Evaluation externe du cluster wallon de la recherche clinique
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- Pascal Bénard
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1 MINISTÈRE DE LA RÉGION WALLONNE DIRECTION GÉNÉRALE DE L ÉCONOMIE ET DE L EMPLOI DIRECTION DE LA POLITIQUE ÉCONOMIQUE Evaluation externe du cluster wallon de la recherche clinique Le 31 mars 2006 Synthèse Perspective Consulting Synthèse de l évaluation du cluster «recherche clinique» Page 1/5.
2 1. Genèse et Objectifs Ce cluster naît du constat du manque de collaboration et de visibilité des PME wallonnes travaillant dans le domaine de la recherche clinique. Il est constitué en 2003, à l initiative de deux docteurs en Médecine et d un ingénieur civil, tous actifs par ailleurs dans le, sous forme d une ASBL dénommée ARESA. Les activités d ARESA couvrent la mobilisation des instruments d aide et de financement, la mise en relation des entreprises wallonnes avec des donneurs d ordres et d autres prestataires, la création d opportunités de développement, notamment par l animation de groupes de projets interentreprises, la recherche de mutualisation de besoins, la médiatisation et la promotion du, la veille réglementaire, sectorielle et technologique et des prestations de service en faveur des membres dans différents domaines. Le cluster se caractérise par le fait qu il ambitionne de mettre en réseau un en développement, 2. Partenariat 2.1 COMPOSITION Le cluster est composé de différents types d entreprises, dont les activités sont complémentaires : des donneurs d ordres, des réalisateurs d essais cliniques (et de recherches pré-cliniques), des fournisseurs et des organismes d appui pour réalisateurs d essais cliniques. Les donneurs d ordres comprennent de très grandes entreprises multinationales (ex. GSK, UCB, Eli Lilly), des PME régionales (ex. Warcoing Développement) et des spin-offs du biotechnologique. Les réalisateurs d essais comprennent pour la plupart des très petites entreprises, parfois issues d un laboratoire universitaire ou d un centre hospitalier universitaire, sauf quelques PME plus anciennes et quelques établissements de sociétés multinationales. Les fournisseurs comprennent des entreprise d activités très diverses (matériel médical, services informatiques, transport, traduction, ). Les organismes d appui apportent des services en matière d assurance qualité, d organisation, de formation, de recrutement et sont souvent des départements spécialisés d entreprises plus importantes. 2.2 REPRÉSENTATIVITÉ MASSE CRITIQUE Même s il comporte des membres qui sont des grandes entreprises, le cluster est essentiellement géré pour et par des petites, voire très petites entreprises. Il représente relativement bien le, mais devrait encore améliorer son nombre de réalisateurs d études affiliés (qui ne sont représentés qu à concurrence de 34% alors qu ils constituent la colonne vertébrale du ). 2.3 COUVERTURE GÉOGRAPHIQUE Le cluster a des affiliés dans l ensemble de la Wallonie, avec une concentration autour des pôles pharmacie (centre du Brabant wallon) et des Pôles biotechnologiques (Gosselies et Sart-Tilman). 33% des 90 membres du cluster sont établis hors Wallonie, principalement à Bruxelles. La forte présence d extérieurs s explique par le faible développement du en Wallonie, en particulier des organismes d appui. 2.4 IMPLICATION EFFECTIVE DES MEMBRES Seul un noyau de membres est fortement impliqué dans les activités du cluster, à travers des groupes de travail qui ont débouché notamment sur la constitution d un GIE. Les autres membres ont une attitude plus consommatrice de services, attendant assez passivement du réseau qu il leur apporte des clients. Perspective Consulting Synthèse de l évaluation du cluster «recherche clinique» Page 2/5.
