Stratégie publique de développement local par les sports de nature. L exemple du tourisme équestre en Basse-Normandie
|
|
- Estelle Coutu
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les stratégies territoriales s affirment lentement Stratégie publique de développement local par les sports de nature. L exemple du tourisme équestre en Basse-Normandie CHRISTOPHER HAUTBOIS ATER À L UFR APS DE RENNES DOCTORANT (CRAPS-CEMIS EA 2131) (christopherhautbois@yahoo.fr) Bien qu écarté depuis vingt ans des textes de lois relatifs à la répartition des compétences, le sport fait partie des principaux secteurs d intervention des collectivités locales. Tour à tour considéré comme un facteur de cohésion sociale, un moyen de promouvoir l image du territoire ou un levier de développement économique, le sport est désormais régulièrement intégré aux stratégies publiques locales de développement. Bénéficiant 72 Sports de nature. Des territoires et des hommes Juillet 2004 CAHIER ESPACES 82
2 CHRISTOPHER HAUTBOIS Stratégie publique de développement local par les sports de nature d une évolution remarquée depuis deux décennies, les loisirs sportifs, et plus particulièrement les sports de nature, trouvent aujourd hui progressivement leur place dans ce dispositif. Ainsi, en France, plusieurs régions manifestent un intérêt croissant pour ces pratiques sportives singulières. Parmi elles, la Basse-Normandie est perçue comme la terre du cheval par excellence. À ce titre, l ensemble des activités équestres dans la région bénéficie d une attention toute particulière de la part des élus locaux. Depuis plusieurs années, en effet, ces activités équestres font l objet d un soutien public important. L une d entre elles concerne le tourisme équestre. Présenté depuis plusieurs années comme un secteur d avenir, il constitue ici un prisme d analyse du processus de développement local par le biais des sports de nature. Cet article vise principalement à éclairer la faisabilité ainsi que les modalités d un partenariat entre une partie des acteurs des sports de nature aspirant à un épanouissement plus marqué de leurs pratiques et des collectivités locales à la recherche de leviers de développement de leur territoire. Pour ce faire, le propos est organisé en deux parties : la première consiste en une réflexion d ordre général sur la place des sports de nature dans les stratégies de développement menées par les élus locaux : évolution, potentialités, éléments de faisabilité des politiques mais aussi limites à leur développement ; la seconde privilégie l étude d un cas particulier relatif aux activités de tourisme équestre en Basse-Normandie. L analyse des capitaux stratégiques de cette activité est privilégiée. SPORTS DE NATURE ET DÉVELOPPEMENT LOCAL Le deuxième volet des lois de décentralisation initié par le gouvernement Raffarin met à jour le rôle accru joué par la sphère publique locale dans l organisation du pays. Toutefois, la seule lecture de ce cadre législatif ne permet qu imparfaitement d envisager l ensemble des actions menées par les élus locaux. En effet, les collectivités territoriales interviennent massivement dans des domaines qui dépassent les strictes compétences prévues juridiquement. Les acteurs locaux agissent ainsi dans le cadre de politiques volontaires, afin de soutenir des secteurs qu ils estiment importants pour leurs administrés. Le développement économique constitue à ce titre une préoccupation majeure des élus. Sur ce point, c est historiquement le secteur industriel qui a fédéré l essentiel des politiques publiques de développement mises en place par les collectivités. Néanmoins, la nouveauté concerne la découverte, puis l intégration du sport aux stratégies locales de développement. L attention portée par la sphère publique locale à ces pratiques, et notamment au sport professionnel, repose sur l existence supposée de vertus économiques susceptibles de favoriser la dynamique locale recherchée. Les collectivités locales manifestent ainsi leur intérêt pour ces pratiques en contribuant à leur financement afin de maximiser leurs externalités économiques. Un champ théorique a progressivement relayé cette réflexion sur les atouts supposés du sport. En France, mais aussi en Europe et aux États-unis, un grand nombre d auteurs cherchent à éprouver la réalité des potentialités économiques du sport professionnel et indirectement la légitimité de son financement par la sphère publique (1). Aujourd hui, les sports de nature apparaissent comme un terrain permettant de prolonger cette réflexion. L émergence des sports de nature comme levier de développement économique constitue le prolongement d un phénomène initié par les activités de montagne, et notamment par les pratiques de ski. Celles-ci sont les précurseurs d un mode de développement territorial ayant fait l objet d un soutien de la part des collectivités locales. En (1) On lira notamment : John L. CROMPTON, Economic impact analysis of sport facilities, in Journal of sport management, vol. 9, 1995 ; Robert A. BAADE, Professional sports as a catalyst for metropolitan economic development, in Journal of urban affairs, vol. 18, n 1, 1996 ; Thomas V. CHEMA, When professional sports justify the subsidy, in Journal of urban affairs, vol. 18, n 1, 1996 ; Mark S. ROSENTRAUB, Does the emperor have new clothes?, in Journal of urban affairs, vol. 18, n 1, 1996 ; D. COATES, B. HUMPREYHS, The growth effects of sport franchises, stadia and arenas, in Journal of policy analysis and management, vol. 18, n 4, 1999 ; Roger G. NOLL, Andrew ZIMBALIST, Sports, jobs and taxes : the economic impact of sports team and stadiums, Ed. Noll and Zimbalist, 1997 ; Philip PORTER, Megasports events as municipal investments : a critique of impact analysis, Mimeograph, 1999 ; Markus KURSCHEIDT, Poids macro-économique du sport et le spectacle sportif : méthodologie, résultats empiriques et perspectives économiques pour le cas de l Allemagne, in Reflets & Perspectives : Sport et mondialisation Quel enjeu pour le XX e siècle?, Ed. De Boeck Université, 2000 ; John SIEGRFIED, Andrew ZIMBALIST, The economics of sports facilities and their communities, in Journal of economic perspectives, vol. 14, n 3, CAHIER ESPACES 82 Juillet 2004 Sports de nature. Des territoires et des hommes 73
3 Les stratégies territoriales s affirment lentement (2) Jean CORNELOUP, Le concept de station sportive en milieu rural. L exemple du Val de Sioule en Allier, in Tourisme sportif et territoires : développement et gestion des espaces de pratiques sportives de pleine nature, Montagnes méditerranéennes, n 11, la matière, les stations de ski correspondent à une configuration pertinente ayant permis le développement d une activité économique principale ou complémentaire au sein d un territoire donné. Ces pratiques sont à l origine d un processus dans lequel les collectivités locales représentent le moteur du développement et les sports de nature son levier. Les limites au développement de stratégies de développement local fondées sur le sport Les pratiques de ski ont longtemps constitué une exception. L ensemble des sports de nature a longtemps peiné à trouver sa place dans les politiques publiques de développement économique. Plusieurs idées peuvent être avancées : l inadaptation de la notion de station à tous les territoires. D abord, elle reste inopérante en milieu rural (2). Plus généralement, l essor des sports de nature achoppe sur la capacité à offrir un produit cohérent et intégrant toutes les exigences de la demande (hébergement, restauration, encadrement et présence d activités annexes) ; la difficulté à concilier développement économique et préservation d un environnement naturel. L exigence d un développement durable, rappelé notamment par la loi Voynet de 1999, conduit à rechercher des formes d activités économiques, sinon diffuses, du moins compatibles avec le respect d un environnement naturel souvent riche. La conséquence est la difficulté à implanter des équipements lourds qui accompagnent le développement de l activité économique mais qui sont durablement structurants pour l espace ; l insuffisante prise en compte des règles du (3) Patrick BAYEUX, Pierre CHAZAUD P. (1997), Les collectivités locales face au tourisme sportif, in Tourisme et sport, Cahier Espaces n 52, 1997 ; Alain BEAUMONT, Collectivités locales et escalade : le cas de l Ardèche, in Dossier de la revue géographique alpine, n 10, 1993 ; Malek BOUHAOUALA, Relations inter-entreprises dans un marché local : le cas des PE-TPE du tourisme sportif en Vercors, in Espaces et sociétés, n , 2000 ; Malek BOUHAOUALA, Petites entreprises et territoire : le cas du secteur du tourisme sportif dans le Vercors, in Tourisme