Enquête mycotoxines : la contamination des blés en France depuis 2010
|
|
- Bruno Bédard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Enquête mycotoxines : la contamination des blés en France depuis 21 Pour la première fois, NEOVIA publie, en collaboration avec le laboratoire d analyse LABOCEA (ex LDA 22) les résultats de son enquête sur la contamination en mycotoxines des blés en France, de 21 à 213. Aujourd hui, l expertise de NEOVIA ne s étend plus seulement à l amélioration continue de sa gamme d additifs, mais aussi à la réalisation d enquêtes mycotoxines solides sur matières premières et aliments. Le saviez- vous? La problématique des mycotoxines est connue depuis plus de 5 ans, et il existe potentiellement plus de 3 molécules différentes. Plus de 1 mycotoxines et métabolites ont d ores et déjà été recensées jusqu aujourd hui, et 43 peuvent être analysées en routine pour la nutrition animale. De plus, si les effets de certaines mycotoxines sur la santé et les performances des animaux sont bien connus, les interactions entre différentes molécules sont souvent négligées voire complétement oubliés! Ces effets combinés (on parle d effets synergiques) sont pourtant souvent bien plus dangereux pour les animaux que la simple addition des effets un à un des différentes mycotoxines. Regardons ensemble quelles contaminations en mycotoxines ont affecté les blés français depuis 21 Sans oublier les co- contaminations et les effets de synergies! MATERIEL & METHODE Depuis 21, plus de 25 échantillons de blé français ont été analysés par Neovia et LABOCEA (cf. tableau n 1). Tous ces échantillons ont été analysés grâce à la méthode de chromatographie liquide couplée à une spectrographie de masse (LC- MS / MS), avec des seuils de détection, très fins, variables en fonction des mycotoxines (cf. tableau n 2). Tableau n 1 : Nombre d échantillons analysés par an Nombre d échantillons de blé analysés en Nombre d échantillons de blé analysés en Nombre d échantillons de blé analysés en Nombre d échantillons de blé analysés en
2 Tableau n 2 : Seuils minimaux de détection SEUIL DE MOLECULE DETECTION (PPB) T- 2 / HT- 2 T- 2 Tétraol >2 T- 2 Triol >2 DON DOM ac DON 3 ac DON Nivalénol Zéaralenone Au total, 43 mycotoxines différentes ont été testées dans chaque échantillon : des mycotoxines se développant majoritairement au champ comme les trichothécènes, la zéaralénone et les fumonisines ; mais aussi des mycotoxines se développant surtout pendant la conservation au silo, comme les ochratoxines et les aflatoxines ; et des mycotoxines pouvant se développer aussi bien au champ que pendant la conservation, comme les alcaloïdes de l ergot. Cette étude synthétise donc plus de 1 5 analyses de mycotoxines. Afin d évaluer la fréquence d apparition de métabolites ou des molécules de mêmes familles, la présence relative des «molécules sœurs» de la toxine T- 2, du DON, de la fumonisine B1, de la zéaralénone, de l aflatoxine B1 et de l ochratoxine A ont été calculés. Enfin, 36 couples de mycotoxines les plus fréquents (co- contamination) ont été identifiés, afin de corréler la présence d une toxine à une seconde. Somme des métabolites Somme fumonisines B1, B2 et B3 Monoliformine Acide ténuazonique Somme des alcaloïdes Sommes des aflatoxines Ochratoxine A >5 >1 >1 L interprétation des résultats présentés ci- après doit tenir compte du fait que tous ces échantillons de blés n ont pas tous été envoyés en analyse au hasard. Certains étaient suspectés d être contaminés, l analyse venant confirmer (ou inverser) ces suspicions. RESULTATS OCCURRENCE DES MYCOTOXINES Au travers des 251 résultats d analyses effectuées sur des blés, des nettes tendances de contamination ont pu être révélées (cf. tableau 3). Ainsi, au cours des 4 dernières récoltes, en moyenne 88% des blés analysés étaient contaminés par du déoxynivalénol (DON) aussi appelé vomitoxine, produit par les moisissures de champs souvent de type Fusarium. Ce taux atteint même 97% pour la récolte 213! D autres toxines de Fusarium, le nivalénol et la zéaralénone, sont elles aussi retrouvées à fréquences élevées (respectivement 61% et 24% des échantillons contaminés en moyenne). D importantes contaminations par des mycotoxines produites généralement autant au champ que pendant la conservation ont aussi été observées. C est de cas de l acide ténuazonique, présent dans 2% des échantillons de blés analysés, et des alcaloïdes de l ergot dans 25% des échantillons.
