3/ Ordre de grandeur des doses reçues lors des expositions diagnostiques en pratique médicale, information du patient

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "3/ Ordre de grandeur des doses reçues lors des expositions diagnostiques en pratique médicale, information du patient"

Transcription

1 3/ Ordre de grandeur des doses reçues lors des expositions diagnostiques en pratique médicale, information du patient

2 Relevé des doses délivrées Démarche relativement récente D où viennent les chiffres? Données fragmentaires dans la littérature Études ciblées de doses Campagne de recueil pour l établissement des NRD Patients standards Types d examens limités Campagnes plus systématiques : évaluation des pratiques Problème de l indice utilisé Dose délivrée en mgy Dose éfficace en msv Équivalent d irradiation naturelle

3 La dose en terme de population globale Les grands pourvoyeurs de dose : TDM abdo pelv Angio TDM MN cardio La dose par examen Le nombre d examens

4 Valeur de l irradiation l médicale m «moyenne» de la population française aise Enquête IRSN-InVS et système ExPRI Scanff P, Br J Radiol. 2008; 81:

5 Les dose moyennes par région r anatomique dans la population française aise

6 Les doses moyennes par modalités Scanff P, Br J Radiol Revue de la littérature 2008 «catalogue Mettler Radiology july 2009»

7 Radiologie conventionnelle jours ou mois d irradiation naturelle Les plus : les Opacifications!! Moins :THx

8 adiologie : 280 million d actes USA 200 Thorax 13% (50%actes), mammographies 6,5% Osteoarticulaire axial : 35% (14% des actes) Bassin et hanches 13%, Rachis 21 % (périphérique : 20% des actes et 0,2% de la dose) Opacifications digestives : 30%!

9 67 millions de Scanner USA % des actes et 50% de la dose d imagerie Abdomino pelvien (3 à 35mSv) : la moitié de la dose Thorax : 17% Angio scan / 13% Nombre d hélices!

10 Scanner 1 à plusieurs années d expo naturelle Paramètres d acquisition Nombre d hélices (NRD = 1 passage)!

11 Exemple du coro-scanner Protocoles techniques : 64 coupes/tour Gating cardiaque Émission pulsée Doses à l organe : Poumons : 42 à 91 msv Sein : 50 à 80 msv Risques théoriques (RLSS) : Cancer pulmonaire : 1/3261 homme, 80 ans Cancer du sein ++ : 1/143 femme jeune, inclusion de tout le thorax Einstein AJ, Estimating risk of cancer associated with radiation exposure from 64-slice computed tomography coronary angiography. JAMA. 2007; 298: Hurwitz LM, Radiation Dose from Contemporary Cardiothoracic Multidetector CT Protocols with an Anthropomorphic Female Phantom: Implications for Cancer Induction. Radiology

12 Médecine nucléaire 1 à plusieurs année d expo naturelle Explorations cardiaques aux USA!

13 Médecine nucléaire : 10% de la dose en France USA : 18.6 millions d actes: 25 % de la dose 50% des actes de MN réalisés dans le monde Exploration cardiaque : 85% de la dose

14 Valeurs des doses efficaces en scintigraphie : France

15 Vasculaire et interventionnel plusieurs années ou dizaines d années d EN De 5 à 70 msv Très grande variabilité Mettler Radiology july 2009

16 Radiologie Vasculaire et interventionnelle Expl. Cardiaques : (¼ des ex) 53% de la dose vasculaire Interventionnel non cardiaque : 20%

17 Radiologie interventionnelle : niveau de dose et expression? Mesure : Produit Dose-Surface Variation de la zone irradiée Dosimétrie temps réel à l entrée du champ d exploration Scintillateur + fibre optique Constantes radiographiques, durée de la procédure Débit de dose 10 à 40 mgy/mn Exemples : Embolisation cérébrale DE = 2000 mgy Angioplastie coronaire DE = 3300 mgy Niveau de dose possible : PDS 100 à 500 Gy.cm 2 Dose peau : 1 à 15 Gy Dose efficace : 3 à 30 msv!!!!

18 TDM interventionnelle niveau de dose et expression Mesure : Produit Dose-Longueur, avec addition compte tenu du nombre de passages Indiquer l IDSV Exemples : Biopsie thoracique IDSV = 114 mgy PDL = 1200 mgy.cm D eff = 24 msv Infiltration lombaire IDSV = 220 mgy PDL = 1300 mgy.cm D eff =19,5 msv

19 Radiologie interventionnelle Recommandations de bonne pratique Toujours peser le bénéfice/risque Consentement éclairé du patient Maîtrise du matériel Formation des opérateurs +++

20 niveaux de référence en vasculaire diagnostique et interventionnel Etude F Magnier JFR types de procédures (2 943 examens, 5 établissements) Le NR : 75ième centile des distributions des valeurs Cervical face 1/5 profil 5/100 Tête face : 5/100 Thorax AP : 1/3 PDS Tps scopie Nbre images Abdomen AP : Bassin : 1/5 Rachis lombaire : Gy.cm² mn Coro et ventriculographie Coro sans ventriculo Coro avec angioplastie Arterio MI et angioplastie Arterio MI sans angioplastie Embolisation utérine vertebroplastie

