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2 SOMMAIRE AVANT-PROPOS SOMMAIRE TRANSVERSALITÉ L ENVIRONNEMENT RÉGLEMENTAIRE LÉGISLATION ET RÈGLES TECHNIQUES NORMES PRODUIT CLAUSES CONTRACTUELLES LE CONFORT THERMIQUE DÉFINITIONS LES DÉPERDITIONS DE CHALEUR FLUX DE CHALEUR LES MODES DE PROPAGATION DE LA CHALEUR CARACTÉRISTIQUES THERMIQUES DES MATÉRIAUX CONDUCTIVITÉ ET RÉSISTANCE THERMIQUE D UN MATÉRIAU RÉSISTANCE THERMIQUE D UNE PAROI RÉSISTANCES SUPERFICIELLES D UNE PAROI MÉTHODE POUR CALCULER LA RÉSISTANCE THERMIQUE D UNE PAROI RÉSISTANCE THERMIQUE DES LAMES D AIR NON VENTILÉES CŒFFICIENT DE TRANSMISSION SURFACIQUE «U» DÉFINITION CALCUL DU CŒFFICIENT DE TRANSMISSION SURFACIQUE «U» LES PONTS THERMIQUES INERTIE THERMIQUE COMPORTEMENT DES MATÉRIAUX INERTIE D ABSORPTION INERTIE DE TRANSMISSION LES CLASSES D INERTIE RÉGLEMENTATION THERMIQUE LE DPE (Diagnostic de Performance Énergétique) LA RT EXIGENCES DE PERFORMANCES ÉNERGÉTIQUES LES ZONES CLIMATIQUES DE LA RT 2005 : VALEURS DE RÉFÉRENCE (RT 2005) LA RT EXIGENCES DE RÉSULTAT EXIGENCES DE MOYENS CONFORT LIÉ À L ÉTANCHÉITÉ À L EAU ET À L AIR L ENVIRONNEMENT DES PAROIS L EAU LIQUIDE DÉSORDRES CAUSÉS PAR L EAU LIQUIDE PROPRIÉTÉS DES MATÉRIAUX CARACTÉRISTIQUES DES MATÉRIAUX PROCÉDÉS DE MIGRATION CIRCULATION DE L EAU LIQUIDE À TRAVERS UN MATÉRIAU LA VAPEUR D EAU DÉSORDRES CAUSÉS PAR LA VAPEUR D EAU VAPEUR ET PHÉNOMÈNES ASSOCIÉS ANALYSE DES PHÉNOMÈNES PHYSIQUES CHANGEMENT DE PHASE LIQUIDE / VAPEUR COMPOSITION INTÉRIEURE D UN MATÉRIAU PHÉNOMÈNES DE PRESSION

