Texte de Frédéric Rousseau

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Texte de Frédéric Rousseau"

Transcription

1 Journée d'étude du 25 janvier 2013 Centre d'histoire, de la Résistance et de la Déportation de Lyon Le nazisme et la destruction des juifs d Europe au musée. Éléments pour une muséohistoire des passés douloureux. Intervention de Frédéric Rousseau Vendredi 25 janvier 2013 Texte de Frédéric Rousseau La muséohistoire a été définie au cours d un programme de recherches international soutenu par l Agence Nationale de la Recherche et qui s est développé de 2009 à 2012 à l Université de Montpellier ; la muséohistoire explore une piste distincte de celle généralement proposée par les muséologues ou encore les muséographes. Pour aller vite, rappelons que si les premiers s intéressent aux sciences et techniques du classement, de la conservation et de l exposition d œuvres et d objets, les seconds étudient principalement les collections, et retracent l histoire des musées d un point de vue essentiellement institutionnel et culturel. Pour notre part, et sans rejeter ces apports tout à fait nécessaires, c est en tant que chercheurs en Sciences humaines et sociales que nous interrogeons les mises en espace et en récit de l histoire des passés douloureux, que nous confrontons le savoir académique tout particulièrement le savoir historien à ces objets culturels hybrides que sont les musées d histoire. Hybrides en effet, car ces espaces d exposition, tout en reprenant à leur compte les savoirs historiens dans lesquels ils trouvent d ailleurs une certaine caution de véridicité et donc d autorité à dispenser eux aussi un «savoir», y introduisent d autres dimensions, notamment mémorielle, idéologique, politique et économique (tourisme). En ce sens, la muséohistoire tente de frayer un chemin entre ces deux spécialités déjà bien balisées, la muséographie d une part, et la muséologie de l autre, en s attachant plus spécifiquement à l examen et au questionnement des narrations muséales1 de l histoire des passés douloureux dans toutes leurs dimensions, en les contextualisant le plus possible. Cela explique pourquoi les espaces muséaux sont abordés en tant qu objets culturels, sociaux et politiques ; objets culturels, ils le sont en effet en tant que supports d histoire et de représentations, de mémoires et d oublis ; mais objets socio-politiques, ils le sont également car nombreux et différents sont les acteurs concernés par ces espaces (depuis les réalisateurs d exposition et autres entrepreneurs de mémoire jusqu aux différents publics) ; autour de chaque espace muséal, des enjeux se cristallisent, se conjuguent ou diffèrent au gré des acteurs impliqués et selon les périodes considérées ; des stratégies se déploient, des rapports de force se dégagent ; considéré sur la durée, l espace muséal demeure un objet culturel et socio-politique vivant, des expositions se «démodent» et subissent des mutations parfois radicales, des promoteurs d origine vieillissent, disparaissent et cèdent la place à de nouvelles générations d animateurs-gestionnaires, à de nouvelles tutelles ; enfin, la muséohistoire examine ces espaces en tant qu objets politiques, tout autant témoins que recéleurs de projets éthiques et/ou civiques, et réquemment porteurs, plus ou moins en filigrane, d une leçon pour aujourd hui et traçant un chemin et une conduite pour demain. Pour illustrer mon propos je souhaite attirer l attention sur un certain nombre de problèmes rencontrés dans des musées traitant du nazisme et de la destruction des juifs d Europe. 1 Les narrations muséales sont entendues au sens le plus large de dispositif narratif composé de tous les éléments concourant au récit : textes, objets, iconographie, sons et lumières, reconstitutions, etc. Pour un point sur cette notion et beaucoup d autres mobilisées par la muséohistoire, se reporter à Patrick Louvier, Julien Mary et Frédéric Rousseau (dir.), Pratiquer la muséohistoire. La guerre et l histoire au musée. Pour une visite critique, Outremont (Québec), Athena éditions, 2012.

2 Problème 1 : la concurrence des mémoires et les distorsions de la vérité historique. Photo 1 (Pavillon polonais d Auschwitz, juin 2011) : Il s agit d une photographie très souvent exposée tant dans les musées que dans les manuels d histoire : un homme est assis au bord d une fosse commune au fond de laquelle sont déjà couchés plusieurs cadavres ; derrière lui, un soldat tend son arme pour l exécuter ; tout autour de la scène figurent une quinzaine de spectateurs... Ce qui retient l attention ici, c est le fait que la légende polonaise, erronée, a été en partie arrachée mais laisse percevoir le nom du lieu : «Tomaszòw...» ; en fait, cette exécution de juifs est généralement localisée à Vinnitsa (Vinnytsya), en Ukraine, et datée de 1942.

3 Un visiteur outré par cette «récupération» a arraché la légende qui lui paraissait incorrecte. De telles «corrections sauvages» se rencontrent dans d autres musées. Photo 2 : Emprunt d une photographie emblématique. Là encore, il s agit d une photographie très connue, reprise au Pavillon polonais d Auschwitz. Le problème provient du fait qu elle n est pas une vue d Auschwitz ; cette photo a été prise à Buchenwald au moment de la libération du camp ; au fond, on y aperçoit le visage émacié d un jeune survivant hongrois : Elie Wiesel. Photo 3 : Contorsions. Ce panneau rédigé en polonais et en anglais (Pavillon polonaise d Auschwitz): Except for a few deprived individuals, no official political or social elements nor the Polish people let themselves to be drawn into the collaboration with the occupier. Photo 4: Le cloisonnement des mémoires. (Pavillon polonaise d Auschwitz): During World War II The Nazis created a system of death camps located in the Third Reich, Poland and the USSR. About Polish Citizen Passed through them and among them there were about ethnic people. Le mot juif n est pas ici employé... Insistance sur le martyrologe polonais.

4 Problème n 2 : Les effets pervers du développement d un tourisme mémoriel de masse. Photos prises au Mémorial des juifs d Europe assassinés, (Berlin, 2010) et à Auschwitz (2011). Les salles sont littéralement bondées au point qu il devient difficile sinon impossible, à moins de jouer des coudes, d accéder à l exposition. Comment concilier la nécessité de permettre l accès au plus grand nombre aux sites muséaux et le confort minimum indispensable pour lire l exposition, prendre la mesure de la narration? Certains sites devenus emblématiques de la destruction des juifs d Europe, Auschwitz particulièrement, sont confrontés à ce problème de gestion des flux de visiteurs.

5 L US Holocaust Memorial de Washington traite cette question en obligeant les visiteurs à s inscrire au préalable ; l attente peut varier d une demi-journée à plus de 24 h pour pouvoir accéder à l exposition dans de relativement bonnes conditions. Problème n 3 : Peut-on transmettre par l art et l esthétisation? Photos : Pavillon hongrois d Auschwitz : très esthétique ; quasi obscurité ; des parois de verre symbolisent un wagon ; la voie ferrée, en verre également ; le ballast est fait de verre pilé...

