FONDS DE GARANTIE : UN NOUVEAU SOUTIEN MEDIA
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- Lucie Martineau
- il y a 8 ans
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1 FONDS DE GARANTIE : UN NOUVEAU SOUTIEN MEDIA L IFCIC et Audiovisual SGR recevront une contribution initiale d 1 million d euros en 2010 et un montant supplémentaire d 1 million d euros par an jusqu en 2013 : soit un total de 4 millions d euros pour chacune de ces organisations. Grâce à un mécanisme d effet de levier, le fonds de Garanie MEDIA à la production devrait permettre de garantir un encours de crédit de 100 à 150 millions d euros sur une période de 4 ans. Florence Aviles (IFCIC) et Carlos Antón (Audiovisual SGR) nous explique comment ce fonds se met en oeuvre : Dans quel esprit avez- vous répondu à l appel à propositions MEDIA? Florence Aviles : L'IFCIC gère en France un fonds de garantie pour les crédits au secteur du cinéma et de l audiovisuel, doté par le CNC, qui fonctionne depuis Ce type de fonds - avec des sommes d argent public «faibles» - offre un effet de levier et une capacité d action importants. Nous étions convaincus qu un tel outil pouvait vraiment être utile dans toute l Europe. Nous en parlions avec des producteurs européens qui n avaient pas ce système là dans leur pays mais qui, comme nous, pensaient qu il pouvait faciliter leur accès au crédit En octobre 2005, le CNC nous avait accordé - à l intérieur de la dotation qu il nous octroie chaque année pour les films français - une petite dotation qualifiée d «expérimentale» avec laquelle nous avons pu faire quelques crédits pour des films sans coproduction française. L idée était de tester à l échelle réelle, avec quelques dossiers types, s il n y avait pas des difficultés majeures juridiques ou autres à garantir des crédits hors de la France et qui auraient montré que notre mécanisme ne pouvait pas être transposé dans d autres pays européens. Nous avons garanti une quinzaine de crédits de production pour des films européens non français entre fin 2005 et fin L expérience a été positive également pour ces productions étrangères! Nous avons donc répondu à l appel d offres convaincus du bien- fondé de cet instrument et très motivés par l enjeu européen. Dans le secteur cinématographique, la notion d Europe existe vraiment, la coproduction européenne est très développée. Carlos Anton : Audiovisual SGR a été créé en 2005 par 2 partenaires principaux en Espagne : le Ministère de la Culture - via l'agence du cinéma (ICAA - Instituto de la cinematografia y de las artes audiovisuales : ndlr) - et EGEDA (Entidad de Gestión de Derechos de los Productores Audiovisuales : ndlr). EGEDA est l'association qui regroupe tous les producteurs en Espagne et qui gère leurs droits collectifs. C'est une association qui a été créée par les producteurs pour développer des services aux producteurs. En 2005, il n'y avait pas de crise mais on pouvait voir, à l'horizon, qu'il pourrait y en avoir une en
2 raison des tendances économiques qui fonctionnent par cycles. Tôt ou tard, cette crise viendrait. Nous avons créé Audiovisual SGR dans une démarche préventive, de façon à ce qu'il n'y ait pas de manque de crédits quand cette crise arriverait en Espagne. Nous avons maintenant pas mal d'expérience dans l'évaluation des risques en Espagne et notre expertise et a été reconnue dans un rapport que la Commission européenne a publié avant de lancer son appel à propositions. Une de nos principales motivations, en répondant à cet appel, était que nous savions que nous faisions cela correctement : offrir des garanties pour que les producteurs aient accès au financement. L'autre motivation était de continuer à fournir des services à valeur ajoutée aux producteurs, mais plus seulement en Espagne, aussi en Europe. Comment le fonds se met- il en place? FA : Nous devons recevoir 1 million d euros chaque année pendant 4 ans à compter de Nous avons donc reçu d ores et déjà 2 millions d euros et le fonds est opérationnel. Les premiers comités se sont tenus ce printemps et nous avons accordé la garantie du Fonds MEDIA aux crédits de production de 6 films. En matière de garantie, la taille du