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1 BILAN D ACTIVITE 2013 PLACES DE STABILISATION Janvier 2014

2 SOMMAIRE 1. PRESENTATION DU POLE ET DU DISPOSITIF PLACES DE STABILISATION RAPPORT QUANTITATIF DE L ACTION EVENEMENTS MARQUANTS PROBLEMATIQUES RENCONTREES PAROLES ET TEMOIGNAGES RESSOURCES HUMAINES ENVIRONNEMENT, RESEAU, PARTENARIAT PERSPECTIVES ADALEA - Bilan d activité 2013 Places de Stabilisation 2

3 1. PRESENTATION DU POLE ET DU DISPOSITIF PLACES DE STABILISATION Le pôle LOGEMENT-HEBERGEMENT comprend des actions diversifiées et complémentaires pour permettre aux personnes accueillies ou accompagnées de bénéficier d un parcours résidentiel qui correspond à leurs attentes et à leurs besoins. 77 places en Centre d Hébergement et de Réinsertion Sociale (CHRS ARGOS, Ker GALLO, Clara ZETKIN) Une maison relais (25 places) Des mesures d Accompagnement Social Lié au Logement (ASLL) Des mesures d Accompagnement Vers et Dans le Logement (AVDL) Des appartements individuels dans le cadre de l Aide au Logement Temporaire (ALT) L intermédiation des logements des Programmes Sociaux Thématiques Une action visant la préparation à la sortie de maison d arrêt en partenariat avec le SPIP (DPSMA) Un bail à réhabilitation (Loudéac) Un dispositif de sous-location Un accompagnement à la constitution de dossiers DALO/DAHO (Saint-Brieuc et Loudéac) La formation des professionnels du département sur les dispositifs DALO/DAHO Des évaluations sociales en tant que structure relais du SIAO ADALEA gère aussi : Des places de stabilisation (6 places) Le dispositif des Places de Stabilisation est une petite unité permettant d accueillir un public très désocialisé, à la rue depuis de nombreuses années, présentant un état de santé dégradé et/ou en rupture avec les structures d accueil classique. L objectif principal de l hébergement de stabilisation est d accueillir et proposer un accompagnement social continu permettant aux personnes de se poser, de se ressourcer et de faire émerger ensuite un projet en direction des dispositifs de droit commun de l insertion et du logement, même si ce projet «n est pas susceptible de mener à une complète autonomie». Le lieu d accueil bénéficie d un fonctionnement souple, avec un seuil de tolérance élevé vis-à-vis des comportements individuels, «dès lors qu ils ne portent pas atteinte à l intégrité physique et morale des hébergés et des personnels» ; L accompagnement est mené avec le souci de garder des liens avec l extérieur (réseau social, partenaires ). Pour cela, nous privilégions un accompagnement social adapté et gradué afin d éviter les échecs parfois constatés dans les articulations entre dispositifs. L admission n est effective qu après l étude de la demande et l attribution d une place par la Commission Unique d Attribution (CUA) du Service Intégré de l Accueil et de l Orientation (SIAO) 1 qui se réunit une fois par quinzaine. Par ailleurs, conformément à l article R du Code de l Action Sociale et des Familles, le responsable du service peut s opposer, de façon argumentée, à une attribution formulée par la CUA. 1 Circulaire du 8 avril 2010 définissant les objectifs et les principes d organisation des SIAO. ADALEA - Bilan d activité 2013 Places de Stabilisation 3

4 2. RAPPORT QUANTITATIF DE L ACTION 2.1. Typologie du public présent sur l année a. Nombre de personnes présentes sur l année et composition familiale Ménages % Personnes Ménages % Personnes Isolé 19 95% % 13 Couple 1 5% 2 1 7% 2 Total % % 15 Personnes % Personnes % Hommes 18 86% 13 87% Femmes 3 14% 2 13% Total % % En 2013, le nombre de personnes accueillies baisse, ce qui est dû à : des changements de logement en lien avec des travaux qui ont conduit à une vacance pendant les déménagements, moins de sorties vers les CHRS faute de places disponibles, l impossibilité de maintenir le co-hébergement dans 2 situations et donc le gel de deux places pendant quelques semaines. b. Ages des personnes présentes dans l année Personnes % personnes % ans 2 10% 4 27% ans 4 19% 1 7% ans 6 29% 5 33% ans 7 33% 5 33% ans 1 5% 0 0% Plus de 65 ans 1 5% 0 0% Total % % Comme en 2012, proportionnellement, nous observons un rajeunissement du public, 34% ont moins de 35 ans contre 29% en c. Les ressources des ménages présents dans l année Ménages % Ménages % RSA socle 9 45% 7 50% RSA + salaire % Contrat aidé (CAV, CAE % Chômage indemnisé 4 20% 1 7% Indemnités journalières % Pension invalidité 1 5% 0 0% A.A.H 2 10% 4 29% Indemnités de stage % Salaire % Retraite % Sans ressource 3 15% 2 14% Autre ressource 1 5% 0 0% Total % % ADALEA - Bilan d activité 2013 Places de Stabilisation 4

