Caractéristiques cliniques des jeunes déprimés en pédopsychiatrie
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- Gauthier Bossé
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1 Article DE recherche.. Crctéristiques cliniques des jeunes déprimés en pédopsychitrie Jen-Jcques Breton MD, MSc 1,2,4 ; Rél Lbelle PhD 1,3,4 ; Christophe Huynh MSc, PhD(cnd.) 1,4 ; Clude Berthiume MSc 1 ; Mrie St-Georges MPs 1 ; Jen-Mrc Guilé MD, MSc 1,4 Résumé Objectif: Décrire le profil clinique de jeunes déprimés selon le groupe d âge et le sexe. Méthodologie: L étude été rélisée à l ide d une grille d nlyse sur 75 dossiers de jeunes de 6-17 ns enregistrés en pédopsychitrie en et présentnt un dignostic de trouble dépressif. Des sttistiques descriptives et des tests d ssocition pour comprer les grçons 6-11 ns, les grçons et les filles ont été complétés. Résultts: Un jeune sur deux à l dolescence doublé une nnée scolire. Près de 60% des grçons de 6-11 ns déprimés sont dirigés en pédopsychitrie pour des difficultés comportementles et 71% des grçons de ce groupe d âge présentent un trouble dépressif en comorbidité vec un trouble du comportement perturbteur. Les filles et grçons à l dolescence présentent en plus grnde proportion une symptomtologie intériorisée. Les idées suicidires sont cependnt ussi présentes chez les enfnts (71%) que chez les dolescents (72%) et les dolescentes (85%). Les problèmes prent-enfnt se retrouvent chez l mjorité des jeunes, prticulièrement chez les dolescentes. Conclusion: Il est tout ussi importnt d évluer l dépression et l idétion suicidire chez les jeunes grçons vec troubles de comportement que chez les dolescents et les dolescentes et l dimension fmilile est importnte à considérer dns l évlution et le tritement. Mots-clés: troubles dépressifs, idées suicidires, enfnt et dolescent, étude de dossiers Introduction L étude de dossiers constitue un moyen ccessible et peu coûteux pour obtenir de l informtion sur le profil clinique des enfnts et dolescents pris en chrge en pédopsychitrie. De telles études permettent d juster les modlités d évlution et de tritement en fonction des crctéristiques cliniques des jeunes et de leurs fmilles. L nlyse des données permet églement de générer des hypothèses de recherche (Gering, Min, Brber, & Ickowicz., 2006). Un exmen des études récentes sur les popultions cliniques indique que les jeunes sont dirigés en pédopsychitrie pour hyperctivité (18%), distrctibilité (17,5%) et échec scolire (15,7%) (Ars, Vrol Ts, & Unlu, 2007). Les dignostics les plus fréquemment posés sont les troubles d dpttion (17,5%), les troubles du comportement perturbteur (12,7%), les troubles nxieux (8,8-12,8%), les troubles de l humeur (8,0-8,8%) et le trouble déficitire de l ttention vec hyperctivité (7,2%) (Ars et l., 2007; Den, McDermott, & Mrshll, 2006). L idétion suicidire et l tenttive de suicide sont rpportées chez respectivement 12% et 10% des jeunes (Den et l., 2006). Un ptient sur qutre est médicmenté et l phrmcothérpie est ssociée à une durée de tritement plus longue, les ptients sous médiction ynt un suivi de 32,3 ± 23,0 semines en comprison de 11,4±16,9 semines pour les utres (Den et l., 2006). Ces études descriptives, comme plusieurs utres u cours des dernières décennies, couvrent