fonds importe beaucoup sur la capacité de prise de risque. Avec la dotation du Programme MEDIA et grâce à la solidarité offerte par le fonds «historique» abondé par le CNC, l IFCIC peut proposer un effet de levier permettant de prendre des engagements pour un montant 10 fois supérieur. Un tel mécanisme est possible car tous les crédits ne vont pas «mal finir». Ce sont là les grands équilibres. L ensemble des informations pratiques sur le fonds de garantie MEDIA (règles de fonctionnement, dossier type ) sont disponibles sur notre site internet ( Les banques qui n ont pas encore l habitude de ce genre d instrument peuvent s y familiariser. CA : Nous avons également déjà un site Internet où toute la procédure ainsi que le formulaire sont disponibles. Celui qui veut une garantie de Audiovisual SGR liée au fonds de garantie MEDIA pour la production peut en faire la demande dès maintenant. Le fonds est disponible depuis qu'il a été officiellement lancé à Berlin en début d année. Nous avons déjà reçu des demandes d informations provenant de producteurs et de banques de peut- être dix ou douze pays différents en Europe. Nous savons avec certitude que certains préparent leur candidature et nous espérons avoir très bientôt à analyser et à accepter des opérations. Je pense que ce nouveau fonds de garantie des médias a suscité beaucoup d'intérêt dans l'union européenne. Nous avons des contacts en Belgique, en Allemagne, au Royaume- Uni, en Finlande, en Norvège, au Danemark et ainsi de suite... Quel en sera le fonctionnement? La procédure? FA : C est un mécanisme qui s adresse directement aux banques même si, in fine, le bénéficiaire réel est le producteur qui s adresse à sa banque. Sur un film, celui- ci va réunir un plan de financement - souvent composé de plusieurs sources différentes : des aides publiques (Eurimages par exemple), des tax shelter, des minima garantis ou des préventes télé La grande majorité des financements disponibles pour le cinéma est payable en fin de production, quand le film est livré ou quand les comptes définitifs sont remis et non pas pendant le tournage quand le producteur doit payer ses équipes, ses fournisseurs... En conséquence, même si le plan de financement réuni couvre l ensemble des besoins, le producteur surtout le producteur indépendant - ne dispose pas d une trésorerie suffisante pour faire face à ses dépenses de production. Il a donc besoin de faire appel à une banque qui va lui mettre à disposition la trésorerie nécessaire au fur et à mesure de ses besoins au moyen d un
3 crédit de production qui se remboursera par l encaissement des contrats de financement qui ont été réunis et cédés en garantie. Mais les banques sont peu enclines à leur accorder des prêts principalement à cause du déséquilibre important entre le montant des crédits sollicités et le montant (faible) des fonds propres des sociétés de production indépendantes, leur capacité de remboursement. C est là que le fonds de garantie intervient en garantissant à hauteur de 55% les montants des crédits accordés aux producteurs indépendants. Les banques peuvent ainsi partager leur risque et être indemnisées, en cas de dépôt de bilan de la société de production, à hauteur de 55% de la partie non remboursée du crédit. Le risque résiduel du banquier s élève ainsi à 45 % du montant du crédit. Cela peut donc inciter les établissements bancaires à octroyer des crédits à des producteurs indépendants même si les entreprises présentent peu de garanties de solidité. En termes de procédure, les banques doivent adresser à l IFCIC un dossier de demande de garantie tel que décrit sur notre site internet qui sera examiné par notre comité de garantie. Ce comité se tient une fois par mois (ou plus souvent si nécessaire) et prend la décision d accorder la garantie sur les opérations dont la viabilité financière sera démontrée. Nous ne garantirons que des crédits de production ou de préparation relayant le plan de financement d un film. Nous avons voulu concentrer l utilisation du fonds sur ces 2 phases qui nous semblent les plus cruciales. Nous n interviendrons donc pas sur des crédits de développement (il existe notamment déjà des