révention L AMIANTE Nouvelles réalités en pratique médicale Quelques faits saillants Le mésothéliome : des données surprenantes

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "révention L AMIANTE Nouvelles réalités en pratique médicale Quelques faits saillants Le mésothéliome : des données surprenantes"

Transcription

1 révention L AMIANTE Nouvelles réalités On pourrait croire que la question des maladies de l amiante est résolue ou à tout le moins bien documentée au Québec. Mais détrompez-vous! Des données inexpliquées et de toutes nouvelles réalités surviennent dans le dossier de l amiante Ce bulletin vous présente des outils pour vous aider à : Suspecter les expositions à l amiante en dehors du secteur des mines. Établir une histoire professionnelle afin de documenter ces situations. Considérer l amiante comme une cause possible du cancer pulmonaire de votre patient qui est un fumeur. Quelques faits saillants Le mésothéliome : des données surprenantes Les grandes revues de littérature sur l amiante relatent que l on retrouve une exposition à l amiante chez environ 80% des cas de mésothéliome. On s attend donc à ce que les cas de mésothéliome d origine professionnelle reconnus comme tels à la CSST représentent une proportion importante des cas diagnostiqués dans la population générale du Québec. Or les cas vus à la CSST ne représentent que 22% des cas de mésothéliome diagnostiqués dans la population. Dans la population générale, les taux de mésothéliome de la plèvre ont augmenté de 5% par année entre 1982 et 1996 chez les Québécois et de 3% par année chez les Québécoises. Comment expliquer cette différence? Les analyses effectuées suggèrent que cette augmentation pourrait être observée encore pendant plusieurs années. Mais bien sur, ce phénomène résulte d une exposition passée. Présentement, le Québec contrôle difficilement l exposition à l amiante dans les secteurs de la construction et de la transformation de l amiante qui génèrent un fort pourcentage des cas de mésothéliome reconnus d origine professionnelle à la CSST. Une surveillance étroite de la situation est nécessaire, car l augmentation de ces cancers pourrait persister plus longtemps que prévu. Il faut aussi bien identifier l exposition à l amiante chez les personnes souffrant de mésothéliome, notamment en tentant de reconnaître, au moyen d une histoire professionnelle poussée, des expositions en dehors du secteur bien connu des mines. L amiantose : des données à explorer Entre 1981 et 1996, 116 Québécois et Québécoises sont décédés d amiantose. Entre 1987 et 1996, personnes ont été hospitalisées au Québec avec un diagnostic principal et secondaire d amiantose. Entre 1988 et 1997, 378 travailleurs québécois ont reçu un diagnostic d amiantose dont l origine professionnelle a été reconnue. Ils proviennent principalement du secteur de la construction et de celui de la rénovation et de l entretien. Entre 1988 et 1996, il y a presque 4 fois plus de Québécois et de Québécoises hospitalisés une première fois avec un diagnostic d amiantose. Encore une fois, quels sont les facteurs qui expliquent une telle disparité? Le cancer du poumon : une maladie professionelle sous-estimée Au Québec, en 1998, environ nouveaux cas de cancer du poumon ont été diagnostiqués chez les hommes. Entre 1988 et 1997, 209 travailleurs québécois ont eu un diagnostic de cancer du poumon relié à l exposition à l amiante et reconnu d origine professionnelle. La majorité de ces travailleurs (62%) ont été exposés à l amiante dans les mines, contrairement aux cas de mésothéliome et d amiantose qui proviennent principalement de la construction et de l entretien. Par conséquent il y a probablement une sous-estimation des cas de cancer du poumon consécutifs à l exposition à l amiante dans d autres secteurs, notamment dans le secteur de la construction et dans celui de la rénovation et de l entretien. Les 209 travailleurs avec un cancer pulmonaire d origine professionnelle ne représentent que 0,3% des cas de cancer du poumon de la population générale du Québec, alors qu ils devraient représenter entre 0,5% et 15% des cas. Comment expliquer cette différence? 1

