Ulysse Étude du parcours du stagiaire après sa formation
|
|
- Anaïs Pruneau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Ulysse Étude du parcours du stagiaire après sa formation 7 ème enquête Méthodologie, cadre théorique, étude de la récolte des données et du profil des sortants d une formation qualifiante au cours de l année 2009 Service Études et Statistiques / Sonecom Octobre 2011
2 Rédacteur principal FREDERIC ROMANO Collaborateurs à la rédaction LEOPOLDINA CACCIA DOMINIONI, RAPHAËL DEPUYDT, ISABELLE SIRDEY Sous la direction de JOCELYNE PIRDAS Cette étude est basée sur un rapport du bureau d étude Sonecom réalisé par CHRISTINE HESSE ET STEPHANE JONLET Les enquêtes ont été réalisées par Sonecom BRUXELLES FORMATION Service Études et Statistiques Octobre 2011
3 Table des matières Table des matières... 3 I. Introduction... 5 A. Les objectifs du dispositif Ulysse... 5 B. Qu attendre de ce rapport? Difficultés et limites de l étude Le dispositif en pratique... 6 C. Rappel du cadre théorique de l enquête Ulysse... 7 II. La méthodologie d Ulysse... 9 A. La sélection des anciens stagiaires à interroger... 9 B. Le dispositif de contact des anciens stagiaires Le courrier préalable à l enquête Les enquêtes téléphoniques C. Les nouveautés de l enquête Ulysse Les ajouts au questionnaire de l enquête Recentrage des analyses III. Récolte des données et analyse du profil des répondants A. La récolte des données servant à la septième enquête Ulysse B. Représentativité de l échantillon C. Répartition de l échantillon selon les critères d identification Genre, âge, niveau d études et nationalité Situation familiale à l entrée en formation Durée d inactivité avant l entrée en formation D. Répartition de l échantillon dans chaque centre de formation BF Construction BF Industrie BF Logistique BF Bureau et Services BF Management et MultimédiaTIC BF Tremplin (qualifiant) E. Analyse du groupe des non-répondants Répartition des répondants, des non-répondants et des refus par centre Profil des répondants, des non-répondants et des refus F. Quelques comparaisons de profils IV. Annexes A. Population de référence et répondants par centre, domaine et ligne de produits B. Questionnaire BRUXELLES FORMATION Sonecom 3
4
5 I. Introduction Rappel des objectifs du dispositif Ulysse Mis en place depuis novembre 2003, le dispositif Ulysse a connu cette année sa septième enquête. Il propose une analyse annuelle du devenir des anciens stagiaires pendant l année qui suit leur sortie de formation et fournit ainsi de précieux renseignements sur la portée des formations dispensées à BRUXELLES FORMATION et sur l accessibilité aux marchés d emploi en lien avec les activités des différents centres de formation. Cette année, le choix a été fait de recentrer les analyses sur l étude détaillée des parcours. Pour cette raison, les éléments liés à la méthodologie d enquête, au cadre théorique soutenant celle-ci et à l analyse du profil sondé ont été isolés dans ce cahier spécifique. Les résultats de mise à l emploi, l étude détaillée des parcours et des occupations professionnelles dans les mois qui suivent la sortie de formation font l objet d un second rapport intitulé «Ulysse 2011 : analyse des résultats, des parcours et des occupations professionnelles dans l année qui suit la formation». A. Les objectifs du dispositif Ulysse L idée d une étude du parcours des anciens stagiaires apparaît à BRUXELLES FORMATION dès la fin des années 90. Les discussions entamées à cette occasion mèneront à un consensus sur l idée d une enquête qui chercherait à savoir ce que deviennent les anciens stagiaires tout en contribuant à la réflexion sur l orientation de l offre de formation. C est sur ces bases que sera élaboré le projet Ulysse, co-financé par le FSE (jusqu en 2007) et pour lequel la première enquête sera organisée par le Service Études et Statistiques avec Sonecom dès novembre Depuis 2008, Ulysse est devenu un dispositif récurrent. Le but de l enquête Ulysse est l étude du parcours des anciens stagiaires après un passage en formation qualifiante dans les centres de BRUXELLES FORMATION. Le dispositif Ulysse vise à dégager et à mesurer les processus d insertion ou de réinsertion, notamment grâce au taux de placement dans l année suivant la formation. Il a également pour but d analyser le lien entre les fonctions occupées et les domaines de formation suivis. Globalement, il tente de mettre en évidence et de quantifier un maximum d éléments pouvant avoir un impact sur le processus de mise à l emploi des anciens stagiaires de BRUXELLES FORMATION. B. Qu attendre de ce rapport? 1. Difficultés et limites de l étude Étudier le devenir des stagiaires ayant suivi une formation professionnelle dans un centre de BRUXELLES FORMATION ne revient pas seulement à s intéresser à leur situation sur le marché du travail un an après cette formation. Cette information n est en effet pas suffisante pour réellement mesurer la contribution d une formation au parcours d un stagiaire. D autres caractéristiques propres aux individus ou à l environnement dans lequel ils évoluent sont donc à prendre en considération. Sur base des résultats accumulés et de plusieurs études théoriques, il apparaît que des mécanismes de sélectivité dans l accès à l emploi sont par BRUXELLES FORMATION Sonecom 5
6 exemple basés sur des critères d âge, de genre, de diplôme, d expériences professionnelles, de nationalité ou de mobilité. Les ressentis et perceptions des individus, sur eux-mêmes, sur leurs capacités et, plus globalement, leurs projets personnels, jouent également un rôle non négligeable. Enfin, les milieux dans lesquels ils évoluent, que ce soit au niveau personnel (réseaux sociaux) ou plus global (contexte économique et politique) sont d autres éléments à prendre en considération. La formation professionnelle est donc un élément parmi d autres qui intervient dans la mise à l emploi. En estimer le poids réel est une démarche difficile. Du point de vue de son utilisation, le dispositif Ulysse à lui seul ne suffit donc pas à évaluer l impact des formations. Pour chacune d entre elles, les résultats peuvent néanmoins être utilisés comme indicateurs de prise de décision, parmi d autres, afin de les réorienter ou les adapter. Au niveau des centres, les résultats Ulysse ne peuvent certainement pas être utilisés pour des comparaisons de performances. Celles-ci seraient de toute manière non significatives tant les publics et les marchés de travail propres au(x) domaine(s) de formation de chaque centre sont différents. 2. Le dispositif en pratique Pratiquement, l enquête Ulysse est un outil d analyse du parcours du stagiaire ayant suivi une formation qualifiante dans l un des centres de BRUXELLES FORMATION. On interroge rétrospectivement les stagiaires sur leur expérience professionnelle antérieure, sur certains aspects de la formation et on s intéresse à leur parcours dans l année qui suit. L enquête contribue également à une réflexion sur les résultats de chaque produit de formation qualifiante offert dans les centres. Depuis 2004, les résultats sont présentés annuellement sous la forme d un rapport réalisé par le Service Études et Statistiques de BRUXELLES FORMATION en collaboration avec Sonecom. Aujourd hui, la base de données Ulysse comprend des informations sur plus de 6500 anciens stagiaires. Elle peut être mobilisée pour répondre à certaines demandes ponctuelles ou pour étayer des documents réalisés en interne à BRUXELLES FORMATION, notamment les dossiers d opportunité et les dossiers sectoriels ou les notes au Comité de gestion. Du point de vue des analyses, le dispositif Ulysse récolte des données brutes et permet à l aide de croisements de mettre en évidence certaines relations. Le présent cahier méthodologique s étend sur la méthode et l analyse de cette récolte. Il présente avant cela les éléments théoriques constants depuis l enquête de 2004 qui justifient à la fois les questions posées aux anciens stagiaires et la manière dont on analyse les résultats récoltés. Une troisième partie s attarde à décrire de manière détaillée le profil des répondants en mettant en évidence les évolutions de la population sondée depuis les deux ou trois dernières enquêtes. BRUXELLES FORMATION Sonecom 6
7 C. Rappel du cadre théorique de l enquête Ulysse Compte tenu des difficultés et des limites exposées au point précédent, le dispositif Ulysse se base sur un cadre de référence qui est resté inchangé depuis la première enquête. Il est inspiré de conclusions d autres études touchant la problématique du parcours des individus bénéficiaires d une formation professionnelle 1. Ce cadre a également été enrichi par les résultats d une enquête qualitative réalisée en Celle-ci a permis d asseoir les analyses en fournissant une grille de lecture pour le traitement et l interprétation des résultats. Le cadre de référence de l enquête Ulysse, maintenu jusqu à cette septième enquête, peut être formulé de la manière suivante : Dans un contexte social, politique et économique donné, la formation professionnelle (qualifiante), en apportant à l individu de nouvelles compétences, en favorisant son insertion ou réinsertion sociale par un effet de contact et en lui fournissant un encadrement mobilisateur, contribue à augmenter son employabilité et facilite donc son insertion professionnelle. Celui-ci est schématisé de la manière suivante : Cadre économique, social et politique Individu Contacts Formation professionnelle (qualifiante) Compétences Augmentation de l employabilité dans un contexte d emploi donné Encadrement Figure 1 : représentation schématique du cadre théorique de l'enquête Ulysse 1 Principalement : D. DESMETTE, Politique d emploi et parcours d insertion : et si on parlait des processus individuels et sociaux?, article rédigé dans le cadre du séminaire Fopes (chaire Max Bastin ) ; A. CHECCAGLINI, «Former pour éviter la marginalisation», in Formation Emploi, n 69, 2000 et F. STANKIEWICZ, «L efficacité de la formation délivrée aux chômeurs : l état et la solvabilisation de la formation» in Revue économique, vol. 50, n 2, mars BRUXELLES FORMATION Sonecom 7