l ensemble des jeunes pris en chrge dns un service de pédopsychitrie. D utres recherches ciblent les conduites suicidires (Jy, Grhm, & Flowers, 1989; Milling, Gyure, Dvenport, & Bir, 1991), l utomutiltion (Jcobson, Muehlenkmp, Miller, Breton et l 1 Service de recherche, Hôpitl Rivière-des-Priries et Centre de recherche Fernnd-Seguin, Montrél, Québec 2 Groupe McGill d études sur le suicide, Université McGill, Montrél, Québec 3 Centre de recherche et d intervention sur le suicide et l euthnsie, Université du Québec à Montrél, Montrél, Québec 4 Déprtement de psychitrie, Fculté de médecine, Université de Montrél, Montrél, Québec Auteur correspondnt: jj.breton.hrdp@ssss.gouv.qc.c soumis: 13 février 2011; ccepté: 27 mi J Cn Acd Child Adolesc Psychitry, 21:1, Februry 2012
2 Crctéristiques cliniques des jeunes déprimés en pédopsychitrie & Truner, 2008), l bndon du tritement (Ottino, 1995) ou l utilistion de ctégories de psychotropes comme les ntidépresseurs (Wilens et l., 2003), les thymorégulteurs (DelBello et l., 2002) ou les ntipsychotiques (Mrchnd, Wirth, & Simon, 2004). En termes de symptomtologie dépressive, une étude en clinique externe indique que les grçons présentent plus souvent des difficultés de concentrtion et utres symptômes cognitifs, tndis que les filles tendent à voir une plus fible estime de soi (Fu & Wng, 2008). Une étude sur le devenir des enfnts et dolescents hospitlisés pour un trouble dépressif mjeur un à cinq ns plus trd révèle une rémission complète de l épisode dépressif initil à l intérieur d un n pour 98% de ces jeunes. Cependnt 61% des jeunes présentient un nouvel épisode dépressif u cours de l période de suivi, dont 47% lors de l première nnée (Emslie et l., 1997). Dns une étude sur l utomutiltion chez les dolescents à prtir des dossiers de clinique externe, les dignostics les plus fréquents étient le trouble dépressif mjeur (52%) et les troubles nxieux (36%), indépendmment de l présence d utomutiltion. Un dolescent sur cinq présentit un trouble de personnlité limite (Jcobson et l., 2008). Au totl, on retrouve peu d études descriptives sur les popultions cliniques de jeunes présentnt des troubles dépressifs lors que cette ctégorie de troubles mentux est l plus ssociée ux conduites suicidires des enfnts et dolescents et que de 15 à 20% des dolescents dns l popultion générle présentent un trouble dépressif. L étude proposée vise insi à décrire les crctéristiques cliniques de jeunes déprimés pris en chrge en pédopsychitrie selon le groupe d âge et le sexe et à présenter les implictions cliniques des résultts. Méthodologie L étude rétrospective de dossiers été complétée u Progrmme de pédopsychitrie de l Hôpitl Rivière-des-Priries, un centre de soins pédopsychitriques ffilié à l Université de Montrél. Au cours de l nnée , 450 enfnts et dolescents ont été enregistrés dont 81 (18%) présentient un dignostic clinique de trouble dépressif posé pr un pédopsychitre à prtir de toute l informtion disponible u dossier (best estimte). Deux enfnts d âge préscolire ont été exclus de l étude pour un totl de 79 dossiers retenus. L ccord du Directeur des services professionnels été obtenu pour que chercheurs et ssistntes de recherche ient ccès u contenu des dossiers. Une grille d nlyse de dossier s