Animation d ateliers prospectifs sur les TIC dans le bâtiment à l horizon 2030
|
|
- Edgar Croteau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Animation d ateliers prospectifs sur les TIC dans le bâtiment à l horizon 2030
2 Sommaire Partie 1 : Méthodologie de la démarche Partie 2 : Vision prospective Partie 3 : Plan d action Partie 4 : Annexes
3 Animation d ateliers prospectifs sur les TIC dans le bâtiment à l horizon 2030 Méthodologie de la démarche Partie 1
4 Sommaire Elaboration prospective Elaboration d un référentiel stratégique ou d actions Management de projet 4
5 Méthodologie de la démarche Avant-propos Cette partie explicite les outils et méthodes déployés dans la démarche d animation prospective Animation d ateliers prospectifs sur les TIC dans le bâtiment à l horizon 2030, portée par le service Bâtiment de l Ademe, qui s est déroulée du 1er juillet 2013 au 23 mai Construire une vision partagée du futur pour élaborer un plan d actions La prospective propose de construire une vision explicite de futurs possibles en explorant leurs dynamiques scientifiques, technologiques, économiques et sociétales, dans une perspective d action d une organisation. C est un processus d analyse, de réflexion, de débat en amont de la décision et non une prévision ou une prédiction. Les futurs possibles, tels qu ils sont identifiés, résultent de l interaction entre des tendances et les stratégies ou volontés des acteurs. Ils ne préexistent pas. En synthèse La prospective étudie les incertitudes liées à un champ donné en identifiant des hypothèses d évolution possible des variables-clés qui le constituent. Dans une démarche collective et interactive, il s agit dans un premier temps de cerner les variablesclés hétérogènes (quantitatives ou qualitatives) qui conditionnent les futurs possibles : les tendances lourdes et émergentes, les ruptures dans des dimensions économiques, sociales, technologiques, politiques, etc. Dans un second temps, en s appuyant sur une diversité d expertises, leurs connaissances et leurs représentations, il s agit d identifier les risques et opportunités liés à ces variablesclés, afin d orienter l action vers des futurs souhaitables. Ces paramètres pertinents sont généralement non mesurables. La mission de prospective Animation d ateliers prospectifs sur les TIC dans le bâtiment à l horizon 2030 s est appuyée sur deux types de connaissances : une base documentaire fournie par l Ademe, constituée de dossiers d analyse sur le champ étudié et mobilisant des connaissances technologiques et scientifiques, et l expérience, les avis et opinions subjectifs et éclairés de plus de 60 experts mobilisés dans le cadre de deux sondages et de trois groupes de travail. La récolte de ces expertises a permis de mettre en évidence des représentations extrêmement contrastées. Il est à noter que les experts internes et externes qui ont été associés au dispositif sont issus de milieux disciplinaires et professionnels diversifiés. Leur qualité d experts tient à ce qu ils sont porteurs de représentations, conceptions, visions du sujet étudié. Ils peuvent être chercheur ou praticien. Les experts ont été sollicités dans le cadre de sondages selon des méthodes explicites, rationnelles et réfléchies pour faire état de leurs représentations personnelles et raisonnées, pour identifier les paramètres jugés déterminants et donner un avis, un jugement ou une appréciation sur les évolutions possibles de ces paramètres. Ils rendent ainsi possible la mise en débat de visions alternatives, ce qui est un processus participatif en amont de la prise de décision, qui enrichit la décision, la prépare et en rend l appropriation possible. 5
6 1 - Élaboration d une vision prospective La prospective étudie les incertitudes en identifiant des hypothèses d évolution possible des variables-clés qui constituent le système étudié. Une combinaison d hypothèses ou d états possibles des paramètres constitue une vision prospective qualitative. Il s agit de mettre en évidence (par exemple par un récit) une vision basée sur un nombre réduit d hypothèses cohérentes, vraisemblables et pertinentes Phase 1 : étude documentaire Le traitement de la base documentaire de connaissances prospectives, construite et fournie par l Ademe, ainsi que des recherches de connaissances complémentaires, ont permis d identifier et de formuler des facteurs-clés et des hypothèses d évolution pouvant conditionner le futur Phase 2 : sondage qualitatif d experts Sur la base des facteurs-clés et des hypothèses identifiés et formulés en phase 1, un sondage a été soumis à des experts internes et externes (d après une liste proposée par le cabinet Chronos), sélectionnés par l Ademe et issus de disciplines et d institutions variées. L objectif de ce sondage était de récolter des jugement d experts sur les facteurs-clés et hypothèses identifiés du champ prospectif. Le sondage se présentait sous la forme d un questionnaire composé de près de 70 items rédigés sous forme d affirmations. Il a été adressé dans sa totalité à un groupe d environ 40 experts. Les experts, quelle que soit leur discipline, avaient la possibilité de donner leur avis pour l ensemble des items ou de s abstenir (vote blanc). Les répondants réagissaient aux items, sous la forme d un vote et d autre part - en option - sous la forme de commentaires relatifs au choix du vote. Le sondage n était pas anonyme. Le formulaire de sondage se présentait sous la forme d une feuille