3 Ainsi un profil général {blé français} peut être dégagé. Toutefois les pourcentages et niveaux de contaminations varient chaque année. Les contaminations sont donc à suivre annuellement pour avoir une réelle vue des risques encourus pour la santé des animaux. 2 exemples pour illustrer ce propos : - En 21, le pourcentage d échantillons contaminés par du DON était inférieur à celui de 213, mais en moyenne les échantillons étaient 6% plus contaminés! a été l année présentant les plus fortes contaminations en Nivalénol, alors que ce fut l année 212 pour les toxines T- 2 / HT- 2. Tableau n 3 : Occurrence des mycotoxines par année de récolte FAMILLE DE MYCOTOXINE MOLECULE % ECHANTILLONS CONTAMINES MOYENNE (PPB) ECART- TYPE (PPB) T- 2 / HT- 2 15% 18% 26% 16% Trichothécènes de type A Métabolites: T- 2 Tétraol 12% 6% 9% 9% T- 2 Triol % % 1% % 2 DON 85% 81% 87% 97% Champs Trichothécènes de type B Métabolites: DOM ac DON 3 ac DON 15% 15% 15% 1% 7% 4% 5% 16% 7% % 3% 11% Nivalénol 54% 61% 6% 67% Zéaralenone Zéaralenone 38% 9% 29% 27% Métabolites 8% 1% 1% 2% Fumonisines Fumonisines B1, B2 et B3 15% 4% 5% 8% Autre produit de Fusarium sp. Monoliformine 8% % 3% 11% Champs et stockage Alternaria Alcaloïdes de l ergot Acide ténuazonique Somme des alcaloïdes 42% 34% 12% 8% % 16% 37% 25% Stockage Aflatoxines Sommes des aflatoxines % % % % Ochratoxines Ochratoxine A 15% 1% % 5% Effets sur les animaux Seules ou conjuguées à d autres problèmes pathologiques ou mauvaises conduites d élevages, les mycotoxicoses provoquent et amplifient sensiblement les pertes de performances des troupeaux et les effets sur la santé des animaux. Aussi, lorsqu elles sont présentes simultanément dans une matière première, les
4 mycotoxines peuvent créer des synergies et avoir des conséquences bien plus délétères pour la santé des animaux que la simple addition des effets des mycotoxines isolées! Le DON, présent majoritairement dans les échantillons analysés, a des effets plus ou moins importants selon la sensibilité des espèces : les porcs y sont très sensibles, les volailles et ruminants relativement moins. Les premiers effets d une intoxication chronique par le DON sont des baisses de GMQ et d ingestion ainsi que des altérations de l immunité. Bien que légèrement moins présent dans les échantillons analysés, le nivalénol, autre trichothécène de type B (comme le DON), est reconnu pour être globalement plus toxique que le DON : il est documenté pour son immunotoxicité et son hématotoxicité. La zéaralénone est, elle, très bien documentée pour ses effets délétères sur la reproduction. Les espèces les plus sensibles aux effets de la zéaralénone sont les porcs, suivis des ruminants et des volailles. Ses effets peuvent varier entre retard d œstrus, avortements, baisse de la qualité de semence et modifications des caractères sexuels. Enfin, l acide ténuazonique présent dans 2% des échantillons, amplifie les effets des trichothécènes, et les alcaloïdes de l ergot retrouvés dans un quart des blés analysés sont à l origine de baisse de GMQ et de troubles de la fertilité, notamment chez les porcs. CO- CONTAMINATION PAR DES METABOLITES ET / OU DES MOLECULES SŒURS En règle générale, dans les plans de contrôle de matières premières, seules les mycotoxines les plus connues sont recherchées. Mais bien souvent, lorsqu il y a une contamination par de la fumonisine B1 par exemple, il y a également présence des fumonisines B2 voire B3. Même constat pour le DON et le 15- acetyl- DON ou le 3- acetyl- DON ou le DOM- 1 D où l importance de savoir si, lorsque l on trouve une mycotoxine, il faut considérer cette contamination seule ou s il faut considérer les autres molécules morphologiquement proches qui auront des effets similaires sur les animaux Le graphique 1 ci- dessous présente le pourcentage d échantillons contaminés à la fois par une molécule et par des molécules morphologiquement proches, pour les échantillons de la récolte 213. Nombre d'échantillons contaminés par mycotoxine et métabolites (%) 7% 6% 5% 4% 3% 2% 1% % Graphique n 1: Contaminations multiples. Récolte 213 (64 échantillons) 4% T- 2 + métabolites 34% DON + métabolites 67% Fumonisine B1 + métabolites 6% Zéaralénone + métabolites ABlatoxine B1 + Ochratoxine A + métabolites métabolites Il ressort que pour trois mycotoxines, les blés français sont également très souvent contaminés par leurs métabolites ou molécules sœurs: fumonisine B1, toxine T- 2, et DON. Cependant, même si 67% des échantillons contaminés par la fumonisine B1 le sont aussi par ses molécules sœurs (fumonisines B2 et B3), les quantités de