inspirnt d études ntérieures u Service de recherche de l Hôpitl Rivière-des- Priries été rélisée pr les deux premiers uteurs. Ils ont coté les items de cette grille en révisnt ensemble le contenu de dix dossiers u Service des rchives puis l grille d nlyse été complétée séprément pr chque ssistnte de recherche pour dix utres dossiers fin d ssurer une compréhension semblble des items. Au terme de rencontres entre les deux ssistntes et les chercheurs, une version définitive de l grille été produite. Les items ont été regroupés en sept ctégories soit les crctéristiques sociodémogrphiques, l demnde de services, les événements de vie, les symptômes, les dignostics selon les cinq xes du DSM-IV, les types de tritement et les risons de fermeture du dossier. L collecte des données été rélisée de juillet à novembre Dns un premier temps, les données ont été nlysées selon le sexe en regroupnt les deux groupes d âge. L interpréttion s est révélée certes informtive sur l influence de l vrible sexe (révélnt pr exemple que les grçons de 6-17 ns présentient plus de troubles dépressifs en comorbité vec des troubles du comportement perturbteur que les filles de 6-17 ns) mis elle ne permettit ps d pprécier l impct des groupes d âge sur les crctéristiques cliniques (Breton et l., 2005). Dns un deuxième temps, d utres nlyses ont été rélisées sur trois groupes formés des grçons 6-11 ns et de insi que des filles. Le groupe des filles 6-11 ns n pu être retenu cr il ne comprenit que qutre sujets. Les données ont été nlysées à l ide du logiciel SPSS. Des tests d ssocition ont été effectués fin de comprer les groupes. Le seuil de significtion été fixé à 0,05. En rison du crctère explortoire de l étude et du nombre restreint de sujets, ucune correction n été ppliquée pour l multiplicité des tests. Ces corrections deviennent rpidement trop conservtrices lorsque le nombre de tests est élevé et que les différentes mesures à l origine des tests sttistiques sont fortement corrélées. Résultts Les jeunes vivent dns des proportions semblbles en fmille biprentle et en fmille monoprentle et 24% font prtie d une fmille reconstituée. Un jeune sur qutre est d une origine ethnique utre que québécoise de souche. Près d un jeune sur deux à l dolescence doublé une nnée scolire et l différence de proportion entre les trois groupes formés des grçons 6-11 ns, des grçons de ns et des filles de est significtive (p=0,010; χ 2 =9,15; dl=2). Les trois groupes diffèrent significtivement pour les motifs de consulttion (p=0,017; χ 2 =18,63; dl=8). En effet, les difficultés comportementles constituent le motif de consulttion pour une plus grnde proportion de grçons 6-11 ns (59%) en comprison des deux groupes dolescents (32% pour les grçons et 9% pour les filles). À l opposé, les dolescentes consultent dns une proportion plus élevée pour des mnifesttions de dépression (p=0,002; χ 2 =16,44; dl=4). L nlyse des événements de vie révèle une différence significtive entre les trois groupes pour les disputes prentles (p=0,036; χ 2 =6,65; dl=2), retrouvées en proportion plus élevée chez les grçons que les filles (grçons 6-11 ns vs. filles: p=0,020; χ 2 =5,45; dl=1; grçons vs. filles: p=0,049; χ 2 =3,87; dl=1), et l rrivée/déprt d un J Cn Acd Child Adolesc Psychitry, 21:1, Februry
