Actes du colloque. L Europe du droit face aux entreprises planétaires... 17
|
|
- Huguette Forget
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Table des matières In Memoriam Xavier de Roux... 5 Comité d organisation du colloque Les Entretiens d Amboise Participants au colloque... 9 Sommaire Partie I Actes du colloque Colloque L Europe du droit face aux entreprises planétaires Ouverture du colloque Première table ronde Les marchés dérégulés Comment sauvegarder l État de droit au sein de l Union européenne? Le trading à haute fréquence Un phénomène de grande ampleur Avantages incertains, inconvénients avérés Les différentes réponses apportées L abus par les États-Unis de leur puissance économique Le grand retour des États Les entreprises planétaires restent soumises au droit L amende infligée à BNP Paribas Qui paie le bal mène la danse Les nouvelles sources du droit La multiplication des contrats L émergence de sources de régulation transnationales privées L apparition d une concurrence entre les droits... 39
2 152 l europe du droit face aux entreprises planétaires Le droit européen comme ciment de la société européenne? De l audace, encore de l audace! La régulation par l éthique Débat Les trois risques liés au trading à haute fréquence Pour un bras de fer entre Europe et États-Unis La régulation par le droit de la concurrence? La régulation par l éthique Pour une Europe plus intégrée et plus forte Deuxième table ronde La révolution Internet Comment rétablir l équilibre du pouvoir numérique? Quatre axes pour aborder la problématique du numérique Pas de vide juridique Une mémoire d éléphant et un système planétaire Liberté versus sécurité L internaute doit-il être un consommateur protégé malgré lui? Le point de vue des fournisseurs d accès À l origine, une régulation collective Le retrait des fournisseurs d accès L Internet Rapprocher la responsabilité de l usage? La surveillance à grande échelle Quelle responsabilité pour les robots? Le besoin d un langage commun Toute entreprise a vocation à être planétaire et numérique La contradiction entre besoin d un langage commun et fragmentation juridique Débat Le blocage des sites Internet... 65
3 table des matières 153 Innovations techniques et émergence du droit Un intervenant Le droit qui sanctionne, le droit qui facilite Troisième table ronde Le rôle du juge dans les périodes de mutation Quels juges peuvent résister à des entreprises planétaires? Le recul de la souveraineté au profit de la régulation De l État-nation à la Communauté européenne L Europe, un espace juridique limité Une Europe peu préoccupée de faire progresser le droit Un mouvement irréversible vers la régulation Le juge européen, un géant La mise en place du fédéralisme fonctionnel Principe de primauté et principe de l effet direct La suppression des «octrois» La lutte contre le terrorisme L avis 2-13 de la Cour de justice (29) Une occasion manquée : l affaire de la BNP Le juge national, un nain judiciaire Un juge inutile Un juge inefficace Un juge peureux La médiation ou la mort? Le recul du juge national au bénéfice des AAI Les juges nationaux doivent se saisir du droit européen La mutation de la magistrature L émergence d un État de droit européen dans le domaine des droits de l homme La timidité de la magistrature contre les perversions de la mondialisation L exemple encourageant de la lutte contre la délinquance financière Le juge pénal progressivement évincé?... 86
4 154 l europe du droit face aux entreprises planétaires Débat L avis Les juges nationaux : un manque d ambition? Le juge national ne peut pas tout faire Renforcer la formation à l économie et au droit économique L essor de la démocratie judiciaire Médiation, procédure participative, droit collaboratif Juge, souveraineté, frontières Les politiques doivent se ressaisir de leur rôle de législateur L alternative entre justice et recours à la régulation Conclusion Clôture du colloque Index Éclairage Partie II Perspectives Introduction Perspectives Entreprises planétaires et Europe du droit Section 1. Les bases de données Big data et les moteurs de recherche Section 2. La finance et les marchés financiers
5 table des matières 155 Section 3. L exterritorialité judiciaire Section 4. Applications et réglementations Section 5. Droit national, droit européen Section 6. L office du juge
EIFR Risques Opérationnels
Thomas RIVET Directeur Associé - EIFR Risques Opérationnels Mutation des métiers et nouveaux Risques 5 Novembre 2014 Mutation des métiers et nouveaux Risques Evolutions structurelles majeures et Mutation
Plus en détailPrincipes de bonne pratique :
Principes de bonne pratique : Recommandations en vue de la création de bases de données génétiques nationales Le présent document a été élaboré par le Groupe d experts d INTERPOL sur le suivi des techniques
Plus en détailLIVRE BLANC WiFi PUBLIC
LIVRE BLANC WiFi PUBLIC LE DU La réglementation du WiFi public Seriez-vous concerné sans le savoir? Mai 2008 LE WiFi PUBLIC EN FRANCE Depuis 2003, les hotspots WiFi permettant d accéder à Internet via
Plus en détailL existence de la société commerciale
TABLE DES MATIÈRES Liste des principales abréviations 5 Introduction 9 Section I Classification des sociétés commerciales 11 1. Grandes catégories 11 A) Sociétés commerciales par la forme ou par l objet
Plus en détailDECLARATION DES PERFORMANCES N 1
DECLARATION DES PERFORMANCES N 1 Résistance mécanique C18 EN 1912 : 2012 + EN 338 :2009 DECLARATION DES PERFORMANCES N 2 Résistance mécanique C24 EN 1912 : 2012 + EN 338 :2009 DECLARATION DES PERFORMANCES
Plus en détailIntroduction Quels défis pour l Administration Publique face àla crise? Crise et leadership : quelles relations? Quels défis pour les dirigeants?