5 Ménages % Ménages % Sans ressources 3 15% 2 14% < % De 300 à % 7 51% De 600 à % 3 21% Plus de % 2 14% Total % 14 0% En 2013, 29% des ménages accueillis sont bénéficiaires de l AAH. Les deux ménages ayant plus de 1000 euros par mois sont deux bénéficiaires de l AAH percevant en supplément pour l un des prestations familiales (femme isolée mais avec un enfant placé) et l autre des ASSEDIC. 50% perçoivent le RSA socle. Les deux personnes sans ressources sont des jeunes de moins 25ans. d. Orientation des ménages présents sur l année Ménages Ménages Travailleur social 17 85% % Usager lui-même 1 5% 0 0% % 0 0% Autre 1 5% 0 0% Total % % MDD 0 MDD 0 SPIP 0 SPIP 0 Autre TS 2 Autre TS 3 Service de l emploi 0 Service de l emploi 0 ADALEA 15 ADALEA 11 Depuis la mise en place du SIAO en février 2011, les orientations se font uniquement par ce service. Toutefois ce tableau reprend les différentes orientations indiquées sur le dossier unique de demande d admission SIAO permettant d identifier la source de l orientation. Les trois travailleurs sociaux ayant orienté sont 1 travailleur social de la Maison d arrêt de Rennes et 2 de l association Noz Deiz de Dinan. e. Situation des ménages avant l accès au dispositif places de stabilisation Ménages % Ménages % SDF 10 50% 6 43% Expulsion 3 15% 1 7% Séparation 0 0% 0 0% Insalubrité 0 0% 0 0% Hébergé chez un tiers 2 10% 3 22% Hébergé en CHRS, ALT 0 0% 0 0% Incarcéré 0 0% 1 7% Hospitalisation 0 0% 1 7% Autre* 5 25% 2 14% Total % % *Autre : une personne hébergée en ALT d urgence, une à l hôtel par ses propres moyens. Le dispositif accueille des personnes sans logement pour la totalité puisque les deux personnes sortant d hospitalisation et de maison d arrêt n avaient plus de logement. ADALEA - Bilan d activité 2013 Places de Stabilisation 5

6 2.2. Descriptif des ménages sortis dans l année Durée moyenne de séjour Durée Ménages % Ménages % Moins d un mois % De 1 à 3 mois % De 3 à 6 mois % De 6 à 9 mois % De 9 à 12 mois % Plus de 12 mois % Total % 9 100% 44% des séjours sont supérieurs à 6 mois contre 14% en Sorties Ménages % Ménages % Accès à un logement autonome 1 7% 2 22% Dont Parc privé % Dont Parc public % Accès à un logement en sous location 0 0% 0 0% Hébergement en CHRS 4 27% 2 22% Hébergement en ALT 0 0% 0 0% Maison relais/résidence accueil 3 20% 1 11% Hébergement chez un tiers 0 0% 0 0% Autres 3 20% 1 11% Situation inconnue 4 27% 3 34% Total % 9 100% Autre : 1 hospitalisation 2 personnes ont accédé à un logement autonome, les deux séjours ont été supérieurs à 9 mois. 3 glissements se sont opérés sur les CHRS et la Maison Relais (33% des ménages) avec 2 hébergements entre 6 et 9 mois et un de moins de trois mois. Les 3 situations inconnues sont celles de 2 personnes ayant quitté le dispositif sans concertation et 1 pour qui nous avons procédé, suite à des faits de violences, à une fin d hébergement. 1 personne, femme isolée, est entrée sur le dispositif en sortie d hospitalisation, nous avons procédé, avec les forces de l ordre et son médecin traitant, à une hospitalisation à la demande d un tiers suite à des faits de violences. ADALEA - Bilan d activité 2013 Places de Stabilisation 6