de calcul, comprenant une colonne pour le vote et une colonne pour le commentaire libre. L expert ne pouvait procéder qu à un seul vote par item et pouvait ne pas commenter son vote. Le système de vote était le suivant : tout à fait d accord plutôt d accord plutôt pas d accord pas du tout d accord mitigé ne se prononce pas cette affirmation ne vous semble pas pertinente ou hors sujet Les résultats ont été restitués à l Ademe et aux experts participants sous la forme : d un tableau comparatif des votes nominatifs, d une restitution par item de l ensemble des commentaires, également nominativement. Les résultats ont été partagés et débattus collectivement en atelier de recherche afin de contribuer à faire émerger une vision partagée du champ prospectif. Le sondage a permis d apprécier les écarts de visions et de représentations entre experts de différentes disciplines. En vue de la négociation d une vision collective et partagée, une analyse préliminaire a été réalisée en vue : d identifier le champ d hypothèses à horizon 2030 à retenir, de rendre compte des points saillants qui font convergences ou divergences. La méthode a consisté dans les étapes suivantes : identification des participants à l atelier par Chronos, en concertation avec l Ademe ; envoi aux experts des questionnaires d hypothèses affirmatives représentant des déterminants, des références, des tendances, des alternatives, des ruptures, des affirmations contrastées, etc. ; traitement logiciel et infographique ; analyse des positions-clés ; rédaction du document de restitution. 6
7 2 - Élaboration d un référentiel stratégique ou d actions 2.1. Phase 3 : ateliers d experts Les résultats du sondage ont permis de définir les domaines stratégiques pour trois ateliers d experts organisés conjointement. Les experts étaient répartis dans les trois ateliers d une dizaine de participants, chaque atelier ayant un domaine à traiter, décliné en trois thèmes : Développer la standardisation, la gestion, l exploitation, la sécurité des équipements intelligents, les droits et obligations sur les données personnelles et collectives : rôle et actions de la puissance publique. Domaine 1 : Un bâtiment intelligent, viable et durable Thème 1.1 : Automatisation Automatiser des équipements dans les bâtiments : impacts visés en termes d économie d énergie. Thème 1.2 : Modèles & réseaux Déréguler jusqu au niveau des usagers producteurs indépendants et mutualiser les réseaux : impacts sur la consommation d énergie et modèle économique (externalités et mutualisation des coûts). Thème 1.3 : Service et maintenance Inclure les nouveaux besoins, équipements et services (sécurité, maintien des personnes à domicile ) dans les bâtiments et les maintenir sur le long terme. Domaine 2 : Un usager compétent aux manettes du bâtiment Thème 2.1 : Suivi de consommation Informer de façon adaptée aux profils des usagers et aux contextes des usages pour mieux sensibiliser : moyens et accompagnement. Thème 2.2 : Usager pilote Transformer un usager lambda en un usager compétent, c est lui laisser la main et rendre les équipements intelligents appropriables : efficacité des outils facilitateurs et des moyens communicants. Thème 2.3 : Choix de l offre Choisir de façon responsable son équipement technique en fonction de son utilité d usage : changement de comportement social. Domaine 3 : Un changement d échelle à accompagner Les travaux des ateliers ont donné lieu à la formulation d orientations pour un plan d actions et ils ont permis de définir la formulation d un second sondage d experts sur un champ resserré d hypothèses permettant d orienter les décisions d actions. La méthode a consisté dans les étapes suivantes : capitalisation du bilan du sondage 1 ; définition des domaines et thématiques des trois ateliers ; rédaction d un protocole d animation pour les trois ateliers, définissant précisément les séquences et les supports pédagogiques ; traitement des productions collectives : esquisse d une vision partagée, recommandations d orientations des pistes d actions ; rédaction du document de restitution Phase 4 : sondage d experts approfondissement Un second sondage de 23 items a été organisé et soumis à une soixantaine d experts de l Ademe et extérieurs à l Ademe. Les réponses à ce questionnaire visaient à approfondir l analyse de certaines hypothèses formulées et retenues d après les travaux précédents. Elles permettaient de recueillir des jugements et appréciations d experts sur les enjeux des TIC dans le bâtiment à l horizon Le questionnaire a bénéficié d un taux de réponse de près de 38 %. L Ademe et Chronos avaient ensemble établi un taux de réponse minimal de 25 %. L anonymat des réponses était garanti dans ce sondage. Thème 3.1 : Télétravail Mutualiser des espaces de travail dans les bâtiments ou des quartiers nouveaux ainsi que des services pour économiser les transports individuels. Thème 3.2 : Données & sécurités Innover en matière juridique dans la gestion des données issues des dispositifs intelligents et le contrôle par l usager et se prémunir des problèmes de sécurité comme prise de contrôle des équipements par des tiers. Sur la base d une première structuration des orientations pour l action, il s agissait d interroger des experts pour émettre un avis, estimer et/ou quantifier des données (impacts, faisabilité, importance, etc.) relatives aux pistes d actions qui se dessinaient. Cette appréciation d experts a permis également de consolider les déterminants de la vision prospective. La méthode s est déroulée selon les étapes suivantes : 7
