Observatoire statistique de l Ile-de-France

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1 Observatoire statistique de l Ile-de-France Au fil des formalités remplies par les personnes physiques ou morales qui déclarent et paient des cotisations et des contributions sociales, ainsi que dans le cadre de ses missions complémentaires (lutte contre le travail illégal, politique d allégement et d exonérations sociales ), l Urssaf de Paris et de la région parisienne ainsi que l Urssaf de Seine-et-Marne collectent des données essentielles sur le tissu économique, l emploi et les revenus du travail en Ile-de-France. Ces informations chiffrées sont mises à disposition des acteurs socio-économiques pour une prise de décision éclairée (MNC : Mission nationale de contrôle et d audit des organismes de Sécurité sociale, MSA : Mutualité sociale agricole, Chambres de commerce et d industrie, mairies, préfectures, conseil régional, conseils généraux ). L Urssaf de Paris et de la région parisienne et l Urssaf de Seine-et-Marne mettent également leur expertise au service de l Acoss, la Caisse nationale des Urssaf, qui centralise les informations de l ensemble des Urssaf de France puis intervient auprès des autorités nationales et européennes. Numéro 4 Année 2011

2 Sommaire Chiffres Ile-de-France avec tableaux comparatifs entre les départements 1 - É tablissements, effectifs et masses salariales dans le secteur privé Déclarations préalables à l embauche Exonérations Chiffres départementaux Paris (75)... Seine-et-Marne (77)... Yvelines (78)... Essonne (91)... Hauts-de-Seine (92)... Seine-Saint-Denis (93)... Val-de-Marne (94)... Val-d Oise (95) Directeurs de la publication : Vincent Ravoux (Directeur général de l Urssaf de Paris-région parisienne) Gaudérique Barrière (Directeur de l Urssaf de Seine-et-Marne) Fourniture et élaboration des données : Urssaf de Paris-région parisienne : Serge Mercier, Sandrine Groussac, Gaëlle Jacq, Estelle Pic, Audrey Dubourg, Matthieu Goussot Urssaf de Seine-et-Marne : Delphine Jambert-Pernotte, Nassima Zemmouri Réalisation : Urssaf de Paris-région parisienne - Dépôt légal : en cours - ISSN : en cours - Photos

3 À propos des données Le champ «secteur privé concurrentiel» couvre l ensemble des établissements exerçant leur activité dans le département dans un secteur concurrentiel qui comprend tous les secteurs d activité économique sauf les administrations publiques, l éducation non marchande (établissements d enseignement relevant de l État ou des collectivités locales), la santé non marchande et l emploi par les ménages de salariés à domicile. Pour le secteur de l agriculture, la branche du recouvrement n a qu une couverture marginale par rapport à la Mutualité sociale agricole (MSA). Cette dernière est présente également dans le domaine des industries agroalimentaires (IAA), du commerce de gros et des services financiers, pour lesquels la couverture des Urssaf n est donc pas totale. Établissements, effectifs et masses salariales (base SEQUOIA) : à partir de l exploitation des informations déclaratives mensuelles ou trimestrielles. L assiette salariale totale ou l assiette déplafonnée désigne l ensemble des rémunérations sur lesquelles repose le calcul des cotisations des assurances sociales, des accidents du travail et des allocations familiales, c est-à-dire le salaire de base auquel s ajoutent des compléments légaux, conventionnels ou attribués à l instigation de l employeur, sous forme de commissions, de primes, de rémunérations des heures supplémentaires, de gratifications et d avantages en nature. Elle se distingue de l assiette «contribution sociale généralisée» (CSG) qui comprend également les sommes allouées au titre de l intéressement et de la participation. L effectif salarié est un effectif en fin de trimestre ; chaque salarié compte pour un, indépendamment de sa durée de travail. Cet effectif donne lieu à de nombreuses vérifications par les Urssaf et l Acoss. Le salaire moyen par tête trimestriel (SMPT(T)) est calculé en rapportant la masse salariale du trimestre à l effectif moyen observé sur le trimestre, soit la moyenne des deux effectifs de début et fin de trimestre ; il est divisé par trois pour obtenir une grandeur mensuelle. Ainsi : masse salariale (T) / 3 SMPT(T) = ( effectif fin trimestre (T) effectif fin trimestre (T-1) ) / 2 Le salaire moyen par tête annuel (SMPT(AA)) est calculé en rapportant la masse salariale annuelle à l effectif moyen observé sur l année, soit la moyenne des effectifs des 4 trimestres de l année ; il est divisé par 12 pour obtenir une grandeur mensuelle. Ainsi : masse salariale (AA) / 12 SMPT(AA) = ( effectif fin trimestre (1T) effectif fin trimestre (2T) effectif fin trimestre (3T) effectif fin trimestre (4T) / 4 Les données sont désaisonnalisées pour corriger notamment l impact des versements de primes et les fluctuations saisonnières de l emploi (CVS). Ces désaisonnalisations peuvent également conduire à des révisions des périodes antérieures. Le nombre d établissements retient les établissements qui présentent une assiette salariale non nulle.

4 Les données sur les déclarations préalables à l embauche et sur les exonérations couvrent un champ plus large qui inclut le champ public. Déclaration préalable à l embauche (Base SAS DUE) : à partir de la saisie des formulaires de déclarations préalables à l embauche (DPAE) des employeurs du département, permettant le suivi économique de l embauche de salariés. Les DPAE prises en compte correspondent aux déclarations pour des dates d embauche comprises dans la période étudiée. Exonérations (Base SAS EXONERATION) : à partir de l exploitation des informations déclaratives mensuelles ou trimestrielles. Les exonérations correspondent à l ensemble des cotisations exonérées, qu elles soient compensées ou non par l État. La typologie des mesures : - Mesures générales d encouragement à la création d emplois, à la RTT et au pouvoir d achat : loi Fillon, réduction du temps de travail (RTT), heures supplémentaires (loi TEPA en faveur du travail, de l emploi et du pouvoir d achat), - Mesures en faveur de l emploi de publics particuliers : contrat d apprentissage, contrat de professionnalisation, contrat de formation en alternance (contrat de qualification, contrat Pacte), contrats aidés non marchands (contrat d avenir, contrat d accompagnement dans l emploi ), contrats aidés marchands (contrat initiative emploi, contrat de retour à l emploi ), emploi dans les structures d insertion, - Mesures en faveur de l emploi dans certaines zones géographiques : zones franches urbaines, zones de redynamisation urbaine - Mesures en faveur de secteurs particuliers et autres mesures : service à la personne, réduction avantages en nature HCR, jeunes entreprises innovantes, sportifs professionnels, colporteurs de presse Lexique ACOSS CDD CDI CAF CNAF CNAM CNAV CPAM CRAM CRDS CSG DPAE ETT FNAL MSA : Agence centrale des organismes de Sécurité sociale : Contrat à durée déterminée : Contrat à durée indéterminée : Caisse des allocations familiales : Caisse nationale des allocations familiales : Caisse nationale d assurance maladie : Caisse nationale d assurance vieillesse : Caisse primaire d assurance maladie : Caisse régionale d assurance maladie : Contribution au remboursement de la dette sociale : Contribution sociale généralisée : Déclaration préalable à l embauche : Entreprise de travail temporaire : Fonds national d aide au logement : Mutualité sociale agricole RG : Régime général RSA : Revenu de solidarité actif SEQUOIA : Système pour l étude quantitative et l observation des informations de l assiette SMIC : Salaire minimum interprofessionnel de croissance SMPT : Salaire moyen par tête TEPA (loi) : Loi en faveur du travail, de l emploi et du pouvoir d achat TGE - GE : Très grandes entreprises grandes entreprises URSSAF : Union pour le recouvrement de cotisations de Sécurité sociale et d allocations familiales VLU : Versement en lieu unique VT : Versement transport ZFU : Zone franche urbaine

