Contrôles de l utilisation des produits phytopharmaceutiques effectués en 2009 en région Auvergne
|
|
- Lucie Adeline Lepage
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Contrôles de l utilisation des produits phytopharmaceutiques effectués en 2009 en région Auvergne Le programme national de contrôle de la mise sur le marché et de l utilisation des produits phytosanitaires pour l année 2009 a fixé les objectifs pour la région Auvergne en terme de nombre de contrôles. Le pôle Inspections mutualisées du service régional de l alimentation a donc réalisé au cours de l année: 214 contrôles utilisateurs dans le cadre de la conditionnalité des aides PAC, 20 contrôles sur l utilisation de fumigants et 11 contrôles au niveau de la mise sur le marché. L exposé qui suit concerne les 214 contrôles dits «conditionnalité» effectués en Méthode d inspection et réalisation des contrôles Les exploitants mis en contrôle sont avertis par téléphone au maximum 48 heures à l avance. Cette pratique permet à l agriculteur de réunir les pièces nécessaires à l inspection, notamment les factures ou bons de commande. L inspection commence par l examen du local. Un état des stocks y est notamment effectué de façon à vérifier la présence ou non de Produits Phytosanitaires Non Utilisables. La cohérence du registre et le respect des conditions d utilisation des produits (dose, Délai avant récolte DAR-, Zone non traitée ZNT- ) sont vérifiés à l aide de la base de données e-phy et des factures d achat des produits. En fonction de la taille de l exploitation, de la tenue du registre, de la multiplicité des cultures, de la réalisation ou non d un prélèvement, l inspection dure de 1 à 3 heures. Les 214 contrôles effectivement réalisés en 2009 ont nécessité l intervention de 5 agents du service ainsi que 4 vacataires. Les inspections se sont toujours déroulées en binôme constitué d un agent du service et d un vacataire. Les contrôles ont débuté le 14 mai. Le dernier contrôle a été réalisé le 13 novembre. 2. Caractéristiques de la sélection 2009 Toutes les exploitations contrôlées en 2009 étaient bénéficiaires d aides du 1er pilier. Le nombre d exploitations bénéficiant d aides du 2 ème pilier étaient de 134 (63 %) et 68 exploitations bénéficiaient de Mesures Agro-Environnementales MAE (32 %). L échantillonnage des exploitations à contrôler est réalisée essentiellement par une analyse de risque (ARP) qui prend en compte à la fois la taille de l exploitation, les cultures jugées à risque et la situation géographique de l exploitation pour les bassins versants à risque. Sont retirées de la sélection les exploitations déjà contrôlées les années précédentes qui ne présentaient pas d anomalies importantes. L inspection de nouvelles exploitations est donc privilégiée. La sélection s effectue en appliquant un taux de contrôle d autant plus élevé que la note d analyse de risque (ARP) est élevée, sans toutefois exclure les exploitations ayant une note ARP très faible. Par principe, aucune exploitation ne doit être susceptible d échapper au contrôle, et les contrôles doivent être répartis sur l ensemble du territoire régional.
2 Par ailleurs, la sélection intègre des contre-visites, qui font suite à des inspections réalisées les années précédentes et ayant abouti à des mises en demeure, donc à des anomalies graves. des exploitations comportant les cultures sur lesquelles une analyse de résidus était prévue Répartition géographique La carte ci-dessus montre la répartition par Petite Région Agricole (PRA). Chaque PRA comporte au moins une exploitation contrôlée, ce qui répond à la volonté de répartir les contrôles sur l ensemble du territoire régional. 2
3 Le taux de contrôle réglementaire de 1% a été mise en œuvre au niveau départemental. Répartition en % Nombre inspections réalisées 2009 Allier 23,5 % 50 Cantal 24 % 52 Haute-Loire 20,5 % 44 Puy de Dôme 32 % 68 Auvergne 100% Résultats des analyses de résidus Une partie des exploitations mises en contrôle doit faire l objet d une analyse multirésidus dont l objectif principal est de détecter l utilisation éventuelle de produit(s) interdit(s). Les prélèvements n étant pas réalisés à la récolte, il ne s agit pas véritablement d un contrôle de Limite Maximale de Résidus (LMR). Au total, sur les 32 analyses multi-résidus effectuées en 2009, l utilisation de substances interdites à l utilisation a été mise en évidence dans 2 exploitations : il s agissait d Azinphos méthyl interdit depuis le 31/12/2007 et de Phosalone interdit depuis le 22/06/ Conformité des exploitations inspectées en Taux de conformité Les contrôles de l utilisation des produits phytosanitaires reposent sur des réglementations nationales dont certains points seulement peuvent être pénalisants au titre de la conditionnalité. Ainsi une exploitation est conforme pour la conditionnalité quand aucune anomalie n apparaît sur les 13 points de contrôles conditionnalité (8 points de contrôle concernent la bonne utilisation des produits phytosanitaires, et 5 points de contrôles concernent le paquet hygiène) et les 4 points de contrôle supplémentaires si l exploitation bénéficie d une MAE (Mesure Agro Environnementale). Dans certaines exploitations, des anomalies peuvent apparaître sur des points de contrôle hors conditionnalité. Ainsi, par exemple, certains points de contrôle du local sont des points de non-conformité de la réglementation générale (affichage/étanchéité) alors que d autres (fermeture/aération/absence de local) sont retenus dans le cadre des points de nonconformités conditionnalité. En 2009, 156 exploitations sur 214 sont conformes pour les points de contrôles conditionnalité soit près des trois quarts, et parmi elles 111 sont conformes sur la totalité des points de contrôles soit un peu plus de moitié. 3