8 sélection d un panel d experts (par Chronos), retenus pour leur capacité prospective et sur la base de leurs connaissances, même générales, de la thématique des bâtiments intelligents, dans une vision technologique et technique, mais également de la sociologie des usages énergétiques et des TIC ; test du questionnaire auprès d un panel d experts internes à l Ademe pour ajustement des items ; gestion et traitement infographique du sondage d experts n 2 par un service en ligne ; analyse des résultats et rédaction du document de restitution Phase 5 : référentiel et plan d actions Sur la base de la vision prospective, il s agit d élaborer une norme consensuelle en la déclinant en arbre de références. Le référentiel est un ensemble de «références», considérées comme emblématiques, spécifiques et/ou problématiques dans un domaine ou un champ donné, par un groupe concerné. Le référentiel produit une norme qui fait consensus et à laquelle le groupe concerné peut se référer. Dans une exigence de cohérence stratégique et sur la base des apports des phases précédentes, il a été défini un référentiel d actions (ou stratégique) qui formule - sous la forme d un arbre : niveau 1 : un enjeu ou la finalité de la stratégie, niveau 2 : quatre axes stratégiques, niveau 3 : sept objectifs qui découlent des axes et qui sous-tendent le plan de huit actions. Le référentiel ainsi défini permet de légitimer le choix des pistes d actions retenues. Dans un atelier en chambre, réunissant le comité de pilotage de la démarche, il a été procédé à une analyse de pertinence du référentiel, en accordant un poids à chaque élément, selon un système de pondération équivalent à 100 % à chaque niveau : enjeu = 100 % pondération des quatre axes stratégiques sur 100 % au sein de chaque axe, pondération des objectifs sur 100 %. Ce système de pondération permet de définir un système de priorité ainsi que les moyens à déployer pour chaque action. Le plan d actions constitue l aboutissement de la démarche d animation prospective. Il définit huit actions qui ont été renseignées selon la structure suivante : Formulation de la fiche action Catégorie de la fiche Description Axe concerné Objectif poursuivi Porteur(s) de l action Autres acteur(s) impliqué(s) Moyens à mettre en œuvre par l Ademe Echéance Résultat(s) attendu(s) Risques possibles Précisions sur le contenu Synthèse de la piste d action Un des quatre axes présentés dans les parties vision prospective et référentiel stratégique et autour desquels sont structurées les pistes d actions. Objectif visé par l action. Précisions sur les acteurs porteurs de l action et sur leurs rôles respectifs : service Bâtiment de l Ademe, co-portage multiservices ou autres acteurs sur lesquels l Ademe s appuie. Précisions sur les éventuels partenaires associés à l action et leurs rôles respectifs. Il s agit des mesures à mettre en œuvre par l Ademe pour réaliser l action (ex. : appel à projets de recherche, organisation d un groupe de travail, etc.) ainsi que des précisions méthodologiques sur chacun des moyens préconisés. Début de la mise en œuvre de l action Nature du livrable qui résultera directement de l action mise en place (ex. : rapport d étude, événement, etc.) Evaluation quantitative ou qualitative des aléas ou obstacles potentiels liés à la mise en œuvre de la piste d action. 8
9 Critères d évaluation Budget Exemples Critères selon lesquels le niveau de réussite de la piste d action sera mesuré à l issue de sa réalisation et par rapport aux objectifs poursuivis : Recherche de performance de l action c est-àdire sa conformité aux objectifs : 1 - Effectivité > action réellement mise en œuvre et adaptée aux problèmes posés ; 2 - Impacts visés > effets recherchés immédiats (réalisations) ou à terme. Efficience : pertinence des choix (responsabilité des décideurs) et efficacité des mises en œuvre (responsabilité des gestionnaires), adéquation des moyens mobilisés et des ressources. Satisfaction des publics visés par l action Fourchette indicative de budget évalué pour la mise en œuvre des moyens préconisés. L indicateur + / ++ / +++ décrit un niveau d importance budgétaire laissé à la discrétion de l Ademe. Projets, démarches ou études comparables ou pouvant être sources d inspiration et déjà mises en œuvre par ailleurs Ces actions ont fait l objet d une évaluation de leur niveau de priorité et d importance lors du comité de pilotage du 24 avril 2014, consacré au référentiel. Cette évaluation s est appuyée sur le système suivant : La méthode s est déroulée selon les étapes suivantes : Élaboration du référentiel ; Définition des fiches action ; Pondération du référentiel et évaluation des actions ; Finalisation et remise du livrable final. 3. Management de projet Une structure de management de projet a été mise en place qui comprenait : un comité technique mensuel Ademe/Chronos qui assurait la gestion et le pilotage des différentes phases, un comité de pilotage validant les décisions et les documents de restitution. 9