2 Exposition à l amiante et populations à risque Petit rappel sur l amiante... Il existe deux types principaux d amiante : les serpentines et les amphiboles. Le Québec produit du chrysotile, une serpentine, mais il a importé des amphiboles, ce qui explique que l on en retrouve dans les résidences et les édifices publics construits avant la fin des années 1970 ou encore dans les produits manufacturés par le passé. Le risque de développer un mésothéliome varie selon le type de fibres d amiante : il serait plus élevé suite à l exposition aux amphiboles. Maladies, diagnostic et conduite Les trois principales maladies reliées à l exposition à l amiante sont l amiantose, le mésothéliome et le cancer du poumon. Elles apparaissent habituellement de 20 à 40 ans après la première exposition à l amiante et ces maladies présentent la caractéristique de se développer après une forte exposition à l amiante. Cependant le mésothéliome peut aussi apparaître après une exposition moins importante en termes de durée et d intensité. 1. L amiantose L amiantose est une fibrose interstitielle diffuse du poumon, conséquence d une exposition antérieure à l amiante. Le diagnostic d amiantose repose sur une histoire d exposition antérieure à l amiante ou sur la présence de fibres d amiante dans le tissu pulmonaire ou encore sur la présence de corps amiantosiques en excès par rapport à la population générale. Les symptômes sont principalement de la dyspnée et de la toux. On retrouve fréquemment des râles inspiratoires aux bases et moins souvent du clubbing aux doigts (hippocratisme digital). Les anomalies fonctionnelles peuvent inclure des anomalies des échanges gazeux, un syndrome restrictif et des anomalies obstructives dues à l atteinte des petites voies aériennes. A la radiographie, on retrouve de petites opacités 1/0 (voir la classification du Bureau International du Travail dans la Chronique PPM intitulée : La silicose une maladie pulmonaire du passé? sur le site Internet de la santé publique de Montréal). Une tomographie à haute résolution peut confirmer les images radiologiques de l amiantose et elle peut aussi montrer des changements précoces non vus à la radiographie. 2. Le cancer du poumon Les signes et symptômes de cancer du poumon relié à l exposition à l amiante ne diffèrent pas de ceux du cancer du poumon associé à d autres causes. Les types histologiques ne diffèrent pas plus, ni la localisation anatomique. La présence d amiantose est un indicateur de forte exposition antérieure à l amiante. 3. Le mésothéliome Le mésothéliome de la plèvre se présente souvent par une effusion pleurale, de la dyspnée et de la douleur thoracique. Pour faire le lien entre un mésothéliome et l exposition à l amiante, l un ou l autre des éléments suivants devrait suffire : Le décompte de fibres dans les poumons dépassant le bruit de fond La présence radiologique ou pathologique d amiantose La présence de plaques pleurales La présence d anomalies histologiques comme les corps amiantosiques En l absence de ces éléments, une histoire d exposition à l amiante (professionnelle, domestique ou environnementale) devrait suffire pour attribuer un cas à l exposition. Quoi faire en tant que médecin face à un cas? Documenter l exposition à l amiante par une histoire professionnelle détaillée (voir l Aide-mémoire pour une histoire professionnelle). Donner de l information aux patients qui sont encore exposés à l amiante sur leur propre protection en milieu de travail en les référant aux ressources identifiées à la dernière page. Informer les patients qu ils peuvent contaminer leur famille en ramenant des vêtements et des accessoires contaminés par l amiante à la maison. Soyez à l affût! Un patient avec une amiantose, un mésothéliome ou un cancer du poumon a fort probablement été exposé à l amiante en dehors du secteur bien connu des mines, soit dans le secteur de la construction et dans celui de la rénovation et de l entretien. Penser, en tant que médecin, à rechercher une exposition professionnelle en dehors des mines d amiante! Un patient avec un cancer du poumon et qui fume peut avoir été exposé à un cancérigène pour le poumon durant sa carrière, notamment à l amiante. La cigarette n est peut-être pas la seule responsable du cancer de votre patient. L histoire professionnelle est donc un bon moyen de documenter ces situations. L Aide-mémoire pour une histoire professionnelle peut vous aider à poser les questions appropriées. La prévention est de mise! Les maladies reliées à l exposition à l amiante peuvent être prévenues puisque l exposition peut être évitée ou contrôlée par : - L élimination du risque à la source - Le respect des lois et règlements existants qui visent à protéger les travailleurs exposés - L identification des sources et des lieux d exposition à l amiante - L éducation et l information aux travailleurs, aux employeurs et aux médecins - La sensibilisation de la population générale aux dangers d être exposé à l amiante La surveillance et le suivi des sources et des maladies reliées à l exposition à l amiante deviennent plus que jamais nécessaires. En effet, la société québécoise contrôle difficilement l exposition actuelle à l amiante. Mais de plus, de futures expositions pourraient être générées par la Politique d utilisation accrue et sécuritaire de l amiante chrysotile adoptée par le gouvernement du Québec en juin 2002, si les conditions de protection des travailleurs et de la population n étaient pas respectées. 2

3 AMIANTE Aide-mémoire pour une histoire professionnelle L exposition à l amiante responsable d une amiantose, d un mésothéliome ou d un cancer du poumon remonte en général de 20 à 40 ans dans le passé. Il est important de penser à recueillir de l information sur le travail de votre patient dans les métiers à risque, les milieux à risque ou les activités et opérations à risque actuels et passés. La durée de l exposition à l amiante est aussi importante à documenter puisque la probabilité de développer l une ou l autre de ces maladies augmente avec l exposition. Ne pas oublier que les premières manifestations radiologiques de l amiantose sont rarement visibles avant 15 ans depuis l année de la première exposition à l amiante. Activités ou opérations à risque : Pose de matériaux isolants contenant de l amiante autour de tuyaux (calorifugeage) Flocage d amiante (amiante giclé ou pulvérisé sur des structures) Démolition de vieux édifices Rénovation de vieux édifices Entretien, réparation de vieux édifices Construction d édifices ou de maisons avant 1978 Pose ou fabrication de fibro-ciment Enlèvement d amiante Milieux à risque : Raffineries Papetières Chantiers navals et maritimes Chantiers ferroviaires Édifices commerciaux Édifices industriels Édifices institutionnels Mines d amiante Fabrication et entretien de freins Fabrication de tuiles, de carreaux ou de bardeaux d amiante Fabrication de tuyaux d amiante ciment Fabrication de panneaux en amiante Fabrication de portes coupe-feux contenant de l amiante Fabrication de papiers et cartons d amiante Exposition indirecte par des collègues qui travaillent avec de l amiante Métiers à risque : Calorifugeur Tuyauteur-plombier-soudeur Tôlier-ferblantier Manœuvre en démolition ou en enlèvement d amiante Électricien Menuisier Mécanicien d ascenseur Mécanicien en protection des incendies Chaudronnier Frigoriste Câbleur Poseur d appareil de chauffage Autres : De (année) À (année) Durée 3

4 Pour en savoir plus Organismes et fonctions Grandes revues de littérature : Health Effects Institute-Asbestos Research. Asbestos in public and commercial buildings: a literature review and synthesis of current knowledge - Final report. Cambridge: Health Effects Institute - Asbestos Research; INSERM. Effets sur la santé des principaux types d exposition à l amiante. Paris: Les Éditions INSERM; Ressources Les inspecteurs de la Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST) mènent des enquêtes suite à des plaintes. Tél : (514) (24 heures). Les équipes de santé au travail des CLSC désignés par la CSST effectuent un suivi médico-environnemental dans les milieux de travail. Rapport de consensus : Consensus report. Asbestos, asbestosis, and cancer : the Helsinki criteria for diagnosis and attribution. Scand J Work Environ Health 1997; 23 : Aspects cliniques : Newman LS. Occupational illness. New Engl J Med 1995 ; 333(17) : Gauthier JJ, Ostiguy G, Malo JL, Cormier Y. Maladies pulmonaires professionnelles et environnementales. In : Gauthier JJ, Bolduc P, Cormier Y, Nadeau P, eds. Pneumologie clinique. Montréal: Les Presses de l Université de Montréal; P Guidelines for use of ILO international classification of radiographs of pneumoconioses, revised edition Occupational safety and health series, no.22, International Labour Office, Geneva Chronique Prévention sur la silicose sur le site Internet de la santé publique à l adresse suivante : Aspects épidémiologiques : Épidémiologie des maladies reliées à l exposition à l amiante au Québec. Rapport du Sous-comité sur l épidémiologie des maladies reliées à l exposition à l amiante au Québec du Comité aviseur sur l amiante au Québec et présenté au Ministère de la santé et des services sociaux du Québec. Septembre révention C est aussi une chronique bimensuelle Internet L équipe de Santé au travail et environnementale de la Direction de santé publique de Montréal-Centre. Tél : (514) La Clinique interuniversitaire de santé au travail et santé environnementale offre des services de consultation et de suivi post-exposition sur référence du médecin traitant. Tél : (514) révention Un bulletin de la Direction de la santé publique de Montréal-Centre publié avec la collaboration de l Association des médecins omnipraticiens de Montréal dans le cadre du programme Prévention coordonné par le docteur Jean Cloutier. Ce numéro est une réalisation de l unité Santé au travail et Santé environnementale. Responsable de l unité : D r Louis Drouin Rédacteur en chef : D r Louis Patry Édition : Anne Marie Comparot Infographie : Manon Girard Rédacteurs : D r Louise De Guire Collaborateurs : D r Monique Letellier, D r Jean-Pierre Villeneuve 1301, rue Sherbrooke Est, Montréal (Québec) H2L 1M3 Téléphone : (514) Dépôt légal 2 e trimestre 2003 Bibliothèque nationale du Québec Bibliothèque nationale du Canada ISSN : Numéro de convention : Association des Médecins Omnipraticiens de Montréal 4