6 Le pavillon italien d Auschwitz est allé plus loin encore dans l interprétation par l art du génocide : un long tunnel en voiles de tissu peint, sur lequel apparaissent différentes scènes ; des silhouettes transparentes d hommes et de femmes, des barbelés marquent l événement génocidaire ; enfin, des lettres hébraïques identifient les victimes.

7 Problème 4 : Qu apportent de telles reconstitutions à notre appréhension du système concentrationnaire?

8 Comment re-présenter la mort et les crimes de masse?

9

10 Quel est le «bon» média : la photographie, le témoignage audio-visuel, le diorama, la maquette? Que s agit-il de transmettre? Et à qui s adressent de telles représentations? Au-delà de l émotion et du sentiment d horreur suscités chez le spectateur, que visent de telles représentations? Que disent-elles? De quoi nous parlent-elles? Du nazisme? De notre humanité? Que nous apprennent de telles vitrines?

11 Problème 5 : Le poids croissant des effets spéciaux et des prouesses technologiques : vers la «dysneylisation» des narrations de l histoire de la période nazie?... And it is as riveting as a thriller...

12 Autodafé berlinois... Le visiteur marche dans un couloir dont le pavé est fait de livres ; à mesure qu il progresse, des bruitages illustrant un incendie emplissent l espace sonore... Procédé identique pour «illustrer» la Nuit de Cristal : quand le visiteur passe devant une vitrine de magasin, il aperçoit la vitre brisée ; au même moment, il entend des bruitages de vitrines cassées... Le nazisme comme spectacle? A quand les odeurs des fours crématoires? Est-ce cela le musée d immersion? Ne sommes-nous pas plutôt en présence d un musée de diversion, incapable de transmettre un quelconque savoir pouvant déboucher sur la moindre réflexion critique? Problème 6 : les effets d assignations...

13 Un certain nombre de musées effacent la diversité du monde juif et ont tendance à assigner toutes les personnes «reconnues» comme «juives» par les nazis et leurs complices, victimes et/ou rescapées, à une «communauté» indissolublement liée à la synagogue, une «communauté» pourtant en partie imaginaire. Cet amalgame que l on peut qualifier de «communautariste» est problématique en ce sens qu il passe sous silence le fait que tous les «juifs» des nazis n étaient pas religieux, ni même croyants ; un certain nombre d entre eux étaient même athées et avaient pris leurs distances vis-à-vis de la «communauté» ; d autres encore s étaient convertis au christianisme ; par ailleurs, cette focalisation narrative sur le sentiment religieux «supposé» unanime, occulte les autres dimensions de la vie spirituelle juive, notamment philosophique, ainsi que la diversité sociale et politique des juifs d Europe. Il faut prendre la mesure de tels effets d assignation sur les représentations des juifs sur eux-mêmes et des non-juifs sur les juifs d hier et d aujourd hui. C.R.I.S.E.S (Université Paul Valéry de Montpellier) Frédéric Rousseau Biographie et bibliographie : Frédéric Rousseau est professeur d'histoire contemporaine français à l'université Paul Valéry de Montpellier où il dirige, depuis le 1er janvier 2009, le Centre de recherches interdisciplinaires en sciences humaines et sociales (CRISES). Il est membre du Collectif de Recherches International et de Débats sur le premier conflit mondial (CRID 14-18) ainsi que du Comité de rédaction de Témoigner, entre Histoire et Mémoire, Revue pluridisciplinaire de la Fondation Auschwitz de Bruxelles Ses recherches portent principalement sur les sociétés confrontées au devoir ou à la nécessité de défense, en temps de paix et en temps de guerre à l époque contemporaine (XIXe, XXe siècles) ; les rapports citoyen-état, citoyen-institution militaire ; la violence de guerre et de la guerre (Première Guerre mondiale ; Deuxième Guerre mondiale ; guerres coloniales) ; les sources et l écriture de l histoire (témoignages ; photographie) ; l Histoire et la mémoire (XXe siècle) ; la muséologie

14 Parmi ses publications : Pratiquer la muséohistoire la guerre et l histoire au musée, Athéna Editions (CAN), 2012, 280 p. La Guerre censurée. Une histoire de combattants européens, le Seuil, 1999, rééd. Points Seuils 2003 ; Le Procès des témoins de la Grande Guerre : L'Affaire Norton Cru, Le Seuil, 2003 ; La Grande Guerre : En tant qu'expériences sociales, Ellipses, 2006; L'Enfant juif de Varsovie : Histoire d'une photographie, Seuil, 2009.

Communiqué de presse. Les Voies de la Liberté. Exposition temporaire 2015 Mémorial National de la Prison de Montluc

Communiqué de presse. Les Voies de la Liberté. Exposition temporaire 2015 Mémorial National de la Prison de Montluc Exposition temporaire 2015 Mémorial National de la Prison de Montluc Les Voies de la Liberté Du 15 septembre 2015 au 28 mai 2016 Communiqué de presse Mémorial de la Shoah, CDLV82017 Le Mémorial En 2009,

Plus en détail

Ancienne gare de déportation de Bobigny. Rencontre avec les enseignants de Bobigny Connaître les ressources locales 05.12.2012

Ancienne gare de déportation de Bobigny. Rencontre avec les enseignants de Bobigny Connaître les ressources locales 05.12.2012 Ancienne gare de déportation de Bobigny Rencontre avec les enseignants de Bobigny Connaître les ressources locales 05.12.2012 Sommaire : 1. Bobigny, une gare entre Drancy et Auschwitz 2. Après la guerre,

Plus en détail

I) La politique nazie d extermination

I) La politique nazie d extermination I) La politique nazie d extermination La Seconde guerre mondiale a été marquée par l extermination de 10 millions de personnes par les nazis. Les Juifs en particulier ont été les victimes d un génocide

Plus en détail

Les jeunes contre l oubli

Les jeunes contre l oubli Ici, il y a des gens qui : Fabriquent de faux-papiers, Tout en restant discrets ; Aident des enfants, Même pas pour un franc. Ils sont cachés dans les maisons, Au lieu d être dans les camps de concentration.

