Caractéristiques cliniques des jeunes déprimés en pédopsychiatrie

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Caractéristiques cliniques des jeunes déprimés en pédopsychiatrie"

Transcription

1 Article DE recherche.. Crctéristiques cliniques des jeunes déprimés en pédopsychitrie Jen-Jcques Breton MD, MSc 1,2,4 ; Rél Lbelle PhD 1,3,4 ; Christophe Huynh MSc, PhD(cnd.) 1,4 ; Clude Berthiume MSc 1 ; Mrie St-Georges MPs 1 ; Jen-Mrc Guilé MD, MSc 1,4 Résumé Objectif: Décrire le profil clinique de jeunes déprimés selon le groupe d âge et le sexe. Méthodologie: L étude été rélisée à l ide d une grille d nlyse sur 75 dossiers de jeunes de 6-17 ns enregistrés en pédopsychitrie en et présentnt un dignostic de trouble dépressif. Des sttistiques descriptives et des tests d ssocition pour comprer les grçons 6-11 ns, les grçons et les filles ont été complétés. Résultts: Un jeune sur deux à l dolescence doublé une nnée scolire. Près de 60% des grçons de 6-11 ns déprimés sont dirigés en pédopsychitrie pour des difficultés comportementles et 71% des grçons de ce groupe d âge présentent un trouble dépressif en comorbidité vec un trouble du comportement perturbteur. Les filles et grçons à l dolescence présentent en plus grnde proportion une symptomtologie intériorisée. Les idées suicidires sont cependnt ussi présentes chez les enfnts (71%) que chez les dolescents (72%) et les dolescentes (85%). Les problèmes prent-enfnt se retrouvent chez l mjorité des jeunes, prticulièrement chez les dolescentes. Conclusion: Il est tout ussi importnt d évluer l dépression et l idétion suicidire chez les jeunes grçons vec troubles de comportement que chez les dolescents et les dolescentes et l dimension fmilile est importnte à considérer dns l évlution et le tritement. Mots-clés: troubles dépressifs, idées suicidires, enfnt et dolescent, étude de dossiers Introduction L étude de dossiers constitue un moyen ccessible et peu coûteux pour obtenir de l informtion sur le profil clinique des enfnts et dolescents pris en chrge en pédopsychitrie. De telles études permettent d juster les modlités d évlution et de tritement en fonction des crctéristiques cliniques des jeunes et de leurs fmilles. L nlyse des données permet églement de générer des hypothèses de recherche (Gering, Min, Brber, & Ickowicz., 2006). Un exmen des études récentes sur les popultions cliniques indique que les jeunes sont dirigés en pédopsychitrie pour hyperctivité (18%), distrctibilité (17,5%) et échec scolire (15,7%) (Ars, Vrol Ts, & Unlu, 2007). Les dignostics les plus fréquemment posés sont les troubles d dpttion (17,5%), les troubles du comportement perturbteur (12,7%), les troubles nxieux (8,8-12,8%), les troubles de l humeur (8,0-8,8%) et le trouble déficitire de l ttention vec hyperctivité (7,2%) (Ars et l., 2007; Den, McDermott, & Mrshll, 2006). L idétion suicidire et l tenttive de suicide sont rpportées chez respectivement 12% et 10% des jeunes (Den et l., 2006). Un ptient sur qutre est médicmenté et l phrmcothérpie est ssociée à une durée de tritement plus longue, les ptients sous médiction ynt un suivi de 32,3 ± 23,0 semines en comprison de 11,4±16,9 semines pour les utres (Den et l., 2006). Ces études descriptives, comme plusieurs utres u cours des dernières décennies, couvrent l ensemble des jeunes pris en chrge dns un service de pédopsychitrie. D utres recherches ciblent les conduites suicidires (Jy, Grhm, & Flowers, 1989; Milling, Gyure, Dvenport, & Bir, 1991), l utomutiltion (Jcobson, Muehlenkmp, Miller, Breton et l 1 Service de recherche, Hôpitl Rivière-des-Priries et Centre de recherche Fernnd-Seguin, Montrél, Québec 2 Groupe McGill d études sur le suicide, Université McGill, Montrél, Québec 3 Centre de recherche et d intervention sur le suicide et l euthnsie, Université du Québec à Montrél, Montrél, Québec 4 Déprtement de psychitrie, Fculté de médecine, Université de Montrél, Montrél, Québec Auteur correspondnt: jj.breton.hrdp@ssss.gouv.qc.c soumis: 13 février 2011; ccepté: 27 mi J Cn Acd Child Adolesc Psychitry, 21:1, Februry 2012

2 Crctéristiques cliniques des jeunes déprimés en pédopsychitrie & Truner, 2008), l bndon du tritement (Ottino, 1995) ou l utilistion de ctégories de psychotropes comme les ntidépresseurs (Wilens et l., 2003), les thymorégulteurs (DelBello et l., 2002) ou les ntipsychotiques (Mrchnd, Wirth, & Simon, 2004). En termes de symptomtologie dépressive, une étude en clinique externe indique que les grçons présentent plus souvent des difficultés de concentrtion et utres symptômes cognitifs, tndis que les filles tendent à voir une plus fible estime de soi (Fu & Wng, 2008). Une étude sur le devenir des enfnts et dolescents hospitlisés pour un trouble dépressif mjeur un à cinq ns plus trd révèle une rémission complète de l épisode dépressif initil à l intérieur d un n pour 98% de ces jeunes. Cependnt 61% des jeunes présentient un nouvel épisode dépressif u cours de l période de suivi, dont 47% lors de l première nnée (Emslie et l., 1997). Dns une étude sur l utomutiltion chez les dolescents à prtir des dossiers de clinique externe, les dignostics les plus fréquents étient le trouble dépressif mjeur (52%) et les troubles nxieux (36%), indépendmment de l présence d utomutiltion. Un dolescent sur cinq présentit un trouble de personnlité limite (Jcobson et l., 2008). Au totl, on retrouve peu d études descriptives sur les popultions cliniques de jeunes présentnt des troubles dépressifs lors que cette ctégorie de troubles mentux est l plus ssociée ux conduites suicidires des enfnts et dolescents et que de 15 à 20% des dolescents dns l popultion générle présentent un trouble dépressif. L étude proposée vise insi à décrire les crctéristiques cliniques de jeunes déprimés pris en chrge en pédopsychitrie selon le groupe d âge et le sexe et à présenter les implictions cliniques des résultts. Méthodologie L étude rétrospective de dossiers été complétée u Progrmme de pédopsychitrie de l Hôpitl Rivière-des-Priries, un centre de soins pédopsychitriques ffilié à l Université de Montrél. Au cours de l nnée , 450 enfnts et dolescents ont été enregistrés dont 81 (18%) présentient un dignostic clinique de trouble dépressif posé pr un pédopsychitre à prtir de toute l informtion disponible u dossier (best estimte). Deux enfnts d âge préscolire ont été exclus de l étude pour un totl de 79 dossiers retenus. L ccord du Directeur des services professionnels été obtenu pour que chercheurs et ssistntes de recherche ient ccès u contenu des dossiers. Une grille d nlyse de dossier s inspirnt d études ntérieures u Service de recherche de l Hôpitl Rivière-des- Priries été rélisée pr les deux premiers uteurs. Ils ont coté les items de cette grille en révisnt ensemble le contenu de dix dossiers u Service des rchives puis l grille d nlyse été complétée séprément pr chque ssistnte de recherche pour dix utres dossiers fin d ssurer une compréhension semblble des items. Au terme de rencontres entre les deux ssistntes et les chercheurs, une version définitive de l grille été produite. Les items ont été regroupés en sept ctégories soit les crctéristiques sociodémogrphiques, l demnde de services, les événements de vie, les symptômes, les dignostics selon les cinq xes du DSM-IV, les types de tritement et les risons de fermeture du dossier. L collecte des données été rélisée de juillet à novembre Dns un premier temps, les données ont été nlysées selon le sexe en regroupnt les deux groupes d âge. L interpréttion s est révélée certes informtive sur l influence de l vrible sexe (révélnt pr exemple que les grçons de 6-17 ns présentient plus de troubles dépressifs en comorbité vec des troubles du comportement perturbteur que les filles de 6-17 ns) mis elle ne permettit ps d pprécier l impct des groupes d âge sur les crctéristiques cliniques (Breton et l., 2005). Dns un deuxième temps, d utres nlyses ont été rélisées sur trois groupes formés des grçons 6-11 ns et de insi que des filles. Le groupe des filles 6-11 ns n pu être retenu cr il ne comprenit que qutre sujets. Les données ont été nlysées à l ide du logiciel SPSS. Des tests d ssocition ont été effectués fin de comprer les groupes. Le seuil de significtion été fixé à 0,05. En rison du crctère explortoire de l étude et du nombre restreint de sujets, ucune correction n été ppliquée pour l multiplicité des tests. Ces corrections deviennent rpidement trop conservtrices lorsque le nombre de tests est élevé et que les différentes mesures à l origine des tests sttistiques sont fortement corrélées. Résultts Les jeunes vivent dns des proportions semblbles en fmille biprentle et en fmille monoprentle et 24% font prtie d une fmille reconstituée. Un jeune sur qutre est d une origine ethnique utre que québécoise de souche. Près d un jeune sur deux à l dolescence doublé une nnée scolire et l différence de proportion entre les trois groupes formés des grçons 6-11 ns, des grçons de ns et des filles de est significtive (p=0,010; χ 2 =9,15; dl=2). Les trois groupes diffèrent significtivement pour les motifs de consulttion (p=0,017; χ 2 =18,63; dl=8). En effet, les difficultés comportementles constituent le motif de consulttion pour une plus grnde proportion de grçons 6-11 ns (59%) en comprison des deux groupes dolescents (32% pour les grçons et 9% pour les filles). À l opposé, les dolescentes consultent dns une proportion plus élevée pour des mnifesttions de dépression (p=0,002; χ 2 =16,44; dl=4). L nlyse des événements de vie révèle une différence significtive entre les trois groupes pour les disputes prentles (p=0,036; χ 2 =6,65; dl=2), retrouvées en proportion plus élevée chez les grçons que les filles (grçons 6-11 ns vs. filles: p=0,020; χ 2 =5,45; dl=1; grçons vs. filles: p=0,049; χ 2 =3,87; dl=1), et l rrivée/déprt d un J Cn Acd Child Adolesc Psychitry, 21:1, Februry