5 toxines présentes ne sont généralement pas assez élevées pour impacter notablement la santé ou les performances des animaux (sauf exceptions). Les métabolites de la toxine T- 2 (HT- 2, T- 2 triol, T- 2 tétraol), présents dans 4% des échantillons contaminés par cette première, ont des toxicités globalement très supérieures à celle du DON, tout comme la toxine T- 2 elle- même. Il est donc important d en tenir compte pour l évaluation de la qualité des blés. Enfin, 34% des échantillons contaminés par le DON contiennent également des métabolites de DON : 3- ac- DON, 15- ac- DON et/ou DOM- 1. Comparées au DON, ces métabolites ont des toxicités variables en fonction des espèces. Ainsi le 15- ac- DON est prouvé pour être environ 5 fois plus toxique pour les porcs que ne peut l être le DON alors que le DOM- 1 semble moins toxique, par exemples. CO- OCCURRENCE DES MYCOTOXINES Graphique n 2 : Contamination par couples de mycotoxines Récolte 213 (64 échantillons) Nivalénol + Alcaloïdes de l'ergot Nivalénol + Zéaralénone DON + Nivalénol DON + Alcaloïdes de l'ergot DON + Monoliformine DON + Zéaralénone T- 2 + Nivalénol T- 2 + DON 18,8% 19,% 25,% 1,9% 26,6% 12,5% 14,1% 67,2%,% 1,% 2,% 3,% 4,% 5,% 6,% 7,% 8,% Parmi les 36 couples de mycotoxines étudiés, seuls 8 couples contaminent plus de 1% des échantillons (voir graphique 2). C est le cas notamment du couple {DON + Nivalénol} qui apparait dans plus de 67% des échantillons de blé analysés. D autres co- contaminations apparaissent fréquemment, comme le DON associé à la zéaralénone ou le DON associé aux alcaloïdes de l ergot. Globalement, ces associations de mycotoxines suivent les tendances de contamination des échantillons. En effet, le DON étant présent dans 97% des échantillons de la récolte 213, il se retrouve de fait très souvent associé à plusieurs types de toxines présentes également dans ces échantillons! Les effets de ces co- contaminations ne doivent cependant pas être négligés. Deux mycotoxines présentes dans un échantillon à des niveaux individuels trop faibles pour être toxiques peuvent le devenir lorsqu elles sont associées. C est notamment le cas de la synergie créée par le DON et le Nivalénol qui, associés, altèrent l intégrité de la barrière intestinale des animaux, parfois même à de très faibles concentrations. L association du DON et de la zéaralénone présente également un autre effet synergique notable. Elle provoque notamment des baisses de GMQ et de consommation alimentaire, ainsi qu une altération de l immunité, notamment chez les porcs. Des troubles de la reproduction peuvent également être observés, même avec des faibles contaminations en zéaralénone. Enfin, même si peu d études ont été réalisées sur les potentiels effets synergiques des alcaloïdes de l ergot et du DON, cette combinaison semble être additive.
6 CONCLUSION L enquête mycotoxines réalisée par NEOVIA en collaboration avec LABOCEA sur les blés des récoltes 21 à 213 apporte une information souvent demandée par les professionnels de la nutrition animale en France : quelles sont les mycotoxines présentes dans les blés? Au- delà de cette première réponse qualitative et quantitative, l enquête met en lumière que la contamination des matières premières ne peut se résumer à la seule présence de 6 principales mycotoxines usuellement recherchées (DON, T- 2, FB1, ZON, OTA, AFLA). Il s agit d un sujet bien plus complexe, qu il faut aborder dans sa totalité. Plus d études doivent désormais être menées pour mieux appréhender les effets synergiques que peuvent avoir certaines mycotoxines entre elles, et pour mieux connaitre les effets de certaines toxines. La communauté scientifique internationale publie de nombreux travaux chaque année, enrichissant petit à petit la connaissance sur ce thème compliqué et souvent sous- estimé pour les professionnels. Les mycotoxines dans l alimentation constituent un problème majeur pour la santé des animaux, très souvent difficile à diagnostiquer. Une approche globale peut être mise en place afin de mieux évaluer les risques pour les animaux. Une stratégie adaptée peut être également adoptée pour contrer les effets néfastes en cas de contaminations avérées. Pour faire face à cette thématique complexe, n hésitez pas à faire appel à des experts.
MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques
MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques E. MARENGUE ( LDA22 ) et S. HULOT ( IDAC ) PLAN 1) La problématique 2) Les évolutions règlementaires 3) L échantillonnage : étape clé 4) Les techniques
Plus en détailPour en savoir plus sur la
Pour en savoir plus sur la Connaître son ennemi Moyens de lutte Mycotoxines La recherche Ce que vous pouvez faire La fusariose de l épi est une maladie fongique qui touche plusieurs cultures céréalières
Plus en détailPrévention de la fusariose des épis de maïs et de l accumulation de mycotoxines dues aux Fusarium spp.