Plus en détail

III. Comment les nazis ont-ils organisé ces deux génocides?

III. Comment les nazis ont-ils organisé ces deux génocides? III. Comment les nazis ont-ils organisé ces deux génocides? Dans les régions occupées par l URSS, des divisions SS les Einsatzgruppen) massacrent systématiquement les Juifs à partir de 1941. Ils sont gazés

Plus en détail

Thème 3 : La Seconde Guerre mondiale, une guerre d anéantissement (1939-1945)

Thème 3 : La Seconde Guerre mondiale, une guerre d anéantissement (1939-1945) Proposition de mise en œuvre des nouveaux programmes d histoire-géographie en 3 ème 2 ème partie : guerres mondiales et régimes totalitaires (1914-1945) Thème 3 : La Seconde Guerre mondiale, une guerre

Plus en détail

27 Janvier : Journée internationale de commémoration en mémoire des victimes de l'holocauste

27 Janvier : Journée internationale de commémoration en mémoire des victimes de l'holocauste 27 Janvier : Journée internationale de commémoration en mémoire des victimes de l'holocauste "Le bourreau tue toujours deux fois, la seconde fois par l'oubli" (Elie Wiesel) Quand ils ont arrêté les communistes,

Plus en détail

Dans nos classes. La Résistance et la Déportation dans les manuels. Classe de troisième. Les leçons : Collection. Auteurs (sous la direction de)

Dans nos classes. La Résistance et la Déportation dans les manuels. Classe de troisième. Les leçons : Collection. Auteurs (sous la direction de) Dans nos classes La Résistance et la Déportation dans les manuels Classe de troisième Les leçons : Belin, avril 2003. Eric Chaudron, Remy Knafou. Leçons La 2 guerre mondiale. * Les grandes phases de la

Plus en détail

compl mentaire des dossiers réalisés dans le cadre du Concours national de la Résistance notamment de ceux réalis

compl mentaire des dossiers réalisés dans le cadre du Concours national de la Résistance notamment de ceux réalis Introduction L ensemble ensemble documentaire qui suit est complémentaire compl mentaire des dossiers réalisés r dans le cadre du Concours national de la Résistance R sistance et de la Déportation, D notamment

Plus en détail

TROISIEME PARTIE LA FRANCE DE 1945 A NOS JOURS. Bilan et mémoires de la seconde guerre mondiale

TROISIEME PARTIE LA FRANCE DE 1945 A NOS JOURS. Bilan et mémoires de la seconde guerre mondiale TROISIEME PARTIE LA FRANCE DE 1945 A NOS JOURS Bilan et mémoires de la seconde guerre mondiale Qu est-ce que ce film nous apprend sur l évolution de la mémoire de la Seconde Guerre mondiale en France?

Plus en détail

La politique d'extermination nazie. Les ghettos

La politique d'extermination nazie. Les ghettos La politique d'extermination nazie Les ghettos Le regroupement des Juifs dans les ghettos (ici : le ghetto de Varsovie) Vivre dans le ghetto de Varsovie Les plus pauvres ne pouvaient se protéger du froid

Plus en détail

Chap. 5 : la 2 nd guerre mondiale : une guerre d anéantissement Pourquoi parle-t-on de la 2 nd guerre mondiale comme d une guerre d anéantissement

Chap. 5 : la 2 nd guerre mondiale : une guerre d anéantissement Pourquoi parle-t-on de la 2 nd guerre mondiale comme d une guerre d anéantissement Chap. 5 : la 2 nd guerre mondiale : une guerre d anéantissement Pourquoi parle-t-on de la 2 nd guerre mondiale comme d une guerre d anéantissement Chanson : Nuit et brouillard de Jean Ferrat http://www.youtube.com/watch?v=94yoxycqo6s

Plus en détail

CORRIGE DU LIVRET THEMATIQUE NIVEAU 3 ème

CORRIGE DU LIVRET THEMATIQUE NIVEAU 3 ème CORRIGE DU LIVRET THEMATIQUE NIVEAU 3 ème LE NAZISME (1933-1945) DU TRAITE DE VERSAILLES A L ARRIVEE D HITLER AU POUVOIR PAGES 4-5 Comment Mussolini, nouveau dirigeant de l Italie est-il mis en valeur

Plus en détail

Exposition Camps d internement du Limousin (1940-1944)

Exposition Camps d internement du Limousin (1940-1944) COMMUNIQUE DE PRESSE Exposition Camps d internement du Limousin (1940-1944) Du 11 mars au 20 avril 2013 au musée Edmond-Michelet Destinés à l origine à regrouper les étrangers «indésirables», les camps

Plus en détail

Où et quand cette photo a-t-elle été prise? Comment le devinez-vous?

Où et quand cette photo a-t-elle été prise? Comment le devinez-vous? Les textes de l exposition «Dictature et démocratie» et le questionnaire pédagogique sont assez longs. Nous vous conseillons donc de répartir les fiches de travail entre vos élèves et de mettre les réponses

Plus en détail

GRAVER LA PAIX Projet de création artistique collective dans le cadre des Rencontres de Genève Histoire et Cité Construire la Paix (14-16.05.

GRAVER LA PAIX Projet de création artistique collective dans le cadre des Rencontres de Genève Histoire et Cité Construire la Paix (14-16.05. GRAVER LA PAIX Projet de création artistique collective dans le cadre des Rencontres de Genève Histoire et Cité Construire la Paix (14-16.05.2015) LE PROJET DÉTAILLÉ Présentation générale Graver la Paix

Plus en détail

Pour en savoir plus sur l histoire des Juifs de Vire, sur Lublin, Majdanek, Belzec, l Aktion Reinhard rdv sur www.memoire-viretuelle.fr.

Pour en savoir plus sur l histoire des Juifs de Vire, sur Lublin, Majdanek, Belzec, l Aktion Reinhard rdv sur www.memoire-viretuelle.fr. La «Shoah» qu est-ce que c est? Un génocide. Presque six millions de morts. Difficile de réaliser. Personne peut-être ne parvient à le faire Contre toute attente, la Shoah s est aussi passée à Vire. Vingt

Plus en détail

HISTOIRE / FRANCAIS CYCLE 3 TITRE : L UNION FAIT LA FORCE (1915), LA FRANCE ET SES ALLIÉS

HISTOIRE / FRANCAIS CYCLE 3 TITRE : L UNION FAIT LA FORCE (1915), LA FRANCE ET SES ALLIÉS HISTOIRE / FRANCAIS CYCLE 3 TITRE : L UNION FAIT LA FORCE (1915), LA FRANCE ET SES ALLIÉS DOCUMENT : 1979. 29489 (1). «L'Actualité. L'union fait la force. Jeu stratégique». Sans éditeur. Vers 1915. PLACE

Plus en détail

1915-1919 Un camp candien à Saint-Cloud

1915-1919 Un camp candien à Saint-Cloud 1915-1919 Un camp candien à Saint-Cloud Exposition du 16 avril au 12 juillet 2015 Cette exposition est accessible pour des élèves du CE2 au CM1 L exposition p.03 La visite-atelier des scolaires p.06 Renseignements

Plus en détail

L'Holocauste. Table des matières. L Holocauste : aperçu

L'Holocauste. Table des matières. L Holocauste : aperçu L'Holocauste Table des matières The Holocaust: Theme Overview 1 Objets personnels Helena Zaleska 2 Auschwitz-Birkenau, 1944 3 Étoile de David 4 Gobelet de métal 5 Chaussure d enfant 6 L Holocauste : aperçu

Plus en détail

Guide des expositions temporaires. Service Educatif Édition 2015

Guide des expositions temporaires. Service Educatif Édition 2015 Guide des expositions temporaires Service Educatif Édition 2015 Résistance et Monde rural en Zone interdite 1940-1944 Le Musée de la Résistance de Bondues Le musée a pour vocation de transmettre ce que