10 La mission «Animation d ateliers prospectifs dans le bâtiment à horizon 2030» a été réalisée par - Laurence Sellincourt : Co-directrice de projet, responsable de la définition de la méthodologie et du cadre d animation prospective - Caroline de Francqueville : Co-directrice de projet, responsable de l analyse des productions - Lou Marzloff : chef de projet, travail de traitement et d analyse des productions du sondage 1, des ateliers, du sondage 2 - Antonia Ruffin : chef de projet, travail d élaboration du plan d action - Marc Chataigner : designer, accompagnement à l animation des ateliers et réalisation de la maquette du livrable - Amandine Novelli : assistante, chargée de communication, soutien à l organisation logistique des ateliers, mise en page du livrable et responsable du suivi administratif de la mission. 10
Catalogue de services standard Référence : CAT-SERVICES-2010-A
Catalogue de services standard Référence : CAT-SERVICES-2010-A Dans ce catalogue, le terme Client désigne l entité légale intéressée à l achat de services délivrés par ITE- AUDIT, que cet achat soit un
Plus en détailREFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE
REFERENTIEL STRATEGIQUE DES COMPETENCES DU RESPONSABLE DE FORMATION EN ENTREPRISE INTERVENTION DU 13 OCTOBRE DE VERONIQUE RADIGUET GARF (*) FRANCE Le monde de la formation est en plein bouleversement,
Plus en détailRéunion du cluster Habitat Bâtiment Intelligent (HBI) 17 Mars 2014 L I NTELLIGENCE ENERGÉTIQUE
Réunion du cluster Habitat Bâtiment Intelligent (HBI) 17 Mars 2014 P RÉSENTATION DU PROJET ADVICE ACCEPTA BILITÉ ET DROIT DE L I NTELLIGENCE ENERGÉTIQUE Présentation du Projet ADvICE En quelques mots La
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION
Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information
Plus en détailTableau de Bord. Clas 1.1 Conduite d'un projet de communication
Bande de Com! Tableau de Bord Julien Pansier PROJET Clas 1.1 Conduite d'un projet de communication 1.1.1 Prise en charge du dossier de l annonceur C11.1. S approprier la demande de l annonceur - Comprendre
Plus en détailÉVALUATION DES CONSEILS D ADMINISTRATION/SURVEILLANCE : UN RETOUR D EXPÉRIENCE TRÈS POSITIF DES ADMINISTRATEURS
ÉVALUATION DES CONSEILS D ADMINISTRATION/SURVEILLANCE : UN RETOUR D EXPÉRIENCE TRÈS POSITIF DES ADMINISTRATEURS REGARDS CROISÉS DES ACTEURS DE LA GOUVERNANCE Administrateurs Présidents de conseil d administration/surveillance
Plus en détailPRÉSENTATION GÉNÉRALE
PRÉSENTATION GÉNÉRALE Cadrage institutionnel : Arrêté du 27 août 2013 fixant le cadre national des formations dispensées au sein des masters «métiers de l enseignement, de l éducation et de la formation»
Plus en détail> innovation. Action «Normalisation» descriptif
Action «Normalisation» descriptif > Pour répondre aux questionnements des entreprises, la CCI Paris Ile-de-France et AFNOR Normalisation proposent aux entreprises de réaliser un pré-diagnostic normalisation
Plus en détailC11.2 Identifier les solutions à mettre en œuvre C11.3 Préparer le cahier des charges
Classe de situation (3) Clas.1.1. Conduite d'un projet de F1 Mise en œuvre et suivi de projets de (3 classes de situations / 10 situations / 12 compétences) Situations (4+2+4) Compétences (6+2+4) Compétences
Plus en détailFICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC
METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente
Plus en détailAide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat
Objectifs : Être au plus près des entreprises et de leurs salariés en proposant des services et outils adaptés à leurs besoins. 12 fiches «service» synthétiques, répertoriées en 5 grands thèmes : PROFESSIONNALISATION
Plus en détailGestion budgétaire et financière
Élaboration et suivi de la programmation budgétaire Exécution budgétaire et comptable Aide au pilotage et contrôle financier externe Expertise financière et juridique Ministère de la Culture et de la Communication
Plus en détailL ENTRETIEN INDIVIDUEL
L ENTRETIEN INDIVIDUEL 1 Pourquoi utiliser cet outil en évaluation? L entretien individuel est une technique de recueil de l information qui se déroule dans une relation de face-à-face entre l évaluateur
Plus en détailGuide pour la rédaction du rapport d auto-évaluation
L évaluation d unités académiques à l Université de Genève Guide pour la rédaction du rapport d auto-évaluation Programmes de formation de base, approfondie et continue Bureau qualité Guide pour la rédaction
Plus en détailPosition de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets
Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets Les services publics locaux de l environnement : des services discrets mais moteurs de développement Depuis leur mise en
Plus en détailPlan d actions 2011/2014
Plan d actions 2011/2014 Le présent plan d actions s organise en fiches actions, qui précisent les objectifs opérationnels des actions et explicite les modalités de mise en œuvre. Ces fiches répondent
Plus en détailCHARTE BUDGET PARTICIPATIF
CHARTE BUDGET PARTICIPATIF PREAMBULE Depuis 2001, la Ville de Paris a associé les Parisiens de façon accrue à la politique municipale, en s appuyant notamment sur les conseils de quartier, les comptes
Plus en détailPROGRAMME DE CRÉATION ET INNOVATION TECHNOLOGIQUES EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE Enseignement d exploration
PROGRAMME DE CRÉATION ET INNOVATION TECHNOLOGIQUES EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE Enseignement d exploration Préambule La société doit faire face à de nouveaux défis pour satisfaire les
Plus en détailLa mise en place d une cellule de veille
La mise en place d une cellule de veille Floriane Giovannini IST - Antony 24 ème Rencontres OMER Lyon, les 29-30 mars 2007 Plan de la présentation Introduction à la veille Une cellule de veille : - Pourquoi?