sportif et territoires : développement et gestion des espaces de pratiques sportives de pleine nature, Montagnes méditerranéennes, n 11, 2000 ; Malek BOUHAOUALA, Logiques d action des moniteurs des sports de nature : entre passion et profession, in Revue STAPS, n 56, 2001 ; Malek BOUHAOUALA, Les pratiques commerciales des petites entreprises du tourisme sportif de nature : entre rationalité marketing et logiques sociales des dirigeants, in Revue internationale PME, vol.15, n 1, 2002 ; Philippe BOURDEAU, Gilles ROTILLON, L impact de l escalade dans une analyse coûtsbénéfices, in Revue juridique et économique du sport, CDES, n 51, 1999 ; Dominique BOURGEON, Patrick BOUCHET, À la recherche d expérience dans la consommation du spectacle sportif, in Sport, Europe, Stratégie, n 6, Ed. Pus, 2001 ; Pierre CHAZAUD, Tourisme sportif et développement local. L exemple du Diois, in Tourisme et sport, Cahier Espaces, n 52, 1997 ; Jean CORNELOUP, op. cit., 2000 ; Hugues DECARNIN, Le développement local et l escalade à Buoux, in Liliane BENSAHEL, Myrima DONSIMONI, Le tourisme, facteur de développement local, Ed. Pug, 1999 ; Bernard DEBARBIEUX, Le sport, une affaire publique, une affaire de territoires, in Tourisme sportif et territoires : développement et gestion des espaces de pratiques sportives de pleine nature, Montagnes méditerranéennes, n 11, 2000 ; Jean-Michel DEWAILLY, Claude SOBRY, Récréation, re-création : tourisme et sport dans le Nord-Pas-de-Calais,L Harmattan, 1997 ; Christian DORVILLÉ, Le sport comme métaphore sociale, in Jean-Michel DEWAILLY, Claude SOBRY,op. cit., 1997 ; FÉDÉRATION NATIONALE DU SPORT EN MILIEU RURAL, Tourisme et sport : facteurs de développement du milieu rural et d aménagement du territoire, actes du colloque, 1992 : Luigi GAIDO, Plaidoyer pour un diagnostic territorial raisonné des espaces de tourisme sportif, in Tourisme sportif et territoires : développement et gestion des espaces de pratiques sportives de pleine nature, Montagnes méditerranéennes, n 11, 2000 ; Christopher HAUTBOIS, APS et mesure de l injection économique initiale : le cas du tourisme sportif.application au Centre régional de nautisme de Granville, in Sport, Europe Stratégies, n 9, 2003 ; Éric PASSAVANT, Les stratégies marketing des agences de voyage selon leur position dans le champ de production du tourisme d aventure, in Le Marketing du loisir et du tourisme sportif, Actes du V e séminaire de marketing du sport, 1999 ; Clémence PERRIN, Hugo BORREL, Andria RAHARINOSY, Jean-Pierre MOUNET, Une composante de l offre touristique à la structuration en émergence : le canyoying dans le Vercors, in Retour, marché par certains socioprofessionnels des sports de nature. Ce constat peut être associé au type de produits proposés (pas assez élaborés), à la manière dont est réalisée la communication sur les produits (inadaptée au segment de clientèle visé), à la tarification (tarifs pratiqués trop faibles ou trop élevés). L atout majeur de cette frange de professionnels, et qui reste indispensable, est leur passion pour un sport de nature. La littérature relative aux sports de nature, y compris celle mobilisant une réflexion économique (3), témoigne de la place modeste jusqu à présent occupée par ces pratiques dans les politiques de développement local. Les signes d un changement Pourtant, plusieurs exemples tendent à montrer que les sports de nature possèdent certains des atouts nécessaires au développement local et qu ils peuvent faire l objet d un soutien public, dans une perspective de croissance régionale. Deux cas parmi d autres sont ici rapportés. Tout d abord, les pratiques de glisse dans la 74 Sports de nature. Des territoires et des hommes Juillet 2004 CAHIER ESPACES 82
4 CHRISTOPHER HAUTBOIS Stratégie publique de développement local par les sports de nature région Aquitaine. Avec 610 millions d euros de chiffre d affaires en 2002 et emplois permanents, l Aquitaine est la première région européenne de la glisse. Les deux tiers de cette activité sont concentrés dans le sud des Landes et dans le Pays basque, ce qui a valu à cette région le surnom de Glissicon Valley. La tradition liée à ces pratiques est ancrée dans la culture locale. C est à Biarritz qu a lieu chaque année la fête du surf en Europe. La région dispose d une image forte ayant permis la venue d entreprises spécialisées, parfois d envergure mondiale (Quick Silver, Rip Curl, Surf Session ). Les professionnels se sont, en outre, regroupés au sein d une association, Eurosima (European Surf Industry Manufacturing Association), afin de favoriser les échanges et de développer le savoir-faire général de la région dans le secteur de la production de biens associés aux pratiques de glisse. Les pouvoirs publics locaux ont participé au développement de cette activité économique. Ainsi, depuis 1999, la chambre régionale des métiers, avec l appui du conseil régional, développe un programme de structuration de la filière des sports de glisse. En 2001, euros ont été consacrés par le conseil régional au surf en Aquitaine (soutien accordé aux manifestations, aux athlètes de haut niveau et pour l acquisition de matériel). L organisation de la région Aquitaine autour des pratiques de glisse constitue en cela un modèle de développement (4). Les activités voile en Bretagne constituent une seconde illustration de cette tendance nouvelle. Les activités liées à la mer font partie intégrante de la culture bretonne. Cette culture transparaît dans la nature de l offre de pratique sportive de nature. La région compte 300 structures ayant généré un chiffre d affaires de 76 millions d euros en Ainsi, l importance du littoral et la longueur des côtes bretonnes constituent un atout du territoire dans le développement de ces pratiques, en croissance de 3 % chaque année. On observe, en effet, dans cette région une forte concentration de professionnels proposant des activités sportives liées à la mer. Cette offre singulière constitue une caractéristique bretonne en matière de sports de nature. Les acteurs publics locaux soutiennent cette activité économique. Ainsi, le conseil régional, avec le concours de l État, a mis en œuvre un programme visant à moderniser l activité de ces centres. L expérimentation sera étendue au cours de l année 2004 à l ensemble des structures de la filière nautique bretonne. Ces deux exemples tendent à montrer que se développe une forme de partenariat donnant-donnant entre les acteurs de sports de nature et les collectivités locales. Les premiers renforcent leur activité (amélioration des équipements, des structures, de la promotion) grâce à l existence de fonds publics. Les secondes attendent de ces investissements un retour en termes d image et de développement économique, sur le plan tant réel (création d emplois) que financier (dynamique de la croissance régionale). S appuyant sur les deux exemples précités et recherchant plus généralement les caractéristiques d un modèle de développement local par l intermédiaire des sports de nature, quatre capitaux stratégiques apparaissent particulièrement décisifs. (4) Jean-Pierre AUGUSTIN, L émergence des stations surf sur le littoral aquitain, in Tourisme et sport, Cahier Espaces, n 52, LES QUATRE CAPITAUX STRATÉGIQUES DU DÉVELOPPEMENT TERRITORIAL À ce stade de la réflexion, on peut avancer l idée que l intensité du développement territorial par les sports de nature repose sur l existence de quatre capitaux stratégiques : naturel, économique, socio-culturel et public. Ces quatre capitaux interagissent sur le plan local. Ces interactions, l importance et la qualité de chacun d eux permettent d identifier les potentialités de développement. Chaque territoire offre une combi- CAHIER ESPACES 82 Juillet 2004 Sports de nature. Des territoires et des hommes 75