5 LA CAMPAGNE «PRUDENCE AVEC LE SANG» : Des outils pour informer vos patients En milieu de travail, certaines situations peuvent exposer les travailleurs à du sang contaminé par des agents pathogènes comme les virus de l hépatite B et de l hépatite C ainsi qu au VIH. L ensemble des travailleurs de la santé, les policiers, les pompiers, les agents de services correctionnels et les secouristes sont renseignés sur les mesures à prendre pour se protéger. Pourtant d autres secteurs sont moins bien informés. Les statistiques du Centre régional de prophylaxie post-exposition de Montréal, qui se spécialise dans les soins aux personnes exposées accidentellement au sang et autres liquides biologiques, démontrent qu entre mars 1999 et mars 2003, personnes ont été évaluées pour une exposition s étant produite en milieu de travail. De ce nombre environ 300 travailleurs provenaient des secteurs d activités suivants : hôtels, restaurants, commerces et autres services. Ces accidents impliquant un contact avec le sang peuvent survenir que se soit : À l hôtel en nettoyant une salle de bain Chez le nettoyeur en manipulant des vêtements imbibés de sang Dans un parc en taillant un arbuste Dans un club de golf en nettoyant une voiturette Dans une station-service en vidant une poubelle Dans un restaurant en nettoyant les toilettes Ainsi, les expositions accidentelles avec le sang peuvent survenir en milieu de travail, par une piqûre avec des seringues à la traîne, par une coupure avec des objets coupants-tranchants, en portant secours à des clients ou à des collègues de travail. Les travailleurs doivent donc être informés des risques, des mesures de prévention à utiliser et des gestes à poser suite à une exposition au sang et autres liquides biologiques. La campagne de sensibilisation La campagne «Prudence avec le sang», lancée en février 2003 par la Direction de santé publique de Montréal-Centre, a été conçue pour rejoindre ces travailleurs et leurs employeurs afin de prévenir les accidents impliquant une exposition au sang en milieu de travail. Une pochette contenant de nombreuses informations sur les risques d infection suite à un contact avec le sang, sur les méthodes sécuritaires de travail et sur les gestes à poser suite à une exposition est maintenant disponible pour tous les employeurs et les travailleurs concernés. Dans cette pochette, on retrouve : Un dépliant d information à l intention des travailleurs Un dépliant à l intention des employeurs Une affiche «Danger avec le sang» La carte des CLSC en santé au travail Un bon de commande 8 affichettes : - Le lavage des mains - L entretien ménager - La manipulation des ordures - La manipulation de la literie - La manipulation des objets coupants, piquants ou tranchants - Secours à une personne blessée - Contact accidentel avec du sang - Aide mémoire aux gestionnaires Cette pochette a été diffusée à l ensemble des hôtels, des restaurants et des commerces de la région de Montréal. Vous pouvez, en tant que médecin, vous en procurer pour vos patients qui pourraient bénéficier de ces informations. Ces outils de sensibilisation sont disponibles à la Direction de santé publique de Montréal-Centre en remplissant le bon de commande sur le site Internet : Auteure : Michèle Dupont, M.D., M.Sc., médecin-conseil Unité santé au travail et environnementale Direction de santé publique de Montréal-Centre

Amiante. On se protège! Aide-mémoire sur les dangers d exposition à l amiante et sur les mesures de prévention

Amiante. On se protège! Aide-mémoire sur les dangers d exposition à l amiante et sur les mesures de prévention Amiante On se protège! Aide-mémoire sur les dangers d exposition à l amiante et sur les mesures de prévention Le Québec est un important producteur et exportateur d amiante, un minerai reconnu pour ses

Plus en détail

Étude des nouveaux cas de maladies professionnelles pulmonaires reliées à l exposition à l amiante au Québec : 1988-2003

Étude des nouveaux cas de maladies professionnelles pulmonaires reliées à l exposition à l amiante au Québec : 1988-2003 Étude des nouveaux cas de maladies professionnelles pulmonaires reliées à l exposition à l amiante au Québec : 1988-2003 INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Étude des nouveaux cas de maladies

Plus en détail

L APSAM APSAM L AMIANTE : dangers et mesures de prévention ATTENTION. L APSAM Spécial amiante

L APSAM APSAM L AMIANTE : dangers et mesures de prévention ATTENTION. L APSAM Spécial amiante Travaux à risque élevé : friables, sauf si un sac à gants est utilisé ou si le volume de débris n excède pas 1 pi pour chaque rénovation mineure nettoyage ou enlèvement d un système de ventilation dans

Plus en détail

Démarche d évaluation médicale et histoire professionnelle

Démarche d évaluation médicale et histoire professionnelle révention Comment évaluer les troubles musculosquelettiques (TMS) reliés au travail? L histoire professionnelle est le meilleur outil pour dépister les TMS et les prévenir Ce questionnaire de dépistage

Plus en détail

Amiante, on se protège!