3 PROPORTION D EAU DANS L AIR MESURE DE L HUMIDITÉ RELATIVE DE L AIR PROPAGATION DE LA VAPEUR D EAU CONDENSATION DANS LA PAROI SITUER LA ZONE DE CONDENSATION DANS LA PAROI CONCEPTIONS D UNE PAROI PAROI AVEC LAME D AIR NOTIONS ÉLÉMENTAIRES LE TRIANGLE DU FEU LES DOMAINES RÉGLEMENTAIRES LES OBJECTIFS MÉSURES DE PROTECTION NE PAS CONFONDRE MATÉRIAU ET OUVRAGE CLASSIFICATION DES BÂTIMENTS FAMILLES DE BÂTIMENTS D HABITATION L ÉTANCHÉITÉ À L AIR : LOCALISATION DES FUITES CAUSES ET DÉMARCHE QUALITÉ IDENTIFIER LES DIFFÉRENTS TYPES DE TEST AÉRATION ET VENTILATION RENOUVELLEMENT D AIR : VENTILATION MÉCANIQUE CONTRÔLÉE (VMC) LE CONFORT ACOUSTIQUE MÉCANISMES ET GRANDEURS ACOUSTIQUES LE SON LE BRUIT LES MÉCANISMES DE TRANSMISSION DU BRUIT TRANSMISSION AÉRIENNE TRANSMISSION DIRECTE PAR UNE PAROI RÉVERBÉRATION TRANSMISSIONS LATÉRALES L ENVIRONNEMENT SONORE DES CONSTRUCTIONS LES BRUITS AÉRIENS LES BRUITS DE CHOCS LES BRUITS D ÉQUIPEMENTS LA RÉVERBÉRATION LES TECHNIQUES D ISOLATION ET DE CORRECTION ACOUSTIQUES LA CORRECTION ACOUSTIQUE DURÉE DE RÉVERBÉRATION CATÉGORIES DE MATÉRIAUX ABSORBANTS : OU POSER LES MATÉRIAUX ABSORBANTS? ISOLEMENT AUX BRUITS AÉRIENS LES INDICES DE MESURE LOI DE MASSE DES PAROIS SIMPLES COMPORTEMENT EN FRÉQUENCE D UNE PAROI HOMOGÈNE LOI DE MASSE-RESSORT-MASSE DES PAROIS DOUBLES.. 80 ISOLEMENT AUX BRUITS DE CHOCS NIVEAU DE BRUIT DE CHOC NORMALISÉ LN NIVEAUX DE PRESSION PONDÉRÉS DU BRUIT DE CHOC STANDARDISÉ EFFICACITÉ DES PRODUITS AU BRUIT DE CHOC (ΔL W ) ISOLEMENT AUX BRUITS D ÉQUIPEMENT. 82 RÉDUIRE LE BRUIT À LA SOURCE RÉDUIRE LES TRANSMISSIONS SOLIDIENNES GAINES TECHNIQUES LA RÉGLEMENTATION ACOUSTIQUE BÂTIMENTS D HABITATION LA NRA ACTUALISÉE «2000» AUTRES BÂTIMENTS LA PROTECTION INCENDIE ACTION DU FEU SUR LES MATÉRIAUX CLASSIFICATION DES MATÉRIAUX ESSAI DE REACTION AU FEU DES MATÉRIAUX DE CONSTRUCTION ET D AMÉNAGEMENT ACTION DU FEU SUR LES OUVRAGES CLASSIFICATION DES OUVRAGES ESSAI DE RÉSISTANCE AU FEU DES OUVRAGES EXIGENCES RÉGLEMENTAIRES OUVRAGES TECHNIQUES

4 LES BONNES PRATIQUES DE L ISOLATION ÉDUCATION À L ENVIRONNEMENT POUR UN DÉVELOPPEMENT DURABLE EEDD ÉTUDE ENVIRONNEMENTALE DES PRODUITS ÉTUDE ENVIRONNEMENTALE AVANT CONSTRUCTION CONCEPTION BIOCLIMATIQUE APPROCHE BIOCLIMATIQUE DES BÂTIMENTS ÉVOLUTION VERS LE BÂTIMENT À ÉNERGIE POSITIVE CONTEXTE RÉGLEMENTAIRE ET FINANCIER DANS LE CADRE D UNE RÉNOVATION RT 2012 EN NEUF LES ISOLANTS CHOIX D UN ISOLANT CLASSIFICATION ACERMI LES SYSTÈMES D ISOLATION ISOLATION DES PLANCHERS LES PLANCHERS SUR TERRE-PLEIN LES PLANCHERS AVEC POUTRELLES BETON ET ENTREVOUS ISOLANTS L ISOLATION EN SOUS FACE DE PLANCHER L ISOLATION SOUS CHAPE LE TRAITEMENT DES PONTS THERMIQUES PLANCHER : ÉVOLUTION BBC ET RT ISOLATION DES PAROIS VERTICALES L ISOLATION DES MURS DES MAISONS A OSSATURE BOIS 122 L ISOLATION DES MURS EN MACONNERIE o L ISOLATION THERMIQUE PAR L EXTERIEUR (I.T.E) o L ISOLATION THERMIQUE PAR L INTERIEUR (I.T.I) L ÉTANCHÉITÉ À L AIR DES OUVRAGES DÉMARCHE QUALITE ISOLATION DES COMBLES L ISOLATION DES COMBLES AMENAGÉS DÉMARCHE QUALITÉ L ISOLATION DES COMBLES PERDUS ISOLATION DES TOITURES L ISOLATION DES TOITURES PAR L EXTÉRIEUR L ISOLATION DES TOITURES TERRASSES AMÉNAGEMENT INTERIEUR CLASSEMENT DES LOCAUX EN FONCTION DE L EXPOSITION À L EAU LES CLOISONS LES PLAFONDS LES PLAQUES DE PLÂTRE ISOLATION ET CORRECTION ACOUSTIQUE 139 MENUISERIES ISOLANTES NOMENCLATURE