5 Les stratégies territoriales s affirment lentement naison particulière de ces capitaux. Cette diversité des combinaisons explique le différentiel inter-régional de développement par les sports de nature mais aussi son intensité, sa vitesse, sa forme et sa durabilité (cf. schéma 1). Chacun des quatre capitaux présente des spécificités rappelées ci-dessous. Le capital naturel : le constat d un fort déterminisme Le capital naturel est celui qui dépend le moins des acteurs locaux. Il est directement lié aux ressources disponibles au sein du territoire : eau, air, végétation, roche Ces ressources sont directement au cœur de l offre de sports de nature d un territoire, puisqu elles en constituent le support. Sur ce point, il est possible d identifier, à l échelle du territoire français, deux types de territoire selon leur dotation en ressources naturelles utilisables dans le cadre des sports de nature : les territoires diversifiés. C est le cas par exemple de la région Est de la France, mais aussi de la région Midi-Pyrénées. Il s agit de territoires caractérisés par une homogénéité dans l offre de sports de nature. Le pratiquant pourra trouver une large palette d activités. Aucune d entre elles n est sur-représentée ; les territoires spécialisés. Il s agit de territoires caractérisés par la domination ou la surreprésentation d une pratique sportive. L offre est ici organisée autour de l existence d une ressource naturelle principale qui structure l offre de sports de nature : présence du littoral ou de montagnes par exemple (cf. schéma 2). Le capital économique : les forces et les opportunités liées au marché Le capital économique concerne l ensemble des forces et des opportunités dont dispose un territoire pour favoriser le développement de ses sports de nature. On peut distinguer des forces et opportunités sportives et non sportives. Schéma 1 Les quatre capitaux territoriaux du développement local DÉVELOPPEMENT LOCAL CAPITAL NATUREL CAPITAL PUBLIC CAPITAL ÉCONOMIQUE CAPITAL SOCIO-CULTUREL 76 Sports de nature. Des territoires et des hommes Juillet 2004 CAHIER ESPACES 82
6 CHRISTOPHER HAUTBOIS Stratégie publique de développement local par les sports de nature Les premières concernent la cohérence et la complémentarité de l offre de pratiques de sports de nature. On peut, en effet, faire l hypothèse que le développement des sports de nature repose sur la capacité d un territoire à proposer, au-delà d une spécialité locale, une diversité d activités capable d attirer une large majorité de pratiquants souhaitant essayer plusieurs sports. Ce constat renvoie à la notion d économie d agglomération : un territoire est d autant plus attractif pour un pratiquant que celui-ci a la possibilité de pratiquer un large volant de sports de nature. La spécialité locale revêt toutefois un aspect décisif, car elle apporte une lisibilité sur un marché et peut influencer le pratiquant sur le choix de la destination. Cette sur-représentation locale d une discipline repose sur une concentration géographique des offreurs. Outre le fait qu elle renforce la lisibilité du territoire, cette concentration favorise la mise en œuvre d un réseau dont chaque offreur constitue un relais. Cette configuration contribue ainsi au développement d économies d échelle bénéfiques aux différents acteurs. Il peut s agir d une mutualisation des frais de promotion des activités proposées, d un pouvoir accru de négociation vis-à-vis des fournisseurs de biens ou de services ou encore d une mise en commun des moyens disponibles et nécessaires pour la pratique sportive considérée. Schéma 2 La spécialisation départementale des sports de nature Spéléologie, canoé-kayak Tourisme équestre Nota. Cette carte décline la répartition départementale de l offre de sports de nature. Pour chaque catégorie de départements, la pratique sportive mentionnée est sur-représentée par rapport aux autres sports de nature. Ces derniers ne sont pas pour autant absents. La prise en compte de ce constat peut constituer un élément orientant le choix de la stratégie publique à mener. Source : Christopher Hautbois, Sport tourism and local economic development : the importance of an initial diagnosis of suppliers geographic concentration. Case study of France, in Journal of sport tourism, vol. 8, n 3 (à paraître, 2004) Char à voile, sports de glisse Randonnée pédestre Escalade Vol à voile Voile Données : C. Hautbois Réalisation : L. Ravenel CAHIER ESPACES 82 Juillet 2004 Sports de nature. Des territoires et des hommes 77
7 Les stratégies territoriales s affirment lentement Les forces et opportunités non sportives peuvent également être décisives pour le développement local par les sports de nature. Ces forces et opportunités concernent l ensemble des critères économiques susceptibles de favoriser la venue sur le territoire de pratiquants : qualité générale de l accueil, infrastructures de transport facilitant l accès aux sites de pratique, diversité des activités non sportives, des biens et des services disponibles sur place et susceptibles de séduire les pratiquants. Le critère d intégration économique (cohérence, complémentarité et diversité) du territoire apparaît particulièrement stratégique. Le capital socio-culturel : entre héritage et stratégie contemporaine D un point de vue global, la capacité des acteurs locaux à se rencontrer, à raisonner selon un mode identique, à impulser des projets demeure un atout important. La richesse de ce capital tient à la capacité d un territoire à le transmettre et à l enrichir au fil des générations. Cette transmission peut être établie de manière empirique (apprentissage par l action) ou plus formelle (qualité de l offre de formations validées par des diplômes). Cette culture locale peut se manifester par le savoir-faire accumulé par la population locale ou par les professionnels dans l organisation et la gestion d un sport de nature en particulier. Pour un territoire donné, ces compétences particulières peuvent constituer un actif stratégique, dans la mesure où les territoires voisins et concurrents ne les posséderaient pas. Enfin, ce capital socio-culturel constitue à la fois un liant pour la société locale et un socle sur lequel peut s appuyer la croissance régionale. Le capital public : la coordination du système Ce dernier capital concerne directement le rôle des pouvoirs publics locaux dans la stratégie de développement local. Plus généralement, sur le plan de la doctrine, il s agit d interroger la participation de la sphère publique dans la vie économique. C est encore poser la question d une régulation publique de l économie. Dans un modèle économique laissant la place à l État ou aux collectivités locales, les acteurs publics ne se limitent pas à constater les différences inter-régionales de développement ou à souligner les carences de la croissance. Ils sont au cœur du système de gouvernance locale et possèdent de ce fait un rôle tout particulier dans le développement territorial. Schéma 3 Les activités équestres en Basse-Normandie Secteur des courses de chevaux Secteur des activités connexes LES ACTIVITÉS ÉQUESTRES EN BASSE-NORMANDIE Secteur du tourisme équestre Secteur des sports équestres 78 Sports de nature. Des territoires et des hommes Juillet 2004 CAHIER ESPACES 82
8 CHRISTOPHER HAUTBOIS Stratégie publique de développement local par les sports de nature Aujourd hui, en matière de sports de nature, la possibilité d atteindre un niveau important d activité est corrélée à la présence d un soutien public. Le capital public est caractérisé par l ensemble des actions ou des mesures prises par la sphère publique locale pour renforcer le développement des sports de nature et indirectement celui du territoire. Il s agit dès lors d un capital plus global (un méta-capital ), c est-à-dire pouvant influer sur chacun des trois autres capitaux : concernant le capital naturel, il appartient à la sphère publique d identifier les ressources naturelles pertinentes sur la base desquelles le développement local peut être planifié ; pour ce qui concerne le capital économique, la sphère publique peut ordonner les actions directes ou indirectes permettant d attirer les acteurs économiques, afin de favoriser la concentration des unités productives et l essor des externalités stratégiques. Cela relève directement de la politique économique menée par les collectivités locales. En outre, leur rôle est de permettre le maintien d une relation forte et durable entre les acteurs économiques et le territoire. En l absence d une telle volonté, on assiste à un nomadisme des entreprises qui recherchent, par la mobilité, le maintien des conditions de leur compétitivité (5). Enfin, les pouvoirs locaux doivent entretenir un lien avec les autres échelons territoriaux, et notamment avec l État. Ce rôle de lobbying public doit permettre d obtenir les moyens pour mettre en place les actions décidées localement en matière de sports de nature ; la sphère publique locale joue également un rôle, même indirect, pour ce qui concerne le capital socioculturel. Elle apparaît, en effet, comme le garant de cette histoire commune et œuvre pour son maintien et sa promotion. Favorisant le lien social, la sphère publique locale doit aider à la transmission de cette culture et, sur le plan économique, de son savoirfaire. Les modalités de cette pérennisation du capital socioculturel sont variables d un territoire à l autre. L un des moyens d accomplir cette tâche est la mise en place ou le soutien de formations apportées à la main-d œuvre et dont on juge qu elles sont étroitement liées aux spécificités locales. LA STRATÉGIE PUBLIQUE DE DÉVELOPPEMENT DU TOURISME