Le Forum européen de la Jeunesse: la voix des jeunes dans la définition de la politique européenne de jeunesse
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- Léon Lecours
- il y a 8 ans
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1 Le Forum européen de la Jeunesse: la voix des jeunes dans la définition de la politique européenne de jeunesse Bettina Schwarzmayr Présidente Forum européen de la Jeunesse Bruxelles Introduction Qu est-ce que le Forum européen de la Jeunesse? Etabli indépendamment par des organisations de jeunesse, le Forum européen de la Jeunesse (YFJ) est composé de plus de 90 Conseils nationaux de jeunesse et organisations internationales non gouvernementales de jeunesse structures qui sont elles-mêmes des fédérations d'organisations de jeunesse. Il rassemble des dizaines de millions de jeunes de toute l'europe qui s'organisent pour représenter leurs intérêts communs. La représentation, la démocratie interne, l'indépendance, l'ouverture et l'inclusion figurent parmi les principes directeurs du fonctionnement du Forum européen de la Jeunesse et de ses organisations membres. Le YFJ oeuvre au renforcement de la capacité d action des jeunes, pour qu ils puissent participer à la construction de l Europe et des sociétés dans lesquelles ils vivent, et à l amélioration des conditions de vie des jeunes, citoyens européens dans le monde d aujourd hui. Sa mission : *renforcer la participation des jeunes et des organisations de jeunesse dans la société et dans les processus décisionnels ; *influer positivement sur les questions politiques qui concernent les jeunes et leurs organisations, en tant que partenaire reconnu des institutions internationales principalement l Union européenne, le Conseil de l'europe et les Nations Unies ; *promouvoir le concept de la politique de jeunesse comme un élément intégré et intersectoriel du développement global de la politique ; *faciliter la participation des jeunes grâce au développement d organisations de jeunesse pérennes et indépendantes aux niveaux national et international ; *encourager l échange d idées et d expériences, la compréhension mutuelle et l égalité des droits et des chances parmi les jeunes en Europe ; *soutenir la compréhension interculturelle, la démocratie, le respect, la citoyenneté active et la solidarité. C est en tant que plus grande plate-forme régionale de la jeunesse dans le monde que nous tentons de renforcer l intégration européenne tout en contribuant au développement du travail de la jeunesse dans d autres régions. Il y a dix ans, l une des missions clés du Forum européen de la Jeunesse (YFJ) était 1
2 de «parvenir au développement d une politique européenne de jeunesse.» 1 Le message était clair et la mission précisément définie. Depuis, la forme de la politique européenne de jeunesse a radicalement changé et le Forum européen de la Jeunesse a suivi et encouragé son évolution, y apportant sa contribution. Tout en saluant les immenses progrès réalisés, le YFJ continue de proposer une vision sur le long terme en maintenant le cap sur l objectif suivant : une politique européenne de jeunesse pour et avec les jeunes, qui couvre toutes les politiques les concernant. Contrairement à l approche traditionnelle adoptée par les institutions partenaires, le Forum européen de la Jeunesse conçoit le développement de la politique de jeunesse sous l angle de ses bénéficiaires, autrement dit : les jeunes, et les organisations qu ils constituent pour les représenter. Le YFJ, qui relaie les préoccupations de ses membres, est convaincu de l urgence de politiques plus adaptées. L idée de progrès ne va pas à l encontre de la vision à long terme exposée cidessus. En fait, elle témoigne du fait que l élaboration des politiques intervient dans un environnement en mouvement. En 2006, le YFJ a tenté d actualiser sa perception des problèmes des jeunes pour promouvoir une approche globale de la politique de jeunesse qui réponde authentiquement aux besoins de son public, en définissant plus précisément ses attentes en matière d éducation et d emploi et en tenant compte comme il se doit du développement durable et des changements démographiques intervenus en Europe 2. Comment est structuré le YFJ? Le Forum européen de la Jeunesse est formé de 95 organisations membres réparties