memo L architecture régionale de sécurité en Asie du Sud-est OBSERVATOIRE ASIE DU SUD-EST
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- Thomas Perras
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1 L architecture régionale de sécurité en Asie du Sud-est memo OBSERVATOIRE ASIE DU SUD-EST Paris, 15 mai 2013 Séminaire annuel de l Observatoire Asie du Sud-est 71 boulevard Raspail Paris - France Tel : Fax : ww.centreasia.eu contact@centreasia.eu siret Orateurs (par ordre d intervention) : Hugues Tertrais (IRICE/Université Paris 1), Termsak Chalermpalanupap (ISEAS-Thaïlande/ Singapour), Sophie Boisseau du Rocher (chercheur indépendante), Lina Alexandra (CSIS-Indonésie), Marie-Sybille de Vienne (INALCO), Tan See Seng (RSIS-Singapour), Katja Freistein (Uni Bielefeld-Allemagne), Nazery Khalid (MIMA-Malaisie), Lee Jones (University of London-Royaume-Uni). Le séminaire avait pour thème «l architecture régionale de sécurité en Asie du Sud-est». L objectif était de rassembler des chercheurs aussi bien européens que sud-est asiatiques, de différentes générations, issus de la sphère académique et de think tanks, voire de l ASEAN, pour dresser un état des lieux précis et détaillé, au-delà des principes généraux trop souvent entendus. A cette fin, deux axes ont été ciblés : d une part, l identification des acteurs clefs et possibles moteurs (session 1) ; d autre part, l identification des cadres plus ou moins formels, larges ou ciblés à envisager (session 2). Session 1 : Quels chefs de file pour l architecture régionale de sécurité en Asie du Sud-est? Chairman : Hugues Tertrais est professeur des universités à l université Paris 1-Panthéon-Sorbonne. Il est docteur et agrégé en histoire, directeur du CHAC (Centre d histoire de l Asie contemporaine) au sein d IRICE (Identités, relations internationales et civilisations de l Europe)-UMR Il travaille sur l Asie dans les relations internationales et les relations internationales en Asie. Parmi ses dernières publications, citons, sous sa direction : La Chine et la mer. Sécurité et coopération régionale en Asie orientale et du Sud-est, Paris, l Harmattan, Rôle et poids du Secrétaire général ainsi que des présidences tournantes de l ASEAN (Association des Nations d Asie du Sud-est) Termsak Chalermpalanupap est research fellow à l ISEAS (Institute on Southeast Asian Studies) à Singapour. Il y est rattaché à l ASEAN Studies Centre. Cet ancien diplomate thaïlandais a œuvré vingt ans durant, jusqu en juillet 2012, dans le domaine de la coopération politique et sécuritaire au sein de l ASEAN. Il est également global associate du CIL (Centre for International Law) à NUS (National University of Singapore). Enfin, à l université de la Nouvelle-Orléans, aux Etats-Unis, il a reçu un doctorat en science politique.
2 En guise d introduction, Termsak Chalermpanupap rappelle que la communauté ASEAN (ASEAN Community) est construite sur trois piliers : la coopération en matière de politique, de sécurité et de diplomatie (ASEAN Political- Security Community) ; la coopération en matière de commerce, d économie et de finances (ASEAN Economic Community) ; la coopération en matière sociale, culturelle et fonctionnelle (ASEAN Socio-Cultural Community). Termsak Chalermpalanupap détaille ensuite les différents groupes de travail. Vient alors le temps de l analyse. Il souligne que l économie demeure le pilier prépondérant de l ASEAN et que les régimes politiques ne sont pas pris en compte comme condition d adhésion à l ASEAN (à l image de l adhésion aux Nations unies) ; enfin, le caractère égalitaire et consensuel de la structure ASEAN devrait en théorie rejaillir sur la présidence tournante de l ASEAN. En réalité, selon le pays qui préside l ASEAN, les préoccupations varient, simplement du fait de la très grande diversité des pays membres entre eux. La présidence de l ASEAN en 2011 par l Indonésie a ainsi été marquée par son poids démographique, la place prépondérante de la religion musulmane dans le pays, sa place dans le G20 et la relative jeunesse de son indépendance. Le thème de sa présidence était «ASEAN Community in a Global Community of Nations». Lorsque le Cambodge a présidé l ASEAN en 2012, ce sont les liens étroits qu il entretient avec la Chine qui ont été prégnants. Le slogan de la présidence cambodgienne était «One Community, One Destiny» En 2013, la présidence