3 Breton et l Tbleu 1. Données sociodémogrphiques 6-11 ns (n=17) (n=25) (n=33) 6-17 ns (n=75) Structure fmilile Biprentle 5 (29%) 11 (44%) 13 (39%) 29 (39%) Monoprentle 8 (47%) 5 (20%) 15 (46%) 28 (37%) Reconstituée 4 (24%) 9 (36%) 5 (15%) 18 (24%) Origine ethnique Québécois 13 (77%) 16 (64%) 28 (85%) 57 (76%) Autres (Amérique centrle et du Sud, Europe, Asie) 4 (24%) 9 (36%) 5 (15%) 18 (24%) Scolrité nnée doublée * Oui 2 (12%) 13 (59%) 13 (45%) 28 (41%) * Ces données ne sont ps disponibles pour trois grçons âgés de 12 à 17 ns et qutre filles de 12 à 17 ns. p 0,01. Tbleu 2. Demnde de services 6-11 ns (n=17) (n=25) (n=33) 6-17 ns (n=75) Source de référence type de service Centre hospitlier 4 (24%) 9 (36%) 20 (61%) 33 (44%) Clinique médicle 6 (35%) 5 (20%) 4 (12%) 15 (20%) CLSC 3 (18%) 6 (24%) 4 (12%) 13 (17%) Centre jeunesse 1 (6%) 4 (16%) 3 (9%) 8 (11%) École 3 (18%) 1 (4%) 2 (6%) 6 (8%) Motifs de consulttion Mnifesttions de dépression vec conduites suicidires 3 (18%) 7 (28%) 15 (46%) 25 (33%) Difficultés comportementles 10 (59%) 8 (32%) 3 (9%) 21 (28%) Mnifesttions de dépression 1 (6%) 5 (20%) 8 (24%) 14 (19%) Inquiétudes et nervosité 2 (12%) 4 (16%) 2 (6%) 8 (11%) Mnifesttions de dépression vec difficultés comportementles 1 (6%) 1 (4%) 5 (15%) 7 (9%) p 0,05 conjoint (p=0,043; χ 2 =6,31; dl=2) retrouvée en proportion plus élevée chez les jeunes grçons que les dolescentes (p=0,012; χ 2 =6,27; dl=1). Au sujet de l symptomtologie, un trouble reltionnel prent-enfnt est rpporté pour 80% des jeunes, l différence étnt significtive entre les trois groupes (p=0,011; χ 2 =9,02; dl=2), un trouble reltionnel étnt rpporté en plus grnde proportion chez les dolescentes que chez les grçons de 6-11 ns (p=0,002; χ 2 =9,37; dl=1). L proportion de sujets ynt des idées suicidires est ussi élevée chez les jeunes grçons (71%) que dns les deux groupes dolescents (72% et 85%). Il existe une différence significtive entre les trois groupes pour l demnde d ttention (p=0,014; χ 2 =8,56; dl=2), l proportion étnt plus élevée chez les jeunes grçons que chez les plus âgés (p=0,047; χ 2 =3,95; dl=1) et chez les jeunes grçons en comprison des dolescentes (p=0,003; χ 2 =8,56; dl=1). Des 18 différences significtives sont observées pour l tristesse entre les groupes (p=0,043; χ 2 =6,27; dl=2), l proportion étnt significtivement plus élevée chez les dolescentes que chez les jeunes grçons (p=0,007; χ 2 =7,22; dl=1). Il existe églement une différence significtive entre les groupes pour l perte d intérêt (p<0,001; χ 2 =21,36; dl=2), l proportion étnt significtivement moins élevée chez les jeunes grçons que chez les dolescents (p=0,013; χ 2 =6,18; dl=1) et les dolescentes (p<0,001; χ 2 =21,51; dl=1). Au totl, 63% des jeunes rpportent un trouble du sommeil, les proportions étnt semblbles d un groupe à l utre. L nlyse des dignostics révèle des différences significtives à l xe I entre les trois groupes (p=0,002; χ 2 =16,81; dl=4). Les jeunes grçons présentent dns une proportion plus grnde un trouble dépressif en comorbidité vec des troubles du comportement perturbteur que les dolescents J Cn Acd Child Adolesc Psychitry, 21:1, Februry 2012

4 Crctéristiques cliniques des jeunes déprimés en pédopsychitrie Tbleu 3. Événements de vie et symptômes les plus fréquents 6-11 ns (n=17) (n=25) (n=33) 6-17 ns (n=75) Événements de vie Séprtion ou divorce des prents 13 (77%) 14 (56%) 18 (55%) 45 (60%) Nissnce d un utre enfnt 11 (65%) 17 (68%) 17 (52%) 45 (60%) Mésentente et/ou violence conjugle 12 (71%) 14 (56%) 12 (36%) 38 (51%) Disputes prentles 11 (65%) 14 (56%) 10 (30%) 35 (47%) Arrivée d un nouveu conjoint ou Conjoint quitte le foyer 12 (71%) 11 (44%) 11 (33%) 34 (45%) Symptomtologie Trouble reltion prent-enfnt 10 (59 %) 19 (76%) 31 (94%) 60 (80%) Triste 10 (59%) 18 (72%) 30 (91%) 58 (77%) Idées suicidires 12 (71%) 18 (72%) 28 (85%) 58 (77%) Anxiété 14 (82%) 16 (64%) 25 (76%) 55 (73%) Difficulté à se concentrer 14 (82%) 19 (76%) 17 (52%) 50 (67%) Difficulté de rendement scolire 14 (82%) 19 (76%) 15 (46%) 48 (64%) Difficulté à dormir 10 (59%) 15 (60%) 22 (67%) 47 (63%) Fible estime de soi 9 (53%) 18 (72%) 19 (58%) 46 (61%) Demnde d ttention 15 (88%) 15 (60%) 15 (46%) 45 (60%) Perte d intérêt b 3 (18%) 14 (56%) 28 (85%) 45 (60%) Ne réussit ps selon son potentiel à l école 12 (71%) 15 (60%) 17 (52%) 44 (59%) Opposition, srcstique, hostilité 12 (71%) 15 (60%) 15 (46%) 42 (56%) Accès de colère 10 (59%) 17 (68%) 14 (42%) 41 (55%) Se sent dévlorisé 5 (29%) 14 (56%) 20 (61%) 39 (52%) Difficile à contrôler 11 (65%) 17 (68%) 11 (33%) 39 (52%) p 0,05 b p 0,01 et les dolescentes; cette différence se situe plus précisément entre les jeunes grçons et les dolescentes (p<0,001; χ 2 =16,78; dl=2). À l xe 4, les difficultés fmililes rpportées pr 68% des jeunes constituent l principle source de problèmes psycho-sociux. L nlyse selon les tritements montre une différence significtive entre les trois groupes pour ce qui est du type de médicment, les ntidépresseurs n étnt ps utilisés chez les jeunes grçons (p=0,006; χ 2 =17,91; dl=6). L nlyse des risons de l fermeture du dossier montre une différence significtive entre les trois groupes (p=0,037; χ 2 =10,21; dl=4), le mnque de motivtion se retrouvnt dns une proportion significtivement moins élevée chez les jeunes grçons que chez les dolescents (p=0,039; χ 2 =6,51; dl=2) et les dolescentes (p=0,008; χ 2 =9,75; dl=2). Discussion Cette étude, comme toutes les études de dossiers cliniques, comporte des limites. Les informtions colligées lors des différentes étpes de l constitution du dossier peuvent être incomplètes et des erreurs peuvent survenir lors de l codifiction des données pr les ssistntes de recherche. De plus, cette étude est complétée dns un contexte prticulier de soins. Enfin, l bsence d un groupe composé de filles 6-11 ns ne permet ps de crctériser ce sous-groupe d âge. L échec scolire touche un jeune sur deux à l dolescence, ce qui peut contribuer à l étt dépressif et suggère que l prise en compte du fonctionnement cognitif de ces jeunes serit pertinente pour l définition du pln d intervention. Le trouble reltionnel prents-enfnt se retrouve en proportion élevée chez les jeunes des trois groupes mis prticulièrement chez les dolescentes, Les conflits mère-fille ssociés à des demndes de soumission serient corrélés à une symptomtologie dépressive plus intense (Zhn-Wxler, Shirtcliff, & Mrceu, 2008). L dynmique fmilile se révèle insi une dimension importnte à considérer lors de l évlution et de l intervention psychitrique (Villeneuve, 2006), L dépression chez les grçons de 6-11 ns se vit plus sur un mode comportementl que dns les deux groupes J Cn Acd Child Adolesc Psychitry, 21:1, Februry