Renforcement des capacités en matière de Leadership au niveau du Secteur Public dans le contexte de la crise financière et économique Par Dr. Najat ZARROUK Introduction Quels défis pour l Administration
Plus en détailla conformité LES PRINCIPES D ACTION
La fonction Conformité au sein de BNP Paribas La fonction Conformité a été créée en décembre 2004, en anticipation de nouvelles dispositions du règlement 97-02 sur le contrôle interne des établissements
Plus en détailLes attentes des autorités à l obligation d agir de manière honnête, loyale et professionnelle
Les attentes des autorités à l obligation d agir de manière honnête, loyale et professionnelle vendredi 25 mai 2012 Intervenant : Michel JORNET Directeur Associé JORNET FINANCE CONSULTING Les principes
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DU REDRESSEMENT PRODUCTIF PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES, INNOVATION ET ÉCONOMIE NUMÉRIQUE Ordonnance n o 2014-329 du 12 mars 2014 relative à l
Plus en détailTable des matières. Introduction... 11
Table des matières Introduction... 11 Chapitre 1. La décision... 19 Introduction : la décision, objet central de l aide à la décision... 19 1.1. Théorie normative versus théorie ingénieriale... 20 1.2.
Plus en détailASSEMBLEE GENERALE DE L ASSOCIATION FRANCAISE DES MAGISTRATS DE LA JEUNESSE ET DE LA FAMILLE des 16 et 17 MAI 2014
ASSEMBLEE GENERALE DE L ASSOCIATION FRANCAISE DES MAGISTRATS DE LA JEUNESSE ET DE LA FAMILLE des 16 et 17 MAI 2014 LA JUSTICE DES MINEURS : CAP SUR L AVENIR La Garde des Sceaux a lancé une vaste consultation
Plus en détailIdentification, évaluation et gestion des incidents
Identification, évaluation et gestion des incidents De la cartographie des risques à la mise en place de la base incidents Xavier DIVAY Responsable de la conformité et du contrôle permanent QUILVEST BANQUE
Plus en détailCONVENTION DE COMPTE DE DEPOT EN DEVISES
La convention de compte de dépôt en devise, ci-après dénommée la «Convention», se compose des présentes Conditions Générales, des Conditions Particulières et des Conditions tarifaires applicables à la
Plus en détailCENTRE DE RECHERCHE GRENOBLE RHÔNE-ALPES
informatiques d Inria CENTRE DE RECHERCHE GRENOBLE RHÔNE-ALPES Table des matières 1. Préambule...3 2. Définitions...3 3. Domaine d application...4 4. Autorisation d accès aux ressources informatiques...5
Plus en détailCourtes remarques sur le projet de loi HADOPI
Courtes remarques sur le projet de loi Valérie-Laure Benabou Professeur Université de Versailles Saint Quentin Consultant Cabinet Gilles Vercken Les présupposés du projet «a pour ambition de faire cesser
Plus en détailPlan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence
Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence ministérielle sur la migration et le développement. Plan d Action
Plus en détailCopie préliminaire du texte authentique. La copie certifiée par le Secrétaire général sera publiée ultérieurement.
