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1 Chambre de Commerce Franco-Libanaise Newsletter Octobre 2012 ECONOMIE & FINANCE Sommaire : Economie et Finance Aridi: Oeuvrons pour soutenir le transport maritime L Escwa prévoit une croissance au Liban Bilan de la banque Libanaise Secteur libanais veut appliquer la Fatca Bilan cons olidés des banques Liban: 10ème investisseur dans le monde arabe en 2011 ENERGIE Roy Mahfouz parie sur le vent pour ramener la lumière au Liban 23 sociétés prêtes à se pencher sur l énergie éolienne Pharmaceutique BMI : taille du marché au Liban 1,3 milliards en 2012 Divers Liban participe au forum de l investissement à Paris Ouverture du salon immobilier à Beyrouth Nouvelles des membres Jacques R. Saadé reçoit de p r i x d e «L i f e t i m e Achievement Award». Bénéfices de la Banque Audi en hausse Aridi : Nous œuvrons pour soutenir le transport maritime Le syndicat des agents du transport aérien, maritime et routier au Liban a inauguré hier son 4e congrès intitulé «Faire face aux défis actuels et futurs», à l hôtel Hilton, sous le parrainage du Premier ministre Nagib Mikati, représenté par le ministre des Travaux publics et des Transports, Ghazi Aridi. Les ministres de l Agriculture, Hussein Hajj Hassan, et de l Industrie Vrej Sabounjian ainsi que des représentants des ministères de l Économie et des Finances étaient présents à ce congrès. Le ministre Aridi a indiqué que «le secteur du transport maritime se développe malgré la situation dans les pays voisins», soulignant que le ministère des Travaux publics et des Transports ainsi que les autres ministères œuvraient à apporter leur soutien au développement de ce secteur. «Nous avons pris des mesures préventives pour protéger l intérêt du Liban, notamment depuis la dégradation de la situation dans les pays voisins. Ceci nous a incités à trouver des alternatives au transport routier», a-t-il ajouté. Parallèlement, M. Aridi a espéré que «les incidents prennent fin rapidement et qu une politique d ouverture et de coopération se mette en place (...) pour dynamiser la coordination et permettre l émergence de nouvelles idées». Il a en outre souligné l importance de réactiver le port de Tripoli. «Les pourparlers sont ouverts pour assurer davantage de productivité à l économie libanaise», a-t-il dit, ajoutant que «le Liban jouit d énormes richesses et de ressources humaines qu il n investit pas comme il le faudrait». Source : Orient le Jour L Escwa prévoit une croissance de 2,5% au Liban en 2012 La Commission économique et sociale des Nations unies pour l Asie occidentale (Escwa) a prévu un taux de croissance de 2,5% en 2012 au Liban, contre 2% en Ces prévisions sont bien au-dessous des taux de 8,5 et 7% enregistrés respectivement en 2009 et L Ecswa met en cause les développements régionaux et leurs conséquences sur l économie libanaise. Dans son rapport, la commission indique que le secteur touristique continuera à être affecté par le conflit en Syrie, alors que les flux de capitaux soutiendront l activité économique. Les investissements directs étrangers (IDE), quant à eux, baisseront drastiquement. Ils étaient passés de 4,5 milliards de dollars en 2010 à 3 milliards en 2011, toujours selon la même source. Source : Orient le Jour

2 Le bilan de la Banque du Liban en hausse de 10 % fin septembre Le bilan de la Banque du Liban (BDL) s est élevé à 77,4 milliards de dollars fin septembre, selon les chiffres du Lebanon this Week de la Byblos Bank, ce qui représente une hausse de 10 % par rapport à fin La valeur des réserves en or de la BDL a augmenté de 14 % depuis fin 2011 à 16,4 milliards de dollars. Les dépôts du secteur privé ont augmenté de 9,2 % à 53,5 milliards de dollars, tandis que les dépôts du secteur public ont augmenté de 11,9 % à 5,9 milliards de dollars. Les avoirs en devises de la BDL ont augmenté de 8,9 % sur neuf mois à 35,1 milliards de dollars. Le secteur bancaire libanais se dit prêt à appliquer la Fatca La nouvelle loi fiscale américaine est un sujet très sensible qui tourmente depuis plusieurs mois l ensemble de nos institutions financières. Mais nous sommes aujourd hui prêt à l affronter a déclaré Joseph torbey président de l Association des banques libanaises (ABL). Adoptée en mars 2010 par le congrès américain, cette loi a pour objectif de traquer les comptes de tous les