5 Breton et l Tbleu 4. Dignostics selon le DSM-IV-TR 6-11 ns 6-17 ns Axe I (n=17) (n=25) (n=33) (n=75) Trouble dépressif mjeur, dysthymie 2 (12%) 10 (40%) 21 (64%) 33 (44%) Trouble dépressif vec TDAH/TOP/ 12 (71%) 10 (40%) 5 (15%) 27 (36%) Trouble des conduites Trouble dépressif vec trouble nxieux 3 (18 %) 5 (20%) 7 (21%) 15 (20%) Axe II (n=15) (n=23) (n=31) (n=69) Retrd mentl ou fonctionnement intellectuel limité 2 (13%) 1 (4%) 2 (7%) 5 (7%) Trits de personnlité 1 (7%) 4 (17%) 1 (3%) 6 (9%) Aucun 12 (80%) 18 (78%) 28 (90%) 58 (84%) Axe III (n=17) (n=23) (n=33) (n=73) Présence 5 (29%) 6 (26%) 7 (21%) 18 (25%) Axe IV (n=17) (n=25) (n=33) (n=75) Difficultés fmililes 12 (71%) 17 (68%) 22 (67%) 51(68%) Difficultés scolires 4 (24%) 1 (4%) 3 (9%) 8 (11%) Autres difficultés 0 (0%) 4 (16%) 1 (3%) 5 (7%) Aucun 1 (6%) 3 (12%) 7 (21%) 11 (15%) Axe V (n=16) (n=23) (n=33) (n=72) Léger (61-100) 5 (31%) 5 (22%) 10 (30%) 20 (28%) Moyen et élevé (0-60) 11 (69%) 18 (78%) 23 (70%) 52 (72%) p 0,01 Tbleu 5. Types de tritement et risons de fermeture 6-11 ns 6-17 ns Types de tritement Psychothérpie (n=16) (n=23) (n=27) (n=66) 13 (81%) 13 (57%) 20 (74%) 46 (70%) Intervention uprès des prents ou de (n=16) (n=23) (n=29) (n=68) l fmille 9 (56%) 9 (39%) 9 (31%) 27 (40%) Thérpie médicmenteuse de l enfnt (n=16) (n=23) (n=30) (n=69) Présence d une prescription 10 (63%) 18 (78%) 22 (73%) 50 (73%) Type de médiction Antidépresseurs ou 0 (0%) 5 (22%) 15 (50%) 20 (29%) thymorégulteurs seuls Antidépresseurs en ssocition 6 (38%) 6 (26%) 6 (20%) 18 (26%) Autres 4 (25%) 7 (30%) 1 (3%) 12 (17%) Hospitlistion (24 heures ou de jour) (n=16) (n=24) (n=30) (n=70) 2 (13%) 6 (25%) 8 (27%) 16 (23%) Risons de fermeture b (n=7) (n=10) (n=18) (n=35) Améliortion 5 (71%) 3 (30%) 3 (17%) 11 (31%) Mnque de motivtion 0 (0%) 6 (60%) 12 (67%) 18 (51%) Trnsfert/déméngement 2 (29%) 1 (10%) 3 (17%) 6 (17%) p 0,01 b p 0,05 20 J Cn Acd Child Adolesc Psychitry, 21:1, Februry 2012

6 Crctéristiques cliniques des jeunes déprimés en pédopsychitrie dolescents puisque que plus de 50% des jeunes grçons vec un dignostic de trouble dépressif sont référés pour des comportements perturbteurs. Certes, des difficultés comportementles peuvent dissimuler des symptômes dépressifs et il semble bien que l dépression sns problèmes de comportement puisse psser inperçue dns ce groupe d âge. Cette hypothèse pourrit d illeurs expliquer que seulement qutre filles déprimées de 6 à 11 ns se retrouvent dns cette étude, les filles de 6 à 11 ns présentnt dns l popultion générle une prévlence moins élevée de troubles du comportement perturbteur que les grçons de 6 à 11 ns et pr illeurs une prévlence des troubles dépressifs comprble à celle des grçons (Birmher et l., 1996; Breton et l., 1999). Les jeunes grçons demndent églement plus d ttention (88% versus 46-60% pour les groupes dolescents), ce qui peut être ussi compris comme un ppel à l ide, et non uniquement comme un comportement perturbteur. Les idées suicidires sont presque ussi fréquentes chez les enfnts (71%) que chez les dolescents (72%) et dolescentes (84%). Ainsi, l proportion d enfnts déprimés qui ont des idées suicidires en milieu clinique est loin d être mrginle, ce qui suggère l pertinence de dépister l présence d idées suicidires chez les jeunes enfnts dressés en pédopsychitrie. Des symptômes principlement internlisés tels l tristesse (72%), l nxiété (64%), les idées suicidires (72%) se retrouvent tnt chez les dolescents que chez les dolescentes (91%, 76% et 85% respectivement). Les dolescents mnifestent cependnt plus de difficultés scolires que les dolescentes. Les jeunes grçons et les dolescents présentent en proportion plus élevée des difficultés de concentrtion, tout comme dns l étude de Fu & Wng (2008), où les filles cependnt tendent à voir une plus fible estime de soi, ce qui n est ps observé dns cette étude. Les difficultés de sommeil, observés chez 10% des dolescents de l popultion générle, sont rpportées pr une mjorité des jeunes dns l étude, ce qui confirme l importnce d évluer ce symptôme dns le trouble dépressif (Roberts, Roberts, & Xing, 2011) Cinqunte et un pour cent des dolescents dont le dossier été fermé ont bndonné le tritement pr mnque de motivtion. Cette proportion élevée est observée dns d utres études (Ottino, 1995). L dhérence u tritement est fible chez les dolescents suicidires vec des tux d bndon entre 41,3% et 57,7% (Burns, Cortell, & Wgner, 2008). Plusieurs études ont tenté d identifier différents déterminnts pour prédire l bndon du tritement chez les dolescents suicidires vec des résultts vribles (Grnbouln, Roudot-Thorvl, Lemerle, & Alvin, 2001; King, Hovey, Brnd, Wilson, & Ghziuddin, 1997; Ottino, 1995; Picentini et l., 1995; Rotherm-Borus et l., 1999), ce qui pourrit s expliquer en prtie pr l difficulté à définir le concept d bndon. En contreprtie, le mnque de motivtion ne constitue ps le motif de fin de tritement chez les grçons de 6-11 ns dont les dossiers ont été fermés dns notre échntillon en rison d une méliortion. Conclusion Le profil clinique des jeunes déprimés consultnt en pédopsychitrie, tel qu il pprît dns notre étude, confirme que l dépression chez l enfnt prépubère est étroitement liée à des troubles externlisés. Ceci se mnifeste ussi bien pr les motifs de consulttion que pr l symptomtologie observée et les dignostics. L étude indique, pr illeurs, que l idétion suicidire est ussi bien présente chez les grçons de 6-11 ns que chez les dolescents, grçons et filles. Eu égrd u risque suicidire, ce constt ppelle à une grnde vigilnce de l prt des cliniciens. Toute évlution des troubles du comportement perturbteur chez les grçons de 6-11 ns devrit inclure le dépistge d une symptomtologie dépressive. L importnce des dimensions reltionnelle et fmilile contribunt u développement de l dépression dns les trois groupes confirme l pertinence d une pproche systémique dns l évlution et le tritement des jeunes déprimés. Remerciements / Conflits d intérêts Les uteurs remercient Sophie Huneu, B.Sc. et André Mrtin, Ph.D. qui ont gi comme ssistntes de recherche pour l collecte des données. Références Ars, S., Vrol Ts, F., & Unlu, G. (2007). Mediction prescribing prctices in child nd dolescent psychitry outptient clinic. Child: Cre, Helth nd Development, 33(4), Birmher, B., Ryn, N. D., Willimson, D. E., Brent, D. A., Kufmn, J., Dhl, R. E., Nelson, B. (1996). Childhood nd dolescent depression: A review of the pst 10 yers. Prt I. Journl of the Americn Acdemy of Child nd Adolescent Psychitry, 35(11), Breton, J. J., Bergeron, L., Vll, J. P., Berthiume, C., Gudet, N., Lmbert, J., Lépine, S. (1999). Quebec child mentl helth survey: Prevlence of DSM-III-R mentl helth disorders. Journl of Child Psychology nd Psychitry, 40(3), Breton, J. J., Lbelle, R., Berthiume, C., Guile, J. M., St-Georges, M., Huneu, S., Mrtin A. (2005). Crctéristiques cliniques de jeunes déprimés pris en chrge en pédopsychitrie. 39ième congrès de l Assocition des médecins psychitres du Québec, Pris. Burns, C. D., Cortell, R., & Wgner, B. M. (2008). Tretment complince in dolescents fter ttempted suicide: A 2-yer follow-up study. Journl of the Americn Acdemy of Child nd Adolescent Psychitry, 47(8), Den, A. J., McDermott, B. M., & Mrshll, R. T. (2006). Psychotropic mediction utiliztion in child nd dolescent mentl helth service. Journl of Child nd Adolescent Psychophrmcology, 16(3), DelBello, M. P., Kowtch, R. A., Wrner, J., Schwiers, M. L., Rppport, K. B., Dniels, J. P., Strkowski, S. M. (2002). Adjunctive topirmte tretment for peditric bipolr disorder: A retrospective chrt review. Journl of Child nd Adolescent Psychophrmcology, 12(4), Emslie, G. J., Rush, A. J., Weinberg, W. A., Gullion, C. M., Rintelmnn, J., & Hughes, C. W. (1997). Recurrence of mjor depressive disorder in hospitlized children nd dolescents. Journl of the Americn Acdemy of Child nd Adolescent Psychitry, 36(6), J Cn Acd Child Adolesc Psychitry, 21:1, Februry