ÉQUESTRE EN BASSE-NORMANDIE La présentation plus particulière du tourisme équestre en Basse-Normandie peut illustrer l intérêt d une stratégie publique de développement par les sports de nature. Le secteur du tourisme équestre, en Basse-Normandie, est l un des secteurs d une filière comprenant également le secteur des courses de chevaux, le secteur des sports équestres et le secteur des activités connexes (cf. schéma 3). Dans la région, le secteur du tourisme équestre s organise autour de différents types d acteur. Prolongeant une analyse documentaire, une recherche menée de décembre 2002 à janvier 2004 a permis la réalisation de 23 entretiens auprès de cinq profils d acteurs du tourisme équestre (6) (le chiffre entre parenthèses indique le nombre d entretiens réalisés pour chacune des catégories) : directeurs de centres de tourisme équestre (CTE) (4) ; comités départementaux et régional de tourisme équestre (CDTE, CRTE) (3) ; association de cavaliers de tourisme équestre (3) ; comités départementaux du tourisme (CDT) (3) ; conseils généraux, conseil régional (CG, CR) (10). Cette méthodologie a permis l identification des éléments suivants. (5) Jean-Benoît ZIMMERMANN, Des clusters aux smallworlds, une approche en termes de proximités, in Géographie, économie, société, n 4, (6) Outre ces entretiens auprès des acteurs du tourisme équestre, l étude menée a parallèlement permis d interroger un échantillon représentatif de l ensemble des secteurs des activités équestres dans la région, soit un total de 64 entretiens. CAHIER ESPACES 82 Juillet 2004 Sports de nature. Des territoires et des hommes 79
9 Les stratégies territoriales s affirment lentement Tourisme équestre et financement public : apparition et évolution d une relation depuis 1990 Le partenariat entre les collectivités locales des trois départements bas-normands (Calvados, Manche, Orne) et les acteurs du tourisme équestre est marginal jusqu en Jusqu à cette date, les activités équestres dans la région, et le tourisme équestre en particulier, ne font l objet d aucun soutien ou financement public réalisé dans le cadre d une stratégie de développement. Les deux sphères évoluent de manière indépendante : les collectivités locales ne considèrent pas le tourisme équestre comme un levier potentiel de développement ; dans le même temps, les acteurs du tourisme équestre ne manifestent pas une volonté affirmée de mettre en place un plan de développement. Ces activités restent dans la sphère du seul loisir individuel et ne sont pas envisagées comme une finalité commerciale. L initiative des conseils généraux À partir de 1990, on observe une évolution de ce partenariat. Sous l impulsion des conseils généraux, les activités équestres sont au cœur d une politique plus marquée. Cela témoigne d une prise de conscience réelle des atouts liés à ces activités. Le tourisme équestre bénéficie ainsi de nombreuses opérations visant à promouvoir l image du cheval et la diversité des activités proposées. Le conseil général de la Manche a déclaré 1990 année du cheval. Cette année-là, le conseil général a versé euros pour l ensemble des manifestations et des constructions d équipements. Depuis cette date, le département de la Manche participe chaque année au financement d opérations visant à promouvoir les activités liées au cheval dans la région. Le tourisme équestre bénéficie directement ou indirectement de ces actions de promotion. Dans le Calvados, depuis 1991, le conseil général organise les Équidays. Durant quinze jours, cette manifestation phare mobilise tout le département. L ensemble des acteurs de la filière équine a la possibilité de promouvoir sa propre activité. Cette opération a été Tableau 1 Le capital économique du tourisme équestre bas-normand Forces et opportunités Sportives Activités nautiques comme élément d attraction des résidents extérieurs (économies d agglomération) Concentration régionale des offreurs de tourisme équestre Faible coordination des professionnels du tourisme équestre Non sportives Sites touristiques polarisants (Mont-Saint-Michel, Mémorial de Caen) Proximité de la clientèle du bassin parisien Proximité de la clientèle anglaise Menaces et faiblesses Logique commerciale non généralisée à tous les acteurs du tourisme équestre Activités nautiques représentant une concurrence une fois les résidents extérieurs présents dans la région Infrastructures de transport parallèles aux côtes de la Manche et limitées à l intérieur des terres où sont concentrés les offreurs 80 Sports de nature. Des territoires et des hommes Juillet 2004 CAHIER ESPACES 82
10 CHRISTOPHER HAUTBOIS Stratégie publique de développement local par les sports de nature initiée par quelques élus ayant, les premiers, envisagé l importance stratégique que pouvaient avoir ces activités dans le département. Lors de la dernière édition, en 2003, la participation financière du conseil général a été de euros. Parallèlement à ces opérations de promotion, le conseil général investit également dans la recherche équine. D une part, le conseil général soutient l activité du centre d études de l Afssa-Dozulé. Prolongeant un partenariat déjà ancien, une convention-cadre a été signée entre les deux entités. Elle prévoit le versement annuel par le conseil général de euros à partir du 1 er mars 2000, et ce pendant cinq ans. D autre part, le conseil général soutient l activité du laboratoire départemental Frank Duncombe, comprenant notamment un service de santé animale. Matérialisée par la construction de locaux plus modernes, la politique du conseil général vise, depuis le début des années 1990, à faire de ce centre une référence en matière de recherche équine. Le rôle fédérateur du conseil régional En 1993, le conseil régional lance deux projets qui marquent le point de départ d une politique de développement des activités équestres : l étude sur l importance de la filière équine dans la région, réalisée par le conseil économique et social de la Basse-Normandie ; le projet de voir se développer dans la région un pôle de recherche équine international : le Centre d imagerie et de recherche sur les affections locomotrices (Cirale). Ce laboratoire est inauguré en 1999, avec une participation financière du conseil régional d environ 4,5 millions d euros. Cette politique publique régionale est encore renforcée en 1997, avec la mise en place d une structure, financée par la région, ayant pour but de mener la politique cheval. Ce Conseil des chevaux de Normandie (CCN) se positionne à l interface entre le conseil régional et les acteurs de terrain : il coordonne les activités, reçoit et examine les dossiers et oriente les financements, qu ils soient régionaux ou européens. À partir de 1997, la démarche a été reproduite par d autres conseils régionaux. Il existe aujourd hui une fédération des conseils des chevaux. Les quatre capitaux stratégiques du tourisme équestre bas-normand ou le bilan d un partenariat mitigé Le capital naturel : une opportunité stratégique indéniable L ensemble des acteurs du tourisme équestre rencontrés souligne le fort potentiel régional constitué à la fois par la proximité de la plage et le réseau des chemins de campagne qui permettent l organisation de cette activité. Le réseau de chemins constitue à l évidence un support essentiel au développement. Plus largement, ce réseau de chemins s intègre dans un environnement naturel riche et susceptible de favoriser la venue de pratiquants sportifs. Pourtant, deux problèmes récurrents demeurent : d une part, la préservation et l entretien de ces chemins. En effet, les politiques de remembrement contribuent à faire disparaître ce potentiel local important. Dans le même temps, les acteurs de terrain soulignent la réelle difficulté à faire entretenir ces chemins essentiels pour le développement de leur activité ; d autre part, la cohabitation des acteurs du tourisme équestre avec les autres utilisateurs de ces chemins (pratiquants de VTT, randonneurs pédestres) s avère parfois sensible. Les exigences différentes de chacun de ces publics rendent les choix d aménagement de ces espaces inadaptés à la pratique de tous. CAHIER ESPACES 82 Juillet 2004 Sports de nature. Des territoires et des hommes 81