3 Breton et l Tbleu 1. Données sociodémogrphiques 6-11 ns (n=17) (n=25) (n=33) 6-17 ns (n=75) Structure fmilile Biprentle 5 (29%) 11 (44%) 13 (39%) 29 (39%) Monoprentle 8 (47%) 5 (20%) 15 (46%) 28 (37%) Reconstituée 4 (24%) 9 (36%) 5 (15%) 18 (24%) Origine ethnique Québécois 13 (77%) 16 (64%) 28 (85%) 57 (76%) Autres (Amérique centrle et du Sud, Europe, Asie) 4 (24%) 9 (36%) 5 (15%) 18 (24%) Scolrité nnée doublée * Oui 2 (12%) 13 (59%) 13 (45%) 28 (41%) * Ces données ne sont ps disponibles pour trois grçons âgés de 12 à 17 ns et qutre filles de 12 à 17 ns. p 0,01. Tbleu 2. Demnde de services 6-11 ns (n=17) (n=25) (n=33) 6-17 ns (n=75) Source de référence type de service Centre hospitlier 4 (24%) 9 (36%) 20 (61%) 33 (44%) Clinique médicle 6 (35%) 5 (20%) 4 (12%) 15 (20%) CLSC 3 (18%) 6 (24%) 4 (12%) 13 (17%) Centre jeunesse 1 (6%) 4 (16%) 3 (9%) 8 (11%) École 3 (18%) 1 (4%) 2 (6%) 6 (8%) Motifs de consulttion Mnifesttions de dépression vec conduites suicidires 3 (18%) 7 (28%) 15 (46%) 25 (33%) Difficultés comportementles 10 (59%) 8 (32%) 3 (9%) 21 (28%) Mnifesttions de dépression 1 (6%) 5 (20%) 8 (24%) 14 (19%) Inquiétudes et nervosité 2 (12%) 4 (16%) 2 (6%) 8 (11%) Mnifesttions de dépression vec difficultés comportementles 1 (6%) 1 (4%) 5 (15%) 7 (9%) p 0,05 conjoint (p=0,043; χ 2 =6,31; dl=2) retrouvée en proportion plus élevée chez les jeunes grçons que les dolescentes (p=0,012; χ 2 =6,27; dl=1). Au sujet de l symptomtologie, un trouble reltionnel prent-enfnt est rpporté pour 80% des jeunes, l différence étnt significtive entre les trois groupes (p=0,011; χ 2 =9,02; dl=2), un trouble reltionnel étnt rpporté en plus grnde proportion chez les dolescentes que chez les grçons de 6-11 ns (p=0,002; χ 2 =9,37; dl=1). L proportion de sujets ynt des idées suicidires est ussi élevée chez les jeunes grçons (71%) que dns les deux groupes dolescents (72% et 85%). Il existe une différence significtive entre les trois groupes pour l demnde d ttention (p=0,014; χ 2 =8,56; dl=2), l proportion étnt plus élevée chez les jeunes grçons que chez les plus âgés (p=0,047; χ 2 =3,95; dl=1) et chez les jeunes grçons en comprison des dolescentes (p=0,003; χ 2 =8,56; dl=1). Des 18 différences significtives sont observées pour l tristesse entre les groupes (p=0,043; χ 2 =6,27; dl=2), l proportion étnt significtivement plus élevée chez les dolescentes que chez les jeunes grçons (p=0,007; χ 2 =7,22; dl=1). Il existe églement une différence significtive entre les groupes pour l perte d intérêt (p<0,001; χ 2 =21,36; dl=2), l proportion étnt significtivement moins élevée chez les jeunes grçons que chez les dolescents (p=0,013; χ 2 =6,18; dl=1) et les dolescentes (p<0,001; χ 2 =21,51; dl=1). Au totl, 63% des jeunes rpportent un trouble du sommeil, les proportions étnt semblbles d un groupe à l utre. L nlyse des dignostics révèle des différences significtives à l xe I entre les trois groupes (p=0,002; χ 2 =16,81; dl=4). Les jeunes grçons présentent dns une proportion plus grnde un trouble dépressif en comorbidité vec des troubles du comportement perturbteur que les dolescents J Cn Acd Child Adolesc Psychitry, 21:1, Februry 2012