7 Breton et l Fu, I. L., & Wng, Y. P. (2008). Comprison of demogrphic nd clinicl chrcteristics between children nd dolescents with mjor depressive disorder. Revist Brsileir de Psiquitri, 30(2), Gering, R. E., Min, I. A., Brber, J., & Ickowicz, A. (2006). A methodology for conducting retrospective chrt review reserch in child nd dolescent psychitry. Journl of the Cndin Acdemy of Child nd Adolescent Psychitry, 15(3), Grnbouln, V., Roudot-Thorvl, F., Lemerle, S., & Alvin, P. (2001). Predictive fctors of post-dischrge follow-up cre mong dolescent suicide ttempters. Act Psychitric Scndinvic, 104(1), Jcobson, C. M., Muehlenkmp, J. J., Miller, A. L., & Turner, J. B. (2008). Psychitric impirment mong dolescents engging in different types of deliberte self-hrm. Journl of Clinicl Child nd Adolescent Psychology, 37(2), Jy, M. S., Grhm, C. J., & Flowers, C. (1989). Adolescent suicide ttempters presenting to peditric fcility. Adolescence, 24(94), King, C. A., Hovey, J. D., Brnd, E., Wilson, R., & Ghziuddin, N. (1997). Suicidl dolescents fter hospitliztion: Prent nd fmily impcts on tretment follow-through. Journl of the Americn Acdemy of Child nd Adolescent Psychitry, 36(1), Mrchnd, W. R., Wirth, L., & Simon, C. (2004). Quetipine djunctive nd monotherpy for peditric bipolr disorder: A retrospective chrt review. Journl of Child nd Adolescent Psychophrmcology, 14(3), Milling, L., Gyure, K., Dvenport, C. W., & Bir, P. (1991). Suicidl behvior mong psychitric outptient children: An estimte of prevlence. Child Psychitry nd Humn Development, 21(4), Ottino, J. (1995). Suicidl dolescents: Psychotherpy nd tretment interruption. Results of controlled study. Psychitrie de l enfnt, 38(2), Picentini, J., Rotherm-Borus, M. J., Gillis, J. R., Gre, F., Trutmn, P., Cntwell, C., Shffer, D. (1995). Demogrphic predictors of tretment ttendnce mong dolescent suicide ttempters. Journl of Consulting nd Clinicl Psychology, 63(3), Roberts R. E., Roberts C. R., & Xing Y. (2011). Restricted sleep mong dolescents: Prevlence, incidence, persistence, nd ssocited fctors. Behviorl Sleep Medicine, 9(1), Rotherm-Borus, M. J., Picentini, J., Vn Rossem, R., Gre, F., Cntwell, C., Cstro-Blnco, D., & Feldmn, J. (1999). Tretment dherence mong Ltin femle dolescent suicide ttempters. Suicide nd Life Thretening Behvior, 29(4), Villeneuve, C. (2006). L intervention en snté mentle: le pouvoir thérpeutique de l fmille, Les Presses de l Université de Montrél. Wilens, T. E., Biedermn, J., Forkner, P., Ditterline, J., Morris, M., Moore, H., Woznik, J. (2003). Ptterns of comorbidity nd dysfunction in cliniclly referred preschool nd school-ge children with bipolr disorder. Journl of Child nd Adolescent Psychophrmcology, 13(4), Zhn-Wxler, C., Shirtcliff, E. A., & Mrceu, K. (2008). Disorders of childhood nd dolescence: Gender nd psychopthology. Annul Review of Clinicl Psychology, 4, Upcoming in the My 2012 Theme Issue: Integrting Networks in Youth Mentl Helth Guest Editors: Dr. Lucie Ndeu, Dr. Toby Meshm nd Dr. Cecile Rousseu Prtnership t the Forefront of Chnge: Documenting Youth Mentl Helth Services Trnsformtion in Quebec Lucie Ndeu et l. Helthy Minds/Helthy Children Outrech Service Lessons Lerned After Eight Yers Alln Donsky et l. The Fmily s Prtner in Child Mentl Helth Cre - Will Differences in Problem Perception Crete Different Collbortion Processes Atle Ødegård et l. Referrls Ptterns nd Trining Needs in Psychitry mong Primry Cre Physicins in Cndin Rurl/Remote Ares Mrgret Steele et l. Évlution de l implnttion des services de première ligne en snté mentle jeunesse dns Lnudière Croline Richrd et l. Mentl Helth in Inuit Youth from Nunvik: A Trnsculturl, Interdisciplinry, Community-Oriented Approch Geneviève Auclir et l. 22 J Cn Acd Child Adolesc Psychitry, 21:1, Februry 2012

Guide des bonnes pratiques

Guide des bonnes pratiques Livret 3 MINISTÈRE DE LA RÉFORME DE L'ÉTAT, DE LA DÉCENTRALISATION ET DE LA FONCTION PUBLIQUE 3 Guide des bonnes prtiques OUTILS DE LA GRH Guide des bonnes prtiques Tble des mtières 1. Introduction p.

Plus en détail

La réforme des soins de santé mentale en Belgique

La réforme des soins de santé mentale en Belgique 1 L réforme des soins de snté mentle en Belgique Isbel MOENS Cbinet de l Vice Première-Ministre Ministre des Affires sociles et de l Snté publique En prtenrit vec: Kristel KARLER Cbinet de l Ministre de

Plus en détail

Influence du milieu d étude sur l activité (suite) Inhibition et activation

Influence du milieu d étude sur l activité (suite) Inhibition et activation Influence du milieu d étude sur l ctivité (suite) Inhibition et ctivtion Influence de l tempérture Influence du ph 1 Influence de l tempérture Si on chuffe une préprtion enzymtique, l ctivité ugmente jusqu

Plus en détail

Toyota Assurances Toujours la meilleure solution

Toyota Assurances Toujours la meilleure solution Toyot Assurnces Toujours l meilleure solution De quelle ssurnce vez-vous besoin? Vous roulez déjà en Toyot ou vous ttendez s livrison. Votre voiture est neuve ou d occsion. Vous vlez les kilomètres ou

Plus en détail

EnsEignEmEnt supérieur PRÉPAS / BTS 2015

EnsEignEmEnt supérieur PRÉPAS / BTS 2015 Enseignement supérieur PRÉPAS / BTS 2015 Stnisls pour mbition de former les étudints à l réussite d exmens et de concours des grndes écoles de mngement ou d ingénieurs. Notre objectif est d ccompgner chque

Plus en détail

Le canal étroit du crédit : une analyse critique des fondements théoriques

Le canal étroit du crédit : une analyse critique des fondements théoriques Le cnl étroit du crédit : une nlyse critique des fondements théoriques Rfl Kierzenkowski 1 CREFED Université Pris Duphine Alloctire de Recherche Avril 2001 version provisoire Résumé A l suite des trvux

Plus en détail

Chapitre 11 : L inductance

Chapitre 11 : L inductance Chpitre : inductnce Exercices E. On donne A πr 4π 4 metn N 8 spires/m. () Selon l exemple., µ n A 4π 7 (8) 4π 4 (,5) 5 µh (b) À prtir de l éqution.4, on trouve ξ ξ 4 3 5 6 6,3 A/s E. On donne A πr,5π 4

Plus en détail

Statuts ASF Association Suisse Feldenkrais

Statuts ASF Association Suisse Feldenkrais Sttuts ASF Assocition Suisse Feldenkris Contenu Pge I. Nom, siège, ojectif et missions 1 Nom et siège 2 2 Ojectif 2 3 Missions 2 II. Memres 4 Modes d ffilition 3 5 Droits et oligtions des memres 3 6 Adhésion

Plus en détail

Pour développer votre entreprise. Compta LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI!

Pour développer votre entreprise. Compta LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI! Pour développer votre entreprise Compt Avec EBP Compt, vous ssurez le suivi de l ensemble de vos opértions et exploitez les données les plus complexes en toute sécurité. Toutes les fonctionnlités essentielles

Plus en détail

Pour développer votre entreprise LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI!