11 Les stratégies territoriales s affirment lentement Le capital économique : primat de la passion sur le profit Le capital économique en Basse-Normandie peut être envisagé selon la matrice suivante présentée dans le tableau 1. Le capital socioculturel : une force régionale Il existe, en Basse-Normandie, une véritable culture du cheval. Cette culture influe sur l identité régionale, que ce soit chez les habitants de la région ou chez les non-résidents (Basse- Normandie associée au cheval). En cela, il s agit d un capital socioculturel a priori favorable à la mise en place d une stratégie publique de développement. Cette reconnaissance de la place du cheval dans la région conduit à estimer légitime l investissement de fonds publics dans le développement de cette activité économique. Le capital public : le soutien aux activités équestres pertinentes Analyser le capital public du tourisme équestre, c est interroger le rôle de la sphère publique dans le soutien à cette activité dans la perspective d un développement économique, notamment local. Dans le cas de la politique de développement du tourisme équestre en Basse-Normandie, analyser le capital public permet notamment d envisager l efficacité de la stratégie mise en œuvre. Tout d abord, l étude menée montre très clairement le faible niveau du partenariat existant entre les acteurs du tourisme équestre et la sphère publique locale. Quelques-uns des axes de soutien aux activités équestres proposés par ces acteurs publics ont été évoqués dans le point précédent. Or, au-delà d opérations visant à promouvoir de manière générale l ensemble de ces activités, il apparaît que l essentiel des actions menées ne sont pas directement orientées vers le tourisme équestre. Le constat réalisé est celui d une forte propension des conseils généraux et du conseil régional à accompagner et à soutenir les secteurs d activités équestres qui sont déjà organisés, coordonnés, possédant un plan de développement à moyen terme et ayant trouvé leur place sur un marché. Il s agit particulièrement ici des secteurs des courses de chevaux (élevage, équipements) et des sports équestres (élevage). En ce sens, le terme de partenariat semble adapté pour caractériser la politique publique de développement territorial : la sphère publique ne se fonde pas à intervenir dans des secteurs ne présentant pas tous les éléments pouvant maximiser son action. L un des éléments pouvant expliquer ce constat concerne la faible prise en compte de la logique commerciale par certains acteurs du tourisme équestre. La sphère publique locale considère en cela qu il ne lui appartient pas de soutenir un secteur qui n a pas encore fait le cheminement nécessaire, en termes d auto-organisation, d objectifs de développement notamment, pour bénéficier d un soutien public. La finalité de la politique publique n est alors pas de maintenir artificiellement en activité un secteur économique mais plutôt d accompagner des professionnels susceptibles d employer le plus efficacement les fonds publics fournis. Les sports de nature sont désormais présents dans les stratégies publiques de développement local. Ils présentent, dans leur ensemble, certains des atouts susceptibles de séduire les acteurs publics à la recherche d un développement territorial par le sport. Toutefois, plusieurs caractéristiques, notamment organisationnelles, freinent aujourd hui l utilisation des sports de nature dans cette perspective. 82 Sports de nature. Des territoires et des hommes Juillet 2004 CAHIER ESPACES 82
12 CHRISTOPHER HAUTBOIS Stratégie publique de développement local par les sports de nature Une réflexion sur ce thème, que l on pourrait qualifier d économie politique locale des sports de nature, doit être pérennisée afin d identifier les potentialités réelles, les modalités et, plus généralement, les conditions de réussite de ce type de stratégie publique. L analyse des capitaux stratégiques du tourisme équestre en Basse-Normandie constitue un exemple pouvant servir de base à cette réflexion. Cette illustration montre que, en l état actuel des choses, la capacité à formuler une stratégie publique de développement nécessite une mise en adéquation des objectifs des principaux partenaires, publics et professionnels. L efficacité d une stratégie publique de développement local par le tourisme équestre n est pas encore avérée. Une plus grande mise en réseau des acteurs, une meilleure structuration de l offre constituent les préalables d un partenariat tourné vers un objectif de croissance du territoire aujourd hui peu concrétisé. CAHIER ESPACES 82 Juillet 2004 Sports de nature. Des territoires et des hommes 83
Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris
Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Thème : Commercialiser la campagne : les questions de base posées aux territoires
Plus en détailEspace thématique Sportsnature.org : Economie du tourisme et des loisirs sportifs
Espace thématique Sportsnature.org : Economie du tourisme et des loisirs sportifs Cet espace thématique est animé par : Christopher Hautbois Maître de conférences Sociologie, politique et transformations
Plus en détailBase nautique. Hébergement : 135 lits. Base de plein air
Infrastructures hôtelières Infrastructures sportives «Des installations qui rendent vos séjours, stages et séminaires efficaces et agréables.» «Des équipements au top pour optimiser vos projets.» Un hébergement
Plus en détailCompte rendu de la réunion du 15 décembre
Compte rendu de la réunion du 15 décembre Nombre de présents : 23 personnes, dont : Correspondants régionaux 6 Présidents de CDTE 6 Permanents 4 Présidents de CRTE 3 Autres 3 Objectifs de la réunion: -
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Assises du Tourisme Vendredi 21 novembre 2014 Pied-de-Borne
DOSSIER DE PRESSE Assises du Tourisme Vendredi 21 novembre 2014 Pied-de-Borne Conseil général de la Lozère Elodie LEHNEBACH, Rue de la Rovère 48000 Mende 04 66 49 66 07 Comité dép.. du Tourisme Brigitte
Plus en détailAPPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE
1 APPEL A LA RECONNAISSANCE DU PATRIMOINE CULTUREL IMMATÉRIEL EN BRETAGNE Nous, signataires, acteurs culturels en Bretagne, individuels et associations, demandons aux élus et institutionnels de soutenir
Plus en détailDevenez concepteur et gestionnaire d activités récréatives et sportives en milieux rural et montagnard
Master Sciences, Technologies, Santé Sciences Humaines et Sociales Mention : Activité Projet Sport Santé (AP2S) Spécialité : Sport-Innovation, Management et Ingénierie du Projet (SIMIP) UFR STAPS Clermont-Ferrand
Plus en détailMaster Audiovisuel, communication et arts du spectacle
Formations et diplômes Rapport d'évaluation Master Audiovisuel, communication et arts du spectacle Université Toulouse II - Jean Jaurès - UT2J Campagne d évaluation 2014-2015 (Vague A) Formations et diplômes
Plus en détailI. ORIENTATIONS STRATEGIQUES 2006-2010
I. ORIENTATIONS STRATEGIQUES 2006-2010 POSITIONNEMENT Anglet se présente comme un «resort sport & nature» sur la Côte Basque. Caractéristiques : Valeurs : Symboles : Thématiques : grands espaces naturels,
Plus en détailChaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial
Chaire Attractivité et Nouveau Marketing Territorial Dossier de presse Contact Chaire : Joël Gayet Mobile : 00 33 6 09 51 15 70 Jgayet.chaire anmt@sciencespo aix.fr Contact Sciences Po Aix : Noëlline Souris
Plus en détailEtude sur les Maisons des Services Publics en Europe (hors la France)
Etude sur les Maisons des Services Publics en Europe (hors la France) Résumé du rapport réalisé par EUROPA pour la DATAR DATAR EUROPA Etude sur les maisons des services publics en Europe Résumé du rapport
Plus en détailwww.u-bordeaux3.fr Master professionnel Urbanisme : stratégie, projets, maîtrise d ouvrage (USPMO)
www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Urbanisme : stratégie, projets, maîtrise d ouvrage (USPMO) Former des urbanistes Le master Urbanisme : stratégie, projets, maîtrise d ouvrage (USPMO) s appuie sur
Plus en détailLa traduction des sites internet touristiques en langues étrangères comme outil de valorisation et de promotion des territoires aquitains
La traduction des sites internet touristiques en langues étrangères comme outil de valorisation et de promotion des territoires aquitains Alexandre Bertin NOTE STRATEGIQUE Note stratégique réalisée par
Plus en détailContributions de la FEP au développement du sport : Enjeux et propositions
Contributions de la FEP au développement du sport : Enjeux et propositions Contributions de la FEP au développement du sport : Enjeux et propositions Présentation Rassemblant les syndicats et associations
Plus en détailAu profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics
DOSSIER DE PRESSE PARTENARIAT CCCA-BTP et PRO BTP Au profit des apprentis du bâtiment et des travaux publics Bernard Charpenel / CCCA-BTP Signature de la convention et point presse 10 mars 2010 0 SOMMAIRE
Plus en détailL immobilier d entreprise artisanale
e s c a L immobilier d entreprise artisanale n l B e E n j e u x L i v r S t r a t é g i P r o p o s i t i o n s Ile-de-France Rhône-Alpes Le Livre Blanc de l immobilier d entreprise artisanale Pourquoi?