en deux grands groupes : les Conseils nationaux de jeunesse (CNJ) et les organisations internationales non gouvernementales de jeunesse (OINGJ). Un Bureau, formé de neuf personnes élues par les organisations membres, travaille en collaboration avec un Secrétariat ; il fait office d interlocuteur entre les partenaires institutionnels du YFJ pour l essentiel, dans le contexte de la politique européenne de jeunesse, l Union européenne et le Conseil de l Europe et les jeunes membres du YFJ. Le YFJ, en tant que plate-forme représentant les jeunes à travers l Europe, s efforce d écouter ses membres et de se faire leur porte-parole au sein des processus d élaboration des politiques qui les concernent. Reconnaissant l importance de la collaboration avec ces partenaires institutionnels, deux structures de travail permanentes ont été créées au sein du YFJ : la Commission des affaires du Conseil de l Europe et la Commission des affaires de l Union européenne chacune composée de 25 jeunes représentants des organisations membres du Forum et présidée par un membre du Bureau du YFJ. Leurs présidents sont chargés de la coordination des relations politiques entre le 1 Politique européenne du Forum européen de la Jeunesse adoptée par le Comité exécutif les 3-5 avril 1998, Vilnius, Lituanie 2 Approche de la politique de jeunesse par le YFJ, «Meeting young people s needs» ( ) adoptée par le Conseil des membres, 9-11 novembre
3 Forum européen de la Jeunesse et ces deux organisations. Parallèlement à ces commissions, des structures de travail temporaires peuvent être établies à la demande pour traiter des questions de politique spécifiques, comme les affaires mondiales, l égalité hommes-femmes, l éducation ou l emploi. Quoi qu il en soit, dans l ensemble de son travail, le YFJ définit avec ses membres les processus de consultation les plus adaptés en vue de développer des prises de position ou de contribuer au développement des politiques. L intérêt de cette interaction réside dans l ampleur de la mobilisation, à l image de celle durant la phase de rédaction du Livre blanc de la Commission européenne sur la jeunesse et la définition subséquente des Objectifs communs pour les quatre thèmes prioritaires de la Méthode ouverte de coordination (OMC) dans le domaine de la jeunesse. Après le Livre blanc de l UE, quel cadre pour une politique européenne de jeunesse? Durant la consultation au sujet du Livre blanc sur la jeunesse, quatre messages clés, qui touchent aux principales préoccupations des jeunes Européens, ont été identifiés au niveau national : «l active citoyenneté des jeunes», «l élargissement et la reconnaissance des domaines d expérimentation», «le développement de l autonomie des jeunes» et «pour une Union européenne championne des valeurs». Néanmoins, le processus européen mis en place dans le sillage de la MOC ne met l accent que sur les premier et second aspects : l active citoyenneté et le volontariat. Les aspects horizontaux (éducation, apprentissage tout au long de la vie, mobilité, emploi et intégration sociale, lutte contre le racisme et xénophobie, autonomie) figurent certes dans le premier cadre pour la politique européenne de jeunesse, la MOC, mais pas en tant que priorités ; qui plus est, aucun mécanisme d évaluation des progrès n a été prévu. Le processus de l UE met en place une approche verticale de la politique de jeunesse, en dépit de propositions du YFJ clairement en faveur de l inverse comme souligné dans la position adoptée en 1998 et confirmée à la suite de la phase de consultation sur le Livre blanc de l UE. En effet, pour gérer correctement la politique de jeunesse au niveau européen, une approche horizontale s impose, qui doit impliquer les jeunes aux niveaux local et national dès le début du processus d élaboration des politiques. Ce que vous demandez est impossible! Malgré des revers, les premières années du 21 e siècle ont montré que l on se rapprochait d une conception horizontale de la politique européenne de jeunesse. Développement de la MOC Tout en faisant pression pour garantir un cadre à la politique européenne de jeunesse qui ne se limite pas à la Méthode ouverte de coordination, le YFJ a beaucoup investi dans le développement de la MOC, ses priorités et les Objectifs communs. Les consultations à travers l Europe, du niveau local au niveau national, se sont déroulées pour rendre compte aux homologues à l échelle européenne, 3