revient au Sultanat de Brunei. Selon Termsak Chalermpalanupap, rien de nouveau ne devrait sortir de cette présidence, dont le slogan est «Our People, Our Future Together». Enfin, la question épineuse de la présidence de l ASEAN par le Myanmar 1 a été repoussée à l année Outre les critiques de la communauté internationale qui, malgré l ouverture démocratique en cours du pays, pointe du doigt un régime militaire qui reste très autoritaire, des problèmes matériels se posent pour l organisation même de la présidence : la nouvelle capitale Naypyidaw ne possède pas d aéroport international. Le Myanmar va donc avoir besoin de l aide des autres pays membres pour organiser au mieux sa première présidence. Termsak Chalermpalanupap se penche enfin sur le rôle du Secrétaire général de l ASEAN, en l occurrence le Vietnamien Le Luong Minh qui a pris ses fonctions le 1 er janvier 2013, pour les cinq années à venir. Il insiste sur le fait que la nationalité du Secrétaire général n influence en rien le règlement des conflits à la zone, le conflit en mer de Chine méridionale étant l exemple type. Il relève à ce propos la récente demande des Philippines d amener le conflit de mer de Chine méridionale devant le Tribunal du Droit de la mer. 1 Terme utilisé par l orateur, plutôt que «Burma». 2. Le rôle des puissances régionales : le cas de l Indonésie Lina A. Alexandra est depuis 2002 chercheur au département des relations internationales au CSIS (Centre for Strategic and International Studies) à Jakarta. Elle est également rattachée au Centre for International Relations Studies à l Université d Indonésie et a obtenu un master de l université du Queensland, en Australie, en Les lecteurs du Jakarta Post profitent souvent de ses analyses. La problématique qui guide sa présentation consiste à savoir si l Indonésie est un possible chef de file pour l Asie du Sud-est. L exposé se concentre alors sur les perspectives des élites, la manière dont elles élaborent leur leadership et dont elles font face aux défis. De nombreux analystes s accordent à dire que l Indonésie se développe rapidement grâce à sa croissance économique, son expansion militaire et sa relative stabilité intérieure. L Indonésie est donc prête à proclamer son leadership dans la région. En réalité, elle peut effectivement devenir un chef de file mais seulement à long terme. Elle manque aujourd hui d une ligne de conduite claire de la part des élites elles-mêmes. Une question demeure en effet : comment avancer pas à pas sur la route du leadership? La vision des élites du rôle de l Indonésie en tant que leader se concentre sur la non-utilisation du hard power en parallèle avec l utilisation du soft power afin de mettre en avant un leadership intellectuel. Surtout, trop de concepts sont avancés, sans réelle consistance. L «équilibre dynamique», élaboré par l actuel ministre des Affaires étrangères Marty Natalegawa : cette idée décrit une situation plutôt qu un moyen pour atteindre un but. En sus, Lina Alexandra relève l absence de paramètres clairs lorsqu un tel équilibre est atteint. «Un million d amis, zéro ennemi», expression chère au président Susilo Bambang Yudhoyono, mais trop floue : un vrai leader devrait au contraire indiquer une prise de décision précise. «Bâtisseurs de ponts» : cette notion nécessite davantage de moyens pour pouvoir mener à bien cette mission dans l optique de gagner la confiance des partenaires. Néanmoins, des initiatives illustrent la volonté de leadership de l Indonésie : Le lancement de la Charte de l ASEAN, L engagement pour les droits de l homme, L engagement auprès du Myanmar, La volonté de résoudre les conflits inter-asean, comme entre le conflit entre la Thaïlande et le Cambodge notamment, Le Forum Démocratique de Bali. La conclusion invite au scepticisme : si certains expliquent que l Indonésie peut effectivement jouer un plus grand rôle, même au-delà des structures de l ASEAN, d autres pensent que l Indonésie ne peut prendre son envol à cause de ses problèmes internes : démocratie «désordonnée», 2