Plus en détail

La seconde guerre mondiale

La seconde guerre mondiale CM2 Découverte du monde Histoire Compétences : La violence du XXe siècle : les deux conflits mondiaux La seconde guerre mondiale - À partir de l étude de cartes et de documents statistiques, comprendre

Plus en détail

HISTOIRE. Chapitre 1. Lecture historique de mémoires : l historien et les mémoires de la Seconde Guerre mondiale en France

HISTOIRE. Chapitre 1. Lecture historique de mémoires : l historien et les mémoires de la Seconde Guerre mondiale en France HISTOIRE Chapitre 1 Lecture historique de mémoires : l historien et les mémoires de la Seconde Guerre mondiale en France Je révise et je me perfectionne Structure de la leçon I. Une mémoire sélective (1945

Plus en détail

Films à la Fiche. NUIT ET BROUILLARD Un dispositif d alerte NUIT ET BROUILLARD

Films à la Fiche. NUIT ET BROUILLARD Un dispositif d alerte NUIT ET BROUILLARD Films à la Fiche NUIT ET BROUILLARD Un dispositif d alerte TH6790 Présentation Musique de l allemand Eisler, commentaire écrit par l ex-déporté Jean Cayrol et lu par Michel Bouquet, ce court métrage «de

Plus en détail

symposium bavaud programme WWW.MAURICE-BAvAUD.CH MAURICE BAvAUD 13 MAI 2011 NEUCHâtEL

symposium bavaud programme WWW.MAURICE-BAvAUD.CH MAURICE BAvAUD 13 MAI 2011 NEUCHâtEL C O M I t É M AU R IC E bavaud symposium MAURICE BAvAUD 13 MAI 2011 NEUCHâtEL programme WWW.MAURICE-BAvAUD.CH avant-programme «il FaiT FroiD en BranDeBourg» 5 MAI 2011 CLUB 44 LA CHAUX-DE-FONDS symposium

Plus en détail

DISCOURS MADAME SIMONE VEIL. Présidente de la FONDATION POUR LA MEMOIRE DE LA SHOAH

DISCOURS MADAME SIMONE VEIL. Présidente de la FONDATION POUR LA MEMOIRE DE LA SHOAH DISCOURS DE MADAME SIMONE VEIL Présidente de la FONDATION POUR LA MEMOIRE DE LA SHOAH Athènes, le 30 janvier 2006 Journée nationale à la mémoire des héros et des martyrs de l Holocauste en Grèce Monsieur

Plus en détail

MÉMOIRES DU XXe SIÈCLE EN RÉGION RHÔNE-ALPES APPEL À PROJETS 2015

MÉMOIRES DU XXe SIÈCLE EN RÉGION RHÔNE-ALPES APPEL À PROJETS 2015 MÉMOIRES DU XXe SIÈCLE EN RÉGION RHÔNE-ALPES APPEL À PROJETS 2015 ATTENTION : UNE SEULE SESSION EN 2015 La Région Rhône-Alpes et l État, DRAC Rhône-Alpes, ont souhaité mettre conjointement en place le

Plus en détail

Révision de l ombudsman du texte sur le camp d extermination nazi de Sobibor en Pologne, diffusé au Téléjournal le 30 novembre 2009.

Révision de l ombudsman du texte sur le camp d extermination nazi de Sobibor en Pologne, diffusé au Téléjournal le 30 novembre 2009. Révision de l ombudsman du texte sur le camp d extermination nazi de Sobibor en Pologne, diffusé au Téléjournal le 30 novembre 2009. SOMMAIRE Un plaignant estime que le Téléjournal du 30 novembre a commis

Plus en détail

De l Etat français à la IVème République (1940-1946)

De l Etat français à la IVème République (1940-1946) De l Etat français à la IVème République (1940-1946) Introduction : Présentation de la défaite : -En juin 1940, la chute de la IIIème République (1875-1940) accompagne la déroute militaire. -Le 10 juillet

Plus en détail

Exposition A CONTRE COURANT, organisée par l association. mai-juin 2015 à la Bibliothèque de l Université de Rennes 2

Exposition A CONTRE COURANT, organisée par l association. mai-juin 2015 à la Bibliothèque de l Université de Rennes 2 Exposition A CONTRE COURANT, organisée par l association mai-juin 2015 à la Bibliothèque de l Université de Rennes 2 http://lesamisdemagda.fr/ Contact : bertrandbernicot@hotmail.fr Des élèves de 8 lycées

Plus en détail

La IIe Guerre mondiale, une guerre d anéantissement et génocides Introduction : «radicalisation de la violence» une guerre d anéantissement

La IIe Guerre mondiale, une guerre d anéantissement et génocides Introduction : «radicalisation de la violence» une guerre d anéantissement H2.1 : Guerres mondiales et espoirs de paix. La II e Guerre mondiale, une guerre d anéantissement et génocides. Introduction : Si la 1 ère guerre mondiale fut la première guerre totale, la 2 ème GM, par

Plus en détail

CORRECTION BREVET BLANC 2015 PREMIER PARTIE/HISTOIRE

CORRECTION BREVET BLANC 2015 PREMIER PARTIE/HISTOIRE CORRECTION BREVET BLANC 2015 PREMIER PARTIE/HISTOIRE 1/ en 1804 2/ le second empire 3/JULES FERRY 4/régime de Vichy : 1940/1944 La collaboration caractérise ce régime. Par exemple, la milice française

Plus en détail

27 janvier 2015 Journée de la mémoire des génocides et de la prévention des crimes contre l Humanité

27 janvier 2015 Journée de la mémoire des génocides et de la prévention des crimes contre l Humanité Monsieur le Maire, Eric LEJOINDRE Mesdames et Messieurs Les enseignants et représentants de l Education Nationale Mesdames et Messieurs les Présidents et représentants d associations patriotiques Mesdames

Plus en détail

Dan Bar-On. Dialog as a means of dealing with conflicts Le dialogue comme modèle pour surmonter les conflits

Dan Bar-On. Dialog as a means of dealing with conflicts Le dialogue comme modèle pour surmonter les conflits Dan Bar-On Dialog as a means of dealing with conflicts Le dialogue comme modèle pour surmonter les conflits Imbuto asbl - Memos AEPCSM International Peace Camp Rwanda 12-27.12.2005 Apprendre des expériences

Plus en détail

Dans le cadre du décret Education Permanente. La Plate-forme francophone du Volontariat présente : ANALYSE. (11 074 signes espaces compris)

Dans le cadre du décret Education Permanente. La Plate-forme francophone du Volontariat présente : ANALYSE. (11 074 signes espaces compris) 1 Dans le cadre du décret Education Permanente La Plate-forme francophone du Volontariat présente : ANALYSE (11 074 signes espaces compris) Le volontariat et ses limites dans le secteur social et des soins