8 En termes de vocabulaire, on peut y apporter les précisions suivantes : Par formation professionnelle qualifiante, on entend «toute formation visant l acquisition des compétences nécessaires pour l obtention d une qualification à un métier ou pour l exercice d une fonction. Elle a pour but de faire acquérir un ensemble de compétences définies par rapport aux activités nécessaires pour exercer un emploi-métier» 2. Par contact on entend toute interaction, formelle ou informelle, contribuant à l insertion sociale de l individu. Celle-ci peut prendre place entre l individu et les formateurs, les responsables pédagogiques, les responsables de stages, les tuteurs, le personnel des entreprises dans le cas des formations en entreprises et les autres stagiaires. Par compétences on entend «les aptitudes, mesurables, à mettre en œuvre les savoirs, les savoirs-faire et savoir-faire comportementaux strictement nécessaires à l accomplissement d une tâche dans une situation de travail» 3. Par encadrement, on entend tout élément fournissant à l individu un cadre formatif propre au milieu professionnel (contraintes horaires, respect des règles, respect des autres, etc.). Par employabilité, on entend «la combinaison des facteurs qui permettent à l individu de se préparer et d accéder à l emploi, de s y maintenir et de progresser au cours de sa carrière. Elle dépend de ses atouts personnels (savoirs et compétences), de la manière dont il présente ces atouts sur le marché de l emploi, du contexte social et de l environnement ainsi que du contexte économique» 4. 2 Voir «formation professionnelle qualifiante» dans La démarche référentielle et ses concepts périphériques. Glossaire, BRUXELLES FORMATION, Division Études et Développement, Cellule Développement des produits, 3 ème version, mai 2007, p Ibidem, p.8. 4 Voir «employabilité» dans Terminologie de la politique européenne d enseignement et de formation, CEDEFOP, 2008, p.71. BRUXELLES FORMATION Sonecom 8
9 II. La méthodologie d Ulysse Méthodologie d enquête, récolte des données, étapes et nouveautés de l enquête 2011 Depuis 2004, l enquête Ulysse a été réalisée suivant une méthodologie particulière et des efforts pour maintenir cette dernière ont été consentis afin d obtenir des résultats comparables d année en année. Au fil des enquêtes, dans un souci d amélioration constante du processus, elle a toutefois subi de légères modifications. Cette année n a pas échappé à la règle. A. La sélection des anciens stagiaires à interroger Comme dans les précédentes enquêtes, cette septième enquête est le fruit d une collaboration entre le service Études et Statistiques de BRUXELLES FORMATION et le bureau d études Sonecom. Les coordonnées des personnes à interroger ont été transmises à ces derniers 5. Pour être sondés, les anciens stagiaires devaient : Être demandeurs d emploi au début du contrat de formation ; Avoir fini un contrat de formation qualifiante dans l un des centres de BF 6 ; Avoir fini le dernier contrat entre le 1 er janvier et le 31 décembre 2009 ; Avoir presté au moins 7 heures de formation 7. B. Le dispositif de contact des anciens stagiaires 1. Le courrier préalable à l enquête Préalablement à l enquête, les anciens stagiaires ont été contactés par courrier. Une lettre leur annonçant l objectif et les modalités de l enquête à laquelle ils allaient être soumis leur a été envoyée. Le but de cette démarche était de favoriser la participation des anciens stagiaires à l étude et d accroître l efficacité de l entretien téléphonique en leur demandant de rassembler à l avance les informations concernant leur parcours professionnel depuis leur sortie de formation. Ce courrier a donc contribué à mettre en confiance les anciens stagiaires 5 Cette première base de données contenait les informations suivantes : le matricule, le nom, le prénom, le numéro de téléphone, le numéro de gsm, la formation suivie, la date de naissance, le code catégorie, la catégorie, le code formation, la date de fin de contrat, le dernier diplôme, la nationalité, les heures prestées, le centre de formation fréquenté, la durée d inactivité avant l entrée en formation, le fait d avoir fait une FPI-E ou la mention d un passage à BF Langues. 6 À savoir : BF Construction, BF Industrie, BF Logistique, BF Bureau et Services, BF Management et MultimédiaTIC et BF Tremplin. 7 À propos des heures prestées par les anciens stagiaires, on peut apporter les précisions suivantes. Le seuil de 7 heures a été fixé pour écarter les formations d un jour mais, dans les faits, lorsqu on analyse les bases de données, il ressort que les stagiaires retenus pour cette septième enquête ont tous (99,2% d entre eux) presté au moins 35 heures de formation et 97,4% au moins 50 heures de formation. La moyenne d heures prestées est de 610 heures soit 17 semaines. Ces chiffes sont très stables par rapport aux résultats de l'an passé. BRUXELLES FORMATION Sonecom 9
10 et à faciliter l entretien téléphonique. On peut aussi supposer qu il a permis de réduire le biais lié à la mémoire en invitant l ancien stagiaire à se remémorer à l avance son parcours professionnel. 2. Les enquêtes téléphoniques La récolte des données exploitées par le dispositif Ulysse est réalisée par enquêtes téléphoniques. L organisation de celles-ci a été confiée au bureau d études Sonecom. Cette septième enquête Ulysse a été réalisée entre janvier et mars Les enquêteurs basés à Bruxelles et Namur ont utilisé une base de données et une interface d enregistrement commune. Ces derniers ont été formés par Sonecom lors d une séance d information et ils ont bénéficié d un suivi individualisé lors de la première prestation. Du point de vue de ces prestations, elles se sont réparties du lundi au vendredi de 15 heures à 21 heures et le week-end entre 10 heures et 20 heures. C. Les nouveautés de l enquête Ulysse 2011 Au fil des sept enquêtes qui ont pris place depuis 2004, l enquête Ulysse n a cessé de s enrichir de nouvelles problématiques et de nouvelles analyses, d une part par l introduction de nouvelles questions posées aux anciens stagiaires et d autre part par des nouveaux traitements et analyses permettant d affiner des problématiques particulières. Dans le premier cas, nous avons par exemple ajouté des questions liées à la mobilité depuis l enquête de 2009 et nous interrogeons les anciens stagiaires sur leur situation familiale depuis celle de Dans le second, nous avons fait évoluer depuis 2009 les analyses vers l étude détaillée des parcours en développant les chronogrammes et l analyse de clusters, deux types d approches qui permettent de globaliser les cheminements des stagiaires sortis de formation et de sortir d une vision trop centrée sur les taux de placement. 1. Les ajouts au questionnaire de l enquête 2011 Cette année, l enquête compte une seule question supplémentaire. Celle-ci doit permettre d affiner l étude de la satisfaction à froid des anciens stagiaires en faisant un lien avec l enquête de satisfaction à chaud mise en place à BRUXELLES FORMATION depuis Cette finalité particulière implique que ces résultats seront traités dans le cadre de l étude de la satisfaction et non plus dans les productions Ulysse qui mettent cette année l accent sur l analyse détaillée des parcours et des occupations professionnelles dans l année qui suit un passage en formation qualifiante. 2. Recentrage des analyses Plus que par le questionnaire, cette septième enquête innove surtout du point de vue des traitements et de l analyse des résultats. Depuis 2004, l enquête Ulysse a produit une matière d analyse considérable. La base de données qu elle fait naître annuellement regorge aujourd hui d informations sur les individus qui ont suivi une formation qualifiante dans l un des centres de BRUXELLES FORMATION telles que des éléments de profils, des éléments sur la formation suivie, sur la satisfaction, sur le ressenti quant à l utilité de la formation, sur BRUXELLES FORMATION Sonecom 10