4 Taux de conformité globale Exploitations conformes tout conforme nombre % Allier 24 48% Cantal 31 60% Haute-Loire 20 45% Puy-de-Dôme 36 53% Total % Allier Cantal Haute- Loire 36 Puy-de- Dôme Le Cantal présente le taux de conformité globale le plus élevé tandis que l Allier et la Haute- Loire sont bien en dessous de la moyenne régionale. Taux de conformité conditionnalité conforme conditionnalité nombre % Allier 38 76% Cantal 37 71% Haute-Loire 27 61% Puy-de-Dôme 54 79% Total % Exploitations conformes au titre de la conditionnalité Allier Cantal Haute-Loire Puy-de- Dôme Si le Puy-de-Dôme et l Allier affichent de très bons taux de conformité vis-à-vis de la conditionnalité, la Haute-Loire se situe très en dessous de la moyenne régionale. 4.2 Analyse des non conformités Analyse des anomalies mineures, taux de remise en conformité En 2009, les contrôles au titre de la conditionnalité ont inclus la notion d anomalies mineures. Il s agissait des non-conformités suivantes : registre pour la production végétale très incomplet pour les cultures à destination alimentaire, local phytosanitaire non conforme aux prescriptions en vigueur en matière d'aération et de fermeture, exigences complémentaires si MAE: registre phytopharmaceutique très incomplet pour les cultures non alimentaires, exigences complémentaires si MAE: Absence de justificatif de remise de produits ou emballages au moins une fois au cours des deux dernières années. 4
5 Ces anomalies pouvaient être remises en conformité dans le délai d un mois, remise en conformité qui permettait d éviter une pénalisation. Anomalies mineures Nombre exploitations % des exploitations contrôlées taux de remise en conformité Auvergne 49 23% 94% Près d un quart des exploitations contrôlées en 2009 présente au moins une anomalie mineure, le taux de remise en conformité est cependant très élevé (94 %). Nombre Anomalies mineures anomalies Registre pour la production végétale très incomplet pour les cultures à destination alimentaire 12 Local phytosanitaire non conforme aux prescriptions en vigueur en matière d'aération 27 Local phytosanitaire non conforme aux prescriptions en vigueur en matière de fermeture 17 MAE: Absence de justificatif de remise de produits ou emballages au moins une fois au cours des deux dernières années 13 Les anomalies mineures relevées concernent pour une large part le local phytosanitaire : l aération y est insuffisante et/ou la fermeture à clé n est pas assurée alors même que des produits CMR (cancérigènes, mutagènes ou repro-toxiques) y sont présents. Autres anomalies constatées par ordre décroissant : Présence de Produits Phytosanitaires Non Utilisables PPNU- non identifiés comme tels Utilisation des Equipements de Protection Individuelle (EPI) Gestion des Emballages Vides de produits Phytosanitaires (EVPP) Etiquetage des produits (conformité de l'étiquette, intégrité des emballages) Récupération des effluents Utilisation sur des végétaux destinés à l'alimentation humaine ou animale d'un produit sans Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) Utilisation sur des végétaux destinés à l'alimentation humaine ou animale d'un produit phytosanitaire qui n'a jamais eu d'amm pour l'usage, mais pour lequel une AMM existe pour un autre usage sur la culture contrôlée ou pour cet usage sur une autre culture (mésusage) Respect des conditions d'octroi de l'agrément (un agrément Distributeur Applicateur de Produits Antiparasitaires est indispensable en cas de prestation de service) Non respect des exigences prévues par l'amm et figurant explicitement sur l'étiquette du produit utilisé, en matière de dose et de Délai Avant Récolte (DAR) Utilisation d'un produit sans AMM sur la culture contrôlée, suite à une préconisation erronée Absence de local phytosanitaire 5
6 Parmi ces différentes anomalies, deux reviennent de façon importante : la présence de Produits Phytosanitaires Non Utilisables présents dans le local et non identifiés comme tels apparaît dans presque un tiers des exploitations inspectées. Le risque est grand d utiliser ces produits alors qu ils n ont plus d AMM, d où l importance de faire l état des stocks en début de campagne avant tout traitement. Les Equipements de Protection Individuelle (EPI) ne sont pas présents et/ou ne sont pas utilisés dans un peu plus d un quart des cas. Une troisième non-conformité mérite d être citée, la gestion des Emballages Vides de produits Phytosanitaires. Une mauvaise gestion des EVPP est constatée dans 15 % des exploitations contrôlées. Il convient donc de rester vigilant quant à la gestion des stocks compte tenu des nombreux retraits de produits enregistrés ces dernières années, de ne pas relâcher les efforts entrepris en terme de recyclage des emballages vides et de sensibiliser les utilisateurs/ applicateurs à l importance de l utilisation des EPI pour la protection de leur santé. 6