7 3. EVENEMENTS MARQUANTS L évaluation interne Lancée en avril 2012, au niveau de l association, l évaluation interne s est poursuivie tout au long de l année 2013 sur l ensemble des actions du Pôle Logement Hébergement et le service Rond-Point du pôle AEVS. Après une phase de recueil de données auprès des différentes parties prenantes de l association - professionnels, personnes accueillies, administrateurs, partenaires - le groupe évaluation interne a procédé au traitement et à l analyse des différentes données pour rendre compte de la qualité des interventions et évaluer les pratiques et les prestations délivrées aux personnes accueillies. Composé de professionnels, de personnes accueillies et d un administrateur, le groupe évaluation interne a été divisé, dans un second temps, en 5 groupes de travail afin de procéder à une analyse détaillée des données de chaque action (CHRS Argos / stabilisation, CHRS Clara Zetkin, Boutique Logement, Maison Relais). A partir d un référentiel, construit sur la base du Référentiel National des Prestations (RNP), composé de 22 missions, 89 références et 556 critères, les groupes de travail ont mesuré les différentes pratiques par rapport aux pratiques recommandées. L analyse a permis d identifier des points forts sur lesquels s appuyer pour renforcer des pratiques et des points sur lesquels des axes de progrès ont été définis. Au total, l analyse a abouti à une douzaine d axes de progrès par action validés par le comité de pilotage. Ces axes de progrès feront l objet de fiches actions qui seront programmées selon un calendrier Ces fiches actions seront abondées par les axes d améliorations identifiés dans le cadre de l évaluation externe qui débutera en mars Cette démarche évaluative réalisée à partir du Référentiel National des Prestations du dispositif «Accueil Hébergement Insertion» aura permis une appropriation par les professionnels de cette nouvelle référence adoptée en juillet Elle apporte une nouvelle lecture des missions et des prestations assurées par les acteurs du champ de l accueil, de l hébergement et de l insertion. Les différents groupes de travail ont effectivement analysé une grande partie des prestations détaillées dans ce référentiel. Les changements de logement et la capacité de proposer des hébergements seuls : Depuis son ouverture, le dispositif fonctionnait sur le principe du co-hébergement, deux personnes seules étant accueillies sur un logement de type 3. Au mois de novembre 2013, nous nous sommes séparés de deux des trois logements T3 se trouvant rue Ferdinand de Lesseps. En remplacement, nous avons loué un T3 à Ploufragan ainsi que 2 studios à proximité des locaux rue de la Corderie. Ces deux studios nous permettent maintenant de proposer des hébergements seuls. Cette nouvelle configuration de logement va nous permettre de répondre aux : demandes d hébergement de personnes refusant le co hébergement, personnes dont les problématiques ne sont pas compatibles avec le co hébergement, femmes isolées pour lesquelles nous transmettions peu d offres de disponibilités. La participation active au comité de pilotage, aux activités collectives et au groupe d expression : Les personnes hébergées sur le dispositif des places de stabilisation ont pu participer au comité de pilotage «Activités collectives» ouvert à toutes les personnes hébergées sur le pôle logement hébergement. Ainsi, elles ont participé à des temps forts en 2013 comme la fête de l été, la fête de Noël, le tournoi de pétanque, le plant o don Le dispositif se trouvant sur le site de la Maison Relais, les réunions d activités, les repas et les sorties leur sont aussi ouverts. Nous avons aussi remarqué une forte participation aux instances de type groupe d expression. Lors de l année 2013, deux réunions de groupe d expression se sont tenues, avec à chaque fois 5 personnes présentes sur les 6 accueillies sur le dispositif. Les personnes ont pu exprimer leur satisfaction d être associées à la vie de l association. Elles ont été consultées sur la mise à jour du règlement de fonctionnement, elles ont aussi fait des propositions en termes d aménagements des logements, des locaux, des conditions d accueil. ADALEA - Bilan d activité 2013 Places de Stabilisation 7

