JEAN-RAPHAËL BERT CONSULTANT. Audit du contrat d affermage et prospective pour la gestion de l eau potable
|
|
- Coraline Anne-Laure André
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 JEAN-RAPHAËL BERT CONSULTANT Audit du contrat d affermage et prospective pour la gestion de l eau potable Présentation du 6 novembre 2013
2 PLAN 1. Présentation de l audit du contrat actuel Aspects juridiques Aspects techniques Aspects financiers 2. Scénarii pour le futur mode de gestion du service 2
3 Rappel de l organisation actuelle 3
4 Présentation du service Production d eau brute assurée par la Ville de Saint Chamond Distribution de l eau potable assurée par le Syndicat : abonnés et compteurs pour plus de habitants, 8554 branchements répertoriés 257 km de réseau, hors branchements, dont 4 km d adduction 2 usines de potabilisation (capacité totale de m 3 /j) 17 réservoirs de stockage (capacité totale de m 3 ) 4
5 Mode de gestion actuel du Syndicat Contrat d affermage du Syndicat entré en vigueur le 1 er juillet 2008 pour 8,5 ans (31/12/2016) Gestion du service assurée par le Délégataire : bon fonctionnement du service opérations d entretien et de réparations courantes des réseaux et des ouvrages relation avec les usagers 5
6 Génie civil et canalisations Branchements Répartition des travaux entre le Syndicat et son Délégataire Compteurs et équipements annexes Aménagements extérieurs Délégataire Entretien du GC et renouvellement < 6m Entretien et renouvellement de 35 branchements par an Syndicat Renouvellement du GC et des canalisations (au-delà de 6 m) Renouvellement - Renouvellement Investissements - Extensions de réseaux et renforcement - 6
7 I. BILAN DE L AUDIT 7
8 BILAN DE L AUDIT JURIDIQUE 8
9 Bilan de l audit juridique Des évolutions réglementaires récentes non intégrées Dégrèvement en cas de consommation anormalement élevée Remise des plans et bases de données : au moins six mois avant la fin du contrat de DSP (L du CGCT) et non à l échéance du contrat comme prévu. =>Dispositions d ordre public dont l application n est pas conditionnée à leur intégration dans le contrat de DSP 9
10 BILAN DE L AUDIT TECHNIQUE 10
11 Bilan de l audit technique Evolution du nombre d'abonnés Nombre d'abonnés Prévision CEP Stabilité du nombre d abonnés 11
12 Bilan de l audit technique Evolution de la consommation (m 3 ) Volume comptabilisé 365 jours Prévision CEP Diminution des volumes consommés (- 1,3 %/an en moyenne) Comparaison au Compte d Exploitation Prévisionnel Tarifs établis sur une assiette sensiblement plus importante Mais clause de révision non atteinte 12
13 Rendement Indice linéaire de pertes (m3/km/jour) Niveau minimal de rendement (81 %) Rendement supérieur au niveau minimal défini au contrat Rendement supérieur aux obligations réglementaires (69 %) Bilan de l audit technique Contrat d affermage assez précis, comportant plusieurs obligations quantifiées 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% Rdt selon l'exploitant (P104.3) Rdt (formule contractuelle) ILP selon l'exploitant - P106.3 (m3/jour/km)
14 Bilan de l audit technique Contrat d affermage assez précis, comportant plusieurs obligations quantifiées Âge maximal du parc compteurs Parc jeune : 25 % des compteurs ont moins de 3 ans 5 % des compteurs (1 060 en septembre 2012) ont plus de 18 ans 14
15 Bilan de l audit technique Contrat d affermage assez précis, comportant plusieurs obligations particulières Contenu et forme de l inventaire des biens (art.11 contrat) Listing des équipements avec précision des marques et caractéristiques pour la plupart, mais sans aucune remarque qualitative quant à leur état, leur localisation géographique, ou leur environnement Contenu du rapport annuel Rapport annuel riche, mais ne comportant pas la totalité des indicateurs définis au contrat : o o absence de 3 indicateurs de performance, rendement calculé non conforme à la définition du contrat, o pas d informations sur la sous-traitance des travaux ni sur le personnel affecté au service Informations collectées par le délégataire en mesure de les intégrer aux prochains RAD (Rapport Annuel du Délégataire) 15
16 Bilan de l audit technique Pas de dysfonctionnement essentiel, niveau de service satisfaisant Indicateurs techniques (rendement, interventions sur réseau) État des ouvrages (malgré des insuffisances ponctuelles relevées, principalement clôtures des sites) Peu de réclamations concernant la qualité du service (goût, odeur, pression) Des engagements non respectés ONEMA 2011 Nombre de réclamations écrites Taux de réclamations pour abonnés 0,21 0,37 0,21 7 Mais peu d outils à la disposition du Syndicat pour suivre son exécution 16
17 BILAN DE L AUDIT FINANCIER 17
18 Bilan de l audit financier PRIX DU SERVICE Prix du m 3 (2,02 TTC/m 3 en 2012) : inférieur à la moyenne départementale (2,14 TTC/m 3 en 2009), équivalent au tarif moyen sur Saint Etienne Métropole (2,02 TTC/m 3 en 2012, hors redevance prélèvement Agence de l eau) Décomposition du prix de l eau Délégataire 14% 5% Syndicat St Chamond Agence de l'eau TVA 33% 48% 18
19 Bilan de l audit financier RECETTES Chiffres d affaires du Délégataire : k en 2011 Recettes du service en Exploitation du service Part Collectivité Agence de l'eau et tiers Travaux attribués à titre exclusif Produits accessoires 19
20 Bilan de l audit financier RECETTES Analyse des recettes du délégataire Un bordereau des prix à compléter o Absence de tarifs pour la fourniture et pose de compteurs o Tarifs actuellement appliqués élevés Frais d accès au service d un niveau plutôt élevé 20
21 Bilan de l audit financier CHARGES Méthodologie d établissement du CARE Les charges inscrites aux CARE sont de 3 natures : Directes résultant directement de l exploitation du service (électricité, produits de traitement ) Calculées propres au contrat (provision pour renouvellement, investissement) Réparties à différents niveaux (charges communes à plusieurs contrats) selon une clé financière (valeur ajoutée) 21
22 Bilan de l audit financier CHARGES Niveau hiérarchique Charges 2011 ( HT) Contrat Service Clé Clé 0, Agence Centre Opérationnel Région Calculées Total Région; 23% Centre Opérationnel; 10% Agence; -1% Calculées ; 9% Contrat; 17% Service Clé 0,68; 22% Charges directes : 38 % des charges Charges directes et quasi-directes : 60 % des charges Niveau élevé de charges réparties à la valeur ajoutée moindre transparence par rapport à des clés techniques Service Clé 1; 21% 22