3 corruption, application difficile de la loi, etc. Pourtant, dans le voisinage plus ou moins proche, les grandes puissances ont grand espoir que l Indonésie puisse prendre de plus grandes responsabilités dans la région. 3. Le rôle des puissances extérieures : le cas de la Chine Sophie Boisseau du Rocher est docteur en science politique (IEP Paris), spécialiste de l Asie du Sud-est en général et de l ASEAN en particulier. Elle fut senior researcher au sein de l Asia Centre où elle était en charge de l observatoire Asie du Sud-est. En plus de ses interventions dans les médias et auprès des ministères, elle est l auteur de nombreuses publications, dont L Asie du Sud-est prise au piège, Paris, Perrin, Deux questions ont introduit l exposé : 1. A moyen terme : comment s accommoder du/ freiner le pouvoir militaire chinois au sein de l actuelle architecture de sécurité? 2. A long terme : comment composer avec les priorités chinoises sans mettre en danger la place de «premier protecteur» des Etats-Unis? En premier lieu, il convient de se demander si la Chine veut diviser ou renforcer l ASEAN. L échec du sommet de l ASEAN à Phnom Penh en novembre 2012 a été imputé à la Chine et à sa grande proximité avec le Cambodge. En parallèle, on ne peut nier l existence d un front uni de l ASEAN. Il apparait clairement que très peu de sujets, qu ils soient économiques, diplomatiques ou sécuritaires, ne peuvent aujourd hui être traités sans la participation de la Chine et sans un dialogue approfondi, constructif et productif avec celle-ci. C est d ailleurs d autant plus vrai dans le cas de l Asie du Sud-est. Dans un deuxième temps, on peut s interroger sur la stratégie «gagnant-gagnant» de la Chine pour savoir si elle est réellement avantageuse pour l ASEAN. Lors du sommet de Phnom Penh, il est apparu que la Chine souhaite renforcer le dialogue et la coopération dans les domaines sécuritaires stratégiques. La coopération dans ces champs pourrait prendre la forme d une expansion militaire et d un engagement (vente d armes, dialogue sur la sécurité régionale, échanges universitaires, exercices militaires communs) auprès de la Thaïlande, de l Indonésie et du Myanmar en temps de paix. La première étape pour que la Chine mette en place sa «coopération multipolaire» est d être perçue comme un partenaire stratégique fiable en Asie du Sud-est ; la seconde étape consiste à lier la sécurité à la stabilité politique et à la prospérité économique. Dans un troisième temps, il s agit de s interroger sur l architecture de sécurité actuelle en Asie du Sudest. L ASEAN est connue pour contribuer à une vision multipolaire du monde et il est important pour la Chine que l ASEAN soit perçue comme un pouvoir responsable. Par ailleurs, la coopération dans le domaine sécuritaire entre la Chine et l ASEAN a commencé dès 1994, et en 2012 s est tenu l ASEAN Maritime Forum, en partenariat avec la Chine. De son côté, la Chine entend bien peser dans les décisions prise par l ASEAN dans le domaine stratégique. Selon le ministre de la Défense chinois Chang Wanquan, la Chine et l ASEAN devraient «promouvoir une sécurité globale, commune et coopérative, et mettre en place une coopération pratique». Quels sont enfin les enjeux? Pour la Chine, il s agit de protéger ses intérêts nationaux tout en étant perçue comme un pouvoir responsable. Pour l ASEAN, il s agit de ne pas laisser les grandes puissances mener la danse, en particulier en mer de Chine du Sud. Pour les Etats-Unis, il s agit de mettre en œuvre sa stratégie du pivot et d éviter une concurrence sino-américaine en Asie du Sud-est. Pour l Union européenne, il s agit de rester dans la danse, mais à quel prix? En conclusion, l ASEAN doit faire tous les efforts possibles pour s assurer que la Chine devienne un partenaire inoffensif et non un partenaire hégémonique, notamment en renforçant de son côté son propre pouvoir. Traiter la Chine comme une ennemie et une menace peut être une prophétie auto-réalisatrice avec de possibles répercussions pour les pays d Asie du Sud-est. Un engagement constructif et global, plutôt qu une tentative d isolation ou de «containment» de la Chine apportera sans nul doute de biens meilleurs résultats. Les débats ont ensuite porté sur la place du Japon, face à la Chine, en Asie du Sud-est, sans que les participants s accordent sur ce point. Certes le Japon investit et finance beaucoup en/dans l ASEAN. Mais à quelle hauteur précisément? La Chine, en revanche, multiplie les accords avec l ASEAN environ une quarantaine, soit beaucoup plus que le Japon et agit souvent loin des médias. Session 2 : Quel cadre pour l architecture régionale de sécurité en Asie du Sud-est? Chairman : Marie-Sybille de Vienne