PROTOCOLE ADDITIONNEL À LA CONVENTION DES NATIONS UNIES CONTRE LA CRIMINALITÉ TRANSNATIONALE ORGANISÉE VISANT À PRÉVENIR, RÉPRIMER ET PUNIR LA TRAITE DES PERSONNES, EN PARTICULIER DES FEMMES ET DES ENFANTS
Plus en détailRésumé des débats Adoption du Procès Verbal de l Assemblée Générale du 17 novembre 2009 le Procès Verbal est adopté à l unanimité
Rappel de l ordre du jour de l Assemblée Générale Ordinaire Lecture et adoption du Procès Verbal de l Assemblée Générale du 17 novembre 2009. Rapport moral du Président, Monsieur Michel Grangeré. Rapport
Plus en détailMercredi 18 Juin- 17h30-20h00 et Jeudi 19 Juin- 9h00-16h30
Participez à nos événements, table- rondes, débats... Mercredi 18 Juin- 17h30-20h00 et Jeudi 19 Juin- 9h00-16h30 Le sujet de la Gouvernance a maintenant un visage concret : celui de la surveillance systématique,
Plus en détailPrévention des conduites addictives : des sciences sociales aux pratiques locales
Colloque régional de prévention des addictions Mardi 31 mars 2015 Clermont-Ferrand Prévention des conduites addictives : des sciences sociales aux pratiques locales Appels à communication Le Pôle de référence
Plus en détailDans l évasion fiscale, jusqu au où remonte la chaine des responsabilités?
Eric Bocquet (PCF-FDG) est le rapporteur de commissions d'enquête au Sénat sur l'évasion fiscale et ses acteurs. Il est également l'auteur de nombreuses propositions et amendements visant à lutter contre
Plus en détailLes obstacles : Solutions envisageables :
1. Quels sont les obstacles auxquels les citoyens européens doivent faire face dans l exercice de leurs droits? Que pourrait-on faire pour alléger ces obstacles? Les obstacles : Tout d abord, il y a un
Plus en détailLuc RUBIELLO www.innooo.fr
INNOOO LE MOTEUR DE RECHERCHE ET LE RESEAU SOCIAL FRANCAIS SANS PUBLICITE Agir - les moyens de gérer sa personnalité numérique Luc RUBIELLO www.innooo.fr Document confidentiel Ne pas diffuser sans autorisation
Plus en détailConsidérations sur la crise et le marché intérieur 1
Considérations sur la crise et le marché intérieur 1 Auteurs : Jacques Potdevin : Président de la Fédération des Experts comptables Européens (FEE - Federation of European Accountants 2 ) de 2007 à 2008.
Plus en détailLes nouveaux tableaux de bord des managers
Alain Fernandez Les nouveaux tableaux de bord des managers Le projet Business Intelligence clés en main Sixième édition Tableaux bord NE.indd 3 26/03/13 15:22 Le site www.piloter.org, dédié au pilotage
Plus en détailVers une Cour suprême? Par Hubert Haenel Membre du Conseil constitutionnel. (Université de Nancy 21 octobre 2010)
Vers une Cour suprême? Par Hubert Haenel Membre du Conseil constitutionnel (Université de Nancy 21 octobre 2010) Le Conseil constitutionnel a fêté, il y a deux ans, son cinquantième anniversaire. Cet événement
Plus en détailParis Europlace Forum financier international 20 avril 2015 «FAVORISER LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE EN EUROPE»
Paris Europlace Forum financier international 20 avril 2015 «FAVORISER LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE EN EUROPE» Table ronde 3 : Revue de la stabilité financière de la Banque de France «Financement de l économie
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailUN PROJET SCIENTIFIQUE ET CULTUREL POUR LA SOCIÉTÉ DE LA CONNAISSANCE
UN PROJET SCIENTIFIQUE ET CULTUREL POUR LA SOCIÉTÉ DE LA CONNAISSANCE Le regroupement du Palais de la découverte et de la Cité des sciences et de l industrie en un seul établissement apporte les atouts
Plus en détailRÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - 1 er cycle
RÉSULTAT DISCIPLINAIRE RÈGLE DE RÉUSSITE DISCIPLINAIRE Programme de formation de l école québécoise Secondaire - er cycle Direction générale de la formation des jeunes Octobre 006 Introduction Dans le
Plus en détailPerformances Veille. Système d Information. Semaine 25 du 18 au 24 juin 2012. Numéro 228
Performances Veille Système d Information Semaine 25 du 18 au 24 juin 2012 Numéro 228 TABLE DES MATIÈRES LA GÉNÉRATION Y DÉFIE LA DSI... 2 SOLUTIONS LINUX : BIG DATA ET BI OPEN SOURCE FONT BON MÉNAGE 01
Plus en détailLa France est-elle compétitive?