4 Crctéristiques cliniques des jeunes déprimés en pédopsychitrie Tbleu 3. Événements de vie et symptômes les plus fréquents 6-11 ns (n=17) (n=25) (n=33) 6-17 ns (n=75) Événements de vie Séprtion ou divorce des prents 13 (77%) 14 (56%) 18 (55%) 45 (60%) Nissnce d un utre enfnt 11 (65%) 17 (68%) 17 (52%) 45 (60%) Mésentente et/ou violence conjugle 12 (71%) 14 (56%) 12 (36%) 38 (51%) Disputes prentles 11 (65%) 14 (56%) 10 (30%) 35 (47%) Arrivée d un nouveu conjoint ou Conjoint quitte le foyer 12 (71%) 11 (44%) 11 (33%) 34 (45%) Symptomtologie Trouble reltion prent-enfnt 10 (59 %) 19 (76%) 31 (94%) 60 (80%) Triste 10 (59%) 18 (72%) 30 (91%) 58 (77%) Idées suicidires 12 (71%) 18 (72%) 28 (85%) 58 (77%) Anxiété 14 (82%) 16 (64%) 25 (76%) 55 (73%) Difficulté à se concentrer 14 (82%) 19 (76%) 17 (52%) 50 (67%) Difficulté de rendement scolire 14 (82%) 19 (76%) 15 (46%) 48 (64%) Difficulté à dormir 10 (59%) 15 (60%) 22 (67%) 47 (63%) Fible estime de soi 9 (53%) 18 (72%) 19 (58%) 46 (61%) Demnde d ttention 15 (88%) 15 (60%) 15 (46%) 45 (60%) Perte d intérêt b 3 (18%) 14 (56%) 28 (85%) 45 (60%) Ne réussit ps selon son potentiel à l école 12 (71%) 15 (60%) 17 (52%) 44 (59%) Opposition, srcstique, hostilité 12 (71%) 15 (60%) 15 (46%) 42 (56%) Accès de colère 10 (59%) 17 (68%) 14 (42%) 41 (55%) Se sent dévlorisé 5 (29%) 14 (56%) 20 (61%) 39 (52%) Difficile à contrôler 11 (65%) 17 (68%) 11 (33%) 39 (52%) p 0,05 b p 0,01 et les dolescentes; cette différence se situe plus précisément entre les jeunes grçons et les dolescentes (p<0,001; χ 2 =16,78; dl=2). À l xe 4, les difficultés fmililes rpportées pr 68% des jeunes constituent l principle source de problèmes psycho-sociux. L nlyse selon les tritements montre une différence significtive entre les trois groupes pour ce qui est du type de médicment, les ntidépresseurs n étnt ps utilisés chez les jeunes grçons (p=0,006; χ 2 =17,91; dl=6). L nlyse des risons de l fermeture du dossier montre une différence significtive entre les trois groupes (p=0,037; χ 2 =10,21; dl=4), le mnque de motivtion se retrouvnt dns une proportion significtivement moins élevée chez les jeunes grçons que chez les dolescents (p=0,039; χ 2 =6,51; dl=2) et les dolescentes (p=0,008; χ 2 =9,75; dl=2). Discussion Cette étude, comme toutes les études de dossiers cliniques, comporte des limites. Les informtions colligées lors des différentes étpes de l constitution du dossier peuvent être incomplètes et des erreurs peuvent survenir lors de l codifiction des données pr les ssistntes de recherche. De plus, cette étude est complétée dns un contexte prticulier de soins. Enfin, l bsence d un groupe composé de filles 6-11 ns ne permet ps de crctériser ce sous-groupe d âge. L échec scolire touche un jeune sur deux à l dolescence, ce qui peut contribuer à l étt dépressif et suggère que l prise en compte du fonctionnement cognitif de ces jeunes serit pertinente pour l définition du pln d intervention. Le trouble reltionnel prents-enfnt se retrouve en proportion élevée chez les jeunes des trois groupes mis prticulièrement chez les dolescentes, Les conflits mère-fille ssociés à des demndes de soumission serient corrélés à une symptomtologie dépressive plus intense (Zhn-Wxler, Shirtcliff, & Mrceu, 2008). L dynmique fmilile se révèle insi une dimension importnte à considérer lors de l évlution et de l intervention psychitrique (Villeneuve, 2006), L dépression chez les grçons de 6-11 ns se vit plus sur un mode comportementl que dns les deux groupes J Cn Acd Child Adolesc Psychitry, 21:1, Februry