5 Ile-de-France Chiffres Ile-de-France Avec tableaux comparatifs entre les départements

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7 Ile-de-France Ile-de-France Les établissements, effectifs et masses salariales du secteur privé Établissements, effectifs et masses salariales : évolutions comparées 1T T T T 2011 Année /2010 4T11/4T10 Masse salariale (en millions d ) salariés (en milliers) Salaire moyen par tête (SMPT en ) Établissements , , , , , ,7 3,8 % 3,8 % 4 507, , ,7 / / 0,7 % / / 2,9 % / / 0,9 % en glissement annuel des effectifs, masses salariales et du salaire moyen par tête 7,0% 7 % 6,0% 6 % 5,0% 5 % 4,0% 4 % Masses salariales 3,0% 3 % 2,0% 2 % 1,0% 1 % % 0 % Salaire moyen par tête - -1,0% 1 % - -2,0% 2 % - -3,0% 3 % 1T 04 2T 04 3T 04 4T 04 1T 05 2T 05 3T 05 4T 05 1T 06 2T 06 3T 06 4T 06 1T 07 2T 07 3T 07 4T 07 1T 08 2T 08 3T 08 4T 09 1T 09 2T 09 3T 09 4T 09 1T 10 2T 10 3T 10 4T 10 1T 11 2T 11 3T 11 4T 11 La reprise d activité se confirme en Ile-de-France qui, contrairement à l ensemble de la France, a affiché des hausses d emploi lors des quatre trimestres de l année La progression globale de l emploi francilien, sur un an, s établit à 0,7 %, ce qui représente une augmentation de près de emplois. La masse salariale des entreprises franciliennes du secteur privé augmente de 3,8 % en 2011 alors que la reprise était plus faible en 2010 en hausse de 2,0 % sur un an. L évolution de la masse salariale au dernier trimestre 2011 est également de 3,8 %, supérieure de 1,0 point à celle observée l année précédente à la même période. Le salaire moyen par tête francilien progresse de 2,9 % sur un an, s établissant à euros. Le nombre d établissements en région parisienne augmente de 0,9 %, soit près de créations. 7

8 Répartition par secteur d activité BZ CA CB CC CD CE CF CG CH CI CJ CK CL CM DZ EZ FZ GZ HZ IZ JA JB JC KZ LZ MA MB MC NZ OZ PZ QA QB RZ SZ Activité économique (NACE 38) Industries extractives Industries agro-alimentaires Habillement, textile et cuir Bois et papier Cokéfaction et raffinage Industrie chimique Industrie pharmaceutique Industrie plastiques, produits non minéraux Métallurgie et fabrication de produits métalliques Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques Fabrication d'équipements électriques Fabrication machines et équipements nca Fabrication de matériels de transport Industrie du meuble ; réparation et installation de machines Production, distribution d'électricité, de gaz Production et distribution d'eau, gestion des déchets Commerce ; réparation d'automobiles et de motos Transports et entreposage Hébergement et restauration Edition et audiovisuel Télécommunications Activités informatiques Activités financières et d'assurance Activités immobilières Activités juridiques, de conseil et d'ingénierie Recherche et développement Autres activités scientifiques et techniques Activités de services administratifs et de soutien Administration publique Education Activités pour la santé humaine Action sociale et hébergement médico-social Arts, spectacles et activités récréatives Autres activités de services Établissements (en milliers) 4T T T11/4T10 4T11/4T ,07 % 1,3 % - 4,5 % - 5,2 % % 0.4 % - 0,6 % - 3,3 % - 2,6 % - 4,7 % - 3,0 % - 2,7 % - 2,1 % - 0,7 % - 5,4 % 1,5 % 2,9 % 0,4 % 4,0 % 2,1 % 1,0 % - % 3,3 % 1,5 % - % 2,4 % 2,4 % 1,5 % - 1,8 % - 1,7 % 0,9 % 0,8 % 5,3 % 0,5 % 0,8 % 1,9 45,9 18,9 20,7 1,8 28,5 2 22,0 29,4 45,5 14,0 18,1 77,3 43,5 44,7 33,1 272,9 696,9 371,9 284,1 142,4 58,2 185,5 317,6 77,2 367,5 59, ,2 42,8 75,3 99,1 157,7 91,7 141,5 1 % 1,0 % - 2,6 % - 5,3 % - 3,3 % - 3,4 % - 4,2 % - % - 1,3 % - 1,5 % - 1,4 % 3,3 % 3,3 % - 1,2 % 0,8 % 2,2 % 0,8 % 1,1 % - 0,6 % 2,3 % - 1,2 % - 2,2 % 2,9 % 1,1 % - 1,2 % 3,2 % - % 2,3 % 0,6 % - 1,8 % - 0,8 % 0,6 % 2,1 % - 2,5 % - 0,9 % Masses salariales (en millions d ) Année / , ,4 646,5 773,2 95, , ,3 913, , ,7 655,8 777, , , , , , , , , , , , , , , , ,5 1973, , , , ,7 16,3 % 1,7 % 1,8 % - 2,7 % - 5,8 % 3,3 % 0,4 % 2,8 % 1,1 % 3,1 % 1,2 % 1,8 % 4,1 % 2,3% 1,1% 4,5 % 3,4 % 3,5 % 2,5 % 4,9 % 4,2 % 1,5 % 5,7 % 5,5 % 3,4 % 5,4 % - % 5,9 % 4,3 % - 0,5 % 3,1 % 2,3 % 4,3 % 5,0 % 1,5 % Industrie Tertiaire Dont Tertiaire hors intérim Intérim ,7 % 2,9 % 1,6 % 1,6 % - 1,7 % 465,6 272, , ,3 110,6 - % 0,8 % 0,9 % 0,9 % 0,6 % , , , , ,5 2,4 % 3,4 % 4,0 % 3,9 % 9,1 % Le déclin de l industrie ralentit L industrie francilienne perd toujours des emplois. Elle affiche en effet une baisse de % en un an. Cette diminution est néanmoins moins importante que celle observée l année dernière (- 1,8 %). Le secteur a profité des soutiens à l industrie automobile. La masse salariale est en progression de 2,4 %. Un faible dynamisme de la construction La construction en Ile-de-France connaît une faible croissance de l emploi ( 0,8 %) en Cependant, le nombre d établissements augmente ( 2,9 %) et la masse salariale est dynamique ( 3,4 %). Une baisse des emplois intérimaires L emploi intérimaire après une année 2010 de forte progression voit ses effectifs augmenter faiblement de 0,6 %. Cette évolution s est néanmoins accompagnée d une forte progression de la masse salariale ( 9,1 %). 8