Plus en détail

Glossaire 3 : 3 Ressources :

Glossaire 3 : 3 Ressources : Le vocabulaire concernant l extermination des Juifs d Europe par les nazis Le régime nazi a, de 1941 à 1945, mis en œuvre sa décision planifiée de destruction des populations juives d Europe. L objectif

Plus en détail

Otto, autobiographie d un ours en peluche

Otto, autobiographie d un ours en peluche Otto, autobiographie d un ours en peluche Présentation de l ouvrage Titre : Otto, autobiographie d un ours en peluche Auteur : Tomi Ungerer Editeur : Ecole des Loisirs Genre : album, fausse autobiographie

Plus en détail

UN PROJET SCIENTIFIQUE ET CULTUREL POUR LA SOCIÉTÉ DE LA CONNAISSANCE

UN PROJET SCIENTIFIQUE ET CULTUREL POUR LA SOCIÉTÉ DE LA CONNAISSANCE UN PROJET SCIENTIFIQUE ET CULTUREL POUR LA SOCIÉTÉ DE LA CONNAISSANCE Le regroupement du Palais de la découverte et de la Cité des sciences et de l industrie en un seul établissement apporte les atouts

Plus en détail

70 e anniversaire de la Bataille de Normandie Les évènements organisés par le Conseil général de l Orne

70 e anniversaire de la Bataille de Normandie Les évènements organisés par le Conseil général de l Orne Le 6 juin 2014 Irène Martin-Houlgatte Conseil général de l Orne Print presse Tél 02 33 81 60 00 Poste 1226 LD 02 33 81 63 97 martin-houlgatte.irene@cg61.fr Blandine Bienfait Conseil général de l Orne Print

Plus en détail

Documents et pistes d utilisation sur le thème «les mémoires de la Seconde Guerre Mondiale.

Documents et pistes d utilisation sur le thème «les mémoires de la Seconde Guerre Mondiale. Documents et pistes d utilisation sur le thème «les mémoires de la Seconde Guerre Mondiale. Approfondissement en accompagnement personnalisé T L / ES. Il s agit de deux journaux de la Résistance et d un

Plus en détail

L AFMD et l ISTR brisent le tabou de la religion en entreprises

L AFMD et l ISTR brisent le tabou de la religion en entreprises Communiqué de presse L AFMD et l ISTR brisent le tabou de la religion en entreprises Objectif : Aider les managers à gérer la diversité religieuse au quotidien Alors que la question de l expression religieuse

Plus en détail

Un violon dans la nuit

Un violon dans la nuit Un violon dans la nuit Présentation de l ouvrage Titre : Un violon dans la nuit Auteur : Didier Daeninckx Illustrateur : Pef Editeur : Rue du monde Genre : Album historique Résumé : Un matin, Alexandra

Plus en détail

Le Journal d Anne Frank. De Julian Y. Wolf et Nagaoka Akiyoshi 1999. France/Grande-Bretagne/Irlande/Japon. 89 min. Animation. Couleurs.

Le Journal d Anne Frank. De Julian Y. Wolf et Nagaoka Akiyoshi 1999. France/Grande-Bretagne/Irlande/Japon. 89 min. Animation. Couleurs. Le Journal d Anne Frank De Julian Y. Wolf et Nagaoka Akiyoshi 1999. France/Grande-Bretagne/Irlande/Japon. 89 min. Animation. Couleurs. En juin 1942, Anne Frank fête ses 13 ans à Amsterdam. Son père lui

Plus en détail

ORGANISER UNE EXPOSITION DE PRODUCTION D ELEVES OU DES REPRESENTATIONS EXPOSER QUOI?

ORGANISER UNE EXPOSITION DE PRODUCTION D ELEVES OU DES REPRESENTATIONS EXPOSER QUOI? ORGANISER UNE EXPOSITION DE PRODUCTION D ELEVES OU DES REPRESENTATIONS EXPOSER QUOI? Des productions en maîtrise de la langue o A l écrit: suite/fin d album, critiques littéraires, carnets de lecture o

Plus en détail

NON MAIS T AS VU MA TÊTE!

NON MAIS T AS VU MA TÊTE! La compagnie Lucamoros présente NON MAIS T AS VU MA TÊTE! et autres images (portrait volé, face à face) Spectacle sans paroles et en 3 tableaux pour un peintre-clown et sa toile Compagnie Lucamoros 1 Premier

Plus en détail

DOCUMENT L HISTOIRE DE L ÉDUCATION EN FRANCE

DOCUMENT L HISTOIRE DE L ÉDUCATION EN FRANCE 209 DOCUMENT L HISTOIRE DE L ÉDUCATION EN FRANCE Pierre Caspard Service d Histoire de l Éducation, France. En février 2013, Antoine Prost a reçu des mains du ministre de l Éducation nationale français,

Plus en détail

Chapitre 4 LA SECONDE GUERRE MONDIALE

Chapitre 4 LA SECONDE GUERRE MONDIALE Chapitre 4 LA SECONDE GUERRE MONDIALE Pourquoi la Seconde guerre mondiale est-elle une guerre d anéantissement? I. Un affrontement planétaire A. Les grandes phases de la guerre ...................... 1

Plus en détail

Fiche pédagogique Mon amie Anne Frank

Fiche pédagogique Mon amie Anne Frank Ce livre vaut, certes, comme complément au Journal d Anne Frank, et on pourra le lire comme tel. Mais il est surtout un témoignage poignant sur la vie quotidienne d une enfant juive plongée dans l horreur

Plus en détail

MASTER RECHERCHE MEDIATIONS DES SCIENCES. Mention HISTOIRE, PHILOSOPHIE ET. Histoire et Philosophie des Sciences. Année 2007/2008

MASTER RECHERCHE MEDIATIONS DES SCIENCES. Mention HISTOIRE, PHILOSOPHIE ET. Histoire et Philosophie des Sciences. Année 2007/2008 Année 2007/2008 Domaine LETTRES ET SCIENCES HUMAINES MASTER RECHERCHE Mention HISTOIRE, PHILOSOPHIE ET MEDIATIONS DES SCIENCES Spécialité Histoire et Philosophie des Sciences Unités de Formation et de

Plus en détail

MUSÉOGRAPHIE. Référent Anaïs RAMEAUX Actualisation Mars 2012 anais.rameaux@u-bourgogne.fr SYNTHÈSE

MUSÉOGRAPHIE. Référent Anaïs RAMEAUX Actualisation Mars 2012 anais.rameaux@u-bourgogne.fr SYNTHÈSE MUSÉOGRAPHIE P Référent Anaïs RAMEAUX Actualisation Mars 2012 anais.rameaux@u-bourgogne.fr SYNTHÈSE Ensemble de techniques héritées de la muséologie destinées à la mise en valeur pérenne des collections

Plus en détail

Organisation des Nations Unies pour l éducation, la science et la culture POURQUOI

Organisation des Nations Unies pour l éducation, la science et la culture POURQUOI Organisation des Nations Unies pour l éducation, la science et la culture POURQUOI enseigner l Holocauste? Publié en 2013 par l Organisation des Nations unies pour l éducation, la science et la culture

Plus en détail

Grand-Père. Présentation de l ouvrage

Grand-Père. Présentation de l ouvrage Présentation de l ouvrage Grand-Père Titre : Grand-père Auteur : Gilles Rapaport Illustrateur : Gilles Rapaport Editeur : Circonflexe Genre : Album historique Résumé : Avant de mourir, un grand-père, Juif

Plus en détail

Document 7. 13. Pourquoi ce discours de 1995 marque-t-il un moment important?