Les entreprises pouvant être concernées : - Jardineries, - Magasins de bricolage, - GMS, - Libre service agricole,
Guide de lecture du référentiel de certification pour l activité de «distribution de produits phytopharmaceutiques à des utilisateurs non professionnels» mentionné à l article 7 de l arrêté du 25 novembre
Plus en détailI) Evolution de la demande d emploi mensuelle
Document rédigé le 27/04/2015 LES ESSENTIELS DE L EMPLOI - Chiffres de mars 2015 Plan : I) Evolution de la demande d emploi mensuelle (pages 1 et 2) - Catégorie A - Catégorie ABC - Entrées et sorties/offres
Plus en détail1 La sécurité sanitaire de l alimentation : l insuffisance des contrôles du ministère de l agriculture
1 La sécurité sanitaire de l alimentation : l insuffisance des contrôles du ministère de l agriculture PRÉSENTATION La politique de sécurité sanitaire de l alimentation concerne l ensemble des actions
Plus en détailJFQ Page 2 sur 5 Créé le : 20/04/2012 M.A.J. le:23.01.2014
Nouvelles mentions liées à la réforme de l agrément des distributeurs OPC 2013 OUVERTURE ou MISE A JOUR DE COMPTE CLIENT AGRICOLE Dépôt :. Code client :. Technicien : Nom ou raison sociale : Représentant
Plus en détailAgence Fédérale pour la Sécurité de la Chaîne Alimentaire
Agence Fédérale pour la Sécurité de la Chaîne Alimentaire Circulaire relative aux conditions d exportation en vue d être conforme aux exigences spécifiques des pays tiers au niveau des limites maximales
Plus en détail4. Notice d utilisation
Clauses techniques pour une prise en compte de la réduction de l utilisation des produits phytopharmaceutiques dans les marchés publics d entretien et de conception des espaces publics Mars 2012 Action
Plus en détailL agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques. Ordre du jour
L agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques Ordre du jour 1. Le cadre réglementaire 2. Les exigences organisationnelles et leurs applications
Plus en détailAVERTISSEMENTS. Réglementaires RAPPEL SUR L AGREMENT DES ENTREPRISES POUR L APPLICATION ET LA DISTRIBUTION DES PRODUITS PHYTOSANITAIRES (DAPA)
VERTISSEMENTS Ministère de l griculture et de la Pêche Réglementaires RPPEL SUR L GREMENT DES ENTREPRISES POUR L PPLICTION ET L DISTRIBUTION DES PRODUITS PHYTOSNITIRES (DP) G R E M E N T D P Direction
Plus en détailDOSSIER L ARRETE DU 12 SEPTEMBRE 2006 PRESENTATION ANALYSE MISE EN APPLICATION CONSEQUENCES
DOSSIER L ARRETE DU 12 SEPTEMBRE 2006 PRESENTATION ANALYSE MISE EN APPLICATION CONSEQUENCES 1 Pour faire suite à l exposé de Novembre 2009 lors des Sessions de Formation de Green Expo, il apparaît fondamental
Plus en détailDocument d information 1. Principaux aspects de la proposition de la Commission COM (2000) 716 du point de vue de l alimentation animale
Proposition de la Commission COM (2000) 716 établissant les principes généraux et les prescriptions générales du droit alimentaire, instituant l Autorité Alimentaire Européenne et fixant des procédures
Plus en détailCirculaire relative au monitoring dioxine des produits à risque destinés à l alimentation animale
gence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire Circulaire relative au monitoring dioxine des produits à risque destinés à l alimentation animale Référence PCCB/S1/JPM/912984 Date 18/02/2014 Version
Plus en détailLa nouvelle réglementation européenne relative à l hygiène des aliments: «Paquet Hygiène»
La nouvelle réglementation européenne relative à l hygiène des aliments: «Paquet Hygiène» Direction Départementale des Services Vétérinaires de Meurthe-et-Moselle Plan 1. Objectifs de la réforme 2. Quels
Plus en détailPLAN SANTE SECURITE AU TRAVAIL DES EXPLOITANTS AGRICOLES DE LA REGION GUADELOUPE PERIODE : 2011-2015
PLAN SANTE SECURITE AU TRAVAIL DES EXPLOITANTS AGRICOLES DE LA REGION GUADELOUPE PERIODE : 2011-2015 PREAMBULE Le Plan Santé Sécurité au Travail (PSST) de la Mutualité Sociale Agricole (MSA) de la Guadeloupe
Plus en détailFORMATIONS EN MATIERE DE SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL
FORMATIONS EN MATIERE DE SANTE ET SECURITE AU TRAVAIL Prévention et Sécurité au Travail Fiche Santé et Travail n 111 Date : 01/09/2014 "Un homme averti en vaut deux" Ce proverbe souligne que l on est plus
Plus en détailNOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son
Plus en détail2. Identification de l'organisme de formation : Adresse BP 7
Comité VIVEA sollicité : D042 Réf. interne : D042/2010/1012 - Attention dossier non encore envoyé à Vivea 1. Titre de l'action de formation : certiphyto 2. Identification de l'organisme de formation :
Plus en détailL Indice Environnemental
L Indice Environnemental Historique et position face à l hypothèse de Porter Corinne MERCADIE Responsable Environnement & Emballages 1ere expérience de collecte et de mesure environnementale 2008 à 2010
Plus en détailQualité Sécurité Environnement
Qualité Sécurité Environnement FORMATION AUDIT CONSEIL EXPERTISE >> Catalogue 2014 Nos innovations: e-learning, évaluation des compétences personnalisation Formation Hygiène Alimentaire ISO 9001 : 2008...
