dossier Des PME très actives vers la grande distribution Un taux d investissement assez important Des PME très présentes dans l alimentaire Avril 2003
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- Nicole Malo
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1 dossier Avril 2003 Des PME très actives vers la grande distribution Un taux d investissement assez important Des PME très présentes dans l alimentaire
2 La grande distribution occupe une place prépondérante sur le marché des produits de grande consommation : produits alimentaires, produits d hygiène et d entretien La grande distribution s y taille la part du lion : plus de 80 % de part de marché pour certains produits comme l épicerie, par exemple. Pour l ensemble des produits alimentaires, les grandes surfaces détiennent une part de marché de 66,2 % en 2001, et de 74,7 % si l on y ajoute les supérettes. La place des PME dans la fourniture des hyper et des supermarchés n a rien de négligeable. Les PME du secteur alimentaire représentent en effet une part de production qui mérite d être prise en compte : du tiers à la moitié, selon les secteurs. Part des PME dans la production en 2000 Pourcentage Secteur des PME (0-249 salariés) Contribution des PME dans le nombre d entreprises (0-249 salariés) au CA du secteur (%) Industries agroalimentaires Industrie de la viande 99,0 51,3 Industrie du lait 94,5 35,6 Industrie des boissons 97,1 37,6 Industries alimentaires diverses 99,7 46,2 DES PME TRES ACTIVES DANS L ALIMENTAIRE Petites et moyennes entreprises sont très actives dans les industries agroalimentaires : l on recense près de entreprises privées et coopératives employant moins de 250 salariés dans les secteurs concernés par les produits de grande consommation. En dépit des nombreuses restructurations des deux dernières décennies, les PME occupent une place majeure : elles constituent plus de 95 % des entreprises, réalisent 44,3 % du chiffre d affaires, emploient 61,7 % des salariés. De nombreuses PME appartiennent à un groupe, qu il soit français ou étranger. Ces groupes sont fortement implantés dans l industrie laitière et les corps gras, moins dans celle du poisson. Selon l INSEE, les groupes d entreprises dégagent, en 1999, 63 % de la valeur ajoutée des industries agroalimentaires. Pour 65 %, cette valeur ajoutée émane de groupes français. Les sociétés étrangères, elles, sont particulièrement présentes dans les secteurs des corps gras, des boissons, des industries alimentaires diverses (sucre, chocolaterie, confiserie, thé, café, biscuiterie, pâtisserie de conservation ). Page II
3 Presque tous les secteurs comptent une ou plusieurs entreprises françaises de taille nationale, voire européenne. Néanmoins, celles-ci pèsent moins dans le classement par chiffre d affaires des 20 premiers groupes européens en 2000 que les sociétés britanniques. Seuls, six groupes français figurent dans le peloton de tête. Parmi eux, Danone se place au quatrième rang. Le groupe italien Eridiana Béghin Say, dont le siège social est en France, arrive au sixième rang. Suivent Lactalis (onzième rang) Pernod-Ricard (quatorzième rang), Bongrain (dixhuitième rang) et Sodiaal (vingtième rang). dossier Selon le Ministère de l agriculture, les PME, elles, sont principalement présentes dans l industrie de la charcuterie, des plats préparés ou de la découpe de viandes, des boissons ou dans le chocolat. Leur réussite tient la plupart du temps au choix d un segment de marché porteur ou d une niche. En outre, les PME d origine familiale et à vocation régionale, sont souvent à l origine de groupes performants : Bonduelle, Roquette, Besnier, etc. LA STABILITE DES COOPERATIVES Depuis 1998, les taux de concentration dans les industries agroalimentaires en France évoluent de façon modérée. Les branches d activité qui ont le plus bougé entre 1998 et 2000 sont la transformation et la conservation des fruits, la fabrication de glaces et de sorbets, celle d aliments pour animaux de compagnie ainsi que celle du sucre. En revanche, les éclatements de groupes nés des restructurations ont réduit le niveau de concentration de certains secteurs : dans les industries de viande de volailles, dans celles du poisson ou d autres industries alimentaires comme les soupes et les pâtes alimentaires, le poids des quatre entreprises classées premières dans leur domaine diminue dans le chiffre d affaires du secteur. L analyse des restructurations dans l agroalimentaire français, réalisée