Pour développer votre entreprise LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI! Pour développer votre entreprise Gestion Commercile Gérez le cycle complet des chts (demnde de prix, fcture fournisseur), des stocks (entrée, sortie mouvement, suivi) et des ventes (devis, fcture, règlement,

Plus en détail

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions

Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mthémtiques nnée 2009-2010 Chpitre 2 Le prolème de l unicité des solutions 1 Le prolème et quelques réponses : 1.1 Un exemple Montrer que l éqution différentielle :

Plus en détail

CARDIOLOGIE. Conférences scientifiques

CARDIOLOGIE. Conférences scientifiques www.crdiologieconferences.c 0 4 v o l u m e X V, n u m é r o CARDIOLOGIE MD Conférences scientifiques Guide prtique sur l usge des nouveux nticogulnts pour prévenir l ccident vsculire cérébrl dns l fibrilltion

Plus en détail

NEWS PRO ACTIV. www.activexpertise.fr. [Juillet 2015] Ce mois-ci on vous parle de. L arrêté est applicable à compter du 1er Juillet 2015.

NEWS PRO ACTIV. www.activexpertise.fr. [Juillet 2015] Ce mois-ci on vous parle de. L arrêté est applicable à compter du 1er Juillet 2015. Ce mois-ci on vous prle de i Rpport de repérge minte : Trnsmission u Préfet obligtoire à compter du 1 er juillet 2015 Simplifiction des formlités : De bonnes nouvelles pour les entreprises de dignostic

Plus en détail

Correction de l épreuve CCP 2001 PSI Maths 2 PREMIÈRE PARTIE ) (

Correction de l épreuve CCP 2001 PSI Maths 2 PREMIÈRE PARTIE ) ( Correction de l épreuve CCP PSI Mths PREMIÈRE PARTIE I- Soit t u voisinge de, t Alors ϕt t s = ϕt ρt s ρs Pr hypothèse, l fonction ϕt ϕt est lorsque t, il en est donc de même de ρt s ρt s ρs cr ρ s est

Plus en détail

Techniques d analyse de circuits

Techniques d analyse de circuits Chpitre 3 Tehniques d nlyse de iruits Ce hpitre présente différentes méthodes d nlyse de iruits. Ces méthodes permettent de simplifier l nlyse de iruits ontennt plusieurs éléments. Bien qu on peut résoudre

Plus en détail

STI2D Logique binaire SIN. L' Algèbre de BOOLE

STI2D Logique binaire SIN. L' Algèbre de BOOLE L' Algère de BOOLE L'lgère de Boole est l prtie des mthémtiques, de l logique et de l'électronique qui s'intéresse ux opértions et ux fonctions sur les vriles logiques. Le nom provient de George Boole.

Plus en détail

Weekly epidemiological record Relevé épidémiologique hebdomadaire

Weekly epidemiological record Relevé épidémiologique hebdomadaire 2014, 89, 389-400 No. 36 Weekly epidemiologicl record Relevé épidémiologique hebdomdire 5 SEPTEMBER 2014, 89th yer / 5 SEPTEMBRE 2014, 89 e nnée No. 36, 2014, 89, 389-400 http://www.who.int/wer Contents

Plus en détail

FONDATION CLEMENTINE ET MAURICE ANTILLE

FONDATION CLEMENTINE ET MAURICE ANTILLE FONDATION CLEMENTINE ET MAURICE ANTILLE Règlement d ttriution de ourses et de prêts d études et de formtion du déemre 006 Artile premier Ojet et hmp d pplition Le présent règlement est étli en pplition

Plus en détail

Synthèse de cours (Terminale S) Calcul intégral

Synthèse de cours (Terminale S) Calcul intégral Synthèse de cours (Terminle S) Clcul intégrl Intégrle d une onction continue positive sur un intervlle [;] Dns cette première prtie, on considère une onction continue positive sur un intervlle [ ; ] (

Plus en détail

LOGICIEL FONCTIONNEL EMC VNX

LOGICIEL FONCTIONNEL EMC VNX LOGICIEL FONCTIONNEL EMC VNX Améliortion des performnces des pplictions, protection des données critiques et réduction des coûts de stockge vec les logiciels complets d EMC POINTS FORTS VNX Softwre Essentils

Plus en détail

3- Les taux d'intérêt

3- Les taux d'intérêt 3- Les tux d'intérêt Mishkin (2007), Monnie, Bnque et mrchés finnciers, Person Eduction, ch. 4 et 6 Vernimmen (2005), Finnce d'entreprise, Dlloz, ch. 20 à 22 1- Mesurer les tux d'intérêt comprer les différents

Plus en détail

- Phénoméne aérospatial non identifié ( 0.V.N.I )

- Phénoméne aérospatial non identifié ( 0.V.N.I ) ENQUETE PRELIMINAIRE ANALYSE ET REFEREWCES : Phénoméne érosptil non identifié ( 0VNI ) B8E 25400 DEF/GEND/OE/DOlRENS du 28/9/1992 Nous soussigné : M D L chef J S, OPJ djoint u commndnt de l brigde en résidence

Plus en détail

Modification simultanée de plusieurs caractéristiques d un bien hédonique : une nouvelle méthode de calcul de la variation de bien-être des ménages

Modification simultanée de plusieurs caractéristiques d un bien hédonique : une nouvelle méthode de calcul de la variation de bien-être des ménages Modifiction simultnée de plusieurs crctéristiques d un bien hédonique : une nouvelle méthode de clcul de l vrition de bien-être des ménges Trvers Muriel * Version provisoire Résumé : De nombreuses situtions

Plus en détail

Sommaire. 6. Tableau récapitulatif... 10. Sophos NAC intégré Vs. NAC Advanced - 17 Février 2009 2

Sommaire. 6. Tableau récapitulatif... 10. Sophos NAC intégré Vs. NAC Advanced - 17 Février 2009 2 Sommire 1. A propos de Sophos... 3 2. Comprtif des solutions Sophos NAC... 4 3. Sophos NAC pour Endpoint Security nd Control 8.0... 4 3.1. Administrtion et déploiement... 4 3.2. Gestion des politiques

Plus en détail

/HVV\VWqPHVFRPELQDWRLUHV

/HVV\VWqPHVFRPELQDWRLUHV /HVV\VWqPHVFRPELQDWRLUHV I. Définition On ppelle système combintoire tout système numérique dont les sorties sont exclusivement définies à prtir des vribles d entrée (Figure ). = f(x, x 2,,, x n ) x x

Plus en détail

Santé et sécurité psychologiques en milieu de travail

Santé et sécurité psychologiques en milieu de travail CAN/CSA-Z1003-13/BNQ 9700-803/2013 Norme ntionle du Cnd Snté et sécurité psychologiques en milieu de trvil Prévention, promotion et lignes directrices pour une mise en œuvre pr étpes Avilble in English

Plus en détail

La pratique institutionnelle «à plusieurs»

La pratique institutionnelle «à plusieurs» L prtique institutionnelle «à plusieurs» mury Cullrd Février 2013 Nicols, inquiet: «Qund je suis seul vec quelqu un, il se psse des choses» Vlentin, à propos de l institution : «Ici, y beucoup de gens,

Plus en détail

Interview p.10. Francis Delpérée. Dossier pédagogique des Equipes Populaires Bimestriel n 154 Janvier-Février 2013

Interview p.10. Francis Delpérée. Dossier pédagogique des Equipes Populaires Bimestriel n 154 Janvier-Février 2013 Dossier pédgogique des Equipes Populires Bimestriel n 154 Jnvier-Février 2013 Belgique - België P.P. - P.B. 5000 - Nmur 1 BC 4854 Interview p.10 Frncis Delpérée Bureu de dépôt : 5000 Nmur mil. N d grétion

Plus en détail

Réalisation de sites Internet PME & Grandes entreprises Offre Premium. Etude du projet. Webdesign. Intégration HTML. Développement.

Réalisation de sites Internet PME & Grandes entreprises Offre Premium. Etude du projet. Webdesign. Intégration HTML. Développement. Rélistion de sites Internet PME & Grndes entreprises Offre Premium Etude du projet Réunions de trvil et étude personnlisée de votre projet Définition d une strtégie de pré-référencement Webdesign Définition

Plus en détail

LANGAGES - GRAMMAIRES - AUTOMATES

LANGAGES - GRAMMAIRES - AUTOMATES LANGAGES - GRAMMAIRES - AUTOMATES Mrie-Pule Muller Version du 14 juillet 2005 Ce cours présente et met en oeuvre quelques méthodes mthémtiques pour l informtique théorique. Ces notions de bse pourront

Plus en détail

Bloc notes. a À faire tout de suite. Gardez secret votre code confidentiel. À conserver précieusement. Protégez votre carte

Bloc notes. a À faire tout de suite. Gardez secret votre code confidentiel. À conserver précieusement. Protégez votre carte Q U O T I D I E N Crte Mestro Comment voir tous les touts de votre crte bien en min Guide mémo + Notice d Assistnce Octobre 2010 Bloc notes À fire tout de suite Votre crte est strictement personnelle,

Plus en détail

Module 2 : Déterminant d une matrice

Module 2 : Déterminant d une matrice L Mth Stt Module les déterminnts M Module : Déterminnt d une mtrice Unité : Déterminnt d une mtrice x Soit une mtrice lignes et colonnes (,) c b d Pr définition, son déterminnt est le nombre réel noté

Plus en détail

Chapitre VI Contraintes holonomiques

Chapitre VI Contraintes holonomiques 55 Chpitre VI Contrintes holonomiques Les contrintes isopérimétriques vues u chpitre précéent ne sont qu un eemple prticulier e contrintes sur les fonctions y e notre espce e fonctions missibles. Dns ce

Plus en détail

semestre 3 des Licences MISM annnée universitaire 2004-2005

semestre 3 des Licences MISM annnée universitaire 2004-2005 MATHÉMATIQUES 3 semestre 3 des Licences MISM nnnée universitire 24-25 Driss BOULARAS 2 Tble des mtières Rppels 5. Ensembles et opértions sur les ensembles.................. 5.. Prties d un ensemble.........................