8 4. PROBLEMATIQUES RENCONTREES Dans le cadre du rapport d activité du dispositif des Places de stabilisation de l année dernière, nous avions réfléchi à la notion «d habiter un logement». En effet, ce dispositif s adresse à des personnes très désocialisées, à la rue depuis de nombreuses années pour certaines, et leur permet de se poser, se ressourcer et reconstruire un projet en direction des dispositifs de droits communs. L une de nos missions est d évaluer leur capacité à occuper un logement. Nous avions donc comme projet d affiner nos constats, d affiner l évaluation des difficultés et capacités, de construire des supports pédagogiques pour les personnes. Avait alors été évoqué le projet d une stagiaire monitrice éducatrice en deuxième année de formation qui, lors de ses expériences précédentes, avait pu remarquer la difficulté des personnes à s approprier et entretenir un logement et nous a sollicités pour un stage avec la mise en œuvre d un projet sur cette problématique. Ce projet correspondant totalement à nos préoccupations, nous avons accueilli et accompagné sa mise en œuvre avec cette stagiaire monitrice éducatrice. La mise en œuvre du projet Ce projet avait pour but de réfléchir collectivement avec les personnes accueillies et mettre en place des outils concrets. Les objectifs généraux de son projet étaient : - l autonomie dans l entretien du logement - la promotion de pratiques économes et de sécurité - la responsabilisation des personnes - la mesure des conséquences de l absence d entretien Le projet a démarré au début de l année 2013 en impliquant fortement les personnes accueillies. La stagiaire s est placée dans une position qui n était pas de transmettre des savoirs mais bien de recueillir les besoins, attentes, de repérer les difficultés mais aussi les capacités, de permettre l échange et l entraide. L équipe s est mobilisée afin de favoriser la participation des personnes par une communication importante et suivie dans le temps : flyers, affichage sur le collectif, invitations individuelles et nominatives, rappels fréquents lors des entretiens individuels et des passages sur le collectif des personnes Un groupe de travail s est formé, composé de 4 résidents et de la stagiaire. Un constat est vite apparu : le seuil de tolérance bien distinct de chacun. L idée de création d un livret a tout de suite émergé. Plusieurs réunions collectives se sont ensuite organisées pour échanger sur des thèmes et des techniques décidés conjointement avec les personnes accueillies. Ainsi, l alimentation, sujet qui ne figurait pas dans le projet initial, a pu être abordée. Chaque réunion donnait lieu à un compte rendu, distribué à toutes les personnes, y compris les personnes n ayant pas participé. Des temps de travail supplémentaires ont été proposés afin de rédiger ou d apprendre à rédiger sur informatique les comptes rendus. - 1 ère réunion : les bactéries et leur prolifération et l utilisation des produits d entretien - 2 ème réunion : les pictogrammes présents sur les produits d entretien et l utilisation et l entretien d un réfrigérateur - 3 ème réunion : l utilisation et l entretien d une cuisinière et d un micro onde - 4 ème réunion : les dates limites d utilisation optimale (DLUO) et bien manger avec des recettes économiques et pratiques Au fil de ces réunions, l élaboration d un livret de conseils sur l entretien d un logement et de ses équipements s est concrétisée. Les personnes évoquant souvent le manque de temps ou de moyens financiers pour procéder à l entretien, il a été décidé de procéder à des tests ménage afin de mesurer le temps nécessaire sur des tâches précises et de tester des produits peu couteux. Chaque personne du groupe de travail était référente d une pièce : des rendez-vous étaient fixés afin d énumérer les tâches ménagères à réaliser dans une pièce, les produits à utiliser et d évaluer le temps nécessaire à chaque tâche. Ces tests se sont déroulés dans les différents logements mis à leur disposition avec l aide de la stagiaire. Un tableau avait été créé avec les résidents afin de pouvoir collecter toutes les informations à faire paraître dans le livret. ADALEA - Bilan d activité 2013 Places de Stabilisation 8