11 les parcours post FPI-E, etc. Il convient aujourd hui de sélectionner les données à mettre en avant dans ce rapport d enquête au risque d en voir leur importance se diluer et se perdre dans une masse d informations chiffrées. Par ailleurs, cette matière et un nombre important d éléments peuvent servir indépendamment à d autres approches développées dans les différents services de BRUXELLES FORMATION (satisfaction, services aux usagers, études des profils, travaux en lien avec la communication de l Institut, notes au Comité de Gestion). Pour toutes ces raisons, le choix a été fait cette année de limiter le rapport d enquête Ulysse à l essentiel et de décomposer cette matière déjà très dense en deux cahiers distincts : Le cahier méthodologique : qui reprend de manière détaillée le descriptif organisationnel et le cadre théorique de l enquête Ulysse. Il fournit également les informations relatives à la récolte des données et au profil des individus sondés par cette septième enquête. Le rapport d analyse des parcours et des occupations professionnelles dans l année qui suit la formation professionnelle : qui propose une étude de l évolution socioprofessionnelle globale du public sondé et met en relation les résultats avec les données de cadre propre aux différents marchés d emploi auxquels les anciens stagiaires sont confrontés après leur sortie de formation. Il met en avant les nouvelles approches développées depuis 2009 que sont les chronogrammes et l analyse de clusters. Au moyen d un indicateur construit avec l aide de Sonecom, nous avons également creusé la question de la fragilité des parcours post-formation en rendant compte des retours à l inactivité qui peuvent jalonner le cheminement professionnel des anciens stagiaires. Il est évident que les résultats qui ne sont plus exposés en détail dans ces deux productions restent présents dans la base de données. Ils seront tout d abord sollicités lors de la communication aux centres pour lesquels une décomposition des résultats clés (taux d emplois, achèvement, ressentis d utilité, lien entre les emplois obtenus et la formation, etc.) seront ventilés à des niveaux plus désagrégés (lignes de produits et produits). Ils seront ensuite remobilisés pour contribuer à l étude de publics particuliers qui feront l objet ultérieurement d un focus (public jeune, public ayant eu un contact avec le monde de l entreprise en cours de formation, public ayant bénéficié d une FPI-E, etc.). BRUXELLES FORMATION Sonecom 11
12
13 BF Construction BF Industrie BF Logistique BF Bureau et Services BF MMTIC BF Tremplin (qualifaint) Total % par rapport à la base de données % par rapport aux coordonnées réellement disponibles III. Récolte des données et analyse du profil des répondants Récolte des données, représentativité et répartition de l échantillon A. La récolte des données servant à la septième enquête Ulysse Pour travailler à la récolte des données de cette septième enquête, les entretiens téléphoniques ont eu lieu entre le 20 janvier et le 25 mars Le travail effectué a donné lieu aux résultats qui suivent. Base de données Nombre d adresses Nombre de n de téléphone manquants ,7 Nombre de n de téléphone erronés ,95 Coordonnées réellement disponibles , Nombre d enquêtes réalisées ,17 70,37 Nombre de refus ,32 9,41 Nombre de coordonnées écartées ,91 2,16 Autre (Occupé + Rdv) ,75 0,85 Appels infructueux ,2 17,21 Tableau 1 : tableau global de la récolte des données de la septième enquête Ulysse Sur base de la sélection précédemment explicitée, une population initiale à interroger de 1467 individus a pu être dégagée dont 1296 (88,34%) étaient réellement joignables. Cette proportion de coordonnées réellement disponibles est légèrement inférieure à celle observée en 2010 (90,3%) mais elle reste supérieure à celles de 2009 (87,8%), 2007 (80,6%) et 2006 (84%). Grâce à plus de 5600 appels, 912 enquêtes ont pu effectivement être réalisées, soit 70,37% par rapport aux coordonnées réellement disponibles. Ce taux de réussite est stable par rapport à ceux observés en 2010 et 2009 mais il reste inférieur à ceux relevés en 2007 (74%) et en 2006 (75%). Le taux de refus dans cette dernière enquête s élève à 9,4%. Par rapport aux années précédentes, il tend à la stabilité depuis l enquête de 2007 (autour de 10%). Il était toutefois moins élevé en 2005 (6,6%) et 2006 (4,7%). BRUXELLES FORMATION Sonecom 13
14 B. Représentativité de l échantillon Dans le tableau 2 la répartition par centre de la population de référence et celle dans l échantillon des répondants sont mises en parallèle. Centres Pop. de réf. % pop. de réf. Répondants (échantillon pour traitement) % répondants (échantillon pour traitement) BF Construction ,4% ,7% BF Industrie 132 9,0% 85 9,3% BF Logistique ,2% ,3% BF Bureau et Services ,4% ,8% BF Management et MultimédiaTIC ,6% ,4% BF Tremplin (qualifiant) 64 4,4% 41 4,5% Total ,0% ,0% Tableau 2 : répartition et représentation de l'échantillon selon les centres de formation En appliquant un test de significativité, on confirme, comme les années précédentes, que la population sondée ne se différencie pas significativement de la population initialement visée. À travers toutes les enquêtes Ulysse, le centre BF Management et MultimédiaTIC reste celui dont provient la majorité des stagiaires interrogés. Sa proportion fluctue entre 40 et 45% depuis l enquête de Elle reste donc inférieure à l observation de 2006 où BF Management et MultimédiaTIC rassemblait 50% des répondants Ulysse. Des tests ont également été réalisés pour vérifier la représentativité de l échantillon au niveau de l âge (test de Kolmogonov-Smirnov), et du genre (test du Chi 2 ). Aucun n a montré de différence significative entre la population de référence et celle des répondants. BRUXELLES FORMATION Sonecom 14
15 C. Répartition de l échantillon selon les critères d identification 1. Genre, âge, niveau d études et nationalité Les répartitions par genre, tranche d âge, niveau d études et nationalité sont présentées cidessous. En vis-à-vis, pour chaque variable d identification, les effectifs des trois précédentes enquêtes ont été reportés. Enquête 2011 Enquête 2010 Enquête 2009 Enquête 2007 Genre Nb % Nb % Nb % Nb % Hommes ,7% ,9% ,5% ,1% Femmes ,3% ,1% ,5% ,9% Total ,0% ,0% ,0% ,0% Tranches d âge Nb % Nb % Nb % Nb % ans 86 9,4% 67 7,1% 60 6,8% ,7% ans ,5% ,3% ,1% ,9% ans ,5% ,8% ,1% ,8% ans ,6% ,7% ,7% ,7% ans ,3% ,3% ,2% ,3% ans 52 5,7% 59 6,2% 54 6,1% 50 4,6% Total ,0% ,0% ,0% ,0% Niveau d études Nb % Nb % Nb % Nb % Aucun ou primaire 65 7,2% 50 5,3% 37 4,2% Secondaire inférieur ,4% ,9% ,0% Secondaire supérieur ,3% ,4% ,5% Supérieur ,3% ,6% ,7% Indéterminé ,8% ,9% ,5% Total ,0% ,0% ,0% Non comparable Nationalité Nb % Nb % Nb % Nb % Belgique ,8% ,9% ,5% ,6% Europe 94 10,3% 93 9,8% 64 7,3% 100 9,2% Afrique ,7% ,4% ,1% ,5% Autre 14 1,5% 14 1,5% 11 1,2% 16 1,5% Inconnu 43 4,7% 61 6,4% 43 4,9% 36 3,3% Total ,0% ,0% ,0% ,0% Tableau 3 : répartition de l'échantillon selon le genre, l'âge, le niveau d'études et la nationalité Sur les caractéristiques de la population sondée, on peut tirer les conclusions suivantes : Du point de vue de la répartition par genre, on reste sur des proportions quasi identiques à celles relevées dans les deux précédentes enquêtes avec une population majoritairement masculine à 65,7%. Du point de vue de l âge, les moins de 25 ans, particulièrement peu représentés dans les enquêtes de 2009 et 2010, remontent cette année à 9,4%. Les classes de 26 à 40 BRUXELLES FORMATION Sonecom 15
16 ans se retrouvent dans des proportions quasi identiques à celles observées les années précédentes avec une répartition quasi équitable (20% pour chacune des trois classes concernées). On constate aussi que 52,4% des répondants de l enquête sont âgés de moins de 35 ans et que les plus âgés (plus de 50 ans) ne représentent que 5,7% de l échantillon. Du point de vue du niveau d études, nous avons utilisé comme dans les deux précédentes enquêtes les chiffres contenus dans la base de données de BRUXELLES FORMATION. On constate une légère diminution des répondants qualifiés du supérieur (27,3% contre 30,6% l année dernière) et une augmentation des individus de qualification moindre (aucun, primaire, secondaire inférieur et secondaire supérieur). Cet élément est à mettre en relation avec la proportion du centre BF Management et MultimédiaTIC qui, comme nous l avons vu précédemment, est moins représenté, tant dans la population visée que dans notre échantillon. La catégorie des diplômes indéterminés est elle aussi en légère diminution (de 22,9% l année dernière à 18,8% cette année). Cette classe regroupe en grande partie les individus en possession d un diplôme obtenu à l étranger. On peut affiner l analyse de ces 172 indéterminés. On trouve parmi eux 7 diplômés uniquement du primaire à l étranger, 68 du secondaire à l étranger, 79 du supérieur à l étranger et 18 dont le niveau d études reste inconnu. Du point de vue de la nationalité, on retrouve quasiment la même répartition que celle observée l année dernière soit une majorité de répondants de nationalité belge (67,8%), 15,7% d individus d une nationalité d un pays d Afrique et 10,3% d anciens stagiaires d une nationalité d un pays d Europe. 2. Situation familiale à l entrée en formation Depuis l enquête de 2010, une nouvelle question portant sur la situation familiale à l entrée en formation a été introduite. Cette année, les répondants se répartissent de la manière suivante : Nb % cit. Seul(e) sans enfant ,1% Seul(e) avec enfant(s) 74 8,1% En couple sans enfant ,3% En couple avec enfant(s) ,1% Chez vos parents ou un autre proche sans enfant ,8% Chez vos parents ou un autre proche avec enfant(s) 14 1,5% Total ,0% Tableau 4 : situation familiale à l'entrée en formation Comme l année dernière, on trouve dans notre échantillon une majorité d individus seuls sans enfant à charge (35,1%). La deuxième classe la plus importante en termes de proportion est celle des répondants en couple avec enfant(s) à charge (29,1%). On peut regrouper cette variable de plusieurs manières. On observe ainsi que 352 répondants BRUXELLES FORMATION Sonecom 16
