un professionnel de proximité
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- Sylvie Brunelle
- il y a 8 ans
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1 Le biologiste un professionnel de proximité Six mille deux cent quarante biologistes exercent dans le secteur libéral privé dans plus de laboratoires de proximité. Avec leur équipe, techniciens, infirmières, secrétaires, ils assurent au quotidien, six jours sur sept, voire 7 jours sur 7 losrqu ils travaillent avec des cliniques, dans leur laboratoire et à domicile, l accueil des patients, les prélèvements, les analyses, le suivi et l explication des résultats et les contacts avec les médecins. Photos de labo DR FNMF/N.Mergui Structure de proximité, à dimension humaine, le laboratoire est beaucoup plus qu un espace consacré à la réalisation d actes scientifiques et techniques. Le travail du biologiste commence bien avant le prélèvement et se termine bien après l analyse. Aussi importants que l examen luimême sont la réception et l enregistrement des données administratives et cliniques, le choix du matériel de prélèvement, les modalités du prélèvement, la préparation des tubes, le compterendu des résultats. Fondamentale également, la dimension humaine : quel qu il soit, le résultat des analyses peut changer la vie du patient : une femme y apprend là qu elle attend un enfant, un diabétique que son taux de sucre est équilibré, qu il ne risque pas de complications graves, un séropositif que son infection régresse L accueil Le travail du biologiste commence bien avant le prélèvement et se termine bien après l analyse. Au laboratoire, tout commence avec l accueil et ses différentes étapes. Identification du patient : lorsque le patient arrive au laboratoire, la secrétaire commence par enregistrer dans le système informatique son iden- 24
2 tité précise, nom, prénom, date de naissance, numéro de sécurité sociale, droits, régimes particuliers (affection longue durée, aide médicale gratuite, maternité ). Elle édite alors des étiquettes à codes-barre qui identifient les prélèvements du patient jusqu au résultat. Enregistrées informatiquement, ces données permettront ensuite d organiser les plans de travail de la journée, dans les «cahiers de paillasse» (liste des examens à effectuer) et, plus tard, de gérer la transcription des résultats. Aujourd hui, les automates sont, en effet, directement connectés au système informatique central et les tubes lus par l appareil. Toutes les informations, qui doivent figurer dans le dossier que constitue le laboratoire, offrent un suivi précis de la santé du patient. Toutes relèvent du secret médical. Le fait de voir ses patients lors de l accueil et du prélèvement permet au biologiste de relier l ordonnance technique du médecin au patient et d opérer bien souvent un premier tri entre les demandes d actes liés à la prévention et celles dictées par un suivi thérapeutique, voire une exploration d urgence. C est aussi un moment de contact et d échanges entre le biologiste, son équipe et le patient qui peut poser les questions qu il souhaite, discuter, être rassuré. Les prélèvements peuvent aussi se faire au domicile du patient. Lorsque celui-ci est alité, âgé, fiévreux, quand se rendre au laboratoire exige un effort trop lourd ou préjudiciable à son état de santé, le biologiste ou une infirmière viennent effectuer les prises de sang, prélèvements de gorge à domicile. Les mêmes impératifs de recueils et de manipulation qu au laboratoire sont mis en place et les prélèvements acheminés dans les plus brefs délais. Les étapes d une analyse Le prélèvement Une analyse ne commence pas dans le tube mais au pli du coude. De la qualité du prélèvement dépend celle de l analyse. Qui dit analyse pense immédiatement prise de sang. En réalité, les biologistes travaillent certes beaucoup sur le sang mais aussi sur différentes matières de l organisme : urines, selles, sécrétions vaginales, cellules, ongles, cheveux Le prélèvement : un moment de contact et d échange entre le biologiste, son équipe et le patient Avant même de piquer, le biologiste ou le technicien doit vérifier l identité du patient, étiqueter le tube immédiatement afin de connaître les analyses à effectuer et éviter toute confusion de patients. Les conséquences d un échange de tubes pourraient en effet être tragiques : urgence non signalée à la personne concernée, résultat faussement positif ou négatif à tort. Parallèlement, il dialogue avec son patient, l interroge : prendil des médicaments, notamment des anticoagulants ou des antibiotiques? Lorsqu il s agit d un dosage des hormones de fertilité dont le taux varie en fonction du cycle, il demande la date des dernières règles L ensemble de ces données constitue une aide importante lors de la mise en œuvre technique et de l interprétation de la cohérence des résultats. Selon l âge du patient, l examen demandé, la pathologie éventuelle ou suspectée, les conditions du prélèvement ne seront L A BIOLOGIE MÉDICALE CARTES BIOLOGIQUES D IDENTIFICATION CARTES DE GROUPES SANGUINS Tél , RUE DU TRAMWAY - BP OUVEILLAN Fax ICALE 25