9 Est venu ensuite le temps de rédaction où chacun a pu rendre compte des informations collectées. Les personnes ont fait le choix de lister les pièces, les tâches à réaliser dans chaque pièce et le temps nécessaire à chaque tâche. Prenant ellesmêmes conscience que le ménage n étaient pas «insurmontable», elles ont pu expliquer que cette notion de temps était rassurante et à partager. Exemple : «La salle de bain : la douche : une fois par semaine, laver le sol, les parois avec un produit multi usage puis rincer. Cela est fait en 5 minutes. Le sol : balayer et passer la serpillère 1 à 2 fois par semaine, cela prend 7 minutes» Les perspectives L entretien des logements reste un aspect de travail important avec chaque personne hébergée et cet outil est maintenant distribué à chaque entrée sur le dispositif, au même titre que le livret d accueil et la charte des personnes accueillies. Nous avons pour projet de le retravailler conjointement avec les résidents de la Maison Relais, peut être en y intégrant d autres données comme des tableaux recensant le temps nécessaire par jour ou par semaine à consacrer à l entretien des appartements. Ce support de livret pourra également être développé pour aborder différents thèmes : des recettes au micro onde, des recettes que l on appelle «de grand-mère» Pour faire suite à ce projet, nous souhaitons également mettre en place plus d ateliers écolonomiques, déjà expérimentés sur les différents services du pôle logement hébergement. Ces ateliers ont pour but de sensibiliser les personnes sur l entretien des logements et de fabriquer soi-même des produits écologiques à bas prix de type produits multi-usage, produit vaisselle Ainsi, le prix des produits d entretien ne pourront plus être un argument freinant l entretien du logement. 5. PAROLES ET TEMOIGNAGES A la première réunion chacun donnait son savoir, on respectait les idées des autres, chacun donnait sa petite combine. J ai parlé des recettes de grand-mère, le vinaigre, le citron. Moi, je n ai pas trop oublié comment faire. Il y en a qui disent qu ils ne font pas le ménage parce qu ils n ont pas de produit. Après c est si tu as du produit ou pas, si tu as envie d en acheter ou pas. Un produit multi usage ça ne coûte pas plus de 2 euros, ce n est pas si cher, c est une question de priorité. Ce qui serait bien c est de pouvoir refaire les produits écolo, c est sympa à faire et ça ne coûte pas cher. Après on a parlé de l utilisation du micro onde, comme je ne suis pas trop moderne, j ai appris comment faire. «O.», quand il avait un logement, il avait simplement un micro onde, il a expliqué toutes les recettes que tu pouvais faire avec juste un micro onde. Je ne savais pas qu on pouvait faire tout ça. Pareil pour le four électrique, j ai toujours eu que des fours à gaz, je ne savais pas trop comment l utiliser. Pour les tests ménage, moi j ai eu le séjour. La stagiaire a demandé ce qu on utilisait, moi j ai proposé les lingettes. Pour le livret, j ai eu ma petite formation ordi, j ai eu mon petit imprimé, je l ai toujours chez moi. Ca m a remis dedans. J ai participé à l activité au tout début, dès que je suis arrivé en place de stabilisation. Je me souviens bien des réunions où l on a parlé des frigos : les produits à ne pas mélanger, à ne pas mettre dans le frigo, des produits à utiliser. On ne nettoie pas avec n importe quoi, l entretien du frigo c est primordial. Moi, je savais comment faire, j ai expliqué comment je faisais. Après je n ai pas voulu faire les comptes rendus, j ai déjà eu un ordinateur mais je ne m en servais pas, je ne veux pas y toucher. ADALEA - Bilan d activité 2013 Places de Stabilisation 9