17 (38,8%) déclarent avoir une charge de famille, le reste (61,2%) étant sans enfant. Du point de vue de la situation de ménage, 393 individus (43,3%) assument seuls leur ménage, un nombre pratiquement équivalent (394 répondants soit 43,4%) l assume en couple et 121 personnes (13,3%) vivent chez un parent ou un proche, avec ou sans enfant. 3. Durée d inactivité avant l entrée en formation Une nouvelle donnée vient enrichir l analyse du profil des répondants Ulysse cette année, il s agit de la durée d inactivité des anciens stagiaires avant leur entrée en formation. Celle-ci est exprimée en mois. Le reclassement des résultats de cette nouvelle variable est présenté dans la figure et le tableau qui suivent : 27,1% 7,3% 26,0% Inconnue Moins de 6 mois De 6 à 11 mois De 1 à < 2 ans 2 ans et + On trouve la durée d inactivité exacte pour 845 individus soit 92,6% de la population sondée. 27,1% sont restés inactifs deux ans ou plus avant d entreprendre une formation. Une proportion quasi identique (26,0%) n était au chômage que depuis moins de six mois. 23,2% 16,3% Figure 2 : durée d'inactivité avant l'entrée en formation La décomposition par centre montre qu on trouve des durées d inactivité globalement plus longues à BF Bureau et Services, BF Logistique, BF Industrie et BF Construction. À BF Bureau et Services, on observe que 70,8% des répondants du centre ont été inactifs pendant plus d un an. À l inverse, les centres BF Management et MultimédiaTIC et BF Tremplin présentent des durées d inactivité majoritairement plus basses. Inconnue Moins de 6 mois De 6 à 11 mois De 1 à < 2 ans 2 ans et + Total N % cit. N % cit. N % cit. N % cit. N % cit. N % cit. BF Construction 9 8,4% 20 18,7% 21 19,6% 23 21,5% 34 31,8% ,0% BF Industrie 4 4,7% 13 15,3% 12 14,1% 28 32,9% 28 32,9% ,0% BF Logistique 6 3,6% 28 16,8% 25 15,0% 46 27,5% 62 37,1% ,0% BF Bureau et services 5 3,5% 23 16,0% 14 9,7% 51 35,4% 51 35,4% ,0% BF Management et MultimédiaTIC 43 11,7% ,3% 70 19,0% 55 14,9% 59 16,0% ,0% BF Tremplin (qualifiant) 0 0,0% 12 29,3% 7 17,1% 9 22,0% 13 31,7% ,0% Total 67 7,3% ,0% ,3% ,2% ,1% ,0% p = <0,1% ; chi2 = 118,64 ; ddl = 20 (TS) Tableau 5 : durée d'inactivité avant l'entrée en formation par centre BRUXELLES FORMATION Sonecom 17
18 D. Répartition de l échantillon dans chaque centre de formation La répartition selon les variables d identification est présentée indépendamment pour chaque centre dans les tableaux qui suivent. Le détail par domaine et par ligne de produits vient compléter cette information de manière à établir un descriptif complet des différents profils propres à chacun des centres. 1. BF Construction a) Répartition selon les domaines et les lignes de produits Domaine Nb % cit Ligne de produits Nb % cit Gestion de chantier 12 11,2% Construction 82 76,6% Gros Œuvre 20 18,7% Parachèvement 27 25,2% Techniques spéciales 23 21,5% Nettoyage 25 23,4% Nettoyage 25 23,4% Total ,0% Total ,0% Tableau 6 : effectifs par domaine et ligne de produits de BF Construction Comme l année dernière et dans une proportion identique, la majorité (76,6%) des répondants du centre BF Construction est issue d une formation dans le domaine «construction». Par ligne de produits, c est le «parachèvement» qui regroupe le plus de répondants (27 individus soit 25,2% des répondants du centre). La ligne de produits «techniques spéciales» qui rassemblait l année dernière 28,3% des anciens stagiaires sondés dans ce centre regroupe cette année 23 individus soit 21,5% des répondants du centre. L ensemble des produits concernant la «gestion de chantier» passe quant à lui de 8,5% en 2010 à 11,2% dans cette dernière enquête. b) Répartition selon les variables d identification Les 107 répondants (11,7% de l échantillon total) se répartissent de la manière suivante : Genre Nb % Hommes 98 91,6% Femmes 9 8,4% Total ,0% Tranches d âge Nb % ans 13 12,1% ans 28 26,2% ans 15 14,0% ans 21 19,6% ans 24 22,4% ans 6 5,6% Total ,0% BRUXELLES FORMATION Sonecom 18
19 Niveau d études Nb % Aucun ou primaire 16 15,0% Secondaire inférieur 36 33,6% Secondaire supérieur 26 24,3% Supérieur 3 2,8% Indéterminé 26 24,3% Total ,0% Nationalité Nb % Belgique 55 51,4% Europe 13 12,1% Afrique 34 31,8% Autre 1 0,9% Inconnu 4 3,7% Total ,0% Tableau 7 : répartition de l'échantillon BF Construction selon le genre, l'âge, le niveau d'études et la nationalité Dans cette dernière enquête, BF Construction reste un centre essentiellement masculin avec 91,6% d hommes parmi ses répondants (leur proportion s élevait l année dernière à 86,8%). Ils sont en moyenne âgés de 35 ans. Par rapport à la précédente enquête, on observe une augmentation dans les effectifs des classes d âge les plus jeunes (en dessous de 30 ans) et dans celles des plus âgés (au-delà de 40 ans). Du point de vue du niveau d études, plus de 70% ont une qualification inférieure ou égale à l enseignement secondaire supérieur. On observe encore cette année dans ce centre une augmentation des répondants sans diplôme (de 13,2% à 15,0% cette année) et une proportion relativement importante de diplômes indéterminés (25%). Au niveau de la nationalité, la moitié des répondants du centre est de nationalité belge (51,4% contre 57,5%). L autre moitié présente une majorité d individus d une nationalité d un pays d Afrique. 2. BF Industrie a) Répartition selon les domaines et les lignes de produits Domaine Nb % cit Ligne de produits Nb % cit Confection / Textile 10 11,8% Confection 6 7,1% Nouvelles technologies textile 4 4,7% Assemblage mécanique 23 27,1% Techniques / Industries 67 78,8% Électro-technique 29 34,1% Mécanique automobile / Carrosserie 7 8,2% Mécanique industrielle / Usinage 8 9,4% Agro-alimentation 6 7,1% Autre 6 7,1% Construction 2 2,4% Techniques spéciales 2 2,4% Total ,0% Total ,0% Tableau 8 : effectifs par domaine et ligne de produits de BF Industrie BRUXELLES FORMATION Sonecom 19
20 La majorité des répondants de BF Industrie est issue d une formation dans le domaine «techniques / industries». Par rapport à l année dernière sont apparus les domaines «agroalimentation» et «construction» qui regroupent respectivement 7,1% et 2,4% des anciens stagiaires interrogés. Du point de vue des lignes de produits, c est toujours de l assemblage mécanique et de l électrotechnique que provient la majorité des répondants dans ce centre (respectivement 27,1% et 34,1%). Cette répartition est stable par rapport à celle observée l année dernière. b) Répartition selon les variables d identification Les 85 répondants (9,3% de l échantillon total) se répartissent de la manière suivante : Genre Nb % Hommes 74 87,1% Femmes 11 12,9% Total ,0% Tranches d âge Nb % ans 12 14,1% ans 12 14,1% ans 15 17,6% ans 23 27,1% ans 20 23,5% ans 3 3,5% Total ,0% Niveau d études Nb % Aucun ou primaire 9 10,6% Secondaire inférieur 15 17,6% Secondaire supérieur 26 30,6% Supérieur 10 11,8% Indéterminé 25 29,4% Total ,0% Nationalité Nb % Belgique 47 55,3% Europe 10 11,8% Afrique 25 29,4% Autre 2 2,4% Inconnu 1 1,2% Total ,0% Tableau 9 : répartition de l'échantillon BF Industrie selon le genre, l'âge, le niveau d'études et la nationalité BF Industrie est un centre majoritairement masculin. Les répondantes de ce centre proviennent presque exclusivement des formations du domaine «confection / textile». La moyenne d âge du centre est de 35 ans. On observe une augmentation des répondants très jeunes (moins de 25 ans) avec 14,1% contre 6,8% l année dernière. Une augmentation est également perceptible au niveau des individus plus âgés (plus de 35 ans). À l inverse, les BRUXELLES FORMATION Sonecom 20
21 «âges moyens» sont en forte diminution (17,6% contre 35,2% l année dernière pour les ans). Du point de vue du niveau d études, 58,8% ont une formation inférieure ou égale à l enseignement secondaire supérieur. Cette proportion est en augmentation par rapport à la précédente enquête où elle s élevait à 53,4%. Les diplômes indéterminés sont quant à eux en diminution avec 29,4% cette année contre 35,2% en La répartition par nationalité reste pratiquement identique cette année avec 55,3% de répondants de nationalité belge et, parmi les individus étrangers, une majorité d une nationalité d un pays d Afrique. 3. BF Logistique a) Répartition selon les domaines et les lignes de produits Domaine Nb % cit Ligne de produits Nb % cit Transport / Logistique ,0% Logistique 81 48,5% Transport 86 51,5% Total ,0% Total ,0% Tableau 10 : effectifs par domaine et ligne de produits de BF Logistique Du point de vue de la répartition par ligne de produits à BF Logistique, on trouve cette année une répartition quasi identique entre sortants de «logistique» (48,5%) et de «transport» (51,5%). Dans les précédentes enquêtes, les anciens stagiaires issus de «transport» étaient majoritaires. b) Répartition selon les variables d identification Les 167 répondants (18,3% de l échantillon total) se répartissent de la manière suivante : Genre Nb % Hommes ,2% Femmes 3 1,8% Total ,0% Tranches d âge Nb % ans 14 8,4% ans 25 15,0% ans 33 19,8% ans 33 19,8% ans 47 28,1% ans 15 9,0% Total ,0% Niveau d études Nb % Aucun ou primaire 25 15,0% Secondaire inférieur 69 41,3% Secondaire supérieur 46 27,5% Supérieur 7 4,2% Indéterminé 20 12,0% Total ,0% BRUXELLES FORMATION Sonecom 21