Plus en détailAVIS. de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail
Le Directeur général Maisons-Alfort, le 1 er avril 2014 AVIS de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à la demande d autorisation de mise
Plus en détaildossier de presse, 5 avril 2011
Le groupe Casino a choisi le Cantal pour lancer la démarche Terre et Saveur, pour sa gamme viande de veau et sa gamme viande de bœuf Salers en partenariat avec les groupes Sicarev et Altitude, au travers
Plus en détailVeille réglementaire
Veille réglementaire Anne Gerard 30/01/2012 AFNOR - Marseille En quoi consiste la fonction RQSE dans une IAA? Assurer la veille réglementaire et faire appliquer la réglementation (hygiène, environnement,
Plus en détailArchiver dans une entreprise privée commerciale Fiche 4 : au moins 5 ans
Sécurité Livre de paie (applicable jusqu au 31/07/1998) art. L. 143-5). Déclarations préalables à l embauche L. 320). Relevé mensuel des contrats de travail art. R. 320-1-1). Tous documents, en général,
Plus en détailRESTAURATION SCOLAIRE
RESTAURATION SCOLAIRE REGLEMENT INTERIEUR L admission à la cantine ne constitue pas une obligation pour la commune, mais un service rendu aux familles dans le cadre de l organisation arrêtée par la collectivité
Plus en détailCERTIFICATION CERTIPHYTO
CONDITIONS GENERALES DE CERTIFICATION MONOSITE Indice 2 Page 1/12 «Distribution de produits phytopharmaceutiques, Application en prestation de service de produits phytopharmaceutiques, Conseil à l utilisation
Plus en détailS informer sur les formations obligatoires ou recommandées
GUIDE S informer sur les formations obligatoires ou recommandées FEV 2012 Le Code du travail ou les instances de prévention des risques professionnels imposent ou recommandent expressément le suivi de
Plus en détailAnnexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020
Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 CADRE REGLEMENTAIRE : FEADER, PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT RURAL 2014 2020, REGION LIMOUSIN Cette annexe
Plus en détailObservatoire des Métiers, Qualifications et Besoins de formation
Observatoire des Métiers, Qualifications et Besoins de formation Secteur Tertiaire 6 ème édition - 2003 Réali sé par la Chambre de Commerce et d Industrie Centre en partenariat avec le pôle ORFE du Groupement
Plus en détailRegistres de fermentation lente. Critères d inspection
Chapitre 15 - tâches liées traitement non-thermique Chapitre 15 - tâches liées traitement non-thermique Registres de fermentation lente 1.15.0.3204 Registres de fermentation lente Registres Un échantillon
Plus en détailEN AMONT DE LA DÉLÉGATION ACCUEIL ET FORMATION GÉNÉRALE À LA SÉCURITÉ FORMATION AU POSTE DE TRAVAIL
EN AMONT DE LA DÉLÉGATION Elaborer un livret d'accueil Etablir la liste des postes à risques particuliers (annexe 1) Prendre en compte la liste des travaux interdits aux intérimaires (annexe 2) Désigner
Plus en détailRESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV
RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE, Suivant la proposition de la Commission I
Plus en détailEVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE
EVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE Cette évaluation doit être systématique, quelle que soit l activité de l entreprise, même s il n y a pas d exposition a priori du fait des activités de travail. L'objectif
Plus en détailEnterprise Europe Network, CCI de Lyon Contact : Catherine Jamon-Servel Tél : 04 72 40 57 46 Mail : jamon@lyon.cci.fr www.lyon.cci.
FICHE PRATIQUE LES PRODUITS BIOCIDES Enterprise Europe Network, CCI de Lyon Contact : Catherine Jamon-Servel Tél : 04 72 40 57 46 Mail : jamon@lyon.cci.fr www.lyon.cci.fr/een La Chambre de commerce et
Plus en détailSOMMAIRE. I - Synthèse de l'activité 2014... 2. II - Secteur "Logement" métropole... 4
SOMMAIRE I - Synthèse de l'activité 2014... 2 II - Secteur "Logement" métropole... 4 ACTIVITE LOGEMENTS NEUFS + EXISTANTS... 4 ACTIVITE LOGEMENTS NEUFS... 9 ACTIVITE LOGEMENTS EXISTANTS... 13 ACTIVITE
Plus en détailréglementation bio Partie générale bio, reconnaissable et contrôlé
réglementation bio Partie générale bio, reconnaissable et contrôlé Partie générale : bio, reconnaissable et contrôlé. L objectif de la partie générale de la brochure est de clarifier ce qu est exactement
Plus en détailEmis le : 5/08/2011 Mis à jour : 10/2014
Emetteur : CRMA Limousin Page 1 sur 6 1. Quelle réglementation s applique à mon entreprise? Emis le : 5/08/2011 Toute entreprise artisanale ou industrielle est soumise au règlement sanitaire départemental.
