

DeltaCal BGI. Débitmètre étalon Débitmètre étalon DeltaCal BGI Mesure simultanée du débit volumique, débit normalisé, température et pression Fonctionnement manuel ou automatique, optimisé pour une utilisation sur le terrain Large gamme

Plus en détail

PROTECTION EN CAS D URGENCE DANS L ENVIRONNEMENT DE LA CENTRALE NUCLEAIRE DE CATTENOM

PROTECTION EN CAS D URGENCE DANS L ENVIRONNEMENT DE LA CENTRALE NUCLEAIRE DE CATTENOM PROTECTION EN CAS D URGENCE DANS L ENVIRONNEMENT DE LA CENTRALE NUCLEAIRE DE CATTENOM Informations pour la population de Rhénanie-Palatinat Editeur: Aufsichts- und Dienstleistungsdirektion Willy- Brandt-

Plus en détail

FICHE DE DONNEES DE SECURITE

FICHE DE DONNEES DE SECURITE PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille

Plus en détail

Table des matières. Date 31/01/2007 Remplace la version du 11/01/2006. Auteur et mise à jour Approuvé Type de document CBP monitoring de l air et MPP

Table des matières. Date 31/01/2007 Remplace la version du 11/01/2006. Auteur et mise à jour Approuvé Type de document CBP monitoring de l air et MPP Procére : Code de bonnes pratiques pour indivielle dans le cadre de travaux Table des matières 1 Objectif... 1 2 Champ d application... 1 3 Références... 1 4 Définitions... 1 5 Procére... 1 5.1 Introction...

Plus en détail

METEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM

METEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM METEOROLOGIE Aéroclub Besançon La Vèze F-SO au FL65 over LFQM Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1 L air L atmosphère terrestre L humidité La stabilité, l instabilité La convection/l advection Les masses d air

Plus en détail

TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance

TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR Tâche T4.2 : Mise en service des installations Compétence C1.2 : Classer, interpréter, analyser Thème : S5 : Technologie des installations frigorifiques

Plus en détail

TECHNOLOGIES EXPERTISES RECHERCHES ANALYTIQUES EN ENVIRONNEMENT. SyPACV2. Système de prélèvement automatique compact - 2 ème génération

TECHNOLOGIES EXPERTISES RECHERCHES ANALYTIQUES EN ENVIRONNEMENT. SyPACV2. Système de prélèvement automatique compact - 2 ème génération TECHNOLOGIES EXPERTISES RECHERCHES ANALYTIQUES EN ENVIRONNEMENT Ingénierie SyPACV2 Système de prélèvement automatique compact - 2 ème génération 2012 SOMMAIRE 1. Le service Ingénierie 2. Qu est-ce que

Plus en détail

Station météo sans fil avec température, Alerte Gel et horloge radio pilotée Modèle: BAR386

Station météo sans fil avec température, Alerte Gel et horloge radio pilotée Modèle: BAR386 Station météo sans fil avec température, Alerte Gel et horloge radio pilotée Modèle: BAR386 MANUEL DE L UTILISATEUR TABLE DES MATIÈRES Introduction... 2 Vue d Ensemble de l Horloge... 2 Face Avant... 2

Plus en détail

URBAIN-RURAL : DE QUOI PARLE-T-ON?

URBAIN-RURAL : DE QUOI PARLE-T-ON? URBAIN-RURAL : DE QUOI PARLE-T-ON? B.H. Nicot 1 Juin 2005 «Entre 1990 et 1999, le rural en France métropolitaine a connu une croissance démographique de 4,2 % sur la période, tandis que l urbain ne croissait

Plus en détail

PROJET D ELECTRIFICATION PAR CENTRALE HYBRIDE SOLAIRE-DIESEL A DJENNE ------ TERMES DE REFERENCE

PROJET D ELECTRIFICATION PAR CENTRALE HYBRIDE SOLAIRE-DIESEL A DJENNE ------ TERMES DE REFERENCE MINISTERE DE L ENERGIE ET REPUBLIQUE DU MALI DE L HYDRAULIQUE Un Peuple Un But Une Foi ***** ***** DIRECTION NATIONALE DE L ENERGIE ***** PROJET D ELECTRIFICATION PAR CENTRALE HYBRIDE SOLAIRE-DIESEL A

Plus en détail

Le Conseil Municipal,

Le Conseil Municipal, MF/EG SEANCE DU 13 FÉVRIER 2006 2006/6197 - INSTALLATION CLASSÉE POUR L'ENVIRONNEMENT SOUMISE À AUTORISATION - DEMANDE D'AUTORISATION PRÉSENTÉE PAR LA SOCIÉTÉ OMNITHERM EN VUE DE MODIFIER LES INSTALLATIONS

Plus en détail

Energie et morphologie : vers la perdurabilité de la forme urbaine? Généralités et transports. Luc Adolphe

Energie et morphologie : vers la perdurabilité de la forme urbaine? Généralités et transports. Luc Adolphe Energie et morphologie : vers la perdurabilité de la forme urbaine? Généralités et transports Luc Adolphe RÉDUCTION DES BESOINS ÉNERGÉTIQUES DANS LES TRANSPORTS. Contexte : Densité, Mobilité Réduire