22 Nationalité Nb % Belgique ,5% Europe 9 5,4% Afrique 34 20,4% Autre 4 2,4% Inconnu 9 5,4% Total ,0% Tableau 11 : répartition de l'échantillon BF Logistique selon le genre, l'âge, le niveau d'études et la nationalité La population sondée à BF Logistique est presque exclusivement masculine. La moyenne d âge des répondants de ce centre est la plus haute observée dans l enquête Ulysse (38 ans). La répartition des classes d âge est quasiment identique à celle observée dans la précédente enquête avec trois quarts des individus âgés de plus de 30 ans et une proportion de ans majoritaire (28,1% et 31,2% l année dernière). Du point de vue du niveau d études, on trouve 83,8% de répondants dont la formation est égale ou inférieure au secondaire supérieur. L année dernière, cette proportion n était que de 60%. Son augmentation est essentiellement provoquée par un accroissement notable des individus «limités» au secondaire inférieur (41,3% contre 32,6% l année dernière). À l inverse, on remarque une diminution cette année de la classe des «indéterminés» (de 21,7% à 12,0%). Au niveau de la nationalité, on observe dans cette dernière enquête une légère diminution des répondants de nationalité belge (de 71,0% à 66,5%) au profit des individus d une nationalité européenne, autre ou inconnue. 4. BF Bureau et Services a) Répartition selon les domaines et les lignes de produits Domaine Nb % cit Ligne de produits Nb % cit Call Center 41 28,5% Métiers administratifs ,0% Comptabilité 36 25,0% Secrétariat 67 46,5% Total ,0% Total ,0% Tableau 12 : effectifs par domaine et ligne de produits de BF Bureau et Services La proportion des répondants issus de la ligne de produits «secrétariat» est majoritaire et stable par rapport à la précédente enquête. Les deux autres lignes de produits «call center» et «comptabilité» s équilibrent cette année avec respectivement 28,5% et 25,0%. b) Répartition selon les variables d identification Les 144 répondants (15,8% de l échantillon total) se répartissent de la manière suivante : BRUXELLES FORMATION Sonecom 22
23 Genre Nb % Hommes 39 27,1% Femmes ,9% Total ,0% Tranches d âge Nb % ans 15 10,4% ans 36 25,0% ans 40 27,8% ans 31 21,5% ans 18 12,5% ans 4 2,8% Total ,0% Niveau d études Nb % Aucun ou primaire 10 6,9% Secondaire inférieur 25 17,4% Secondaire supérieur 74 51,4% Supérieur 12 8,3% Indéterminé 23 16,0% Total ,0% Nationalité Nb % Belgique ,4% Europe 14 9,7% Afrique 15 10,4% Autre 1 0,7% Inconnu 4 2,8% Total ,0% Tableau 13 : répartition de l'échantillon BF Bureau et Services selon le genre, l'âge, le niveau d'études et la nationalité La répartition de BF Bureau et Services du point de vue du genre ne varie pas par rapport aux précédentes enquêtes avec toujours une majorité de femmes (72,9%). Au niveau de l âge, on observe une diminution des répondants âgés de plus de 40 ans (de 29,4% l année dernière à 18,1% cette année). Cette diminution se fait essentiellement en faveur des classes d âge intermédiaires, les ans qui passent de 18,2% à 27,8% et les ans qui passent de 18,2% à 21,5%. La moyenne d âge du centre est d ailleurs plus basse cette année (33 ans contre 35 dans la précédente enquête). On n observe quasi aucun changement du point de vue du niveau d études. 51,4% des sortants de ce centre ont un diplôme de secondaire supérieur et 24,3% un niveau d études inférieur. Au niveau de la nationalité, on trouve toujours une majorité de répondants de nationalité belge (76,4%). On observe une diminution des individus ne venant ni d Europe ni d Afrique au profit de ceux témoignant d une nationalité d un pays de l Union européenne. BRUXELLES FORMATION Sonecom 23
24 5. BF Management et MultimédiaTIC a) Répartition selon les domaines et les lignes de produits Domaine Nb % cit Ligne de produits Nb % cit Commerce et vente 45 12,2% Vente 6 1,6% Représentation commerciale 39 10,6% Gestion 54 14,7% Gestion / Management ,0% Management 97 26,4% Métiers administratifs 36 9,8% Comptabilité 27 7,3% Secrétariat 9 2,4% Techniques / Industries 47 12,8% Dessin technique 47 12,8% Communicatique 22 6,0% TIC 78 21,2% Industries graphiques 11 3,0% Informatique 45 12,2% Chimie 11 3,0% Technicien de laboratoire 11 3,0% Total ,0% Total ,0% Tableau 14 : effectifs par domaine et ligne de produits de BF Management et MultimédiaTIC Comme dans les précédentes enquêtes, les formations sondées sont majoritairement issues du domaine «gestion / management» mais dans une proportion moindre que l année dernière (41,0% contre 45,0% en 2010). Au sein de celui-ci, les anciens stagiaires sortis de la ligne de produits «management» représentent toujours un quart des répondants du centre. Parmi les autres domaines importants on trouve «techniques / industries» (12,8%) presque à égalité avec «commerce et vente» (12,2%) et «TIC» qui rassemble un peu plus de 20% des individus sondés à BF Management et MultimédiaTIC. Du point de vue des lignes de produits, on soulignera l importance de «dessin technique» (12,8% soit 2,2 points en plus que l année dernière) et «informatique» (12,2%). On observe également une grande différence pour les lignes de produits «représentation commerciale» (qui passe de 5 répondants l année dernière à 39 cette année) et «vente» (qui passe de 36 à 6 répondants). b) Répartition selon les variables d identification Les 368 répondants (40,4% de l échantillon total) se répartissent de la manière suivante : Genre Nb % Hommes ,9% Femmes ,1% Total ,0% Tranches d âge Nb % ans 20 5,4% ans 84 22,8% ans 88 23,9% ans 68 18,5% ans 85 23,1% ans 23 6,3% BRUXELLES FORMATION Sonecom 24
25 Total ,0% Niveau d études Nb % Aucun ou primaire 2 0,5% Secondaire inférieur 18 4,9% Secondaire supérieur 66 17,9% Supérieur ,0% Indéterminé 65 17,7% Total ,0% Nationalité Nb % Belgique ,2% Europe 46 12,5% Afrique 30 8,2% Autre 5 1,4% Inconnu 25 6,8% Total ,0% Tableau 15 : répartition de l'échantillon BF Management et MultimédiaTIC selon le genre, l'âge, le niveau d'études et la nationalité Dans la précédente enquête, on observait une quasi parité entre hommes et femmes au sein des répondants de ce centre. Cette tendance se confirme encore davantage cette année avec 51,9% de répondants masculins et 48,1% de répondantes. Du point de vue de l âge, on retrouve une répartition identique à celle observée l année dernière avec une faible représentation des moins de 25 ans et des plus de 50 ans tandis que le reste des répondants se répartit presque équitablement dans les autres classes d âge (20% chacune). Pour le niveau d études, BF Management et MultimédiaTIC reste le centre qui rassemble les répondants les plus qualifiés puisque 60% d entre eux possèdent un diplôme de l enseignement supérieur (dont universitaire). Au niveau de la nationalité, on trouve là aussi peu de changements par rapport aux observations de la précédente enquête avec un peu plus de 70% d individus de nationalité belge. Les nationalités étrangères observées chez les répondants de ce centre sont majoritairement celles d un pays de l Union européenne. 6. BF Tremplin (qualifiant) a) Répartition selon les domaines et les lignes de produits Domaine Nb % cit Ligne de produits Nb % cit Horeca / Tourisme 15 36,6% Restauration 15 36,6% Santé / Action sociale 26 63,4% Prévention / Sécurité 26 63,4% Total ,0% Total ,0% Tableau 16 : effectifs par domaine et ligne de produits de BF Tremplin (qualifiant) Cette année les répondants du domaine «santé / action sociale» (comprenant les formations en gardiennage) sont majoritaires à BF Tremplin (63,4% contre 31,7% l année dernière). «Horeca / Tourisme» qui rassemblait la moitié des individus sondés dans ce BRUXELLES FORMATION Sonecom 25
26 centre est donc en diminution. Ces deux domaines correspondant à une seule ligne de produits chacun, l analyse à ce niveau est identique. b) Répartition selon les variables d identification Les 41 répondants (4,5% de l échantillon total) se répartissent de la manière suivante : Genre Nb % Hommes 33 80,5% Femmes 8 19,5% Total ,0% Tranches d âge Nb % ans 12 29,3% ans 11 26,8% ans 5 12,2% ans 3 7,3% ans 9 22,0% ans 1 2,4% Total ,0% Niveau d études Nb % Aucun ou primaire 3 7,3% Secondaire inférieur 14 34,1% Secondaire supérieur 11 26,8% Supérieur 0 0,0% Indéterminé 13 31,7% Total ,0% Nationalité Nb % Belgique 33 80,5% Europe 2 4,9% Afrique 5 12,2% Autre 1 2,4% Inconnu 0 0,0% Total ,0% Tableau 17 : répartition de l'échantillon BF Tremplin (qualifiant) selon le genre, l'âge, le niveau d'études et la nationalité Cette année les répondants masculins sont en augmentation à BF Tremplin (80,5% contre 58,5% dans la précédente enquête). Cette augmentation est le résultat de l accroissement des répondants issus des formations en gardiennage (ligne de produits «prévention / sécurité») majoritairement masculines. Du point de vue de l âge, on observe une augmentation cette année des moins de 25 ans (de 14,6% à 29,3%) au détriment des répondants des classes d âge plus moyennes (36-40 ans et ans). Du point de vue du niveau d études, les sans diplômes, diplômés de l enseignement secondaire inférieur et supérieur et les diplômés du supérieur sont tous en diminution tandis que la part des diplômes indéterminés est en augmentation. Il faut mettre cette configuration en relation avec l évolution des nationalités et la diminution tant des individus de nationalité belge que BRUXELLES FORMATION Sonecom 26