3 2.5 EVOLUTION Le cluster a atteint une masse significative, mais seule une partie des membres, encore insuffisante est active. Certains membres ont des attentes qui ne peuvent être satisfaites à court ni même sans doute à moyen terme. Une clarification des objectifs et un recentrage doivent être réalisés. De nouveaux membres, plus proches du cœur de l activité, doivent être recrutés. 3. Rôle des animateurs Gestion 3.1 PROFIL DES ANIMATEURS Les animateurs sont des dirigeants de PME actives dans le. Ils le connaissent donc particulèrement bien et sont appréciés pour leur dynamisme et leur créativité. Cet enthousiasme et cette attention aux attentes des membres a pu conforter certains d entre eux du bien fondé de rester passifs. D autres au contraire marquent beaucoup d intérêt pour le cluster et dialoguent avec les animateurs. La secrétaire permanente est également très appréciée. 3.2 STRUCTURES DE GESTION La gestion journalière est déléguée à l un des animateurs. Celui-ci partage cette charge avec les deux autres. Le triumvirat réunit une fois par trimestre un comité de pilotage, qui n a qu une voix consultative, mais est néanmoins fort écouté des animateurs, qui consacrent au moins 25% de leur temps à répondre aux demandes du comité de pilotage. Le comité de pilotage possède un pouvoir consultatif, chacun des membres du cluster peut y participer. Il se réunit trois à quatre fois par an, donne son approbation et soutien les différents projets des membres du cluster. L avis du comité de pilotage est sollicité à propos de questions comme les cotisations, la création de groupes de travail, la participation aux évènements locaux et internationaux, l intégration de nouveaux membres, l organisation d évènements. La dynamique du cluster ne repose actuellement que sur les animateurs. Ceci pourrait évoluer avec la mise en place du GEI, dont l objet est de financer et de piloter un permanent chargé de missions de «business development» pour un groupe de TPE membres du cluster. 4. Activités Orientations Réalisations d ARESA 1) se connaître Organisation de comités de pilotage et de groupes de travail, symposiums, stands communs sur les salons et foires 2) connaître l environnement du Etablissement, mise à jour et mise en ligne de l inventaire des entreprises du et de la liste avec présentation des membres 3) accroître les retombées Réalisation d études de faisabilité de projets de recherche pour des donneurs d ordre. économiques En cas de résultats positifs, cela permet des commandes aux entreprises wallonnes. 4) encourager et faciliter les Organisation de groupes de travail, création d un GIE partenariats 5) organiser des actions de Plusieurs visites (Institute of Medical Research, Rhone-Alpes, Chine), symposium à benchmarking Stockholm, visites d entreprise à entreprise 6) amplifier et encourager le développement technologique Stimulation de la création de nouveaux plateaux de Phase 1 Projets Biobanque, GIE Facilitation d accès à la réglementation, au Comité d éthique 7) développer une approche Visites au donneurs d ordres, stands sur salons et foires, visites notamment en Chine commerciale permanente Etudes de faisabilité 8) assurer la promotion du Site Internet (réserve), brochures, newsletter 9) favoriser la création d actions, et de produits nouveaux dans des s encore inexploités. Visites aux donneurs d ordres, stands sur salons et foires, visites notamment en Chine Organisation de groupes de travail Rencontre avec d autres clusters, en particulier le cluster Nutrition Etude Cosucra Présence dans le pôle de compétitivité BioWin Perspective Consulting Synthèse de l évaluation du cluster «recherche clinique» Page 3/5.
4 5. Résultats. Stratégie Mobilisation des instruments d aide et de financement Mise en relation des entreprises wallonnes avec des donneurs d ordres, d autres prestataires Création d opportunités Mutualisation de besoins Médiatisation et promotion du Veille - réglementaire - sectorielle - technologique Prestations de service (comités d éthique, formation, études, recrutement de patients, de freelance et de personnel) Résultats Ces actions ont apporté des opportunités aux membres, qui ne semblent pas les avoir significativement saisies. Les études de faisabilité ont apporté des contrats au noyau de membres actifs au cœur du processus (CRO, SMO, labos, biostat et bio ICT) (4 exemples). Quelques membres ont créé entre eux des collaborations étroites (4 exemples). Les visites et foires, les coopérations internationales entre cluster ont permis certains contacts dont les résultats sont difficilement identifiables. Le travail d animation d ARESA a contribué à renforcer l offre wallonne (création de nouveaux plateaux de Phase 1) Les projets de Biobanque, HyperGenes et Metavision, initiés par le cluster, sont très prometteurs. Le projet GIE, initié par ARESA, devrait permettre à chacun de ses membres de se développer bien plus rapidement qu isolément. La structure du GIE est visiblement appelée à générer d autres projets communs. ARESA fait partie de plusieurs réseaux européens qui marquent la présence