Prévention de la fusariose des épis de maïs et de l accumulation de mycotoxines dues aux Fusarium spp. Elzbieta Czembor, Plant Breeding and Acclimatization Institute, Radzikow, Pologne; Jozef Adamczyk,
Plus en détail*Institut Supérieur Agricole de Beauvais, Département des Sciences Animales, B.P. 30313, 60026, Beauvais Cedex
Appréciation de la qualité sanitaire du CORAMI, co-produit de l'amidonnerie du blé utilisé en alimentation porcine Diana RINGOT* Pascale LESTRADET* Francis WILLEQUET* *Institut Supérieur Agricole de Beauvais,
Plus en détailREP12/CF, par. 92. 2. REP13/CF, par. 127-132.
Point 14 de l ordre du jour CX/CF 14/8/14 Février 2014 PROGRAMME MIXTE FAO/OMS SUR LES NORMES ALIMENTAIRES COMITÉ DU CODEX SUR LES CONTAMINANTS DANS LES ALIMENTS Huitième session La Haye, Pays-Bas, 31
Plus en détailInfestation par Dipylidium caninum,
Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le
Plus en détailOGM et alimentation : peut-on identifier et évaluer des bénéfices pour la santé?
OGM et alimentation : peut-on identifier et évaluer des bénéfices pour la santé? Étude au travers de 4 exemples : Les plantes résistantes à des insectes La betterave tolérante au glyphosate L'enrichissement
Plus en détail2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits
2.0 Interprétation des cotes d évaluation des risques relatifs aux produits L interprétation des cotes attribuées dans le cadre des évaluations des risques relatifs aux produits décrite plus loin repose
Plus en détailBase de données multifactorielle de l incidence des facteurs agro-climatiques sur l intensité de la fusariose et sur les teneurs en fusariotoxines
Base de données multifactorielle de l incidence des facteurs agro-climatiques sur l intensité de la fusariose et sur les teneurs en fusariotoxines A database to compute the influence of agro-climatic factors
Plus en détailRESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV
RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE, Suivant la proposition de la Commission I
Plus en détailFORMULES DE CALCUL. Prix = PV TTC = PV HT x (1 + taux de TVA) TVA = PV HT x taux de TVA PV HT = PV TTC 1 + taux de TVA
FORMULES DE CALCUL Le prix : Prix = PV TTC = PV HT x (1 + taux de TVA) TVA = PV HT x taux de TVA PV HT = PV TTC 1 + taux de TVA Ex : PV TTC = 250 x 1,196 = 299. TVA = 250 x 19,6 % = 49. PV HT = 299 = 250.
Plus en détailSimulation d application des règles CNAV AGIRC ARRCO sur des carrières type de fonctionnaires d Etat
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 10 avril 2014 à 9 h 30 «Carrières salariales et retraites dans les secteurs et public» Document N 9 Document de travail, n engage pas le Conseil Simulation
Plus en détailAMELIORATION DE LA FIABILITE D UN MOTEUR GRÂCE AU TEST STATIQUE ET DYNAMIQUE
AMELIORATION DE LA FIABILITE D UN MOTEUR GRÂCE AU TEST STATIQUE ET DYNAMIQUE Le test statique est un moyen très connu pour évaluer les moteurs électriques. Cependant, si un moteur ne peut pas être arreté,
Plus en détailLe Plomb dans l eau AGENCE NATIONALE POUR L AMÉLIORATION DE L HABITAT
Le Plomb dans l eau De quoi s agit-il? De quoi parle-t-on? Où le trouve-t-on? Quelle est son origine? Responsabilités Quels sont les effets néfastes du plomb dans l eau sur la santé? Comment les détecter?
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailSynthèse. Jeux d argent. Internet et jeux vidéo. Comparaison avec les apprentis
ENQUÊTE SUR LA PRATIQUE D INTERNET, DES JEUX VIDEO ET JEUX D ARGENT PAR DES COLLEGIENS PAS C AL E SCH AL B E T T E R, LIC.ES.SOC. C O L L AB O R AT R I C E S C I E N T I F I Q U E AD D I C T I O N VAL
Plus en détailSystème Management Environnemental
Système Management Environnemental Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine Laboratoire de Touraine - Bassin Eaux Pluviales Environnemental Politique Qualité Sécurité Environnement Sommaire Norme
Plus en détailÉVALUATION DU RISQUE SANITAIRE LIE A LA PRÉSENCE D OCHRATOXINE A DANS DES FARINES ALIMENTAIRES ET LES VINS COMMERCIALISÉES AU BÉNIN
International Journal of Innovation and Applied Studies ISSN 2028-9324 Vol. 7 No. 3 Aug. 2014, pp. 1085-1089 2014 Innovative Space of Scientific Research Journals http://www.ijias.issr-journals.org/ ÉVALUATION
Plus en détailCOMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE FEDERALE POUR LA SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE
1/8 COMITE SCIENTIFIQUE DE L AGENCE FEDERALE POUR LA SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE AVIS 36-2006 Concerne : Contrôle de la composition des denrées alimentaires (dossier Sci Com 2005/25) Le Comité scientifique
Plus en détailMYCOTOXINES : Guide d'utilisation des kits immunoenzymatiques format microplaques (kits ELISA)
SOMMAIRE MYCOTOXINES : Guide d'utilisation des kits immunoenzymatiques format microplaques (kits ELISA) Institut de Recherches Technologiques Agro-Alimentaires des Céréales Version 2 SOMMAIRE Points Critiques
Plus en détailProgramme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena. 28-30 avril 2015
Deuxi ème jour Premier jour Jour 0 Programme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena 28-30 avril 2015 Date Heure Activité Veille du forum (Hôtel KEMPINSKI) Arrivée
Plus en détailCirculaire relative au monitoring dioxine des produits à risque destinés à l alimentation animale
gence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire Circulaire relative au monitoring dioxine des produits à risque destinés à l alimentation animale Référence PCCB/S1/JPM/912984 Date 18/02/2014 Version
Plus en détailGranulés anti-limaces : pas sans risques!