Plus en détailLEADER 2009-2015 Programme européen du Pays de Haute Mayenne
LEADER 2009-2015 Programme européen du Pays de Haute Mayenne Pays de Haute Mayenne Place Cheverus 53100 MAYENNE Tél. 02 43 04 64 50 leader@hautemayenne.org www.hautemayenne.org/leader.htm UN TERRITOIRE,
Plus en détailAgence du patrimoine immatériel de l État
Agence du patrimoine immatériel de l État Les richesses de l immatériel sont les clés de la croissance future Rapport de la commission de l économie de l immatériel 2006 Le mot du directeur général L APIE
Plus en détailSéminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014
Séminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014 OUVERTURE DU SEMINAIRE : Bernard Amsalem, Vice-président du CNOSF Etat de l avancée des travaux depuis le dernier séminaire Rappel
Plus en détailC.R.I.T.E.R. Centre de Ressources et d Ingénierie du Tourisme en Espace Rural
Centre de Ressources et d Ingénierie du Tourisme en Espace Rural C.R.I.T.E.R. Languedoc-Roussillon (Siège social) Parc d Activités Le Millénaire Bruyère 2000 - Bat 1-650, rue Henri Becquerel 34000 MONTPELLIER
Plus en détailUne démarche engagée dans le cadre du Réseau Rural bas-normand
Longtemps dédiés au monde agricole, les espaces ruraux ont connu ces dernières années des transformations, dues notamment, à l arrivée de nouveaux habitants, néo-ruraux pour la plupart. L espace rural
Plus en détailRapport d évaluation du master
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Marketing et vente de l Université Paris-Est Créteil Val de Marne - UPEC Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section
Plus en détailCREATIVE RESOURCES. La montagne nous offre le décor... à nous d inventer l histoire qui va avec. Nicolas Helmbacher
La montagne nous offre le décor... à nous d inventer l histoire qui va avec. Nicolas Helmbacher L es activités de nature ont ceci de commun avec la stratégie d entreprise, qu elles demandent la plus grande
Plus en détailCONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016
Département Administration Paris, le 3 mars 2014 et Gestion Communales VP/AH/Note 11 Affaire suivie par Véronique PICARD CONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016 La continuité - maintien du montant
Plus en détailLA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015
LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015 Table des matières Message du président-directeur général 3 Orientation gouvernementale 1 : Informer, sensibiliser, éduquer,
Plus en détailCharte des Business Angels (BA) de l Orne, affiliés à Norm Angels
Charte des Business Angels (BA) de l Orne, affiliés à Norm Angels MOTIFS : Soucieux de soutenir sur le territoire ornais et bas-normand la création et le développement d entreprises à potentiel, Orne développement
Plus en détailvendredi 17 et samedi 18 octobre 2014 niort / salle de l acclameur Rendez-vous national innover et entreprendre créer son emploi
vendredi 17 et samedi 18 octobre 2014 niort / salle de l acclameur Rendez-vous national de S l économie ociale & olidaire entrée libre innover et entreprendre créer son emploi FondeR son association epargner
Plus en détailQu est-ce que Pays Basque Incoming?
Qu est-ce que Pays Basque Incoming? Une association créée en 2008 regroupant 6 agences réceptives : Biarritz For Events Le Tourisme Basque Outdoor Travel Passion Côte Basque Sud Emotion Terres Basques
Plus en détailComité syndical 29 avril 2015 à Janzé
Comité syndical 29 avril 2015 à Janzé Les missions du Pays touristique (inscrites dans les statuts du Syndicat Mixte). 1. Élaborer et participer à la mise en œuvre d un projet de développement touristique
Plus en détailRhône Développement Initiative 1993-2013. Au service de l entrepreneuriat 20 ans et de l économie de proximité. www.rdi.asso.fr
Rhône Développement Initiative 1993-2013 Au service de l entrepreneuriat 20 ans et de l économie de proximité www.rdi.asso.fr Jean-Jacques MARTIN, Président de RDI Membre des réseaux nationaux RDI Edito
Plus en détailcharte des relations internationales de sénart cadre déontologique et politique réciprocité équité solidarité durabilité
charte des relations internationales de sénart cadre déontologique et politique é d i t o r i a l Sénart est composée de 10 communes dont 7 engagées dans 22 jumelages en direction de 8 pays. Une concertation
Plus en détailLes Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie
Les Français et les nuisances sonores Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie RB/MCP N 112427 Contacts Ifop : Romain Bendavid / Marion Chasles-Parot Département Opinion
Plus en détail10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive»
10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» Préambule Si l actuelle majorité peut indéniablement se prévaloir d un très bon bilan,
Plus en détailCollectivités Territoriales
4 trimestre 2004 Sports Territoires Environnement Equipements Nature le CROS et les 8 CDOS de la Région Rhône Alpes 2005 06 30 N 7 Collectivités Territoriales Présence des représentants du Mouvement sportif
Plus en détailwww.aftec.fr AFTEC Générateur d avenirs ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR PRIVÉ CAEN LAVAL RENNES VANNES VITRÉ TITRES CERTIFIÉS PAR L ETAT
www.aftec.fr AFTEC Générateur d avenirs ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR PRIVÉ TITRES CERTIFIÉS PAR L ETAT CAEN LAVAL RENNES VANNES VITRÉ AFTEC : Générateur d avenirs Chaque étudiant souhaite trouver un emploi rapidement
Plus en détailPOUR LE DÉVELOPPEMENT DU TERRITOIRE D EST ENSEMBLE 2014-2017
LE PACTE : un outil pragmatique et partenarial au service des habitants et des acteurs économiques POUR LE DÉVELOPPEMENT DU TERRITOIRE D EST ENSEMBLE 2014-2017 Depuis sa création Est Ensemble a fait du
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Pôles France et Espoir Canoë-Kayak Grand Ouest
DOSSIER DE PRESSE Pôles France et Espoir Canoë-Kayak Grand Ouest Un nouveau bâtiment pour préparer les J.O 2012 et 2016 SOMMAIRE Michel BIHAN Maire de Cesson-Sévigné page 3 Vincent HOHLER page 4 Président
Plus en détailAPPEL A PROJETS «ITINERAIRES DE DECOUVERTE DANS LE VIGNOBLE ALSACIEN»
APPEL A PROJETS «ITINERAIRES DE DECOUVERTE DANS LE VIGNOBLE ALSACIEN» La création d itinéraires thématiques qui permettent, sous une forme renouvelée, la découverte du vignoble alsacien et apportent une
Plus en détailRésultats de l enquête Sport & Entreprise. mars 2009
Résultats de l enquête Sport & Entreprise mars 2009 I. LE CONTEXTE DE L ENQUETE : LES RELATIONS SPORT / ENTREPRISE Une brève histoire des liens sport / entreprise La domination du modèle industriel paternaliste
Plus en détailÉcole Technique Privée RHE76
25 rue Jean Philippe Rameau - 76000 Rouen Tel : 02.35.88.90.87 Mail : c.barray@rouenhockeyelite76.com Pourquoi une? Une politique de formation soutenue par son président Thierry Chaix. Le soutien de nos
Plus en détailCOMMISSION DE DIALOGUE SOCIAL DE LA POSTE MUTUALISATION DE L ACCÈS AUX SERVICES DANS 1 000 BUREAUX DE POSTE EN ZONE RURALE ET DE MONTAGNE
COMMISSION DE DIALOGUE SOCIAL DE LA POSTE MUTUALISATION DE L ACCÈS AUX SERVICES DANS 1 000 BUREAUX DE POSTE EN ZONE RURALE ET DE MONTAGNE 31/03/2015 SOMMAIRE 1. Mutualisation de l accès aux services en
Plus en détail1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE
ADDITIF EXPLICATIF 1. STRUCTURATION FEDERALE BI POLAIRE Organisation de deux «secteurs» clairement identifiés dans leurs objectifs et missions. Sous la responsabilité d un pilotage unique, ces deux «secteurs»
Plus en détailLes dirigeants face à l innovation
Les dirigeants face à l innovation Vague 2 FACD N 111164 Contact Ifop : Flore-Aline Colmet Daâge Directrice d Etudes Département Opinion et Stratégies d'entreprise flore-aline.colmet-daage@ifop.com Mai
Plus en détailVos stratégies d attraction et de rétention vous permettent-elles d attirer et de fidéliser les meilleurs talents?
