FICHE DE BONNE PRATIQUE
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- Damien Morneau
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1 FICHE DE BONNE PRATIQUE Programme d actions pour améliorer la prévention des violences faites aux femmes, des violences intrafamiliales, et l aide aux victimes MESURE D ACCOMPAGNEMENT PROTÉGÉ DES ENFANTS (MAP) Nature du porteur de projet - Collectivité territoriale : conseil général, commune, intercommunalité - Associations Besoin initial et contexte Les différentes enquêtes nationales et locales relatives aux violences au sein du couple ou ex-couple montrent que des actes de violences sont dans un certain nombre de cas commis lors de l exercice du droit de visite et d hébergement. En effet, l exercice de ces droits par l auteur de violences suppose nécessairement des contacts entre les anciens partenaires. Ces rencontres, dans un cadre de violences dans le couple, peuvent être l occasion de nouveaux passages à l acte violent ayant parfois des conséquences fatales. Les espaces de rencontres sont souvent saturés. Ces délais d attente engendrent une rupture du lien parent-enfant et entravent l exercice du droit de visite et hébergement décidé par le juge aux affaires familiales (JAF). C est pourquoi, la loi du 9 juillet 2010 a donné la possibilité au JAF, lorsque la remise directe de l enfant à l autre parent présente un danger pour l un d eux, de prévoir qu elle s effectue avec l assistance d un représentant d une personne morale. (Article du code civil) Ainsi, cette mesure d accompagnement protégé permet : d assurer la sécurité de l ex-conjoint victime et de l enfant, de maintenir le lien parent-enfant, de garantir l effectivité du droit de visite et hébergement. Cette mesure répond en tout point aux exigences de l article 31-2 de la convention d Istanbul «les parties prennent les mesures législatives ou autres nécessaire pour que l exercice de tout droit de visite ou de garde ne compromettent pas les droits et la sécurité de la victime ou des enfants». Objectifs précis de l action Permettre l accompagnement de l enfant dont l un des parents est auteur de violences sur son ex-partenaire, par une personne morale qualifiée lors des déplacements entre le domicile de la mère et celui du père ou le lieu d exercice du droit de visite. La personne
2 morale qualifiée (association) mandatée par le JAF est formée à la problématique des violences au sein du couple, à leurs impacts sur les enfants et au psychotraumatisme. Cette mesure d accompagnement protégé encadre le droit de visite et d hébergement décidé par le JAF. De plus, elle permet notamment de tenir compte de l interdiction faite à l auteur des violences de rencontrer la victime prononcée par le juge civil (ordonnance de protection) ou pénal. Elle participe à la prévention de la récidive. Elle propose un dispositif sécurisant tant pour la mère que pour l enfant. Ce dernier peut, si nécessaire, dire ses craintes à cette tierce personne de confiance mandatée par l autorité judiciaire. L enfant est aussi rassuré sur la régularité des visites. Des rapports sont adressés au JAF sur le déroulement de la mesure. Tout incident peut justifier la saisine du JAF par l un des parents en vue de la modification de la décision de justice. Tout incident est également signalé au procureur de la République qui pourra, s il l estime nécessaire, saisir le JAF sur le fondement de l article du code civil en vue de la modification de la décision. Si l enfant est en danger, une information préoccupante est adressée à la CRIP. Public bénéficiaire Les mères victimes de violences commises par leur ancien conjoint, leurs enfants de plus de 3 ans et les anciens conjoints bénéficiant d un jugement du JAF statuant sur l exercice des droits de visite et d hébergement et désignant un représentant d une personne morale qualifiée pour la remise de l enfant à l autre parent. La durée de la mesure est fixée par le JAF. Elle est en principe de 6 mois renouvelable. Modalités de repérage du public Les JAF, les avocats, les associations, les bureaux d aide aux victimes, les référents violences au sein du couple, les intervenants sociaux en commissariat et en brigade de gendarmerie. Modalités de suivi du public La personne morale qualifiée à savoir l association «La sauvegarde de Seine-Saint-Denis» gère les accompagnant-e-s, et organise les rencontres de l enfant avec le parent concerné. La coordination du dispositif est assurée par l observatoire départemental des violences faites aux femmes (Conseil général). Un comité de pilotage, composé de l ensemble des partenaires impliqués dans la lutte contre les violences faites aux femmes et dans la protection de l enfance, se réunit tous les deux mois. (cf. infra paragraphe sur l évaluation) Le comité de pilotage assure le suivi précis de chaque mesure et apporte son expertise à l association porteuse en vue de l adaptation du dispositif. Lieu et calendrier de déroulement La mesure se déroule selon les modalités fixées par le JAF (la durée, les horaires et le lieu du droit de visite et d hébergement du parent violent). 2
