Etude des voies de signalisation in vivo. Marie-Laure Parmentier, IGF, Montpellier

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Etude des voies de signalisation in vivo. Marie-Laure Parmentier, IGF, Montpellier mlparmentier@igf.cnrs.fr"

Transcription

1 Etude des voies de signalisation in vivo Marie-Laure Parmentier, IGF, Montpellier

2 Qu est-ce qu une voie de signalisation? + Mécanismes d arrivée du signal signal + Mécanismes de dégradation du signal Changement d état physiologique de la cellule

3 Qu est-ce qu une voie de signalisation? Organismes modèles ont permis la découverte des différents intervenants des voies de signalisation (génétique) Exemple de signaux? signal Où sont-ils produits, comment diffusentils?

4 Qu est-ce qu une voie de signalisation? Concepts : - Mouvement du signal dans un tissu/ stabilité du signal - Différentes réponses en fonction de la quantité de signal - Différentes réponses selon l endroit où arrive le signal dans la cellule (la cellule n est pas homogène). Techniques : - génétique, clones mutants, système Gal4, clones de surexpression

5 Un signal particulier : le morphogène Le morphogène Ses effets temps Exemples :?????

6 Un signal particulier : le morphogène Le morphogène Ses effets temps Exemples : Wingless (Wnt), Dpp, Hh

7 Effet morphogène Organisateur de Spemann: Expériences de transplantation au stade gastrula, conduisant à une duplication complète avec une image en miroir (Spemann et Mangold, 1924) Propriétés d un morphogène: Molécule diffusible qui va induire des réponses dose-dépendantes et va agir directement sur les cellules.

8 (W. Sullivan, 1997)

9 Diffusion d un morphogène Pendant le développement précoce de la Drosophile, on a Bicoid: Protéine à Homéodomaine, Facteur de transcription (Ashe et Briscoe, 2006)

10 Diffusion d un morphogène Plus tard dans organisme cellularisé Le gradient de morphogènes va instruire des cellules pour adopter un devenir différent en fonction de leur distance par rapport à la source Protéine signal Récepteur transmembranaire P FT FT P Gènes cibles

11 Questions posées concernant les morphogènes Outre leur identification i) Comment les morphogènes bougent au travers d un tissu ii) Comment est maintenu le gradient iii) Comment les morphogènes coordonnent la croissance et la différenciation («patterning»)

12 I. L aile de la mouche et le morphogène Hedgehog (Hh) 1) Notion de compartiment 2) Techniques génétiques utilisées 3) Le voie de signalisation Hh 4) Est-ce que Hh est un morphogène? 5) Comment est contrôlée la diffusion d Hh? 6) Conservation de cette voie de signalisation chez les vertébrés

13 L importance des compartiments et de leurs frontières - Les compartiments sont des unités fonctionnelles, qui permettent à des lots de cellules d avoir un devenir commun. - Les frontières entre les compartiments ont deux fonctions au cours du développement:. maintenir la position des «organisateurs» (sources de morphogènes) dans des tissus en croissance indépendamment des systèmes de signalisation autour.. permettre la communication entre des groupes de cellules (des compartiments) pour synchroniser la prolifération et la différenciation, au moment de la formation des structures adultes. - Différents groupes de cellules auront donc la possibilité de communiquer, via les morphogènes.

14 Formation des compartiments et de leurs frontières Engrailed Protéine à homédodomaine, Facteur de transcription Engrailed (Chanas et al., 2004) A- Rhombomères B- Thalamus C- Télencéphale

15 Engrailed (Tabata et Takei, 2004) Disque imaginal d aile de Drosophile D V EN1 Bourgeon d aile chez le poulet

16 Développement de l aile Nécessite la mise en place des morphogènes impliqués dans le développement («patterning») des structures adultes et dans la prolifération des cellules. D/V Wg Dpp Dpp Compartiment postérieur Engrailed: Facteur de transcription Gène sélecteur Hedgehog: Protéine signal, diffusible Decapentaplegic (Dpp) selon A/P

17 Système d activation UAS/Gal4 Promoteur spécifique Gal4 X UAS Séquence codante Engrailed LacZ Gal4

18 Capacités de morphogène de Hedgehog Compartiment postérieur Engrailed: Facteur de transcription Hedgehog: Protéine signal, diffusible Antérieur Hh Postérieur ectopic Hh (Tabata et Takei, 2004)