> pour un meilleur rendement des organisations et des personnes Vos stratégies d attraction et de rétention vous permettent-elles d attirer et de fidéliser les meilleurs talents? L optimisation du capital
Plus en détailCAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne
CAHIER DES CHARGES Pour la mise en œuvre d une maison de santé pluridisciplinaire En Lot-et-Garonne Les patients ont besoin d une réponse de proximité et d une prise en charge globale qui nécessite une
Plus en détailUN PROJET SCIENTIFIQUE ET CULTUREL POUR LA SOCIÉTÉ DE LA CONNAISSANCE
UN PROJET SCIENTIFIQUE ET CULTUREL POUR LA SOCIÉTÉ DE LA CONNAISSANCE Le regroupement du Palais de la découverte et de la Cité des sciences et de l industrie en un seul établissement apporte les atouts
Plus en détailISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009
REMERCIEMENTS AUX PARTENAIRES Cette étude a été réalisée grâce à la participation financière de la Commission des partenaires du marché du travail et du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport.
Plus en détailDéfinition du tourisme d affaires
Décembre 2007 Définition du tourisme d affaires Activité économique générée par les congrès, séminaires, conventions, salons. Ces événements ne relèvent pas du tourisme mais contribuent puissamment à l
Plus en détailL évolution des parts modales des déplacements domicile-travail
Thème : Transport durable Orientation : Faire évoluer les pratiques de mobilité L évolution des parts modales des déplacements domicile-travail par aire urbaine et département hors aires urbaines La part
Plus en détailBACHELOR. HES-SO Valais-Wallis rte de la Plaine 2 3960 Sierre +41 27 606 89 11 info@hevs.ch www.hevs.ch
BACHELOR HES-SO Valais-Wallis rte de la Plaine 2 3960 Sierre +41 27 606 89 11 info@hevs.ch www.hevs.ch «PERSPECTIVES PROFESSIONNELLES» TÉMOIGNAGES Gilles DIND Suisse Tourisme, directeur des marchés d Europe
Plus en détailDE LA STRATEGIE LEADER. Appel d offres Novembre 2014
CAHIER DES CHARGES ACCOMPAGNEMENT A LA DEFINITION DE LA STRATEGIE LEADER DU PNR DE LA BRENNE Appel d offres Novembre 2014 Parc naturel régional de la Brenne Maison du Parc Le Bouchet - 36300 ROSNAY 02
Plus en détailEvaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale. Résumé MAEE
MAEE RAPPORT FINAL Evaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale Résumé Agnès Lambert, Raphaël Beaujeu, Helena Stucky de Quay, Didier Beaufort, Moctar Ahmed, Riad Bensouiah, Ralison
Plus en détailJURA & TROIS-LACS CONCEPT TOURISTIQUE GLOBAL MASTERPLAN - CONDENSÉ DOCUMENT POUR CONSULTATION DÉCEMBRE 2013
JURA & TROIS-LACS CONCEPT TOURISTIQUE GLOBAL MASTERPLAN - CONDENSÉ DOCUMENT POUR CONSULTATION DÉCEMBRE 2013 1 1. INTRODUCTION Pourquoi un Masterplan et pour quoi faire? Créée en 2011, la destination Jura
Plus en détailConférence de Presse jeudi 19 mars 2015 Salon Mondial du Tourisme
Conférence de Presse jeudi 19 mars 2015 Salon Mondial du Tourisme Sommaire Edito Présentation du Welcome City Lab Le Welcome City Lab: les chiffres Paris&CO La nouvelle promotion de startups L état rentre
Plus en détailCommission Médicale de la FFVoile Règles de Fonctionnement Texte adopté par le BE du 09 mars 2007
Commission Médicale de la FFVoile Règles de Fonctionnement Texte adopté par le BE du 09 mars 2007 PREAMBULE L article L. 231-5 du code du sport rappelle que les fédérations sportives veillent à la santé
Plus en détailla pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment
Accompagner la participation des allocataires Par Marion Drouault, responsable de projets à l (Version courte) Participation et RSA : «Accompagner la l participation des allocataires» S appuyant en particulier
Plus en détailAinsi l Office de tourisme s appuiera sur les éléments et les outils qui suivent :
Politique promotionnelle de la destination littorale, et ses activités, menée par l Office de tourisme de «Saint-Quay-Portrieux» pour la période 2014 à 2016 1/10 1. Préambule Saint-Quay-Portrieux est une
Plus en détailSynthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers
Synthèse Contrat d Objectifs Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Rédaction Christiane LAGRIFFOUL () Nadine COUZY (DR ANFA
Plus en détailDossier de Presse La communauté de communes de Mimizan participe au Salon PROVEMPLOI, à Paris, le 15 octobre 2013.
Dossier de Presse La communauté de communes de Mimizan participe au Salon PROVEMPLOI, à Paris, le 15 octobre 2013. Contact presse : Julie LECOEUR Responsable Communication 05 47 81 70 14 communication@cc-mimizan.fr
Plus en détailOffices de tourisme et bonnes pratiques Internet. Evaluation comparative de sites Internet
Offices de tourisme et bonnes pratiques Internet Evaluation comparative de sites Internet Quoi? Ce document est un résumé des résultats de l étude menée sur une quinzaine de sites Internet dans le domaine
Plus en détail10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF
10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX
Plus en détailCRT Picardie. Enquête auprès des acteurs du tourisme
CRT Picardie Enquête auprès des acteurs du tourisme 1 Votre entreprise ou structure / organisme institutionnel Votre nom : Votre titre : Votre e-mail : (pour pourvoir vous envoyer le résultat de l enquête)
Plus en détailMINISTERE DES SPORTS. La ministre des sports
MINISTERE DES SPORTS Direction des sports Sous-direction de la vie fédérale et du sport de haut niveau Bureau du sport de haut niveau, des filières et des établissements nationaux Personne chargée du dossier
Plus en détailUne réponse au défi Création de richesses collectives durables
29 Une réponse au défi Création de richesses collectives durables La question de la propriété est au centre des valeurs qui animent l économie sociale. L économie est devenue guerrière lorsqu elle a mis
Plus en détailMutualisation des compétences
Premières Rencontres richesses humaines associatives 2 & 3 décembre 2014 ATELIER PROSPECTIF Mutualisation des compétences DEFINITIONS Mutualisation La mutualisation se définit comme la synergie entre deux
Plus en détailMinistère des sports. Le ministre des sports
Ministère des sports Direction des sports Mission sport et développement durable Personnes chargées du dossier : Arnaud JEAN Tél. : 01 40 45 96 74 Mel: arnaud.jean@jeunesse-sports.gouv.fr Fabienne COBLENCE
Plus en détailConséquences des changements de mode de vie sur la production et la distribution des biens de consommation : résultats d une étude du CRÉDOC
Conséquences des changements de mode de vie sur la production et la distribution des biens de consommation : résultats d une étude du CRÉDOC L industrie française des biens de consommation prend-elle bien
Plus en détailNéo-ruralité et embourgeoisement des campagnes québécoises : un regard nuancé
Néo-ruralité et embourgeoisement des campagnes québécoises : un regard nuancé Laurie Guimond Coordonnatrice de recherche, INRS Doctorante en géographie, U. d Ottawa Myriam Simard Professeure, INRS Atelier
Plus en détailJournée d information du 5 novembre 2012. Mobilité Multimodale Intelligente Urbanisme, tourisme, logistique urbaine. économiques
Journée d information du 5 novembre 2012 Mobilité Multimodale Intelligente Urbanisme, tourisme, logistique urbaine économiques Gabrielle LABESCAT Principales tendances du tourisme urbain impactant la mobilité
Plus en détailDORDOGNE-PERIGORD. Le label d excellence
DORDOGNE-PERIGORD Le label d excellence Les Gîtes de France, c est la force d un réseau bien établi et bien structure, qui oeuvre depuis 55 ans au service des propriétaires et des clients : Premier réseau
Plus en détailL'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer
Inspection générale des affaires sociales RM2014-090R Inspection générale de l administration N 14-122/14-077/01 L'insertion professionnelle des bénéficiaires du RSA en outre-mer SYNTHESE Établie par Michel
Plus en détailEnquête 2013-2014 sur les ressources numériques en bibliothèque publique
Enquête 2013-2014 sur les ressources numériques en bibliothèque publique Ministère de la Culture et de la Communication Direction générale des médias et des industries culturelles Service du livre et de
Plus en détailGUIDE DU BENEVOLE. Mai 2011
Mai 2011 GUIDE DU BENEVOLE Le présent document précise les engagements de tout adhérent 1 à Electriciens sans frontières. Ces engagements déclinent de manière opérationnelle les valeurs et principes énoncées
Plus en détailEmmanuel MACRON, ministre de l Economie, de l Industrie et du Numérique
3 Éditorial «Le numérique est aujourd hui dans tous les usages : les transports, les entreprises, les loisirs, les objets connectés, l accès à l information, les smartphones, etc. Mais il n est pas dans
Plus en détailPACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE
PACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE Préambule PACTE POUR LA RÉUSSITE ÉDUCATIVE La réussite éducative se définit comme la recherche du développement harmonieux de l enfant et du jeune. Elle est plus large
Plus en détailThème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale
Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale 1. Le secteur informel en Afrique : définition et caractéristiques générales Le secteur informel est défini comme l'ensemble des unités
Plus en détailCAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» SESSION PLENIERE DES 19 ET 20 JUIN 2014
CAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» I.Contexte : Convaincue de l intérêt stratégique de l innovation pour le renforcement de la compétitivité des entreprises, la a lancé un appel
Plus en détailParticipation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre?