La France est-elle compétitive? Cafés Géographiques de Montpellier Gilles Ardinat, professeur agrégé et docteur en Géographie, enseignant à l Université Paul Valéry, Montpellier III C est à l occasion
Plus en détailRéguler les jeux d'argent : Le rôle de l'autorité Bruxelles le 12 octobre 2010. Intervention de M. Jean-François VILOTTE, Président de l ARJEL
Réguler les jeux d'argent : Le rôle de l'autorité Bruxelles le 12 octobre 2010 Intervention de M. Jean-François VILOTTE, Président de l ARJEL SOMMAIRE la loi n 2010-476 du 12 mai 2010 la régulation, point
Plus en détailDéclaration conjointe de la CoESS et d UNI-Europa sur l harmonisation européenne des législations gouvernant le secteur de la sécurité privée
Déclaration conjointe de la CoESS et d UNI-Europa sur l harmonisation européenne des législations gouvernant le secteur de la sécurité privée Introduction Dans l Union européenne, le secteur de la sécurité
Plus en détailDDN/RSSI. Engagement éthique et déontologique de l'administrateur systèmes, réseaux et de système d'informations
DDN/RSSI Engagement éthique et déontologique de l'administrateur systèmes, réseaux et de système d'informations Page 1 10/03/2015 SOMMAIRE. Article I. Définitions...3 Section I.1 Administrateur...3 Section
Plus en détail27 rue Saint-Guillaume 75337 Paris cedex 07 France www.sciences-po.fr. Master Marketing et Études
27 rue Saint-Guillaume 75337 Paris cedex 07 France www.sciences-po.fr Master Marketing et Études REVENIR À NOTRE VOCATION PREMIÈRE Hervé Crès, Directeur adjoint, Directeur des études et de la scolarité
Plus en détailNous avons fixé 10 objectifs ambitieux repris sur notre site Internet www.iexpj.be sous la rubrique Accueil.
IEXPJ NEWSLETTER Institut des experts judiciaires N 1 JUILLET 2011 Voici le 1 er numéro de notre lettre d information dénommée «IEXPJ Newsletter», laquelle paraîtra mensuellement sauf en mars, juin, août,
Plus en détailDossier de presse. Solucom dans le secteur de l énergie
Dossier de presse Solucom dans le secteur de l énergie Solucom en quelques mots Solucom est un cabinet de conseil en management et système d information indépendant. Fondé en 1990, il est aujourd hui 3
Plus en détailAccès des gouvernements aux données du secteur privé
Accès des gouvernements aux données du secteur privé Jérusalem, le 28 octobre 2010 (32 e conférence internationale des commissaires à la protection des données et de la vie privée) Giovanni Buttarelli
Plus en détailACCORD ENTRE LA COMMISSION BANCAIRE ET LA BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE
ACCORD ENTRE LA COMMISSION BANCAIRE ET LA BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE CONCERNANT LA COOPERATION RECIPROQUE ET L ECHANGE D INFORMATIONS POUR LE CONTROLE BANCAIRE ET PRUDENTIEL 1. Considérant que certaines
Plus en détailAllocution d ouverture M. Philippe Boillat, Directeur général, Direction générale Droits de l'homme et Etat de droit, Conseil de l'europe
SEUL LE PRONONCE FAIT FOI! 17.06.2014 Allocution d ouverture M. Philippe Boillat, Directeur général, Direction générale Droits de l'homme et Etat de droit, Conseil de l'europe 19 e Conférence du Conseil
Plus en détailCAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIÈRES (CCTP) MISE EN PLACE ET MAINTENANCE D UN MOTEUR DE RECHERCHE
PREMIER MINISTRE SECRÉTARIAT GÉNÉRAL DU GOUVERNEMENT CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIÈRES (CCTP) MISE EN PLACE ET MAINTENANCE D UN MOTEUR DE RECHERCHE SUR LES SITES INTERNET GÉRÉS PAR LA DOCUMENTATION
Plus en détailQU EST- CE QU UNE CONSTITUTION
QU EST- CE QU UNE CONSTITUTION La Constitution est un ensemble de textes juridiques qui définit les différentes institutions composant l État et qui organise leurs relations. Elle peut comporter également
Plus en détailLa mise en œuvre d'une gestion électronique des documents
La mise en œuvre d'une gestion électronique des documents Alexandre JABORSKA Ingénieur chargé de la Direction des Services Techniques, Logistiques et du Biomédical Centre Hospitalier de Creil Histoire
Plus en détailLe compte utilisateur des entreprises boamp.fr
Guide d utilisation : Le compte utilisateur des entreprises boamp.fr DILA 26 rue Desaix, 75727 Paris cedex 15 1 Sommaire : Introduction... 3 Pourquoi créer un compte sur le site boamp.fr?... 3 Comment
Plus en détail19, Rue du Lac El Biban - Lac 2-1053 Les Berges du Lac Tél.: 71 244 151 - www.haica.tn - contact@haica.tn
19, Rue du Lac El Biban - Lac 2-1053 Les Berges du Lac Tél.: 71 244 151 - www.haica.tn - contact@haica.tn La régulation de l audiovisuel La régulation de l audiovisuel a pour objectif de garantir la liberté
Plus en détailREUNION PUBLIQUE DE CONCERTATION SUR L OPERATION CLICHY-BATIGNOLLES. Le projet du Nouveau Palais de Justice de Paris.