19 Acteurs de la voie de signalisation de Hh A P Hh A? Hh P Ci complex Ci activateur Zn Engrailed ptc, dpp, en Cellule A recevant Hh Cellule P produisant Hh En= Engrailed= facteur de transcription sélecteur, spécifique des compartiments postérieurs (P) (protéine à homéodomaine). Hh= Hedgehog= effecteur= protéine diffusible, sécrérée vers l antérieur (A) Ptc= Patched= récepteur de Hh, capable de reconnaître le signal Hh. Smo= Smoothened= récepteur associé à Ptc. Conformation change en présence de Hh, conduisant au maintien de Ci activateur Ci= Cubitus-interruptus= facteur de transcription spécifique de A (protéine à doigt de Zinc) Dpp= Decapentaplegic= facteur de croissance, protéine diffusible qui va agir sur prolifération des cellules et le «patterning»

20 Transduction du signal Hh Cellules A ne recevant pas Hh Cellules A recevant Hh hh, dpp ptc, dpp, en (Ingham, 1998)

21 Smoothened nécessaire pour transduire Hh ptc, dpp, en (Chen et Struhl, 1996)

22 Les gènes cibles de la voie Hh Ptc-LacZ Dpp-LacZ Dpp PTC EN

23 Mise en place d un gradient du facteur de croissance Dpp I A/P A P A/P Dpp A P Hh En Dpp: Decapentaplegic, facteur de croissance type TGF-ß, protéine diffusible, qui va agir sur prolifération des cellules et le «patterning»

24 Clones de surexpression FRT FRT tub Gal4 UAS-GFP hs-flp CD2, y+ > > UAS-EN ou X + HS tub > X > Gal4 UAS-GFP UAS-EN ou X GFP Anti-EN

25 Hh est-il un morphogène? Expressions de En et Dpp dépendent de la diffusion de Hh Hh/ En Hhm/ En En/ Dpp Hhm/ Dpp Expression ectopique de Hh Agit sur En et Dpp sur plusieurs rangées de cellules Expression ectopique de Hh membranaire Agit sur En et Dpp et est donc direct (Strigini et Cohen, 1997)

26 Qu y a-t-il en aval de smoothened : les protéines G? ptc, dpp, en (Ayers et Leopold 2010)

27 Qu y a-t-il en aval de smoothened : les protéines G? Hh ptc luciferase (Ogden et al. 2010)

28 Gi Hh Ptc promoteur

29 Est-ce que Galphai module l expression des cibles de Hh in vivo? Surexpression forme CA de Galphai (visualisation expression Dpp avec Dpp-LacZ) (Ogden et al. 2010)

30 Gi Dpp promoteur

31 Induction de clones mutants dans les disques imaginaux FRT > > mut + GFP + HS hs-flp FLPase > > X > > GFP GFP Clone jumeau Clone mutant

32 Est-ce que Galphai module l expression des cibles de Hh in vivo? Clones mutants pour Galphai Dpp (visualisation expression Dpp avec Dpp-LacZ) (Ogden et al. 2010)

33 Gi Dpp promoteur endogenously

34 Est-ce que Galphai joue un rôle en aval de Smo in vivo? Expression d un DN Smo (Ogden et al. 2010)

35 Gi Smo endogenously

36 Est-ce que la quantité d AMPc influe sur la voie Hh? Expression d un DN Smo en contexte dnc (phosphodiesterase) (Ogden et al. 2010)

37 AMPc Smo endogenously

38 Comment est contrôlée la diffusion de Hh? Patched nécessaire pour séquestrer Hh Dpp Clones ptc - (en contexte faible expression de ptc) Dpp (Chen et Struhl, 1996)

39 SS: Séquence signal Hh-N: N-ter Hh-C: C-ter Hh-Np: N-ter modifiée La protéine Hh est active après protéolyse et modification

40 Rôle du cholestérol dans la diffusion de HH En-Gal4; UAS-Hh-N Ptc et Dpp augmentent dans A, quand Hh ne contient pas de cholesterol 1- Modification de Hh par le cholestérol est nécessaire - pour diffusion de Hh à partir des cellules P - pour la séquestration de Hh par Ptc (Burke et Basler, 1999) 2- HH a la capacité d activer des cibles différentes en fonction de sa concentration, mais la présence du cholestérol est reconnue par Ptc, ce qui l empêche de diffuser