Plus en détail

L'algèbre de BOOLE ou algèbre logique est l'algèbre définie pour des variables ne pouvant prendre que deux états.

L'algèbre de BOOLE ou algèbre logique est l'algèbre définie pour des variables ne pouvant prendre que deux états. ciences Industrielles ystèmes comintoires Ppnicol Roert Lycée Jcques Amyot I - YTEME COMBINATOIRE A. Algère de Boole. Vriles logiques: Un signl réel est une grndeur physique en générl continue, on ssocie

Plus en détail

Classeur courtier d assurance. Comment organiser son activité et se préparer à un contrôle

Classeur courtier d assurance. Comment organiser son activité et se préparer à un contrôle Clsseur courtier d ssurnce Comment orgniser son ctivité et se préprer à un contrôle 67, venue Pierre Grenier 92517 BOULOGNE-BILLANCOURT CEDEX Tél : 01.46.10.43.80 Fx : 01.47.61.14.85 www.streevocts.com

Plus en détail

ANALYSE NUMERIQUE NON-LINEAIRE

ANALYSE NUMERIQUE NON-LINEAIRE Université de Metz Licence de Mthémtiques - 3ème nnée 1er semestre ANALYSE NUMERIQUE NON-LINEAIRE pr Rlph Chill Lbortoire de Mthémtiques et Applictions de Metz Année 010/11 1 Tble des mtières Chpitre

Plus en détail

Guide d'utilisation Easy Interactive Tools Ver. 2

Guide d'utilisation Easy Interactive Tools Ver. 2 Guide d'utilistion Esy Interctive Tools Ver. 2 Guide d'utilistion Esy Interctive Tools Ver.2 Présenttion de Esy Interctive Tools 3 Crctéristiques Fonction de dessin Vous pouvez utiliser Esy Interctive

Plus en détail

La paye. La comptabilité. Comparez et choisissez votre logiciel. Comparez et choisissez votre logiciel. Paye Bâtiment 2012. Paye Agricole 2013

La paye. La comptabilité. Comparez et choisissez votre logiciel. Comparez et choisissez votre logiciel. Paye Bâtiment 2012. Paye Agricole 2013 L comptbilité Comprez et choisissez votre logiciel L pye Comprez et choisissez votre logiciel TABLEAUX COMPARATIFS Compt Prtic Pour les créteurs et les entrepreneurs novice en Compt Compt Clssic Pour l

Plus en détail

Livret de l étudiant 2015-2016

Livret de l étudiant 2015-2016 Livret de l étudint 2015-2016 Le mot du directeur Soyez les bienvenus à l IUT Pris Descrtes. L'IUT ccueille chque nnée 3000 étudints, sur le site de l'venue de Versilles et, depuis cette nnée, sur le site

Plus en détail

AUTOUR D UN MÉMOIRE INÉDIT : LA CONTRIBUTION D HERMITE AU DÉVELOPPEMENT DE LA THÉORIE DES FONCTIONS ELLIPTIQUES. Bruno BELHOSTE (*)

AUTOUR D UN MÉMOIRE INÉDIT : LA CONTRIBUTION D HERMITE AU DÉVELOPPEMENT DE LA THÉORIE DES FONCTIONS ELLIPTIQUES. Bruno BELHOSTE (*) Revue d histoire des mthémtiques, 2 (1996), p. 1 66. AUTOUR D UN MÉMOIRE INÉDIT : LA CONTRIBUTION D HERMITE AU DÉVELOPPEMENT DE LA THÉORIE DES FONCTIONS ELLIPTIQUES Bruno BELHOSTE (*) RÉSUMÉ. Dns cet rticle,

Plus en détail

Conseils et astuces pour les structures de base de la Ligne D30

Conseils et astuces pour les structures de base de la Ligne D30 Conseils et stuces pour les structures de bse de l Ligne D30 Conseils et stuces pour l Ligne D30 Ligne D30 - l solution élégnte pour votre production. Rentbilité optimle et méliortion continue des séquences

Plus en détail

Séquence 8. Probabilité : lois à densité. Sommaire

Séquence 8. Probabilité : lois à densité. Sommaire Séquence 8 Proilité : lois à densité Sommire. Prérequis 2. Lois de proilité à densité sur un intervlle 3. Lois uniformes 4. Lois exponentielles 5. Synthèse de l séquence Dns cette séquence, on introduit

Plus en détail

Partie 4 : La monnaie et l'inflation

Partie 4 : La monnaie et l'inflation Prtie 4 : L monnie et l'infltion Enseignnt A. Direr Licence 2, 1er semestre 2008-9 Université Pierre Mendès Frnce Cours de mcroéconomie suite 4.1 Introduction Nous vons vu dns l prtie introductive que

Plus en détail

Tout ce qu il faut savoir en math

Tout ce qu il faut savoir en math Tout ce qu il fut svoir en mth 1 Pourcentge Prendre un pourcentge t % d un quntité : t Clculer le pourcentge d une quntité pr rpport à une quntité b : Le coefficient multiplicteur CM pour une ugmenttion

Plus en détail

Licence M.A.S.S. Cours d Analyse S4

Licence M.A.S.S. Cours d Analyse S4 Université Pris I, Pnthéon - Sorbonne Licence MASS Cours d Anlyse S4 Jen-Mrc Brdet (Université Pris 1, SAMM) UFR 27 et Equipe SAMM (Sttistique, Anlyse et Modélistion Multidisiplinire) Université Pnthéon-Sorbonne,

Plus en détail

Turbine hydraulique Girard simplifiée pour faibles et très faibles puissances

Turbine hydraulique Girard simplifiée pour faibles et très faibles puissances Turbine hydrulique Girrd simplifiée pour fibles et très fibles puissnces Prof. Ing. Zoltàn Hosszuréty, DrSc. Professeur à l'université technique de Kosice Les sites hydruliques disposnt de fibles débits

Plus en détail

Thèse Présentée Pour obtenir le diplôme de doctorat en sciences En génie civil Option : structure

Thèse Présentée Pour obtenir le diplôme de doctorat en sciences En génie civil Option : structure République Algérienne Démocrtique et Populire Ministère de l enseignement supérieur et de l recherche scientifique Université Mentouri de Constntine Fculté des sciences et sciences de l ingénieur Déprtement

Plus en détail

Le vademecum de l apprentissage dans la fonction publique territoriale SERVICES À LA PERSONNE

Le vademecum de l apprentissage dans la fonction publique territoriale SERVICES À LA PERSONNE Le vdemecum de l pprentissge dns l fonction publique territorile SERVICES À LA PERSONNE 1 REMERCIEMENTS Nous tenons à remercier pour leur disponibilité et l richesse de nos échnges toutes les personnes

Plus en détail

Meg Gawler Bréhima Béridogo. Mars 2002

Meg Gawler Bréhima Béridogo. Mars 2002 EVALUATION FINALE PROJET D APPUI A LA GESTION DES ZONES HUMIDES DANS LE DELTA INTERIEUR DU FLEUVE NIGER RAPPORT FINAL Meg Gwler Bréhim Béridogo ARTEMIS Services pour l conservtion de l nture et le développement

Plus en détail

LICENCE DE MATHÉMATIQUES DEUXIÈME ANNÉE. Unité d enseignement LCMA 4U11 ANALYSE 3. Françoise GEANDIER

LICENCE DE MATHÉMATIQUES DEUXIÈME ANNÉE. Unité d enseignement LCMA 4U11 ANALYSE 3. Françoise GEANDIER LICENCE DE MATHÉMATIQUES DEUXIÈME ANNÉE Unité d enseignement LCMA 4U ANALYSE 3 Frnçoise GEANDIER Université Henri Poincré Nncy I Déprtement de Mthémtiques . Tble des mtières I Séries numériques. Séries

Plus en détail

ManSafe. pour les Utilitiés. La Protection antichute pour les Industries de l'energie. Français. TowerLatch LadderLatch

ManSafe. pour les Utilitiés. La Protection antichute pour les Industries de l'energie. Français. TowerLatch LadderLatch MnSfe pour les Utilitiés L Protection ntichute pour les Industries de l'energie Frnçis TowerLtch LdderLtch Les questions de protection nti-chute Les chutes de huteur sont l cuse de mortlité l plus importnte

Plus en détail

Algorithmes sur les mots (séquences)

Algorithmes sur les mots (séquences) Introduction Algorithmes sur les mots (séquences) Algorithmes sur les mots (textes, séquences, chines de crctères) Nomreuses pplictions : ses de données iliogrphiques ioinformtique (séquences de iomolécules)

Plus en détail

L EUROPE ET L EAU. «Quelle idée d appeler cette planète Terre alors qu elle est clairement océan». Arthur C. Clarke.