entre 1996 et 2000 par l Institut de Management international agroalimentaire de l ESSEC, met en perspective les modes opératoires, les objectifs affichés ainsi que les choix stratégiques des entreprises et des coopératives. Au cours de cette période, les entreprises réalisent 84 % des opérations et les coopératives 16 %. L évolution vers l international, évidente pour les entreprises (65 % de leurs restructurations en 2000), s avère plus modérée pour les coopératives (27 % du total). LA CONCENTRATION, STRATÉGIE PRÉFÉRÉE DES ENTREPRISES Des motivations industrielles et commerciales sont généralement à l origine des rapprochements qui permettent d atteindre la taille critique afin de rentabiliser des investissements lourds en marketing et en publicité, de diversifier les risques, de se recentrer sur quelques activités ou d accroître son marché. En termes de modes opératoires, les prises de contrôle - rachats et prises de participation majoritaire - dominent. Elles ne cessent de se développer pour atteindre, en 2000, plus de 60 % des opérations. Viennent ensuite les alliances stratégiques sous forme de prise de participation minoritaire, de filiale commune ou de fusion. Elles ne représentent plus que 24 % des interventions en 2000, contre 43 % en Le bilan des différentes opérations entre 1996 et 2000 est instructif. Page III
4 Enfin, 15 % environ des opérations recensées sont constituées de cessions. Une part importante de celles-ci, durant cette période, provient du groupe Danone qui a choisi de se recentrer sur trois métiers et sur ses marques fortes. En termes de choix stratégiques, les opérations de concentration dominent les autres : plus de 72 % du total cumulé sur cinq ans. Les intégrations verticales restent marginales (2 % des opérations), les diversifications plafonnent autour de 5 %. Les opérations de cession -recentrage caractérisent, parallèlement aux concentrations, la décennie Les restructurations à l intérieur de l Europe occidentale sont majoritaires (77 % des opérations dont 59 % strictement françaises). On observe que, parmi les pays européens, près de 77 % des opérations sont réalisées par la France. Secteurs les plus actifs : les produits laitiers, les boissons alcoolisées et les boissons non alcoolisées. L étude IMIA ESSEC met aussi en évidence la contribution essentielle de onze entreprises agroalimentaires à l ensemble des opérations. Elles représentent 30,5 % des opérations de restructuration entre 1996 et Quatre coopératives -Sodiaal, Unicopa, Coopagri Bretagne et le groupe 3A - s y distinguent. Parmi les sept entreprises privées, le groupe Danone aurait réalisé environ 10 % des 696 opérations comptabilisées, suivi de Pernod Ricard, Bongrain, Eridiana Beghin Say, Guyomarc h NA, Lactalis, et LVMH. PRODUCTION MANUFACTURIÈRE : PEU DE PLACE POUR LES PME Dans les autres secteurs de la production manufacturière, les PME sont nettement moins nombreuses : 373 entreprises de moins de 250 salariés seulement dénombrées en 2000 qui contribuent à 23 % du chiffre d affaires du secteur. Ainsi, dans le secteur de la fabrication des savons, des détergents et des produits d entretiens, sept grands groupes internationaux tiennent le haut du pavé : Procter et Gamble (Etats-Unis), Henkel (Allemagne.), Colgate-Palmolive (Etats-Unis), Lever (Pays-Bas - Royaume-Uni), Reckitt-Benckiser (Pays-Bas - Royaume-Uni), Hutchinson (France), Bourjois (Suisse). Il arrive, aussi, que les apparences soient trompeuses et qu il faille y regarder à deux fois pour cerner la place exacte occupée par les PME. Ainsi, le secteur des parfums et des cosmétiques comporte plus de 600 entreprises. Les produits de grande diffusion ne représentent que 28 % du marché tandis que la distribution sélective reste prépondérante avec 46 % du marché. Toutefois, ce secteur est largement dominé par les sept grands groupes Part des PME dans le chiffre d affaires d une grande surface leaders dans la fabrication de savons et de détergents. Auxquels il convient d ajouter l Oréal et Sanofi Synthelabo. Enfin, le secteur de la fabrication d articles en papier à usage sanitaire ou domestique est encore plus concentré. Les PME de ce secteur n y réalisent que 14 % du chiffre d affaires. UN POIDS ÉCONOMIQUE LIMITE Un nombre important de PME fournit la grande distribution, qui fait appel à petites et moyennes entreprises de 20 à 500 salariés sont françaises, sont d origine étrangères - auxquelles s ajoutent 293 groupes industriels. C est par eux tous qu elle s approvisionne en produits de grande consommation : épicerie, liquides, hygiène et parfumerie, produits frais en libre-service et bazar courant). La contribution des PME au chiffre Tous rayons % du CA en GMS moyenne PME 17,7 % 17,3 % Française 14,8 % 14,6 % Étrangère 2,9 % 2,7 % MDD 18,2 % 20,3 % GROUPES 64,1 % 62,4 % Français 21,8 % 21,8 % Étrangers 42,3 % 40,6 % source : Panel international. Etude FCD 03/2001 Page IV