4 rédiger des positions et, par la suite, contribuer et participer à l identification et à l adoption des Objectifs communs 3. Dans bien des cas, les Conseils nationaux de jeunesse ont joué un rôle crucial dans les exercices de consultation au plan national. Quant au Forum européen de la Jeunesse, il a organisé plusieurs réunions d information et de mise en réseaux pour contrôler, au niveau européen, le développement et l application des résolutions définissant les Objectifs communs. Pour contribuer pleinement au processus de la MOC, le YFJ a décidé de produire des contre rapports sur l évaluation des Objectifs communs, en calquant les rapports officiels des ministères nationaux de la Jeunesse. Cette formule avait été choisie pour exprimer les préoccupations des jeunes relativement au processus luimême, mais également pour évaluer les politiques sur la participation, l information et les activités volontaires (trois des quatre priorités de la MOC). Deux contre rapports ont ainsi été produits et publiés 4 avec l active participation des Conseils nationaux de la jeunesse chargés de faire rapport sur la situation dans les Etats membres. Dans un effort pour refléter la diversité des conceptions à travers l Union, les organisations européennes de jeunesse ont aussi été invitées à faire part de leurs perceptions et compréhension du processus de la MOC, le premier contre rapport ayant offert aux organisations de jeunesse l occasion d entreprendre une telle évaluation. Il apparaît clairement que la stratégie sur la politique de jeunesse initiée par le Livre blanc, puis par la Méthode ouverte de coordination, a suscité de nombreuses attentes de la part des organisations de jeunesse. Certains Etats membres ont ainsi mis en place des comités conçus spécialement pour les consultations et réunissant les divers partenaires dont les organisations de jeunesse. Malheureusement, cette tendance n a pas été suivie par tous les Etats membres et, les premières consultations terminées, les comités n ont plus servi, que ce soit pour le dialogue ou la définition de propositions pour la mise en oeuvre des Objectifs communs. Par conséquent, il n y a quasiment pas eu de suivi de la mise en oeuvre, d où la grande déception devant les résultats obtenus comme l ont mis en évidence la plupart des rapports des Conseils nationaux de jeunesse. Le deuxième contre rapport, tout en restant axé sur la question de la participation autrement dit comment les organisations de jeunesse et les jeunes participent aux processus brossait un tableau précis des progrès nationaux réalisés sur la priorité «activités volontaires». La plupart des Etats membres n avaient en fait pas progressé vers les Objectifs communs, préférant recourir aux programmes existants, ou au programme Jeunesse de l UE et à son action en faveur du service volontaire européen. Les CNJ, comme les organisations internationales de jeunesse, ont souligné le manque de stratégie en matière de volontariat des jeunes. Une telle stratégie requiert en effet une vision intersectorielle, avec une prise en compte des différents secteurs d action. Dans le rapport, le message à l adresse des décideurs est clair : il faut renforcer les politiques qui soutiennent, reconnaissent et facilitent les activités volontaires ; il faut par ailleurs mettre 3 Le YFJ a adopté en 2003 une série de principes directeurs pour les Objectifs communs en matière d information et de participation ( puis ) et pour les activités volontaires et une meilleure compréhension des jeunes ( ) 4 Contre rapport sur l évaluation de la mise en oeuvre des Objectifs communs en matière d information et de participation ( ) et des activités volontaires ( ) 4