Amiante, on se protège! www.csst.qc.ca Amiante, on se protège! Aide-mémoire sur les dangers de l exposition à l amiante et mesures de prévention Cet aide-mémoire a été réalisé par la CSST, en collaboration avec ses partenaires,

Plus en détail

Risque amiante. La Sécurité sociale au service de la prévention R 387

Risque amiante. La Sécurité sociale au service de la prévention R 387 La Sécurité sociale au service de la prévention R 387 Risque amiante Caisse nationale de l assurance maladie des travailleurs salariés - Département prévention des accidents du travail - Tour Maine Montparnasse

Plus en détail

Amiante : risques, prévention et formation

Amiante : risques, prévention et formation Entreprises artisanales de plomberie-chauffage Amiante : risques, prévention et formation L amiante c est quoi? L amiante est un matériau : Naturel Minéral Fibreux Utilisé massivement pendant plus de 130

Plus en détail

Gestion sécuritaire de l amiante. Dispositions réglementaires. www.csst.qc.ca/amiante

Gestion sécuritaire de l amiante. Dispositions réglementaires. www.csst.qc.ca/amiante Gestion sécuritaire de l amiante Dispositions réglementaires www.csst.qc.ca/amiante Afin de prévenir les expositions des travailleurs et de préserver leur santé, les dispositions sur la gestion sécuritaire

Plus en détail

Tout le monde est potentiellement

Tout le monde est potentiellement DOCUMENT DESTINÉ AUX PROFESSIONNELS DE SANTÉ Détection des cancers d origine professionnelle: quelques clés pour agir CANCERS PROFESSIONNELS Cette année, vous avez vu 10 nouveaux patients atteints de cancer

Plus en détail

Droits et obligations des travailleurs et des employeurs

Droits et obligations des travailleurs et des employeurs Droits et obligations des travailleurs et des employeurs La Loi sur la santé et la sécurité du travail (LSST) vise à assurer des conditions de santé et de sécurité minimales dans les entreprises québécoises.

Plus en détail

Maladies chroniques et traumatismes Présentation d une matrice emplois-expositions aux fibres d amiante

Maladies chroniques et traumatismes Présentation d une matrice emplois-expositions aux fibres d amiante Décembre 2010 Santé travail Maladies chroniques et traumatismes Présentation d une matrice emplois-expositions aux fibres d amiante Quelques applications à un échantillon de population en France A. Lacourt,

Plus en détail

L Institut universitaire romand de Santé au Travail vous propose des services spécifi ques dans un contexte pluridisciplinaire:

L Institut universitaire romand de Santé au Travail vous propose des services spécifi ques dans un contexte pluridisciplinaire: L Institut universitaire romand de Santé au Travail vous propose des services spécifi ques dans un contexte pluridisciplinaire: Expertises, conseils et chantiers Sylvain L Eplattenier, Maude Favre Analyses

Plus en détail

Amiante Protection des travailleurs

Amiante Protection des travailleurs COLLECTION DES AIDE-MÉMOIRE JURIDIQUES aide-mémoire TJ 4 Ces aide-mémoire présentent de manière synthétique la réglementation sur un sujet précis. Selon les thèmes, certains d entre eux sont publiés dans

Plus en détail

Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches. Les dangers de l amiante

Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches. Les dangers de l amiante Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les dangers de l amiante G R A N D P U B L I C Les dangers de l amiante Le caractère cancérogène de l amiante est

Plus en détail

Suivi post-professionnel après exposition à l amiante

Suivi post-professionnel après exposition à l amiante AUDITION PUBLIQUE Suivi post-professionnel après exposition à l amiante TEXTE COMPLET Avril 2010 1 Les recommandations et synthèse des recommandations sont téléchargeables sur www.has-sante.fr Haute Autorité

Plus en détail

galités s sociales de cancer chez les travailleurs

galités s sociales de cancer chez les travailleurs Inégalit galités s sociales de cancer chez les travailleurs Annie Thébaud baud-mony INSERM/GISCOP93, Université Paris13 Rencontres francophones internationales sur les inégalit galités s sociales et de

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE #36 LÉGISLATION ET INTERVENANTS EN SANTÉ ET EN SÉCURITÉ DU TRAVAIL

FICHE TECHNIQUE #36 LÉGISLATION ET INTERVENANTS EN SANTÉ ET EN SÉCURITÉ DU TRAVAIL FICHE TECHNIQUE #36 LÉGISLATION ET INTERVENANTS EN SANTÉ ET EN SÉCURITÉ DU TRAVAIL DÉFINITIONS ET CHAMP D'APPLICATION La législation québécoise en matière de santé et de sécurité du travail est constituée

Plus en détail

Qu est-ce qu un sarcome?

Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs

Plus en détail

La CSST Qui sommes nous? Charles Taschereau, conseiller DPI Olivier Lesquir, inspecteur

La CSST Qui sommes nous? Charles Taschereau, conseiller DPI Olivier Lesquir, inspecteur La CSST Qui sommes nous? Par : Charles Taschereau, conseiller DPI Olivier Lesquir, inspecteur Blainville 3 avril 2008 La Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST) Une compagnie d assurance

Plus en détail

Info Sein BULLETIN. Bulletin numéro 8 Avril 2014. Contenu. Les 15 ans du PQDCS : 1998-2013

Info Sein BULLETIN. Bulletin numéro 8 Avril 2014. Contenu. Les 15 ans du PQDCS : 1998-2013 BULLETIN Région de la Capitale-Nationale Bulletin numéro 8 Avril 2014 Contenu Les 15 ans du PQDCS : 1998-2013 Éditorial 1 Comité de suivi régional : un travail d équipe! 3 Coordination et organisation

Plus en détail

La fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008

La fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008 La fumée de tabac secondaire (FTS) en Mauricie et au Centre-du- Québec, indicateurs du plan commun tirés de l ESCC de 2007-2008 Ce document se veut une analyse succincte des indicateurs se rapportant à

Plus en détail

maladies professionnelles dans l Eure AMIANTE Guide pratique

maladies professionnelles dans l Eure AMIANTE Guide pratique maladies professionnelles dans l Eure AMIANTE Guide pratique Pourquoi ce guide? EN MOINS DE DIX ANS, la réglementation sur l amiante a connu une formidable évolution. Elle touche tous les domaines : indemnisation

Plus en détail

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...