21 Ampli de brillance vs capteurs plans en neuroradiologie interventionnelle C Voguet brasier JFR 2009 Etude sur 765 patients, artériographies cérébrales et vertebroplasties La dose délivrée par les capteurs plans est supérieure à celle délivrée par les amplis Capteurs plans délivrent en moyenne 31,82 gy.cm² (+/- 7,4) de plus que les amplificateurs. Risque / bénéfice Des expositions qui évoluent avec le développement des techniques

22 Connaître les doses! Parce que : C est une obligation légale Les doses varient avec les évolutions technologiques la compétence et l implication du radiologue Un moyen simple d auto évaluation au quotidien : le relevé du PDS ou du PDL (et CTDIv)

23 Information des patients.. et des cliniciens sur la dose Une obligation légale Une nécessité Avant l examen? Après l examen ++++ Une preuve de professionnalisme Ce d autant plus que les patients Ont écouté (lu) les medias Ont surfé sur internet

24 Information du patient Que dire et comment? Savoir répondre aux inquiétudes Ne rien minimiser En profiter pour faire un rappel sur la justification Utiliser un langage accessible Parler d irradiation ou d exposition? Dose/jour exposition naturelle naturel Doses comparées, si poumon = 1 Segt de membre : 0,5 TDM crâne: 11 Poumon 1 TDM thorax 40 Crâne 3,5 TDM abdomen 50 Rachis dorsal 35 TDM pelvis 50 Rachis lombaire 65 Hanche 15 Scinti reins 5 Bassin 35 Scinti thyroïde 5 Abdomen 50 Scinti squelette 20 UIV 125 Scinticardiaque 30 TOGD 150 Transit grêle 150 TEP 25 Lavt baryté 350

25 Connaître les doses L arrêté du 12 février 2004 définit et fixe les niveaux de référence diagnostiques en radiologie et en médecine nucléaire (J.O. du 16 mars 2004) délivrées aux patients : obligation réglementaire du CSP depuis mars 2003 Article R : Le médecin réalisateur de l acte indique sur le compte rendu toute information utile à l'estimation de la dose reçue par le patient L arrête du 22 septembre 2006 définit les informations dosimétriques devant figurer dans le compte-rendu (J.O. du 29 septembre 2006) Article R : Pour les examens les plus courants et pour les examens les plus irradiants des niveaux de référence diagnostiques de dose sont fixés par arrêté du ministre chargé de la santé.

26 Obligation de faire figurer la dose dans le compte rendu Pour les examens touchant La tête Le cou Le thorax L abdomen et le pelvis Doivent figurer : le PDS en radiologie conventionnelle le PDL en scannographie

27 «grandeurs dosimétriques» en RADIOLOGIE CLASSIQUE : Dose d Entrée (De) exprimées en mgy calculée à partir du Produit Dose.Surface (gy.cm²) des paramètres Tube RX Foyer RX Diaphragme Filtres PDS = D 0 * S 0 Chambre d'ionisation PDS Gy.cm 2 ose à la surface d entrée De, est la dose sorbée dans l air, rayonnement diffusé inclus, au int d intersection de l axe du faisceau de rayons avec la peau, à l entrée du patient. Dose entrée mgy Dose au détecteur Dose organe (mgy)

28 Calcul d un d risque? Conversion PDS E dose efficace Cervical face 1/5 profil 1/20 Tête face : 1/20 Thorax AP : 1/3 Abdomen AP : Bassin : 1/5 Rachis lombaire :

29 Valeurs comparées de DE et PDS Niveaux de Référence R Diagnostiques Examen De (mgy) PDS (Gy.cm 2 ) Thorax de face 0,3 0,25 Thorax de profil 1,5 1 Rachis lombaire de face 10 7 Rachis lombaire de profil Abdomen sans préparation 10 7

30 Valeurs comparées de DE, PDS et dose efficace Examen De (mgy) PDS (Gy.cm 2 ) D eff (msv) Thorax de face 0,3 0,25 /3 = 0,08 Thorax de profil 1,5 1 Rachis lombaire de face 10 7 Rachis lombaire de profil Abdomen sans préparation 10 7 /5 = 1,4 /5= 1,4 Dose d'irradiation Équivalent irradiation naturelle 1,4 msv (ASP, Rachis lombaire) 9 mois 0,08 msv (thorax face) deux semaines

31 Valeurs comparées pédiatriquesp de DE, PDS et dose efficace Examen De (mgy) PDS (Gy.cm 2 ) D eff (msv) Thorax de face (6 mois) 0,05 0,01 /3 = 0,003 Abdomen sans préparation (5 ans) 0,3 0,2 /5= 0,04 Cystographie (5 ans) 3 2,4 /5= 0,5 Dose d'irradiation Thorax : 0,003 msv ASP : 0,04 msv Cystographie : 0,5 msv Équivalent irradiation naturelle 1 jour 2 semaines 3 mois