5 l accent sur les partenariats avec la société civile, développer sa capacité à offrir plus d opportunités de partenariats aux jeunes, plutôt que de la supplanter en introduisant des programmes gouvernementaux. Le rapport souligne que le temps est venu pour les décideurs de faire le point sur le volontariat des jeunes, et tire la conclusion ci-après : c est aussi un moment clé pour l Union européenne, car l Europe commence sur le pas de la porte de chaque jeune, au plan local, où les jeunes sont engagés dans des mouvements. Si l Union veut se rapprocher de ses citoyens, alors elle doit absolument reconnaître, soutenir et coopérer avec la société civile qui réunit les jeunes Européens dans le cadre d un large éventail d activités volontaires. Parallèlement à ce processus de compte rendu, en 2005, le YFJ a chargé deux chercheurs de conduire une étude indépendante 5 sur le processus de la MOC dans le secteur de la jeunesse. L étude met en lumière les principales forces et faiblesses du processus et note, qu en général, l ouverture devrait en être un des principes directeurs. Toujours selon l étude, l une des façons d assurer la transparence et le caractère démocratique de la MOC qui, à juste titre, semblent nécessaires, serait d inclure dans ses processus les obligations afférentes. L étude montre aussi que la MOC n est parvenue ni à garantir l accès à l information concernant son fonctionnement, ni à établir des règles et des structures claires quant à l organisation des consultations. Un système de suivi plus efficace serait également bienvenu, comme le note l étude. En outre, dans leurs conclusions, les chercheurs recommandent que tous les rapports des Etats membres sur la MOC soient rendus publics. Cela étant, l étude reconnaît aussi les aspects positifs du processus de la MOC, notant à quel point il a globalement renforcé les thèmes politiques en relation avec la jeunesse. Une conséquence intéressante de la MOC, dans certains Etats membres, est l amélioration de la coopération entre les ministères de la Jeunesse, les Conseils nationaux de jeunesse et les organisations de jeunesse. L étude souligne que la MOC a au minimum réussi à créer un espace dans lequel différents acteurs de la politique de jeunesse peuvent travailler ensemble. Comme mentionné précédemment, les Etats membres n ont prévu dans le processus de la MOC aucun mécanisme spécifique pour traiter des questions horizontales, comme l emploi ou l autonomie des jeunes. Qui plus est, aucune mention n est faite de mécanismes en place pour favoriser une avancée sur les questions horizontales. Dans ces conditions, l adoption du Pacte européen pour la jeunesse a ouvert quelques portes. Le Pacte européen pour la jeunesse Le Pacte européen pour la jeunesse est une initiative de politique intersectorielle, qui s intègre dans la Stratégie de Lisbonne. Avec son adoption par les chefs d Etat et de gouvernement des pays de l UE en 2005, la condition sociale des jeunes est devenue une priorité politique européenne au plus haut niveau. Le Pacte a notamment pour objectif : de favoriser une meilleure intégration des jeunes dans le marché du travail et la société ; d adapter l éducation aux besoins d une 5 Evaluation de la Méthode ouverte de coordination dans le secteur de la jeunesse Evaluation de l accès à l information, des acteurs et de l ouverture dans le processus de mise en oeuvre ( ) 5
6 économie de la connaissance ; et de mieux répondre à la vulnérabilité des jeunes dans le contexte démographique actuel, notamment par le développement de politiques favorisant la conciliation de la vie familiale et de la vie professionnelle et encourageant ce faisant les jeunes à plus d autonomie. Le Pacte européen pour la jeunesse a été une étape décisive vers la demande, par les organisations de jeunesse, d une politique de jeunesse horizontale comme cela avait déjà été exprimé lors des consultations sur le Livre blanc sur la jeunesse. Mais le Pacte européen pour la jeunesse n a jamais été réellement conçu par la Commission comme un processus participatif qui permettrait aux jeunes et à leurs organisations de contribuer à l élaboration des politiques en jouant leur rôle de suivi et d évaluation. De plus, on attend toujours la mise au point de nouvelles méthodes de travail adaptées à la nature intersectorielle des politiques englobées dans le Pacte, et qui impliquent la participation de tous les secteurs politiques sur un pied d égalité au processus d élaboration. Le YFJ a également regretté qu aucun mécanisme n ait été envisagé ou examiné dans l objectif de réaliser ces priorités. 