est professeur des universités à l INALCO (Institut national des langues et civilisations orientales). Elle y enseigne l économie et la géopolitique de l Asie du Sud-est. Elle est rattachée à ASIEs (CASSE-Centre d études sur l Asie du Sud et du Sud-est) ainsi qu à l IRASEC (Institut de recherche sur l Asie du Sud-est contemporaine). Son dernier ouvrage s intitule Brunei : de la thalassocratie à la rente, Paris, CNRS éditions, Defence Diplomacy en Asie du Sud-est : ARF, ADMM+(8), Shangri-La Dialogue Tan See Seng (PhD, associate professor) est directeur adjoint et responsable de la recherche de l Institute for Defence and Strategic Studies (IDSS), au sein de la RSIS (S. Rajaratnam School of International Studies). Il y est également responsable du Centre for Multilateralism Studies. Il a co-publié (avec Ralf Emmers et Joseph C. Liow) une monographie titrée The East Asia Summit and the Regional Security Architecture, n (202), Maryland series in Contemporary Asian Studies. College Park, MD, University of Maryland, Plus récemment, il a co-dirigé avec Bhubhindar Singh : From boots to brogues: the Rise of Defence Diplomacy in Southeast Asia, Singapore, RSIS Monographs,
4 La présentation fut divisée en quatre temps. 1. Pouvoir régional et architecture de sécurité en Asie La distribution de la puissance en Asie a toujours inclus des grandes puissances régionales ou mondiales (Chine, Inde, Japon, Russie, Etats-Unis). L architecture de sécurité est un compromis politique qui comprend les grandes puissances mondiales mais largement défini et géré par l ASEAN, qui se révèle être un regroupement d Etats relativement faibles individuellement. Est-ce une anomalie politique dans le monde actuel? Toujours est-il que l Asie du Sud-est aujourd hui, connait une large variété de structures de gouvernance et d initiatives régionales, qu elles soient bilatérales ou multilatérales comme en témoigne le schéma ci-dessus. L excès d institutions régionales complique les tentatives d une grande puissance ou d un concert de grandes puissances de dominer l architecture de sécurité régionale en Asie du Sud-est. La géométrie variable de cette architecture entraine la création de plateformes de dialogue multiples, ce qui atténue les dilemmes de sécurité entre Etats. 2. Coopération de défense en Asie - La régionalisation de la défense de l OTASE à l ASEAN : Historiquement, on a d abord assisté à une transition d une défense collective (OTASE Organisation du traité de l Asie du Sud-est, ) à un régionalisme sécuritaire «indigène» qui rejette la défense collective et évite d inclure des membres non-régionaux (ASEAN). Il apparait clairement que les développements de l ASEAN ont été ad hoc plutôt que purement stratégiques. La défense collective se retrouve donc non pas au niveau de l ASEAN mais au sein des alliances des pays de la zone avec les Etats-Unis. - Une «Communauté de défense»? Du bilatéralisme au multilatéralisme : Le point de départ a été un rapprochement trilatéral entre l Indonésie, la Malaisie et Singapour, particulièrement dans le domaine maritime. En 2003, l ASEAN Defense Ministers Meeting (ADMM) a été lancé, suivi par l ADMM+ 2, puis plusieurs initiatives d ordre militaire et sécuritaire (aide humanitaire, sécurité maritime, lutte anti-terroriste). Derniers développements en date : des initiatives de coopération au niveau de l industrie de défense. 3. Inclure le monde extérieur : de la neutralité au «régionalisme ouvert» Il s était agi en premier lieu d une Zone for peace, freedom and neutrality (ZOPFAN, 1971), puis de groupements régionaux (APEC, East Asia Summit, etc.) qui ont inclus des pays extérieurs à la région, suivant une logique de protection, sans oublier les rencontres du type Shangri-La Dialogue. 4. Qu est-ce que la diplomatie de défense (Defence diplomacy)? Elle se définit comme l utilisation pacifique par un Etat de ses atouts et ressources, parmi ses outils de défense, afin d atteindre des résultats positifs dans le cadre de ses relations bilatérales ou multilatérales. La diplomatie de défense a pris son envol après la Guerre froide, et avec la diversification des missions pour les militaires (assistance en cas de catastrophe naturelle, aide humanitaire, etc.). Le concept se décline au niveau stratégique, opérationnel et tactique. 5. Aujourd hui, cette diplomatie de défense se décline en Asie du Sud-est à travers diverses rencontres : ADMM et ADMM +, ASEAN Regional Forum (ARF), Shangri-La Dialogue, Five Power Defense Arrangements (FPDA). En conclusion, selon Tan See Seng : il n existe pas de modèle cohérent de régionalisme défensif en Asie du Sud-est, l essentiel des activités et processus de défense 2 Avec en plus des pays de l ASEAN : la Chine, le Japon, la Corée du Sud (ASEAN+3), l Australie, l Inde, la Nouvelle-Zélande et la Russie, puis les Etats-Unis. 4