citoyens américains dans le monde, mais également des binationaux et détenteurs de la Green Card. Le but affiché par l autorité fiscale américaine (IRS) n est pas tant de faire la chasse au blanchiment d argent, mais à l évasion fiscale, et de renflouer les caisses du Trésor de quelque 8,7 milliards de dollars supplémentaires. La Facta doit entrer en vigueur au premier janvier «Les Etats-Unis ont toujours contraint les citoyens américains à déclarer leurs revenus, a souligné M. Torbey, ce qui est nouveau aujourd hui c est que l IRS s est doté de moyens pour forcer les institutions financières mondiales à collaborer avec eux». En effet, la Fatca prévoit une saisie de 30% sur tout paiement ou transaction effectué aux USA par la banque ou institution financière récalcitrante. «Le choix de la coopération ne se pose donc pratiquement plus, puisque les mesures prévues sont trop lourdes à supporter et que les USA exercent aujourd hui une hégémonie indéniable sur l ensemble du système financier mondial», a indiqué le présent de l ABL. Le secteur bancaire libanais face à plusieurs dilemmes En théorie, il est demandé à toutes les institutions financières de rendre un rapport annuel à l IRD, avec les détails des comptes de leurs clients américains. En pratique, la tâche s avère plus compliquée qu elle n en a l air. «Un formulaire KYC (know your customer) avec une série d informations à remplir est soumis aux clients, mais si ces derniers mentent sur leur nationalité, la banque n a plus aucun moyen de le deviner». Un autre sujet de préoccupation majeur est celui du conflit entre la Fatca et la loi datée du 3 septembre 1956 relative au secret bancaire qui caractérise le système libanais depuis plus des décennies. «La solution à laquelle nous sommes parvenus aujourd hui consiste à faire signer par les banques un contrat à tous leurs clients américains les autorisant à transmettre les détails de leurs comptes à l IRS. En cas de refus des clients, les banques libanaises n ont pour l instant pas d autres moyens de pression»? Selon M. Torbey, «se détacher de leurs clients américains n est pas non plus une solution à laquelle les banques libanaises doivent recourir, car elle ferait fuir les investisseurs américains du pays». Selon lui, le secteur bancaire libanais a tout intérêt à respecter la Fatca, pour des raisons financières d abord mais également pour maintenir une bonne réputation au niveau mondial. «La banque du Liban (BDL) et l ABL suivent de très près le dossier et sont en contact permanent avec l IRS. Source : Orient le Jour Le bilan consolidé des banques à 146 milliards de dollars fin juillet Le bilan consolidé des banques commerciales établies au Liban s est élevé à 145,5 milliards de dollars fin juillet 2012, en hausse de 6,3% sur un an et de 3,5% depuis fin Les dépôts du secteur privé ont affiché une hausse de 6,8% en rythme annuel à 121,8 milliards de dollars. Le taux de dollarisation des dépôts s est élevé à 64,8% fin juillet contre 66,7% un an plus tôt. Les crédits octroyés au secteur privé ont progressé de 10,1% sur un an à 36,1 milliards de dollars. Les prêts octroyés au secteur public ont augmenté de 8,5% sur un an à 29,7 milliards de dollars. Les fonds propres des banques ont atteint 11,9 milliards de dollars, en hausse de 13% en rythme annuel. Source : Orient le Jour Page 2

3 Chambre de Commerce Franco-Libanaise Newsletter Newsletter JUILLET Octobre Le Liban, 10 ème investisseur dans le monde arabe en 2011 Les investissements libanais dans les pays arabes ont atteint 29 millions de dollars en 2011 contre 73 millions de dollars un an plus tôt, selon un rapport de la Corporation arabe d investissements, d exportations et de garanties (AIECGC). En 2011, le Liban était le 10 ème investisseur le plus important dans les pays arabes avec 1,3% du total des IDE. La 1 ère destination des investissements libanais a été l Egypte avec 18,4 millions de dollars, soit 63,4%du total des IDE libanais dans les pays arabes. Elle est suivie par la Jordanie avec 10,4 millions de dollars (35,9%) et la Tunisie 0,3 million de dollars (1%). En parallèle, les IDE arabes au Liban ont totalisé 14,8 milliards de dollars entre 1995 et Source : Orient le Jour ENERGIE Roy Mahfouz parie sur le vent pour ramener la lumière au Liban Un fort potentiel éolien, une ressource inépuisable et un déficit