23 Bilan de l audit financier CHARGES CALCULÉES Renouvellement dit «fonctionnel» Opérations visant à garantir le bon fonctionnement du service, réalisées librement par le délégataire sur son initiative (art. 36.2) Charge prévisionnelle du CEP (base d établissement du prix du m 3 ) de 44 k (novembre 2007), soit 2% du CA Dépenses chaque année inférieures aux provisions Écart à fin 2011 équivalent à deux années de dépenses Aucune obligation contractuelle Lacune d origine du contrat : survalorisation du risque, «marge masquée» 23
24 Bilan de l audit financier CHARGES CALCULÉES Renouvellement dit «patrimonial» Programme défini en annexe au contrat Aucune liberté du délégataire (toute révision du programme doit faire l objet d un avenant) Un engagement de dépense annuelle respecté Intégration de frais généraux (12 %), pratique conforme aux stipulations contractuelles (art ) Règles d imputation des frais généraux et de la marge non définies au contrat Révision quinquennale du programme à opérer 24
25 Bilan de l audit financier CHARGES CALCULÉES Investissements Travaux prévus réalisés (sauf «modulation pression jour/nuit» en accord avec le Syndicat) Amortis sur la durée du contrat Travaux non amortis : en cas d arrêt anticipé au 30/06/14, le délégataire pourra prétendre à une indemnité de 118 k à ce titre. 25
26 Conclusion de l audit financier Prix de l eau inférieur à la moyenne départementale Bordereau des prix incomplet conduisant à des tarifs élevés (fourniture et pose de compteurs) Niveau des frais d accès au service élevé Renouvellement «fonctionnel» : provisionnement supérieur aux dépenses «patrimonial» : engagement de dépenses respecté mais imprécision du contrat sur les frais généraux et la marge pouvant y être intégrés 26
27 II. SCENARII POUR LE FUTUR MODE DE GESTION DU SERVICE 27
28 PRÉSENTATION DES DIFFÉRENTS MODES DE GESTION 28
29 Modes de gestion Gestion publique ou régie Gestion directe, avec personnel propre Marché(s) de prestation de services Gestion déléguée Article L du CGCT : contrat par lequel une personne morale de droit public confie la gestion d'un service public dont elle a la responsabilité à un délégataire public ou privé, dont la rémunération est substantiellement liée aux résultats de l'exploitation du service Régie intéressée Concession et affermage 29
30 Gestion publique ou régie Deux formes de régie SAUF pour un SIVU Dotée de la seule autonomie financière, administrée par un conseil et un directeur nommés par le comité syndical. Elle dispose d un budget annexe à celui du Syndicat Dotée de l autonomie financière et de la personnalité morale, qui possède une personnalité juridique et un patrimoine distincts de la collectivité Régie soumise au code des marchés publics 30
31 Gestion déléguée Régie intéressée : rémunération par le Syndicat avec une part substantielle liée aux résultats (ex. qualité de l eau, de service rendu aux usagers, d exploitation du réseau ) prime de gestion ou participation au résultat > 30 % de la rémunération totale le cocontractant n assume guère les risques de la gestion du service Concession : financement et construction d ouvrages puis exploitation confiés à un tiers Affermage : mode de gestion actuel tâches d exploitation confiées à un tiers Investissements essentiellement à la charge du Syndicat 31
32 Gestion déléguée Société publique locale (SPL): Société anonyme régie par le droit privé Capital exclusivement public détenu par au moins deux actionnaires publics Compétente pour exploiter un service public industriel et commercial Ne peut intervenir que pour ses actionnaires publics et sur leur territoire Peut se voire confier un contrat de DSP par ses actionnaires, sans mise en concurrence 32
33 SIMULATION DE LA GESTION EN RÉGIE 33
34 Evaluation du coût d exploitation en régie Organisation autonome, distincte des services communaux Comparaison ne portant que sur l exploitation du service et n intégrant pas les prestations déjà assurées par le Syndicat Objectif : comparer les modes de gestion sur des périmètres d intervention équivalents Deux scenarii : Gestion de l intégralité du service Organisation «transitoire» avec limitation des investissements matériels et externalisation des opérations pour lesquelles le volume d activité est insuffisant (travaux) 34
35 Evaluation du coût d exploitation en régie Personnel : transfert des contrats de travail Respect par la régie du Code du Travail (article L , précisé par la jurisprudence) Convention collective nationale des entreprises des services d eau et d assainissement 35
36 Evaluation du coût d exploitation en régie Transfert de personnel - position de l'exploitant Cadre réglementaire Code du Travail Convention collective Encadrement 1 1 Usines et ouvrages 4 3 Réseaux Clientèle 3 3 Support technique et administratif 1 2 TOTAL Masse salariale K 915K 36
37 Evaluation du coût d exploitation en régie Personnel : compétences complémentaires nécessaires 1 agent en charge des opérations transversales sur les aspects techniques dans l objectif de disposer d une compétence de bureau d études Embauche de 2 agents administratifs maîtrisant la commande publique et la comptabilité publique (gestion des recouvrements, appui aux chargés de clientèle) Evaluation finale: o 24 ETP o Charge annuelle : k 37
38 Evaluation du coût d exploitation en régie Scenario 2 organisation transitoire Externalisation de la production pas d impact financier significatif mais fiabilité du traitement (notamment absences du conducteur d usine) Externalisation des travaux o Mutualisation des travaux avec les services municipaux pourrait générer des économies d échelles 38
39 AUTRES CHARGES CHARGES D EXPLOITATION Evaluation du coût d exploitation en régie En Pour un niveau de prestation équivalent à l actuel Scénario 1 : intégralité du service Scénario 2 : organisation transitoire 1 Personnel Energie Produits de traitement Analyses Sous-traitance Matières et fournitures Renouvellement Sous-total charges d exploitation Gestion clientèle Impayés Investissements initiaux Autres dépenses d exploitation Fonds de précarité CCAS Impôts et taxes Sous-total autres charges Contribution des services techniques et généraux municipaux, frais généraux Aléas techniques et économiques Rémunération du besoin en fonds de roulement TOTAL Jean-Raphaël Bert Consultant/SI St Chamond l'horme/réunion du 11 avril