Plus en détail

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail

médicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.

médicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada. DEPUIS PLUSIEURS ANNÉES, la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) interroge ses membres sur plusieurs aspects touchant leur pratique professionnelle à l aide de sondages, de groupes de

Plus en détail

Série «Connaissances et employabilité» Préparation au milieu de travail, 8 e et 9 e années

Série «Connaissances et employabilité» Préparation au milieu de travail, 8 e et 9 e années Série «Connaissances et employabilité» Préparation au milieu de travail, 8 e et 9 e années Les cours de la série «Connaissances et employabilité» du secondaire premier cycle sont axés sur l exploration.

Plus en détail

Docteur José LABARERE

Docteur José LABARERE UE7 - Santé Société Humanité Risques sanitaires Chapitre 3 : Epidémiologie étiologique Docteur José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

Portrait des lésions professionnelles chez les travailleurs de 55 ans et plus

Portrait des lésions professionnelles chez les travailleurs de 55 ans et plus Portrait des lésions professionnelles chez les travailleurs de 55 ans et plus 2002-2011 Le document Portrait des lésions professionnelles chez les travailleurs de 55 ans et plus 2002-2011 a été préparé

Plus en détail

INFORMATION & PRÉVENTION. Les dangers de l amiante

INFORMATION & PRÉVENTION. Les dangers de l amiante INFORMATION & PRÉVENTION Les dangers de l amiante G R A N D P U B L I C Les dangers de l amiante Le caractère cancérogène de l amiante est connu depuis les années 50. Des cancers du poumon ou de la plèvre

Plus en détail

Amiante Suivi des risques professionnels

Amiante Suivi des risques professionnels Paul Becquart, Journaliste Santé Le petit Site Santé PRESENTATION du document ci-joint www.lepetitsitesante.fr Des centaines d'actualités, reportages et dossiers Santé et Environnement Amiante Suivi des

Plus en détail

L'AMIANTE : RÉGLEMENTATION

L'AMIANTE : RÉGLEMENTATION L'AMIANTE : RÉGLEMENTATION Dernière révision du document : juillet 2012 L'amiante (asbeste) est à l origine une roche naturelle composée de minéraux fibreux. Pour ses nombreuses propriétés, dont la résistance

Plus en détail

TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES (TMS)

TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES (TMS) Repères Les troubles musculo-squelettiques (TMS) rassemblent un ensemble large de pathologies qui affectent les muscles, les tendons et les nerfs des membres supérieurs et inférieurs au niveau du poignet,

Plus en détail

Infection par le VIH/sida et travail

Infection par le VIH/sida et travail Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage

Plus en détail

Protocole d évacuation et de transport des blessés en forêt. Guide d élaboration

Protocole d évacuation et de transport des blessés en forêt. Guide d élaboration Protocole d évacuation et de transport des blessés en forêt Guide d élaboration Protocole d évacuation et de transport des blessés en forêt Guide d élaboration Adopté par le Comité provincial des soins

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

gale - Brochure d information -

gale - Brochure d information - gale La - Brochure d information - Qu est-ce que la gale? La gale est une infection de la peau causée par un parasite. Celui-ci creuse un petit tunnel (sillon) dans la partie superficielle de la peau et

Plus en détail

AMIANTE PAS FORME PAS TOUCHER

AMIANTE PAS FORME PAS TOUCHER AMIANTE PAS FORME PAS TOUCHER Où trouve-t-on de l amiante? Interdit en France depuis 1997, l'amiante est toujours présente dans les bâtiments construits avant cette date. Des dizaines de millions de mètres

Plus en détail

Amiante, danger mortel

Amiante, danger mortel Amiante, danger mortel brochure coordonnée par Claudio Sonda de la Fondation André Renard (F.A.R.) amiante, danger mortel Conscients des difficultés de compréhension de certains termes utilisés dans ce

Plus en détail

Fonds. Indemnisation. Victimes. Amiante. Mission. Procédure. Préjudice. Pathologie

Fonds. Indemnisation. Victimes. Amiante. Mission. Procédure. Préjudice. Pathologie Fonds Mission Indemnisation Victimes Pathologie Préjudice Procédure Amiante Préambule Devant l ampleur du drame de l amiante, le législateur a mis en place au début des années 2000, deux dispositifs spécifiques

Plus en détail

Présenté par. Carl Tremblay, ing.

Présenté par. Carl Tremblay, ing. Présenté par Carl Tremblay, ing. Familiariser les participants avec la réglementation québécoise. Familiariser les participants avec la notion de modification et de modernisation des appareils de transport

Plus en détail

VDIAGNOSTICS IMMOBILIER 9 rue Henri Matisse 76120 GRAND QUEVILLY Télécopie : 09 55 32 26 60 Portable : 06 18 60 62 96 Email : vdiagimmo@free.

VDIAGNOSTICS IMMOBILIER 9 rue Henri Matisse 76120 GRAND QUEVILLY Télécopie : 09 55 32 26 60 Portable : 06 18 60 62 96 Email : vdiagimmo@free. VDIAGNOSTICS IMMOBILIER 9 rue Henri Matisse 76120 GRAND QUEVILLY Télécopie : 09 55 32 26 60 Portable : 06 18 60 62 96 Email : vdiagimmo@free.fr RAPPORT DE MISSION DE REPERAGE DES MATERIAUX ET PRODUITS

Plus en détail

Surveillance de la santé. Brochure d information dans la cadre du "bien-être au travail"

Surveillance de la santé. Brochure d information dans la cadre du bien-être au travail Surveillance de la santé Brochure d information dans la cadre du "bien-être au travail" Sommaire Sommaire 1 1. Introduction 2 2. Analyse des risques 3 2.1. Etablissement de la liste des risques 3 2.2.

Plus en détail

1- LES CHUTES DE PERSONNES...

1- LES CHUTES DE PERSONNES... 7 1-1- LES CHUTES DE PERSONNES... sont la cause de plusieurs accidents de travail Les chutes n ont pas de cible. Qui n est pas tombé dans un stationnement, en sortant de sa voiture, en se rendant à sa

Plus en détail

STOP à la Transmission des microorganismes!