Plus en détailSystèmes et réseaux d information et de communication
233 DIRECTEUR DES SYSTÈMES ET RÉSEAUX D INFORMATION ET DE COMMUNICATION Code : SIC01A Responsable des systèmes et réseaux d information FPESIC01 Il conduit la mise en œuvre des orientations stratégiques
Plus en détailblgpec : Où en est mon établissement? Sommaire :
2 Sommaire : INTRODUCTION / PRESENTATION La GPEC, pourquoi?... 3 La GPEC, c est quoi?... 4 La GPEC, comment?... 5 Les objectifs du guide... 6 Comment utiliser ce guide?... 7 LE GUIDE D AUTODIAGNOSTIC Projet
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailCOMPOSANTE 3 Objectif 3.C
TERMES DE RÉFÉRENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN CABINET POUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA PLATEFORME DE GESTION DES CONNAISSANCES POUR LA REFORME DE LA GOUVERNANCE COMPOSANTE 3 Objectif 3.C Sous-objectif 3.C.02
Plus en détailConférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone
Conférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone Hôtel Teranga, Saly, Sénégal, du 18-19 Octobre 2011 Note de cadrage Contexte et justification L importance que revêt
Plus en détailAPPEL à MANIFESTATIONS D INTERET (AMI) INVESTISSEMENTS D AVENIR EDITION 2010
Direction des Investissements d Avenir Direction Villes et Territoires Durables Service Bâtiment Direction Recherche et Prospective Service Recherche et Technologies avancées APPEL à MANIFESTATIONS D INTERET
Plus en détailCOMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 125 Mai 2012 ECONOMIE ET EVALUATION DÉVELOPPEMENT DURABLE Expérimentation de l affichage environnemental sur les produits agro-alimentaires Premier retour
Plus en détailAxes de travail et plan d action 2015
19 novembre 2014 Axes de travail et plan d action 2015 SOMMAIRE Introduction... 3 Partager l information sur les métiers, l emploi et la formation professionnelle en LR ; être plus utile et plus accessible...
Plus en détailPlan stratégique 2015-2017. Horizon 2017
Service des bibliothèques et archives Plan stratégique 2015-2017 Horizon 2017 Mise en contexte L environnement dans lequel évoluent les bibliothèques universitaires est en mutation depuis plusieurs années.
Plus en détailEtude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011
Etude relative aux rapports des présidents sur les procédures de contrôle interne et de gestion des risques pour l exercice 2011 SOMMAIRE Synthèse et Conclusion... 1 Introduction... 4 1. La description
Plus en détailGestion Participative Territoriale :
!!" #!#$ # % #% Touiza Solidarité Evaluation ex post et externe Gestion Participative Territoriale : François Durand Consultant ITG Paris Foued Chehat Expert associé 1 Le cadre de l évaluation Le projet
Plus en détailColloque International IEMA-4
Comment mettre en place un dispositif coordonné d intelligence collective au service de la stratégie de l entreprise. Conférence de Mr. Alain JUILLET - Le 17/05/2010 IEMA4 Pour ne pas rester dans les banalités
Plus en détailCas de la Plateforme du Niger
Plateformes Nationales de Dialogue entre Acteurs pour l Adaptation de l Agriculture au Changement Climatique Cas de la Plateforme du Niger M me HIMA Fatimatou, Plateforme Paysanne/Niger avril 2013 UNE
Plus en détaile-business, EAI et Business Intelligence Le triptyque gagnant profondément les structures des organisations et par conséquence
e-business, EAI et Business Intelligence Le triptyque gagnant Alain Fernandez Consultant indépendant, il intervient depuis plus de 15 ans auprès des grands comptes et des PME sur la conception des systèmes
Plus en détailDéfinition. Caractéristiques
REPENSER LA PRESENTATION DU BUDGET : UNE NOMENCLATURE STRATEGIQUE Le budget des collectivités de plus de 3 500 habitants peut être présenté par nature et par fonction. La nomenclature fonctionnelle permet
Plus en détailÉnergie et Mondialisation
Énergie et Mondialisation Il est fréquent d affirmer que de nombreuses questions énergétiques ou environnementales ne peuvent être posées correctement qu au niveau mondial. Résolument ancré dans le réseau
Plus en détailVers l amélioration continue
Vers l amélioration continue Devis d évaluation et planification des travaux sur l assurance qualité Document recommandé par le comité de suivi du Plan stratégique, le comité de Régie interne et la Commission
Plus en détailIAFACTORY. sommaire MATERIALIZE YOUR NEXT SUCCESS. étude marketing, expérience utilisateur, ergonomie étude concurrentielle. principes.
sommaire principes p objectifs méthode prestation, livrable, tarif aperçu visuel à propos d MATERIALIZE YOUR NEXT SUCCESS conseil en architecture de l information www.iafactory.fr contact@iafactory.fr
Plus en détailAppel à propositions
Appel à propositions Dispositif de professionnalisation des acteurs de l accueil, l information, l orientation, l emploi, la formation professionnelle initiale (par la voie de l apprentissage) et la formation
Plus en détailCentre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie et de la diversité des jeunes créateurs
Centre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie MARDI Contact presse Ministère de la Culture et de la Communication Délégation à l information et à
Plus en détailTermes de référence pour le recrutement d un consultant en communication
Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication A. Contexte La Conférence des Ministres de l Éducation des États et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN) est une organisation
Plus en détailrepères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis
repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis Version 2 : 20 juillet 2012 L expérimentation conduite par l Agence nationale de lutte contre l illettrisme
Plus en détailGuide d auto-évaluation
REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE ----------- Autorité nationale d Assurance Qualité de l Enseignement supérieur ANAQ-Sup Guide d auto-évaluation
Plus en détailETUDE DE LA SECONDE VIE DES BATTERIES DES VEHICULES ELECTRIQUES ET HYBRIDES RECHARGEABLES
ETUDE DE LA SECONDE VIE DES BATTERIES DES VEHICULES ELECTRIQUES ET HYBRIDES RECHARGEABLES Juin 2011 Étude réalisée pour le compte de l'ademe par Schwartz and Co et AJI Europe Coordination technique : Patrick
Plus en détailTUTORIEL Qualit Eval. Introduction :
TUTORIEL Qualit Eval Introduction : Qualit Eval est à la fois un logiciel et un référentiel d évaluation de la qualité des prestations en établissements pour Personnes Agées. Notre outil a été spécifiquement
Plus en détailLa démarche en dix points : détail de la méthodologie
La démarche expérimentale «Lien social et solidarités de proximité» d après les expérimentations réalisées dans trois PNR Livret technique La démarche en dix points : détail de la méthodologie Par Vincent
Plus en détailCharte de l Evaluation des Formations par les étudiants
Charte de l Evaluation des Formations par les étudiants 1 Charte de l Evaluation des Formations par les étudiants I. Le contexte institutionnel La démarche de l UdS en matière de qualité des formations
Plus en détailPROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2006 GUIDE DE LECTURE DES NOUVEAUX DOCUMENTS BUDGÉTAIRES PAR MISSION DU BUDGET DE L ÉTAT
PROJET DE LOI DE FINANCES POUR 2006 GUIDE DE LECTURE DES NOUVEAUX DOCUMENTS BUDGÉTAIRES PAR MISSION DU BUDGET DE L ÉTAT LES NOUVEAUX BLEUS BUDGÉTAIRES ET LES PROJETS ANNUELS DE PERFORMANCES Les documents
Plus en détailLE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détailLE KIT DU MANAGER DE PROJETS
LE KIT DU MANAGER DE PROJETS Ce kit est basé sur les travaux du Professeur Hugues Marchat (parus aux éditions Eyrolles) complétés par les expériences opérationnelles de Denis Lannel. Sommaire Travailler
Plus en détailSpécialité auxiliaire en prothèse dentaire du brevet d études professionnelles. ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES
ANNEXE IIb DEFINITION DES EPREUVES 51 Epreuve EP1 : ANALYSE ET COMMUNICATION TECHNOLOGIQUES UP1 Coefficient 4 Finalité et objectifs de l épreuve L épreuve vise à évaluer la capacité du candidat à mobiliser
Plus en détailMESURER LA VALEUR ET LE ROI D UN PROJET DE RÉSEAU SOCIAL D ENTREPRISE
Livre Blanc MESURER LA VALEUR ET LE ROI D UN PROJET DE RÉSEAU SOCIAL D ENTREPRISE Une méthode opérationnelle proposée par un groupe de professionnels (DSI et experts des RSE) pour analyser la valeur d
Plus en détailGestion d événements et modulation dynamique de choix sous Sphinx par calcul de contraintes en temps réel.
Gestion d événements et modulation dynamique de choix sous Sphinx par calcul de contraintes en temps réel. Entreprise ou organisme : ICN Business School Activité de l'entreprise ou de l'organisme : Par
Plus en détailProcessus de déploiement d une stratégie CRM
CRM odyssey Inc. SYNTHESE DE LA MÉTHODOLOGIE CRM odyssey est aussi la marque de commerce d une méthodologie de déploiement de stratégie CRM dans les entreprises. Elle repose sur un processus dynamique
Plus en détailGuide méthodologique
Communauté d Agglomération de NIORT du GRAND NANCY PLAN DE DEPLACEMENTS URBAINS Plan de Déplacement Entreprise Guide méthodologique Septembre 2007 m u n i c i p a l i t é s e r v i c e 7 1, a v e n u e
Plus en détailCompte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris
Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Thème : Commercialiser la campagne : les questions de base posées aux territoires
Plus en détailLutin Laboratoire des Usages en Technologies
Lutin Laboratoire des Usages en Technologies d Information Numérique (à la Cité des Sciences) Offres à destination des entreprises (club d entreprises) Le principe de la plate-forme RNRT Le laboratoire
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DU DIPLÔME D ETAT D INGENIERIE SOCIALE (DEIS) Contexte de l intervention
REFERENTIEL PROFESSIONNEL DU DIPLÔME D ETAT D INGENIERIE SOCIALE (DEIS) Contexte de l intervention Les transformations sociales, la territorialisation et la complexité croissante des dispositifs liés aux
Plus en détail2 Quels usages peut-on faire du focus group? Encadré 1 L utilisation du focus group en évaluation. Explicitation Restitution. Usages du focus group
LE FOCUS GROUP 1 Pourquoi utiliser cet outil en évaluation? Un focus group est un type d entretien de groupe composé de personnes concernées par une politique de développement ou une intervention. Il est
Plus en détailModernisation SI & Télécom des Samu-Centres 15. Assemblée Générale SUdF
Modernisation SI & Télécom des Samu-Centres 15 Assemblée Générale SUdF 04 juin 2014 Agenda 1. Genèse du projet 2. Solution envisagée 3. Feuille de route 4. Point d étape Projet de modernisation des SI
Plus en détailL évaluation des risques au travail
L évaluation des risques au travail Un outil au service de vos politiques de prévention pour la santé et les RPS Connection creates value Le contexte Au cours des dernières années, la prise en compte des
Plus en détailManuel de recherche en sciences sociales
Résumé de QUIVY R; VAN CAMPENHOUDT L. 95, "Manuel de recherches en sciences sociales", Dunod Cours de TC5 du DEA GSI de l intergroupe des écoles Centrales 11/2002 Manuel de recherche en sciences sociales
Plus en détailLa fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales.