40 COMPARAISON RÉGIE / DSP 40
41 Comparaison régie / DSP actuelle Prix «raisonnable» en régie (sans synergie avec les services des communes, hors indemnité de résiliation) 15 % à 18 % inférieur au prix actuel Ecart de prix résultant principalement des postes «soustraitance, matières et fournitures», «autres dépenses d exploitation», «contribution des services centraux et de recherche», «impôts et taxes» Postes comprenant une part importante de charges réparties à la valeur ajoutée Prix d une future DSP à prestations identiques comparable voire inférieur au prix régie (concurrence, restructuration des entreprises) 41
42 Inconvénients Avantages Comparaison régie / DSP Régie (directe ou avec marchés) - Maîtrise totale du service, de son organisation, de ses choix de gestion et de son prix, - But non lucratif, - Prix statistiquement moins élevé, - Réversibilité du choix du mode de gestion à tout moment. Affermage Transfert d une partie des risques sur l exploitation sur les plans : - technique, - juridique, - financier. Expertise des entreprises spécialisées. Contexte actuel de prix bas. - Mise en œuvre d un contrôle interne pour la permanence d une gestion efficace, - Nécessité d un contrôle de la Collectivité sur le(s) prestataire(s) pour les prestations externalisées, - Technicité de l exploitation, - Nécessité de gestion de la transition lors du changement de mode de gestion. - Asymétrie dans l information du service. La Collectivité est essentiellement tributaire des informations remises par le Délégataire, - Nécessité d un contrôle de la Collectivité sur l opérateur, - Engagement sur le long terme sur un mode de gestion. 42
43 Comparaison des prix sur la période Deux cas : Poursuite du contrat jusqu à son échéance contractuelle (31/12/2016) au niveau de prix actuel Résiliation unilatérale du contrat au 30/06/2014 (art.65) o Versement au délégataire de l indemnité contractuelle fixée à k en valeur de base (soit k au 1 er janvier 2012) o Versement au délégataire d une indemnité calculée pour tenir compte d une reprise importante de personnel et évaluée à k (valeur 2011) Indemnité représentant 60 % à 80 % d une année de recettes du service 43
44 Comparaison des prix sur la période Nécessité pour la régie de percevoir des recettes suffisantes dès sa création et maintenir un budget équilibré Hypothèses d évolution Assiette : augmentation du nombre d abonnés de 0,5 % par an et baisse des consommations unitaires de 0,5 % par an Part fermière : augmentation annuelle de 2,6 % par an (augmentation moyenne annuelle depuis le début du contrat) Evolution des charges de la régie : augmentation moyenne des charges de la régie de 2,3 % par an (personnel, énergie et produits de traitement, gestion clientèle, autres charges) 44
45 Comparaison des prix sur la période
46 Comparaison des prix sur la période Graphe précédent : indemnité de résiliation financée sur 3 ans Durée plus longue nécessaire pour éviter une augmentation du prix (sauf utilisation d excédents antérieurs du Syndicat) 46
47 Conclusion Aucun point de blocage identifié pour le choix du prochain mode de gestion Passage en régie implique une reprise importante du personnel o Définition du type de régie à mettre en place o Prix de la régie inférieur au prix actuel du service Poursuite de la gestion déléguée avec maintien de l affermage o Renfort des obligations contractuelles o Instauration d un véritable suivi du contrat o Baisse de prix qui dépendra de la concurrence assez vive en ce moment 47
DISTRIBUTION D EAU POTABLE RAPPORT ANNUEL Prix Qualité Transparence 2010 1 Le présent rapport a pour objet de Présenter les différents éléments techniques et financiers relatif au prix et à la qualité
Plus en détailEléments pour un choix du mode de gestion du service public de transport. Synthèse de l étude menée par le cabinet Trans I.
Eléments pour un choix du mode de gestion du service public de transport Synthèse de l étude menée par le cabinet Trans I.D et proposition Le contexte Une absence de concurrence «réelle» lors de la procédure
Plus en détailComptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004
Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)
Plus en détailDISTRIBUTION D EAU POTABLE
Département du LOT SYNDICAT D ADDUCTION D EAU POTABLE ET ASSAINISSEMENT DE SARRAZAC CRESSENSAC S/Préfecture de GOURDON Mairie de SARRAZAC 466OO DISTRIBUTION D EAU POTABLE RAPPORT ANNUEL PRIX QUALITE TRANSPARENCE
Plus en détailETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 410 Z
REGIE DES EAUX DE VENELLES ETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 410 Z Service de l Eau Potable Année 2007 RAPPORT
Plus en détailDélibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012
Direction Générale Finances et Gestion Direction du Contrôle Interne Délibération n 39 Conseil municipal du 29 juin 2012 Sociétés publiques locales et sociétés publiques locales d aménagement - Dispositif
Plus en détailLES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4
Décembre 2003 Département Finances Développement Économique LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4 APPLICABLES A COMPTER DU 1 ER JANVIER 2004 Le Comité de Finances Locales, lors de sa séance du
Plus en détailLes degrés de délégations de service public. Typologie des modes de délégation du service public
Il n'existe pas de définition légale ou réglementaire explicite des modes de délégation de service public que représentent la concession, l'affermage, la régie intéressée ou la gérance (Circulaire du 7
Plus en détailMISE ENPLACE SAVE(SEBCS) D UNESOCIÉTÉPUBLIQUELOCALE AUSYNDICAT DESEAUXBAROUSSECOMMINGES. Communauté de l Eau Potable, le 01/12/2011
MISE ENPLACE D UNESOCIÉTÉPUBLIQUELOCALE AUSYNDICAT DESEAUXBAROUSSECOMMINGES SAVE(SEBCS) Communauté de l Eau Potable, le 01/12/2011 MISE EN PLACE D UNE SOCIÉTÉPUBLIQUELOCALE AU SYNDICAT DES EAUX BAROUSSE
Plus en détailLes communes et les intercommunalités sont compétentes pour assurer le service de la distribution d eau et l'assainissement.