5 L E S B O N N E S P R A T I Q U E S D E L I S O L A T I O N L ENVIRONNEMENT! RÉGLEMENTAIRE Dans la vie courante, nous sommes confrontés à une multitude de recommandations, de réglementations, de normes. Celles-ci impactent notre quotidien, la vie des entreprises, l organisation de l activité économique... Les normes facilitent notre vie de tous les jours, car elles permettent de garantir la qualité et la sécurité des produits et des pratiques. La majorité des produits que nous utilisons dans la vie quotidienne sont conformes à des normes (appareils électroménagers, produits de consommation courante, produits de construction ). Par exemple : la feuille format A4 correspond à la norme internationale ISO 216. Cette norme permet d utiliser les feuilles A4 dans n importe quelle imprimante, fax ou photocopieur et détermine la taille des chemises et classeurs. cartes bancaires utilisables dans le monde entier, containers de transport de marchandises adaptables à des bateaux, des camions, des trains dans le monde entier conduire sa voiture à droite dans la plupart des pays, électricité en 230 volts partout en France et d autres pays, étiquettes de consommation d énergie sur les appareils électroménagers, référentiels et programmes des enseignants, etc. etc. A contrario : l absence de norme peut être pénalisante : c est le cas pour les batteries et chargeurs de téléphones portables qui ne sont compatibles qu avec les produits de la même marque voire de la même gamme. Pour favoriser votre insertion professionnelle, il vous faut connaitre et interpréter les outils normatifs, afin de : préparer et d organiser votre intervention, produire un travail de qualité en respectant les bonnes pratiques indiquées notamment dans les DTU. Dans les fiches techniques des fabricants il est fait régulièrement référence à des documents normatifs «DTU, normes, avis techniques, CPT, réglementations» Il est bien souvent difficile pour les professionnels de s y retrouver et certains artisans ne respectent pas le DTU. Les acteurs de la construction sont censés connaître les réglementations, ils sont responsables en cas de non-respect. Des amendes, des peines d emprisonnement peuvent être requises en cas d infraction aux règles de construction. Beaucoup de contentieux sont dus à la méconnaissance des bonnes pratiques professionnelles. Pour travailler dans un souci de qualité, il est essentiel : de comprendre et de respecter les exigences du CCTP de l ouvrage à réaliser, d appliquer les règles professionnelles des DTU indiquées dans le Reef 4, d aller rechercher l information à sa source et dans son intégralité. Par conséquent, il est toujours nécessaire de consulter les textes officiels. Des organismes sont là pour nous aider dans cette lourde tâche et notamment : le CSTB, le groupe AFNOR, l agence qualité construction AQC, les fabricants qui ont créé des outils pour faciliter la mise en œuvre de leurs produits Et bien d autres documents de référence 12