5 dans la zone ont une orientation davantage pragmatique que transformative : ils aident à maintenir des relations inter-étatiques stables au travers d un renforcement des normes de souveraineté, de non-ingérence et de nonagression, plutôt que de transformer la sécurité nationale et les relations stratégiques de chacun des pays membre, malgré tout, la volonté de l ASEAN d inclure dans cette architecture de sécurité tous ses membres, des «Etats révolutionnaires» aux «Etats normaux» prouve que quoique limitée une orientation transformative existe dans le champ de la défense. 2. Quels défis pour l ASEAN Political Security Community? Katja Freistein enseigne depuis 2011 à l université de Bielefeld, en Allemagne. Elle a au préalable été research associate à l université Goethe ainsi qu à l Institut de recherche pour la paix (HSFK) à Francfort. Avant d obtenir son doctorat, elle a notamment étudié la communication, l anglais et la science politique à Muenster ainsi qu à Tokyo. Parmi ses dernières publications, signalons : Institutioneller Wandel im (Kon)Text. Sicherheitsgemeinschaft und Charta im Diskurs der ASEAN, Baden-Baden, Hessische Stiftung Friedens- und Konfliktforshung (HSFK), Les principaux défis sécuritaires qui relèvent de l ASEAN Political Security Community (APSC) sont : les menaces traditionnelles, tels que les conflits territoriaux terrestres et maritimes, les risques de dilemme de sécurité, les questions de stabilité interne et politique, les menaces non-traditionnelles et la sécurité humaine, tels que les trafics de drogue et d êtres humains, les questions de sécurité environnementale dues aux changements climatiques, les pandémies, la lutte anti-terroriste, la lutte anti-piraterie, les droits de l homme, etc., des menaces concernant la sécurité globale, à savoir les dimensions politiques, économiques, socio-culturelles et environnementales du développement. Mais l APSC ajoute-t-elle de la confusion à la confusion, s interroge Katja Freistein étant donné le nombre déjà important de structures et initiatives régionales? Certes, le cadre institutionnel de l APSC a pour objectif de renforcer le rôle du Secrétaire général, de coordonner davantage les réunions ministérielles et les politiques nationales (par exemple l ADMM, les réunions sur le crime transnational, les réunions des ministres de la Justice, etc.) et d élargir les canaux de communication (par exemple, les représentants nationaux permanents au siège de l ASEAN, la création de comités à un échelon inférieur à celui du ministère, etc.). Le cadre normatif, quant à lui, s appuie sur des principes tels que «l unité et la cohésion», «la diversité et l harmonie». L APSC soutient la démocratie, la bonne gouvernance, l Etat de droit, les droits de l homme et les libertés fondamentales ; elle reste attentive au respect de la souveraineté des Etats. L Indonésie apparait comme un leader au sein de l APSC, mais des questions demeurent quant à la mise en place de l agenda par le Secrétaire général et quant à l implication des peuples eux-mêmes. Les principaux défis à relever pour l APSC consistent à : améliorer l action collective et la coordination, transformer l action collective pour formaliser les actions et les structures, créer des nouveaux moyens de dépendance entre les pays pour superviser la mise en place des actions collectives et la résolution des conflits, construire des infrastructures et gérer les ressources financières, rassembler l immense diversité des risques sécuritaires et des menaces sous un seul appareil institutionnel, clarifier et soutenir les buts «politiques», transformer les attentes des populations et les rendre partie prenante des initiatives, faire en sorte que l ASEAN garde sa place de «chauffeur» («ASEAN Centrality»). 