aides MEDIA pour cette phase) ou de trésorerie. CA : Les banques comme les producteurs peuvent faire appel à notre fonds. Ca fonctionne de la même façon qu'en Espagne. Quand un producteur va voir une banque pour demander un prêt de façon à être financé, parfois - la plupart du temps de nos jours - la banque demande une garantie. Nous agissons en tant que garant. L'opération peut venir directement de la banque qui a été sollicitée par le producteur. Celle- ci demande une garantie et tous deux s adressent à nous pour l'obtenir. Ou directement du producteur qui veut un prêt et pense que ce sera plus facile à obtenir s'il est garanti. Dans ce cas, nous pouvons même lui suggérer plusieurs banques avec lesquelles nous faisons des opérations dans différents pays. Pour le moment, il n'y a pas de système de contre garantie mis en place en Europe. Nous sommes seulement en mesure de garantir 50% du prêt. Donc, la banque doit assumer les 50% restants du risque. En cas d'échec, nous paierons 50% du montant du prêt garanti. Comment toucher les bénéficiaires potentiels? FA : Toutes les banques ne s intéressent pas au cinéma et il n est à notre avis pas nécessaire que des départements spécialisés s ouvrent dans chaque banque d Europe! Le financement du cinéma est un micro- secteur. Si les banques qui sont déjà actives sur le secteur se mettent grâce à cette garantie à prendre un peu plus de risques, à mieux accompagner les producteurs, à développer les services qu elles offrent, ce sera déjà une satisfaction. En effet, c est un marché qui demande beaucoup de technicité, d expertise. Il est important pour nous et pour l équilibre du fonds d avoir affaire à des banques qui connaissent les spécificités du financement du cinéma et qui ont des équipes compétentes dans ce domaine. Pour faire connaître le fonds MEDIA, nous nous appuierons sur les producteurs et sur leurs syndicats, ainsi que sur les oraganismes d aide nationaux ou régionaux dans les différents pays d Europe qui peuvent avoir identifié dans leurs pays ou région les banques qui sont les plus à même de développer un service pour les producteurs. Et bien sûr sur les Media Desks qui sont très actifs dans la promotion du fonds.
4 CA : Le Fonds de garantie a été annoncé officiellement par la Commission européenne à travers le réseau des MEDIA Desks et nous en faisons la promotion. Les MEDIA Desks informent sur ce fonds via leur site web et diffusent l'information auprès des producteurs de leur pays. Nous faisons également des présentations lors de festivals, des marchés et ainsi de suite. On nous demande d'aller à différentes réunions de producteurs, et aussi de banques et de financeurs, dans plusieurs pays européens. Nous sommes présents à ces réunions pour répondre aux questions et être en contact avec les professionnels. Nous étions présents à Rome, Londres et nous préparons des réunions dans les pays scandinaves. On nous a également demandé de revenir à Rome et d aller à Milan pour expliquer aux producteurs comment cela fonctionne. Quelles seront les retombées pour les producteurs? FA : Ce fonds de 4 millions d euros va nous permettre de garantir à peu près 66 millions d euros de crédit. Les effets recherchés visent le long terme. L intérêt, maintenant que le fonds démarre, c est qu il soit pérennisé et qu il s amplifie! C est sur le moyen terme que l on observera toutes les retombées d un tel mécanisme : un accès au financement plus aisé, moins de problèmes de trésorerie, peut- être également de meilleures négociations des producteurs indépendants vis- à- vis des groupes parce que l indépendance de financement leur donnera plus de force. Les producteurs auront en face d eux des banques qui les accompagnent mieux et qui connaissent mieux ce secteur d activités. Des banques qui comprennent mieux les problématiques des producteurs, qui connaissent les risques de la production cinématographique et savent les maitriser seront mieux à même d accompagner la production indépendante et contribuer ainsi à son développement. CA : Je ne pense pas que ce fonds ait beaucoup d'impact en Espagne puisque les producteurs espagnols ont déjà le système de garantie existant. Je