32 Les doses en scanographie : PDL (produit dose longueur) (IDSV indice de dose scanographique) grandeurs légales à préciser dans le CR Mesures fournies de façon automatique par les scanners dans le rapport de doses En mgy.cm

33 Conversion PDL dose efficace : Eeff Cervical 1/200 crâne : 1/500 Thorax homme : 1/60 Thorax femme : 1/50 Abdomen Pelvis : 1/65

34 Conversion PDL dose efficace - Eeff tête f pdl CTDI W DLP (mgy) (mgy.cm) x (msv/mgy.cm) = ,0021 E (msv) 2,2 cou (ORL) ,0052 1,8 thorax ,017 11,1 abdomen ,015 11,6 bassin ,016 9,1

35 Pour bien informer Informer c est montrer que Vous connaissez votre sujet Vous suivez les recommandations Vous évaluez vos pratiques Le pre requis : s être formé!

36 Quels documents de référence r rence?

37 Quelques sites internet ASN : IRSN : AFSSAPS : HAS : SFR : ou SFIP : CERF : Académie des sciences :

Exposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de diagnostic médical en 2012

Exposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de diagnostic médical en 2012 R A P P O R T Exposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de Pôle Radioprotection, Environnement, Déchets et Crise RESUME Ce rapport met à jour, pour l année 2012, les

Plus en détail

DOSES DÉLIVRÉES AUX PATIENTS EN SCANOGRAPHIE ET EN RADIOLOGIE CONVENTIONNELLE Résultats d une enquête multicentrique en secteur public

DOSES DÉLIVRÉES AUX PATIENTS EN SCANOGRAPHIE ET EN RADIOLOGIE CONVENTIONNELLE Résultats d une enquête multicentrique en secteur public R A P P O R T DOSES DÉLIVRÉES AUX PATIENTS EN SCANOGRAPHIE ET EN RADIOLOGIE CONVENTIONNELLE Résultats d une enquête multicentrique en secteur public Rapport DRPH/SER N - DIRECTION DE LA RADIOPROTECTION

Plus en détail

SAVOIR-FAIRE ET RADIOPROTECTION

SAVOIR-FAIRE ET RADIOPROTECTION SAVOIR-FAIRE ET RADIOPROTECTION Y-S Cordoliani pour le Groupe de travail Radioprotection de la SFR Le savoir-faire en imagerie utilisant les rayons X impose la connaissance des risques que ceux-ci peuvent

Plus en détail

J ai l honneur de vous communiquer ci-dessous la synthèse de l inspection ainsi que les principales demandes et observations qui en résultent.

J ai l honneur de vous communiquer ci-dessous la synthèse de l inspection ainsi que les principales demandes et observations qui en résultent. RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LILLE Lille, le 5 juillet 2013 CODEP-LIL-2013-037759 AD/EL Monsieur le Dr W SCM des Docteurs V W X Y 23, Boulevard Victor Hugo 62100 CALAIS Objet : Inspection de la radioprotection

Plus en détail

MODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE

MODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE Collège des Enseignants en Radiologie de France MODULE NATIONAL D ENSEIGNEMENT DE RADIOPROTECTION DU DES DE RADIOLOGIE Paris, 3 et 4 Février 2015 PROTECTION DES OPERATEURS EN RADIOLOGIE INTERVENTIONNELLE

Plus en détail

Les bases physiques de l'imagerie radiologique

Les bases physiques de l'imagerie radiologique Les bases physiques de l'imagerie radiologique Radiographie 1895 Röentgen Découverte des propriétés des rayons X par Roentgen. Les rayons X permettent de voir uniquement l'os, le poumon et les produits

Plus en détail

LE DACS RADIATION DOSE MONITOR. Le bon réflexe pour une optimisation de la dose

LE DACS RADIATION DOSE MONITOR. Le bon réflexe pour une optimisation de la dose LE DACS RADIATION DOSE MONITOR Le bon réflexe pour une optimisation de la dose Radiation Dose Monitor / QU EST-CE QU UN DACS? / Le DACS (Dose Archiving and Communication System) est à la dose ce que le

Plus en détail

GROUPE CLINIQUE DU MAIL

GROUPE CLINIQUE DU MAIL DOSSIER DE PRESSE GROUPE CLINIQUE DU MAIL Le centre d imagerie médicale conforte son implantation sur le site du Mail avenue Marie-Reynoard à Grenoble & présente son nouveau scanner spiralé, issu de la

Plus en détail

N/Réf. : CODEP-PRS-2014-044604 Espace dentaire FOCH 2 bis avenue Foch 94160 ST MANDE

N/Réf. : CODEP-PRS-2014-044604 Espace dentaire FOCH 2 bis avenue Foch 94160 ST MANDE RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE PARIS Paris, le 30 septembre 2014 N/Réf. : CODEP-PRS-2014-044604 Espace dentaire FOCH 2 bis avenue Foch 94160 ST MANDE Objet : Inspection sur le thème de la radioprotection

Plus en détail

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire

Plus en détail

Évaluation (HTA) de l'imagerie 3D à faisceau conique (CBCT) pour l'imagerie dentomaxillofaciale. Emmanuel Charpentier, Anne-Florence Fay, Natalie