9 Le tertiaire en croissance légère Les effectifs salariés et le nombre d établissements dans le tertiaire affichent des hausses modérées sur l année Le secteur des activités informatiques ( 2,9 %) et celui des activités juridiques, de conseil et d ingénierie ( 3,2 %) affichent des hausses d emplois soutenues associées à une augmentation du nombre d établissements et de la masse salariale. A contrario, le secteur des arts, spectacles et activités récréatives et celui des télécommunications voient leurs effectifs chuter dans un contexte néanmoins de hausse de la masse salariale. Ile-de-France Le nombre d établissements Répartition des établissements par département Paris 4T T Poids département 4 % Seine-et-Marne ,8 % Yvelines ,4 % Essonne ,9 % Hauts-de-Seine ,2 % Seine-Saint-Denis ,5 % Val-de-Marne ,7 % Val-d Oise ,5 % Ile-de-France % Source : Urssaf-Acoss Le nombre d établissements augmente cette année ( 0,9 %) : on enregistre ainsi la création de près de établissements supplémentaires en L ensemble des départements d Ile-de-France voit son nombre d établissements augmenter de façon modérée avec un maximum de 2,0 % en Seine-Saint-Denis et un minimum de % dans le Val-de- Marne. Comme en 2010, 2 établissements franciliens sur 5 sont situés à Paris. annuelle du nombre d établissements par département Val-d Oise 1,4 % Seine-Saint-Denis 2,0 % Yvelines 0,8 % Paris 0,8 % Essonne 0,6 % Seine-et-Marne 0,6 % Val-de-Marne % Ile-de-France 0,9 % Hauts-de-Seine 0,6 % 9

10 Les effectifs salariés Répartition des effectifs par département Paris 4T T , ,6 Poids département 32,2 % Seine-et-Marne 332,8 332,8 7,4 % Yvelines 407,3 409,1 9,1% Essonne 335,2 338,2 7,5 % Hauts-de-Seine 859,5 871,8 19,3 % Seine-Saint-Denis 416,1 420,5 9,3 % Val-de-Marne 379,4 382,0 8,5 % Val-d Oise 306,0 306,2 6,8 % Ile-de-France En milliers 4 483, ,2 10 % Source : Urssaf-Acoss Les salariés franciliens du secteur privé représentent 25,2 % des effectifs nationaux. Paris constitue 32,2 % des effectifs salariés franciliens du régime général, suivent les Hauts-de-Seine avec 19,3 % et la Seine-Saint-Denis avec 9,3 %. En 2011, les effectifs salariés augmentent de 0,7 % par rapport à 2010 en Ile-de-France. Cette augmentation est la plus forte dans le département des Hauts-de-Seine ( 1,4 %), suivi de la Seine-Saint-Denis ( 1,0 %). À l inverse aucune progression n est observée en Seine-et-Marne alors que le Val-d Oise affiche une très faible hausse ( %). Les hausses d emplois enregistrées en 2011 reflètent en grande partie celles observées au 1 er semestre Un constat identique peut également être fait au niveau national. Cependant au 2 nd semestre 2011, la région francilienne a continué à créer de l emploi ( %) alors qu au niveau national l emploi a stagné. annuelle des effectifs par département Val-d Oise % Seine-Saint-Denis 1,0 % Yvelines 0,4 % Paris 0,6% Essonne 0,9 % Seine-et-Marne % Val-de-Marne 0,7 % Ile-de-France 0,7 % Hauts-de-Seine 1,4 % 10

11 de l effectif salarié par secteur d activité BZ CA CB CC CD CE CF CG CH CI CJ CK CL CM DZ EZ FZ GZ HZ IZ JA JB JC KZ LZ MA MB MC NZ OZ PZ QA QB RZ SZ Activité économique (NACE 38) Industries extractives Industries agro-alimentaires Habillement, textile et cuir Bois et papier Cokéfaction et raffinage Industrie chimique Industrie pharmaceutique Industrie plastiques, produits non minéraux Métallurgie et fabrication de produits métalliques Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques Fabrication d'équipements électriques Fabrication machines et équipements n.c.a. Fabrication de matériels de transport Industrie du meuble ; réparation et installation de machines Production, distribution d'électricité, de gaz Production et distribution d'eau, gestion des déchets Commerce ; réparation d'automobiles et de motos Transports et entreposage Hébergement et restauration Edition et audiovisuel Télécommunications Activités informatiques Activités financières et d'assurance Activités immobilières Activités juridiques, de conseil et d'ingénierie Recherche et développement Autres activités scientifiques et techniques Activités de services administratifs et de soutien Administration publique Education Activités pour la santé humaine Action sociale et hébergement médico-social Arts, spectacles et activités récréatives Autres activités de services Niveau trimestriel (en milliers) 4T ,9 45,9 18,9 20,7 1,8 28,5 2 22,0 29,4 45,5 14,0 18,1 77,3 43,5 44,7 33,1 272,9 696,2 371,9 284,1 142,4 58,2 185,5 317,6 367,5 77,2 59, ,2 42,8 75,3 99,1 157,7 91,7 141,5 1 % 1,0 % - 2,6 % - 5,3 % - 3,3 % - 3,4 % - 4,2 % - % - 1,3 % - 1,5 % - 1,4 % 3,3 % 3,3 % - 1,2 % 0,8 % 2,2 % 0,8 % 1,1 % - 0,6 % 2,3 % - 1,2 % - 2,2 % 2,9 % 1,1 % - 1,2 % 3,2 % - % 2,3 % 0,6 % - 1,8 % - 0,8 % 0,6 % 2,1 % - 2,5 % - 0,9 % Glissement annuel 4T T T % 0,6 % - 2,5 % - 5,3 % - 9,0 % - 2,6 % - 2,2 % - 4,6 % - 2,6 % % - 3,8 % - 8,7 % - 2,0 % - 0,7 % 0,6 % 1,6 % 0,7 % 0,5 % - % % - % - 3,4 % 2,7 % 0,5 % 2,5 % 1,7 % - 1,1 % % 2,3 % - 1,5 % 0,7 % 1,5 % 2,4 % 2,7 % 1,7 % - 5,2 % - 0,6 % - 8,5 % - 10,7 % - 11,6 % - 4,6 % - 1,7 % - 8,0 % - 1 % - 5,7 % - 6,7 % - 6,6 % - 4,2 % - 4,3 % 3,9 % 2,6 % - 3,2 % - 2,3 % - 1,6 % % - 3,1 % - 2,0 % - 3,1 % - 1,1 % - 1,7 % - 1,9 % 2,4 % - 5,0 % - 3,9 % - % 1,5 % 0,8 % 5,1 % - 3,3 % 0,6 % Ile-de-France Industrie Tertiaire Dont Tertiaire hors intérim Intérim 465,6 272, , ,3 110,6 - % 0,8 % 0,9 % 0,9 % - 0,6 % - 1,7 % 0,7 % 1,2 % 0,8 % 12,2 4,2 % - 3,2 % - 1,7 % - 1,4 % - 11,1 % Dans l industrie, l emploi observé sur trois années se dégrade continuellement. La fabrication de matériel de transport et la fabrication de machines et d équipements sont d ailleurs les seuls secteurs à afficher cette année une croissance supérieure à 3 % en un an. La majorité des secteurs, par contre, voit au contraire ses effectifs se dégrader. Le secteur du bois et papier continue sa chute avec un nouveau repli de ses effectifs de 5,3 %. Le secteur de la construction poursuit doucement son rattrapage avec une croissance de 0,8 % par rapport au 4 e trimestre Le différentiel par rapport à son plus haut niveau n est plus que de emplois. Le secteur de l intérim est en léger repli (- 0,6 %) par rapport à l année précédente. Le volume d emploi de ce secteur est en baisse sur les trois derniers trimestres de l année. Le secteur tertiaire hors intérim progresse de 0,9 %. Les gros secteurs pourvoyeurs d emplois continuent à afficher des hausses supérieures à la moyenne : le commerce ( 1,1 %), les activités juridiques, de conseil, et d ingénierie ( 3,2 %), les activités financières et d assurance ( 1,1 %). Seule exception, le secteur des transports et de l entreposage qui voit ses effectifs se réduire de 0,6 %. 11