ne pense pas que cela signifierait une grande différence pour eux. Bien sûr, cet outil est aussi l'occasion de détecter les opportunités de coproduction. Audiovisual SGR pourrait aussi devenir un réseau financier qui mettrait en contact les producteurs européens entre eux et leur permettrait de détecter les intérêts de coproduction. Dans le reste de l'europe, bien sûr, cela aura un impact important puisque l'effet de levier est un facteur multiplicateur de 4 à 6 points. L'investissement est de 4 millions d'euros de la Commission européenne et 2 millions d'euros d'egeda. Cela fait 6 millions d'euros multipliés par 5 - l'effet de levier moyen - qui font 30 millions d'euros de garanties et, comme nous ne garantissons que 50%, on multiplie par 2, ce qui fait 60 millions d'euros garantis en Europe. Comparé au budget des productions qui sont faites en Europe tous les ans, c'est assez peu. Mais il s'agit d'un projet pilote qui pourra bien sûr être amélioré dans le futur. Au moins, certains producteurs seront en mesure d accéder à des financements que sans ce fonds de garantie pour la production ils auraient peut- être eu du mal à obtenir. Comment se répartiront les rôles entre vous? FA : Nous sommes 2 bénéficiaires du fonds. Chacun à part égale. Mais la délégation ne s est pas faite par territoire : l IFCIC verra tous les pays du programme MEDIA. La banque «cliente» pourra bénéficier de l un ou l autre des mécanismes, mais pas des 2! Le choix se fera sur les différences notamment concernant les œuvres éligibles. La SGR acceptent les programmes pour la télévision par exemple. L IFCIC a préféré se concentrer pour l instant sur le cinéma.
5 CA : Nos modèles de gestion sont différents et l'approche est différente aussi. Nous sommes deux sociétés, deux options différentes de garantie en Europe pour les producteurs et pour les banques et je pense que c'est plutôt bien car c'est un moyen de promouvoir la compétitivité et d'en apprendre plus sur différentes approches. C'est comme ça que cela fonctionne. L'une des différences qui a été soulevé pendant la présentation qui a été faite à Berlin, c'est que dans notre approche, la garantie est fournie dès la première demande de la banque lorsqu'une déficience existe. L'IFCIC a une approche différente. Je pense que ces différences sont opérationnelles et ne sont pas majeures du point de vue de la garantie. Cela ne pourrait pas être autrement vu le règlement de l appel à propositions de la Commission. J'invite tous les producteurs et les banques qui ont un projet qui pourrait avoir besoin d'une garantie pour en faciliter le financement à se rapprocher de nous et à vérifier quelles pourraient être les conditions et les opérations de ce fonds de garantie. Comment voyez vous l avenir de ce fonds? Son évolution? FA : Cette initiative est vraiment intéressante, utile et efficace! C est une utilisation de fonds publics peu coûteuse et qui peut avoir un effet structurant pour l industrie. Ce mécanisme n a de sens que s il est pérennisé. Il faut l envisager au moins à moyen terme. Dans l idéal, une dotation plus élevée nous permettrait d augmenter notre capacité de prise de risque, et produirait ainsi un effet réellement structurant sur la production européenne. CA : Comme je l'ai dit, il s'agit d'un projet pilote. La Commission européenne doit vérifier si cela fonctionne correctement et si elle atteint les objectifs qui ont été fixés au début. Mais de notre côté, celui des délégués, nous sommes très impliqués. Nous sommes presque sûrs que les résultats seront là. Aujourd'hui, il est assez difficile de soutenir, dans le contexte politique actuel, les subventions accordées à certains secteurs dont les secteurs de la culture et de l'audiovisuel. La situation financière au sein de la Commission évolue. Elle évolue en faveur du soutien à l'accès au financement et de la promotion cette ligne comme une ligne complémentaire des subventions. A l avenir, ce fonds doit être augmenté et je pense qu il le sera. Propos recueillis séparément les 19 avril et 24 mars MEDIA Desk France 9 rue Ambroise Thomas Paris info@mediafrance.eu Site web :
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