Les communes et les intercommunalités sont compétentes pour assurer le service de la distribution d eau et l'assainissement. Elles peuvent gérer ces services directement en régie, ou avoir recours à une
Plus en détailRAPPORT ANNUEL SUR LE PRIX ET LA QUALITE DU SERVICE PUBLIC D ASSAINISSEMENT COLLECTIF
RAPPORT ANNUEL SUR LE PRIX ET LA QUALITE DU SERVICE PUBLIC D ASSAINISSEMENT COLLECTIF Exercice 2008 1 Conformément au décret n 95-635 du 06 mai 1995 mod ifié. Les données techniques contenues dans ce rapport
Plus en détailEtude d'attac Pays d'arles, Modes de gestion Eau & Assainissement ACCM. 6 novembre 2014
Etude d'attac Pays d'arles, Modes de gestion Eau & Assainissement ACCM 6 novembre 2014 Contexte : Cette étude fait suite à l'amo de novembre 2013 et la saisine de l'accm d'octobre 2014. - L'AMO de 2013
Plus en détailCOMMUNE DE SALINS-LES-BAINS
COMMUNE DE SALINS-LES-BAINS Principaux enseignements de l audit financier réalisé en octobre 2014 26 JANVIER 2015 4 rue Galilée 75782 PARIS cedex 16 Tél. : 01 43 06 08 10 Web : www.cabinetmichelklopfer.fr
Plus en détailSIVOM DE LA VALLEE DU CADY PRESENTATION DU BUDGET PRIMITIF 2015
SIVOM DE LA VALLEE DU CADY PRESENTATION DU BUDGET PRIMITIF 2015 PREAMBULE 1) POUR LA PREMIÈRE FOIS EN 2015, LE BUDGET M49 DES SERVICES EAU POTABLE ET ASSAINISSEMENT EST VOTÉ EN HORS TAXES. PAR CONSÉQUENT,
Plus en détailETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 3600 Z
REGIE DES EAUX DE VENELLES ETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 3600 Z Service de l Eau Potable Année 2013 Elaboré
Plus en détailUnité territoriale Dordogne 94, rue du Grand Prat - 19600 Saint-Pantaléon-de-Larche Tél : 05 55 88 02 00
Date d ouverture de l appel à projet : 1er octobre 2015 Date limite d envoi des dossiers de candidatures : 31 janvier 2016 Pour toutes questions : Délégation du bassin Atlantique-Dordogne Unité territoriale
Plus en détailLe régime juridique qui est contractuellement attaché aux
La rédaction des clauses relatives aux biens dans les DSP La question des biens au sein des de délégation de service public nourrit de nombreux contentieux devant le juge administratif. L une des problématiques
Plus en détailElaboration et Suivi des Budgets
Elaboration et Suivi des Budgets 1 1- La Notion Du contrôle de Gestion 2- La Place du Contrôle de Gestion dans le système organisationnel 3- La Notion des Centres de responsabilité 4- La procédure budgétaire
Plus en détailhttp://www.apce.com/pid1627/comparaison-rapide.html?espace=1
Page 1 of 9 Comparaison rapide EIRL : entrepreneur individuel à responsabilité limitée : entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée ( unipersonnelle) : société à responsabilité limitée SA : société
Plus en détailCONVENTION DE PRESTATIONS INTEGREES POUR L UTILISATION DES OUTILS DE DEMATERIALISATION
CONVENTION DE PRESTATIONS INTEGREES POUR L UTILISATION DES OUTILS DE DEMATERIALISATION Société Publique Locale SPL-Xdemat (SPL) 1/9 ENTRE La Collectivité dont le numéro SIRET est, Indiquez ci-dessus le
Plus en détailOPERATIONS NON BUDGETAIRES
OPERATIONS NON BUDGETAIRES 1 Dotation ou apport 2 Affectation services non dotés de la personnalité morale 3 Affectation services dotés de la personnalité morale 4 Désaffectation ou retour d un bien affecté
Plus en détailLe service public communal de la restauration collective en Provence-Alpes- Côte d Azur
2 Le service public communal de la restauration collective en Provence-Alpes- Côte d Azur PRÉSENTATION Le service public de la restauration collective est une responsabilité de plus en plus importante
Plus en détailXI.4. La télésurveillance des installations 24h/24 90 > 2008 > RAPPORT ANNUEL EAU POTABLE DU DÉLÉGATAIRE > COMMUNAUTE DE L AUXERROIS
Une unité mobile d'ultrafiltration d'une capacité de 3.5 m 3 /heure est mobilisable 24h/24. Cet équipement peut être utilisé comme un point de production ou de fourniture d'eau potable pour une commune
Plus en détailCONVENTION DE PORTAGE
S.A.R.L. au capital de 9 000 - SIRET : 505 565 568 00018 RCS Toulouse Siège social : 9 les hauts de Cante 31380 Montastruc la Conseillère code NAF : 741G Tél. : 0971 333 814 Fax : 05 34 26 19 34 Courriel
Plus en détailVILLE DE SAINT-DIE-DES- VOSGES
Département des Vosges VILLE DE SAINT-DIE-DES- VOSGES AVENANT N 7 AU CAHIER DES CHARGES POUR L EXPLOITATION PAR AFFERMAGE DU SERVICE PUBLIC DE L ASSAINISSEMENT 1/19 Décembre 2012 Entre les soussignées