41 Conclusions sur la voie de signalisation En/Hh -Le compartiment P va déclencher la voie grâce à l expression du facteur de transcription Engrailed (gène sélecteur). -Hedgehog possède toutes les propriétés attendues des morphogènes: i) Molécule diffusible, capable d induire une duplication de structures adultes. ii) Capable d agir directement sur les cellules et sur l expression des gènes, de façon différentielle, en fonction de sa concentration. - Les études sur la Drosophile ont permis d identifier les acteurs de la voie: i) Le système de réception du signal par Ptc ii) Le système de transduction du signal par Smo iii) L activation du facteur de transcription Ci iv) Les cibles activées par Ci - Les mécanismes mis en jeu pour former et contenir le gradient: i) La diffusion de Hh est en partie ralentie par Ptc qui va séquestrer Hh ii) Sa modification par le cholestérol contrôle sa diffusion

42 Expression ectopique de Sonic Hedgehog (Riddle et al., 1993)

43 Signalisation de Sonic hedgehog (Shh) et le développement du tube neural Différenciation du tube neural de poulet (Griti-Linde et al., 2001)

44 Réutilisation de la voie canonique de Shh dans différents processus développementaux A- Sonic hedgehog spécifie la devenir neuronal B- Sonic hedgehog agit avec Netrin-1 pour guider les axones commissuraux C- Sonic hedgehog guide les axones antérieurement (Charron et Tessier-Lavigne, 2005)

45

46

47

48 Comment est donc régulé le gradient d un morphogène? Pour un morphogène donné, l étendue de son action dépend du tissu étudié : pour Wg, la protéine diffuse et agit symétriquement à partir de sa source sur un rayon de 25 cellules environ alors que chez l embryon, le rayon d action de ce signal est de cinq cellules au maximum. L étendue d un signal est modulée par - le taux de sécretion de ce signal - la composition de la matrice extracellulaire (Héparan Sulfate protéoglycans, qui peuvent séquestrer Wg et affecter sa diffusion) - la quantité de récepteur (le récepteur patched séquestre son ligand Hh, alors que le récepteur Frizzled 2 stabilise son ligand Wg et étend le gradient Wg) - le taux d internalisation du signal - le temps alloué pour la diffusion de ce signal

49 Quels facteurs sont responsables de l asymétrie du gradient Wg chez l embryon? La quantité de récepteur frizzled ou frizzled En En Wg S Wg S fz fz2 Très peu de récepteurs dans les cellules en prot Wg En ARNs Lecourtois et al., Dev Biol 01

50 Quels facteurs sont responsables de l asymétrie du gradient Wg chez l embryon? La dégradation de Wg par les lysosomes Exp : surexpression d une protéine de fusion HRP-Wg avec en-gal4 Wg HRP Dubois et al, Cell 01 MVB Lysosome 0,5 µm

51 Quantification : Nombre de lysosomes marqués HRP Dubois et al, Cell 01

52 Qu est-ce qu une voie de signalisation? Concepts : - Mouvement du signal dans un tissu/ stabilité du signal - Différentes réponses en fonction de la quantité de signal - Différentes réponses selon l endroit où arrive le signal dans la cellule (la cellule n est pas homogène). Techniques : - génétique, clones mutants, système Gal4, clones de surexpression

Morphogènes et endocytose

Morphogènes et endocytose MEDECINE/SCIENCES 2003 ; 19 : 351-7 > Les protéines signalisatrices des familles Wingless/Wnt, Hedgehog et Decapentaplegic (Dpp)/Bone morphogenic protein (BMP) agissent comme des morphogènes au cours du

Plus en détail

Gènes du développement et structuration de l organisme

Gènes du développement et structuration de l organisme 03-Gènes du développement_00/maquette imports 19/01/10 10:45 Page99 Revue des Questions scientifiques, 2010, 181 (1) : 99-110 Gènes du développement et structuration de l organisme René Rezsohazy Unité

Plus en détail

Formation et évolution des organes sensoriels chez les insectes

Formation et évolution des organes sensoriels chez les insectes Formation et évolution des organes sensoriels chez les insectes Conférences Neuro-Évo-Dévo Masters SCN et GCDE - Université Paris Sud Virginie Orgogozo Bat. A, 5e étage, Paris 6 Virginie.orgogozo@snv.jussieu.fr

Plus en détail

Les OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier

Les OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert

Plus en détail

Les cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli

Les cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques

Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines

Plus en détail

Consolidation osseuse et biotechnologies État des lieux. Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY

Consolidation osseuse et biotechnologies État des lieux. Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY Consolidation osseuse et biotechnologies État des lieux Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY La problématique Tissu osseux : forte aptitude à se réparer MAIS Situations cliniques particulières

Plus en détail

Information génétique

Information génétique chapitre 3 Information génétique et division cellulaire L étude de la division cellulaire est abordée pour découvrir comment est transmise et conservée l information génétique portée par les chromosomes.