Évaluation (HTA) de l'imagerie 3D à faisceau conique (CBCT) pour l'imagerie dentomaxillofaciale. Emmanuel Charpentier, Anne-Florence Fay, Natalie Évaluation (HTA) de l'imagerie 3D à faisceau conique (CBCT) pour l'imagerie dentomaxillofaciale. Emmanuel Charpentier, Anne-Florence Fay, Natalie Vongmany, Antoinette Césari, Laurence Rolland-Burger, Catherine

Plus en détail

UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. CS 9300 / CS 9300C

UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. CS 9300 / CS 9300C CS 9300 / CS 9300C UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE. Conçu pour de multiples applications cliniques, le système CS 9300 fournit des images panoramiques de très grande qualité, ainsi que

Plus en détail

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP

Plus en détail

Bases physiques de l imagerie en

Bases physiques de l imagerie en Bases physiques de l imagerie en Médecine Nucléaire (MN) Pr. Malika ÇAOUI Service de Médecine Nucléaire CHU International Cheikh Zaid Faculté de Médecine et de Pharmacie - Rabat- 02/12/2010 Pr. Malika

Plus en détail

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant

Plus en détail

Le Black Piranha est un instrument de contrôle qualité des plateaux techniques d imagerie médicale simple et rapide

Le Black Piranha est un instrument de contrôle qualité des plateaux techniques d imagerie médicale simple et rapide Le Black Piranha est un instrument de contrôle qualité des plateaux techniques d imagerie médicale simple et rapide Le Black Piranha et ses accessoires permettent un contrôle qualité simple et rapide des

Plus en détail

Nouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201?

Nouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201? Symposium Covidien, Nice, 10 mai 2010 Nouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201? Bernard Songy Centre Cardiologique du Nord St-Denis Thallium 201: Le thallium 201 présente

Plus en détail

2. Personnes intervenant pour assurer la radioprotection des patients ou des travailleurs.10

2. Personnes intervenant pour assurer la radioprotection des patients ou des travailleurs.10 mise à jour octobre 2014 Sommaire Introduction...... 4 1. Procédures de déclaration et d autorisation de détention et d utilisation de générateurs électriques...... 5 1.1. Régime administratif des installations

Plus en détail

Dr L Verzaux Pr Elisabeth Schouman-Claeys

Dr L Verzaux Pr Elisabeth Schouman-Claeys Dr L Verzaux Pr Elisabeth Schouman-Claeys Dépasser une approche normative Se mettre à la place du patient Bonne pratique, bientraitance Démarches qualité structurées Thématiques clés (dont exigences réglementaires)

Plus en détail

MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)

MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix

Plus en détail

DTS IMAGERIE MÉDICALE ET RADIOLOGIE THÉRAPEUTIQUE

DTS IMAGERIE MÉDICALE ET RADIOLOGIE THÉRAPEUTIQUE DTS IMAGERIE MÉDICALE ET RADIOLOGIE THÉRAPEUTIQUE Formation sous contrat d association avec l Etat Dossier d intégration en 1 ère année ÉCOLE MASO 7, avenue des Palmiers 66000 Perpignan tél. 04 68 35 76

Plus en détail

PRÉSENTATION DES PRINCIPALES DISPOSITIONS RÉGLEMENTAIRES DE RADIOPROTECTION APPLICABLES EN RADIOLOGIE MÉDICALE ET DENTAIRE

PRÉSENTATION DES PRINCIPALES DISPOSITIONS RÉGLEMENTAIRES DE RADIOPROTECTION APPLICABLES EN RADIOLOGIE MÉDICALE ET DENTAIRE PRÉSENTATION DES PRINCIPALES DISPOSITIONS RÉGLEMENTAIRES DE RADIOPROTECTION APPLICABLES EN RADIOLOGIE MÉDICALE ET DENTAIRE mise à jour octobre 2014 Sommaire Introduction... 4 1. Procédures de déclaration

Plus en détail

Assurance de qualité en radiothérapie Aspects réglementaires et implications pratiques

Assurance de qualité en radiothérapie Aspects réglementaires et implications pratiques Cours nationaux de radiothérapie Cours de DES d Oncologie-Radiothérapie Société Française des jeunes Radiothérapeutes Oncologues Lille, 5 au 7 mars 2015 Assurance de qualité en radiothérapie Aspects réglementaires

Plus en détail

Rédaction du Plan d Organisation de la Physique Médicale (POPM)

Rédaction du Plan d Organisation de la Physique Médicale (POPM) G U I D E D E L ' A S N M E D I C A L en collaboration avec SOCIETE FRANÇAISE DE PHYSIQUE MEDICALE Rédaction du Plan d Organisation de la Physique Médicale (POPM) GUIDE Nº 20 Version du 19/04/2013 Préambule

Plus en détail

La dosimétrie physique, mesurer pour optimiser

La dosimétrie physique, mesurer pour optimiser Evaluer et prévenir le risque radiologique professionnel dans les opérations de radiographie industrielle La dosimétrie physique, mesurer pour optimiser Pr Didier PAUL Faculté de Médecine, Service de Médecine