Plus en détailCompte administratif 2014 et budget 2015
Compte administratif et budget 2015 Bilan au 31 décembre 2013 Excédent global de fonctionnement au 31 décembre 2013 539 500,13 Déficit d investissement 2013 à couvrir (1068) 159 650,37 Marge disponible,
Plus en détailConcessions de distribution et fourniture d électricité : mettre en place les conditions de la modernisation des contrats lors de leur renouvellement
Concessions de distribution et fourniture d électricité : mettre en place les conditions de la modernisation des contrats lors de leur renouvellement Intervenants : > Karine MABILLON Bordeaux Métropole
Plus en détailUNIVERSITES DES MAIRES ET PRESIDENTS DE COMMUNAUTES DE LOIRE-ATLANTIQUE. Module «Elaborer le budget de sa commune Les fondamentaux»
UNIVERSITES DES MAIRES ET PRESIDENTS DE COMMUNAUTES DE LOIRE-ATLANTIQUE Module «Elaborer le budget de sa commune Les fondamentaux» Nantes, 19 juin 2014 1 Elaborer le budget de sa commune : Les fondamentaux
Plus en détailGlossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance
Glossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance Au sens des fiches de définition des indicateurs de performance : 1. Parties prenantes Autorité organisatrice
Plus en détailLe Contrat à Durée Déterminée d Insertion (CDDI)
Le Contrat à Durée Déterminée d Insertion (CDDI) 1 Définition du CDDI un contrat de travail à durée déterminée dont le motif de recours est spécifique : favoriser le recrutement de certaines catégories
Plus en détailLETTRE CIRCULAIRE N 2008-081
Montreuil, le 16/10/2008 ACOSS DIRECTION DE LA REGLEMENTATION DU RECOUVREMENT ET DU SERVICE DIRRES LETTRE CIRCULAIRE N 2008-081 OBJET : Loi n 2008-596 du 25 juin 2008 portant modernisation du marché du
Plus en détailLE BUDGET DES VENTES
LE BUDGET DES VENTES Objectif(s) : o Pré requis : o Modalités : o o o Elaboration du budget des ventes. Connaissances du processus "ventes". Principes, Synthèse, Application. TABLE DES MATIERES Chapitre
Plus en détailSOMMAIRE. Définition du portage salarial. Les différents statuts pour devenir indépendant. Présentation du portage salarial. Les services RH Solutions
Présentation SOMMAIRE Définition du portage salarial Les différents statuts pour devenir indépendant Présentation du portage salarial Les services RH Solutions A vos questions Permet à toute Le portage
Plus en détail2. La définition du chiffre d affaires prévisionnel, traduisant par secteur, l estimation du volume d activité raisonnablement réalisable;
Le plan financier (Pacioli N 87) 1. Le Tableau de financement Le tableau de financement est un outil conçu spécialement pour assurer l équilibre "besoins-ressources" de l entreprise pour une politique
Plus en détailCommune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier. Conseil Municipal du 22 juillet 2014
Commune de Bourcefranc-le- Chapus: Audit financier Conseil Municipal du 22 juillet 2014 Eléments de cadrage de la situation financière de la Commune de Bourcefranc-le- Chapus Les soldes intermédiaires
Plus en détailMadame la Maire, Je vous prie d agréer, Madame la Maire, l expression de ma considération la plus distinguée.
La Présidente Lyon, le 22 Juillet 2013 N Recommandée avec A.R. REF : ma lettre n 508 du 20 juin 2013 P.J. : 1 Madame la Maire, Par lettre citée en référence, je vous ai communiqué le rapport d observations
Plus en détailLes missions de l expert-comptable
Les modalités d exercice de la profession 85 Les missions de l expert-comptable Missions comptables Missions d assurance sur les comptes complets historiques Audit d états financiers contractuel Examen
Plus en détailDirective sur les services de paiement
Directive sur les services de paiement Les principales dispositions - Novembre 2009 La Directive sur les Services de Paiement (DSP) est entrée en vigueur le 1er novembre dernier conformément à l Ordonnance
Plus en détailAspects fiscaux des placements en société
Aspects fiscaux des placements en société Sommaire 1. Généralités 2. Exploiter d abord l épargne fiscale 2.1. L engagement individuel de pension via une assurance externe (EIP) 2.2. Une pension libre complémentaire
Plus en détail2.1 Tarifs... 6 2.2 Délibérations... 7 2.3 Facture d eau type pour une consommation de 120 m³... 7 2.4 Recettes d exploitation...