Chapitre 11 LA FONCTION CONTRÔLE DE GESTION REPORTING AUDIT INTERNE Un système de reporting homogène dans toutes les filiales permet un contrôle de gestion efficace et la production d un tableau de bord
Plus en détailEVALUATION DES SERVICES GUIDE A L INTENTION DE LA CHEFFE OU DU CHEF DE SERVICE ET DE SES COLLABORATRICES ET COLLABORATEURS
EVALUATION DES SERVICES GUIDE A L INTENTION DE LA CHEFFE OU DU CHEF DE SERVICE ET DE SES COLLABORATRICES ET COLLABORATEURS Ce document présente la procédure d évaluation des services centraux de l UNIL
Plus en détailCompte Qualité. Maquette V1 commentée
Compte Qualité Maquette V1 commentée Élaborée suite à l expérimentation conduite par la Haute Autorité de santé au second semestre 2013 auprès de 60 établissements testeurs. Direction de l Amélioration
Plus en détailGroupe d Action Local (G.A.L) «Pays SUD : une terre d accueil, des montagnes de Services»
Groupe d Action Local (G.A.L) «Pays SUD : une terre d accueil, des montagnes de Services» PROGRAMME LEADER 2007-2013 2013 LEADER 2007-2013 : une terre d accueil, des montagnes de services 1 Présentation
Plus en détailRapport d évaluation du master
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Management public de l Université de Lorraine Vague C 2013-2017 Campagne d évaluation 2011-2012 Section des Formations et des diplômes
Plus en détailENSEIGNEMENT DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE A L ECOLE PRIMAIRE : QUELLE DEMARCHE?
ENSEIGNEMENT DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE A L ECOLE PRIMAIRE : QUELLE DEMARCHE? Les nouveaux programmes 2008 confirment que l observation, le questionnement, l expérimentation et l argumentation sont
Plus en détailL expérience de la Cour des comptes en matière d évaluation des projets publics. Rapporteur général à la Cour des comptes
L expérience de la Cour des comptes en matière d évaluation des projets publics Par: Saïd MOURABIT Rapporteur général à la Cour des comptes Introduction Rappel des missions de la Cour des comptes: jugement
Plus en détailProgramme de formation. «S organiser à plusieurs pour développer et mettre en œuvre son projet artistique»
Intitulé de la formation Programme de formation «S organiser à plusieurs pour développer et mettre en œuvre son projet artistique» Organisateur Organisme de formation : ARMETI : Email : armetiformations@gmail.com
Plus en détailL a d é m a r c h e e t l e s o u t i l s p r o p o s é s
Guide méthodologique pour la construction d un bilan quantitatif et qualitatif des contrats de territoire. L a d é m a r c h e e t l e s o u t i l s p r o p o s é s Il est proposé de bâtir le bilan avec
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailLA TABLETTE TACTILE, UN OUTIL AU SERVICE DES SCIENCES
PASI NANCY-METZ LA TABLETTE TACTILE, UN OUTIL AU SERVICE DES SCIENCES Académie de Nancy-Metz PASI- CARDIE http://www4.ac-nancy-metz.fr/pasi/ ACTION CANDIDATE AU PRIX ACADEMIQUE DE L INNOVATION 2014 FICHE
Plus en détail3 ème année. Cet appel à proposition s inscrit dans la continuité du travail engagé en année 1 et 2.
Appel à proposition Projet Alimen terre Un système d'alimentation local sur le Pays de Vannes 3 ème année Avec près de 60 % de surfaces agricoles, l agriculture demeure prépondérante sur notre territoire.
Plus en détailACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA
1 APPEL D OFFRES ACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA JUILLET 2013 2 1. OBJET DE L APPEL D OFFRE Réalisation d un accompagnement
Plus en détailLe système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie
Système d accreditation des organismes de formation Origine, objectifs et méthodologie du système d accréditation Carlos Capela Coordinateur du projet INOFOR - Institut pour l innovation dans la formation
Plus en détailLES STAGES ET LES MISSIONS DES ETUDIANTS EN BTS COMMUNICATION
LES STAGES ET LES MISSIONS DES ETUDIANTS EN BTS COMMUNICATION Les étudiants sont engagés dans les missions, soit : - avec des responsabilités directes et complètes d exécution - avec un rôle d observateur
Plus en détailOUVRIR LES PORTES DE LA BANQUE AUX JEUNES ENTREPRENEURS
Contexte général de lancement de l expérimentation Pour des raisons indépendantes de notre volonté et de notre implication, la convention avec le Ministère a été signée à la fin du mois de décembre 2010.