12 Les masses salariales Répartition des masses salariales par département Paris Année 2010 Année , ,9 Poids département 34,5 % Seine-et-Marne 8 818, ,2 5,6 % Yvelines , ,5 8,4 % Essonne , ,5 6,5 % Hauts-de-Seine , ,6 24,0 % Seine-Saint-Denis , ,8 8,0 % Val-de-Marne , ,4 7,1 % Val-d Oise 9 085, ,5 5,8 % Ile-de-France En millions d , ,7 10 % Source : Urssaf-Acoss La masse salariale augmente de 3,8 % sur la totalité de l année La situation est cependant contrastée au sein des départements franciliens. En effet, le département du Val-d Oise progresse de 4,7 %, alors que celui des Yvelines n augmente que de 2,7 %. Paris et les Hauts-de-Seine sont toujours les deux gros pôles d activité en Ile-de-France. En effet, près de 60 % de la masse salariale francilienne concernent ces deux départements. La masse salariale calculée en Ile-de-France représente 32,4 % de la masse salariale nationale. Cette part est analogue à celle des années précédentes. La masse salariale de l Ile-de- France croît légèrement plus vite que la masse salariale pour la France entière, respectivement 3,8 % et 3,6 %. annuelle des masses salariales par département Val-d Oise 4,7 % Seine-Saint-Denis 2,9 % Yvelines 2,7 % Paris 4,0 % Essonne 3,9 % Seine-et-Marne 3,3 % Val-de-Marne 2,6 % Ile-de-France 3,8 % Hauts-de-Seine 4,5 % 12

13 des masses salariales par secteur d activité BZ CA CB CC CD CE CF CG CH CI CJ CK CL CM DZ EZ FZ GZ HZ IZ JA JB JC KZ LZ MA MB MC NZ OZ PZ QA QB RZ SZ Activité économique (NACE 38) Industries extractives Industries agro-alimentaires Habillement, textile et cuir Bois et papier Cokéfaction et raffinage Industrie chimique Industrie pharmaceutique Industrie plastiques, produits non minéraux Métallurgie et fabrication de produits métalliques Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques Fabrication d'équipements électriques Fabrication machines et équipements n.c.a. Fabrication de matériels de transport Industrie du meuble ; réparation et installation de machines Production, distribution d'électricité, de gaz Production et distribution d'eau, gestion des déchets Commerce ; réparation d'automobiles et de motos Transports et entreposage Hébergement et restauration Edition et audiovisuel Télécommunications Activités informatiques Activités financières et d'assurance Activités immobilières Activités juridiques, de conseil et d'ingénierie Recherche et développement Autres activités scientifiques et techniques Activités de services administratifs et de soutien Administration publique Education Activités pour la santé humaine Action sociale et hébergement médico-social Arts, spectacles et activités récréatives Autres activités de services Niveau trimestriel (en millions d ) Année , ,4 646,5 773,2 95, , ,3 913, , ,7 655,8 777, , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,7 2011/ ,3 % 1,7 % 1,8 % - 2,7 % - 5,8 % 3,3 % 0,4 % 2,8 % 1,1 % 3,9 % 1,2 % 1,8 % 4,1 % 2,3 % 1,1 % 4,5 % 3,4 % 3,5 % 2,5 % 4,9 % 4,2 % 1,5 % 5,7 % 5,5 % 3,4 % 5,4 % - % 5,9 % 4,3 % - 0,5 % 3,1 % 2,3 % 4,3 % 5,0 % 1,5 % Glissement annuel 2010/2009 2,9 % - % - % - 6,7 % 2,2 % - % - 0,8 % - 4,0 % - 4,2 % - 1,0 % - 2,0 % - 6,1 % 1,3 % 0,9 % 3,7 % 3,6 % 0,9 % 1,1 % % 5,0 % 1,9 % 1,2 % 2,1 % 4,3 % 5,5 % 2,3 % 3,3 % 1,3 % 3,0 % 2,3 % 2,9 % 2,8 % 4,9 % 3,6 % 2,6 % 2009/2008 0,7 % - 1,9 % - 7,3 % - 7,5 % - 11,5 % - 4,3 % - 5,2 % - 4,9 % - 6,2 % - 3,5 % - 0,8 % - 3,4 % - 5,1 % - 2,0 % 5,4 % % - 0,6 % 1,2 % 1,1 % % - 1,7 % - 2,1 % - 0,4 % - 2,3 % - 3,0 % - 1,2 % 4,5 % - 4,6 % - 3,6 % 3,0 % 3,7 % 3,0 % 6,2 % 0,8 % 3,1 % Ile-de-France Industrie Tertiaire Dont Tertiaire hors intérim Intérim , , , , ,5 2,4 % 3,4 % 4,0 % 3,9 % 9,1% - % 0,9 % 2,4 % 2,3 % 8,3 % - 3,2 % - 0,6 % - 0,7 % - % - 18,2 % La masse salariale de l industrie de retour à la hausse La masse salariale de l industrie retrouve une orientation positive après deux années de baisse. En 2011, la hausse est de 2,4 %. La fabrication de matériel de transport ( 4,1 %) et la production et la distribution d eau ( 4,5 %) bénéficient le plus de cette reprise. À l inverse le secteur du bois et papier (- 2,7 %) voit son niveau se contracter mais à un rythme plus lent que les deux années précédentes. La construction dynamique La masse salariale du secteur de la construction augmente de 3,4 % en Cette hausse se répartit en outre tout au long de l année. Le secteur tertiaire en forte hausse La majorité des secteurs du tertiaire affiche de fortes hausses en Les activités financières et d assurance, les activités informatiques et les autres activités scientifiques et technologiques voient leurs masses salariales croître de plus de 5,5 %. Les deux secteurs liés au secteur public affichent par contre des diminutions : - % pour la recherche et développement et - 0,5 % pour l administration publique. Une seconde année de forte expansion pour l intérim Après une croissance de 8,3 % en 2010, la masse salariale de l intérim atteint 9,1 % en Cependant, le niveau est toujours inférieur à celui atteint en