Exercice 2012 Rapport annuel sur le Prix et la Qualité du Service Public de l Eau potable Eau du robinet : source de minéraux Des contrôles pour une eau sûre L exigence de qualité Syndicat des Eaux de
Plus en détailARRETE n 1CM du 4 janvier 2001 relatif au plan comptable notarial de Polynésie française. (JOPF du 11 janvier 2001, n 2, p. 78)
1 ARRETE n 1CM du 4 janvier 2001 relatif au plan comptable notarial de Polynésie française. (JOPF du 11 janvier 2001, n 2, p. 78) Le Président du gouvernement de la Polynésie française, Sur le rapport
Plus en détailLe 15 décembre 2014 ADOPTION DE LA LOI FAVORISANT LA SANTÉ FINANCIÈRE ET LA SUIVEZ RETRAITESAI SUR. Numéro 14-22
SOMMAIRE Restructuration obligatoire pour tous les régimes Processus de restructuration Autres dispositions Tableau des principaux amendements depuis le 12 juin 2014 ADOPTION DE LA LOI FAVORISANT LA SANTÉ
Plus en détailMARCHE DE PRESTATION DE SERVICES DE NETTOYAGE DES AUTORAILS CAHIER DES CLAUSES ADMINISTRATIVES PARTICULIERES
Société Anonyme d Economie Mixte Locale BP 237 20294 BASTIA : 04.95.32.80.55 : 04.95.34.01.14 MARCHE DE PRESTATION DE SERVICES DE NETTOYAGE DES AUTORAILS CAHIER DES CLAUSES ADMINISTRATIVES PARTICULIERES
Plus en détailTable des matières TITRE I : LES BAUX DU CODE CIVIL (100) (Les références entre parenthèses renvoient aux numéros des paragraphes)
Table des matières (Les références entre parenthèses renvoient aux numéros des paragraphes) SOMMAIRE... 1390 INTRODUCTION... 1392 TITRE I : LES BAUX DU CODE CIVIL (100) SECTION 1 : LES CHARGES LOCATIVES
Plus en détailRecommandation sur la commercialisation des comptes à terme
Recommandation sur la commercialisation des comptes à terme 2012-R-02 du 12 octobre 2012 1 Contexte Dans le cadre de son action de veille sur la publicité et les nouveaux produits, l ACP a constaté sur
Plus en détailACCORD DU 24 JUIN 2010
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA FONCTION PUBLIQUE CONVENTIONS COLLECTIVES Accord professionnel MODERNISATION DU MARCHÉ DU TRAVAIL (Portage salarial) ACCORD DU 24 JUIN 2010 RELATIF AU PORTAGE
Plus en détailDélégation du Service Public de l Eau Potable
DEPARTEMENT DU RHONE Délégation du Service Public de l Eau Potable Dossier de Consultation des Entreprises Pièce n 2 Mémoire Explicatif 1 PRESENTATION DU SERVICE 1.1 Les ressources 1.1.1 Origine de l eau
Plus en détailSCHÉMA POUR UNE GESTION FONCTIONNELLE ET PÉRENNE DU SERVICE D ADDUCTION D EAU POTABLE DE SIMA
SCHÉMA POUR UNE GESTION FONCTIONNELLE ET PÉRENNE DU SERVICE D ADDUCTION D EAU POTABLE DE SIMA RAPPEL DU CONTEXTE Sur l île d Anjouan, l UCEA est à ce jour la principale entité opérationnelle et fonctionnelle
Plus en détailLe PLAN COMPTABLE DES ASSOCIATIONS détaillé
Loi1901.com présente : Le PLAN COMPTABLE DES ASSOCIATIONS détaillé (Prenant en compte les nouvelles dispositions du règlement N 99-01 du 16 février 1999 relatif aux modalités d établissement des comptes
Plus en détailLe décret comptable. Quelques repères... ...pour mieux comprendre. Guide d information pour les copropriétaires
direction générale de l Urbanisme de l Habitat et de la Construction Guide d information pour les copropriétaires Le décret comptable Quelques repères......pour mieux comprendre Juin 2007 Plan du guide
Plus en détaildes indicateurs, le présent modèle associe une icône à chacune des compétences
Depuis 1996, et la loi n 95-101 du 2 février 1995 sur le renforcement de la protection de l environnement et celui de l information des usagers (dite loi Barnier), qui modifie le code des communes, les
Plus en détailEIP L engagement individuel de pension pour le dirigeant d entreprise indépendant Fiche technique
EIP L engagement individuel de pension pour le dirigeant d entreprise indépendant Fiche technique Nom du produit Description Engagement de Pension - EIP Un engagement individuel de pension d une société
Plus en détailFORMATION INTERNE DÉPENSES IMPUTABLES
La formation est dite «interne» lorsqu elle est conçue et réalisée par une entreprise pour son personnel, avec ses propres ressources en personnel et en logistique, son matériel, ses moyens pédagogiques.
Plus en détailAudit financier & budgétaire de la Ville de Clamart
Audit financier & budgétaire de la Ville de Clamart Ville de Clamart PARTENAIRES Finances Locales Avril 2015 Ville de Clamart 1 Présentation de PARTENAIRES Finances Locales PARTENAIRES Finances Locales
Plus en détailAccord relatif à l activité de portage salarial
Accord relatif à l activité de portage salarial Préambule Le présent accord a pour finalité d organiser l activité de portage salarial. Les personnes portées sont titulaires d un contrat de travail conclu
Plus en détailConjuguez immobilier d entreprise et démarche environnementale
L anticipation des nouvelles normes environnementales Lors de la constitution d un patrimoine immobilier à travers la création d une nouvelle SCPI, PERIAL Asset Management s efforcera de prendre en compte
Plus en détailDossier Financier. La première partie décrit les hypothèses de fonctionnement retenues que ce soit d un point de vue organisationnel ou financier.
Dossier Financier Ce dossier complète notre dossier économique en apportant un éclairage financier sur notre projet. Il s appuie sur l organisation que nous avons mise en place et sur l expérience de démarrage
Plus en détailConvention de Portage d Entrepreneurs
Groupe LABELVIE Siège social : 8, rue de la Justice, 68100, Mulhouse R.C.S. Mulhouse 420 137 747 Convention de Portage d Entrepreneurs ENTRE LES SOUSIGNES : La société Labelvie, Sarl au capital de 50 000,
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT ET DE L AMÉNAGEMENT DURABLES Décret n o 2007-1303 du 3 septembre 2007 fixant les règles nationales d éligibilité
Plus en détailLa boite à outils du dirigeant, Dispositif packagé ou modularisable en fonction des besoins
La boite à outils du dirigeant, Dispositif packagé ou modularisable en fonction des besoins Durée : Minimum 14h Maximum 182h (Ce choix permet de valider 10% du Titre de niveau II «chef d entreprise développeur
Plus en détailSommaire détaillé. Partie 1-Lemandat du trésorier CE... 25
Organisation de votre guide pratique du trésorier CE... 3 Guide de première connexion... 5 Accéder à votre publication sur : mode d emploi... 7 Rechercher un modèle sur www.editions-tissot.fr... 8 Sommaire
Plus en détailMARCHE N emp 2014-2. Objets de la consultation :
MARCHE N emp 2014-2 Objets de la consultation : OBJET : EMPRUNT DE 4.000.000 maximum ET DE 1.300.000 minimum POUR LE FINANCEMENT DE LA CONSTRUCTION D UN CFA A SAINT LÔ (50) MARCHE PUBLIC APPEL D OFFRES
Plus en détailINFOGERANCE. 1. Présentation de l infogérance... 2. 1.1. Définition... 2 1.2. Pourquoi l infogérance?... 2
INFOGERANCE 1. Présentation de l infogérance... 2 1.1. Définition... 2 1.2. Pourquoi l infogérance?... 2 2. Les différentes formes d infogérance. 2.1. Infogérance de fonction... 3 2.2. Infogérance d'exploitation...