5 Breton et l Tbleu 4. Dignostics selon le DSM-IV-TR 6-11 ns 6-17 ns Axe I (n=17) (n=25) (n=33) (n=75) Trouble dépressif mjeur, dysthymie 2 (12%) 10 (40%) 21 (64%) 33 (44%) Trouble dépressif vec TDAH/TOP/ 12 (71%) 10 (40%) 5 (15%) 27 (36%) Trouble des conduites Trouble dépressif vec trouble nxieux 3 (18 %) 5 (20%) 7 (21%) 15 (20%) Axe II (n=15) (n=23) (n=31) (n=69) Retrd mentl ou fonctionnement intellectuel limité 2 (13%) 1 (4%) 2 (7%) 5 (7%) Trits de personnlité 1 (7%) 4 (17%) 1 (3%) 6 (9%) Aucun 12 (80%) 18 (78%) 28 (90%) 58 (84%) Axe III (n=17) (n=23) (n=33) (n=73) Présence 5 (29%) 6 (26%) 7 (21%) 18 (25%) Axe IV (n=17) (n=25) (n=33) (n=75) Difficultés fmililes 12 (71%) 17 (68%) 22 (67%) 51(68%) Difficultés scolires 4 (24%) 1 (4%) 3 (9%) 8 (11%) Autres difficultés 0 (0%) 4 (16%) 1 (3%) 5 (7%) Aucun 1 (6%) 3 (12%) 7 (21%) 11 (15%) Axe V (n=16) (n=23) (n=33) (n=72) Léger (61-100) 5 (31%) 5 (22%) 10 (30%) 20 (28%) Moyen et élevé (0-60) 11 (69%) 18 (78%) 23 (70%) 52 (72%) p 0,01 Tbleu 5. Types de tritement et risons de fermeture 6-11 ns 6-17 ns Types de tritement Psychothérpie (n=16) (n=23) (n=27) (n=66) 13 (81%) 13 (57%) 20 (74%) 46 (70%) Intervention uprès des prents ou de (n=16) (n=23) (n=29) (n=68) l fmille 9 (56%) 9 (39%) 9 (31%) 27 (40%) Thérpie médicmenteuse de l enfnt (n=16) (n=23) (n=30) (n=69) Présence d une prescription 10 (63%) 18 (78%) 22 (73%) 50 (73%) Type de médiction Antidépresseurs ou 0 (0%) 5 (22%) 15 (50%) 20 (29%) thymorégulteurs seuls Antidépresseurs en ssocition 6 (38%) 6 (26%) 6 (20%) 18 (26%) Autres 4 (25%) 7 (30%) 1 (3%) 12 (17%) Hospitlistion (24 heures ou de jour) (n=16) (n=24) (n=30) (n=70) 2 (13%) 6 (25%) 8 (27%) 16 (23%) Risons de fermeture b (n=7) (n=10) (n=18) (n=35) Améliortion 5 (71%) 3 (30%) 3 (17%) 11 (31%) Mnque de motivtion 0 (0%) 6 (60%) 12 (67%) 18 (51%) Trnsfert/déméngement 2 (29%) 1 (10%) 3 (17%) 6 (17%) p 0,01 b p 0,05 20 J Cn Acd Child Adolesc Psychitry, 21:1, Februry 2012
6 Crctéristiques cliniques des jeunes déprimés en pédopsychitrie dolescents puisque que plus de 50% des jeunes grçons vec un dignostic de trouble dépressif sont référés pour des comportements perturbteurs. Certes, des difficultés comportementles peuvent dissimuler des symptômes dépressifs et il semble bien que l dépression sns problèmes de comportement puisse psser inperçue dns ce groupe d âge. Cette hypothèse pourrit d illeurs expliquer que seulement qutre filles déprimées de 6 à 11 ns se retrouvent dns cette étude, les filles de 6 à 11 ns présentnt dns l popultion générle une prévlence moins élevée de troubles du comportement perturbteur que les grçons de 6 à 11 ns et pr illeurs une prévlence des troubles dépressifs comprble à celle des grçons (Birmher et l., 1996; Breton et l., 1999). Les jeunes grçons demndent églement plus d ttention (88% versus 46-60% pour les groupes dolescents), ce qui peut être ussi compris comme un ppel à l ide, et non uniquement comme un comportement perturbteur. Les idées suicidires sont presque ussi fréquentes chez les enfnts (71%) que chez les dolescents (72%) et dolescentes (84%). Ainsi, l proportion d enfnts