Plus en détail

Le compte rendu de scanner et d IRM du cœur. DIU Imagerie CV 2007

Le compte rendu de scanner et d IRM du cœur. DIU Imagerie CV 2007 Le compte rendu de scanner et d IRM du cœur DIU Imagerie CV 2007 Importance de la communication Interface entre secrétariats de radiologie et de cardiologie Adaptation du schéma proposé par l ESC (07/06)

Plus en détail

ENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE

ENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE CS 9300 ENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE Conçu pour de multiples applications cliniques, le système CS 9300 fournit des images panoramiques de très grande qualité, ainsi que des

Plus en détail

Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012

Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012 Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012 Faire avancer la sûreté nucléaire Jean-René Jourdain Paris, 28 février 2012 Comment évaluer les conséquences

Plus en détail

L INSTITUT DE RADIOPROTECTION ET DE SÛRETÉ NUCLÉAIRE (IRSN)

L INSTITUT DE RADIOPROTECTION ET DE SÛRETÉ NUCLÉAIRE (IRSN) CHAPITRE 18 L INSTITUT DE RADIOPROTECTION ET DE SÛRETÉ NUCLÉAIRE (IRSN) Introduction 367 Les missions de l IRSN 367 Bilan des activités de l IRSN en 2007 369 Appui de nature réglementaire 369 Expertise

Plus en détail

Développement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel

Développement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel Développement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel E. de Kerviler, C. de Bazelaire, P. Coulon*, S. Gotman**, J Yanof***, C. Bauer***J. Sapir**. Service de Radiologie,

Plus en détail

RISQUE DE CANCERS ASSOCIE AUX SCANNERS PEDIATRIQUES : COHORTE ENFANT SCANNER

RISQUE DE CANCERS ASSOCIE AUX SCANNERS PEDIATRIQUES : COHORTE ENFANT SCANNER RISQUE DE CANCERS ASSOCIE AUX SCANNERS PEDIATRIQUES : COHORTE ENFANT SCANNER Journy N 1, Mezzarobba M 1, Rehel JL 2, Ducou Le Pointe H 3, Aubert B 2, Laurier D 1, Bernier MO 1 Institut de Radioprotection

Plus en détail

Ligne Dentaire. Système Dentaire Panoramique et 3D

Ligne Dentaire. Système Dentaire Panoramique et 3D Ligne Dentaire Système Dentaire Panoramique et 3D La Société Villa Sistemi Medicali est fière de présenter son nouveau panoramique Rotograph Evo 3D, un système d'imagerie dentaire avec fonctionnalité 3-en-1:

Plus en détail

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases

Plus en détail

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence

Plus en détail

LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE ETUDIANT MANIPULATEUR EN RADIOLOGIE CONVENTIONNELLE SCANNER ET IRM

LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE ETUDIANT MANIPULATEUR EN RADIOLOGIE CONVENTIONNELLE SCANNER ET IRM LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE ETUDIANT MANIPULATEUR EN RADIOLOGIE CONVENTIONNELLE SCANNER ET IRM Février 2013 LE SOMMAIRE LES MODALITES D ACCUEIL P 1 AVANT VOTRE ARRIVEE P1 A VOTRE ARRIVEE P1 LES PARTICULARITES

Plus en détail

Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique

Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation

Plus en détail

DIVISION DE LILLE Lille, le 29 décembre 2011

DIVISION DE LILLE Lille, le 29 décembre 2011 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LILLE Lille, le 29 décembre 2011 CODEP-DOA-2011-071487 SS/NL Centre Hospitalier de Roubaix 35, rue de Barbieux BP 359 59056 ROUBAIX CEDEX Objet : Inspection de la radioprotection

Plus en détail

Le GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit :

Le GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit : Secrétariat du Grand Conseil PL 10267 Projet présenté par le Conseil d Etat Date de dépôt: 22 mai 2008 Projet de loi ouvrant un crédit au titre d'indemnité cantonale d'investissement de 3 000 000 F, pour

Plus en détail

PLATE-FORME COMMUNE UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ. Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR

PLATE-FORME COMMUNE UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ. Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ Vous pouvez faire confiance aux systèmes CR et DR de Carestream pour leur qualité de prise d images. Maintenant

Plus en détail

J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)

J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie

Plus en détail

Médecine nucléaire Diagnostic in vivo

Médecine nucléaire Diagnostic in vivo RADIOPROTECTION : SECTEUR MÉDICAL Médecine nucléaire Diagnostic in vivo TEP-TDM ou TEP (1) au fluor 18 et autres émetteurs de positons Définition : acte à visée diagnostique utilisant actuellement du fluor

Plus en détail

LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON - A L G A D E

LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON - A L G A D E LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON Sylvain BERNHARD - Marion DESRAY - A L G A D E Membre de l UPRAD, Union Nationale des Professionnels du Radon LES EXPOSITIONS PROFESSIONNELLES

Plus en détail

La surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir

La surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir Evaluer et prévenir le risque radiologique professionnel dans les opérations de radiographie industrielle La surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir Dr Irène Sari-Minodier Service