REUNION PUBLIQUE DE CONCERTATION SUR L OPERATION CLICHY-BATIGNOLLES Le projet du Nouveau Palais de Justice de Paris 4 décembre 2009 LES ORIGINES DU PROJET : un fonctionnement actuel très contraint Des
Plus en détailLoi fédérale sur l agrément et la surveillance des réviseurs
Loi fédérale sur l agrément et la surveillance des réviseurs (Loi sur la surveillance de la révision, LSR) 221.302 du 16 décembre 2005 (Etat le 1 er septembre 2007) L Assemblée fédérale de la Confédération
Plus en détailLoi fédérale sur l agrément et la surveillance des réviseurs
Loi fédérale sur l agrément et la surveillance des réviseurs (Loi sur la surveillance de la révision, LSR) 221.302 du 16 décembre 2005 (Etat le 1 er janvier 2013) L Assemblée fédérale de la Confédération
Plus en détailR E C R U T E M E N T S D E M A G I S T R A T S C O N C O U R S C O M P L E M E N T A I R E S 2 0 1 4
LES TEXTES Ordonnance n 58-1270 du 22 décembre 1958 modifiée portant loi organique relative au statut de la magistrature. Décret n 2001-1099 du 22 novembre 2001 relatif aux modalités du recrutement de
Plus en détailLOI CONSOMMATION. Suppression des frais de restitution de dossier en cas de changement d autoécole
LOI CONSOMMATION La loi consommation du 17 mars 2014 redonne du pouvoir au consommateur. Nous vous proposons de découvrir cette série de mesures en faveur des français selon différentes thématiques : VOITURE
Plus en détailAZ A^kgZi Yj 8^idnZc
Bienvenue à l âge de la majorité! l État vous présente vos droits et devoirs ainsi que les principes fondamentaux de la République à travers «Le Livret du Citoyen» Nom... Prénom... Date de naissance...
Plus en détailPoint sur la régularisation fiscale des avoirs non déclarés situés à l étranger.
Olivier HOEBANX Associé BMH Avocats Point sur la régularisation fiscale des avoirs non déclarés situés à l étranger. Introduction Depuis quelques années, de nombreux pays se sont engagés dans des démarches
Plus en détailACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ
INSTITUT DE MANAGEMENT PUBLIC ET GOUVERNANCE TERRITORIALE 21 RUE GASTON DE SAPORTA 13100 AIX EN PROVENCE DIPLOME UNIVERSITAIRE (DU) ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ OBJECTIFS Faire comprendre
Plus en détailTRAITE DE LISBONNE. Marie-Laure BASILIEN-GAINCHE* La Cour constitutionnelle fédérale d Allemagne a rendu, le 30 juin 2009, une décision fort
L ALLEMAGNE ET L EUROPE. REMARQUES SUR LA DECISION DE LA COUR CONSTITUTIONNELLE FEDERALE RELATIVE AU TRAITE DE LISBONNE Marie-Laure BASILIEN-GAINCHE* INTRODUCTION La Cour constitutionnelle fédérale d Allemagne
Plus en détailMERCREDI 28 MAI 18H30 A 20H30 UNIVERSITÉ PARIS DAUPHINE SALLE RAYMOND ARON COLLOQUE : LA TELEVISION TELLE QUE NOUS LA CONNAISSONS EST-ELLE MORTE?
MERCREDI 28 MAI 18H30 A 20H30 UNIVERSITÉ PARIS DAUPHINE SALLE RAYMOND ARON COLLOQUE : LA TELEVISION TELLE QUE NOUS LA CONNAISSONS EST-ELLE MORTE? Dans le cadre des Soirées Numériques de Dauphine, le Master
Plus en détailFISCALITE DES DONS, LEGS ET DATION
FISCALITE DES DONS, LEGS ET DATION AU PROFIT DU MUSEE DU QUAI BRANLY I. Définitions, avantages fiscaux et limites relatifs aux donations, legs et dations A. Don d argent ou d œuvres d art à un musée :
Plus en détailA/RES/55/25 II. Protection des victimes de la traite des personnes
2. L original de la présente Convention, dont les textes anglais, arabe, chinois, espagnol, français et russe font également foi, sera déposé auprès du Secrétaire général de l Organisation des Nations
Plus en détailEN TEMPS RÉEL. l e s c a h i e r s. L application extraterritoriale du droit américain, fer de lance de la régulation économique internationale?