Plus en détail

Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire

Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Chapitre II La régulation de la glycémie

Chapitre II La régulation de la glycémie Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique

Plus en détail

ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE

ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE Épreuve commune aux ENS de Cachan, Lyon, Paris et de l ENPC Durée

Plus en détail

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer

Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic

Plus en détail

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production

Plus en détail

STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES

STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES Plan de cours STRUCTURE ET FONCTION DES PLURICELLULAIRES 101-FYA-PT Pondération 3-1-2 Gilles Bourbonnais (C360) gilles.bourbonnais@dgpc.ulaval.ca Sciences de la Nature / PASC@L http://ici.cegep-ste-foy.qc.ca/profs/gbourbonnais/

Plus en détail

COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux

COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles 19 octobre 2007 Inhibition des défenses de l hôte par les bactéries pathogènes Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux Gwennola ERMEL I Détection

Plus en détail

Mention : STAPS. Sport, Prévention, Santé, Bien-être. Objectifs de la spécialité

Mention : STAPS. Sport, Prévention, Santé, Bien-être. Objectifs de la spécialité Mention : STAPS Sport, Prévention, Santé, Bien-être Objectifs de la spécialité L'objectif de la spécialité «Sport, Prévention, Santé, Bien être» est de doter les étudiants de compétences scientifiques,

Plus en détail

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division

Plus en détail

Le Monde des insectes, son importance pour l Homme et l apport de l étude des insectes aux sciences du vivant.

Le Monde des insectes, son importance pour l Homme et l apport de l étude des insectes aux sciences du vivant. MEDAILLE D OR DU CNRS 2011 Le Monde des insectes, son importance pour l Homme et l apport de l étude des insectes aux sciences du vivant. Extrait de l allocution prononcée le 19 juin 2007 par Jules Hoffmann,

Plus en détail

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.

Plus en détail

3: Clonage d un gène dans un plasmide

3: Clonage d un gène dans un plasmide 3: Clonage d un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'adn (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par

Plus en détail

Cytokines ; Chimiokines

Cytokines ; Chimiokines Cytokines ; Chimiokines I. Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l'organisme, des souris déficientes pour le récepteur CCR7 de chimiokine ont été générées par recombinaison

Plus en détail

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Microscopie Multiphotonique

Microscopie Multiphotonique Microscopie Multiphotonique Philippe Guillaud 2014 Université Pierre et Marie Curie Paris 6 Principaux problèmes rencontrés en microscopie confocale La dégradation rapide des échantillons biologiques et

Plus en détail

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest

L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société

Plus en détail

Les bases de données transcriptionnelles en ligne

Les bases de données transcriptionnelles en ligne Les bases de données transcriptionnelles en ligne Différents concepts en régulation transcriptionnelle sites de fixation - in vitro/vivo? - quelle technique? - degré de confiance? facteur de transcription

Plus en détail

Controverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine

Controverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse UDM télésurveillée Pour P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse Peut-on être en 2013 opposé au développement de la télémédecine? Pourquoi les patients en insuffisance rénale

Plus en détail

Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique

Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut

Plus en détail

Un ver, 959 cellules et 13 000 gènes

Un ver, 959 cellules et 13 000 gènes SYNTHÈSE médecine/sciences 1997 ; 13 : 156-65 Un ver, 959 cellules et 13 000 gènes Marie-Anne Félix Les cascades moléculaires spécifiant la destinée des cellules au cours du développement sont identifiées

Plus en détail

INITIATIVE FORMATION Volet : Création et Reprise d Entreprise

INITIATIVE FORMATION Volet : Création et Reprise d Entreprise INITIATIVE FORMATION Volet : Création et Reprise d Entreprise Foire aux questions (FAQ) Dispositif mis en œuvre à compter du 25 juin 2013 (délibération du 24 juin 2013) Le dispositif Initiative Formation

Plus en détail

Leica MZ FLIII. Stéréomicroscope pour fluorescence un exemple lumineux de la technologie innovatrice de Leica.