14 Déclarations préalables à l embauche À l occasion de l embauche d un salarié, tout employeur, à l exception des particuliers, est tenu d effectuer une déclaration préalable à l embauche (DPAE) auprès de l Urssaf ou de la Mutualité sociale agricole, selon le régime auquel il appartient. Les données qui suivent concernent uniquement les déclarations parvenues aux Urssaf et excluent donc les entreprises relevant de la MSA. La DPAE recouvre toutes les formes d embauche (CDI, CDD de courte ou de longue durée, temps plein, temps partiel, contrats d intérim). régionale du nombre de DPAE janv-08 févr-08 mars-08 avr-08 mai-08 juin-08 juil-08 août-08 sept-08 oct-08 nov-08 déc-08 janv-09 févr-09 mars-09 avr-09 mai-09 juin-09 juil-09 août-09 sept-09 oct-09 nov-09 déc-09 janv-10 févr-10 mars-10 avr-10 mai-10 juin-10 juil-10 août-10 sept-10 oct-10 nov-10 déc-10 janv-11 févr-11 mars-11 avr-11 mai-11 juin-11 juil-11 août-11 sept-11 oct-11 nov-11 déc-11 Répartition et évolution des DPAE par département Paris Année 2010 Année , ,5 2011/2010 4,6 % Poids département 40,9 % Seine-et-Marne 675,5 703,5 4,1 % 7,1 % Yvelines 592,5 62 4,6 % 6,3 % Essone 648,1 671,4 3,6 % 6,8 % Hauts-de-Seine 1 557, ,3 5,6 % 16,7 % Seine-Saint-Denis 869,7 918,7 5,6 % 9,3 % Val-de-Marne 615,7 672,4 9,2 % 6,8 % Val-d Oise 576,5 598,5 3,9 % 6,1 % Ile-de-France 9 386, ,6 5,0 % 10 % En milliers L année 2011 marque le retour à un niveau élevé des embauches en Ile-de-France, puisqu il se situe au-delà de celui observé avant crise. Les embauches sont, en outre, en hausse de 5,0 % par rapport à Si tous les départements observent une hausse du nombre de DPAE, celles-ci progressent plus rapidement que d autres selon les territoires. Le Val-de-Marne affiche ainsi une hausse importante de 9,2 %. Le reste de la petite couronne est également dynamique avec des hausses de 5,6 %. À l inverse, l Essonne affiche une progression plus modérée de 3,6 %. 14

15 Répartition des DPAE par secteur d activité BZ CA CB CC CD CE CF CG CH CI CJ CK CL CM DZ EZ FZ GZ HZ IZ JA JB JC KZ LZ MA MB MC NZ OZ PZ QA QB RZ SZ En milliers Activité économique (NACE 38) Année 2010 Année 2011 Industries extractives Industries agro-alimentaires Habillement, textile et cuir Bois et papier Cokéfaction et raffinage Industrie chimique Industrie pharmaceutique Industrie plastiques, produits non minéraux Métallurgie et fabrication de produits métalliques Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques Fabrication d'équipements électriques Fabrication machines et équipements n.c.a. Fabrication de matériels de transport Industrie du meuble ; réparation et installation de machines Production, distribution d'électricité, de gaz Production et distribution d'eau, gestion des déchets Commerce ; réparation d'automobiles et de motos Transports et entreposage Hébergement et restauration Edition et audiovisuel Télécommunications Activités informatiques Activités financières et d'assurance Activités immobilières Activités juridiques, de conseil et d'ingénierie Recherche et développement Autres activités scientifiques et techniques Activités de services administratifs et de soutien Administration publique Education Activités pour la santé humaine Action sociale et hébergement médico-social Arts, spectacles et activités récréatives Autres activités de services Activités diverses et non classées TOTAL Industrie Tertiaire Dont Tertiaire hors intérim Intérim 35,9 19,1 5,7 6,2 2,8 3,9 5,8 5,8 2,2 3,1 7,1 10,4 4,0 8,0 155,6 419,5 164, ,8 979,4 11,4 6 75,4 35,8 199,4 16,2 490, ,0 92,9 131,2 127,4 268,8 695,4 153,4 1, ,0 120,5 155, , , ,8 0,4 38,8 19,5 5,7 6,3 2,9 4,3 6,7 6,3 2,4 3,7 9,1 11,3 4,3 8,3 171,1 442, , ,8 11,7 68,3 77,3 36,6 244,6 15,3 505, ,7 93,9 133,5 142,7 301,7 726,6 165,6 1, ,6 130,4 171, , ,8 2011/ ,1 % 8,1 % 1,8 % - % 11,4 % 2,0 % 4,1 % 1 % 16,0 % 8,2 % 13,0 % 18,8 % 28,3 % 8,7 % 9,7 % 4,3 % 1 % 5,6 % 15,3 % 1,3 % 7,5 % 2,4 % 13,5 % 2,5 % 2,3 % 22,7 % - 5,6 % 3,0 % 3,6 % 1,1 % 1,7 % 12,0 % 12,2 % 4,5 % 8,0 % - 9,1 % 5,0 % 8,2 % 1 % 4,9 % 5,2 % 4,5 % Ile-de-France Le nombre de DPAE enregistrées en 2011 augmente pour la grande majorité des secteurs d activité. L intérim bien qu en progression de 4,5 % sur un an affiche une croissance plus faible que la plupart des secteurs. Elle représente cependant toujours plus d une DPAE sur trois. La construction progresse fortement pour la seconde année de suite avec une hausse de 1 % sur un an. L industrie affiche également une bonne dynamique avec 8,2 %. Les hausses les plus importantes sont enregistrées sur les secteurs de la fabrication de matériels de transport ( 28,3 %), des activités juridiques, du conseil et d ingénierie ( 22,7 %) et du transport et entreposage ( 15,3 %). Seul le secteur de la recherche et développement (- 5,6 %) fait exception à la forte augmentation. Ce secteur était d ailleurs déjà en baisse annuelle (- 2,0 %) l année précédente. 15