6 Néanmoins, les organisations de jeunesse voient dans le Pacte un nouvel instrument grâce auquel relever le niveau d autonomie des jeunes en Europe. Le Forum européen de la Jeunesse s est réjoui de son adoption et s est depuis engagé dans diverses actions de pression, notamment en 2007, dans l objectif de renforcer la capacité du Pacte à générer des résultats pour les jeunes. La principale demande du YFJ est la mise en place de mécanismes efficaces de contrôle et de rapport qui permettraient un suivi efficace de la mise en oeuvre du Pacte aux échelons national et régional. De plus, le YFJ a entrepris une évaluation minutieuse des programmes nationaux de réforme de Lisbonne soumis par les Etats membres à l automne Cette évaluation a clairement mis en évidence l investissement insuffisant consenti en faveur de l accès des jeunes à l emploi et de l amélioration de leurs conditions sociales. Le Forum européen de la Jeunesse a donc décidé d adresser des demandes et des messages clairs au Sommet du printemps en 2008 ; il voit dans la révision à venir de la Stratégie de Lisbonne et dans l adoption d une nouvelle série de lignes directrices intégrées pour la croissance et l emploi, pour la période , une occasion unique de progresser vers une Europe plus sociale permettant aux jeunes d accéder plus précocement à l autonomie. Tant la MOC que le Pacte européen pour la jeunesse ont montré qu un partenariat solide entre les jeunes et leurs organisations, d une part, et les institutions européennes, d autre part, était nécessaire pour la définition de toute politique, mais aussi pour sa mise en oeuvre, son suivi et son évaluation. Un tel partenariat devrait également garantir que les préoccupations des jeunes soient réellement prises en considération et que les politiques les concernant soient correctement orientées. Le dialogue structuré 6 Déclaration du YFJ sur le Pacte européen pour la jeunesse ( ) 23 avril
7 Le Forum européen de la Jeunesse est convaincu qu il est possible d améliorer la participation et la compréhension mutuelle au moyen d un dialogue structuré vision que partagent les Etats membres et les institutions de l UE. Le YFJ est persuadé que la prochaine étape, dans la perspective d une meilleure politique pour les jeunes en Europe et d une réelle prise en compte de leurs préoccupations, est l ouverture d un tel dialogue entre les décideurs et les organisations de jeunesse en tant que représentants démocratiques et légitimes des jeunes. Le dialogue structuré favorisera non seulement un rapprochement des divers acteurs, mais également des politiques mieux conçues, dans la mesure où les expériences et l expertise des divers acteurs organisations de jeunesse, pouvoirs publics et chercheurs pourront être intégrées à tous les stades de la coopération politique. Au niveau européen, le YFJ considère le développement d un dialogue structuré comme un moyen de jeter une passerelle entre les jeunes et les institutions européennes ce qui est également crucial pour le débat sur l avenir de l Europe et le rapprochement de l UE de ses citoyens, les jeunes au premier chef 7. La prise de décision de l UE doit être basée sur des processus démocratiques participatifs et représentatifs, ainsi que le propose le dialogue structuré. Tout en développant un véritable partenariat sur la base d une politique européenne de jeunesse horizontale, le YFJ a dû admettre que le manque de courage politique de ses partenaires institutionnels avait conduit à une conception plus réduite du dialogue. Jusqu à présent, le dialogue structuré était axé sur une approche verticale de la politique de jeunesse, sans prise en compte de l ensemble des partenaires. Le plus frappant, cependant, est que le programme de cet authentique partenariat entre les représentants des jeunes et les institutions a été le fruit de la décision unilatérale des partenaires institutionnels. Même si aujourd hui l erreur est admise, cela illustre clairement qu il n est pas facile de se départir des vieux réflexes et d une certaine timidité politique. La Communication de la Commission européenne sur la promotion de la pleine participation des jeunes à l éducation, l emploi et la société, publiée le 5 septembre 2007, prépare le terrain d un authentique dialogue structuré la Commission reconnaissant la nécessité d élargir ce dernier aux autres politiques qui concernent les jeunes. Une déclaration, signée entre les organisations de jeunesse et les institutions de l UE, a également été suggérée pour renforcer le partenariat