Leica MZ FLIII. Stéréomicroscope pour fluorescence un exemple lumineux de la technologie innovatrice de Leica. Leica MZ FLIII Stéréomicroscope pour fluorescence un exemple lumineux de la technologie innovatrice de Leica. Leica MZ FLIII Observer en 3 dimensions L étude des organismes vivants, de leurs fonctions

Plus en détail

Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée

Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,

Plus en détail

Les Applications industrielles et commerciales des cellules souches. Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises

Les Applications industrielles et commerciales des cellules souches. Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises Les Applications industrielles et commerciales s cellules souches Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises Matthieu COUTET, Responsable du Pôle Jean-François RAX, Business Analyst 1 Plan Cellules souches

Plus en détail

Cytokines & Chimiokines

Cytokines & Chimiokines Cytokines & Chimiokines I. (D après Förster, R. et al. (1999) Cell 99:23) Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l organisme, des souris déficientes pour le récepteur

Plus en détail

Dossier d'étude technique

Dossier d'étude technique Centre national de la recherche scientifique Direction des systèmes d'information REFERENTIEL QUALITE Guide méthodologique Dossier d'étude technique Référence : CNRS/DSI/conduite-projet/developpement/technique/guide-etude-technique

Plus en détail

Université Louis Pasteur Strasbourg I Ecole Doctorale des Sciences de la Vie et de la Santé THESE. En vue de l obtention du grade de

Université Louis Pasteur Strasbourg I Ecole Doctorale des Sciences de la Vie et de la Santé THESE. En vue de l obtention du grade de Université Louis Pasteur Strasbourg I Ecole Doctorale des Sciences de la Vie et de la Santé THESE En vue de l obtention du grade de Docteur de l Université Louis Pasteur de Strasbourg Discipline : Aspects

Plus en détail

L INSUFFISANCE CARDIAQUE

L INSUFFISANCE CARDIAQUE L INSUFFISANCE CARDIAQUE EXISTE-T-IL DES TRAITEMENTS À BASE DE CELLULES SOUCHES POUR L INSUFFISANCE CARDIAQUE? Bien qu aucun traitement à base de cellules souches pour l insuffisance cardiaque n ait encore

Plus en détail

Bases de données des mutations

Bases de données des mutations Bases de données des mutations CFMDB CFTR2 CFTR-France / Registre Corinne THEZE, Corinne BAREIL Laboratoire de génétique moléculaire Montpellier Atelier Muco, Lille, 25-27 septembre 2014 Accès libre http://www.genet.sickkids.on.ca/app

Plus en détail

Intrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution?

Intrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution? Les Rencontres de l Inra au Salon de l agriculture Intrants médicamenteux en agriculture et en santé : les écosystèmes microbiens sont-ils un problème ou une solution? Lundi 23 février 2015 Programme 14h30

Plus en détail

TD de Biochimie 4 : Coloration.

TD de Biochimie 4 : Coloration. TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Biomarqueurs en Cancérologie

Biomarqueurs en Cancérologie Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines

Plus en détail

ULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne

ULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une

Plus en détail

Séquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment.

Séquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment. Sommaire Séquence 6 Nous avons vu dans les séances précédentes qu au cours des temps géologiques des espèces différentes se sont succédé, leur apparition et leur disparition étant le résultat de modifications

Plus en détail

Univers Vivant Révision. Notions STE

Univers Vivant Révision. Notions STE Univers Vivant Révision Notions STE Chap. 13) L Écologie 1) a) Qu est-ce que l empreinte écologique? L empreinte écologique correspond à la surface terrestre et aquatique totale nécessaire à un individu,

Plus en détail

Qu est-ce que la maladie de Huntington?

Qu est-ce que la maladie de Huntington? Qu est-ce que la maladie de Huntington? Description sommaire Qu est-ce que la maladie de Huntington? La maladie de Huntington (MH) est une maladie neurodégénérative longtemps connue sous le nom de Chorée

Plus en détail

Gènes de prédisposition au diabète, une belle avancée!

Gènes de prédisposition au diabète, une belle avancée! imprimer la page Gènes de prédisposition au diabète, une belle avancée! Philippe Froguel, directeur de l'umr 8090, Institut Pasteur de Lille La question du diabète est actuellement très préoccupante, partout

Plus en détail

MARCHE SUR LA MAINTENANCE DU SYSTEME D INCENDIE, INTRUSION

MARCHE SUR LA MAINTENANCE DU SYSTEME D INCENDIE, INTRUSION CUFR JF CHAMPOLLION Place de Verdun 81000 ALBI CAHIER DES CHARGES MARCHE SUR LA MAINTENANCE DU SYSTEME D INCENDIE, INTRUSION N 103-2011 Place de Verdun, 81000 ALBI 1/12 SOMMAIRE 1-OBJET DU MARCHE.. 2-LIEU