Plus en détailEnquêtes nationales 2006-2007 sur les utilisations agricoles de pesticides
Enquêtes nationales 2006-2007 sur les utilisations agricoles de pesticides Hiérarchisation des substances actives pour la surveillance des expositions alimentaires Alexandre Nougadère Direction de l Evaluation
Plus en détailModalités de candidature et de certification. Niveau 1. Certification de personnes Expert méthode HACCP/SMSDA
Modalités de candidature et de certification Niveau 1 Certification de personnes Expert méthode HACCP/SMSDA La certification d'expert méthode HACCP/SMSDA s adresse à des professionnels confirmés qui veulent
Plus en détailNormes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs)
105 Annexe 3 Normes internationales pour les mesures phytosanitaires (NIMPs) On trouvera ci-après une description succincte des NIMP adoptées. Le texte intégral des NIMP peut être consulté sur le Site
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailCompléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011
Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011 Bureau 4A : Nutrition & Information sur les denrées alimentaires Novel Food, Adjonction V&M, SBNP Compléments
Plus en détailGuide pour le dépôt des dossiers relatifs aux demandes d autorisation transitoire de mise à disposition sur le marché de certains produits biocides
Guide pour le dépôt des dossiers relatifs aux demandes d autorisation transitoire de mise à disposition sur le marché de certains produits biocides Arrêté du 13 juillet 2010 pris en application de l article
Plus en détailVia Volontariat International en Entreprise (V.I.E Pays de la Loire)
Via Volontariat International en Entreprise (V.I.E Pays de la Loire) La Région des Pays de la Loire apporte un soutien financier aux entreprises régionales qui souhaitent recourir au service de Volontaires
Plus en détailLaboratoire départemental d analyses
Catalogue des formations Microbiologie alimentaire santé animale AUDIT, conseil et formation en sécurité alimentaire Laboratoire 216 rue Louis Mallet 18020 Bourges Cedex Tél. 02 48 21 15 31 fax 02 48 50
Plus en détailCrédit d impôt en faveur de l agriculture biologique
Crédit d impôt en faveur de l agriculture biologique Note d information et d analyse FNAB Paris, le 10 avril 2014 Mode d emploi du dispositif CI-Bio pour les exercices 2011 à 2014 (pour les déclarations
Plus en détailLaboratoire départemental d analyses
Catalogue des formations 2015 MICROBIOLOGIE ALIMENTAIRE SANTÉ ANIMALE AUDIT, CONSEIL ET FORMATION EN SÉCURITÉ ALIMENTAIRE LABORATOIRE DÉPARTEMENTAL D ANALYSES DU CHER 216 RUE LOUIS MALLET 18020 BOURGES
Plus en détailSdage, état d avancement de la révision et prochaine consultation
Sdage, état d avancement de la révision et prochaine consultation Ingrid HERMITEAU Agence de l eau Loire-Bretagne Cap sur la révision du Sdage 1. Rappel : qu est-ce que le Sdage? 2. Les éléments de réflexion
Plus en détailUniterres. Rapprocher l aide alimentaire et les producteurs locaux
Le réseau des épiceries solidaires A.N.D.E.S. Uniterres Assurer la sécurité alimentaire des plus démunis et soutenir une agriculture durable et locale Rapprocher l aide alimentaire et les producteurs locaux
Plus en détailCertificat de Spécialisation «RESPONSABLE TECHNICO-COMMERCIAL : AGRO-FOURNITURES»
Certificat de Spécialisation «RESPONSABLE TECHNICO-COMMERCIAL : AGRO-FOURNITURES» S appuyant sur le Brevet de Technicien Supérieur Agricole : Analyse et conduite des systèmes d exploitation Arrêté du 27
Plus en détailGestion des déchets dangereux dans les entreprises
Actualités Gestion des déchets dangereux dans les entreprises Avril 2012 - Fiche n 1 Rédigée par Margot Liatard CCIR Champagne-Ardenne Qu est ce qu un déchet dangereux? Les déchets dangereux sont des déchets
Plus en détailLe certificat individuel (Produits phytosanitaires)
Centre de Gestion du Haut Rhin Fonction Publique Territoriale 22 rue Wilson 68027 COLMAR Cedex Tél. : 03 89 20 36 00 Fax : 03 89 20 36 29 cdg68@calixo.net www.cdg68.fr Circulaire n 20/2013 Cl. C 44 Colmar,
Plus en détailAppliquer la réglementation dans la filière
Appliquer la réglementation dans la filière laitière fermière re Appliquer la réglementation dans la filière laitière fermière Analyse des risques, enregistrements et GBPH Application à la filière laitière
Plus en détailPièces à joindre RENTREE 2015-2016. Qui peut bénéficier de la bourse de lycée?