Plus en détail

Revue de la littérature

Revue de la littérature Résultats à long terme des anévrysmes traités Revue de la littérature Cours de DES de neurochirurgie Inter-région Rhône-Alpes / Auvergne Vendredi 22/04/11 Méthode (1): sélection bibliographique en fonction

Plus en détail

Livret d accueil des stagiaires

Livret d accueil des stagiaires Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service

Plus en détail

IMPACT PEDAGOGIQUE D UN SITE INTERNET DE SERVICE HOSPITALIER

IMPACT PEDAGOGIQUE D UN SITE INTERNET DE SERVICE HOSPITALIER IMPACT PEDAGOGIQUE D UN SITE INTERNET DE SERVICE HOSPITALIER N.LABONNE - F.GROSPRETRE - A.BLUM Service d Imagerie Guilloz - CHU NANCY www.imagerieguilloz.com JFR 2010 SOMMAIRE - Le site - Historique et

Plus en détail

PHY113 : Cours de Radioactivité 2009-2010

PHY113 : Cours de Radioactivité 2009-2010 Cours de Radioactivité Le but de ce cours est de permettre aux étudiants qui seront amenés à utiliser des sources radioactives d acquérir les bases de la radioactivité. Aussi bien au niveau du vocabulaire

Plus en détail

Guide des bonnes pratiques de physique médicale

Guide des bonnes pratiques de physique médicale PHYSIQUE MEDICALE_livres 22/11/12 13:05 Page1 Guide des bonnes pratiques de physique médicale Société française de physique médicale Lcinquantaine a profession de physicien médical est peu connue. Apparue

Plus en détail

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal

Plus en détail

24/01/ 2014 EQUIPE «REFERENTE» POUR L UTILISATION DES CATHETERS VEINEUX PERIPHERIQUES ET CENTRAUX : QUELLE PLACE POUR L INFIRMIERE?

24/01/ 2014 EQUIPE «REFERENTE» POUR L UTILISATION DES CATHETERS VEINEUX PERIPHERIQUES ET CENTRAUX : QUELLE PLACE POUR L INFIRMIERE? 24/01/ 2014 EQUIPE «REFERENTE» POUR L UTILISATION DES CATHETERS VEINEUX PERIPHERIQUES ET CENTRAUX : QUELLE PLACE POUR L INFIRMIERE? I. Kriegel, C. Thinlot, M. Arsicault, A. Mauduit, M. Varenne, A.-B. Knoche,

Plus en détail

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N

Plus en détail

Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride

Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Benjamin GEISSLER Centre d d Imagerie Nucléaire St-Etienne, Roanne, Le Puy en Velay 1967 2007 Principes Spécialit cialité médicale (1950) Radiologie Radiothérapie

Plus en détail

ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE

ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE (Diplôme Interuniversitaire National d ) 17/02/2015 avec Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris V et XII, Toulouse et Tours Objectifs : Formation

Plus en détail

Les ambigüités et les difficultés d application du décret travailleur

Les ambigüités et les difficultés d application du décret travailleur Les ambigüités et les difficultés d application du décret travailleur 1 LE TEXTE RÉGLEMENTAIRE Protection des travailleurs Décret 2003-296 du 31/03/03 Codifié dans le code du travail Plus arrêtés d applications

Plus en détail

ETAT DES LIEUX DE LA RADIOPROTECTION DANS LES SERVICES DE MEDECINE NUCLEAIRE

ETAT DES LIEUX DE LA RADIOPROTECTION DANS LES SERVICES DE MEDECINE NUCLEAIRE ETAT DES LIEUX DE LA RADIOPROTECTION DANS LES SERVICES DE MEDECINE NUCLEAIRE PENDANT LA PERIODE 2009-2011 RESUME Le bilan national des inspections des services de médecine nucléaire a été établi sur la

Plus en détail

Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire

Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des

Plus en détail

Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D)

Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D) Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D) Thinking ahead. Focused on life. Veraviewepocs 3De Le générateur à Rayons X pour tous vos besoins

Plus en détail

Médecine nucléaire Diagnostic in vivo

Médecine nucléaire Diagnostic in vivo RADIOPROTECTION : SECTEUR MÉDICAL Médecine nucléaire Diagnostic in vivo hors TEP (1) Définition : acte à visée diagnostique utilisant des radionucléides artificiels administrés en sources non scellées

Plus en détail

',5(&7,9((85$720'8&216(,/ GXMXLQ

',5(&7,9((85$720'8&216(,/ GXMXLQ ',5(&7,9((85$720'8&216(,/ GXMXLQ UHODWLYHjODSURWHFWLRQVDQLWDLUHGHVSHUVRQQHVFRQWUHOHVGDQJHUVGHVUD\RQQHPHQWVLRQLVDQWVORUV GH[SRVLWLRQVjGHVILQVPpGLFDOHVUHPSODoDQWODGLUHFWLYH(XUDWRP LE CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE,

Plus en détail

Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.

Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert

Plus en détail

RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS DE LA PREFECTURE DE LA REGION D ILE DE FRANCE, PREFECTURE DE PARIS NUMERO REG-82 DU 24/05/2011 SOMMAIRE

RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS DE LA PREFECTURE DE LA REGION D ILE DE FRANCE, PREFECTURE DE PARIS NUMERO REG-82 DU 24/05/2011 SOMMAIRE DE LA PREFECTURE DE LA REGION D ILE DE FRANCE, PREFECTURE DE PARIS NUMERO REG-82 DU 24/05/2011 SOMMAIRE PREFECTURE DE LA REGION D ILE-DE-FRANCE, PREFECTURE DE PARIS SECRETARIAT GENERAL POUR LES AFFAIRES

Plus en détail

Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie

Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département

Plus en détail

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des

Plus en détail

GE Healthcare. Senographe Crystal Un choix aussi clair qu un cristal

GE Healthcare. Senographe Crystal Un choix aussi clair qu un cristal GE Healthcare Senographe Crystal Un choix aussi clair qu un cristal Senographe Crystal Un choix aussi clair qu un cristal. Le mammographe Senographe* Crystal facilite la transition vers la mammographie

Plus en détail

RADIOTHÉRAPIE EXTRACRÂNIENNE

RADIOTHÉRAPIE EXTRACRÂNIENNE RADIOTHÉRAPIE EXTRACRÂNIENNE EN CONDITIONS STÉRÉOTAXIQUES Classement CCAM : 17 code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels 2 avenue du Stade de France 93218 Saint-Denis La

Plus en détail

Comme les précédentes,

Comme les précédentes, dmt TC dossier médico-technique 106 Médecine et rayonnements ionisants: fiches d aide à l analyse des risques en médecine nucléaire Six nouvelles fiches d aide à l analyse des risques font suite à une

Plus en détail

Objet : Étalonnage de dosimètres de référence pour la Radiothérapie, de dosimètres et de kvp mètres pour le Radiodiagnostic et la Radioprotection

Objet : Étalonnage de dosimètres de référence pour la Radiothérapie, de dosimètres et de kvp mètres pour le Radiodiagnostic et la Radioprotection Référence : LIST/DM2I/LNHB/14-0470/LdC-dr Saclay, le 10 octobre 2014 Objet : Étalonnage de dosimètres de référence pour la Radiothérapie, de dosimètres et de kvp mètres pour le Radiodiagnostic et la Radioprotection

Plus en détail

o Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre

o Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des

Plus en détail

Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes

Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données

Plus en détail

La maladie de Takayasu

La maladie de Takayasu La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Takayasu. Elle ne se substitue

Plus en détail

facilitez-vous la vie avec Ray Technologie avancée pour le Confort

facilitez-vous la vie avec Ray Technologie avancée pour le Confort Dose réduite - Scan ultra-rapide - Tube x-ray pulsé - Plusieurs modes de balayage partielles 3 détecteurs exclusifs - Procédure fiable - Aucun risque de dommage - Longue durée de vie Mise à niveau facile

Plus en détail

I Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :

I Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie : ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante

Plus en détail

CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie

CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie Rencontres Nucléaire et Santé 08/02/2013 Pierre BEY Professeur émérite de Cancérologie;Radiothérapie Université de Lorraine

Plus en détail

Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers

Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante

Plus en détail

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein

GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son

Plus en détail

Livret participant. Prévention. Ouest. Kiné

Livret participant. Prévention. Ouest. Kiné Livret participant 1 Objectifs : Atelier «La santé du dos» Permettre aux participants d évaluer leurs facteurs de risques personnels et environnementaux de rachialgies Permettre aux participants d acquérir

Plus en détail

RVG 6100/5100. Un standard. Deux solutions.

RVG 6100/5100. Un standard. Deux solutions. RVG 6100/5100 Un standard. Deux solutions. Doublement innovants À la recherche de l excellence Les systèmes de radiologie numérique RVG 5100 et 6100 vous apportent une technologie d'imagerie de pointe.

Plus en détail

Complément: Sources naturelles de rayonnement

Complément: Sources naturelles de rayonnement Complément: Sources naturelles de rayonnement 1 Notions de dose Dose absorbée en 1 point (D) unité: Jkg -1 ou gray (Gy) valeur moyenne de l énergie impartie (déposée) à la matière par unité de masse à

Plus en détail

FRANCAIS. Distributé par : QR srl - Via Silvestrini, 20-37135 Verona Italy Tel. +39 045 8202727-045 583500 info@newtom.it www.newtom.

FRANCAIS. Distributé par : QR srl - Via Silvestrini, 20-37135 Verona Italy Tel. +39 045 8202727-045 583500 info@newtom.it www.newtom. GiANO - R14.1 - FR FRANCAIS Distributé par : QR srl - Via Silvestrini, 20-37135 Verona Italy Tel. +39 045 8202727-045 583500 info@newtom.it www.newtom.it Produit par : CEFLA S.C. - CEFLA DENTAL GROUP Via

Plus en détail

Traumatismes pelviens

Traumatismes pelviens Traumatismes pelviens Baptiste Vallé Desc Mu Nov 2012 GENERALITES Traumatismes fréquents, graves, violents et générés à haute énergie: Polytraumatisme: AVP, chute de grande hauteur Pronostic vital en jeu

