ÉDUQUER OU SOIGNER? adolescent ou malade?

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2 PLAN EXPOSE 1. Constats 2. Prémices 3. Eduquer ou soigner? 4. Faut-il développer des soins spécifiques? Qui est demandeur? 5. Pour soigner qui? 6. Fil conducteur et logique de dispositif 7. Recommandations 8. L existant 9. Des soins spécialisés, oui mais? 10. En conclusion.

3 CONSTATS ampleur des consommations multiples chez les jeunes inquiétudes légitimes mais aussi sécuritaires de la société, des parents et des professionnels «demande» sociale, judiciaire ou parentale de prise en charge <versus> souffrance du jeune «non- demandeur» (consommation symptôme d un mal-être qui peut devenir le point d accroche) parmi les priorités politiques en la matière défi pour le secteur de la SM pas de projet thérapeutique pour ce groupe spécifique la consommation peut être un facteur d exclusion de l aide, de l accompagnement ou du soin en bref peu de soins assuétudes pour les jeunes

4 PRÉMICES attention au réductionnisme et au risque de stigmatisation : jeune = délinquant = consommateur = malade le jeune doit être considéré dans sa globalité le jeune est en devenir (diagnostic plus délicat, risque de chronicisation prématurée > «institutionnalisation», ) la complexité de certaines situations doit être prise en considération l impact de l environnement est primordial (famille institution) consommation «usage» pathologique le focus sur l usage/assuétudes n est pas privilégié et comporte des risques de renforcement soigner sécuriser la société

5 adolescent ou malade? ÉDUQUER OU SOIGNER? ce qui ne relève pas du pathologique doit se régler dans le domaine de l éducatif (limite, cadre, accompagnement, > modération, abus, interdit, ) «psychiatrisation du social» > le soin comme réponse à une demande (besoin) sociale.d ordre éducative vers quels jeunes faut-il porter notre attention? quel(les) portes d entrée vers les soins, qui pose le diagnostic (hypothèse) Consommation «pathologie» rester attentif aux risques de la stigmatisation

6 FAUT-IL DÉVELOPPER DES SOINS SPÉCIALISÉS? QUI EST DEMANDEUR? volonté politique diffuse > la loi de 1965 modifiée en 2006 prévoit la mise en place de structures d hébergement spécialisées pour des jeunes ayant commis des faits qualifiés d infraction > mais pas d AR volonté parentale (dans certains cas) les jeunes ne sont pas demandeurs (ceci implique de modifier les pratiques et/ou de travailler sur mandat) les soignants sont peu demandeurs Cure (guérir) Care (prendre soins) > mandat?! < «récidive»

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8 POUR SOIGNER QUI? le parcours de certains usagers adultes pourrait nous donner l envie d intervenir plus précocement («on peut mieux faire mais attention aux fantasmes de toute puissance») la pointe émergée (immergée?) de l icerberg au total peu de jeunes pas facile à repérer et qui ont besoin de «plus» que de la prévention et de l éducatif avec un diagnostic psychiatrique/double diagnostic > mais difficulté de le poser peu de prise directe sur l assuétude en elle-même (encore inexistante (en devenir) ou agissant comme symptôme)

9 FIL CONDUCTEUR ET LOGIQUE DE DISPOSITIF A privilégier (les principes): une prise en charge dans le milieu de vie des jeunes une approche de dispositifs pour ne pas dire de réseaux (le «fil rouge») une approche permettant une intervention rapide un maintien de la diversité de l offre une modification des regards et des logiques de travail > être créatif!

10 RECOMMANDATIONS 1. développer et outiller les lieux au plus près de la vie des jeunes et des familles 2. travailler avec les familles 3. donner plus de visibilité aux services existants 4. travailler avec les services ambulatoires généralistes 5. développer les services ambulatoires spécifiques existants 6. développer des offres (services) de type outreach 7. intensifier la formation et supervision des équipes généralistes 8. Intensifier la communication et la collaboration entre les secteurs/ créer des interfaces entre équipes et institutions 9. développer une offre de soins résidentiels (spécifiques)

11 L EXISTANT Milieu de vie (exploiter les ressources existantes) 1 er ligne (Médecins généralistes, psy..) SSM/Centre de Planning familial Centres spécialisés ambulatoires Hôpitaux Fors K Etc.

12 DES SOINS SPÉCIALISÉS, OUI MAIS lieu d accueil (hébergement) 16 à 25 ans pour la période de crise (court séjour (time-out) avec maintien du fil rouge, envisager la prise en charge dans une trajectoire (continuité) >pas de patate chaude, pas de structure «poubelle» bonne intégration de ces dispositifs de soins spécifiques dans le réseau le soutien aux structures existantes et le renforcement des compétences internes (vers les jeunes et/ou vers les assuétudes) pourrait répondre en partie à ces besoins (services A hôpitaux, For K, convention INAMI, )

13 CONCLUSIONS A débattre au cours de cet atelier

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