Plus en détail

Thérapies par cellules souches dans la SEP

Thérapies par cellules souches dans la SEP Thérapies par cellules souches dans la SEP Rédigé en partenariat avec Sommaire Introduction 3 Qu est-ce que la SEP? 4 Que sont les cellules souches? 5 Qu est-ce qu une thérapie par cellules souches? 6

Plus en détail

La filtration glomérulaire et sa régulation

La filtration glomérulaire et sa régulation UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

PLAN. Industrialisateur Open Source LANS DE SECOURS INFORMATIQUES PRINCIPES GENERAUX ETAT DE L ART SELON BV ASSOCIATES

PLAN. Industrialisateur Open Source LANS DE SECOURS INFORMATIQUES PRINCIPES GENERAUX ETAT DE L ART SELON BV ASSOCIATES PLAN LANS DE SECOURS INFORMATIQUES PRINCIPES GENERAUX & ETAT DE L ART SELON BV ASSOCIATES Copyright BV Associates 2013 IMEPSIA TM est une marque déposée par BV Associates Page 1 SOMMAIRE 1 PRINCIPES GENERAUX

Plus en détail

Sommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010

Sommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010 Sommeil et sport Structure du sommeil Au cours du sommeil, on repère 2 principaux types de sommeil : Le sommeil lent. Le sommeil paradoxal. Processus de régulation 3 processus: - circadienne (processus

Plus en détail

Panneau solaire ALDEN

Panneau solaire ALDEN SOMMAIRE 1. Présentation... 1.1. Mise en situation... 1.2. Analyse du besoin... 4 1.. Problématique... 4 1.4. Expression du besoin... 5 1.5. Validation du besoin... 5 2. Analyse fonctionnelle... 2.1. Définition

Plus en détail

Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010

Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext

Plus en détail

Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire

Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire Délégation territoriale du Val-d Oise Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire Maîtriser la température de l eau chaude sanitaire L exploitant d un réseau d eau

Plus en détail

MAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de

MAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps

Plus en détail

Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek

Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes

Plus en détail

Le grand écart de la recherche fondamentale vers l application biomédicale

Le grand écart de la recherche fondamentale vers l application biomédicale Le grand écart de la recherche fondamentale vers l application biomédicale Ludger Johannes «Chemical Biology of Membranes and Therapeutic Delivery» unit U1143 INSERM UMR3666 CNRS «Endocytic Trafficking

Plus en détail

Innovations thérapeutiques en transplantation

Innovations thérapeutiques en transplantation Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010

Plus en détail

FLUORESCENCE ET TESTS FONCTIONNELS Association Française aise de Cytométrie. 18 janvier 2007

FLUORESCENCE ET TESTS FONCTIONNELS Association Française aise de Cytométrie. 18 janvier 2007 FLUORESCENCE ET TESTS FONCTIONNELS Association Française aise de Cytométrie trie Journée e Thématique 18 janvier 2007 Cécile COTTET Laboratoire de Bioénerg nergétique Fondamentale et Appliquée e - Inserm

Plus en détail

PROJET D'IMAGERIE MULTI(X) PHOTONIQUE ETENDUE LARGE BANDE

PROJET D'IMAGERIE MULTI(X) PHOTONIQUE ETENDUE LARGE BANDE PROJET D'IMAGERIE MULTI(X) PHOTONIQUE ETENDUE LARGE BANDE (ACTUALISATION 2005) Reconstruction 3D, par microscopie multiphotonique, d un réseau de neurones sensoriels de moelle épinière d embryon de xénope.

Plus en détail

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire

Plus en détail

Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010

Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Métabolisme du fer : hepcidine Fer absorbé par les entérocytes des villosités duodénales : transporteur

Plus en détail

Première partie: Restitution + Compréhension (08 points)

Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :

Plus en détail

Mise en place d un cluster. De basculement. Et DHCP Failover. Installation. Préparation. Vérification

Mise en place d un cluster. De basculement. Et DHCP Failover. Installation. Préparation. Vérification Mise en place d un cluster De basculement Et DHCP Failover Valentin Banse Thomas Haën-Boucher Thomas Bichon Présentation Installation Préparation B T S S I O 2 2 / 0 4 / 2 0 1 4 Configuration Vérification

Plus en détail

GLOBAL SUPPLY CHAIN MANAGEMENT & STRATEGIE LOGISTIQUE

GLOBAL SUPPLY CHAIN MANAGEMENT & STRATEGIE LOGISTIQUE GLOBAL SUPPLY CHAIN MANAGEMENT & STRATEGIE LOGISTIQUE La logistique représentait traditionnellement l activité allant de la mise à disposition des produits finis par l usine ou le négociant jusqu à la