déprimés qui ont des idées suicidires en milieu clinique est loin d être mrginle, ce qui suggère l pertinence de dépister l présence d idées suicidires chez les jeunes enfnts dressés en pédopsychitrie. Des symptômes principlement internlisés tels l tristesse (72%), l nxiété (64%), les idées suicidires (72%) se retrouvent tnt chez les dolescents que chez les dolescentes (91%, 76% et 85% respectivement). Les dolescents mnifestent cependnt plus de difficultés scolires que les dolescentes. Les jeunes grçons et les dolescents présentent en proportion plus élevée des difficultés de concentrtion, tout comme dns l étude de Fu & Wng (2008), où les filles cependnt tendent à voir une plus fible estime de soi, ce qui n est ps observé dns cette étude. Les difficultés de sommeil, observés chez 10% des dolescents de l popultion générle, sont rpportées pr une mjorité des jeunes dns l étude, ce qui confirme l importnce d évluer ce symptôme dns le trouble dépressif (Roberts, Roberts, & Xing, 2011) Cinqunte et un pour cent des dolescents dont le dossier été fermé ont bndonné le tritement pr mnque de motivtion. Cette proportion élevée est observée dns d utres études (Ottino, 1995). L dhérence u tritement est fible chez les dolescents suicidires vec des tux d bndon entre 41,3% et 57,7% (Burns, Cortell, & Wgner, 2008). Plusieurs études ont tenté d identifier différents déterminnts pour prédire l bndon du tritement chez les dolescents suicidires vec des résultts vribles (Grnbouln, Roudot-Thorvl, Lemerle, & Alvin, 2001; King, Hovey, Brnd, Wilson, & Ghziuddin, 1997; Ottino, 1995; Picentini et l., 1995; Rotherm-Borus et l., 1999), ce qui pourrit s expliquer en prtie pr l difficulté à définir le concept d bndon. En contreprtie, le mnque de motivtion ne constitue ps le motif de fin de tritement chez les grçons de 6-11 ns dont les dossiers ont été fermés dns notre échntillon en rison d une méliortion. Conclusion Le profil clinique des jeunes déprimés consultnt en pédopsychitrie, tel qu il pprît dns notre étude, confirme que l dépression chez l enfnt prépubère est étroitement liée à des troubles externlisés. Ceci se mnifeste ussi bien pr les motifs de consulttion que pr l symptomtologie observée et les dignostics. L étude indique, pr illeurs, que l idétion suicidire est ussi bien présente chez les grçons de 6-11 ns que chez les dolescents, grçons et filles. Eu égrd u risque suicidire, ce constt ppelle à une grnde vigilnce de l prt des cliniciens. Toute évlution des troubles du comportement perturbteur chez les grçons de 6-11 ns devrit inclure le dépistge d une symptomtologie dépressive. L importnce des dimensions reltionnelle et fmilile contribunt u développement de l dépression dns les trois groupes confirme l pertinence d une pproche systémique dns l évlution et le tritement des jeunes déprimés. Remerciements / Conflits d intérêts Les uteurs remercient Sophie Huneu, B.Sc. et André Mrtin, Ph.D. qui ont gi comme ssistntes de recherche pour l collecte des données. Références Ars, S., Vrol Ts, F., & Unlu, G. (2007). Mediction prescribing prctices in child nd dolescent psychitry outptient clinic. Child: Cre, Helth nd Development, 33(4), Birmher, B., Ryn, N. D., Willimson, D. E., Brent, D. 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