27 ceux d une nationalité d un pays de l Union européenne au profit de ceux d une nationalité d un pays d Afrique. Traditionnellement, les diplômes obtenus dans ces pays trouvent en effet difficilement une équivalence en Belgique. E. Analyse du groupe des non-répondants Cette dernière enquête Ulysse compte un groupe de non-répondants de 356 individus dont 122 ont refusé de répondre à l enquête. Sur une population à interroger de 1268 personnes (hors les 28 coordonnées écartées), le taux de non-réponse est de 28,1% et le taux de refus de 9,6%. Le taux de non-réponse est stable par rapport à l an passé (27,7% lors de l enquête précédente) tandis que le taux de refus diminue très légèrement (10,9% lors de l enquête précédente). 1. Répartition des répondants, des non-répondants et des refus par centre Centres Répondants Prop. de répondants par centre Non répondants Prop. de non répondants par centre Dont refus Prop. de refus par centre BF Construction , , ,7 BF Industrie 85 9,3 33 9,3 12 9,8 BF Logistique , , ,0 BF Bureau et services , ,0 10 8,2 BF M&MTIC , , ,2 BF Tremplin (qualifiant) 41 4,5 11 3,1 5 4,1 Total Tableau 18 : comparaison par centre des effectifs des répondants, des non-répondants et des personnes ayant refusé de répondre Les non-répondants sont proportionnellement moins représentés chez BF MMTIC et plus chez BF Logistique. Quant aux refus, ils semblent moins représentés chez BF Bureau et Services et également avoir plus de poids chez BF Logistique. L an passé, on observait également une plus faible proportion de non-répondants pour BF MMTIC. 2. Profil des répondants, des non-répondants et des refus Genre Répondants % Non répondants % Dont refus % Hommes , , ,0 Femmes , , ,0 Total Tranches d âge Répondants % Non répondants % Dont refus % ans 86 9, ,4 12 9, ans , , , ans , , , ans , , , ans , , , ans 52 5,7 16 4,5 9 7,4 Total BRUXELLES FORMATION Sonecom 27
Satisfaction des stagiaires de BRUXELLES FORMATION Résultats 2010
Satisfaction des stagiaires de BRUXELLES FORMATION Résultats 2010 Annexe méthodologique et analyse importance/performance Service Études et Statistiques Mai 2011 2 Satisfaction des stagiaires de BRUXELLES
Plus en détailLa mobilité des demandeurs d emploi et des stagiaires en formation
La mobilité des demandeurs d emploi et des stagiaires en formation (Synthèse) Enquête réalisée dans le cadre du projet Concert Action Septembre 2011 La mobilité des demandeurs d emploi et des stagiaires
Plus en détailETUDE SUR LES STAGIAIRES AYANT SUIVI UNE FORMATION DIPLOMANTE DANS LA BRANCHE DES ACTEURS DU LIEN SOCIAL ET FAMILIAL
ETUDE SUR LES STAGIAIRES AYANT SUIVI UNE FORMATION DIPLOMANTE DANS LA BRANCHE DES ACTEURS DU LIEN SOCIAL ET FAMILIAL LA SYNTHESE L Observatoire de la branche des acteurs du lien social et familial - centres
Plus en détailSatisfaction des stagiaires de BRUXELLES FORMATION Résultats 2013
Satisfaction des stagiaires de BRUXELLES FORMATION Résultats 2013 Cahier méthodologique, tableau récapitulatif 2009-2013 et Matrices importance/performance Mars 2014 Service Études et Statistiques Table
Plus en détailà Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011
observatoire régional #41 Synthèse régionale août 2014 à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011 2 899 diplômés de M2 professionnel
Plus en détailFiche de projet pour les institutions publiques
POLITIQUE SCIENTIFIQUE FEDERALE rue de la Science 8 B-1000 BRUXELLES Tél. 02 238 34 11 Fax 02 230 59 12 www.belspo.be Fiche de projet pour les institutions publiques Cette fiche est remplie par une institution
Plus en détailLa mobilité professionnelle revêt
Mobilité professionnelle 17 Du changement de poste au changement d entreprise, en passant par la promotion : la mobilité des Franciliens Les salariés franciliens, notamment les cadres, ont une propension
Plus en détailObservatoire National de la santé des jeunes. Accès aux droits et aux soins
Observatoire National de la santé des jeunes Accès aux droits et aux soins Données septembre 2012 «Observatoire santé UNHAJ - accès aux droits et aux soins» La santé des jeunes sous observationerreur!
Plus en détailSynthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers
Synthèse Contrat d Objectifs Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Rédaction Christiane LAGRIFFOUL () Nadine COUZY (DR ANFA
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012)
Février 2014 DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES MOUVEMENTS D EMPLOI D DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Délégation au DéveloppementD Économique, à l Emploi, à la Formation
Plus en détailENQUÊTE DE SATISFACTION SUR LE RÉSEAU UNIVERSITAIRE ET PROFESSIONNEL DE L'UCP
OBSERVATOIRE DE LA VIE ÉTUDIANTE ENQUÊTE DE SATISFACTION SUR LE RÉSEAU UNIVERSITAIRE ET PROFESSIONNEL DE L'UCP Étudiants et entreprises ANNÉE 2008 PLAN GÉNÉRAL INTRODUCTION p. 2 I. Étudiants p. 3 A. Statistiques
Plus en détail«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience
«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience UNIVERSITE PARIS 8 ENTREPRISE FNAIM Monter les salariés
Plus en détailBac BEP CAP. Certification. Tertiaire. Sanitaire et social alidation. Parti. Parcours. Réussite VAE. Titre professionnel. Diplôme. Durée parco BEP CAP
ac Parcours Sanitaire et social alidation des personnes ayant passé un jury au cours de l année 2009 en Bretagne MARS 2012 Certification Bac Réussite Sanitaire et social Validation Parcours Certification
Plus en détailGuide pour la rédaction du rapport d auto-évaluation
L évaluation d unités académiques à l Université de Genève Guide pour la rédaction du rapport d auto-évaluation Programmes de formation de base, approfondie et continue Bureau qualité Guide pour la rédaction
Plus en détailL écart salarial entre les femmes et les hommes en Belgique
L écart salarial entre les femmes et les hommes en Belgique Rapport 2014 Table des matières Le rapport 2014... 5 1. Différences salariales générales... 6 1.1 L écart salarial en salaires horaires et annuels...
Plus en détailGuide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé
Guide du/de la candidat/e pour l élaboration du dossier ciblé en vue de l obtention du titre de "Conseiller ère diplômé e en orientation professionnelle, universitaire et de carrière" par la validation
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA
REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur
Plus en détailQui fait quoi sur internet?
Ans Note d éducation permanente de l ASBL Fondation Travail-Université (FTU) N 2015 8, avril 2015 www.ftu.be/ep Qui fait quoi sur internet? Analyse des inégalités sociales dans l utilisation d internet
Plus en détailFiche qualité relative à l enquête Santé et Itinéraire Professionnel 2010 (SIP) Carte d identité de l enquête
Fiche qualité relative à Santé et Itinéraire Professionnel 2010 (SIP) Nom Années de Périodicité Panel (suivi d échantillon) Services concepteurs Service réalisant Sujets principaux traités dans Carte d
Plus en détailRegards croisés sur l auto-entrepreunariat
Regards croisés sur l auto-entrepreunariat Septembre 2013 Toute publication totale ou partielle doit impérativement utiliser la mention complète suivante : «Sondage OpinionWay pour l Union des Auto-Entrepreneurs
Plus en détailéclairages QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? Près de 3 demandeurs d emploi sur 5 sont couverts par l Assurance chômage
éclairages ÉTUDES ET ANALYSES N 5 AVRIL 213 QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? L Unédic a réalisé une étude pour approfondir la compréhension de la population des allocataires
Plus en détailUniversité de Haute Alsace. Domaine. Sciences Humaines et Sociales. MASTER Mention Éducation, Formation, Communication UHA, ULP, Nancy 2
Centre Universitaire de Formation des Enseignants & des Formateurs Laboratoire Interuniversitaire de Sciences de l Education et de la Communication Université de Haute Alsace Domaine Sciences Humaines
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE. La microfinance : un outil important de réinsertion sociale en Belgique depuis 10 ans
COMMUNIQUÉ DE PRESSE 14,7% de la population belge sous le seuil de pauvreté 1 La microfinance : un outil important de réinsertion sociale en Belgique depuis 10 ans Forte hausse des demandes de microcrédits
Plus en détailRÈGLEMENT FACULTAIRE SUR LA RECONNAISSANCE DES ACQUIS. Faculté des lettres et sciences humaines
RÈGLEMENT FACULTAIRE SUR LA RECONNAISSANCE DES ACQUIS Faculté des lettres et sciences humaines PRÉAMBULE Ce règlement facultaire sur la reconnaissance des acquis s inscrit dans le cadre de la Politique
Plus en détailLes diplômes. Session 2012
note d information 13.05 AVRIL À la session 2012, 557 600 diplômes de l enseignement des niveaux IV et V ont été délivrés en France, dont 90 % par le ministère de l éducation nationale. 40 % de ces diplômes
Plus en détailEtude statistique des données fournies par la CCIJP
Etude statistique des données fournies par la CCIJP Sommaire Introduction : Stagnation du nombre de cartes accordées en 2012... 4 1. Dans quels secteurs d activité les journalistes encartés travaillent-ils?
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE CONVENTIONS COLLECTIVES. Convention collective nationale
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE CONVENTIONS COLLECTIVES Brochure n o 3054 Convention collective nationale IDCC : 925. DISTRIBUTION ET COMMERCE
Plus en détailPermanences secrétariat : Sans rendez-vous : Du lundi au jeudi de 17h00 à 21h30. Sur rendez-vous : Les mercredi et vendredi après-midi.