INFORMATIONS PRATIQUES A DESTINATION DES FAMILLES Ouverture de la campagne de bourse de lycée RENTREE 2015-2016 Pièces à joindre Qui peut bénéficier de la bourse de lycée? Où peut- on retirer un formulaire
Plus en détailNotice explicative Comment renseigner votre dossier PAC?
MINISTÈRE DE L AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT Direction départementale des territoires Direction départementale des territoires et de la mer Direction de l alimentation, de l agriculture
Plus en détailFormulaire de demande d un apport de trésorerie remboursable sur la fin de l année 2015
MINISTÈRE DE L AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT Direction départementale des territoires Direction départementale des territoires et de la mer Direction de l alimentation, de l agriculture
Plus en détailhttp://www.allier.chambagri.fr/fileadmin/documents_ca03/divers_pdf/bon_usage_des_prdts_phyto.pdf A vos cultures
Février 2015 Service Agronomie, Territoire, Equipement Préconisation variétés maïs 2015 Cette plaquette fait partie du Guide annuel «A vos cultures». Celui-ci regroupe, dans un ensemble cohérent et global,
Plus en détailIntitulé du stage. Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011
Intitulé du stage Dates Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011 Recherche et réduction des rejets de Substances Dangereuses dans l'eau Mardi 20 septembre 2011 Mardi
Plus en détailASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF
ASPECTS JURIDIQUES DE L ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF Bases juridiques et dernières évolutions règlementaires Séminaire des animateurs territoriaux, le 26 juin 2012 Ludiana KORTH, chargée d étude juridique
Plus en détailModalités de Contrôle des Connaissances A partir de septembre 2014
Master 1 semestre 1 1 2 3 4 5 6 Intitulé précis de l Communication, bases de données et projet professionnel personnel Domaine Sciences, Techniques et Santé 1 Session 1 / Contrôle continu Note plancher
Plus en détailLes Autorisations de Mise sur le Marché (AMM) délivrées au titre du Règlement (UE) n 528/2012 (dit BPR)
Les mardis de la DGPR 17/09/2013 Les Autorisations de Mise sur le Marché (AMM) délivrées au titre du Règlement (UE) n 528/2012 (dit BPR) Direction générale de la prévention des risques Service de la prévention
Plus en détailAnnexe A : Tableau des exigences
E1 E1.1 E1.2 E1.3 E1.4 E1.5 E1.6 Exigences générales production Les végétaux destinés à la consommation humaine doivent être cultivés au Québec. Les végétaux destinés à la consommation humaine doivent
Plus en détailACOUSTIQUE DU BATIMENT Comprendre enfin pourquoi 0 + 0 = 3
ACOUSTIQUE DU BATIMENT Comprendre enfin pourquoi 0 + 0 = 3 Le 26/09/14 à Clermont-fd 1 journée 7 heures de formation LIEUX, HORAIRES & TARIFS Nous vous rappelons qu il est nécessaire d être adhérent à
Plus en détailFonction Publique Territoriale
Fonction Publique Territoriale CONCOURS D ADJOINT TECHNIQUE TERRITORIAL PRINCIPAL DE 2EME CLASSE DES ETABLISSEMENTS D ENSEIGNEMENT SPECIALITE : MAGASINAGE DES ATELIERS MERCREDI 17 SEPTEMBRE 2008 EPREUVE
Plus en détailTrame / Présentation du Projet de Plan Santé au Travail N 2. Axe 1 Améliorer la connaissance en santé au travail
Trame / Présentation du Projet de Plan Santé au Travail N 2 Axe 1 Améliorer la connaissance en santé au travail Objectifs / Actions Pilote / partenaires Indicateurs OBJECTIF 1-1 : POURSUIVRE LA STRUCTURATION
Plus en détailLE GRAND VIZIR, A ARRETE :
Arrêté viziriel du 3 février 1953 (18 joumada I 1372) pris pour l application du dahir du 20 mars 1951 (12 joumada Il 1370) portant réglementation de l exploitation et de la vente des eaux minérales naturelles
Plus en détail«Actualités réglementaires en radioprotection»
Contenu des informations à joindre aux D. ou demande d Autorisation Cyril THIEFFRY Sûreté Nucléaire et Radioprotection Arrêté du 29 janvier 2010 portant homologation de la décision n 2009-DC-0148 de l
Plus en détailLicence professionnelle Génie logiciel, développement d'applications pour plateformes mobiles
Promotion 22/23 Situation au er mars 24 Site : Clermont-Ferrand / Aubière Licence professionnelle Génie logiciel, développement d'applications pour plateformes mobiles Objectif de cette licence professionnelle
Plus en détailAPPEL A MANIFESTATION D INTERET CAHIER DES CHARGES DE SELECTION DU GESTIONNAIRE
APPEL A MANIFESTATION D INTERET CAHIER DES CHARGES DE SELECTION DU GESTIONNAIRE Prêt PRCTA Prêt à 0% du Programme Régional à la Création et à la Transmission en Agriculture Date de remise des manifestations
Plus en détailPAC. ce qui change. vraiment
PAC 2014 2020 ce qui change vraiment Dotée d un budget préservé de l ordre de 9,1 milliards par an, la nouvelle pac entrera pleinement en application en 2015 et sera le cadre commun de l agriculture européenne
Plus en détailDIRECTIVES POUR LA CONCEPTION ET LA MISE EN OEUVRE D UN PROGRAMME NATIONAL DE RÉGLEMENTATION D ASSURANCE DE LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE CONCERNANT LES
DIRECTIVES POUR LA CONCEPTION ET LA MISE EN OEUVRE D UN PROGRAMME NATIONAL DE RÉGLEMENTATION D ASSURANCE DE LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE CONCERNANT LES RISQUES LIÉS À L UTILISATION DE MÉDICAMENTS VÉTÉRINAIRES
Plus en détail817.025.21 Ordonnance du DFI sur l exécution de la législation sur les denrées alimentaires
Ordonnance du DFI sur l exécution de la législation sur les denrées alimentaires du 23 novembre 2005 (Etat le 1 er janvier 2014) Le Département fédéral de l intérieur (DFI), vu les art. 59, al. 2, 66 et
Plus en détailL INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS
1 L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS xz Sabrina TONNERRE Juriste Master II Droit des activités économiques Option Droit de l agroalimentaire Sous la direction de Maître
Plus en détailD039942/02 P A R L E G O U V E R N E M E N T, À L A S S E M B L É E N A T I O N A L E E T A U S É N A T.