Plus en détailReximmo Patrimoine 2
G E S T I O N D E P A T R I M O I N E Reximmo Patrimoine 2 SCPI DE TYPE «MALRAUX» Un investissement indirect dans de l immobilier ancien au cœur des villes historiques Souscription ouverte jusqu au 20
Plus en détailLe budget 2013. Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances. Conseil Municipal du
Le budget 2013 Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances Conseil Municipal du 8 février 2013 Les documents budgétaires : Le budget selon la nomenclature M14; Les documents annexes; Le budget
Plus en détailSuppression de la taxe professionnelle et création de la Contribution Economique Territoriale (CET)
Suppression de la taxe professionnelle et création de la Contribution Economique Territoriale (CET) (Articles 2, 47, 77, 78 et 99 de la loi de finance pour 2010) Actuellement, la taxe professionnelle (TP)
Plus en détailLes coûts de la chaleur issue d une chaudière collective au gaz et d un réseau de chaleur au bois
Les coûts de la chaleur issue d une chaudière collective au gaz et d un réseau de chaleur au bois La question des charges récupérables et non récupérables dans les logements collectifs CIBE Commission
Plus en détailRèglement financier et de Gestion de la F.F.S.B.
Règlement financier et de Gestion de la F.F.S.B. du 26/02/2005 modifié les 15/03/2008, 21/04/2012 et 22/02/2014 I.REGLEMENT FINANCIER PREAMBULE La Fédération Française du Sport Boules, bénéficiant d une
Plus en détailrelatif aux opérations d assurance réalisées dans le cadre d un «patrimoine d affectation»
COMITE DE LA REGLEMENTATION COMPTABLE Règlement n 2004-11 du 23 novembre 2004 relatif aux opérations d assurance réalisées dans le cadre d un «patrimoine d affectation» Le Comité de la réglementation comptable,
Plus en détailGestion budgétaire et financière
Élaboration et suivi de la programmation budgétaire Exécution budgétaire et comptable Aide au pilotage et contrôle financier externe Expertise financière et juridique Ministère de la Culture et de la Communication
Plus en détailImplantée sur TOULOUGES, dans les Pyrénées Orientales, la société ACTIV PORTAGE vous apporte :
1/9 Implantée sur TOULOUGES, dans les Pyrénées Orientales, la société ACTIV PORTAGE vous apporte : - Pour vous tous : Devenez indépendant avec un statut salarié : Saisissez toutes les opportunités de mission
Plus en détailRégime matrimonial : Votre conjoint participe-t il (elle) à votre projet : Oui Non
BUSINESS PLAN Présentation du porteur de projet et de ses associés Etat Civil Nom : Prénom : Adresse : Code postal : Ville : Téléphone : Télécopie : Portable : Date de naissance : Lieu de naissance : Nationalité
Plus en détailrevenus locatifs perçus au titre de conventions d occupation précaire (2).
Secrétariat Général Direction des finances NOT99R315DFI Note à l'attention de Mesdames et Messieurs les Chefs des services financiers sous couvert de Mesdames et Messieurs les Délégués régionaux et Directeurs
Plus en détailAutorité de Régulation des Communications électroniques et des Postes
Format attendu des dossiers de demande de fréquences dans la bande 2,1 GHz dans les DOM, à Saint-Pierre et Miquelon, Saint-Martin, Saint-Barthélemy et Mayotte en date du 1 er novembre 2007 Selon l article
Plus en détailBROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES
BROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES SOMMAIRE I- AVANT-PROPOS I.1- LES TROIS MODES DE FINANCEMENT DU SERVICE PUBLIC D ÉLIMINATION
Plus en détailANNEXE AU CONTRAT DE SYNDIC LISTE NON LIMITATIVE DES PRESTATIONS INCLUSES DANS LE FORFAIT
ANNEXE AU CONTRAT DE SYNDIC LISTE NON LIMITATIVE DES PRESTATIONS INCLUSES DANS LE FORFAIT PRESTATIONS DÉTAILS I. Assemblée générale I. 1 Préparation de l assemblée générale. a) Etablissement de l ordre
Plus en détailCession de la clientèle des cabinets libéraux : les facteurs clés d une transmission réussie
Cession de la clientèle des cabinets libéraux : les facteurs clés d une transmission réussie Les pouvoirs publics ont attiré notre attention sur les enjeux de la transmission des entreprises, plus de 100
Plus en détailCONVENTION DE FINANCEMENT D UN LOGICIEL DE GESTION, RÉSERVATION ET PLANIFICATION POUR LE SERVICE PAM 77
Accusé de réception Ministère de l intérieur 92767616 Acte Certifié exécutoire Envoi Préfecture : 17/02/2015 Réception Préfet : 17/02/2015 Publication RAAD : 17/02/2015 CONVENTION DE FINANCEMENT D UN LOGICIEL
Plus en détailfinancement de ses investissements? 2ème Assises FRHPA Rhône-Alpes 25-26 janvier 2012
Comment bien choisir le financement de ses investissements? 2ème Assises FRHPA Rhône-Alpes 25-26 janvier 2012 La détection du désir d investissement 3 2ème Assises FRHPA Rhône-Alpes 25-26 janvier 2012
Plus en détailGESTION BUDGETAIRE. BTS MUC, Gestion commerciale. Lycée Charles de Gaulle Vannes 56 000 INTRODUCTION :
BTS MUC, Gestion commerciale. GESTION BUDGETAIRE INTRODUCTION : Les outils statistiques permettent de chiffrer l activité d une entreprise (méthode Mayer, lissages, régression linéaire), la gestion budgétaire
Plus en détailIntroduction Frédéric PETITBON Un contexte difficile Nicolas PERNOT
Introduction Frédéric PETITBON Directeur général délégué, IDRH Les collectivités doivent à la fois respecter des engagements vis-à-vis des citoyens, poursuivre des démarches managériales et tenir compte
Plus en détail«FLOTTE AUTOMOBILE & AUTO-MISSION» 2010 2012
Flotte Automobile & Auto-mission 2010 2012 REPUBLIQUE FRANCAISE VILLE DE SAINT GALMIER «FLOTTE AUTOMOBILE & AUTO-MISSION» 2010 2012 CAHIER DES CHARGES PERSONNE PUBLIQUE CONTRACTANTE : Ville de SAINT GALMIER
Plus en détail5/ Une exigence supplémentaire : l adhésion syndicale de l employeur
TISSOT SOCIAL ENTREPRISE - 104 informer tous les ans des modifications apportées à ce texte. A défaut de délégués du personnel, cette information sera faite auprès des salariés directement (C. trav., art.