Document 7. 13. Pourquoi ce discours de 1995 marque-t-il un moment important? Pages 77-78. Passage en italique. «Je crois devoir attirer votre attention sur le fait qu en exécution des ordres reçus du commandeur des SS, les arrestations ont été opérées uniquement par la police française

Plus en détail

«Longtemps, j ai pris ma plume pour une épée : à présent, je connais notre impuissance.»

«Longtemps, j ai pris ma plume pour une épée : à présent, je connais notre impuissance.» Métonymie : image désuète de l instrument servant à écrire. Représentation traditionnelle et glorieuse du travail de l écrivain. Allusion à une époque révolue. Idée de durée, de permanence. edoublée dans

Plus en détail

Travail en groupe Apprendre la coopération

Travail en groupe Apprendre la coopération Travail en groupe Apprendre la coopération Travailler en groupe, en atelier peut répondre à de nombreux objectifs qui peuvent être très différents les uns des autres. Nous insisterons ici sur les pratiques

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme?

Exercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? Exercices Alternatifs Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? c 2004 Frédéric Le Roux, François Béguin (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: polynome-lagrange/. Version

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme?

Exercices Alternatifs. Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? Exercices Alternatifs Quelqu un aurait-il vu passer un polynôme? c 2004 Frédéric Le Roux, François Béguin (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: polynome-lagrange/. Version

Plus en détail

Brève histoire de l Holocauste aux Pays-Bas

Brève histoire de l Holocauste aux Pays-Bas Brève histoire de l Holocauste aux Pays-Bas La présence juive aux Pays-Bas En 1579, l abolition de l Inquisition par la République hollandaise fait de ce pays une terre d accueil par excellence pour les

Plus en détail

Musées et paysages culturels

Musées et paysages culturels La Charte de Sienne Musées et paysages culturels Proposée par l ICOM Italie le 7 juillet 2014 à la Conférence internationale de Sienne 1. Le paysage italien Le paysage italien est le pays que nous habitons,

Plus en détail

ETUDE COMPAREE DE VALSE AVEC BACHIR ET DE SHOAH

ETUDE COMPAREE DE VALSE AVEC BACHIR ET DE SHOAH ETUDE COMPAREE DE VALSE AVEC BACHIR ET DE SHOAH Le point de départ de cette étude se situe autour de la question du documentaire. En effet, Ari Folman classe son film dans la catégorie du documentaire

Plus en détail

MASTER MENTION ARTS ET CULTURE SPECIALITE EXPERTISE ET MEDIATION CULTURELLE

MASTER MENTION ARTS ET CULTURE SPECIALITE EXPERTISE ET MEDIATION CULTURELLE Pratique : Conditions d admission : En M1 (1 ère année de master) : - Si vous êtes titulaire ou futur titulaire d une L3 (3 ème année de licence) mention arts plastiques, mention arts du spectacle et audiovisuel,

Plus en détail

Marathon des lettres, du 1 er au 18 décembre 2011 Semaines de sensibilisation et d action autour des droits humains

Marathon des lettres, du 1 er au 18 décembre 2011 Semaines de sensibilisation et d action autour des droits humains Aux enseignant e s intéressé e s par les activités d'amnesty International Berne, le 24 octobre 2011 10 DÉCEMBRE: JOURNÉE INTERNATIONALE DES DROITS HUMAINS Madame, Monsieur, A l occasion de l anniversaire

Plus en détail

Mémorial de Caen 70 E ANNIVERSAIRE DE LA BATAILLE DE NORMANDIE POINT DE RENCONTRE. 5 / Réf. : 140B4560 ISBN : 978-2-86618-613-5

Mémorial de Caen 70 E ANNIVERSAIRE DE LA BATAILLE DE NORMANDIE POINT DE RENCONTRE. 5 / Réf. : 140B4560 ISBN : 978-2-86618-613-5 POINT DE RENCONTRE Mémorial de Caen 70 E ANNIVERSAIRE DE LA BATAILLE DE NORMANDIE 5 / Réf. : 140B4560 ISBN : 978-2-86618-613-5 Mémorial de Caen Sommaire CANOPÉ ACADÉMIE DE CAEN Directeur de la publication

Plus en détail

Le Centre Georges Pompidou, Paris.

Le Centre Georges Pompidou, Paris. Le Centre Georges Pompidou, Paris. 1- L OEUVRE : Titre de l œuvre Centre Georges Pompidou aussi surnommé Beaubourg d après le nom du quartier dans lequel il fut construit. Nom de l auteur ou de l artiste

Plus en détail

UNIVERSITE DE PARIS 1 - PANTHEON SORBONNE

UNIVERSITE DE PARIS 1 - PANTHEON SORBONNE UNIVERSITE DE PARIS 1 - PANTHEON SORBONNE INSTITUT DE RECHERCHE ET D ETUDES SUPERIEURES DU TOURISME LA VALORISATION DES LIEUX DE MEMOIRE DE LA SHOAH EN FRANCE, ENTRE MEMOIRE ET PATRIMOINE CULTUREL Mémoire

Plus en détail

LIVRET DE VISITE. Autoportraits du musée d. musée des beaux-arts. place Stanislas

LIVRET DE VISITE. Autoportraits du musée d. musée des beaux-arts. place Stanislas LIVRET DE VISITE musée des beaux-arts de Nancy place Stanislas Autoportraits du musée d Orsay L exposition Au fil du temps Bienvenue au Musée des Beaux-Arts de Nancy! Les tableaux que tu vois ici viennent

Plus en détail

Un écrivain dans la classe : pour quoi faire?