3 Descriptif détaillé des actions Le JAF désigne expressément la personne morale qualifiée qui exécutera la MAP. Un premier rendez vous est fixé entre l association, l accompagnant-e, la mère et l enfant. Il est alors énoncé les motifs de la MAP : la violence commise par l un des parents sur l autre. Il est proposé à la mère une mise en relation avec les partenaires et si nécessaire une consultation en psychotrauma. Pour la première rencontre avec le père, l accompagnante récupère l enfant au lieu de résidence de la mère et le conduit au siège de l association. Un entretien a lieu entre l accompagnante, le père et l enfant. Les motifs sont clairement exposés à cette occasion. Un groupe de responsabilisation pour hommes violents lui est proposé. Un calendrier de visite est fixé avec les parents. La mesure se déroule le temps fixé par le JAF. Après chaque exercice du droit de visite et d hébergement, un compte rendu est rédigé par l accompagnant. A mi-parcours, les parents sont reçus par ce dernier séparément ainsi que l enfant et un bilan d exécution de la mesure est adressé au JAF. Au terme de la mesure, les parents sont à nouveau reçus séparément ainsi que l enfant et un rapport d évaluation de la mesure ainsi que les perspectives de prolongation sont transmis au JAF. Une réunion est organisée avant chaque comité de pilotage par l observatoire départemental des violences faites aux femmes à laquelle participe les accompagnant-e-s et une psychologue spécialisée en psychotraumatisme pour les enfants et adolescent-e-s. Moyens humains mobilisés L association «La sauvegarde de Seine-Saint-Denis» a recruté 6 accompagnant-e-s de l âge des grands parents avec un parcours professionnel spécifique à savoir avoir été en contact avec des enfants et des adolescents (PJJ, assistantes sociales, psychologues ). Elle les a formés aux violences au sein du couple, à leurs impacts sur les enfants, au mécanisme de l emprise et au psychotraumatisme. (5 jours) Lorsqu une fratrie est constituée de plus de 2 enfants, l accompagnement se fait avec deux adultes. Partenaires impliqués Le Conseil général de la Seine-Saint-Denis via son Observatoire départemental des violences envers les femmes et la Cellule de Recueil des Informations Préoccupantes CRIP93, le Tribunal de grande instance de Bobigny, l association la Sauvegarde de Seine- Saint-Denis, l unité enfants de l institut de victimologie de Paris, la Caisse d allocations familiales 93, la Fondation pour l enfance, le Ministère de la justice et les associations SOS Victimes 93 et SOS Femmes 93. Pilotage de l action Le pilotage du dispositif est confié au Conseil général via l observatoire des violences envers les femmes. En outre, un comité de pilotage se réunit tous les 2 mois. 3
4 La composition du comité de pilotage : - l association de protection de l'enfance et de l'adolescence qui est en charge de la MAP, - le coordonateur des JAF, - le président du TGI ou son représentant, - le parquet des mineurs, - un représentant de la CRIP, - un représentant de la caisse d allocations familiales, - les associations d aide aux victimes, - les associations de protection des femmes. Valeur ajoutée de l action La MAP garantit la sécurité de la mère et de l enfant, l effectivité des droits de visite et d hébergement de l auteur de violences au sein du couple et prévient la récidive. Si lors d un droit de visite, un des parents remarque une difficulté ou un problème rencontré par l enfant, ces derniers pourront être infirmés ou confirmés par l accompagnant, tiers qualifié. Ces éléments pourront être ainsi pris en compte par les autorités judiciaires. La parole de l enfant est libérée. Il peut faire part de son sentiment d insécurité ou d autres difficultés. Il n est plus soumis au conflit de loyauté. L accompagnant-e peut médiatiser la parole de l enfant. Sources de financement Le Conseil général, le Conseil régional, la caisse d allocations familiales, la fondation pour l enfance et la Cour d appel de Paris. Coût 450 euros par mesure pour 6 mois (hors charges), 14 % de la somme totale sont consacrés pour les frais de l association. Méthode d évaluation Le comité de pilotage est chargé d évaluer le fonctionnement du dispositif. Un tableau de bord est tenu à jour comprenant les indicateurs ci-dessous. Indicateurs d évaluation - Nombre d accompagnements effectués - Nombre d enfants protégés - Nombre de mesures reconduites - Nombre de mesures sans incident, avec incident, la nature des incidents - Nombres de père, de mère et d enfants bénéficiant de suivi ultérieur (groupe de responsabilisation, consultation en psychotrauma, lien avec les associations partenaires) Résultats attendus La protection des femmes et des enfants en situation de risque de passage à l acte du parent violent. Synergie entre les partenaires impliqués dans la protection des femmes, dans la protection de l enfance et les autorités judiciaires. 4
5 Action(s) locale(s) de référence : OBSERVATOIRE DÉPARTEMENTAL DES VIOLENCES ENVERS LES FEMMES DE LA SEINE SAINT DENIS (93) Conseil général Tél : ASSOCIATION DÉPARTEMENTALE LA SAUVEGARDE DE L ENFANT, DE L ADOLESCENT ET DE L ADULTE DE LA SEINE SAINT DENIS (93) Tél :
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