Granulés anti-limaces : pas sans risques! Conseils pratiques pour une utilisation et un stockage corrects et sans danger pour vos animaux domestiques Comment utiliser et stocker sans danger les granulés
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailGrandes cultures Engrais liquides ou granulaires?
Grandes cultures Engrais liquides ou granulaires? Louis Robert, agronome, M. Sc. Conseiller régional en grandes cultures Même s ils ne sont pas nouveaux sur le marché, les engrais de démarrage liquides
Plus en détailLe but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION
LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant
Plus en détailBien choisir sa variété de maïs ensilage
Bien choisir sa variété de maïs ensilage Le maïs ensilage n est pas une culture difficile à cultiver. Pour choisir sa variété, l agriculteur dispose aujourd hui d une multitude de critères : attention
Plus en détailEFFICACITE DE LA RPP DANS LA DÉTECTION DE SUBSTANCES ISSUES DES FAMILLES DU MDMA, DES AMPHETAMINES ET DES HALLUCINOGENES TYPE 2CB RECUEILLIES EN MILIEU FESTIF PRADEILLE J.L.*, CHAKROUN N.**, BELTRAN V.*,
Plus en détailEVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE
EVALUATION DU RISQUE CHIMIQUE Cette évaluation doit être systématique, quelle que soit l activité de l entreprise, même s il n y a pas d exposition a priori du fait des activités de travail. L'objectif
Plus en détailSYNTHESE SUR L ETUDE DES METIERS DU PRESSING - Janvier 2008 -
SYNTHESE SUR L ETUDE DES METIERS DU PRESSING - Janvier 2008 - OBJECTIF DE L ETUDE L objectif de cette étude est de répertorier tous les risques professionnels dans un pressing (base de l évaluation des
Plus en détailPhotographie statistique des accidents de travail, des accidents de trajet et des maladies professionnelles en France selon le sexe entre 2001 et 2012
Photographie statistique des accidents de travail, des accidents de trajet et des maladies professionnelles en France selon le sexe entre 2001 et 2012 Des tendances d évolution différenciées pour les femmes
Plus en détailMYRIAD. l ADN isolé n est à présent plus brevetable!
MYRIAD La Cour Suprême des Etats-Unis revient sur plus de 30 ans de pratique : l ADN isolé n est à présent plus brevetable! Mauvaise passe pour les inventions en biotechnologies sur le territoire américain.
Plus en détailQualités nutritives des salades. DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25. Quand la météo s en mêle
DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25 Laitues d hiver Moins de pe Les laitues pommées bio se révèlent exemptes de pesticides. Plus «Bonne nouvelle: toutes les salades sont conformes et
Plus en détailNOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis
TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son
Plus en détailLes tests génétiques à des fins médicales
Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l
Plus en détailRAPPORT DE LA COUR DES COMPTES EUROPEENNES ELEMENTS DE CONTEXTE
RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES EUROPEENNES SUR L EFFICACITE DE L AIDE EXTERIEURE AUX SYSTEMES DE SANTE EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE ELEMENTS DE CONTEXTE L audit réalisé par la Cour des Comptes européennes
Plus en détailCOMMISSION EUROPÉENNE DIRECTION GÉNÉRALE DE LA SANTÉ ET DES CONSOMMATEURS
Ref. Ares(2013)2807435-01/08/2013 COMMISSION EUROPÉENNE DIRECTION GÉNÉRALE DE LA SANTÉ ET DES CONSOMMATEURS Direction F Office alimentaire et vétérinaire DG(SANCO) 2013-6657 RM FINAL PROJET DE RAPPORT
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Organisateur. Contact. Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47 34 16 + 32 496 87 46 85
DOSSIER DE PRESSE Organisateur CARI asbl Place Croix du Sud, 4 1348 Louvain la Neuve +32 (0)10 47 34 16 www.cari.be Contact Carolina Cardoso cardoso@bee- life.eu Chargée de communication + 32 (0)10 47
Plus en détailCOMMENTAiRES/ DECISIONS
Plate-forme d'échanges affichage environnemental des PGC Date : 2009-12-21 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org GT Méthodologie Numéro du document: N
Plus en détailLes exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures?