Objectifs : Se former au métier de technicien apte à intervenir sur des installations automatisées industrielles. Etre capable de monter, modifier, régler ou entretenir des équipements automatisés à partir
Plus en détailwww.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie
www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie Une formation approfondie à la réflexion éthique appliquée aux secteurs du soin et de la santé En formation continue,
Plus en détailLa fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008
La fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008 Ce document se veut une analyse succincte des indicateurs se rapportant à
Plus en détailSimulation d application des règles CNAV AGIRC ARRCO sur des carrières type de fonctionnaires d Etat
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 10 avril 2014 à 9 h 30 «Carrières salariales et retraites dans les secteurs et public» Document N 9 Document de travail, n engage pas le Conseil Simulation
Plus en détailLa certification des entreprises de Bâtiment et de Travaux Publics en Rhône-Alpes : les enjeux
C.E.R.A. Cellule Économique Rhône-Alpes Observatoire Régional du BTP La certification des entreprises de Bâtiment et de Travaux Publics en Rhône-Alpes : les enjeux Edition décembre 2006 INTRODUCTION Les
Plus en détailSociologie des joueurs en ligne
Mars 2013 Sociologie des joueurs en ligne Enquête ARJEL 2012 Autorité de régulation des jeux en ligne 2 Propos introductifs à l enquête sur la sociologie des joueurs Au-delà de la publication trimestrielle
Plus en détailRapport d évaluation du master
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Management public de l Université de Lorraine Vague C 2013-2017 Campagne d évaluation 2011-2012 Section des Formations et des diplômes
Plus en détailSynthèse. Dynamique de l emploi. L0Z-Secrétaires
L0Z-Secrétaires Synthèse En moyenne sur la période 2007-2009, 484 000 personnes exercent le métier de secrétaire, assurant des fonctions de support, de coordination, de gestion et de communication. Les
Plus en détailDéfinitions. Définitions sur le logement
Définitions sur le logement Logement Un logement est défini par son utilisation : c est un local séparé et indépendant utilisé pour l habitation. Il doit être séparé d autres locaux par des murs ou cloisons
Plus en détailTests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections
Plus en détailEmploi et Formation Secteur Publicité
Rapport statistique Emploi et Formation Secteur Publicité 2009-2010 AFDAS / R&D - Septembre 2012 Sommaire 1. DONNEES SUR L EMPLOI 3 1.1. POINT METHODOLOGIQUE ET PRECAUTIONS D USAGE 4 1.2. LES ENTREPRISES
Plus en détailLes durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes
Revenus Les durées d emprunts s allongent pour les plus jeunes Marie-Émilie Clerc, Pierre Lamarche* Entre 2005 et 2011, l endettement des ménages a fortement augmenté, essentiellement du fait de la hausse
Plus en détailEnquête globale transport
Enquête globale transport N 15 Janvier 2013 La mobilité en Île-de-France Modes La voiture L EGT 2010 marque une rupture de tendance importante par rapport aux enquêtes précédentes, en ce qui concerne les
Plus en détailFocus. Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage
Focus Lien entre rémunération du travail et allocation de chômage Introduction Le travailleur qui devient chômeur et qui est admissible sur base de prestations de travail se voit, en application du principe
Plus en détail«Extrait du cahier de l OPEQ n 148»
«Extrait du cahier de l OPEQ n 148» LE CONTEXTE ECONOMIQUE DU PRF 2006-2007 PREQUALIFICATION, QUALIFICATION, ACCES A L EMPLOI En 2007, l emploi salarié privé en région tend à la hausse sur l ensemble des
Plus en détailCONTRIBUTION DU CONSEIL DES CENTRES DE FORMATION DE MUSICIENS INTERVENANTS (CFMI)
AIX-EN-PROVENCE LILLE LYON ORSAY POITIERS RENNES SÉLESTAT TOULOUSE TOURS CONTRIBUTION DU CONSEIL DES CENTRES DE FORMATION DE MUSICIENS INTERVENANTS (CFMI) la reconnaissance du musicien intervenant par
Plus en détailÉvaluation et recommandations
ÉVALUATION ET RECOMMANDATIONS 13 Évaluation et recommandations Les personnes souffrant de troubles mentaux s intègrent mal sur le marché du travail. En Belgique, par rapport aux personnes qui ont une bonne
Plus en détailPRÉSENTATION GÉNÉRALE
PRÉSENTATION GÉNÉRALE Cadrage institutionnel : Arrêté du 27 août 2013 fixant le cadre national des formations dispensées au sein des masters «métiers de l enseignement, de l éducation et de la formation»
Plus en détail5. ACTEURS OBLIGATOIRES ET LEUR RÔLE
5. ACTEURS OBLIGATOIRES ET LEUR RÔLE 5.1. ÉTUDIANT OU STAGIAIRE EN FPI Personne qui suit des cours de FPI et/ou diplômé d un établissement de FPI depuis moins d un an. 5.1.1. Profil et exigences minimales
Plus en détailDocuments nécessaires pour l inscription
Documents nécessaires pour l inscription Annexe 2 Le dossier administratif et le dossier médical complets doivent être obligatoirement déposés au secrétariat de l école avant le 15 septembre 2013 (prendre
Plus en détailLes allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins
études résultats et N 603 octobre 2007 Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins Une enquête a été effectuée par la DREES au deuxième trimestre 2006 auprès de personnes
Plus en détailSommaire. Textes officiels... 5. Horaires... 7. Enseignement de détermination... 9. Présentation... 9. Programme... 10
Sommaire Textes officiels... 5 Horaires... 7 Enseignement de détermination... 9 Présentation... 9 Programme... 10 Indications complémentaires... 11 collection Lycée voie générale et technologique série
Plus en détailLe système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie
Système d accreditation des organismes de formation Origine, objectifs et méthodologie du système d accréditation Carlos Capela Coordinateur du projet INOFOR - Institut pour l innovation dans la formation
Plus en détail1.1.2. La durée du stage officinal est légalement de 6 mois.
1. REGLEMENT DU STAGE OFFICINAL 1.1. Du stage et des stagiaires 1.1.1. Le stage est accompli dans une officine ouverte au public ou dans une officine hospitalière, dirigée par un pharmacien comptant au
Plus en détailInformation et communication
Information et communication Pour les nouveaux diplômés HES en information documentaire, en communication ainsi qu en traduction, l insertion professionnelle s avère difficile. Près de la moitié d entre
Plus en détailINSCRIPTION d'un ETUDIANT ETRANGER DIPLOME à l'etranger
Année académique 2015-2016 INSCRIPTION d'un ETUDIANT ETRANGER DIPLOME à l'etranger I. DOCUMENTS A TRANSMETTRE à l'ecam, dès que possible, pour permettre à la Commission d'admission d émettre un avis sur
Plus en détailRAPPORT DE STAGE NUMERIQUE : Aide-mémoire PREPARATION DU RAPPORT AU COURS DU STAGE
Collège Denecourt de Bois Le Roi 3 ème STAGE DE DÉCOUVERTE D UN MILIEU PROFESSIONNEL (SÉQUENCES D OBSERVATION) RAPPORT DE STAGE NUMERIQUE : Aide-mémoire PREPARATION DU RAPPORT AU COURS DU STAGE La règle
Plus en détailGuide pratique et concret des clauses sociales dans les marchés publics
Guide pratique et concret des clauses sociales dans les marchés publics 2009 Document élaboré par Raphaël Dugailliez Consultant, Formateur Formateur pour la dynamique «marchés publics durables» Mise en
Plus en détailEvolution de l équipement technologique des ménages Bretons entre 2008 et 2012 : Chiffres clés Emilie Huiban et Adrien Souquet, OPSIS, M@rsouin.
Evolution de l équipement technologique des ménages Bretons entre 2008 et 2012 : Chiffres clés Emilie Huiban et Adrien Souquet, OPSIS, M@rsouin. Les principaux points à retenir La fracture numérique de
Plus en détailDiplômes et insertion professionnelle
Diplômes et insertion professionnelle Béatrice Le Rhun, Pascale Pollet* Les conditions d accès à l emploi des jeunes qui entrent sur le marché du travail varient beaucoup selon le niveau de diplôme. Les
Plus en détailPlates-formes de téléformation et modèles pédagogiques
POYET Françoise, (7095) Introduction Plates-formes de téléformation et modèles pédagogiques Depuis quelques années, on assiste à une stabilisation informatique des Technologies de l Information et de la
Plus en détailLes dossiers de l enseignement scolaire. l Éducation nationale et la formation professionnelle en France
Les dossiers de l enseignement scolaire 2010 l Éducation nationale et la formation professionnelle en France ministère éducation nationale L Éducation nationale et la formation professionnelle en France
Plus en détailSite(s) (lieux où la formation est dispensée, y compris pour les diplômes délocalisés) :
Evaluation des diplômes Masters Vague D Académie : Paris Etablissement déposant : Académie(s) : / Etablissement(s) co-habilité(s) : / Mention : Economie managériale et industrielle Domaine : Economie,
Plus en détailLE PASS-TRAVAUX. Edition 2008. Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007.