EN TEMPS RÉEL l e s c a h i e r s L application extraterritoriale du droit américain, fer de lance de la régulation économique internationale? Laurent Cohen-Tanugi 1 Décembre 2014 1 L auteur remercie Emily
Plus en détailRéponse à la consultation de la Commission européenne concernant le cadre juridique actuel régissant le droit fondamental à la protection des données
AEDH-Association européenne pour la défense des Droits de l Homme Rue de la Caserne, 33 1000 Bruxelles Numéro de registre : 0648187635-62 Réponse à la consultation de la Commission européenne concernant
Plus en détailLE CRÉDIT A LA CONSOMMATION Au-delà des idées reçues
LE CRÉDIT A LA CONSOMMATION Au-delà des idées reçues Juillet 2013 SOMMAIRE I. L utilité du crédit à la consommation Quel est le rôle du crédit dans l économie? Le marché du crédit à la consommation. A
Plus en détailLe ministre de l'intérieur, de la sécurité intérieure et des libertés locales
DIRECTION DE LA DEFENSE ET DE LA SECURITE CIVILES SOUS DIRECTION DE LA DEFENSE CIVILE Paris, le 23 avril 2003 ET DE LA PREVENTION DES RISQUES Bureau de la Réglementation Incendie et des Risques pour le
Plus en détailTROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE
ORGANISATION FOR ECONOMIC CO-OPERATION AND DEVELOPMENT TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE 14-15 septembre 2006 Séoul, Corée Déclaration de Séoul (version définitive) CENTRE
Plus en détailChanger plus facilement d opérateur de télécommunications. Consultation publique
Changer plus facilement d opérateur de télécommunications Consultation publique Le développement d un marché concurrentiel des services de communications électroniques suppose que les consommateurs puissent
Plus en détailB*capital. Accompagner chacun de vos investissements. Partager notre passion
B*capital Accompagner chacun de vos investissements Partager notre passion 02 Édito 03 Investir en Bourse bien accompagné Vous prenez chaque jour des décisions importantes pour votre argent et recherchez
Plus en détail(Du 1 er juillet 2013)
Réponse du Conseil communal au Conseil général à l interpellation n 13-601 du groupe socialiste par M. Baptiste Hurni & consorts, intitulée «Pour un retour des poubelles publiques dans les rues de notre
Plus en détailwww.habefast.ch contact@habefast.ch Agence web en Suisse romande CH-1260 Nyon 022 362 25 70
1 By Agence web en Suisse romande 2 Qu est ce qu est le SEO? Le référencement naturel ou SEO (Search Engine Optimisation) est une pratique qui, comme son nom l indique, permet d optimiser un site web pour
Plus en détailLes autorités judiciaires françaises n ont pas mis en œuvre de politique nationale de prévention dans ce domaine.
COMITE D EXPERTS SUR LE TERRORISME (CODEXTER) CYBERTERRORISME L UTILISATION DE L INTERNET A DES FINS TERRORISTES FRANCE Avril 2008 Kapitel 1 www.coe.int/gmt A. Politique Nationale 1. Existe-t-il une politique
Plus en détailNouvelle réforme du droit des entreprises en difficulté. 1 er juillet 2014
Nouvelle réforme du droit des entreprises en difficulté 1 er juillet 2014 Nouvelle réforme du droit des entreprises en difficulté 2 S O M M A I R E PAGES Contexte 3 Rappel des différentes procédures existantes
Plus en détailPROFILAGE : UN DEFI POUR LA PROTECTION DES DONNEES PERSONNELLES Me Alain GROSJEAN Bonn & Schmitt
PROFILAGE : UN DEFI POUR LA PROTECTION DES DONNEES PERSONNELLES Me Alain GROSJEAN Bonn & Schmitt ASPECTS TECHNIQUES M. Raphaël VINOT CIRCL SEMINAIRE UIA ENJEUX EUROPEENS ET MONDIAUX DE LA PROTECTION DES
Plus en détailRegard critique de D.E.I.-France sur le 2 rapport de la France relatif à l application de la CIDE. Genève le 6 février 2004
Regard critique de D.E.I.-France sur le 2 rapport de la France relatif à l application de la CIDE Genève le 6 février 2004 intervention de Fabienne Bonnet-Cogulet et Jean-Pierre Rosenczveig 1 La légitimité
Plus en détailN 1020 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE RÉSOLUTION EUROPÉENNE
N 1020 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 QUATORZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 7 mai 2013. PROPOSITION DE RÉSOLUTION EUROPÉENNE sur le mandat de
Plus en détailDéclaration des droits sur Internet
Déclaration des droits sur Internet 1 Préambule Internet a décisivement contribué à redéfinir l espace public et privé, à structurer les rapports entre les personnes et entre celles-ci et les institutions.