D039942/02 ASSEMBLÉE NATIONALE QUATORZIEME LÉGISLATURE SÉNAT SESSION EXTRAORDINAIRE DE 2014-2015 Reçu à la Présidence de l Assemblée nationale le 23 juillet 2015 Enregistré à la Présidence du Sénat le
Plus en détailLaboratoire Départemental d Analyses Premier semestre 2015 I T. mon Département, Ain
Laboratoire Départemental d Analyses Premier semestre 2015 O N I T A R RESTAU E V I T C COLLE FORMATIONS Ain mon Département, Introduction La réglementation européenne impose à tout personnel travaillant
Plus en détailLes audits d installations Edition avril 2014
INSTALLATEURS ÉNERGIES RENOUVELABLES Les audits d installations Edition avril 2014 Aérothermie et géothermie Solaire thermique Bois énergie Solaire photovoltaïque Afin de renforcer l intérêt et la pertinence
Plus en détailPermis d exploitation et Hygiène Alimentaire. Formation de 5 jours en secteur Hôtellerie-Restauration. Notre devise :
Notre devise : «Offrir une qualité optimale de formation basée en premier lieu sur la confiance des Hommes et des Femmes qui font et feront l entreprise de demain en Outre-Mer» Formation de 5 jours en
Plus en détailJEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVIII e ÉDITION
JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVIII e ÉDITION Projet de règlement no. 3 : Règlement sur la responsabilisation environnementale PRÉSENTATION Présenté par Monsieur Maxime Maheu-Moisan, membre du comité exécutif,
Plus en détailLe guide des bonnes pratiques d hygiène et la qualité alimentaire en restauration
FORMATION : THEORIQUE C.H.R. / INTRA-ENTREPRISE MODULE Le guide des bonnes pratiques d hygiène et la qualité alimentaire en restauration TYPE DE FORMATION : Hygiène et sécurité, qualité normalisation,
Plus en détailCOMMISSION EUROPÉENNE DIRECTION GÉNÉRALE DE LA SANTÉ ET DES CONSOMMATEURS
Ref. Ares(2013)2807435-01/08/2013 COMMISSION EUROPÉENNE DIRECTION GÉNÉRALE DE LA SANTÉ ET DES CONSOMMATEURS Direction F Office alimentaire et vétérinaire DG(SANCO) 2013-6657 RM FINAL PROJET DE RAPPORT
Plus en détailRegistre des dossiers et des mesures correctives du programme LCQ
Programme Lait canadien de qualité des Producteurs laitiers du Canada Registre des dossiers et des mesures correctives du programme LCQ Utiliser avec le Registre et le Calendrier de DGI pour des dossiers
Plus en détailPOITIERS le 28 Mars 2013. Règlement Produit Construction Le rôle des différents acteurs. Pascal BAR
POITIERS le 28 Mars 2013 Règlement Produit Construction Le rôle des différents acteurs Pascal BAR 1 Obligations pour les fabricants 1. Détermination du «produit-type» Déclarer l usage attendu du produit
Plus en détailSystème Management Environnemental
Système Management Environnemental Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine - Bassin Eaux Pluviales Environnemental Politique Qualité Sécurité Environnement Sommaire Norme
Plus en détailARRETE N 2015-DDTM-SEA-0006
PRÉFET DU GARD Direction Départementale des Territoires et de la Mer Fait à Nîmes, le 22 juillet 2015 Service Economie Agricole Unité Agro-Ecologie Affaire suivie par : Virginie PLANTIER 04 66 62.64.53
Plus en détailPROCESSUS DE CERTIFICATION Agriculture Biologique
CERTIFICATION AB 10.2012 PROCESSUS DE CERTIFICATION Agriculture Biologique SOMMAIRE I La règlementation II Le processus de certification 1- Les étapes du processus de certification 2- Le plan de correction
Plus en détailLA RÉPARTITION DES SERRURIERS EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/
LA RÉPARTITION S EN FRANCE http://www.1serrurier.fr/ Les tableaux suivants permettent de retrouver les données détaillées de la répartition des entreprises de serrurerie en France métropolitaine et en
Plus en détailLa Lettre de l IMSEPP
La Lettre de l IMSEPP N 46 27 janvier 2015 Marché du travail 2014 en Martinique : Bilan d une année de demandes d emploi Page 1 16 Synthèse : Au mois de décembre 2014, la baisse tendancielle du nombre