Un écrivain dans la classe : pour quoi faire? Un écrivain dans la classe : pour quoi faire? Entretien avec Philippe Meirieu réalisé pour l ARALD - Quel est votre sentiment sur la présence des écrivains dans les classes? Il me semble que ce n est pas

Plus en détail

LE PROGRAMME DES CLASSES DE BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EN FRANÇAIS

LE PROGRAMME DES CLASSES DE BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EN FRANÇAIS A. Armand IGEN lettres avril 2009-1 LE PROGRAMME DES CLASSES DE BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL EN FRANÇAIS Cette présentation du programme de français pour les classes de seconde, première, et terminale du

Plus en détail

CLASSE DE PREMIERE GÉNÉRALE Commentaires des programmes Option Internationale franco-marocaine du Baccalauréat

CLASSE DE PREMIERE GÉNÉRALE Commentaires des programmes Option Internationale franco-marocaine du Baccalauréat INSPECTION GENERALE DE L'EDUCATION NATIONALE Groupe Histoire Géographie SERVICE DE COOPERATION ET D ACTION CULTURELLE Service de l Enseignement Français PROGRAMMES D HISTOIRE ET DE GÉOGRAPHIE CLASSE DE

Plus en détail

Un contrat de respect mutuel au collège

Un contrat de respect mutuel au collège Apprentissage du respect - Fiche outil 01 Un contrat de respect mutuel au collège Objectifs : Décrire une action coopérative amenant élèves et adultes à s interroger sur leurs propres comportements en

Plus en détail

Histoire Leçon 15 La marche vers la guerre ( 1938 / 1939) Dates : 1936 : remilitarisation de la Rhénanie 1938 : Anschluss de l Autriche

Histoire Leçon 15 La marche vers la guerre ( 1938 / 1939) Dates : 1936 : remilitarisation de la Rhénanie 1938 : Anschluss de l Autriche Histoire Leçon 15 La marche vers la guerre ( 1938 / 1939) 1936 : remilitarisation de la Rhénanie 1938 : Anschluss de l Autriche Septembre 1939 : début de la deuxième guerre mondiale Anschluss : annexion

Plus en détail

Master 2 Concepteur audiovisuel : représentations plurimédia de l histoire, de la société et de la science. Syllabus 2015-2016

Master 2 Concepteur audiovisuel : représentations plurimédia de l histoire, de la société et de la science. Syllabus 2015-2016 Master 2 Concepteur audiovisuel : représentations plurimédia de l histoire, de la société et de la science Syllabus 2015-2016 Intitulés des UE de l'ue Heures encadrées Formes du remploi dans le cinéma

Plus en détail

Une nouvelle muséologie pour le musée moderne

Une nouvelle muséologie pour le musée moderne Une nouvelle muséologie pour le musée moderne André Desvallées, dir., Vagues, une anthologie de la nouvelle muséologie André Desvallées, dans cet extrait de Vagues, une anthologie de la nouvelle muséologie

Plus en détail

Refondation du Mali et refondation de l aide internationale

Refondation du Mali et refondation de l aide internationale Refondation du Mali et refondation de l aide internationale La crise malienne et la manière dont elle a pris les partenaires techniques et financiers de ce pays par surprise est un bon révélateur des faiblesses

Plus en détail

«En avant les p tits gars» Chanté Par Fragson. 1913. Mais que chantait-on en Décembre 1913, à quelques mois du déclenchement de la grande tragédie?

«En avant les p tits gars» Chanté Par Fragson. 1913. Mais que chantait-on en Décembre 1913, à quelques mois du déclenchement de la grande tragédie? «En avant les p tits gars» Chanté Par Fragson. 1913. Mais que chantait-on en Décembre 1913, à quelques mois du déclenchement de la grande tragédie? Paroles : «En avant les p tits gars». Fragson. 1913.

Plus en détail

À DISTANCE LE MBA MANAGER DE PROJET CULTUREL. www.groupeeac.com

À DISTANCE LE MBA MANAGER DE PROJET CULTUREL. www.groupeeac.com LE MBA MANAGER DE PROJET CULTUREL & PATRIMOINE AUDIOVISUEL CINÉMA SPECTACLE VIVANT MUSIQUE ART & PATRIMOINE AUDIOVISUEL CINÉMA TACLE VIVANT MUSIQUE ART & PATRIMOINE AUDIOVISUEL CINÉMA SPECTACLE VIVANT

Plus en détail

13-14-15 février 2014 Parc Chanot Hall 2 Marseille GUIDE DE L EXPOSANT 2014

13-14-15 février 2014 Parc Chanot Hall 2 Marseille GUIDE DE L EXPOSANT 2014 GUIDE DE L EXPOSANT 2014 1 SOMMAIRE Conditions particulières 3, 4, 5 Renseignements généraux 6 Organisation des Rencontres 7 Prestations 8, 9 Logistique 10 Processus d inscription 11 2 CONDITIONS PARTICULIERES

Plus en détail

MASTER PROFESSIONNEL

MASTER PROFESSIONNEL Année 2010/2011 Domaine LETTRES ET SCIENCES HUMAINES MASTER PROFESSIONNEL (cohabilitation des Universités BORDEAUX 1, BORDEAUX 2, BORDEAUX 3 et Sciences-Po Bordeaux) Mention HISTOIRE, PHILOSOPHIE ET MEDIATIONS

Plus en détail

Philippe BANCE Président du Conseil scientifique international du CIRIEC CREAM Normandie Université (Univ. Rouen)

Philippe BANCE Président du Conseil scientifique international du CIRIEC CREAM Normandie Université (Univ. Rouen) 20 ème Congrès du CIRIEC International Buenos Aires, octobre 2014 Philippe BANCE Président du Conseil scientifique international du CIRIEC CREAM Normandie Université (Univ. Rouen) 1 Hétérodoxie versus

Plus en détail

Utilisation des portables en classe, des problèmes et des solutions.

Utilisation des portables en classe, des problèmes et des solutions. Utilisation des portables en classe, des problèmes et des solutions. Ces quelques lignes ne rendent pas compte d une expérimentation organisée à priori mais d un changement de pratique qui demeure en évolution.

Plus en détail

Les stratégies métropolitaines Du «hard» au «soft»

Les stratégies métropolitaines Du «hard» au «soft» 11 e rencontres franco-suisses des Urbanistes Divonne les bains, 4 juillet 2014 Les stratégies métropolitaines Du «hard» au «soft» 1 Jean Haëntjens, Urbatopie j.haentjens@wanadoo.fr www.jeanhaentjens.com

Plus en détail

CIRCULAIRE CONJOINTE. Ministère de l éducation nationale. la défense. du patrimoine et des archives

CIRCULAIRE CONJOINTE. Ministère de l éducation nationale. la défense. du patrimoine et des archives CIRCULAIRE CONJOINTE Ministère de l éducation nationale Ministère de la défense Ministère de l éducation nationale Direction de l enseignement scolaire Ministère de la défense Direction de la mémoire,

Plus en détail

Retrouver l état signalétique ou le passé militaire d un combattant des armées françaises nés en France

Retrouver l état signalétique ou le passé militaire d un combattant des armées françaises nés en France Retrouver l état signalétique ou le passé militaire d un combattant des armées françaises nés en France Origine, composition des fonds d archives C est la loi Jourdan du 15 septembre 1798 qui substitue

Plus en détail

Ministère des Affaires étrangères et européennes. Direction de la politique culturelle et du français. Regards VII