Participation des habitants et contrats de ville Quels enjeux? Quelle mise en oeuvre? Note réalisée par l Observatoire Régional de l Intégration et de la Ville (ORIV) septembre 2014 Eléments de contexte
Plus en détailLE MÉTIER DE CONSULTANT Principes, méthodes, outils
Patrice Stern Patricia Tutoy LE MÉTIER DE CONSULTANT Principes, méthodes, outils Cinquième édition Éditions d Organisation, 1995, 1997, 1998, 2001, 2003 ISBN : 2-7081-2899-X STYLES DE CONSULTANTS ET TYPES
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailCOMMANDE REF ADMIN-CS-540-CDD
Pôle de compétitivité mondial Aéronautique, Espace, Systèmes embarqués COMMANDE REF ADMIN-CS-540-CDD Objet : Prestation d assistance dans le cadre de l action collective AEROLEAN K portée par le pôle de
Plus en détailà Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011
observatoire régional #41 Synthèse régionale août 2014 à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011 2 899 diplômés de M2 professionnel
Plus en détailSite(s) (lieux où la formation est dispensée, y compris pour les diplômes délocalisés) :
Evaluation des diplômes Masters Vague D Académie : Paris Etablissement déposant : Académie(s) : / Etablissement(s) co-habilité(s) : / Mention : Economie managériale et industrielle Domaine : Economie,
Plus en détailStratégie Régionale. envers les Jeunes. l Artisanat
Stratégie Régionale de l Artisanat envers les Jeunes Stratégie Régionale de l Artisanat envers les Jeunes La Stratégie Régionale de l Artisanat envers les Jeunes (S.R.A.J.) constitue une offre globale
Plus en détailPROGRAMME DE SOUTIEN AU DÉVELOPPEMENT. de l engagement bénévole. en loisir et en sport
PROGRAMME DE SOUTIEN AU DÉVELOPPEMENT de l engagement bénévole en loisir et en sport Plan de présentation 1. La description du programme o Les acteurs et partenaires ciblés et les objectifs o La logistique
Plus en détailLES PÔLES DE COMPÉTITIVITÉ : FAIRE CONVERGER PERFORMANCE ET DYNAMIQUE TERRITORIALE
310 N U M É R O Vendredi 4 juillet 2008 LES PÔLES DE COMPÉTITIVITÉ : FAIRE CONVERGER PERFORMANCE ET DYNAMIQUE TERRITORIALE RAPPORTEUR : ANDRÉ MARCON AU NOM DE LA SECTION DES ÉCONOMIES RÉGIONALES ET DE
Plus en détailMaster Administration des Territoires et des Entreprises (ATE)
Département AES Master Professionnel et de Recherche "Sciences de l'homme et de la Société" Master Administration des Territoires et des Entreprises (ATE) Lieu de la formation : Université Rennes 2 Haute-Bretagne
Plus en détailTransition Numérique Organisation du programme et proposition de valeur aux partenaires privés. DGCIS le 23/3/2012
Transition Numérique Organisation du programme et proposition de valeur aux partenaires privés DGCIS le 23/3/2012 Compte-rendu des échanges de la réunion des partenaires du 5 mars 2012 à la DGCIS. Liste
Plus en détailProfil du programme. 2 Synapse Center version : 2.0
SYNAPSE CENTER CHALLENGE Un programme de création d emplois pour les jeunes Synapse Center/IYF Profil du programme Titre du programme : Challenge Composantes : 1. Renforcement de l employabilité des jeunes
Plus en détailSéminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?
Séminaire du 17 octobre 2014 «La gestion des milieux aquatiques dans la loi MAPTAM et le SAGE : quels enjeux pour la Baie de Saint Brieuc?» Le Schéma d Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) de la baie
Plus en détailLoïc Blondiaux Le Nouvel Esprit de la démocratie Actualité de la démocratie participative Le Seuil, coll. «La République des Idées», 2008
1 Loïc Blondiaux Le Nouvel Esprit de la démocratie Actualité de la démocratie participative Le Seuil, coll. «La République des Idées», 2008 L auteur Loïc Blondiaux est professeur des Universités à l Institut
Plus en détailEvaluation du cursus «Information et communication» 2009-2010
Evaluation du cursus «Information et communication» 2009-2010 RAPPORT FINAL DE SYNTHÈSE Université de Liège (ULg) Comité des experts : M. Pascal LARDELLIER, président, M. Mihai COMAN, M. Frank PEETERS,
Plus en détailTirer parti des renseignements sur les clients : leçons tirées des réalisations en matière de services bancaires au consommateur
La force de l engagement MD ÉTUDE TECHNIQUE Tirer parti des renseignements sur les clients : leçons tirées des réalisations en matière de services bancaires au consommateur Les entreprises de commerce
Plus en détailBilan de saison 2014 et propositions d actions 2015 Finistère > Ouest Cornouaille. Bilan de saison 2014 Agence Ouest Cornouaille Développement
Bilan de saison 2014 et propositions d actions 2015 Finistère > Ouest Cornouaille L Agence Ouest Cornouaille Développement, en quelques mots L AOCD, en quelques mots www.pro-aocd.fr => Financée en majeure
Plus en détailStratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services
1 Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services Pays Cœur de Flandre I Phase II La formulation de la stratégie Région Nord Pas de Calais Avril 2013 Région Communauté Nord Pas de
Plus en détailCOMPTES-RENDUS DES ATELIERS THÉMATIQUES AGENDA 21 COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS AUBENAS VALS JUIN 2010 - PHASE DE DIAGNOSTIC
COMPTES-RENDUS DES ATELIERS THÉMATIQUES JUIN 2010 - PHASE DE DIAGNOSTIC AGENDA 21 COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS AUBENAS VALS ATELIER N 1 «STRATÉGIE TERRITORIALE ET AMÉNAGEMENT» Animateur des ateliers thématiques
Plus en détailSOMMAIRE. 1. Le contexte p. 3. 2. La démarche p. 3. 3. Les critères par activité p. 4 et 5 Pêche VTT Pédestre Équestre
DOSSIER DE PRÉSENTATION je suis l Yonne ascendant marque Étap Loisirs Istock, Getty Images J.Kélagopian Fédération de pêche de l Yonne J.Kélagopian P.Blondeau www.tourisme-yonne.com Pôle Ingénierie - Service
Plus en détailUNE FORMULE EFFICACE 100% D INSERTION PROFESSIONNELLE DES FORMATIONS UNIVERSITAIRES DIPLÔMANTES À L ÉCHELLE EUROPÉENNE
UNE FORMULE EFFICACE DES FORMATIONS UNIVERSITAIRES DIPLÔMANTES À L ÉCHELLE EUROPÉENNE UNE FORTE IMPLICATION DES ENTREPRISES DE LA DISTRIBUTION UNE IMMERSION DANS LA VIE ACTIVE (STAGES INDEMNISÉS, DE L
Plus en détailSynthèse n 16, Février 2012. Financement de la croissance verte et orientation de la création monétaire
Synthèse n 16, Février 2012 Financement de la croissance verte et orientation de la création monétaire ----------- 1. Les investissements nécessaires à la transition vers un modèle de croissance durable
Plus en détail