3 pas les mêmes. En outre, un certain nombre d éléments doivent être connus pour que l analyse donne des réponses utiles. Ainsi, le biologiste doit tenir compte de : La variation des constituants de l organisme en fonction de l heure du prélèvement (ce qu on appelle la variation nycthémérale surtout sensible pour certaines hormones et pour le fer). L état du patient : ainsi certaines explorations fonctionnelles, la stimulation thyroïdienne par exemple, doivent être effectuées après un temps de repos précis. Le non-respect de cette règle peut rendre le résultat ininterprétable. L absorption ou non de médicaments avant la prise de sang. Seul le biologiste saura dire précisément au patient la conduite à adopter. Certains n ont aucune incidence. Dans les cas où l on cherche au contraire à mesurer l efficacité d un traitement médicamenteux, on peut soit mesurer l effet au maximum de l activité dans la circulation sanguine, soit quelques heures après la prise, soit encore l activité résiduelle pour vérifier qu il n y a pas dans l organisme accumulation de médicament qui deviendrait toxique, un contrôle pratiqué notamment pour les digitaliques, les anticoagulants et certains antibiotiques. Le régime alimentaire. Ainsi, pour le dosage de 5H I.A. urinaire (marqueur d atteinte de l intestin grêle), il faut arrêter vous avez dit «a jeun» tout médicament 48 heures avant l épreuve, ne pas consommer de tomates, avocats, bananes, pamplemousses, ananas, noix, pommes ou chocolat, aliments qui contiennent des substances gênantes pour le dosage. Bref beaucoup d interdits que votre biologiste vous signalera. Certains recueils exigent Candida albicans champignon à l origine d infections vaginales Souvent le laboratoire vous demande de venir «à jeun». Qu'est-ce que cela signifie? Etre à jeun, ce n est pas seulement se passer de petit déjeuner ou prendre «juste un café» en supprimant jus d orange, toasts et autres tartines. Si vous avez fait un bon repas au restaurant la veille au soir ou grignoté vers 22 heures avant de vous coucher, vous n êtes pas à jeun. Pour être réellement à jeun, vous devez n avoir absorbé aucune nourriture depuis au moins 12 heures. Certains dosages biochimiques sont faussés lorsque ces conditions ne sont pas respectées. Ainsi, il faut impérativement être à jeun pour un dosage de glycémie ou un bilan lipidique. En revanche, pour une numération formule sanguine, un test de grossesse ou un examen urinaire, un petit déjeuner léger ne pose pas de problème. Mieux vaut quand même poser la question à votre biologiste. d être pratiqués de façon particulièrement scrupuleuse. Tel est le cas par exemple pour des épreuves de débit-minutes sur 3 heures. De même, un examen des urines, à la recherche du germe responsable d une infection, se pratique sur un échantillon (une miction) qui doit être conservé le moins longtemps possible. Les patients sont parfois surpris qu on leur prélève plusieurs tubes différents pour leurs analyses. dr. Laboratoire bio Mérieux 26
4 Toutes les analyses ne sont en effet pas réalisées dans les mêmes conditions. Certaines nécessitent du sang total, par exemple la numération formule sanguine, d autres du sérum (sang coagulé), d autres du plasma (sang recueilli avec un anticoagulant). Il existe différents anticoagulants (un code international de couleurs permet à la seule vue d un tube Des précautions extrêmement soigneuses d identifier l anticoagulant qu il contient, les plus répandus étant l héparinate de lithium, de sodium, le citrate de sodium, l héparine iodacétate, le fluorure de sodium ), plus ou moins adaptés en fonction de l analyse. Ainsi, l héparinate de sodium, recommandé pour de nombreuses analyses ne peut être utilisé pour la réalisation d un ionogramme (dosage du sodium et du potassium dans le sang très utilisé notamment dans la surveillance du traitement des hypertensions artérielles) car il contient du sodium. Il fausserait donc complètement le résultat. Il arrive également que le biologiste prélève des tubes par sécurité au cas où des contrôles supplémentaires s avéreraient nécessaires. Ces tubes sont alors congelés pendant un an. Conservés dans une «sérothèque», ils peuvent être ressortis des mois plus tard, à l occasion d une même recherche, pour comparer l évolution entre deux périodes. L analyse Les prélèvements sont ensuite Recueil des urines : des précautions indispensables Beaucoup d examens exigent des précautions de prélèvement extrêmement soigneuses. Un exemple : l ECBU (examen cytobactériologique des urines) demandé lors d infections urinaires, un des examens les plus couramment pratiqués en ville exige de : pratiquer l examen avant de commencer un traitement antibiotique ou 48 h après l avoir terminé s il s agit d un contrôle d efficacité ; se laver soigneusement les mains ; faire une toilette locale très soigneuse, de préférence avec un antiseptique et attendre qu il sèche ; recueillir si possible les premières urines du matin ou, sauf en cas d urgence, attendre 3 heures après la dernière miction pour laisser aux germes éventuels le temps de se multiplier dans la vessie ; laisser écouler le 1er jet sans le recueillir ; utiliser un flacon