et instaurer une réelle compréhension entre les partenaires. Les prochaines étapes : la coordination horizontale au niveau européen pour une politique de jeunesse horizontale? Ces dernières années, le YFJ n a cessé d appeler à l intégration des jeunes dans les politiques sociales européennes, de même qu à la prise en compte de leurs organisations en tant que partenaires naturels des décideurs en matière d emploi et d intégration sociale. Le YFJ, basant sa politique de jeunesse sur la vulnérabilité croissante des jeunes sur le marché du travail et dans la société dans un contexte de changements démographiques, a sensibilisé ses partenaires institutionnels aux très sévères conséquences, pour les sociétés européennes, de l incapacité 7 Comme y invite le Conseil européen, entre autres, dans sa Déclaration de Laeken en 2001 voir les Conclusions du Conseil européen, décembre 2001, et la Proposition d un traité constitutionnel établissant l Europe, 2004/C 310/01 7
8 persistante à offrir aux jeunes des opportunités décentes d accéder à une vie indépendante. Par son active participation à la Stratégie européenne pour l emploi (SEE) et à la Méthode ouverte de coordination dans les domaines de l inclusion sociale et de la protection sociale, le Forum européen de la Jeunesse a joué un rôle majeur en faveur de la mobilisation des institutions dans la recherche de solutions à la situation persistante de vulnérabilité sociale des jeunes. Le YFJ a ainsi adopté une série de contributions sur des questions centrales, comme l évolution démographique en Europe ; une approche européenne pour l active inclusion des personnes les plus à l écart du marché du travail ; la conciliation des vies privée, professionnelle et familiale ; la modernisation des règles du marché en réponse aux défis du 21 e siècle ; 2010, Année de la pauvreté et de l exclusion sociale ; et, plus récemment, sur la réalité sociale de l Europe. La décision du Président de la Commission de demander au Bureau des conseillers de politique européenne de produire un rapport sur la jeunesse, et la décision subséquente de la Commission de publier une importante communication sur le chômage et le volontariat des jeunes, à l automne 2007, témoigne de la réelle considération des positions du YFJ par les décideurs clés de l UE. Par ailleurs, de plus en plus, les préoccupations des jeunes intègrent les questions de droits de l homme. Tandis que la Commission européenne recherchait des possibilités pour intégrer dans la législation européenne la question de la discrimination multiple, le YFJ s efforçait d introduire l expertise et les expériences de ses membres dans le débat sur la pertinence d une telle législation. La même remarque vaut pour l Année européenne de l égalité des chances pour tous, ou la définition du programme de travail de l Agence des droits fondamentaux de l UE où, grâce à la promotion fructueuse du YFJ, les jeunes jouent un rôle croissant et sont considérés comme des partenaires à part entière. Les questions de santé restant une préoccupation pour les jeunes, le Forum européen de la Jeunesse a développé son travail dans ce secteur. Le processus global a commencé avec la formulation de positions politiques sur l'alcool et le tabac, respectivement, en coopération avec les organisations membres. Par la suite, le YFJ a travaillé avec les institutions de l UE en vue de contribuer pleinement aux développements politiques pertinents. En conséquence de cette coopération, la Direction générale pour la santé et la protection des consommateurs a réservé une ligne de crédit aux activités nationales des jeunes pour la lutte contre le tabac. Le Forum européen de la Jeunesse s appuie à présent sur ce travail pour développer une stratégie logique soulignant les besoins en termes de services de santé de qualité, de santé sexuelle et génésique, et de politiques de santé mentale aux niveaux européen et national, pour que les jeunes Européens puissent adopter des modes de vie sains. Ces dernières années, le YFJ a développé de solides relations de travail avec diverses directions générales (DG) de la Commission européenne, comme les DG emploi et affaires sociales, santé et protection des consommateurs, et communication et développement en plus de sa traditionnelle coopération avec la DG éducation, audiovisuel et culture. Ainsi, le YFJ a acquis une réelle expertise à la fois en termes de contenu mais également de coordination entre les différents acteurs politiques (au niveau des institutions et de la société civile). Le YFJ espère 8