16 Répartition des DPAE par sexe et âge Hommes 59,6 % 7 % plus de 55 7 % Femmes 40,4 % 6 % 50 à 54 6 % 9 % 45 à 49 9 % 12 % 40 à 44 9 % 14 % 35 à % 15 % 30 à % 16 % 25 à % 14 % 21 à % 6 % moins de 21 9 % Tous types de contrats inclus, les embauches se répartissent de façon assez stable dans le temps. En 2011, 59,6 % des DPAE correspondent à l embauche de salariés masculins et 40,4 % de salariés féminins Les tranches des ans et des ans concentrent un tiers des DPAE. Cette prédominance est encore plus marquée dans les CDI où l âge moyen s élève à 33 ans. Pour ce type de contrat, les ans représentent 2 % des embauches chez les hommes et 21,8 % des embauches chez les femmes. Les embauches s effectuent à des âges plus jeunes pour les femmes. L emploi des plus de 55 ans est caractérisé par une part des DPAE plus importante des CDD (9,7 %) que des CDI (5,2 %). Répartition des DPAE par type de contrat INTERIM 34,9 % CDI 11,7 % CDD long 8,6 % CDD court 44,7 % La part des CDI dans le total des DPAE augmente cette année de 0,6 point pour s établir à 11,7 % de l ensemble des contrats. En effet, le CDI est le type de contrat qui progresse le plus en 2011 avec une hausse de 11,1 % sur un an, atteignant près de 1,16 million de DPAE. Le type de contrat le plus utilisé demeure le CDD de courte durée (contrats inférieurs à 1 mois) dont la croissance ne se dément pas ( 4,5 % par rapport à 2010). 16

17 Exonérations Répartition et évolution des exonérations par département Ile-de-France Paris Année 2010 Année , ,5 Poids département 29,7 % Seine-et-Marne 487,6 449,6 9,9 % Yvelines 457,9 425,3 9,4 % Essonne 422,9 396,8 8,7 % Hauts-de-Seine ,6 13,2 % Seine-Saint-Denis 546,0 508,6 11,2 % Val-de-Marne 483,9 452,5 1 % Val-d Oise 396,4 363,1 8,0 % Ile-de-France En millions d 4 933, ,1 10 % Source : Urssaf-Acoss Le montant total des exonérations au titre de l année 2011 s élève à 4,547 milliards d euros pour l ensemble des départements de la région parisienne, en repli de 7,8 % par rapport à l année Cette évolution représente une diminution d un montant de 386,6 millions d euros de cotisations exonérées. Elle s explique principalement par des changements législatifs visant à diminuer la dépense publique. annuelle des exonérations par département Val-d Oise - 8,4 % Seine-Saint-Denis - 6,8 % Yvelines - 7,1% Paris - 9,1 % Essonne - 6,2 % Seine-et-Marne - 7,8 % Val-de-Marne - 6,5 % Ile-de-France - 7,8 % Hauts-de-Seine - 7,9 % Tous les départements franciliens affichent une baisse du montant des exonérations de cotisations. Les évolutions varient cependant entre les départements. Ainsi l Essonne voit son montant d exonérations diminuer de 6,2 %. À l identique, Paris subit une baisse de 9,1 %. 17

18 Répartition des exonérations par mesure Principales mesures d exonération Cotisations exonérées (en millions d ) /2010 exonérés (en milliers) * /2010 Réduction Fillon 3 393,1-8,5 % 3 393,1 % Réduction salariale heures supplémentaires 545,1 7,1 % 1 054,5 2,2 % Déduction patronale heures supplémentaires Contrat d apprentissage secteur privé 145,2 4,6 % 936,1 % 116,7 6,8% 44,2 4,5 % Contrat d accompagnement dans l emploi 78,7 4,9 % 22,9 15,0 % Aide à domicile 66,3 1 % 21,1 12,4 % Contrat d apprentissage loi de ,9 4,2 % 30,4-0,5 % Jeunes entreprises innovantes 41,3-33,7 % 5,5 3,5 % Zones franches urbaines - exonération dégressive 26,5-15,8 % 7,5-12,1 % Maîtres et documentalistes enseignement privé 18,7 1,2 % - Autres 54,6-66,3 % - - Total des exonérations 4 547,1-7,8 % - - * Les effectifs exonérés sont seulement calculés au niveau des mesures La principale mesure d exonération reste la «réduction Fillon», qui atteint cette année 3,393 milliards d euros, en recul de 8,5 %. Cette diminution s explique par un changement législatif qui ramène à la baisse le montant total d exonération. En effet, depuis le 1 er janvier 2011, les entreprises sont tenues d annualiser le calcul des allègements Fillon alors qu il était réalisé de façon mensuelle auparavant. Ce dispositif reste néanmoins prédominant puisque le montant exonéré représente 74,6 % du montant total des exonérations de cotisations. 71,2 % des établissements franciliens utilisent cette exonération Les exonérations liées aux heures supplémentaires sont, elles, en augmentation de 6,6 % pour un total de 690 millions d euros. La part de ces mesures représente 15,2 % du montant total exonéré en région parisienne. Globalement les mesures générales d encouragement à la création d emplois et au pouvoir d achat représentent 9 % du montant total exonéré ( 1,6 point sur un an). Parallèlement, les exonérations liées aux mesures en faveur de l emploi de publics particuliers s élèvent à 310 millions d euros en 2011, en baisse de 1,7 % par rapport à La principale mesure associée à ce type d exonération reste les contrats d apprentissage avec 188 millions d euros. Ces exonérations affichent d ailleurs une forte augmentation de 6,3 %. À l inverse, les contrats aidés dans le secteur non marchand sont en très net repli, - 8,0 % pour 80 millions d euros d exonération. En 2011, près de 96,2 % du montant total de ces exonérations sont pris en charge par l État. 18

19 La mesure zone franche urbaine Ile-de-France Nombre d entreprises Nombre d établissements Effectif salarié total dont salariés exonérés Cotisations exonérées (en millions d ) Masse salariale totale (en millions d' ) Seine-et-Marne nd 2,1 19,3 Yvelines nd 2,1 17,3 Essonne nd 4,3 39,8 Seine-Saint-Denis nd 10,8 91,0 Val-de-Marne nd 1,4 15,0 Val-d Oise nd 5,1 39,8 Total Ile-de-France nd 25,8 222,2 Le montant des exonérations zones franches urbaines (ZFU) s élève à 25,8 millions d euros, soit une baisse de près de 19 % en un an. Comme en 2010, l affaiblissement du montant exonéré lié aux ZFU fait suite à l introduction d une dégressivité en fonction des salaires ainsi que de la sortie des entreprises qui bénéficiaient jusqu ici du taux plein pour les ZFU créées lors de la mise en place du dispositif. La masse salariale concernée avoisine les 220 millions d euros, soit le plus faible montant de ces huit dernières années. 19

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21 Chiffres départementaux Zoom sur les thèmes de l emploi et des exonérations