Plus en détail

Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes

Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Sébastien Lacroix-Desmazes INSERM UMRS 1138 Immunopathology and herapeutic Immunointervention CRC - Paris, France Ma connaissance d un patient

Plus en détail

Information pour le patient

Information pour le patient Information pour le patient Plus de qualité de vie avec des implants dentaires SWISS PRECISION AND INNOVATION. 1 Table des matières Quelle est l importance des dents pour notre qualité de vie? 4 Qu est-ce

Plus en détail

4.Fichiers photos: acquisition et classement

4.Fichiers photos: acquisition et classement 4.Fichiers photos: acquisition et classement Moyens d acquisition: L APN peut être connecté par port USB au PC; les photos peuvent être transférées depuis la carte mémoire vers le disque dur de l ordinateur

Plus en détail

Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année)

Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année) Annales de Biologie Cellulaire QCM (niveau SVT 1 er année) Equipe pédagogique Université Bordeaux-1 Didier Morin, Michel Moenner, Sophie North, Gérard Tramu et IJsbrand Kramer Contact : i.kramer@iecb.u-bordeaux.fr

Plus en détail

Circulaire 2015/1 «Comptabilité banques»

Circulaire 2015/1 «Comptabilité banques» Foire aux questions (FAQ) Circulaire 2015/1 «Comptabilité banques» (Dernière modification : 22 juillet 2015) 1. Comment faut-il traiter les provisions, constituées initialement pour des limites de crédit

Plus en détail

LOGICIELS DE PRÉVISIONS

LOGICIELS DE PRÉVISIONS Pour vos appels d offre Mars 2014 LGICIELS DE PRÉVISINS 4 e ÉDITIN PTC Service Parts Management SupplyChainMagazine.fr 19, rue Saint-Georges - 94700 Maisons-Alfort 1. NM de l'éditeur PTC 2. Pays d'origine

Plus en détail

Qu est-ce qu un sarcome?

Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs

Plus en détail

Les Parcours Scientifiques et les Ecoles Doctorales

Les Parcours Scientifiques et les Ecoles Doctorales Aix 11 Septembre 2006 Les Parcours Scientifiques et les Ecoles Doctorales «Sciences de la Vie» Jean-François DHAINAUT Président du Pôle de Recherche et Enseignement Supérieur «Université Paris-Centre»

Plus en détail

Domaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé

Domaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules

Plus en détail

Activité 1. Compter les points Écriture binaire des nombres. Résumé. Liens pédagogiques. Compétences. Âge. Matériel

Activité 1. Compter les points Écriture binaire des nombres. Résumé. Liens pédagogiques. Compétences. Âge. Matériel Activité 1 Compter les points Écriture binaire des nombres Résumé Les données de l ordinateur sont stockées et transmises sous la forme d une série de 0 et de 1. Comment peut-on représenter des mots et

Plus en détail

Stage ECG 2201. Utiliser le Progiciel de Gestion Intégré EBP

Stage ECG 2201. Utiliser le Progiciel de Gestion Intégré EBP Lycée J. Moulin Torcy 04/06 mars 2014. Lycée F. Tristan - Montereau-Fault-Yonne 10/11 mars 2014. Formateurs : Isabelle Nadros - Landry Lardeux Stage ECG 2201 Utiliser le Progiciel de Gestion Intégré EBP

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT

Plus en détail

Competence Management System (Système de Gestion de Compétences)

Competence Management System (Système de Gestion de Compétences) Dispositif :... 3 Qu est-ce qu un CMS?... 3 Quels sont les dispositifs intégrés à un CMS... 3 Comment envoyer des emails?... 3 Puis-je envoyer des emails seulement à un groupe de personnes?... 4 Comment

Plus en détail

De meilleures prises de décisions pour des produits de meilleure qualité

De meilleures prises de décisions pour des produits de meilleure qualité De meilleures prises de décisions pour des produits de meilleure qualité Tecnomatix 10 Optimise la productivité de la fabrication Fonctions Gestion des processus de fabrication Interface utilisateur configurable

Plus en détail

Professeur Diane GODIN-RIBUOT

Professeur Diane GODIN-RIBUOT UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

TP Détection d intrusion Sommaire

TP Détection d intrusion Sommaire TP Détection d intrusion Sommaire Détection d intrusion : fiche professeur... 2 Capteur à infra-rouge et chaîne de mesure... 4 Correction... 14 1 Détection d intrusion : fiche professeur L'activité proposée