5 d affaires des grandes surfaces est, cependant, limité - environ 18 %, hors marques de distributeurs. En ce qui concerne le rayon produits frais en libre-service, les PME réalisent un résultat nettement supérieur. Elles contribuent à 25 % du CA du rayon et les marques de distributeurs à 29 %. Cependant, l origine des fournisseurs évolue et la période récente montre un effritement des entreprises françaises (tant PME que groupes) au profit de celles d origine étrangère. L européanisation des approvisionnements de la grande distribution explique en partie ce phénomène. Les opérations de cessions - acquisitions entrent également en jeu. Le maxi-discompte fait surtout appel aux grands groupes : la part des PME de 20 à 500 salariés, en nombre de références, présentes dans les magasins de maxidiscompte est nettement inférieure à la moyenne. De plus, la proportion de produits provenant des PME étrangères est beaucoup plus élevée que celle des supermarchés. Ce phénomène s explique certainement par l origine des deux leaders (Aldi et Lidl) de ce format de distribution. LES MARQUES DE DISTRIBUTEURS : L AVENIR DES PME? La part des marques de distributeurs (MDD) représente en valeur 23 % du marché des produits Incidence du format de magasins sur la présence de PME Part des PME dans l offre d une GSA moyenne françaises étrangères En hypermarché 21,5 % 5 % En supermarché 16 % 2 % En maxidiscompte 11 % 6 % Moyenne, toutes GSA confondues 19 % 3,5 % source : Panel international. Etude FCD 03/2001 alimentaires, mais près de 41 % pour la charcuterie libre service, 35 % pour les surgelés et 31 % pour les produits traiteurs en libre service - source : Secodip. Les MDD du secteur des glaces et sorbets arrivent en première position avec un tiers du marché. De même, le marché des pâtes alimentaires est largement occupé par les MDD qui, avec 28 % du marché, se placent au deuxième rang derrière Panzani qui en détient un tiers. Les domaines d expansion visées par la grande distribution seraient principalement ceux de la confiserie -biscuiterie, des surgelés et des boissons. Produire sous marques de distributeurs (MDD) n exclut pas, pour un industriel, la possibilité de produire sous sa propre «marque» (c est le cas des sociétés Cantalou et Senoble). La production sous marque de distributeur procure un volume d activité aux PME partenaires qui leur permet d alléger les coûts relatifs aux services connexes à la production (effort de marketing, etc). L on constate que la fabrication de produits sous marques de distributeurs est, de fait, dévolue aux PME. Ils représentent en effet 20 % du CA d une grande surface moyenne et 22 % d un linéaire moyen. Ils sont produits à près de 90 % par des PME de 20 à 500 salariés (dont 70 % de PME françaises). dossier Origine des MDD Nombre de références % des références par GMS moyenne MDD % 100 % Produites par : - PME françaises ,8 % 70,5 % - PME étrangères ,3 % 18,3 % - grands groupes français ,8 % 6,0 % - grands groupes étrangers ,1 % 5,5 % source : Panel international. Etude FCD 03/2001 Page V
6 Taux d investissement (inv/va) des PME de 20 à 249 salariés (entre parenthèses, taux de l ensemble du secteur) Secteur industriel Fabrication d articles en papier à usage sanitaire et domestique 17 % (16 %) 88 % (29 %) 82 % (52 %) Fabrication de savons, détergents et produits d entretien 21 % (12 %) 11 % (14 %) 26 % (31 %) Fabrication de parfums et de produits pour la toilette 16 % (12 %) 10 % (12 %) 13 % (11 %) Industrie des viandes 16 % (15 %) 17 % (16 %) 22 % (19 %) Industrie du lait 27 % (21 %) 27 % (23 %) 23 % (23 %) Industries alimentaires diverses 24 % (18 %) 21 % (21 %) 22 % (24 %) Source : DEcas UN TAUX D INVESTISSEMENT ASSEZ ÉLEVÉ Le taux d investissement (investissement/valeur ajoutée) qui a évolué entre 1998 et 2000 pour six secteurs d activités (trois dans l industrie manufacturière et trois dans l industrie agroalimentaire) mérite un examen approfondi (voir tableau). Il faut noter, cependant, que la notion d investissement ne comprend