énergétique énorme : qu attend le Liban pour faire confiance aux vents? Parler d énergies renouvelables ne semble pas être l intérêt premier des Libanais. Et pourtant, un homme, Roy Mahfouz, en a fait son pari. «L énergie éolienne est une ressource inépuisable et à fort potentiel, qui pourrait garantir au Liban une production durable, propre et peu coûteuse à long terme.» Roy Mahfouz quitte le Liban en 1989 pour étudier en Allemagne et se spécialiser au fil des ans en génie de l énergie. Il est aujourd hui le président de la compagnie H2Air qu il a fondée en France en 2007 et qui est spécialisée dans l étude et la création de parcs éoliens. La société compte 20 salariés et prévoit de doubler ses effectifs dans un an. Cette croissance, M. Mahfouz l explique par la volonté de l État français d encourager les énergies renouvelables. «Le gouvernement s est donné pour objectif une production de mégawatts (MW) d énergie éolienne d ici à 2020, contre MW aujourd hui.» La bataille du vent l emportera-t-elle au Liban? La visite de plusieurs jours du jeune entrepreneur au Liban n est pas un simple retour en vacances d un émigré nostalgique. M. Mahfouz est venu «tâter le terrain» ou plutôt le vent. «Le Liban possède un bon potentiel éolien», assure-til. Selon une étude réalisée par le ministère de l Énergie et des Ressources hydrauliques, le pays a une capacité de production éolienne de MW. Les études réalisées par H2Air ont montré des résultats similaires. Pour référence, 1 MW correspond aux besoins énergétiques de familles. «C est donc un très bon gisement qui pourrait sécuriser une bonne partie du Liban en énergie», souligne M. Mahfouz. Outre le fait que le pays se soit engagé en 2009 lors du sommet de Copenhague à produire 12 % de son énergie à partir de ressources dites «vertes», les énergies renouvelables pourraient lui être d une grande utilité. En effet, rappelons que le Liban importe aujourd hui la quasi-totalité de ses besoins énergétiques et croule sous le poids d une facture pétrolière qui n en finit pas de grimper. De plus, la capacité de production d Électricité du Liban (EDL) oscille entre et MW, alors que les besoins locaux avoisinent les MW. Mais la bataille semble encore loin d être gagnée pour l éolien au Liban et Roy Mahfouz est très conscient des nombreux risques qui entourent son projet. «Avant de commencer tout développement de parcs éoliens, il est nécessaire que le pays se dote d un cadre juridique clair, qui garantisse aux producteurs un contrat d achat par EDL de l énergie produite, comme sur les modèles déjà existants en Europe». Source: Orient le jour Page 3

4 Vingt-trois sociétés prêtes à se pencher sur l énergie éolienne Dans un communiqué publié le 16 octobre, le ministère de l Énergie et de l Eau a indiqué que 23 sociétés locales et étrangères avaient répondu à l appel pour produire de l énergie éolienne, une forme d énergie renouvelable produite par la force exercée par le vent sur les pales d une hélice. «Cela montre l intérêt du secteur privé dans la production d énergie», a souligné le communiqué, La deuxième étape consiste à mettre sur pied un comité technique formé de représentants d EDL, du ministère de l Énergie, et de l Institut libanais pour la conservation de l énergie afin de se pencher de plus près sur les propositions des 23 sociétés et pouvoir soumettre le dossier au Conseil des ministres. Rappelons que cette forme d énergie renouvelable a fait l objet d un colloque organisé par la CCFL le 8 février 2012, en présence notamment du Ministre libanais de l environnement et du Directeur Général du Ministère Libanais de l Energie, et avec la participation de la Banque européenne d Investissement (BEI) de l Agence Française de Développement (AFD) et de nombreux spécialistes français et libanais. Source: Orient le Jour BMI : le marché pharmaceutique à 1,3 milliard de dollars en 2012 Dans le dernier Lebanon this Week de la Byblos Bank, Business Monitor International (BMI) a estimé la taille du marché pharmaceutique libanais à 1,28 milliard de dollars, ce qui représente une augmentation de 6,4 % en comparaison avec les 1,2 milliard de dollars enregistrés en BMI a en outre prévu que la taille du marché atteindrait 1,73 milliard de dollars en 2016 et augmenterait à un taux annuel composé de 7,6 % sur la période Selon BMI, d autres restrictions sur