Plus en détailLE CONTROLE DES CONCENTRATIONS DANS LE NOUVEAU DROIT SUISSE DE LA CONCURRENCE. par Pierre Tercier et Silvio Venturi*
LE CONTROLE DES CONCENTRATIONS DANS LE NOUVEAU DROIT SUISSE DE LA CONCURRENCE par Pierre Tercier et Silvio Venturi* Dans le numéro précédent de la Revue du droit international des affaires, les auteurs
Plus en détailMASTER PROFESSIONNEL MÉDIATION ET MODÈLES DE DÉVELOPPEMENT. Description des UE, semestres 3 et 4 2011-2012
MASTER PROFESSIONNEL MÉDIATION ET MODÈLES DE DÉVELOPPEMENT Description des UE, semestres 3 et 4 2011-2012 UE 1 Médiation et communication dans les organisations 40h CM, 20h TD - 6 ECTS, coefficient 2 Session
Plus en détailLa cybercriminalité et les infractions liées à l utilisation frauduleuse d Internet : éléments de mesure et d analyse pour l année 2012
La cybercriminalité et les infractions liées à l utilisation frauduleuse d Internet : éléments de mesure et d analyse pour l année 2012 Jorick Guillaneuf, chargé d études statistiques à l ONDRP DOSSIER
Plus en détailDécision n 12-DCC-163 du 29 novembre 2012 relative à la prise de contrôle exclusif de la société Natixis Financement par le groupe BPCE
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Décision n 12-DCC-163 du 29 novembre 2012 relative à la prise de contrôle exclusif de la société Natixis Financement par le groupe BPCE L Autorité de la concurrence, Vu le dossier
Plus en détailJournées Internet pour le droit, 6 ème édition, Paris, 3-5 novembre 2004 Etat des convergences
Commission Nationale de l Informatique et des Libertés Journées Internet pour le droit, 6 ème édition, Paris, 3-5 novembre 2004 Etat des convergences Vendredi 5 novembre 2004, deuxième journée : Jurisprudence
Plus en détailADMINISTRATION (BI COMMERCE ET GESTION)
Descriptions des cours Administration ADMINISTRATION (BI COMMERCE ET GESTION) L entreprise et son environnement ADM-B01-12 401-B01-BR 3-0-3 Automne À la fin de ce cours, l étudiant sera capable d identifier
Plus en détailLe CR2PA Un club Utilisateurs pour l archivage managérial
Le CR2PA Un club Utilisateurs pour Atelier BNP Paribas, 10 mars 2011 Marie-Anne Chabin (secrétaire général du CR2PA, CNAM) & Clotilde Cucchi-Vignier (CR2PA, Total SA) Un club utilisateurs Né en 2008 De
Plus en détailExposé au Comité spécial sur les coopératives de la Chambre des communes 7 août 2012
Exposé au Comité spécial sur les coopératives de la Chambre des communes 7 août 2012 Introduction Le Groupe Co-operators limitée est détenu et dirigé par 45 membres-propriétaires de tout le Canada, issus
Plus en détailLes approches de la précarité énergétique en Allemagne
Les approches de la précarité énergétique en Allemagne Ute DUBOIS, ISG Business School, Paris, ute.dubois@isg.fr Ines MAYER, European Institute for Energy Research (EIFER), Karlsruhe mayer@eifer.org Atelier
Plus en détailDossier de presse. La non-assurance routière en France en 2013
Dossier de presse La non-assurance routière en France en 2013 Dossier de presse Sommaire Le communiqué de presse Page 3 Quelle ampleur et quelle évolution? Page 5 Quel est le profil des non-assurés? Page
Plus en détailContrat relatif à l utilisation du bureau de clearing de la ZEK pour le décret 178. en tant qu utilisateur ecode178
Contrat relatif à l utilisation du bureau de clearing de la ZEK pour le décret 178 en tant qu utilisateur ecode178 entre l Association pour la gestion d une centrale d information de crédit (ci-après:
Plus en détailRAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION A L ASSEMBLEE GENERALE
22.05.08 RAPPORT DU CONSEIL D ADMINISTRATION A L ASSEMBLEE GENERALE Le Conseil d administration de la Société Générale a pris connaissance du rapport ci-joint du Comité spécial qu il a constitué le 30