Plus en détailL AUDIT INTERNE DES COMPAGNIES D ASSURANCES. TRANSVERS CONSULTING L'audit des compagnies d'assurances 2005 1
L AUDIT INTERNE DES COMPAGNIES D ASSURANCES 2005 1 Séminaire - Atelier L audit interne dans l assurance 1 ère communication : Généralités sur l audit interne 2 ème communication : L audit interne des compagnies
Plus en détailCe document constitue une base de discussion pour la commune Les textes encadrés sont des commentaires sur les différents articles
Ce document constitue une base de discussion pour la commune Les textes encadrés sont des commentaires sur les différents articles Exemple de CONTRAT D'AFFERMAGE OPTION COMMUNE / ACEP (option applicable
Plus en détailCOMPTE RENDU. Atelier-débat avec les futurs clients éligibles. 25 septembre 2002
Paris, le 17 octobre 2002 COMPTE RENDU Atelier-débat avec les futurs clients éligibles 25 septembre 2002 *** I La fourniture d électricité... 2 Les clients éligibles peuvent-ils acheter leur électricité
Plus en détailSommaire. L entrée en vigueur de l avenant n 21 sur les salaires minima au 1 er novembre 2013
informations sociales octobre novembre décembre 2013 Dans le cadre du mandat qu elle reçoit du FNCIP-HT, la Fédération Nationale de l Habillement informe chaque trimestre les entreprises à jour de paiement
Plus en détailNorme comptable relative aux provisions techniques dans les entreprises d assurance et/ou de réassurance NC 29
Norme comptable relative aux provisions techniques dans les entreprises d assurance et/ou de réassurance NC 29 Objectif de la norme 01 L activité d assurance et/ou de réassurance se caractérise par : une
Plus en détailwww.jpad.fr.st JPAD portage - portage 1/5 Pour qui? Comment? Les avantages Portage - Pour qui?
JPAD portage - portage 1/5 Pour qui? Comment? Les avantages Portage - Pour qui? Une nouvelle façon de travailler : le portage permet à des consultants (experts ou formateurs) d'être salariés pour une mission
Plus en détailLivret du joueur KEY FLASH. Montage et commercialisation de clés USB originales. Sommaire
Livret du joueur KEY FLASH Montage et commercialisation de clés USB originales Sommaire Préambule page approvisionnement page 4 production page 6 marketing page 10 administration finance page 1 Partenaires
Plus en détailEPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE
CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DE LYCEE PROFESSIONNELS AGRICOLE (PLPA) SESSION 2011 Concours : INTERNE Section : Sciences économiques et sociales et gestion Option A : Sciences économiques et sociales
Plus en détailFiche. Le diagnostic financier. 1 Introduction. 2 Le contexte du diagnostic. A Les objectifs du diagnostic financier. B Les préalables du diagnostic
Le diagnostic financier Fiche 1 1 Introduction Le diagnostic financier permet d évaluer le potentiel de l entité. Il peut se faire en différentes occasions (achat d entreprise, placements, demande d emprunt,
Plus en détailJuin. Modernisation du Marché du Travail
Juin Modernisation du Marché du Travail 2008 les fiches argumentaires du medef Les dispositions de l accord national interprofessionnel du 11 janvier 2008, dont la mise en œuvre requiert un support législatif,
Plus en détailPréavis No 22-2006 au Conseil communal
VILLE DE PULLY Municipalité Direction Administration générale, finances et affaires culturelles Préavis No 22-2006 au Conseil communal Fixation du plafond d endettement et du plafond pour les cautionnements
Plus en détailUNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------- Le Conseil des Ministres PLAN COMPTABLE DES COLLECTIVITES TERRITORIALES T - UEMOA - I - PRESENTATION DU PLAN COMPTABLE I.1 - Les classes
Plus en détailBUREAU SYNDICAL SMIRTOM DU SAINT AMANDOIS
Délibération n 3 MISSIONS SPECIALES DU PRESIDENT ET DES VICE PRESIDENTS Vu le code général des collectivités territoriales et en particulier ses articles L2123-17 à L2123-24-1, Monsieur, Président, Messieurs
Plus en détailPlan comptable des associations et fondations
Plan comptable des associations et fondations Classe 1 - Comptes de capitaux Classe 2 Comptes d immobilisations Classe 3 Comptes de stocks Classe 4 Comptes de tiers Classe 5 Comptes financiers Classe 6
Plus en détailDécret n XXX du XX relatif aux effacements de consommation d électricité
Décret n XXX du XX relatif aux effacements de consommation d électricité Le premier ministre, Sur le rapport du ministre de l écologie, du développement durable et de l énergie, Vu le code de l énergie,
Plus en détailSur la stratégie immobilière de la chambre de commerce et d industrie de Marseille Provence (CCIMP).
2014-25 Séance du 17 septembre 2014 AVIS Sur la stratégie immobilière de la chambre de commerce et d industrie de Marseille Provence (CCIMP). Vu le décret n 2011-1388 du 28 octobre 2011 modifiant le décret
Plus en détailPRE ETUDE FTTH (FIBRE JUSQU À L ABONNE) SUR LE TERRITOIRE DE LA COMMUNE DE VAUX LE PENIL
PRE ETUDE FTTH (FIBRE JUSQU À L ABONNE) SUR LE TERRITOIRE DE LA COMMUNE DE VAUX LE PENIL Conseil municipal du 15 décembre 2008 1 PRE ETUDE FTTH (FIBRE JUSQU À L ABONNE) 1. Le Très Haut Débit, pourquoi?
Plus en détail