les prix, similaires à ceux imposés en 2009, ainsi que de nouveaux remous politiques dans la région constitueraient les principaux risques menaçant ces prévisions. BMI a ainsi estimé les dépenses de produits pharmaceutiques par habitant au Liban à 297,5 dollars en 2012 contre 281,7 dollars en 2011, et a indiqué s attendre à ce que de telles dépenses augmentent à 402,4 dollars en 2016 pour enregistrer un taux annuel composé de 7,4 % sur la période Les dépenses pharmaceutiques auraient représenté 2,94 % du PIB l année dernière, un chiffre qui classe le Liban à la septième place mondiale après quelques États africains où les aides internationales peuvent fausser les habitudes d achats pharmaceutiques, selon les mêmes sources. BMI a en outre estimé les dépenses pharmaceutiques à 2,91 % du PIB en 2012, 2,87 % du PIB en 2013 et 2,8 % du PIB en En parallèle, BMI a indiqué que 70 % du marché libanais concernait l importation de produits pharmaceutiques, estimant que ce marché resterait entièrement dépendant des importations. Selon BMI, il y aurait environ genres de médicaments sur le marché local, dont 80 % seraient importés. BMI a en outre précisé que les prescriptions de médicaments avaient représenté environ 73 % du total de la valeur du marché l année dernière. En parallèle, Business Monitor International a considéré la faiblesse des droits de la propriété intellectuelle au Liban comme le principal point noir du marché libanais, tout comme la contrefaçon et la réglementation des prix par le gouvernement qui entraverait les investissements directs étrangers. Source : Orient le Jour Page 4

5 Le Liban participe au Forum de l investissement à Paris Ouverture du Salon de l immobilier à Beyrouth : de l optimisme face à un contexte morose La Chambre de commerce, d industrie et d agriculture de Beyrouth et du Mont-Liban (CCIAB) a répondu positivement à l invitation du Forum de l investissement qui s est tenu au Palais des Congrès à Paris du 11 au 13 octobre. «La participation du Liban à cette rencontre européenne et internationale revêt une importance de taille et lui permet de mettre en avant ses produits et services locaux, ainsi que ses opportunités touristiques», a souligné le président de la CCIAB, Mohammad Choucair. «Nous sommes aujourd hui à l affût d opportunités de ce genre afin de donner au monde une meilleure image du Liban sur le plan sécuritaire, aussi bien aux touristes qu aux investisseurs», a ajouté M. Choucair. Il convient de noter que la société Solidère, qui a parrainé le pavillon libanais, ainsi que l Autorité pour le développement des investissements au Liban (IDAL) ont toutes deux participé à cet événement. Croissance de 5 % des secteurs des services et du commerce Le président d IDAL, Nabil Itani, a annoncé au cours de son intervention que «les investissements directs étrangers (IDE) ont enregistré un taux de croissance de 5 % au cours des six dernières années, dont 70 % dans le secteur des services et du commerce». Ces résultats témoignent, selon lui, de l attractivité du Liban pour les investisseurs étrangers, malgré les tensions politiques et sécuritaires latentes depuis plusieurs mois. «IDAL a identifié les secteurs à fort potentiel de croissance, comme le secteur touristique qui pourrait croître de 30 % ou les centres pour chirurgie esthétique ou de médecine alternative», a indiqué M. Itani. Il a également mis l accent sur les nouvelles technologies de l information, les jeux numériques et les applications mobiles. «Aujourd hui, le plus grand défi pour les pays est de savoir attirer les capitaux et les investisseurs, tout en encourageant l esprit de compétitivité et en soutenant les secteurs productifs», a conclu le président d IDAL. Rappelons la présence qu au cours du colloque du 26 septembre de la CCFL portant sur les technologies de l information, le représentant d IDAL a notamment mis l accent sur les incitations fiscales fournies par cette Agence libanaise, incitation liée aux 8 secteurs à fort potentiel de croissance ; industrie, agriculture, tourisme, technologie, TIC, télécom, média, aliments et boissons. Source : Orient le Jour Dream 2012 a ouvert ses portes au BIEL, rassemblant de nombreux responsables, hommes d affaires et experts du secteur de l immobilier. En dépit d une situation particulièrement difficile cette année, de nombreux projets