stérile remis par le laboratoire et que vous ouvrez juste au moment de recueillir les urines ; bien reboucher le flacon ; le porter dans la demi-heure qui suit au laboratoire ou, mieux encore, émettre les urines au laboratoire. dirigés vers les différents postes de travail : biochimie, hématologie, microbiologie, parasitologie, immunologie, sérologie Lorsque l état du patient présente un caractère d urgence, le laboratoire adopte une procédure qui permet un traitement prioritaire de son prélèvement. Biochimie, hématologie et immunologie Actuellement, dans ces trois domaines, les analyses sont largement traitées par des analyseurs automatisés. Le technicien chargé du dosage dépose les tubes de sang, après centrifugation éventuelle, pour séparer le plasma ou le sérum des cellules du sang (globules rouges, globules blancs, plaquettes), sur les différents automates. Les automates sortent en des délais de plus en plus courts l ensemble des résultats. Principe : en général le dosage repose sur la mesure d une variation de couleur provoquée par une réaction chimique entre la substance à doser (urée, cholestérol ) et un réactif sélectionné. Cette variation est ensuite mesurée par un appareil, appelé spectrophotomètre. Microbiologie, bactériologie, parasitologie Là, les techniques manuelles continuent à dominer. En général, le prélèvement est d abord isolé sur une lame de verre, fixé, coloré et examiné au mi- 28
5 croscope. C est ce qu on appelle l examen direct. Parallèlement, il est ensemencé sur un ou plusieurs milieux de culture et cultivé 24 heures à 37 pour isoler les colonies de germes. De plus en plus, on voit apparaître en bactériologie des systèmes d aide à l expertise pour l identification des germes et la validation des antibiogrammes qui sont un support précieux pour le clinicien. Les résultats Que les analyses soient réalisées sur des analyseurs ou effectuées manuellement, les résultats sont entrés, après le contrôle de qualité, dans le système informatique qui édite alors une feuille où ils apparaissent accompagnés des valeurs de référence (chiffres minimum et maximum qui constituent la «fourchette» normale). Les chiffres sortant des normes sont généralement signalés par un système de visualisation, astérisque, ligne soulignée ou dans un caractère différent, qui permet de les repérer immédiatement. Toutefois, ce n est pas parce qu un résultat s écarte de la fourchette que le patient est nécessairement malade Certains résultats, apparemment hors normes, ne traduisent en réalité aucune anomalie significative en terme de santé. Toutes les feuilles de résultats arrivent en fin de parcours au biologiste. Celui-ci contrôle leur cohérence et les compare aux résultats antérieurs, conservés dans la mémoire de l ordinateur. En cas de variation importante ou inexpliquée, il demande que le dosage soit refait pour confirmation. Aucun compte-rendu émanant d un laboratoire ne peut être donné sans que le biologiste en personne l ai revu et signé, ce qui engage sa responsabilité. Cette validation des résultats, avant de les rendre au médecin et au patient, exige une vigilance permanente. Passer à côté d une urgence (ne pas repérer une anomalie de la coagulation, un paludisme ou une angine à streptocoque B.hémolytiques) peut avoir des conséquences dramatiques. Il doit aussi être extrêmement prudent : ainsi, aucun rendu de tests de dépistage du sida ou de l hépatite C positifs ne peut être rendu sans qu il soit procédé à un second prélèvement et à un nouveau contrôle avec des réactifs d une autre nature. La plus grande partie des résultats de pratique courante est rendue le jour même. Concrètement, le patient qui vient faire L A BIOLOGIE MÉDICALE Une prise de sang ça fait mal? En général, une prise de sang ne fait pas mal du tout. La plupart du temps, le biologiste, l infirmière ou le technicien prélève au pli du coude, un endroit peu innervé où l on ne sent quasiment rien. Dans certains cas plus difficiles, tels les gens qui «n ont pas de veine», ceux qui ont eu les veines abîmées par des traitements, les enfants un peu dodus, il peut piquer au niveau des poignets ou des mains. C est certes plus désagréable mais pas vraiment douloureux. Lorsque le patient est installé dans le fauteuil, le préleveur pose un garrot qui permet de faire gonfler la veine, donc de la rendre plus apparente, voire de la faire apparaître si on ne la voit pas. Outre la vue, le biologiste travaille beaucoup au toucher. Il peut ainsi repérer de belles veines peu visibles parce que plus profondes. Puis, il désinfecte à l alcool à 70, plus efficace contre les germes que celui à 90, et prélève le nombre de tubes dont il a besoin. Ceux-ci sont de plus en plus souvent sous vide entraînant une plus grande rapidité de la prise de sang et évitant toute souillure du prélèvement. Les aiguilles, elles, sont évidemment à usage unique. La contamination de patients par prise de sang n existe pas. Bizarrement, observent les biologistes, ce sont les jeunes de 13 à 17 ans qui ont le plus tendance à s évanouir ICALE 29
La version électronique fait foi
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