pas le crédit-bail, surtout utilisé dans les grandes entreprises. Dans l industrie du papier à usage sanitaire, le taux d investissement des PME présente une valeur élevée en 1999 et 2000, mais ce résultat est à prendre avec précaution compte tenu du nombre limité de PME dans ce secteur. Par ailleurs, ce secteur est largement dominé par de grands groupes multinationaux : leurs investissements sont probablement réalisés à l étranger, ce qui explique leur faible taux d investissement en France. Dans le secteur des détergents et des produits d entretien, les grandes entreprises affichent un taux d investissement supérieur aux PME. Les évolutions obéissent à un même cycle et ne dépendent pas de la dimension des entreprises. Dans la fabrication de parfums et de cosmétiques, le taux d investissement a chuté en Ce sont les PME de moins de 250 salariés qui ont investi le plus après avoir marqué le pas l année précédente. Pour l agroalimentaire, trois secteurs d activités ont été examinés. Les PME de l industrie des viandes ont un taux d investissement croissant sur la période alors que celui des entreprises les plus importantes tend à stagner. Ce sont les entreprises de moins de 250 salariés qui investissent le plus. Dans l industrie du lait, les PME de moins de 250 salariés sont également au premier rang du meilleur taux d investissement. La tendance est, cependant, à la baisse de ce taux, toutes tailles d entreprises confondues. Dans les industries alimentaires diverses, ce sont les entreprises les plus grandes qui semblent investir le plus. Il s agit d un secteur hétérogène et les résultats permettent difficilement de tirer des conclusions plus précises. La France a besoin de ce réseau de PME qui contribue à la diversité de l offre et est créatrice d emplois dans les régions. Les PME de la parfumerie approvisonnent aussi les grandes surfaces Page VI
7 L accès des pme à la publicité Au cours des années 1990, les grandes entreprises ont affecté au budget publicitaire 1,8 % de leur chiffre d affaires tandis que les PMI n en consacrait que 1,3 %. Entre 1994 et 1999, le budget des grandes entreprises industrielles a progressé de 5,4 % en moyenne annuelle alors que celui des petites et moyennes entreprises a stagné. La part des dépenses de publicité dans le chiffre d affaires atteint 12,9 % (1,5 Md en 1999) dans le secteur des parfums et des produits de toilette. Dans celui des savons et des produits d entretien, ce taux est de 15,2 % (0,65 MdE). A titre de comparaison, l industrie automobile investit 1,2 % de son CA. Dans l industrie agroalimentaire, les dépenses publicitaires ont atteint 9,2 Md en L importance des dépenses publicitaires est très différente entre les PME et les grandes entreprises. En particulier, dans l industrie du lait, les dépenses publicitaires des PME atteignaient seulement 1% du chiffre d affaires en 1997 contre 5,3% pour l ensemble des entreprises. Dans l industrie des boissons, les PME consacraient 3,9% de leur chiffre d affaires à la publicité contre 7,4% pour l ensemble des entreprises ; dans les industries alimentaires diverses les chiffres étaient respectivement de 4,9% pour les PME et 7,1% pour l ensemble dossier Les dépenses de publicité dans l industrie selon la taille des entreprises en 1999 Taille Nombres Dépenses % du total Publicité Taux de des entreprises d entreprises en publicité /chiffre d affaires croissance annuel (md ) (%) entre 1994 et à 49 salariés ,43 5,3 1,0-0,3 50 à 99 salariés ,41 5,0 1,1 2,7 100 à 249 salariés ,70 8,7 1,1 2,3 250 à 499 salariés ,70 8,7 1,2-3,0 Total PMI ,22 27,7 1,1 0,0 Grandes entreprises 910 5,14 63,7 1,5 5,4 Source : SESSI - EAE champ : industrie manufacturière, hors IAA Page VII
8 Né à Marseille, âgé de 44 ans, Bernard Paranque bénéficie d une solide expérience professionnelle. Sa spécialité : l économie en général, Les études statistiques et l économie d entreprise en particulier. Il est l auteur d une thèse sur de la DEcas «les aides à l innovation» : en 1982, la Région Rhône-Alpes cherchait en effet à évaluer ses politiques d aide aux entreprises. Après son service militaire, Bernard Paranque passe son doctorat de sciences économiques à l université Lumière de Lyon 2. Il commence sa carrière dans un cabinet d expertcomptable assistant les comités d entreprise. Déjà, la dimension sociale et pédagogique se fait jour Gratuits au decas.edition@decas.finances.gouv.fr Page VIII
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