L EUROPE ET L EAU. «Quelle idée d appeler cette planète Terre alors qu elle est clairement océan». Arthur C. Clarke. L EUROPE ET L EAU L eu est indispensble à l vie. Elle soutient nos écosystèmes et régule le climt. Agriculture, limenttion, énergie, trnsports : l eu est u cœur de notre existence. Cependnt, elle est inéglement

Plus en détail

Transfert. Logistique. Stockage. Archivage

Transfert. Logistique. Stockage. Archivage Trnsfert Logistique Stockge Archivge Trnsfert, logistique, stockge Pour fire fce ux nouveux enjeux, il est importnt de pouvoir compter sur l'expertise d'un spéciliste impliqué à vos côtés, en toute confince.

Plus en détail

FIG. 1 Module de stockage en position horizontale ; positionnement des jauges de déformation.

FIG. 1 Module de stockage en position horizontale ; positionnement des jauges de déformation. Anlyse thermo-mécnique dun prototype de stockge hybride (solide-gzeux) dhydrogène D. CHAPELLE, O. GILLIA b, M. FELDIC. Institut FEMTO ST, UMR 6174, Déprt. Mécnique Appliquée, 24 rue de l Epitphe, 25000

Plus en détail

Directives COV et alternative lipochimique : peintures, encres, nettoyage, dégraissage...

Directives COV et alternative lipochimique : peintures, encres, nettoyage, dégraissage... Directives COV et lterntive lipochimique : peintures, encres, nettoyge, dégrissge... Alin LEMOR Recherche & Développement, Novnce, BP 20609, Venette, 60206 Compiègne Cedex, Frnce, Fx. +33 (0)3 44 90 70

Plus en détail

SYSTEME DE TELEPHONIE

SYSTEME DE TELEPHONIE YTEME DE TELEPHOIE LE OUVEUTE PTIE MOITEU COULEU Le système de téléphonie comporte un moniteur vec un écrn couleurs de intégré u téléphone. Cette prtie est disponile en lnc, nthrcite et Tech. TLE DE MTIEE

Plus en détail

MINIMUM DE DONNÉES STANDARDISÉES (MDS) POUR L ÉVALUATION DU RÉSIDANT EN INSTITUTION EN VUE D UN PLAN DE SOINS

MINIMUM DE DONNÉES STANDARDISÉES (MDS) POUR L ÉVALUATION DU RÉSIDANT EN INSTITUTION EN VUE D UN PLAN DE SOINS MINIMUM DE DONNÉES STANDARDISÉES (MDS) POUR L ÉVALUATION DU RÉSIDANT EN INSTITUTION EN VUE D UN PLAN DE SOINS ÉTAT DURANT LES SEPT DERNIERS JOURS (SAUF AUTRE INDICATION) 1/9 SECTION A IDENTIFICATION ET

Plus en détail

Notes de révision : Automates et langages

Notes de révision : Automates et langages Préprtion à l grégtion de mthémtiques 2011 2012 Notes de révision : Automtes et lngges Benjmin MONMEGE et Sylvin SCHMITZ LSV, ENS Cchn & CNRS Version du 24 octore 2011 (r66m) CC Cretive Commons y-nc-s

Plus en détail

Université Paris-Dauphine DUMI2E. UFR Mathématiques de la décision. Notes de cours. Analyse 2. Filippo SANTAMBROGIO

Université Paris-Dauphine DUMI2E. UFR Mathématiques de la décision. Notes de cours. Analyse 2. Filippo SANTAMBROGIO Université Pris-Duphine DUMI2E UFR Mthémtiques de l décision Notes de cours Anlyse 2 Filippo SANTAMBROGIO Année 2008 2 Tble des mtières 1 Optimistion de fonctions continues et dérivbles 5 1.1 Continuité........................................

Plus en détail

Avant d utiliser l appareil, lisez ce Guide de référence rapide pour connaître la procédure de configuration et d installation.

Avant d utiliser l appareil, lisez ce Guide de référence rapide pour connaître la procédure de configuration et d installation. Guide de référence rpide Commencer Avnt d utiliser l ppreil, lisez ce Guide de référence rpide pour connître l procédure de configurtion et d instlltion. NE rccordez PAS le câle d interfce mintennt. 1

Plus en détail

3 -Les traumatismes du membre inféri e u r

3 -Les traumatismes du membre inféri e u r 3 -Les trumtismes du memre inféri e u r C. Cytevl*, A. Cotten*, M-P.Srrère*, N. Tixedor* Le memre inférieur pour mission de supporter le poids du corps et de permettre de se m o i l i s e r; toute irrégulrité

Plus en détail

Introduction à la modélisation et à la vérication p. 1/8

Introduction à la modélisation et à la vérication p. 1/8 Introduction à l modélistion et à l vériction Appliction ux systèmes temporisés Ptrici Bouyer LSV CNRS & ENS de Cchn Introduction à l modélistion et à l vériction p. 1/8 Modélistion & Vériction Introduction

Plus en détail

Electrovanne double Dimension nominale Rp 3/8 - Rp 2 DMV-D/11 DMV-DLE/11

Electrovanne double Dimension nominale Rp 3/8 - Rp 2 DMV-D/11 DMV-DLE/11 Electrovnne double Dimension nominle 3/8 - DMV-D/11 DMV-DLE/11 7.30 M Edition 11.13 Nr. 223 926 1 6 Technique L électrovnne double DUNGS DMV intère deux électrovnnes dns un même bloc compct : - vnnes d

Plus en détail

LITE-FLOOR. Dalles de sol et marches d escalier. Information technique

LITE-FLOOR. Dalles de sol et marches d escalier. Information technique LITE-FLOOR Dlles de sol et mrches d esclier Informtion technique Recommndtions pour le clcul et l pose de LITE-FLOOR Générlités Cette rochure reprend les règles de se à respecter pour grntir l rélistion

Plus en détail

Commencer DCP-7055W / DCP-7057W /

Commencer DCP-7055W / DCP-7057W / Guide d instlltion rpide Commencer DCP-7055W / DCP-7057W / DCP-7070DW Veuillez lire ttentivement le livret Sécurité et réglementtion vnt d'effectuer les réglges de votre ppreil. Consultez ensuite le Guide

Plus en détail

Baccalauréat S Asie 19 juin 2014 Corrigé

Baccalauréat S Asie 19 juin 2014 Corrigé Bcclurét S Asie 9 jui 24 Corrigé A. P. M. E. P. Exercice Commu à tous les cdidts 4 poits Questio - c. O peut élimier rpidemet les réposes. et d. cr les vecteurs directeurs des droites proposées e sot ps

Plus en détail

Inventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE)

Inventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE) Inventaire Symptomatique de la Dépression et du Trouble Affectif Saisonnier Auto-évaluation (IDTAS-AE) Ce questionnaire vous aidera à juger si vous devez consulter un clinicien pour votre dépression, si

Plus en détail

essais dossier Oser s équi Prothèses auditives

essais dossier Oser s équi Prothèses auditives essis dossier u LES AUDIOPROTHÉSISTES AU BANC D ESSAI p. 46 u UN APPAREIL ADAPTÉ À VOS BESOINS p. 50 u FAIRE BAISSER LA FACTURE? PAS SI SIMPLE p. 52 Prothèses uditives Oser s équi AUDIOPROTHÉSISTES Fe

Plus en détail

Laurier Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke Titulaire de la Chaire de recherche de la Commission Scolaire de la Région de Sherbrooke.

Laurier Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke Titulaire de la Chaire de recherche de la Commission Scolaire de la Région de Sherbrooke. Engagement scolaire et persévérance rance au secondaire : Modèle théorique, types, évaluation et intervention Laurier Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke Titulaire de la Chaire de recherche

Plus en détail

INSTALLATION DE DETECTION INCENDIE

INSTALLATION DE DETECTION INCENDIE reglement > > instlltion E ETECTON NCENE NSTALLATON E ETECTON NCENE Une instlltion de détection incendie pour objectif de déceler et signler, le plus tôt possible, d une mnière fible, l nissnce d un incendie,

Plus en détail

Développement de l imagerie RMN par agents CEST : application à un modèle rongeur de tumeur cérébrale

Développement de l imagerie RMN par agents CEST : application à un modèle rongeur de tumeur cérébrale Développement de l imgerie RMN pr gents CEST : ppliction à un modèle rongeur de tumeur cérérle Julien Flment To cite this version: Julien Flment. Développement de l imgerie RMN pr gents CEST : ppliction

Plus en détail

Théorème de Poincaré - Formule de Green-Riemann

Théorème de Poincaré - Formule de Green-Riemann Chpitre 11 Théorème de Poincré - Formule de Green-Riemnn Ce chpitre s inscrit dns l continuité du précédent. On vu à l proposition 1.16 que les formes différentielles sont bien plus grébles à mnipuler

Plus en détail

Titrages acidobasiques de mélanges contenant une espèce forte et une espèce faible : successifs ou simultanés?