10 6. RESSOURCES HUMAINES Le dispositif a été (en collaboration avec l équipe de la Maison Relais) le terrain de stage de : une stagiaire Moniteur Educateur 2 ème année octobre 2012 à mars 2013, ARIFTS ANGERS Temps consacré à la formation dans le cadre du plan de formation : Le temps consacré à la formation dans le cadre du plan de formation se monte à 28 heures formation «Conduite de projets et participation des usagers» dispensé par l AFPE Saint Brieuc formation «Hygiène et bientraitance» avec l AFPE Sant Brieuc Temps consacré à la formation hors plan de formation (colloques, conférences.) : Le temps consacré à la formation hors plan de formation se monte à 10 heures formation recyclage «Sauveteur Secouriste au Travail» animée par deux salariées à l interne journée d information sur les troubles psychiques proposée par la fondation Saint Jean de Dieu 7. ENVIRONNEMENT, RESEAU, PARTENARIAT Partenariat La collaboration avec l Equipe Mobile Précarité Psychiatrie du Centre Hospitalier Saint Jean de Dieu Fondation Bon Sauveur se poursuit et se consolide. Certains résidents ne peuvent s inscrire dans une démarche de soins classique, nécessitant de s organiser et d aller vers le lieu de soins et ce malgré le soutien de l équipe pour cette organisation et l accompagnement à la mobilité. Le cadre d intervention de l EMPP prend tout son sens dans le «aller vers». Les résidents ont repéré les professionnels de cette équipe comme des personnes ressources et une relation de confiance s est instaurée permettant des interventions en cas de besoin. Les infirmiers libéraux : il est fréquent de faire appel à des cabinets infirmiers afin qu ils interviennent au domicile des personnes accueillies, soit pour des soins ponctuels, soit pour des soins dans la durée. Or, il est difficile de trouver un cabinet infirmier acceptant d intervenir auprès de ce type de population de par : - Les absences aux rendez-vous : en effet certains ont des difficultés de repérage temporel et être disponible tous les jours ou plusieurs fois par semaine, sur une tranche horaire précise est compliqué, malgré nos rappels fréquents. Deux cabinets infirmiers ont ainsi refusé de prolonger leurs interventions à domicile car les personnes étaient régulièrement absentes. Pour d autres, l investissement dans la prise en compte de leur santé est une vraie problématique et ils ne se mobilisent pas sur le suivi de leurs soins. - Il arrive également que les conditions d hygiène de la personne ou une problématique d addiction soient des arguments de refus pour les infirmiers. Ces difficultés demandent une souplesse aux intervenants qui, part ailleurs, expliquent avoir une charge de travail importante. Il faut néanmoins souligner la qualité du travail effectué avec certains cabinets. ADALEA - Bilan d activité 2013 Places de Stabilisation 10

11 A titre d exemple, en 2013, nous avons pu faire appel à un infirmier libéral intervenant dans le secteur de Cesson, proche du site de la Maison Relais. Celui-ci, ayant une expérience professionnelle assez longue en psychiatrie et une bonne connaissance de la population accueillie, a su adapter sa prise en charge. Face aux absences répétées des personnes au logement, il a pu repasser plusieurs fois au logement dans une même journée, parfois sur des demandes immédiates des personnes par téléphone. Ce partenariat, toujours dans le respect du secret professionnel pour l un ou la discrétion professionnelle pour l autre, nous a permis de partager des points de vigilance mais aussi d être plus réactifs lorsque l état d une personne se dégradait, tant sur le plan physique que psychologique. Ces deux partenariats illustrent le fait que les personnes accueillies sur ce dispositif ont des difficultés «à aller vers» le soin. Nous avons remarqué que les personnes sont demandeuses d intervention à domicile, alors qu elles peuvent mettre en échec un processus de soin leur demandant de se déplacer. Un dispositif équivalent concernant l accompagnement des personnes souffrant de conduites addictives nous semblerait pertinent à développer. 8. PERSPECTIVES 1) Préparer l évaluation externe Début 2014, les résultats de l évaluation interne vont être présentés aux différentes parties prenantes : professionnels, personnes accueillies et instances dirigeantes. Au regard des faiblesses ou des manques mais aussi des atouts et forces repérés, des axes de progrès ont été définis. Ces derniers vont être déclinés en fiches actions programmées dans le cadre d un échéancier. Les axes de progrès identifiés dans le cadre de l évaluation externe qui aura lieu en 2014 viendront abonder ces fiches actions. 2) Poursuivre la dynamique de participation des personnes aux instances d expression Cette participation apparait d autant plus importante que la stabilisation est un nouveau dispositif, en direction de personnes en grandes difficultés, qu il nous faut consulter sur l opérationnalité et pertinence de l accompagnement proposé. 3) Analyser les problématiques des publics accueillis Comme indiqué ci-dessus, ce dispositif est relativement nouveau, mis en œuvre par notre association depuis Une réflexion va être engagée afin d analyser plus finement les problématiques rencontrées mais aussi les besoins, attentes et capacités des personnes accueillies afin d être force de propositions pour faire évoluer le dispositif, notamment les modalités d un accompagnement pluridisciplinaire. ADALEA - Bilan d activité 2013 Places de Stabilisation 11

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