6 L ENVIRONNEMENT REGLEMENTAIRE PARTIE 1 Législation et règles techniques Textes officiels 2. Différentes normes : La majorité des normes actuelles sont 1. Définition : européennes ou internationales. Toute Il s agit d un ensemble de lois et de textes réglementaires : les codes sont rédigés en textes législatifs (L) et française NF EN. norme européenne est reprise en norme réglementaires (R). Chaque code renvoie à des décrets et mises à jour par des Règles de mise en œuvre arrêtés ministériels qui en précisent les aspects techniques. C est le cas notamment des différents arrêtés qui constituent les réglementations incendie, acoustique et therrentiels techniques des différents métiers du bâtiment. 1. Les DTU (documents techniques unifiés) sont les réfémique. Ils concernent les produits et procédés de constructions. Les DTU rénovés, ou NF DTU, ont le statut de norme. 2. Différents codes : Les DTU et NF - DTU indiquent les règles de l art concernant l ensemble des techniques et procédés tradition- Code de la construction et de l habitation ; Code du travail ; Code de la santé publique, nels* de construction (ils sont élaborés par le CSTB) Code de l environnement Ils sont constitués de : cahier des clauses techniques (CCT), cahier des clauses spéciales (CCS). Avis et agréments 1. AT ou ATec = Avis technique : 2. Le Reef 4 : encyclopédie qui rassemble tous les DTU. L AT français donne seulement un avis sur la mise en œuvre d un produit et l intégration dans l ouvrage. Il n a pas de 3. Les règles de calcul (béton, comportement au feu, caractère réglementaire mais il sert souvent de référence action de la neige et du vent, construction parasismique ), pour les experts. comprennent les textes relatifs à la réglementation thermique (RT 2005 en neuf et RT 2005 bâtiments existants > Exemple : les enduits de sol disposent d une nouvelle certification qui remplace l AT. RT 2012 ). 4. Les CPT : Les cahiers de prescriptions techniques 2. ATE = Agréments Techniques Européens : expliquent les règles de mise en œuvre d une famille de L ATE permet l utilisation d un produit sans référence à une produits. norme. L ATE a un caractère obligatoire et une dimension européenne, contrairement à l AT français. 5. Les Eurocodes : Normes européennes de conception et de calcul des bâtiments et des ouvrages de génie civil. Les normes 1. Définition : Une norme est un référentiel édité par des organismes de normalisation (AFNOR, CEN, ISO). C est un document de référence sur un sujet donné ; elle fixe les conditions dans * Une technique traditionnelle : signifie que le produit ou procédé lesquelles un objet, un produit, un service sera réalisé. est confirmé par l expérience de professionnels, de plus ils sont connus du grand public (exemple : la plaque de plâtre). À RETENIR Il est essentiel pour vous, connaître l environnement législatif et réglementaire de la construction, d appliquer les règles concernant l ouvrage à réaliser. Ces informations se présentent sous différentes formes ou documents. Il est impératif d aller rechercher l information à sa source et dans son intégralité. Par conséquent, il est toujours nécessaire officiels. de consulter les textes 13

7 LE CONFORT THERMIQUE PARTIE 2 Définitions Température de confort intérieur Quelle est la température de confort intérieur définie par les usages et la réglementation? ( illustration diapo 1) Le confort thermique, pour l être humain, correspond à l absence de sensations désagréables : Sensation Avoir trop chaud Avoir trop froid Réaction du corps humain Transpiration Frissons Le corps humain va chercher à rétablir son équilibre par des réactions comportementales et physiologiques : perte ou besoin de calories évaporation d eau (respiration, transpiration) À chacun son bien-être thermique : une même température est ressentie différemment en fonction des personnes, certaines personnes dorment les fenêtres ouvertes en été comme en hiver. État d équilibre Sur un plan physique, le confort thermique correspond à un état d équilibre thermique entre le corps humain et son environnement. Il évolue en fonction a) b) On parle d inconfort si on constate un écart de température de 3 C au droit d un mur et le centre de la pièce, c est un des objectifs de l isolation thermique (ISOLER pour réduire les écarts de température). c) Nécessité d avoir : une bonne étanchéité à l air pour éviter les déperditions, une ventilation bien réglée. d) Commenter ces images ( illustration diapo 2) Indiquer quels sont les principaux enjeux de l isolation thermique Réduire : ( illustration diapo 3) Situation de confort On est en situation de confort thermique quand on ne ressent aucune sensation désagréable. De tout temps l homme s est adapté pour maintenir un équilibre avec son environnement : par par Historiquement, les techniques de construction ont évolué : 19