STOP à la Transmission des microorganismes! STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions

Plus en détail

NOR : RDFF1503959C. La ministre de la décentralisation et de la fonction publique

NOR : RDFF1503959C. La ministre de la décentralisation et de la fonction publique RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de la décentralisation et de la fonction publique Circulaire du 28 juillet 2015 relative aux dispositions applicables en matière de prévention du risque d exposition à l

Plus en détail

L humain au cœur de l entreprise. De l identification à la gestion des Risques Professionnels

L humain au cœur de l entreprise. De l identification à la gestion des Risques Professionnels L humain au cœur de l entreprise De l identification à la gestion des Risques Professionnels Petit déjeuner Conférence du 17 Mars 2009 Sommaire 1. IDER : Identification des Dangers et Évaluation des Risques

Plus en détail

Maîtriser le risque de TMS du membre supérieur lies au travail

Maîtriser le risque de TMS du membre supérieur lies au travail Maîtriser le risque de TMS du membre supérieur lies au travail Dr Michel APTEL Laboratoire de Biomécanique et d'ergonomie Centre de recherche de l'inrs Les Troubles Musculo-Squelettiques (TMS) liés au

Plus en détail

RAPPORT D'ENQUÊTE RAPPORT D ENQUÊTE. Direction régionale de Montréal-1

RAPPORT D'ENQUÊTE RAPPORT D ENQUÊTE. Direction régionale de Montréal-1 EN003649 RAPPORT D ENQUÊTE Direction régionale de Montréal-1 Accident mortel survenu à un travailleur, le 17 août 2006 à l'entreprise Samuels Signs & Lighting, au magasin Zellers de la plaza Côte-des-Neiges

Plus en détail

Sélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA. Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005

Sélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA. Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005 Sélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005 Sélection et Évaluation Quantitative Références Sélection

Plus en détail

Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise*

Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise* INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise* Denis Hamel, statisticien Unité Connaissance-surveillance MISE

Plus en détail

Assurance maladie grave

Assurance maladie grave ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès

Plus en détail

SURVEILLANCE EPIDEMIOLOGIQUE DES TMS EN ENTREPRISES : LES RESULTATS DU SUIVI A TROIS ANS DE LA COHORTE COSALI

SURVEILLANCE EPIDEMIOLOGIQUE DES TMS EN ENTREPRISES : LES RESULTATS DU SUIVI A TROIS ANS DE LA COHORTE COSALI SURVEILLANCE EPIDEMIOLOGIQUE DES TMS EN ENTREPRISES : LES RESULTATS DU SUIVI A TROIS ANS DE LA COHORTE COSALI Elise CHIRON 1, Yves ROQUELAURE 1, Catherine HA 2, Annie TOURANCHET 3, Annette LECLERC 4, Marcel

Plus en détail

Insuffisance cardiaque

Insuffisance cardiaque Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles

Plus en détail

assurance collective Denis Gobeille, M.Sc. R.I., CRHA Conseiller en assurance collective

assurance collective Denis Gobeille, M.Sc. R.I., CRHA Conseiller en assurance collective Les forces du changement en assurance collective Denis Gobeille, M.Sc. R.I., CRHA Conseiller en assurance collective La pénurie de main-d œuvre ralentira la croissance D ici 2030, il manquera 363 000 travailleurs

Plus en détail

L amiante est une substance minérale naturelle1

L amiante est une substance minérale naturelle1 2009 2013 Mesure 12 prévention Amiante et mésothéliome pleural malin COLLECTION Fiches repère État des connaissances en date du 19 janvier 2012 L amiante est une substance minérale naturelle1 fibreuse

Plus en détail

Campagne de mesures d exposition aux fibres d amiante par microscopie électronique à transmission analytique (META)

Campagne de mesures d exposition aux fibres d amiante par microscopie électronique à transmission analytique (META) Campagne de mesures d exposition aux fibres d amiante par microscopie électronique à transmission analytique (META) Synthèse des résultats et recommandations F. CLERC 1, C. EYPERT- BLAISON 1, M. GUIMON

Plus en détail

Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir?

Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir? Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir? Renseignements sur la fumée secondaire et tertiaire Qu est-ce que la fumée secondaire? La fumée secondaire est une combinaison de fumée

Plus en détail

Premiers secours. Article 36

Premiers secours. Article 36 Commentaire de l ordonnance 3 relative à la loi sur le travail Art. 36 Article 36 Premiers secours 1 Les moyens nécessaires pour les premiers secours seront disponibles en permanence, compte tenu des dangers

Plus en détail

Quand il fait CHAUD POUR. Prudence!

Quand il fait CHAUD POUR. Prudence! Quand il fait CHAUD POUR MOURIR Prudence! Comment la chaleur affecte-t-elle la santé? L été, le soleil et le beau temps sont sources de nombreux plaisirs Par contre, lorsque la chaleur est trop intense,

Plus en détail

Notre priorité, votre sécurité!

Notre priorité, votre sécurité! Le règlement sur les alarmes-incendies non fondées : un pas de plus vers la sécurité! Présentation de la nouvelle réglementation aux représentants de l Association des propriétaires et administrateurs

Plus en détail

1. PRÉAMBULE 2. BUT 3. PRINCIPES DIRECTEURS CHUS MANUEL DES NORMES ET PRATIQUES DE GESTION SUJET : RECHERCHE NPG N 0 : 4221

1. PRÉAMBULE 2. BUT 3. PRINCIPES DIRECTEURS CHUS MANUEL DES NORMES ET PRATIQUES DE GESTION SUJET : RECHERCHE NPG N 0 : 4221 CHUS MANUEL DES NORMES ET PRATIQUES DE GESTION SUJET : RECHERCHE NPG N 0 : 4221 OBJET : Politique d attribution des espaces au CRCELB APPROUVÉE PAR : COMITÉ DE DIRECTION ÉMISE LE : 6 novembre 1997 RÉVISÉE

Plus en détail

Besoins des intervenants en santé publique concernant la prévention des TMS

Besoins des intervenants en santé publique concernant la prévention des TMS Besoins des intervenants en santé publique concernant la prévention des TMS Résultats d un sondage auprès des représentants régionaux en ergonomie Louis Gilbert, DSP de Québec Susan Stock, DSP de Montréal-Centre

Plus en détail

Document d information sur les protections d assurance souscrites par l Université Laval à l intention des étudiants