Plus en détail

Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA. «Anexplo» Service Transgenèse. Catalogue des prestations

Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA. «Anexplo» Service Transgenèse. Catalogue des prestations Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA «Anexplo» Service Transgenèse Catalogue des prestations 04/01/12 - Page 1 sur 8 Présentation du service de Transgenèse Le service de Transgenèse

Plus en détail

Université Toulouse 3 Paul Sabatier (UT3 Paul Sabatier) Mathilde de TAFFIN de TILQUES. 29 Octobre 2013. tre :

Université Toulouse 3 Paul Sabatier (UT3 Paul Sabatier) Mathilde de TAFFIN de TILQUES. 29 Octobre 2013. tre : Université Toulouse 3 Paul Sabatier (UT3 Paul Sabatier) Mathilde de TAFFIN de TILQUES 29 Octobre 2013 tre : Contrôle transcriptionnel de l'identité musculaire chez la drosophile : Modules Cis-Régulateurs

Plus en détail

PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie II

PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie II Le 23/09/13 SOGHOMONIAN Astrid, L2 Tissu sanguin et système immunitaire Pr Baccini 22 pages PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie

Plus en détail

Préavis n 10/14 au Conseil communal

Préavis n 10/14 au Conseil communal COMMUNE D AUBONNE Municipalité Préavis n 10/14 au Conseil communal Règlement communal relatif à l'utilisation de caméras de vidéosurveillance Délégué municipal : - M. Jean-Christophe de Mestral, municipal

Plus en détail

Guide de rédaction d un protocole de recherche clinique à. l intention des chercheurs évoluant en recherche fondamentale

Guide de rédaction d un protocole de recherche clinique à. l intention des chercheurs évoluant en recherche fondamentale V E R S I O N A V R I L 2 0 1 2 C E N T R E D E R E C H E R C H E C L I N I Q U E É T I E N N E - L E B E L D U C H U S Guide de rédaction d un protocole de recherche clinique à l intention des chercheurs

Plus en détail

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio

Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

Management Stratégique. Saïd YAMI Maître de Conférences en Sciences de Gestion ERFI/ISEM Université Montpellier 1 Cours de Master 1.

Management Stratégique. Saïd YAMI Maître de Conférences en Sciences de Gestion ERFI/ISEM Université Montpellier 1 Cours de Master 1. Management Stratégique Saïd YAMI Maître de Conférences en Sciences de Gestion ERFI/ISEM Université Montpellier 1 Cours de Master 1 Plan du Module 3 Chap.3- Les modèles fondés sur la structure des marchés

Plus en détail

Les débuts de la génétique

Les débuts de la génétique HPITRE 9 DES DÉBTS DE L ÉNÉTIQE X ENJEX TELS DES BIOTEHNOLOIES 1 Les débuts de la génétique est avec les travaux de regor Mendel vers la fin du XIX e siècle que furent posées les bases de la génétique.

Plus en détail

Utilisation des substrats énergétiques

Utilisation des substrats énergétiques Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...

Plus en détail

PLAN RÉÉDUCATION POUR LES UTILISATEURS DE L'ARTICULATION. Contrôle de la phase pendulaire. Par Jos DECKERS

PLAN RÉÉDUCATION POUR LES UTILISATEURS DE L'ARTICULATION. Contrôle de la phase pendulaire. Par Jos DECKERS PLAN de RÉÉDUCATION POUR LES UTILISATEURS DE L'ARTICULATION Contrôle de la phase pendulaire Par Jos DECKERS 02 Sommaire LA RÉÉDUCATION Objectifs : Pour que le patient puisse utiliser correctement l articulation,

Plus en détail

Revue de processus service Imagerie 1/04/2015

Revue de processus service Imagerie 1/04/2015 Revue de processus service Imagerie 1/04/2015 Réunion des utilisateurs des vidéo microscopes et apotomes ObserverZ1 colibri1 salle 7014 ImagerZ1 Apo salle 1023 Responsable Vidéo et Mécanique Brice DETAILLEUR

Plus en détail

ésylog, direction technique Esylog_PeerBackup outil de sauvegarde individuelle mails & fichiers personnels documentation technique

ésylog, direction technique Esylog_PeerBackup outil de sauvegarde individuelle mails & fichiers personnels documentation technique émetteur : ésylog, direction technique Esylog_PeerBackup outil de sauvegarde individuelle mails & fichiers personnels documentation technique référence : Esylog_PeerBackup 2005 le 20 mai 2005 version :

Plus en détail