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR TERTIAIRES SESSION 2013
La commission de choix de sujets a rédigé cette proposition de corrigé, à partir des enrichissements successifs apportés aux différents stades d élaboration et de contrôle des sujets. Pour autant, ce document
Plus en détailMastère spécialisé. «Ingénierie de l innovation et du produit nouveau De l idée à la mise en marché»
Mastère spécialisé «Ingénierie de l innovation et du produit nouveau De l idée à la mise en marché» I- Présentation détaillée du programme d enseignement Répartition par modules et crédits ECTS : Intitulé
Plus en détailGDR des CPE sous la direction de Nathalie Szoc LIVRET DE FORMATION ET DE COMPETENCE CPE
GDR des CPE sous la direction de Nathalie Szoc LIVRET DE FORMATION ET DE COMPETENCE CPE Compétences communes à tous les professeurs et personnels d éducation Référentiel des compétences professionnelles
Plus en détailÉvaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d administration
Évaluation périodique du programme MBA coop Résumé Faculté d admini istration Mai 2012 1 Le programme de maîtrise en administration des affaires, cheminement coopératif (MBA Coop) de la Faculté d administration
Plus en détailLes projets d investissement en PME
Le point sur Les projets d investissement en PME Concilier performance économique et conditions de travail L investissement reste un moment clé du développement d une entreprise. C est l occasion de repenser
Plus en détailLA DÉCLARATION SOCIALE NOMINATIVE
DOSSIER DE PRESSE LA DÉCLARATION SOCIALE NOMINATIVE mars 2015 CONTACTS PRESSE GIP-MDS / net-entreprises.fr Céline Tinot 01 58 10 47 05 celine.tinot@gip-mds.fr Agence Wellcom Sandra Ciavarella & Gaëlle
Plus en détailBudget participatif des lycées. Règlement d intervention
3 CR 72-12 Budget participatif des lycées Règlement d intervention Préambule : La mise en œuvre du budget participatif des lycées manifeste la volonté de la région de poursuivre la démarche de dialogue
Plus en détailERDF prend le virage technologique des Smart Grids
Smart Grids, nos clients au cœur du réseau de demain ERDF prend le virage technologique des Smart Grids Association Carbon AT, Nantes, le 16 avril 2013 Régis LE DREZEN Regis.le-drezen@erdf-grdf.fr Film
Plus en détailProgramme "Conception et simulation" COSINUS Edition 2009. Projet
Projet Numéro d'ordre du projet : Acronyme du projet : Titre du projet : Coordonnateur du projet (nom/laboratoire) : Thématique principale : Montant total de l'aide demandée (en k ) : Durée du projet :
Plus en détailSécurisation de l hébergement et de la maintenance du plateau collaboratif d échange (PCE) du plan Loire III
Sécurisation de l hébergement et de la maintenance du plateau collaboratif d échange (PCE) du plan Loire III Depuis 2008, l Etablissement assure la mise en place du plateau collaboratif d échange Intranet/Internet
Plus en détailRapport d évaluation de la licence professionnelle
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Management des organisations de l économie sociale et solidaire de l Université de la Réunion Vague E 2015-2019
Plus en détailLe management des risques de l entreprise Cadre de Référence. Synthèse
Le management des risques de l entreprise Cadre de Référence Synthèse SYNTHESE L incertitude est une donnée intrinsèque à la vie de toute organisation. Aussi l un des principaux défis pour la direction
Plus en détailJoëlle Bolot, Stéphane Cipriani.
Joëlle Bolot, Stéphane Cipriani. Sommaire Programme, Capacités (http://www.education.gouv.fr/cid50636/ mene0925419a.html) Dossier documentaire d histoire géographie en CAP : Note de cadrage de l épreuve.
Plus en détailUniversité de Haute Alsace. Domaine. Sciences Humaines et Sociales. MASTER Mention Éducation, Formation, Communication UHA, ULP, Nancy 2
Centre Universitaire de Formation des Enseignants & des Formateurs Laboratoire Interuniversitaire de Sciences de l Education et de la Communication Université de Haute Alsace Domaine Sciences Humaines
Plus en détailPartie I Stratégies relationnelles et principes d organisation... 23
Introduction......................................................................... 1 1. Définition........................................................................ 2 1.1 Le CRM comme processus
Plus en détailADEME : Colloque Produits Verts. Intégrer les préoccupations RSE (responsabilité environnementale et sociale d entreprise) dans le processus achat
ADEME : Colloque Produits Verts Intégrer les préoccupations RSE (responsabilité environnementale et sociale d entreprise) dans le processus achat Juin 2008 Une solution dédiée à vos achats responsables
Plus en détailInstructions relatives à la soumission d une question sur le sujet d étude
Programme de bourses de recherche Amy Mahan pour évaluer l impact de l accès public aux TIC Instructions relatives à la soumission d une question sur le sujet d étude Table des matières À propos la Question
Plus en détailÉtude «analyse, reporting et budget» Niveau d équipement et attentes des PME françaises.
Étude «analyse, reporting et budget» Niveau d équipement et attentes des PME françaises. Mai 2009 Préface Les PME ont aujourd hui accès aux technologies déjà déployées dans les grandes entreprises. En
Plus en détailLes outils pour gérer et évaluer la formation
Les outils pour gérer et évaluer la formation Identifier Exprimer Sélectionner Destiné aux managers et aux services des Ressources Humaines évaluer réalisé avec le soutien de pour quoi faire? comment ça
Plus en détailUE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2. Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré
UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2 Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré ESPE Lille Nord de France Année 2014-2015 Cette note de cadrage a pour but d aider les collègues
Plus en détailCANDIDATURE AUX FONCTIONS DE DIRECTEUR GENERAL DE L ENSAM
CANDIDATURE AUX FONCTIONS DE DIRECTEUR GENERAL DE L ENSAM 1 ère partie Déclaration d intention JEAN-PAUL HAUTIER ADMINISTRATEUR PROVISOIRE ET DIRECTEUR DE LA RECHERCHE DE L ENSAM DIRECTEUR ES QUALITE DE
Plus en détailGuide des déposants. Appel à projets générique 2014 relatif aux «Grands Défis Sociétaux» et au «Défi de tous les savoirs»
Guide des déposants Appel à projets générique 2014 relatif aux «Grands Défis Sociétaux» et au «Défi de tous les savoirs» Date de publication : 31 juillet 2013 Agence Nationale de la Recherche Guide des
Plus en détailPréparation des programmes européens 2007-2013
Préparation des programmes européens 2007-2013 Présentation AGILE 9h30-10h30 8 Préparation des programmes européens 2007-2013 Le contexte La méthode de travail État d avancement des travaux : bilan, diagnostic
Plus en détail