Les exploitations de grandes cultures face à la variabilité de leurs revenus : quels outils de gestion des risques pour pérenniser les structures? Benoît Pagès 1, Valérie Leveau 1 1 ARVALIS Institut du
Plus en détailContrat d insémination 2015
Centre de reproduction équine du Petit Hautier 2 Route de Paris 76220 Ménerval Tél : 02 32 89 07 11 Port : 06 88 83 60 20 www.petithautier.fr Email: doc.chollet@orange.fr Contrat d insémination 2015 Entre
Plus en détailQUESTIONS RELATIVES À LA SIGNALISATION DES DANGERS. Étiquetage des très petits emballages
NATIONS UNIES ST Secrétariat Distr. GÉNÉRALE ST/SG/AC.10/C.4/2006/12 25 avril 2006 COMITÉ D EXPERTS DU TRANSPORT DES MARCHANDISES DANGEREUSES ET DU SYSTÈME GÉNÉRAL HARMONISÉ DE CLASSIFICATION ET D ÉTIQUETAGE
Plus en détailBrock. Rapport supérieur
Simplification du processus de demande d aide financière dans les établissementss : Étude de cas à l Université Brock Rapport préparé par Higher Education Strategy Associates et Canadian Education Project
Plus en détailFocus sur les pratiques de consolidation des groupes en France. Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012"
Focus sur les pratiques de consolidation des groupes en France Restitution de l étude ESCP-Fidanza 2012" SOMMAIRE 1 Structure de l échan0llon p. 3 4 2 Acteurs comptables p. 5 6 3 Organisa0on et ou0ls de
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailGouvernance des mesures de sécurité avec DCM-Manager. Présentation du 22 mai 2014
Gouvernance des mesures de sécurité avec DCM-Manager Présentation du 22 mai 2014 Gérer les actifs logiciels et leur répartition Maîtriser le durcissement des configurations Suivre l application des correctifs
Plus en détailSoulever et porter correctement une charge
Soulever et porter correctement une charge Sommaire Cette brochure explique comment éviter de se surmener ou d avoir un accident en soulevant et en portant une charge. Le port et le levage d une charge
Plus en détailSurveillance des toxi-infections alimentaires collectives
Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2012 En 2012, 1 288 foyers de toxi-infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés en France,
Plus en détailPrincipe d un test statistique
Biostatistiques Principe d un test statistique Professeur Jean-Luc BOSSON PCEM2 - Année universitaire 2012/2013 Faculté de Médecine de Grenoble (UJF) - Tous droits réservés. Objectifs pédagogiques Comprendre
Plus en détailA-ESSE s.p.a. FICHE DE SÉCURITÉ
A-ESSE s.p.a. USINE OXYDES de ZINC FICHE DE SÉCURITÉ Oxyde de zinc 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT CHIMIQUE ET DE LA SOCIÉTÉ NOM DU PRODUIT: DÉNOMINATION COMMUNE, COMMERCIALE ET SYNONYMES: UTILISATION DE
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailEnterprise Europe Network, CCI de Lyon Contact : Catherine Jamon-Servel Tél : 04 72 40 57 46 Mail : jamon@lyon.cci.fr www.lyon.cci.
FICHE PRATIQUE LES PRODUITS BIOCIDES Enterprise Europe Network, CCI de Lyon Contact : Catherine Jamon-Servel Tél : 04 72 40 57 46 Mail : jamon@lyon.cci.fr www.lyon.cci.fr/een La Chambre de commerce et
Plus en détailObjet : Critères microbiologiques applicables aux auto-contrôles sur les carcasses d'animaux de boucherie. Destinataires d'exécution
Ordre de méthode Direction générale de l'alimentation Sous-direction de la sécurité sanitaire des aliments Bureau des établissements d'abattage et de découpe 251 rue de Vaugirard 75 732 PARIS CEDEX 15
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailCATALOGUE DES FORMATIONS
CATALOGUE DES FORMATIONS 2009 CONDUITE DES PRESSES A GRANULER OUVERT A TOUS 2 sessions : 13 Janvier et 09 Juin 2009 Adhérent : 592 TTC/personne (495 H.T.) Non Adhérent : 828,82 TTC/personne (693 H.T.)