Plus en détail

DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR

DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer

Plus en détail

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du

Plus en détail

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé

Plus en détail

D O S S I E R D E P R E S S E

D O S S I E R D E P R E S S E La Fondation Lenval présente le bilan des réalisations financées grâce aux dons et lance sa campagne d information 2013 Mon ISF pour nos enfants Sommaire D O S S I E R D E P R E S S E 18 avril 2013 P 2/5

Plus en détail

SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008

SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008 SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Spondylarthrites Décembre 2008 OBJECTIFS - Mieux identifier les patients atteints de spondylarthrite afin de raccourcir le délai entre l apparition des symptômes

Plus en détail

BIOPSIE PAR ASPIRATION Sous stéréotaxie

BIOPSIE PAR ASPIRATION Sous stéréotaxie Vous avez appris qu une anomalie a été détectée lors de votre mammographie. Afin d investiguer cette anomalie, le radiologue a pris la décision d effectuer une biopsie par aspiration sous stéréotaxie.

Plus en détail

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan

Plus en détail

Et si c était une embolie pulmonaire? Pierre Baril

Et si c était une embolie pulmonaire? Pierre Baril La thrombo-embolie veineuse dévoilée Pierre Baril M me Élisa T., 53 ans, se présente au service d urgence ambulatoire en raison d une douleur thoracique droite associée à de la dyspnée dont elle souffre

Plus en détail

Grilles de lecture données environnement 2013 Tableau de bord de suivi des opérations de démantèlement

Grilles de lecture données environnement 2013 Tableau de bord de suivi des opérations de démantèlement Grilles de lecture données environnement 2013 Tableau de bord de suivi des opérations de démantèlement Travaux réalisés dans le cadre de la mission d accompagnement de la CLI CLI des Monts d Arrée, réunion

Plus en détail

Le droit à l image???

Le droit à l image??? Le droit à l image??? Dans ma propre philosophie, je peux parler de DROIT sans évoquer les DEVOIRS.. Vous me permettrez donc de vous en entretenir de prime abord avec cependant les nuances suivantes: Le

Plus en détail

INTÉRÊT DU SCANNER 3D DANS LA MESURE DE L'ANTÉVERSION DES COLS FÉMORAUX

INTÉRÊT DU SCANNER 3D DANS LA MESURE DE L'ANTÉVERSION DES COLS FÉMORAUX INTÉRÊT DU SCANNER 3D DANS LA MESURE DE L'ANTÉVERSION DES COLS FÉMORAUX F. COLAS, R. CARLIER, C. LE BRETON, D. SAFA, D. MOMPOINT, F. ROFFI, E. M. KOCHEIDA, S. MOKHTARI, S. M KAOUAR, C. VALLÉE HÔPITAL RAYMOND

Plus en détail

Conséquences radiologiques et dosimétriques en cas d accident nucléaire : prise en compte dans la démarche de sûreté et enjeux de protection

Conséquences radiologiques et dosimétriques en cas d accident nucléaire : prise en compte dans la démarche de sûreté et enjeux de protection Conséquences radiologiques et dosimétriques en cas d accident nucléaire : prise en compte dans la démarche de sûreté et enjeux de protection 9 juin 2010 / UIC Paris Présenté par E. COGEZ, IRSN Contexte

Plus en détail

I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE. Exercice 1 : Posture

I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE. Exercice 1 : Posture 148 l e x a m e n m u s c u l o s q u e l e t t i q u e I. EXERCICES POUR LA CERVICALGIE CHRONIQUE Faites les exercices suivants au moins 2 fois par jour, tous les jours. Faites l effort de maintenir une

Plus en détail

Spécialiste en chirurgie

Spécialiste en chirurgie SIWF ISFM Spécialiste en chirurgie y c. formations approfondies en - chirurgie générale et traumatologie - chirurgie viscérale Programme de formation postgraduée du 1 er juillet 2006 (dernière révision:

Plus en détail

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE

Plus en détail

mythe ou réalité? arthroscanner ou arthroirm? Philippe THELEN Xavier POITTEVIN RIM Maussins-Nollet

mythe ou réalité? arthroscanner ou arthroirm? Philippe THELEN Xavier POITTEVIN RIM Maussins-Nollet mythe ou réalité? arthroscanner ou arthroirm? Philippe THELEN Xavier POITTEVIN RIM Maussins-Nollet Le conflit fémoro-acétabulaire concept (Ganz 2003*) explication des lésions labrales et cartilagineuses

Plus en détail

Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie

Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie 1. Le Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie

Plus en détail

E& $00. International radiation protection association, 5. International congress. Jerusalem, Israel, March 9-14, 1980.

E& $00. International radiation protection association, 5. International congress. Jerusalem, Israel, March 9-14, 1980. 5-^/IC^S D'ELECTRONIQUE DE SACLAY E& $00 \}Ch Ssrvice d'instrumentation pour las Applications Industrielles International radiation protection association, 5. International congress. Jerusalem, Israel,

Plus en détail

Actualités s cancérologiques : pneumologie

Actualités s cancérologiques : pneumologie Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique

Plus en détail