Document d information sur les protections d assurance souscrites par l Université Laval à l intention des étudiants Document d information sur les protections d assurance souscrites par l Université Laval à l intention des étudiants MISE EN GARDE Les informations contenues dans ce document visent strictement à faciliter

Plus en détail

Belgique : Gros plan sur les maladies professionnelles et les accidents du travail

Belgique : Gros plan sur les maladies professionnelles et les accidents du travail Belgique : Gros plan sur les maladies professionnelles et les accidents du travail L assurance belge contre les maladies professionnelles et les accidents du travail occupe une place particulière dans

Plus en détail

Vous êtes artisan PLOMBIER CHAUFFAGISTE

Vous êtes artisan PLOMBIER CHAUFFAGISTE Vous êtes artisan PLOMBIER CHAUFFAGISTE Le mot des Présidents Le décret du 5 novembre 2001 impose une nouvelle obligation aux entreprises : formaliser les risques de l entreprise sur un document unique.

Plus en détail

Les membres du groupe de travail déclarent ne pas avoir de liens d intérêt en relation avec le contenu de cette information.

Les membres du groupe de travail déclarent ne pas avoir de liens d intérêt en relation avec le contenu de cette information. ACADÉMIE NATIONALE DE MÉDECINE 16, rue Bonaparte - 75272 PARIS CEDEX 06 Tél. : 01 42 34 57 70 Séance du 24 février 2015 INFORMATION L amiante : le point en 2014 Asbestos: An up-to-date general review MOTS-CLÉS:

Plus en détail

entreprises de 0 à 9 salariés emploient environ 500 000 salariés et 20 000 entreprises de 10 à 49 salariés emploient environ 400 000 personnes.

entreprises de 0 à 9 salariés emploient environ 500 000 salariés et 20 000 entreprises de 10 à 49 salariés emploient environ 400 000 personnes. LES DECAPANTS HST PR 29-208 POINT DE REPÈRE L AMIANTE ET LES MÉTIERS DU SECOND ŒUVRE DU BÂTIMENT Campagne de sensibilisation et d'information h Michèle GUIMON, INRS, chef du Projet transversal institutionnel

Plus en détail

LA VACCINATION PROFESSIONNELLE

LA VACCINATION PROFESSIONNELLE F I C H E P R E V E N T I O N N 1 1 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LA VACCINATION PROFESSIONNELLE INTRODUCTION La vaccination en milieu professionnel a un intérêt individuel dans le sens où elle protège

Plus en détail

les télésoins à domicile

les télésoins à domicile Hiver 2013 Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Au Canada comme ailleurs dans

Plus en détail

GUIDE DE L ASSURÉ. Optez pour l assurance. qui peut regrouper maladies graves et assurance vie

GUIDE DE L ASSURÉ. Optez pour l assurance. qui peut regrouper maladies graves et assurance vie GUIDE DE L ASSURÉ Optez pour l assurance qui peut regrouper maladies graves et assurance vie Ne laissez rien au hasard AU CANADA ON ESTIME QUE À chaque heure : 16,65 personnes apprendront qu elles sont

Plus en détail

Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes

Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données

Plus en détail

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire

Plus en détail

AMIANTE REGLEMENTATION AMIANTE ET SECOND ŒUVRE DU BATIMENT

AMIANTE REGLEMENTATION AMIANTE ET SECOND ŒUVRE DU BATIMENT REGLEMENTATION AMIANTE ET SECOND ŒUVRE DU BATIMENT Evaluer les risques avant toute intervention, notamment le risque amiante par tout moyen approprié Informer et former le personnel d encadrement et opérateurs

Plus en détail

Actualités s cancérologiques : pneumologie

Actualités s cancérologiques : pneumologie Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique

Plus en détail

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller

Plus en détail

Démarche de prévention des TMS et outils pour l action

Démarche de prévention des TMS et outils pour l action Démarche de prévention des TMS et outils pour l action Ce document a pour objet de présenter de manière synthétique la démarche de prévention des TMS du membre supérieur avec des outils opérationnels permettant

Plus en détail

Factsheet Maladies professionnelles causées par l amiante

Factsheet Maladies professionnelles causées par l amiante Version mars 2013 Factsheet Maladies professionnelles causées par l amiante Dr Marcel Jost, Dr Susanna Stöhr, Dr Claudia Pletscher, Dr Hanspeter Rast 1. Maladies professionnelles causées par l amiante

Plus en détail

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins

Plus en détail

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur

Plus en détail

Isolation de conduites à base d'amiante

Isolation de conduites à base d'amiante *F01 Cordons, anneaux d'étanchéité et bandes d'isolation électrique en amiante Des cordons à haute teneur en amiante ont souvent été utilisés comme joints anti feu dans des poêles à mazout ou en aïence,

Plus en détail

EXEMPLE DE LETTRE DE PLAINTE

EXEMPLE DE LETTRE DE PLAINTE EXEMPLE DE LETTRE DE PLAINTE Une demande au syndicat de copropriété pour entreprendre les démarches nécessaires afin de réduire ou d'éliminer le problème d'infiltration de fumée de tabac secondaire. Cette

Plus en détail

Effets sur la santé des fibres de substitution à l'amiante

Effets sur la santé des fibres de substitution à l'amiante Effets sur la santé des fibres de substitution à l'amiante Rapport établi à la demande de la Direction Générale de la Santé et de la Direction des Relations du Travail (Ministère de l'emploi et de la Solidarité)

Plus en détail

L amiante Désamiantage Gestion des déchets Sécurité/santé

L amiante Désamiantage Gestion des déchets Sécurité/santé CCW_DD02 L amiante Désamiantage Gestion des déchets Sécurité/santé De nombreuses entreprises sont confrontées à des matériaux amiantés lors de rénovations ou de démolition de bâtiments. Ces matériaux,

Plus en détail

Document d information sur les protections d assurance souscrites par l Université Laval à l intention des étudiants

Document d information sur les protections d assurance souscrites par l Université Laval à l intention des étudiants Document d information sur les protections d assurance souscrites par l Université Laval à l intention des étudiants MISE EN GARDE Les informations contenues dans ce document visent strictement à faciliter

Plus en détail

Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012

Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012 Les conséquences sanitaires de l accident de Fukushima Dai-ichi : point de situation en février 2012 Faire avancer la sûreté nucléaire Jean-René Jourdain Paris, 28 février 2012 Comment évaluer les conséquences

Plus en détail

Partenariat patient-pair aidant-équipe soignante, un trio gagnant favorisant l espoir du rétablissement.