Plus en détail

LIDAR LAUSANNE 2012. Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés

LIDAR LAUSANNE 2012. Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés LIDAR LAUSANNE 2012 Nouvelles données altimétriques sur l agglomération lausannoise par technologie laser aéroporté et ses produits dérivés LIDAR 2012, nouveaux modèles altimétriques 1 Affaire 94022 /

Plus en détail

Test électoral 2014 de la RTBF

Test électoral 2014 de la RTBF ÉLECTIONS 2014 Test électoral 2014 de la RTBF L AVIS DES PRINCIPAUX PARTIS FRANCOPHONES EN MATIÈRE DE MOBILITÉ NIVEAU FÉDÉRAL Les voitures de société doivent être taxées plus fortement Il s agit avant

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE POSTE METALLIQUE

FICHE TECHNIQUE POSTE METALLIQUE CEL FRANCE Sarl au capital de 40 000E RC Alès 97RM 300 SIRET 410 748 875 00011 TVA CEE FR56410748875 NAF 316D Tableaux HTA Transformateur HTA Postes de transformation TGBT Disjoncteur BT www.cel france.com

Plus en détail

METEOROLOGIE CAEA 1990

METEOROLOGIE CAEA 1990 METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les

Plus en détail

l entretien des chaudières

l entretien des chaudières Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d

Plus en détail

Concerne : Avis relatif à la problématique de l ozone Note de cabinet CAB/RD/RW/JPD/DD/2003 du 27.08.2003 N CSH : 7915

Concerne : Avis relatif à la problématique de l ozone Note de cabinet CAB/RD/RW/JPD/DD/2003 du 27.08.2003 N CSH : 7915 SPF Santé publique, Sécurité de la Chaîne alimentaire et Environnement Bruxelles, le 29.09.2003 Monsieur le Ministre Demotte CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE Concerne : Avis relatif à la problématique de l

Plus en détail

1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2

1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2 EXTRAIT DE LA DECLARATION ENVIRONNEMENTALE et SANITAIRE CONFORME A LA NORME NF P 01-010 PROFILES PVC DE DECORATION ET D AMENAGEMENT INTERIEURS ET EXTERIEURS Edition DECEMBRE 2005 SNEP - Profilés PVC de

Plus en détail

Energie solaire www.euroclima.fr

Energie solaire www.euroclima.fr Chaudières françaises fabriquées en Alsace depuis 1973 Energie solaire www.euroclima.fr E U R O C L i M A Un système complet La clé de l efficience solaire réside dans l association et l optimisation des

Plus en détail

Mesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-013) Version CT-Q 2011-11-15

Mesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-013) Version CT-Q 2011-11-15 Mesure et détection de substances dangereuses : EX-OX-TOX (IS-03) Version CT-Q 0--5 Groupe cible Collaborateurs qui doivent effectuer des mesures EX-OX-TOX sur un terrain d exploitation, les interpréter

Plus en détail

1- Résultats généraux Consommations moyennes pour l ensemble des voitures particulières * Unité : litre/100 km

1- Résultats généraux Consommations moyennes pour l ensemble des voitures particulières * Unité : litre/100 km CONSOMMATIONS DE CARBURANTS DES VOITURES PARTICULIERES EN FRANCE 1988-2005 Direction Générale de l'énergie et des Matières Premières Observatoire de l économie de l énergie et des matières premières Observatoire

Plus en détail

ENQUÊTE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS

ENQUÊTE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS ENQUÊTE SUR LA PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS Cette étude a été réalisée auprès de six entreprises de transport urbain de voyageurs, sur le territoire de la CINOR, sur la base des déclarations des

Plus en détail

ETUDE SUR LE PRIX DE MARCHE DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE EN ZONES RURALES FRAGILES

ETUDE SUR LE PRIX DE MARCHE DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE EN ZONES RURALES FRAGILES ETUDE SUR LE PRIX DE MARCHE DE L IMMOBILIER D ENTREPRISE EN ZONES RURALES FRAGILES SYNTHESE JUILLET 2004 DATAR - AATEC / ARGUYL - 2-29/07/04 OBJECTIF ET CONTEXTE L immobilier d entreprise est un enjeu

Plus en détail

Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d

Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes à l habitation et aux déplacements d des ménagesm Exemple d un ménage de 3 personnes habitant un logement de 100m² à Lille Métropole Mars

Plus en détail

Rapport. Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS

Rapport. Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS Rapport Mesures de champ de très basses fréquences à proximité d antennes de stations de base GSM et UMTS A.AZOULAY T.LETERTRE R. DE LACERDA Convention AFSSET / Supélec 2009-1 - 1. Introduction Dans le

Plus en détail

Installations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective. La Garantie de Résultats Solaires (GRS)

Installations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective. La Garantie de Résultats Solaires (GRS) Installations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective La Garantie de Résultats Solaires (GRS) Document réalisé avec le soutien technique de la Introduction Les installations concernées par la Garantie

Plus en détail

Bilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre

Bilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour

Plus en détail