9 maintenant que cette coordination renforcée améliorera la communication sur les questions de politique de jeunesse, soutenant ainsi le travail effectué par différents acteurs et conférant une plus grande visibilité aux progrès accomplis. Ce besoin d une approche horizontale a été clairement exprimé dans le rapport précité commandé par le Président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, et publié en avril 2007 (Investir dans la jeunesse : une stratégie d autonomisation). Ce rapport rend compte de la situation des jeunes en Europe, sur des thèmes spécifiques comme l enfance et la pauvreté ou la santé. Il a fortement pesé sur la Communication de la Commission européenne précédemment évoquée sur la pleine participation des jeunes à l éducation, à l emploi et à la société (publiée le 5 septembre 2007). Le rapport encourage par ailleurs une coopération renforcée avec les DG éducation, audiovisuel et culture, et emploi et affaires sociales. A ce stade, que demandons-nous? Le YFJ plaide en faveur d un mécanisme de coordination qui garantirait la cohérence et une meilleure communication entre les différents organes impliqués dans le processus de la politique de jeunesse - non seulement la Commission européenne mais aussi le Parlement européen et le Conseil. On pourrait imaginer une coordination au niveau du cabinet du Président de la Commission ou du Secrétariat général de la Commission européenne. D'autres configurations sont envisageables aussi longtemps que le but principal d une coordination centralisée est atteint. Le YFJ se réjouit d une telle initiative qu il considère comme une première étape vers la concrétisation d une politique de jeunesse horizontale bénéficiant d une véritable coordination. Un Livre blanc sur la politique de jeunesse pour le Conseil de l Europe? Le Forum européen de la Jeunesse entretient des relations de longue date avec le Conseil de l'europe et des relations très étroites avec la Direction de la Jeunesse et du Sport, cogérée par les gouvernements et les organisations de jeunesse. Dans ce contexte, le YFJ est fortement présent dans le système de cogestion du secteur de la jeunesse de l'organisation. Actuellement, les deux tiers du Conseil consultatif la partie jeunesse dans le processus de cogestion du secteur de la jeunesse au sein du Conseil de l'europe (Direction de la jeunesse et du Sport) sont élus par et parmi les organisations membres du Forum européen de la Jeunesse. Le Conseil de l'europe est le champion de la politique de jeunesse depuis les années 70. Jusqu'ici, il a privilégié une politique de jeunesse basée sur les droits ; mais, il y a un an, le Conseil a pris un chemin différent tout en renforçant encore son approche européenne de la politique en la matière. Il a ainsi entrepris de développer une stratégie à long terme, en se fondant sur les bases énoncées dans le Plan d'action adopté par les chefs d'etat et de gouvernement des Etats membres du Conseil de l'europe en Le document stratégique, qui doit être adopté à la prochaine conférence du Conseil de l'europe des ministres européens de la Jeunesse en 2008, vise à définir les directions qui devraient guider les décideurs concernés dans les prochaines décennies. Il tente par ailleurs de positionner le 9
10 Conseil de l'europe comme l institution la mieux placée pour offrir son expertise compte tenu de son rôle de premier plan dans ce secteur. Le Forum européen de la Jeunesse approuve pleinement ce processus qu il considère comme un pas en avant pour une organisation responsable de nombreuses réalisations dans le secteur de la politique des jeunes et de la cogestion de la jeunesse au cours des dernières décennies. Le YFJ estime qu'un document stratégique approprié pourrait garantir une approche intersectorielle de la politique des jeunes, en se fondant sur la richesse de l expérience dans ce domaine et en touchant le plus large éventail possible de jeunes en Europe. Avec les années, le Conseil de l'europe a constitué un important corpus de connaissances, d'expériences et de bonnes pratiques grâce à la