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23 75 - Paris 75 Établissements, effectifs et masses salariales 1T T T T 2011 Année /2010 4T11/4T10 Masse salariale (en millions d ) salariés (en milliers) Salaire moyen par tête (SMPT en ) Établissements , , , , , ,9 4,0 % 4,1 % 1 455, , ,6 / / 0,6 % / / 3,5 % / / 0,8 % en glissement annuel des effectifs, masses salariales et du salaire moyen par tête 8,00% 8 % 7,00% 7 % 6,00% 6 % Masses salariales 5,00% 5 % 4,00% 4 % 3,00% 3 % 2,00% 2 % Salaire moyen par tête 1,00% 1 % 0% 0 % --1,00% 1 % --2,00% 2 % --3,00% 3 % --4,00% 4 % --5,00% 5 % 1T 04 2T 04 3T 04 4T 04 1T 05 2T 05 3T 05 4T 05 1T 06 2T 06 3T 06 4T 06 1T 07 2T 07 3T 07 4T 07 1T 08 2T 08 3T 08 4T 09 1T 09 2T 09 3T 09 4T 09 1T 10 2T 10 3T 10 4T 10 1T 11 2T 11 3T 11 4T 11 Paris représente 4 % des établissements franciliens, 32,2 % des effectifs salariés et 34,5 % de la masse salariale rapportés aux éléments d Ile-de-France. Le poids de Paris reste ainsi prédominant. Le SMPT des salariés parisiens est supérieur (3 251 euros), tant par rapport à l Ile-de-France (3 038 euros) qu au niveau national (2 358 euros). Au 4 e trimestre 2011, la masse salariale et le salaire moyen croissent de manière importante en un an ( 4,1 % et 3,5 % respectivement). Le nombre des établissements a lui aussi légèrement crû : 0,8 %. Les effectifs salariés ont affiché des hausses à chaque trimestre. Le premier semestre a été plus dynamique que le second où la croissance a ralenti. Néanmoins ces niveaux ont été plus importants que ceux atteints fin L évolution du salaire moyen par tête (SMPT) est restée fortement corrélée à l évolution de la masse salariale pendant toute l année La forte croissance du premier trimestre a permis une forte progression du SMPT. Les trois derniers trimestres ont affiché des hausses réduites mais constantes permettant d obtenir une croissance solide sur l ensemble de l année. 23

24 Répartition par secteur d activité BZ CA CB CC CD CE CF CG CH CI CJ CK CL CM DZ EZ FZ GZ HZ IZ JA JB JC KZ LZ MA MB MC NZ OZ PZ QA QB RZ SZ Activité économique (NACE 38) Industries extractives Industries agro-alimentaires Habillement, textile et cuir Bois et papier Cokéfaction et raffinage Industrie chimique Industrie pharmaceutique Industrie plastiques, produits non minéraux Métallurgie et fabrication de produits métalliques Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques Fabrication d'équipements électriques Fabrication machines et équipements n.c.a. Fabrication de matériels de transport Industrie du meuble ; réparation et installation de machines Production, distribution d'électricité, de gaz Production et distribution d'eau, gestion des déchets Commerce ; réparation d'automobiles et de motos Transports et entreposage Hébergement et restauration Edition et audiovisuel Télécommunications Activités informatiques Activités financières et d'assurance Activités immobilières Activités juridiques, de conseil et d'ingénierie Recherche et développement Autres activités scientifiques et techniques Activités de services administratifs et de soutien Administration publique Education Activités pour la santé humaine Action sociale et hébergement médico-social Arts, spectacles et activités récréatives Autres activités de services Industrie Tertiaire Dont Tertiaire hors intérim Intérim Établissements (en milliers) 4T T T11/4T10 4T11/4T ,3 % 1,4 % - 6,0 % - 5,5 % % - 3,7 % % - 3,5 % - 5,6 % - 2,0 % - 4,6 % - 17,6 % 5,3 % - 1,5 % - 8,6 % - 9,2 % 2,2 % 0,7 % 2,8 % 2,5 % 1,9 % 2,0 % 4,7 % 2,1 % - % 2,9 % 1,0 % 2,4 % - 1,4 % - 5,3 % - % % 3,7 % % 1,3 % - 3,2 % 2,2 % 0,9 % 0,9 % - % 0,5 12,0 11,9 3,3 4,8 2,2 1,2 0,9 3,0 1,3 4,8 5,9 9,0 4,3 30,9 172,6 134,0 544,4 75,7 16,7 56,1 142,9 34,3 138,4 18,0 28,3 169,7 17,4 32,9 24,5 42,8 39,3 66,6 65,4 30, , ,8 50,7 6,8 % 2,1 % - 2,5 % - 4,8 % % 5,0 % - 8,9 % 4,5 % 3,4 % 7,7 % - % - 11,3 % 10,5 % - 4,0 % - 0,6 % 1,6 % - % 1,6 % - 1,7 % 2,5 % - 1,4 % - 1,5 % 4,2 % 1,4 % - 0,9 % 4,0 % 0,7 % 3,4 % - 1,3 % - 5,7 % % % % - 1,3 % - % 0,5 % - % 0,7 % 0,5 % 3,7 % Masses salariales (en millions d ) Année / ,5 338,6 423,5 123,3 292,7 136,8 52,9 47,5 203,6 63,3 12,5 251,6 217,0* 467,4 167,8 832, , , ,6 759, , , , ,1 647, , , ,8 877,6 679,1 989, , ,1 14,4 % 1,6 % 2,3 % - 5,8 % % 11,3 % 4,7 % - 1,3 % 10,6 % 33,2 % 2,6 % - 21,8 % 6,8 % - 2,0 % - 15,6 % - 1,5 % - % 4,4 % 1,6 % 4,8 % 4,2 % - 0,6 % 4,8 % 5,5 % 4,0 % 6,6 % 2,5 % 8,0 % 4,6 % - 1,0 % 3,2 % 3,7 % 2,9 % 4,4 % 1,9 % 2 852,0 0,9 % 832,7 - % ,1 4,3 % ,1 4,1 % 1 411,9 12,3 % Paris ne représente que 14,0 % des effectifs salariés franciliens dans l industrie et 11,3 % dans la construction mais 35,9 % des effectifs du secteur tertiaire. Le secteur de l industrie a résisté dans la capitale en L emploi observe une hausse de 0,5 % tandis que la masse salariale croît de 0,9 %. Ceci intervient dans un contexte de réduction des établissements industriels parisiens qui continuent à décroître (- 3,2 % sur un an). La bonne tenue de l emploi est à mettre au crédit de la fabrication de matériels de transport ( 10,5 %), de l industrie chimique ( 5,0 %) et des industries agroalimentaires ( 2,1 %), qui contrebalancent notamment l habillement, textile et cuir (-2,5 %). L emploi dans la construction est en faible repli, - % en un an, ainsi que sa masse salariale (- %) malgré une hausse de 2,2 % de son nombre d établissements. Le tertiaire affiche une très nette progression de sa masse salariale ( 4,3 %), mais avec une faible dynamique de création d emplois ( 0,7 %). Les activités informatiques voient leur nombre d établissements croître fortement ( 4,7 %), tout comme leurs effectifs ( 4,2 %) et leur masse salariale ( 4,8 %). Les activités juridiques, de conseil et d ingénierie poursuivent leur croissance avec une hausse des effectifs de 4,0 %. Les effectifs de l intérim progressent de façon marquée ( 3,7 %) mais surtout la masse salariale est en forte augmentation ( 12,3 %). 24