du. Les multiples démarches de promotion (visites, voyages, symposium, etc.) donnent une visibilité au wallon et attirent les membres (candidatures spontanées). Cependant, la partie périphérique des membres n en voit pas les retombées. Le site et les autres moyens d information utilisés par ARESA sont insuffisamment efficaces. ARESA joue un rôle de détecteur et de conseiller en particulier dans les domaines réglementaire et éthique. ARESA est intervenu avec succès auprès des autorités pour qu elles soutiennent la recherche clinique, notamment dans la mise en œuvre des règles européennes. Par les services rendus, ARESA contribue à l accélération des études (aide à la présentation de dossiers au Comité d éthique, aide aux recrutements), à l extension de l offre (formation de médecins investigateurs, développement de plateaux et de labos de phase 1). Après trois années de travail, le cluster commence déjà à apporter à certains de ses membres des résultats appréciables en termes de développement d affaires. Des projets ambitieux en cours de lancement (Biobanque, GIE, Metavision, HyperGenes) doivent encore sortir leurs effets, qui, en cas de succès, renforceront cette dynamique positive. Les membres sont inégalement touchés par ces retombées, selon leur proximité du cœur de la filière. Ceux qui bénéficient des retombées s impliquent activement dans les projets, et comprennent de mieux en mieux que la réussite du cluster dépend au moins autant d eux que des animateurs (métaphore de l auberge espagnole). Les autres, plus à distance, ont une attitude généralement passive, qui renforce leur distance. 6. Impacts Il est trop tôt dans le développement du cluster pour détecter des effets de dynamisation du. Ceux-ci existent pourtant en potentiel, à travers plusieurs de ses projets, particulièrement le GIE et la Biobanque, que les membres qui y participent semble s être appropriés, condition nécessaire mais évidemment pas suffisante pour leur succès. 7. Pérennité Si le cluster peut compter sur un soutien très actif des membres constituant son noyau, il doit être attentif à conserver celui des autres en clarifiant avec eux ce qu ils peuvent attendre du réseau et les conditions auxquelles ces attentes peuvent être satisfaites. Une amélioration de la communication en direction des membres en situation plus périphérique sera également indispensable. Par ailleurs, avec les éléments dont nous disposons, il nous paraît que, comme le cluster doit recentrer sa stratégie, l ASBL doit concentrer son activité sur les membres qui sont disposés à la soutenir, et rechercher à accroître les Perspective Consulting Synthèse de l évaluation du cluster «recherche clinique» Page 4/5.
5 affiliations d entreprises ayant ce profil, plutôt que de répondre à toutes les demandes et obtenir un volume de membres certes, mais fragile. Le lancement du GIE a comme conséquence de développer une force commerciale, financée par les membres, qui sera progressivement en mesure de répondre aux attentes de retombées de ceux qui y participent. Des économies d échelle pourront ainsi être réalisées. Enfin, il y a lieu de prévoir des règles de gouvernance interne afin d éviter tout risque de conflit d intérêts entre les membres. 8. Conclusions La validité de l existence du cluster «recherche clinique» apparaît comme l évidence d une réponse aux besoins de nombreuses PME wallonnes actives en recherche clinique, et comme une mise en œuvre conforme à la politique industrielle régionale, notamment en examinant son activité et ses résultats à l aune des neuf orientations définies par la Région. Il faut ici souligner que le cluster «recherche clinique» ne se compare pas à la plupart des autres cluster wallons, qui s appuient sur des s d activité et des acteurs, dont l importance et l ancienneté sont beaucoup plus élevées. Les besoins des entreprises et la difficulté de les mobiliser se ressent évidemment de cette situation, et doit être prise en considération par la Région. L intérêt pour celle-ci de poursuivre son soutien au cluster est précisément que le concerné est en développement. Il nous paraît que, moyennant les remarques formulées sur le nécessaire recentrage de son champ d activité, le cluster a développé une stratégie adéquate, qui se traduit dans la manifestation de premiers résultats favorables pour la partie des entreprises membres qui est la plus proche du cœur de la filière. Les perspectives de renforcement du réseau existant sont bonnes, les projets actuellement en fin de lancement étant nombreux et comportant des enjeux financiers et de visibilité importants. Une attention particulière devra être portée par le cluster à sa communication qui, pour avoir été très adéquate dans un premier temps, n a pas su s adapter à la croissance du nombre de membres et à la multiplication des initiatives prises. Celle-ci est cependant primordiale, la communication étant le lien permanent entre tous les membres du réseau. Perspective Consulting Synthèse de l évaluation du cluster «recherche clinique» Page 5/5.
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