mise en oeuvre d activités dans le cadre du programme pour la jeunesse. Sur un autre front, au niveau de la prise de décision nationale, il a conduit une série d analyses des politiques de jeunesse dans les Etats membres. Tout ceci devrait être un atout précieux pour l'avenir. Le Forum européen de la Jeunesse est fermement convaincu que le futur document de politique (Agenda 2020) devrait s appuyer sur ces bases concrètes pour proposer une politique de jeunesse pérenne, crédible, efficace et, en premier lieu, adaptée aux besoins de son public. Nous pensons que la stratégie devrait être rapidement mise en oeuvre au moyen des prochaines priorités trisannuelles du secteur de la jeunesse du Conseil de l'europe, à commencer par le programme , et largement promue dans tous ses Etats membres comme parmi les organisations de jeunesse. Ce n est que par une approche concertée (au Conseil de l'europe, au plan national et au niveau des ONG) que la politique des jeunes, telle qu envisagée sur le papier, pourra devenir réalité. Le Forum européen de la jeunesse continue à soutenir tous les développements dans le secteur de la jeunesse du Conseil de l'europe qui bénéficieront aux jeunes à long terme ; cette ligne de conduite sera maintenue, que ce soit par le travail avec les organisations membres, par le biais des structures internes du YFJ, au sein du Conseil consultatif sur la jeunesse, ou encore dans le cadre du Partenariat sur la jeunesse entre le Conseil de l'europe et l'union européenne. Une fois finalisé, l Agenda 2020 devrait devenir l'un des fondements essentiels du Partenariat. Au moment où le Conseil de l'europe et l'union européenne entrent dans la dixième année d une collaboration croissante dans la sphère de la jeunesse, ils devraient unir leurs forces pour élaborer une politique européenne de jeunesse cohérente et facile à mettre en oeuvre. Le Partenariat sur la jeunesse pourrait donc servir de forum au sein duquel leurs visions s assemblent, s'enrichissent et, surtout, bénéficient aux jeunes Européens. Conclusion Le privilège des jeunes, c est d être un pas devant! Conscient des processus impliqués dans l élaboration de la politique européenne de jeunesse, le YFJ formule le souhait d une politique réalisable et visionnaire. La timidité politique 10
11 est souvent l'obstacle principal, mais c est un obstacle que le temps peut aider à surmonter. Naturellement, il est important de reconnaître les progrès accomplis dans la politique européenne de jeunesse ces dix dernières années, mais aussi ce qui reste à faire. La nécessité d une politique intersectorielle est enfin reconnue au niveau européen. Qui plus est, la promotion d'une culture de coopération et d'échange d'informations sera essentielle pour faire tomber les barrières encore debout. Le YFJ, comme toujours, est prêt à contribuer à un tel processus, au développement de son contenu et à l'établissement d'une structure susceptible de favoriser la participation des organisations de jeunesse et l'approche intersectorielle. En parallèle, le Conseil de l'europe a entrepris de recentrer son objectif en matière de politique des jeunes. Les deux processus traduisent un besoin évident de reconsidérer les vieilles conceptions de la politique de jeunesse pour, enfin, répondre aux attentes des organisations de jeunesse. S il ne faut pas renier le rôle des organisations de jeunesse dans le progrès accompli par les institutions compétentes en la matière, il convient néanmoins d identifier celles qui, au sein de l UE et du Conseil de l'europe, se sont efforcées de promouvoir l agenda de la jeunesse, de faire pression pour obtenir toujours plus, de promouvoir le dialogue avec les organisations de jeunesse et d accorder une oreille attentive à leurs demandes et à leurs préoccupations. Le Forum européen de la Jeunesse considère qu'une politique de jeunesse horizontale et ambitieuse est possible et reste convaincu de l intérêt de mettre en place d'autres mécanismes, au niveau européen, pour que la politique européenne de jeunesse inspire tous les Etats membres de l UE qui, tous autant qu ils sont, sont face à la nécessité d'assurer un meilleur avenir aux jeunes en leur donnant les moyens nécessaires de contribuer à la société et de s y épanouir. 11
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