Plus en détailGUIDE DES SOLUTIONS DE PAIEMENT SECURISE
GUIDE DES SOLUTIONS DE PAIEMENT SECURISE ALLIANCE RESEAUX 26, rue Saint Exupéry - BP 144 73303 Saint Jean de Maurienne Cedex Tél : 04 79 64 07 72 Email : support@alliance-reseaux.com 1 I - SYSTEMES PROPOSES
Plus en détailLOI N 2006-01 portant Code des Postes
REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi LOI N 2006-01 portant Code des Postes EXPOSE DES MOTIFS Le secteur postal connaît actuellement des mutations liées notamment aux avancées technologiques,
Plus en détailLes investissements internationaux
Conclusion : Doit-on réguler les IDE? Les investissements internationaux Introduction : Qu est ce qu un investissement direct à l étranger (IDE)? I) L évolution des IDE 1 Les IDE : une affaire entre riches
Plus en détailAvocat pour la défense des droits des animaux
Avocat pour la défense des droits des animaux Nécessité d avocats pour la défense des droits des animaux sur l ensemble du territoire helvétique Incapables de se défendre par eux-mêmes, les animaux ne
Plus en détailLilia Parisot, DAEMI académie de Nice Jean-Paul Delbrayelle, Référent CLEMI Alpes-Maritimes académie de Nice
Animatrice : Evelyne Bévort, Directrice déléguée du CLEMI Lilia Parisot, DAEMI académie de Nice Jean-Paul Delbrayelle, Référent CLEMI Alpes-Maritimes académie de Nice De nos jours Internet constitue une
Plus en détailChapitre 3 Le modèle genevois d organisation du travail de maturité
République et Canton de Genève Département de l'instruction publique Enseignement secondaire II postobligatoire TRAVAIL DE MATURITÉ : BASES RÉGLEMENTAIRES ET DÉROULEMENT DU TRAVAIL Résumé du rapport On
Plus en détailLoi modifiant la Loi sur l assurance automobile
DEUXIÈME SESSION TRENTE-SIXIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 37 Loi modifiant la Loi sur l assurance automobile Présentation Présenté par Madame Pauline Marois Ministre des Finances Éditeur officiel du
Plus en détailL Europe et le crime : des défis sous-estimés? *
L Europe et le crime : des défis sous-estimés? * Jean-François Gayraud Commissaire divisionnaire et essayiste. Il a publié récemment La grande fraude. Crime, subprimes et crises financières, Odile Jacob,
Plus en détailLe comité d entreprise
Le comité d entreprise En bref Dans les entreprises de 50 salariés et plus, le chef d entreprise est tenu d organiser la mise en place d un comité d entreprise (CE) composé de représentants élus du personnel
Plus en détailÉthique et banques coopératives : les occasions manquées de la sphère financière mutualiste française!
Éthique et banques coopératives : les occasions manquées de la sphère financière mutualiste française! «Éthique et responsabilité sociale des banques : aux confins de leur responsabilité juridique» (Colloque
Plus en détailL INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS
1 L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE : LE PREMIER SECTEUR ECONOMIQUE FRANCAIS xz Sabrina TONNERRE Juriste Master II Droit des activités économiques Option Droit de l agroalimentaire Sous la direction de Maître
Plus en détailLA RESPONSABILITE PROFESSIONNELLE DE L INFIRMIER(E) Laurence VENCHIARUTTI, Infirmière Libérale, Expert infirmier, Nantes
LA RESPONSABILITE PROFESSIONNELLE DE L INFIRMIER(E) Laurence VENCHIARUTTI, Infirmière Libérale, Expert infirmier, Nantes La profession infirmière Elle est protégée par le Code de la santé publique. L exercice
Plus en détailCirculaire de la DACG n CRIM 08-01/G1 du 3 janvier 2008 relative au secret de la défense nationale NOR : JUSD0800121C
Secret de la défense nationale Circulaire de la DACG n CRIM 08-01/G1 du 3 janvier 2008 relative au secret de la défense nationale NOR : JUSD0800121C Textes source : Articles 413-5, 413-7, 413-9 à 413-12,
Plus en détail