3. Etude de cas la promotion d une coopération maritime économique en Asie du Sud-est Nazery Khalid est senior fellow au Center for Maritime Economics and Industries, au sein du MIMA (Maritime Institute of Malaysia) depuis Il a enseigné l économie maritime en master et fut chercheur visiteur à la Cardiff Business School en 2010 ainsi qu à l université Paris Diderot en Après un bachelor obtenu l université d Ottawa, aux Etats-Unis, il a validé un master de l université internationale islamique de Malaisie. L exposé se concentre sur la place centrale de la mer en Asie du Sud-est. L histoire de la région a été façonnée par la mer, vecteur des migrations, des religions, du commerce et du développement économique. Aujourd hui, la majorité de la population et des activités économiques clés (pêche, activités portuaires, exploration et exploitations des hydrocarbures offshore, chantiers navals, aquaculture, tourisme, etc.) sont situées sur les zones côtières. La mer demeure un espace stratégique tant au niveau de la sécurité qu au niveau économique. Elle abrite certaines routes maritimes les plus importantes du monde (détroit de Malacca et, dans une moindre mesure, détroit de la Sonde). On peut citer des exemples encourageants de coopération dans le domaine de l économie maritime, mis en place entre les pays de la zone et en dehors des structures de l ASEAN ; par exemple : des explorations conjointes des ressources gazières entre la Malaisie et la Thaïlande dans le golfe de Thaïlande, le Joint Mekong River Development Program, des pêcheries sino-vietnamiennes dans le golfe du Tonkin. La nature transfrontalière de l espace maritime et la relative rareté des ressources obligent les pays riverains à coopérer pour maîtriser au mieux cet espace. Cette coopération économique dans le domaine maritime aide à construire des relations de confiance entre les pays et constitue ainsi un élément de construction d une architecture de sécurité dans la région. 5
6 L ASEAN a pris en charge plusieurs aspects de la coopération dans le domaine de l économie maritime, tels que l ASEAN Transport Plan, lancé par l ASEAN Economic Community et qui devrait prendre effet en L ASEAN a également mis en place un groupe de travail sur les transports maritimes, dont le but est de promouvoir ce type de transport au sein des pays de la zone, et de renforcer leur compétitivité. En tout, dix-neuf mesures inscrites dans la feuille de route de ce projet mettent l accent sur un développement des capacités portuaires et de la flotte marchande, afin que les pays aient la possibilité de gérer sans problème un trafic commercial plus important, tout en faisant des économies. Pour ce projet, l ASEAN travaille avec ses partenaires asiatiques : Chine, Corée du Sud et Japon. Les dynamiques actuellement à l œuvre en mer de Chine du Sud sont : Le développement du commerce maritime, Un système de ports organisé à l échelle régionale, L augmentation du tourisme côtier, L augmentation de la pollution des mers, Des développements géostratégiques menaçant la paix, Des menaces non-conventionnelles. Ces dynamiques donnent lieu à des défis à relever pour améliorer la coopération entre les pays, tels que le déplacement des conflits territoriaux en mer, la mise en place d un cadre légal et institutionnel ainsi que des infrastructures adéquates, l exploitation des ressources marines de façon durable, la recherche d investissements étrangers et la protection de l environnement. En conclusion, les mérites d une coopération renforcée dans le domaine de l économie maritime sont nombreux et peuvent mener au développement socio-économique, à la paix, à la prospérité et à l unité entre les nations d Asie du Sud-est. Cette coopération est le fondement idéal pour la construction d une économie intégrée au sein de l ASEAN. 4. Au gré des crises, encore et toujours l ASEAN : quelles conséquences pour l Europe? Lee Jones est senior lecturer à Queen Mary, University of London. Il a obtenu son doctorat à Oxford suite à une thèse consacrée à l ASEAN. En plus de très nombreux articles publiés dans des revues académiques, il est l auteur de ASEAN, Sovereignty and Intervention in Southeast Asia, Basingstoke, Palgrave Macmillan, Le sujet traité devait permettre à Lee Jones de reprendre et prolonger les propos entendus afin de proposer un début de synthèse et de conclusion générale. D après lui, l ASEAN est vue comme une structure intrinsèquement faible et à portée limitée. La persistance de cette vision n est pas