Edition 2008 LE PASS-TRAVAUX Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007. A la demande de l ANPEEC, MV2 Conseil a réalisé, en 2007,
Plus en détailREFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE
REFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE Le monde de la formation est en plein bouleversement,
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLOME
SUPPLEMENT AU DIPLOME Préambule : «Le présent supplément au diplôme suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l Europe et l UNESCO/CEPES. Le supplément vise à fournir des données
Plus en détailBaroJOB. Une priorité : Donner Envie aux Jeunes. Le Baromètre des Compétences Informatique/TIC en Pays de Loire Edition #5 / Mars-Avril 2014
BaroJOB Une priorité : Donner Envie aux Jeunes Le Baromètre des Compétences Informatique/TIC en Pays de Loire Edition #5 / MarsAvril 2014 Filière IT : Confirmations et paradoxes 2 Filière IT : Confirmations
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailFORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME
FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME ENTREPRISES, INVESTISSEZ DANS VOTRE AVENIR AVEC LA FORMATION PROFESSIONNELLE. FORMATION PROFESSIONNELLE GUIDE PRATIQUE DE LA RÉFORME 1 SOMMAIRE INTRODUCTION
Plus en détailLes micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salariés, la crise et l assurance
Septembre 2013 Contact: Frédéric Dabi 01 45 84 14 44 Frederic.dabi@ifop.com Les micro-entrepreneurs, les travailleurs non-salariés, la crise et l assurance pour Note méthodologique Etude réalisée pour:
Plus en détailAppel à propositions
Appel à propositions Dispositif de professionnalisation des acteurs de l accueil, l information, l orientation, l emploi, la formation professionnelle initiale (par la voie de l apprentissage) et la formation
Plus en détailpublication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques
Dares Analyses FÉVRIER 2014 N 016 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques L EMPLOI DANS LES TRÈS PETITES ENTREPRISES EN DÉCEMBRE 2012 Les entreprises
Plus en détailEVALUATION DE LA QUALITE DES SONDAGES EN LIGNE : CAS D UN SONDAGE D OPINION AU BURKINA FASO
EVALUATION DE LA QUALITE DES SONDAGES EN LIGNE : CAS D UN SONDAGE D OPINION AU BURKINA FASO Auteur Baguinébié Bazongo 1 Ingénieur Statisticien Economiste Chef de l Unité de recherche à l Institut national
Plus en détailEnquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques
Enquête publique sur les changements climatiques -------- Compléments aux graphiques Les résultats de l enquête sont analysés d après le nombre de variables explicatives pouvant influencer le comportement,
Plus en détailImpact du mobile banking sur les comportements d épargne et de transferts à Madagascar. Florence Arestoff Baptiste Venet
Impact du mobile banking sur les comportements d épargne et de transferts à Madagascar Florence Arestoff Baptiste Venet 1 Introduction : contexte du contrat de recherche Ce contrat de recherche fait suite
Plus en détailGestion et animation de sites web. Synthèse
A l usage exclusif des sociétés interrogées en ligne dans le cadre de l étude Gestion et animation de sites web Les métiers, les budgets, les projets L étude de référence Effectifs Budgets Chantiers et
Plus en détailPlace de Wallonie, 1 à 5100 Jambes Secrétariat : 081/33.44.84 Accompagnement.recherche@spw.wallonie.be. Guide pratique pour les études de faisabilité
Direction générale opérationnelle Économie, Emploi et Recherche Département du Développement technologique Direction de l Accompagnement de la Recherche Place de Wallonie, 1 à 5100 Jambes Secrétariat :
Plus en détailMise de jeu 2 La certification des formations
Mise de jeu 2 La certification des formations Une formation certifiante délivre un diplôme reconnu par le RNCP Le plus souvent, les formations certifiantes ou qualifiantes sont celles qui mènent à «un
Plus en détailCet article s attache tout d abord
Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de
Plus en détailPROTOCOLE POUR L ACCUEIL DES STAGIAIRES D ÉCOLES DE TRAVAIL SOCIAL
Actualisation 07/2009 PROTOCOLE POUR L ACCUEIL DES STAGIAIRES D ÉCOLES DE TRAVAIL SOCIAL Partie 1 : LE CADRE GENERAL I. OBJECTIFS DE L INSTITUTION DANS LA FORMATION PROFESSIONNELLE Participer à l effort
Plus en détailExperts de Bologne /////////// Guide pratique. pour la mise en place du Supplément au diplôme. 2e 2f.fr
Experts de Bologne /////////// Guide pratique pour la mise en place du Supplément au diplôme 2e 2f.fr POURQUOI CE GUIDE? > De nombreux établissements d enseignement supérieur désirent mettre en place
Plus en détailFormation consultants juniors en recrutement Formation consultants juniors en recrutement
Formation consultants juniors en recrutement Formation consultants juniors en recrutement BONNEL Conseils Associés Isabelle DOUAY : idouay@bonnel-conseils.com 9 A rue Châteaubriand 75008 PARIS tel. : 01
Plus en détailLES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE
Centre de Recherche pour l Etude et l Observation des Conditions de Vie LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE Anne LOONES Marie-Odile SIMON Août 2004 Département «Evaluation des Politiques Sociales»
Plus en détailProgramme de formation des bénévoles et salariés de l ESS en Corse 2015
Programme de formation des bénévoles et salariés de l ESS en Corse 2015 Cahier des charges pour le dépôt des réponses À l attention des Organismes de Formation, Ajaccio, le 4 février 2015 Objet : Appel
Plus en détailFormulaire de demande de bourse
CONSEIL INTERUNIVERSITAIRE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE DE BELGIQUE COMMISSION DE COOPERATION UNIVERSITAIRE AU DEVELOPPEMENT PROGRAMME DE COURS ET STAGES INTERNATIONAUX 2003-2004 Veuillez coller ici une
Plus en détailBTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR
BTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES GUIDE DU TUTEUR Vous êtes tuteur d un étudiant en BTS management des unités commerciales. Ce guide vous est destiné : il facilite votre préparation de l arrivée du
Plus en détail10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF
10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX
Plus en détailLa diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française
La diffusion des technologies de l information et de la communication dans la société française Étude réalisée par le Centre de Recherche pour l'étude et l'observation des Conditions de Vie (CREDOC) pour
Plus en détailRapport d évaluation de la licence professionnelle
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Gestion des flux internationaux des PME/PMI - Achats, vente, négociation internationale de l Université du Littoral
Plus en détailEvaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale. Résumé MAEE
MAEE RAPPORT FINAL Evaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale Résumé Agnès Lambert, Raphaël Beaujeu, Helena Stucky de Quay, Didier Beaufort, Moctar Ahmed, Riad Bensouiah, Ralison
Plus en détailENQUÊTE DE SATISFACTION
Département CRM ENQUÊTE DE SATISFACTION 3 QUI SOMMES-NOUS? CUSTOMER RELATIONSHIP MANAGEMENT (CRM) Ensemble de mesures prises pour optimiser la relation et la fidélisation client dans le but d augmenter
Plus en détailÉvaluer la formation dans l entreprise
L objectif de ce guide méthodologique est de dresser un bilan des actions de formation menées. L évaluation constitue la dernière étape du management de la formation. La démarche permet de : mesurer la
Plus en détailENQUETE RH TIC Baromètre des Salaires
2011 ENQUETE RH TIC Baromètre des Salaires Note de Synthèse Présentation de l étude Réalisé par 1 SOMMAIRE Partie 1 : PRESENTATION DE L ENQUETE p. 3 Partie 2 : ENQUETE DES SALAIRE TIC : RESTITUTION DES
Plus en détailACTIVITES PROFESSIONNELLES DE FORMATION : BACHELIER EN MARKETING
MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION ACTIVITES
Plus en détailPolitique des stages. Direction des études
Direction des études Service des programmes et de la réussite scolaire Politique des stages Recommandée par la Commission des études du 6 décembre 2011 Adoptée par le conseil d administration du 15 mai
Plus en détailGuide du tuteur. Baccalauréat professionnel. Accueil-Relation Clients et Usagers
Guide du tuteur Baccalauréat professionnel Accueil-Relation Clients et Usagers Lycée Professionnel Henri Brulle 65 Route de Saint Emilion 33500 Libourne Tél : 05.57.48.12.30 Fax : 05.57.85.11.52 Présentation
Plus en détailLes compétences des permanents face à la nouvelle activité que constitue le recrutement en CDI et en CDD
Les dossiers de l Obser vatoire du Travail Temporaire Juillet 2009 Les compétences des permanents face à la nouvelle activité que constitue le recrutement en CDI et en CDD Sommaire 1 Introduction 3 1.1
Plus en détailIndicateur n 13 : Evolution des effectifs et des dépenses de personnel des établissements de santé
Programme «Maladie» 47 Indicateur n 13 : Evolution des effectifs et des dépenses de personnel des établissements de santé Sous-indicateur n 13-1 : Évolution des effectifs (en équivalent temps plein) de
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte
Plus en détailFormation de chargés de missions d'évaluation, intervenants dans les organisations (Fonction publique, entreprises, Santé)
MASTER PROFESSIONNEL Sciences de l éducation master (bac+5). (ex DESS) Consultant chargé de missions d évaluation Pour devenir intervenant chargé de missions d évaluation : Expert, consultant ou coach
Plus en détailBilan de l an 1 de SOMMAIRE RAPPORT DU COMITÉ AVISEUR DE SOLIDARITÉ JEUNESSE
Bilan de l an 1 de SOMMAIRE RAPPORT DU COMITÉ AVISEUR DE SOLIDARITÉ JEUNESSE Le Sommaire constitue un abrégé du document intitulé Bilan de l an I de Solidarité jeunesse : Rapport du Comité aviseur de Solidarité
Plus en détailEtat du marché de l emploi dans la région du Centre et point sur l impact de la crise économique
Etat du marché de l emploi dans la région du Centre et point sur l impact de la crise économique Contexte actuel difficile Contexte actuel local marqué par la perte de 601 emplois chez Duferco/NLMK Au-delà,
Plus en détailCommission Consultative Sous-Régionale du Dispositif Intégré d Insertion Socio- Professionnelle de Mons
Commission Consultative Sous-Régionale du Dispositif Intégré d Insertion Socio- Professionnelle de Mons Projet d action d animation visant à développer des pratiques collectives d écoute et de participation
Plus en détail