Titrages acidobasiques de mélanges contenant une espèce forte et une espèce faible : successifs ou simultanés? Titrgs cidobsiqus d mélngs contnnt un spèc fort t un spèc fibl : succssifs ou simultnés? Introduction. L'étud d titrgs cidobsiqus d mélngs d dux ou plusiurs cids (ou bss) st un xrcic cournt [-]. Ls solutions

Plus en détail

Theorie des mrches Dns ce chpitre, on etudie l'interction de l'ore et de l demnde sur un mrche d'un bien donne. On etudier, en prticulier, l'equilibre du mrche. Etnt donne qu'on s'interesse uniquement

Plus en détail

Clients légers IGEL et bureaux virtuels : synergie idéale et coût minimal

Clients légers IGEL et bureaux virtuels : synergie idéale et coût minimal Clients légers IGEL et bureux virtuels : synergie idéle et coût miniml Infrstructure de bureux virtuels vec clients légers IGEL Universl Desktop : Une plus grnde liberté de conception pour vos postes de

Plus en détail

Cours d Analyse IV Suites et Séries de fonctions

Cours d Analyse IV Suites et Séries de fonctions Université Clude Bernrd, Lyon I Licence Sciences, Technologies & Snté 43, boulevrd 11 novembre 1918 Spécilité Mthémtiques 69622 Villeurbnne cedex, Frnce L. Pujo-Menjouet pujo@mth.univ-lyon1.fr Cours d

Plus en détail

Bilan pédagogique / Projet ipad Contexte

Bilan pédagogique / Projet ipad Contexte t e j n r i t P t n e m i r é d p x d e es ip e d s s l c en gie. l chn, p s e g iss rent p p es ur l s é r cent t e j n pr Bil g g éd n p l2 vri, e iqu U d ps égrtin m t L sch en in tin duc en De gique

Plus en détail

Régression multiple : principes et exemples d application. Dominique Laffly UMR 5 603 CNRS Université de Pau et des Pays de l Adour Octobre 2006

Régression multiple : principes et exemples d application. Dominique Laffly UMR 5 603 CNRS Université de Pau et des Pays de l Adour Octobre 2006 Régression multiple : principes et eemples d ppliction Dominique Lffly UMR 5 603 CNRS Université de Pu et des Pys de l Adour Octobre 006 Destiné à de futurs thémticiens, notmment géogrphes, le présent

Plus en détail

Magister en : Génie Mécanique

Magister en : Génie Mécanique الجمهورية الجزاي رية الديمقراطية الشعبية République Algérienne Démocrtique et Populire وزارة التعليم العالي و البحث العلمي Ministère de l enseignement supérieur et de l recherche scientifique Université

Plus en détail

INTENTION LES PROCESSUS MATHÉMATIQUES

INTENTION LES PROCESSUS MATHÉMATIQUES INTENTION Adpttios u Cdre commu des progrmmes d études de mthémtiques M-9 telles que reflétées ds le documet Mthémtiques M-9 : Progrmme d études de l Albert (2007) Le coteu du documet Mthémtiques M-9 :

Plus en détail

TRam «Gestion de la Toxicité en zone Ramsar» Toxicity management in Ramsar area

TRam «Gestion de la Toxicité en zone Ramsar» Toxicity management in Ramsar area TRm «Gestion de l Toxicité en zone Rmsr» Toxicity mngement in Rmsr re Progrmme Evlution et réduction des risques liés à l utilistion des Pesticides Rpport finl- Juillet_2014 CIHEAM-IAMM 3191 Route de Mende

Plus en détail

Guide de l'utilisateur

Guide de l'utilisateur Guide de l'utilisteur Symboles Utilisés Dns ce Guide Indictions de sécurité L documenttion et le projecteur utilisent des symboles grphiques qui indiquent comment utiliser l ppreil en toute sécurité. Veillez

Plus en détail

AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION

AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION NOVEMBRE 2014 La Fédération québécoise de l'autisme (FQA) est un regroupement

Plus en détail

SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5

SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 SOMMAIRE I. INTRODUCTION 4 II. SOURCES D INFORMATION 5 2.1. ETUDES REALISEES PAR LES SERVICES DES CAISSES D ASSURANCE MALADIE 5 2.2. ANALYSE DE LA LITTERATURE 5 2.3. ANALYSE DES VENTES 6 2.4. COMPARAISONS

Plus en détail

COURS D ANALYSE. Licence d Informatique, première. Laurent Michel

COURS D ANALYSE. Licence d Informatique, première. Laurent Michel COURS D ANALYSE Licence d Informtique, première nnée Lurent Michel Printemps 2010 2 Tble des mtières 1 Éléments de logique 5 1.1 Fbriquer des énoncés........................ 5 1.1.1 Enoncés élémentires.....................

Plus en détail

La crise suicidaire chez les 12 ans et moins: état des connaissances et impact pour la pratique infirmière

La crise suicidaire chez les 12 ans et moins: état des connaissances et impact pour la pratique infirmière La crise suicidaire chez les 12 ans et moins: état des connaissances et impact pour la pratique infirmière Nathalie Maltais, étudiante au doctorat à l université de Montréal Sous la direction de : Madame

Plus en détail

INSTRUCTIONS POUR L INSTALLATION ET LE FONCTIONNEMENT DES SERRURES À POIGNÉE BÉQUILLE

INSTRUCTIONS POUR L INSTALLATION ET LE FONCTIONNEMENT DES SERRURES À POIGNÉE BÉQUILLE INSTRUCTIONS POUR L INSTALLATION ET LE FONCTIONNEMENT DES SERRURES À POIGNÉE BÉQUILLE POUR LES SERRURES D ENTRÉE À CLÉ EXTÉRIEURES VERROUILLABLES, À POIGNÉE DE BRINKS HOME SECURITY. POUR LES PORTES DE

Plus en détail

CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:

CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail

Plus en détail

dans Supply Chain sortir ERP commencent à de leur carcan prise de décision en temps réel au niveau des ateliers. La nouvelle génération de solutions

dans Supply Chain sortir ERP commencent à de leur carcan prise de décision en temps réel au niveau des ateliers. La nouvelle génération de solutions dvntge informtique Suppl commct Suppl tit sortir s i Ces N dte prution : 27-01/09/2008 Périodicité : Msuel Pge : 56 SupplCh3_27_57_337pdf T : 95 % Site Web : wwwsupplchinmgzinefr Le dns invite Suppl Chin

Plus en détail

Karine Côté, Ph.D. Professeure adjointe

Karine Côté, Ph.D. Professeure adjointe Karine Côté, Ph.D. Professeure adjointe FORMATION 1999-2002 Post-doctorat, Law and Mental Health Program, Centre for Addiction and Mental Health et Université de Toronto. 1999 Ph.D. Psychologie - Recherche

Plus en détail

Déroulement de l épreuve de mathématiques

Déroulement de l épreuve de mathématiques Dérouleet de l épreuve de thétiques MATHÉMATIQUES Extrit de l ote de service 2012-029 du 24 février 2012 (BOEN 13 du 29-3-2012) Durée de l épreuve : 2 heures Nture de l épreuve : écrite pr le socle cou

Plus en détail

SOCIÉTÉ LINNÉENNE DE LYO N FONDEE EN 182 2

SOCIÉTÉ LINNÉENNE DE LYO N FONDEE EN 182 2 39 nnée N 6 Juin 197 0 BULLETIN MENSUE L DE LA SOCIÉTÉ LINNÉENNE DE LYO N FONDEE EN 182 2 RECONNUE D'UTILITE PUBLIQUE PAR DECRET DU 9 AOUT 193 7 des SOCIETES BOTANIQUE DE LYON, D'ANTHROPOLOGIE ET DE BIOLOGIE

Plus en détail

Demande de logement social Article R. 441-2-2 du code de la construction et de l habitation

Demande de logement social Article R. 441-2-2 du code de la construction et de l habitation Ministère chargé du logement Cadre réservé au service Demande de logement social rticle R. 44-2-2 du code de la construction et de l habitation Numéro de dossier : N 4069*0 demande de logement locatif

Plus en détail

Wieland-Werke AG, 89070 Ulm, Allemagne Février 2012

Wieland-Werke AG, 89070 Ulm, Allemagne Février 2012 Wieln-Werke AG, 89070 Ulm, Allemgne Février 2012 Conitions générles e livrison 1. Conitions ontrtuelles, roit pplile Nous livrons et fournissons es presttions onformément à notre onfirmtion e ommne érite

Plus en détail

Casino : LES JEUX SONT FAITS! P. 6 & 7. > Page 4. > Pages 3

Casino : LES JEUX SONT FAITS! P. 6 & 7. > Page 4. > Pages 3 MERS-Les-Bins Mer et lumières JOURNAL MUNICIPAL - PRINTEMPS 2012 - N 40 S T A T I O N B A L N É A I R E E T D E T O U R I S M E S TA T I ON V ER TE D E VA C A NCE S Urbi &Orbi Architecture Csino : LES

Plus en détail

L aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009

L aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009 L aide aux aidants Aude Comberieu Psychologue clinicienne Hôpital Émile Roux Capacité de gériatrie mars 2009 Définition L aidant naturel L aidant non professionnel L aidant familial «L aidant familial

Plus en détail

Demande de logement social

Demande de logement social Ministère chargé du logement Cadre réservé au service Demande de logement social rticle R. 44-2-2 du code de la construction et de l habitation Numéro de dossier : N 4069*0 vez-vous déjà déposé une demande

Plus en détail