simplement le fait de mauvais choix politiques mais elle reflète une contrainte structurelle, à savoir un manque de consensus entre les élites de l ASEAN ; celui-ci se traduit aussitôt par la faiblesse des institutions. Pourquoi, dès lors, ne pas s inquiéter à propos d un manque d une architecture puissante? La montée d une gouvernance dite «de réseau» devrait combler ce vide. Mais surtout, interroge Lee Jones, pourquoi le régionalisme centré sur l ASEAN persiste finalement en dépit des critiques? Le degré de coopération intellectuelle dépend toujours du degré de consensus entre les élites, qui préfère se consacrer aux problèmes de politique intérieure. Mais ce n est pas un trait distinctif propre à l ASEAN. Au sein de l Union européenne, il existe un fort consensus parmi les élites, en parallèle à leur dépolitisation. De plus, leur légitimité s accroit sur la scène internationale. En Asie, le consensus entre les élites est limité et l on constate une politisation croissante de ces dernières, dont la légitimité est en premier lieu nationale. Tels sont les intérêts divergents des élites : Etats- Unis Maintenir sa liberté de manœuvre/son hégémonie Maintenir les systèmes d alliance «en étoile» déjà existant Réticence à rejoindre une institution qu elle ne peut dominer Chine N accepte pas de (potentielles) contraintes Méfiance / expérience de la Guerre froide / colonialisme Réticence à rejoindre des institutions internationales Japon Australie Etats de l ASEAN Jeu du leader middle power Recherche de la stabilité Propositions d une organisation de type OSCE Souhaitent maintenir l engagement des grandes puissances, mais non leur domination dans la région. Evitent de choisir entre chacune de ces grandes puissances, pour en tirer le maximum d avantages. Evitent que l ASEAN perde le contrôle de son agenda politique. Réticence à des propositions extérieures, en plus de celles déjà existantes Des années 1990 aux années 2000, aucun changement radical n a été observé dans le fonctionnement de l ASEAN. Cette façon de faire selon le «plus petit dénominateur commun» se traduit par des institutions faibles, qui n agissent pas et qui se contentent de coordonner des acteurs pour la plupart étatiques. Il n y a donc rien à attendre d une «architecture de sécurité» au sein de l ASEAN, puisqu elle n agira pas. Dans ce contexte, pourquoi ne pas trop s inquiéter? Car de réels progrès ont été accomplis en termes de «gouvernance de la sécurité», en dehors des institutions formelles de l ASEAN. De plus, on note une montée des réseaux de gouvernance dits «fonctionnels» au niveau des acteurs étatiques et non-étatiques, ce qui donne lieu à une gouvernance multi-niveaux. 6
7 Les leçons à tirer sont par conséquent multiples ; il apparait nécessaire de : choisir les champs d action à fort consensus potentiel, se fixer des buts modestes mais atteignables, bâtir des coalitions socio-politiques, sortir des institutions formelles pour construire des régimes davantage fonctionnels, ne pas manquer les coopérations qui se mettent en place en dehors des institutions de l ASEAN et parfois plus efficaces que celles instituées par l ASEAN elle-même, rationaliser ce qui existe déjà, plutôt que de créer sans cesse de nouvelles structures qui resteront tout à fait inactives. En guise de synthèse générale, une idée maîtresse ressort du séminaire dans son ensemble : plutôt que de parler d une «architecture de sécurité», peut-être devrions-nous plutôt employer le terme d «ingénierie» de sécurité, qui ne fait pas référence à la structure rigide d un édifice mais plutôt à la définition, la conception et l étude de projets d ouvrages. Dans cette lignée, des observateurs ont distingué lors des débats deux approches opposées en matière de régionalisme sud-est asiatique : l approche top-down et celle bottom-up, peut-être plus adaptée au contexte actuel. En ce qui concerne la place de la France en Asie du Sudest, celle-ci possède une influence qui s y renforce. Elle peut également s appuyer sur sa présence dans la zone Pacifique ainsi que sur les actions de protection de ses ressortissants afin d y rayonner plus largement. Enfin, des contacts ont été établis avec les intervenants au fil des échanges et discussions ; ils devraient être l occasion de prochaines rencontres pour prolonger la réflexion. 7
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