25 Déclarations préalables à l embauche 75 BZ CA CB CC CD CE CF CG CH CI CJ CK CL CM DZ EZ FZ GZ HZ IZ JA JB JC KZ LZ MA MB MC NZ OZ PZ QA QB RZ SZ En milliers Activité économique (NACE 38) Année 2010 Année 2011 Industries extractives Industries agro-alimentaires Habillement, textile et cuir Bois et papier Cokéfaction et raffinage Industrie chimique Industrie pharmaceutique Industrie plastiques, produits non minéraux Métallurgie et fabrication de produits métalliques Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques Fabrication d'équipements électriques Fabrication machines et équipements n.c.a. Fabrication de matériels de transport Industrie du meuble ; réparation et installation de machines Production, distribution d'électricité, de gaz Production et distribution d'eau, gestion des déchets Commerce ; réparation d'automobiles et de motos Transports et entreposage Hébergement et restauration Edition et audiovisuel Télécommunications Activités informatiques Activités financières et d'assurance Activités immobilières Activités juridiques, de conseil et d'ingénierie Recherche et développement Autres activités scientifiques et techniques Activités de services administratifs et de soutien Administration publique Education Activités pour la santé humaine Action sociale et hébergement médico-social Arts, spectacles et activités récréatives Autres activités de services Activités diverses et non classées TOTAL Industrie Tertiaire Dont Tertiaire hors intérim Intérim 16,8 13,2 1,0 1,6 0,6 0,5 2,2 1,0 1,2 32,0 136, ,1 510,6 3,8 23,9 35,0 19,0 92, , ,7 13,0 66,3 31,3 55,9 309,6 67,2 1, ,6 39,5 32, , , ,6 18,3 12,8 1,0 1,8 0,4 0,7 0,7 2,4 0,9 0,9 33,2 143,6 52,6 663,5 541,8 3,8 26,1 35,4 19,7 98,3 8,8 125, ,6 12,6 68,9 36,7 64,3 325,2 75,0 1, ,5 40,9 33, , , ,3 2011/2010 9,9% 8,8% - 2,6% 2,0% % 9,5% - 21,0 % 18,2 % - 1 % 18,3 % % - 32,7 % 57,5 % 6,9% - 9,5 % - 25,7 % 3,5 % 5,4 % 31,5 % - 1,7 % 6,1 % % 9,5 % 1,1 % 3,9 % 6,8 % - 12,5 % 2,7 % 5,4 % - 3,1 % 3,8 % 17,3 % 15,1 % 5,0 % 11,7 % - 5,9 % 4,6 % 3,5 % 3,5 % 4,6 % 2,3 % 9,5 % Paris représente 40,9 % des DPAE enregistrées en Ile-de-France, soit une part importante au regard du poids des effectifs salariés (32,2 %). Le nombre de DPAE augmente pratiquement d un même mouvement dans le département ( 4,6 % par rapport à 2010) et dans la région Ile-de-France, cependant le nombre de contrats hors intérim ne croît que de 2,3 % alors que l intérim augmente dans des proportions importantes ( 9,5 %). Les DPAE sont dans leur majorité orientées à la hausse. À Paris, l industrie agroalimentaire progresse de 8,8 %, l édition et l audiovisuel de 6,1 %, les activités de santé humaine de 17,3 % et l action sociale et hébergement médico-social de 15,1 %. À l inverse, la recherche et développement chute de 12,5 %. 25

26 Exonérations Réduction Fillon Principales mesures d exonération Cotisations exonérées (en millions d ) 1 008,3 exonérés (en milliers) * 541,9 Réduction salariale heures supplémentaires ,9 Déduction patronale heures supplémentaires 48,6 283,3 Contrat d apprentissage secteur privé 25,9 1 Contrat d accompagnement dans l emploi 24,5 6,5 Jeunes entreprises innovantes 21,5 2,8 Aide à domicile 18,0 5,2 Contrat d apprentissage loi de ,6 7,2 Maîtres et documentalistes enseignement privé 5,9 Contrat d apprentissage secteur public 4,1 1,4 Autres 11,0 - Total des exonérations 1 352,5 - * Les effectifs exonérés sont seulement calculés au niveau des mesures Paris représente 29,7 % du montant des cotisations exonérées franciliennes. Le montant total des exonérations diminue fortement de 9,1 % par rapport à 2010, soit la plus forte chute observée sur les départements franciliens. Ce recul s explique par le changement de calcul de la réduction Fillon qui a pour conséquence une baisse de 8,8 % de cette exonération. Elle représente néanmoins encore 74,6 % du total des exonérations. En dehors de cette exonération, la baisse est de 1 % malgré la hausse de 6,7 % de celles liées aux heures supplémentaires. Les mesures en faveur de secteurs particuliers expliquent quasiment le reste de la baisse. Dans le détail, les avantages en nature HCR ont été supprimés et l exonération pour les jeunes entreprises innovantes est en fort repli (- 29,0 %). À l inverse, l aide à l embauche supplémentaire d un jeune en alternance de moins de 26 ans dans les PME a eu pour conséquence l augmentation de 14,6 % des exonérations liées à des contrats d apprentissage. 26

27 77 - Seine-et-Marne 77 Établissements, effectifs et masses salariales Masse salariale (en millions d ) 1T T T T ,8 Année /2010 4T11/4T , , , ,2 3,3 % 3,4 % salariés (en milliers) Salaire moyen par tête (SMPT en ) Établissements 333, ,3 334,0 332,8 / / - % / / 3,0 % / / 0,6 % en glissement annuel des effectifs, masses salariales et du salaire moyen par tête 8,00% 8 % 7,00% 7 % 6,00% 6 % 5,00% 5 % 4,00% 4 % 3,00% 3 % 2,00% 2 % 1,00% 1 % 0% 0 % -1,00% - 1 % -2,00% - 2 % -3,00% - 3 % Masses salariales Salaire moyen par tête -4,00% - 4 % - 5 % -5,00% 1T 04 2T 04 3T 04 4T 04 1T 05 2T 05 3T 05 4T 05 1T 06 2T 06 3T 06 4T 06 1T 07 2T 07 3T 07 4T 07 1T 08 2T 08 3T 08 4T 09 1T 09 2T 09 3T 09 4T 09 1T 10 2T 10 3T 10 4T 10 1T 11 2T 11 3T 11 4T 11 La Seine-et-Marne représente 7,8 % des établissements franciliens, 7,4 % des effectifs salariés et 5,6 % de la masse salariale. Les effectifs salariés ont crû au 1 er semestre 2011 avant d effacer leur gain au 2 nd semestre 2011, si bien que l emploi stagne sur l ensemble de l année. La masse salariale a en revanche connu une bonne dynamique. Sur l ensemble de l année, elle évolue de 3,3 %. En conséquence, le SMPT de Seine-et-Marne a également connu une forte progression. En hausse de 3,0 %, il s établit à euros. Cette évolution est proche de celle observée en Ile-de-France, ce qui a pour conséquence un maintien de l écart de plus de 700 euros entre le département et la région. 27

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