continuent de surgir malgré tout à Beyrouth et dans les régions adjacentes. Le Salon de l immobilier, Dream, organisé par la compagnie Promofair en partenariat avec la Chambre de commerce et d industrie de Beyrouth (CCIAB), a inauguré sa troisième édition annuelle. Cet événement prendra place jusqu au 13 octobre au BIEL. En présence du ministre de l Industrie, Vrej Sabounjian, et du président de l Union des Chambres de commerce, Mohammad Choucair, cet événement a rassemblé de nombreux exposants ainsi que des professionnels du secteur, dont notamment des promoteurs et agents immobiliers, des représentants du secteur public, des investisseurs, des institutions financières proposant des produits bancaires adaptés aux différentes formes de transactions immobilières, ou encore des architectes. À cette occasion, le ministre Sabounjian a fait preuve d optimisme face à la situation difficile à laquelle est actuellement confronté le secteur, affirmant que le marasme économique au Liban «ne durerait pas». Une affirmation réitérée par le PDG de Promofair, Nabil Baz, qui a fait part de sa confiance dans la résilience du Liban face aux crises. Source: Orient le Jour Page 5

6 Jacques R. Saadé reçoit un prix pour l ensemble de ses réalisations TRANSPORT Le président-directeur général du groupe CMA CGM, Jacques R. Saadé, a reçu jeudi un prix pour l ensemble de sa carrière («Lifetime Achievement Award») de la part du magazine britannique Containerisation International. Ce prix a été décerné à M. Saadé pour «son engagement et sa contribution au développement du commerce maritime, son exceptionnelle carrière à la tête de la CMA CGM, ainsi que son rôle essentiel dans le développement de l industrie des navires porte-conteneurs», a indiqué Containerisation International. Fondé en 1978 par Jacques R. Saadé, CMA CGM est aujourd hui le troisième groupe mondial de transport maritime par conteneurs et le numéro un français. Le groupe, dont le siège social est basé à Marseille, est représenté par environ 650 bureaux et agences répartis sur plus de 150 pays. Il exploite plus de 170 lignes maritimes régulières. Source : Orient le Jour Les bénéfices nets de la Bank Audi à 309 millions de dollars fin septembre La Bank Audi a annoncé ses résultats pour les neuf premiers mois de l année, indiquant à cet égard des bénéfices nets à hauteur de 309,4 millions de dollars durant la première moitié de l année, soit une augmentation de 14,1% par rapport à la même période de Par ailleurs, les actifs consolidés de la banque ont atteint 29,2 milliards de dollars à la fin du mois de septembre, tandis que les dépôts de la clientèle se sont élevés à 24,9 milliards de dollars, en dépit de la contraction des dépôts dans les filiales syriennes de la banque. Les fonds propres ont atteint 2,6 milliards de dollars, représentant ainsi 9% des actifs consolidés de la banque. En parallèle, les créances douteuses se sont établies à seulement 0,72% de l ensemble des crédits octroyés, tandis que le ratio de couverture de ces prêts s est élevé à 77%. Source: Bank Audi La Chambre de Commerce Franco-Libanaise a été créée en 1950 à l initiative d hommes d affaires français et libanais ; c est une association à but non lucratif, dont l objectif est le développement des relations industrielles, commerciales et financières entre les opérateurs des deux pays. Chambre de Commerce Franco-Libanaise 22 Quai Gallieni Suresnes - France Tel: Fax: sur.info@ccfrancolibanaise.com Page 6 Elle est présidée depuis 1986 par Monsieur Jacques R. Saadé, Monsieur Pierre Rozek l a rejoint en 2009 comme Vice Président Exécutif. La mission de la CCFL s articule autour des 3 grands axes suivants: Identifier et communiquer les atouts et opportunités offerts par le Liban dans les domaines de l économie, de l industrie et de la finance. Mobiliser les acteurs, investisseurs existants et potentiels ainsi que les ressources locales. Saisir les perspectives de création ou de croissance de business pour la communauté d affaires des deux pays. Des plans d actions spécifiques sont mis en place en collaboration avec les membres de la CCFL et en partenariat avec des Chambres de Commerce et d Industrie Françaises et Libanaises, les services économiques des ambassades des deux pays, Ubifrance et le MEDEF International.

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