Ministère des Affaires étrangères et européennes. Direction de la politique culturelle et du français. Regards VII Ministère des Affaires étrangères et européennes Direction de la politique culturelle et du français Regards VII Sciences et techniques 4. Comment se libérer du vertige? Réalisation Thomas Sorin, CAVILAM

Plus en détail

Conclusion : -30- 41 Voir Annexe p.33

Conclusion : -30- 41 Voir Annexe p.33 Conclusion : Les trois collections universitaires qui viennent d être évoquées sont les seules des universités françaises que l on peut toujours visiter. Toutes les autres collections universitaires comme

Plus en détail

Laisser une empreinte Devenez acteur de la restauration des plantations du canal du Midi

Laisser une empreinte Devenez acteur de la restauration des plantations du canal du Midi Laisser une empreinte Devenez acteur de la restauration des plantations du canal du Midi Le canal du Midi, un patrimoine exceptionnel Une vitrine. L inscription par l Unesco en 1996 sur la liste du patrimoine

Plus en détail

Présentation du DVD Une petite fille privilégiée Un témoignage de Francine Christophe Une histoire dans l Histoire

Présentation du DVD Une petite fille privilégiée Un témoignage de Francine Christophe Une histoire dans l Histoire Présentation du DVD Une petite fille privilégiée Un témoignage de Francine Christophe Une histoire dans l Histoire Ce témoignage de Francine Christophe, expérience douloureuse d une partie de sa vie, «croise»

Plus en détail

ANALYSE D UNE OEUVRE DE ROBERT COMBAS. Bony - Richard - Gwladys - SImon - Megane Kouamela Rapenne Le Roy Bareyt Tandin

ANALYSE D UNE OEUVRE DE ROBERT COMBAS. Bony - Richard - Gwladys - SImon - Megane Kouamela Rapenne Le Roy Bareyt Tandin ANALYSE D UNE OEUVRE DE ROBERT COMBAS Bony - Richard - Gwladys - SImon - Megane Kouamela Rapenne Le Roy Bareyt Tandin RAPPEL du brief Par groupe, nous nous sommes rendus au CAPC, le musée d art contemporain,

Plus en détail

Contact presse : Émilie LEDUC Attachée de presse du Conseil général d Indre-et-Loire Tél. : 06 88 60 78 74 / 02 47 31 43 21 eleduc@cg37.

Contact presse : Émilie LEDUC Attachée de presse du Conseil général d Indre-et-Loire Tél. : 06 88 60 78 74 / 02 47 31 43 21 eleduc@cg37. Contact presse : Émilie LEDUC Attachée de presse du Conseil général d Indre-et-Loire Tél. : 06 88 60 78 74 / 02 47 31 43 21 eleduc@cg37.fr La forteresse royale de Chinon, propriété du Conseil général d

Plus en détail

Dossier VI. Le XX ème siècle et le monde actuel (1 ère partie) Questions appelant des réponses concises

Dossier VI. Le XX ème siècle et le monde actuel (1 ère partie) Questions appelant des réponses concises 1 Dossier VI Le XX ème siècle et le monde actuel (1 ère partie) Questions appelant des réponses concises A/ Les guerres au XX ème siècle 1 La Première Guerre mondiale (la «Grande Guerre») a) Quelles sont

Plus en détail

Gauthier, Benoît (dir.). 2010. Recherche sociale : de la problématique à la collecte des données. Québec : Presses de l Université du Québec.

Gauthier, Benoît (dir.). 2010. Recherche sociale : de la problématique à la collecte des données. Québec : Presses de l Université du Québec. Faculté des arts et des sciences Département de science politique POL 1100 (Méthodes de recherche en politique) Automne 2011 Local B-0245 Lundi de 13h00-14h30 Professeur : Éric Montpetit Bureau : C-4012

Plus en détail

Rencontres, cinéma et histoire

Rencontres, cinéma et histoire Association Ciné 2000 Les Amis de la Résistance. L A.n.a.c.r CCAS et CMCAS de Corse 4ème cycle du Film «Résistance» : Rencontres, cinéma et histoire Mardi 17 Mai 2005 14h30 : Ouverture de la manifestation

Plus en détail

II. La mise en place d un régime totalitaire, fasciste et raciste. 1. Comment Hitler met en place un État totalitaire et raciste?

II. La mise en place d un régime totalitaire, fasciste et raciste. 1. Comment Hitler met en place un État totalitaire et raciste? II. La mise en place d un régime totalitaire, fasciste et raciste 1. Comment Hitler met en place un État totalitaire et raciste? Extrait du film de propagande réalisé par Leni Riefenstahl, Le Triomphe

Plus en détail

SÉNAT PROPOSITION DE LOI

SÉNAT PROPOSITION DE LOI N 41 SÉNAT PREMIÈRE SESSION ORDINAIRE DE 1992-1993 Annexe au prunes verbal Je la séance du 10 novembre 1992. PROPOSITION DE LOI relative à la reconnaissance des crimes contre I'humanité commis par le régime

Plus en détail

Les Principes fondamentaux

Les Principes fondamentaux Les Principes fondamentaux DU MOUVEMENT INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE ET DU CROISSANT-ROUGE Christoph von Toggenburg/CICR Les Principes fondamentaux du Mouvement international de la Croix-Rouge et du

Plus en détail

MASTER ARTS DU SPECTACLE, COMMUNICATION ET MÉDIAS (ETUDES THÉÂTRALES)

MASTER ARTS DU SPECTACLE, COMMUNICATION ET MÉDIAS (ETUDES THÉÂTRALES) MASTER ARTS DU SPECTACLE, COMMUNICATION ET MÉDIAS (ETUDES THÉÂTRALES) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine : Arts, Lettres, Langues Présentation Structure de la formation : * 4

Plus en détail

La rue. > La feuille de l élève disponible à la fin de ce document

La rue. > La feuille de l élève disponible à la fin de ce document La rue Grandir, qu est-ce que cela signifie vraiment? Un jeune qui a vécu isolé dans les rues de Paris témoigne. Cette fiche pédagogique propose de découvrir une réalité peu connue de la France d aujourd

Plus en détail

UN DISPOSITIF DE FORMATION PARENTALE DANS UN MUSEE

UN DISPOSITIF DE FORMATION PARENTALE DANS UN MUSEE N 31 - AILINCAI Rodica [docteur en sciences de l éducation. Laboratoire Éducation & Apprentissages, Université Paris 5 1 ] UN DISPOSITIF DE FORMATION PARENTALE DANS UN MUSEE 1. Contexte et questions de

Plus en détail

Ensemble, soutenons le Bleuet de France!

Ensemble, soutenons le Bleuet de France! DOSSIER DE PRESSE Il ne peut y avoir de Solidarité sans Mémoire Depuis 1991, les fonds récoltés par l Œuvre Nationale du Bleuet de France (ONBF) permettent d accompagner la politique mémorielle de l ONACVG.

Plus en détail