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailUne forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux
27 novembre 2013 Nouveaux anti-coagulants oraux : une étude de l Assurance Maladie souligne la dynamique forte de ces nouveaux médicaments et la nécessité d une vigilance accrue dans leur utilisation Les
Plus en détailGénétique et génomique Pierre Martin
Génétique et génomique Pierre Martin Principe de la sélections Repérage des animaux intéressants X Accouplements Programmés Sélection des meilleurs mâles pour la diffusion Index diffusés Indexation simultanée
Plus en détailContexte réglementaire en hygiène alimentaire
Contexte réglementaire en hygiène alimentaire 1 Réforme de la législation communautaire pour la restauration collective Approche traditionnelle = obligation de moyens Réglementation Arrêté Ministériel
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailLes vers de nos compagnons
Les vers de nos compagnons Il se peut que votre animal de compagnie soit contaminé par des vers sans que vous ne vous en rendiez compte. Près d'un animal de compagnie sur deux (chat et chien) est porteur
Plus en détailhttp://mondomaine.com/dossier : seul le dossier dossier sera cherché, tous les sousdomaines
Principales fonctionnalités de l outil Le coeur du service suivre les variations de position d un mot-clé associé à une URL sur un moteur de recherche (Google - Bing - Yahoo) dans une locale (association
Plus en détailBulletin Officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes
Bulletin Officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes N 7 bis du 15 septembre 2006 C2006-36 / Lettre du ministre de l économie, des finances et de l industrie du 9 août
Plus en détailACOUSTIQUE 3 : ACOUSTIQUE MUSICALE ET PHYSIQUE DES SONS
Matériel : Logiciel winoscillo Logiciel synchronie Microphone Amplificateur Alimentation -15 +15 V (1) (2) (3) (4) (5) (6) ACOUSTIQUE 3 : ACOUSTIQUE MUSICALE ET PHYSIQUE DES SONS Connaissances et savoir-faire
Plus en détailLa planification familiale
La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup
Plus en détailEt après mes travaux?
10 Et après mes travaux? Voilà, les travaux sont terminés! Vous vous (ré)installez confortablement dans votre logement. Comment profiter le plus longtemps possible des améliorations que vous venez d apporter
Plus en détailProjet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer
DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de
Plus en détailLe déroulement de l animation
10020_GererAnimer_p076p087 Page 83 Vendredi, 12. août 2005 9:00 09 Le déroulement de l animation DOSSIER 15 Correspondance référentiel Dossier Page livre élève Compétences professionnelles Savoirs associés
Plus en détailFEDERATION EUROPEENNE DES FABRICANTS D ALIMENTS COMPOSES EUROPÄISCHER VERBAND DER MISCHFUTTERINDUSTRIE EUROPEAN FEED MANUFACTURERS FEDERATION
FEDERATION EUROPEENNE DES FABRICANTS D ALIMENTS COMPOSES EUROPÄISCHER VERBAND DER MISCHFUTTERINDUSTRIE EUROPEAN FEED MANUFACTURERS FEDERATION Commentaires de la FEFAC sur la proposition de Règlement du
Plus en détailLe Document Unique : une obligation légale des entreprises
Avis d expert Marc Koffi, Responsable de SIGMA-RH France Le Document Unique : une obligation légale des entreprises En France, le Document Unique (ou Document Unique de Sécurité - DU ou DUS), a été introduit
Plus en détaildéveloppement informatiquee DES ACVC]
Octobre 2010 CALYXIS, pôle d expertise du risque Anthony SIEUW, chargé d études statistiques et de développement informatiquee [BAROMETRE DES ACVC] ] Le 29 Septembre 2010, un questionnaire internet (www.barometre
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Le tableau de bord, outil de pilotage de l association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône-Alpes) Difficile d imaginer la conduite d un bateau sans boussole
Plus en détailServices Observatoire 2010 de l opinion sur l image des banques
Observatoire 2010 de l opinion sur l image des banques - Juillet 2010 Méthodologie Méthodologie : Cette étude a été menée dans le cadre de l'omcapi, l'enquête périodique multi-clients de l'ifop, réalisée
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailSensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments
Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailLes salariés de l économie sociale et solidaire
L'Économie sociale et solidaire Les salariés de l économie sociale et solidaire L'EMPLOI SALARIÉ L ESS, un employeur déterminant de l économie régionale 20 Relative précarité de l emploi dans l ESS 22
Plus en détailProduire avec de l'herbe Du sol à l'animal
GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8
Plus en détailNOTE SUR LA MODELISATION DU RISQUE D INFLATION
NOTE SUR LA MODELISATION DU RISQUE D INFLATION 1/ RESUME DE L ANALYSE Cette étude a pour objectif de modéliser l écart entre deux indices d inflation afin d appréhender le risque à très long terme qui
Plus en détailQuestionnaire sur l évaluation des ampoules à basse consommation d énergie et de longue durée de vie
Questionnaire sur l évaluation des ampoules à basse consommation d énergie et de longue durée de vie Edition: juillet 2013 SuperDrecksKësct B.P. 43 L-7701 olmar-berg Tel. : 00352 488 216 1 Fax : 00352
Plus en détailK W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide
La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un
Plus en détailQuel sirop choisir pour le nourrissement d hiver.