Partenariat patient-pair aidant-équipe soignante, un trio gagnant favorisant l espoir du rétablissement. Partenariat patient-pair aidant-équipe soignante, un trio gagnant favorisant l espoir du rétablissement. Automne 2014 MOT DE BIENVENUE ET PRÉSENTATION DES FORMATRICES Réjeanne Bouchard Guylaine Cloutier

Plus en détail

Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction

Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction OFDT Note n 2010-12 Saint-Denis, le 09/08/2010 Introduction Les premières structures

Plus en détail

Questionnaire pour définir le niveau d habilitation dont vous avez besoin selon la nouvelle norme NF C 18-510. Entrée

Questionnaire pour définir le niveau d habilitation dont vous avez besoin selon la nouvelle norme NF C 18-510. Entrée Questionnaire pour définir le niveau d habilitation dont vous avez besoin selon la nouvelle norme NF C 18-510 Entrée Vous effectuez des tâches d ordre non électrique (ex : Peinture, menuiserie, maçonnerie,

Plus en détail

L assurance est là pour protéger votre famille

L assurance est là pour protéger votre famille Assurance L assurance est là pour protéger votre famille Vous avez travaillé fort pour venir vous établir ici et commencer une nouvelle vie. L assurance met vos proches et vos biens à l abri des pertes

Plus en détail

GUIDE D ACCUEIL SANTÉ ET SÉCURITÉ À L ATTENTION D UN NOUVEL EMPLOYÉ INFORMATION DE BASE

GUIDE D ACCUEIL SANTÉ ET SÉCURITÉ À L ATTENTION D UN NOUVEL EMPLOYÉ INFORMATION DE BASE Secteur Santé et Sécurité École Polytechnique Février 2014 GUIDE D ACCUEIL SANTÉ ET SÉCURITÉ À L ATTENTION D UN NOUVEL EMPLOYÉ INFORMATION DE BASE 1 LA GESTION DE LA SANTÉ ET SÉCURITÉ À POLYTECHNIQUE MONTRÉAL

Plus en détail

CRIXIVAN 400mg. Indinavir, IDV. IP inhibiteurs de la protéase

CRIXIVAN 400mg. Indinavir, IDV. IP inhibiteurs de la protéase CRIXIVAN 400mg Indinavir, IDV IP inhibiteurs de la protéase Info-médicaments anti-vih en LSQ Octobre 2011 Français : LSQ : Il faut prendre 2 comprimés de Crixivan à jeun d avoir mangé aux 8 heures (trois

Plus en détail

LA RÉDUCTION DES ALARMES NON FONDÉES

LA RÉDUCTION DES ALARMES NON FONDÉES Séminaire technique ACAI / CFAA 2013 Section Québec LA RÉDUCTION R DES ALARMES NON FONDÉES Yvan Chassé ministère de la Sécurité publique Association canadienne de l alarme incendie Section Québec Montréal,

Plus en détail

RAPPORT RAPPORT D ENQUÊTE D ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE DE QUÉBEC

RAPPORT RAPPORT D ENQUÊTE D ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE DE QUÉBEC EN003495 RAPPORT D ENQUÊTE D ACCIDENT DIRECTION RÉGIONALE DE QUÉBEC ACCIDENT MORTEL SURVENU À UN TRAVAILLEUR LE 15 JANVIER 2004, À QUÉBEC, SUR UN CHANTIER DE CONSTRUCTION DE TELUS. PAR : MONSIEUR JEAN

Plus en détail

LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE

LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE ordre des optométristes du québec LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE VOIR QUI AU

Plus en détail

MÉMOIRE CONSEIL QUÉBÉCOIS DU COMMERCE DE DÉTAIL SUR LE DOCUMENT DE CONSULTATION VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET PLUS ÉQUITABLE

MÉMOIRE CONSEIL QUÉBÉCOIS DU COMMERCE DE DÉTAIL SUR LE DOCUMENT DE CONSULTATION VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET PLUS ÉQUITABLE MÉMOIRE DU CONSEIL QUÉBÉCOIS DU COMMERCE DE DÉTAIL SUR LE DOCUMENT DE CONSULTATION VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET PLUS ÉQUITABLE PRÉSENTÉ À LA COMMISSION DES AFFAIRES SOCIALES AOÛT 2009

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

VEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30

VEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30 VEILLE RÉGLEMENTAIRE Sécurité des personnes Fiche VRE.30 Incendie Code du Travail R4216-1 à R4216-7 ; R4216-11 à R4216-34 Code du Travail R4225-8 Code du Travail R4227-34 à R4227-36 Code du Travail R4227-1

Plus en détail

5211 Entretien général d immeubles. Fiches descriptives. Reconnaissance des acquis et des compétences FP2009-12

5211 Entretien général d immeubles. Fiches descriptives. Reconnaissance des acquis et des compétences FP2009-12 Formation professionnelle et technique et formation continue Direction de la formation continue et du soutien 5211 Entretien général d immeubles Fiches descriptives Reconnaissance des acquis et des compétences

Plus en détail

Note de synthèse 2012

Note de synthèse 2012 ARTISANAT DU BTP - EDITION N 2 NOVEMBRE 2014 Note de synthèse 2012 DANS CE NUMERO 2 ème publication de l Observatoire des formations à la prévention, cette notre présente les principaux chiffres clés de

Plus en détail

miante INTERVENTION SUR DES MATÉRIAUX CONTENANT DE L AMIANTE (MCA) Sous-section 3 du Décret n 2006-761 du 30 juin 2006

miante INTERVENTION SUR DES MATÉRIAUX CONTENANT DE L AMIANTE (MCA) Sous-section 3 du Décret n 2006-761 du 30 juin 2006 miante INTERVENTION SUR DES MATÉRIAUX CONTENANT DE L AMIANTE (MCA) Sous-section 3 du Décret n 2006-761 du 30 juin 2006 Guide pratique Octobre 2009 Direction régionale du travail, de l emploi et de la formation

Plus en détail