Plus en détailGUIDE A L INTENTION DES RESPONSABLES
Ministère de l Ecologie, du Développement et de l Aménagement Durables Direction de la Prévention des Pollutions et des Risques Sous-Direction des Produits et des Déchets Bureau des Substances et Préparations
Plus en détailManuel - Campetto 4 distributeur électrique souterrain
Manuel - Campetto 4 distributeur électrique souterrain Mentions légales: GIFAS-ELECTRIC GmbH CH-9424 Rheineck www.gifas.ch Sous réserve d'erreurs et de modifications techniques. Ce manuel est propriété
Plus en détailRÈGLEMENT DU CONCOURS Personnalisation de la machine à café à dosettes SENSEO 1 PHILIPS
RÈGLEMENT DU CONCOURS Personnalisation de la machine à café à dosettes SENSEO 1 PHILIPS ARTICLE 1 er ORGANISATION Le concours Personnalisation de la machine à café à dosettes SENSEO PHILIPS est un concours
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailPREFET DES BOUCHES-DU-RHONE
PREFET DES BOUCHES-DU-RHONE DIRECTION DEPARTEMENTALE INTERMINISTERIELLE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS Siège : 22, Rue Borde - 13285 MARSEILLE CEDEX 08 Publipostage MARSEILLE, 03.04.2013 Téléphone :
Plus en détailCompléments alimentaires et cosmétiques Aspects légaux de l étiquetage
Compléments alimentaires et cosmétiques Aspects légaux de l étiquetage Roos De Brabandere VITASANA 2009 Contenu Compléments alimentaires - quelle législation est-elle d application? - exigences légales
Plus en détailAfssa Saisine n 2007-SA-0028
2 août 2007 AVIS LA DIRECTRICE LE DIRECTEUR GENERALE GÉNÉRAL de l Agence française de sécurité sanitaire des aliments relatif à l'évaluation des risques pour l'homme des constituants des produits de nettoyage
Plus en détailINDUSTRIES AGRICOLES ET AGROALIMENTAIRES RÉDUIRE ET VALORISER LES DÉCHETS,
INDUSTRIES AGRICOLES ET AGROALIMENTAIRES RÉDUIRE ET VALORISER LES DÉCHETS, les choix gagnants INDUSTRIES AGRICOLES ET AGROALIMENTAIRES PRÉVENIR ET VALORISER LES DÉCHETS UNE STRATÉGIE TRIPLEMENT RENTABLE
Plus en détailCONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO-
CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- ALIMENTAIRE AU QUÉBEC RÉSULTATS D UNE CONSULTATION DES ACTEURS DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE AU SUJET DE LEUR CONFIANCE ENVERS LEURS PERSPECTIVES FUTURES Préparé pour l Union
Plus en détail34-Internationalisation des entreprises 166- Fonds Régional d Appui à l Exportation Annexe 2 VIE PAYS DE LA LOIRE
VIE PAYS DE LA LOIRE REGLEMENT D'INTERVENTION le règlement n 1998/2006 de la Commission Européenne du 15 décembre 2006 concernant l'application des articles 107 et 108 du traité CE aux aides de minimis,
Plus en détailBONNES PRATIQUES DECHETS ET POINTS D ATTENTION
BONNES PRATIQUES DECHETS ET POINTS D ATTENTION Constats partagés : - Les déchets de chantier et de maintenance sont plutôt bien traités et suivis. - Les déchets de bureaux sont bien suivis sur les gros
Plus en détailFICHE DE DONNEE SECURITE
Degy Anti-fourmis 28/03/12 page1/6 FICHE DE DONNEE SECURITE 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PREPARATION ET DU FOURNISSEUR Désignation commerciale: DEGY ANTI-FOURMIS Utilisation de la préparation : Produit
Plus en détailQui est concerné? Les établissements non concernés ou dispensés
SERVICE QUALITE Obligation de formation capacitaire à l hygiène pour les restaurateurs Rédacteur : Cindy LAROCHE Approbateur : Président Christian VABRET Date : 07-11-12 Depuis le 1er octobre 2012, les
Plus en détailEvaluation Agi Son 2005. Agi son 2005. Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées
Agi son Evaluation de la campagne de sensibilisation aux risques auditifs liés à l écoute de musiques amplifiées 1 Introduction p. 3 Méthode p.4 1. Le public p.5 A. Caractéristique des personnes interrogées
Plus en détail