Syndicat des apiculteurs de Thann et environs Quel sirop choisir pour le nourrissement d hiver. Auteurs : R.Hummel & M.Feltin Octobre 2014 Les sirops de nourrissement : La qualité des sirops utilisés pour
Plus en détailBANQUE ALIMENT BETAIL Présenté par Seidi Mohamed Abdourahmane
Association : Conscientisation et Réflexion pour la Promotion de L Elevage. (ACRPE) Arrêté n 0033/MI/SP/D/DGAPJ/DLP BP : 24 Tahoua Tel : 96 59 05 77 E-mail : ass.acrpea@yahoo.fr BANQUE ALIMENT BETAIL Présenté
Plus en détailRAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 Date de création/révision: 25/10/1998 FICHE DE DONNEES DE SECURITE NON CLASSE
RAID PIEGES ANTI-FOURMIS x 2 1/5 RAISON SOCIALE JOHNSONDIVERSEY FICHE DE DONNEES DE SECURITE RISQUES SPECIFIQUES NON CLASSE 1 IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE - NOM DU PRODUIT RAID PIEGES ANTI-FOURMIS
Plus en détailContact cutané. Contact avec les yeux. Inhalation. Ingestion.
FICHE SIGNALÉTIQUE 995-01 Canutec 1-613-996-6666 (24 heures) 1. PRODUIT CHIMIQUE ET FOURNISSEUR Identification du produit : 995-01 Nom du produit : Graisse montage pneu Famille chimique : Mélange Fournisseur/Fabricant
Plus en détailEstimer le poids spécifique du maïs bien mûri après le séchage... 17-4. Classement... 17-15
17. Maïs Détermination du taux d impuretés... 17-2 Définitions... 17-2 Impuretés non déclarées... 17-2 Procédure normale de nettoyage... 17-2 Composition des impuretés... 17-3 Estimer le poids spécifique
Plus en détailFusariose : réduire les risques aux champs!
Fusariose : réduire les risques aux champs! Denis Pageau, M. Sc., Ferme de recherche de Normandin, AAC Pierre Filion, t.a., MAPAQ Montérégie Ouest Collaborateurs : Jean Lafond, M. Sc., Julie Lajeunesse,
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailSystème de management H.A.C.C.P.
NM 08.0.002 Norme Marocaine 2003 Système de management H.A.C.C.P. Exigences Norme Marocaine homologuée par arrêté du Ministre de l'industrie, du Commerce et des Télécommunications N 386-03 du 21 Février
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailAssociation nationale de la meunerie française
Association nationale de la meunerie française LA MEUNERIE FRANCAISE : ses entreprises, ses marchés t tla t structure des entreprises de la meunerie française La meunerie française est composée de 373
Plus en détailL hygiène en restauration collective. Formation aux ouvriers de l épicerie Sociale des Capucines Morgane DANIEL-diététicienne RSD
L hygiène en restauration collective Formation aux ouvriers de l épicerie Sociale des Capucines Morgane DANIEL-diététicienne RSD Qu est-ce que la sécurité alimentaire? Le principe de la sécurité alimentaire,
Plus en détaild un diagnostic plomb avant travaux (Hors champ code de la santé publique)
DIRECTION RÉGIONALE DES ENTREPRISES, DE LA CONCURRENCE, DE LA CONSOMMATION, DU TRAVAIL ET DE L EMPLOI Mars 2014 Préconisations pour la réalisation d un diagnostic plomb avant travaux (Hors champ code de
Plus en détailFICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles
FICHE N 8 Photodiversité, d une banque d images à un portail d activités en ligne Anne-Marie Michaud, académie de Versailles Niveaux et thèmes de programme Sixième : 1 ère partie : caractéristiques de
Plus en détail1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants
Date d impression : 23/08/02 Valable à partir du : 08.08.01 Page: 1/7 1. Identification de la substance ou préparation et de la Société Données relatives au produit : Nom commercial : KNAUF ZADUR Mortier
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailRevenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières
Agreste Champagne-Ardenne n 4 - Juillet 2015 Réseau d information comptable agricole En 2013, le Résultat Courant Avant Impôt (RCAI) moyen des exploitations agricoles champardennaises couvertes par le
Plus en détailMEDRIA 2013 DOSSIER DE PRESSE MEDRIA INVESTIT LA SANTÉ ANIMALE ET LANCE SON APPLICATION MOBILE
MEDRIA 2013 DOSSIER DE PRESSE MEDRIA INVESTIT LA SANTÉ ANIMALE ET LANCE SON APPLICATION MOBILE 1 2 Retrouvez-nous Au SPACE 2013 HALL 1 STAND E46 COMMUNIQUÉ DE PRESSE Depuis près de 10 ans, MEDRIA met au
Plus en détail