8 20 L E S B O N N E S P R A T I Q U E S D E L I S O L A T I O N Les déperditions de chaleur Ville de Maurepas (78) à l échelle 1/ de : EXERCICE N Commenter le document ci-dessus : c est une photographie aérienne prise au moyen d une les couleurs représentent le niveau des déperditions thermiques des bâtiments : La majorité des bâtiments, immeubles ou maisons individuelles présentent une toiture de couleur verte à rouge. C est-à-dire que les déperditions thermiques sont de moyennes à fortes Préciser quelles sont dans un bâtiment les principales sources de déperdition de chaleur : Par Par Par On parle de déperditions : linéiques : pour les liaisons entre parois (elles se mesurent en en W par ml), surfaciques : pour les parois (elles se mesurent W par m 2 ), volumiques : pour les fuites d air (elles se mesurent en W par m 3 ).

9 LE CONFORT THERMIQUE PARTIE 2 Flux de chaleur EXERCICE N 2 Nous sommes en hiver, un vendredi soir. Dans un lotissement, deux maisons identiques en apparence (mêmes volumes, mêmes surfaces) équipées d un système de chauffage électrique. La température extérieure est de -5 et la météo annonce qu il y en aura pour plusieurs jours ; dans les maisons il fait 19. Les deux propriétaires ont décidé de partir ensemble en week-end à la campagne. Ils reviennent chez eux le dimanche soir. Entre temps une panne générale du réseau EDF s est produite dans le quartier et a duré quasiment tout le week-end. Chaque propriétaire constate en rentrant chez lui que la température a baissé. Toutefois le premier constate sur son thermomètre intérieur une température de 11 (maison A) alors que chez le second il fait à peine 6 (maison B). Indiquer les raisons de cette différence de température entre les deux maisons : 1) ) ) ) EXERCICE N 3 Maison A Maison B Indiquer les températures intérieures et extérieures le dimanche soir : Tracer le sens des flux de chaleur : (l épaisseur du trait doit être proportionnelle à la densité du flux) ( Illustration diapo 4) Constat : Les niveaux de température dans chaque maison n étant pas identiques, on peut en déduire que la quantité de chaleur qui s est échappée est différente. Conclusions : À RETENIR Empêcher le transfert de chaleur est difficile Seule son intensité peut être modulée ( Illustration diapo 5) 21

10 L E S B O N N E S P R A T I Q U E S D E L I S O L A T I O N Les modes de propagation de la chaleur Exemples de propagation de la chaleur : les rayons du soleil la chaleur du radiateur la chaleur de la pièce Les 3 modes de propagation de la chaleur : EXERCICE N 4 Indiquer les 3 modes de propagation de la chaleur et établir la relation avec les exemples ci-dessus. ( Illustration diapo 5) Ces trois phénomènes se produisent simultanément pour les parois des bâtiments ( Illustration diapo 6) 22

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12 Dans un même ouvrage, les auteurs abordent les différents aspects de l isolation : thermique, acoustique, incendie, en soulignant leur complémentarité. Cet ouvrage s adresse aux étudiants de Bac Pro mais intéressera également des personnes en BTS ou centre universitaire, les professionnels ou enseignants désireux d actualiser leurs connaissances. Réglementation, technologie de construction sont abordées en détail. Des exercices d application permettent de mieux connaître les matériaux et nouveaux ISBN : Couverture : R. Maraï systèmes constructifs.

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