révention L AMIANTE Nouvelles réalités en pratique médicale Quelques faits saillants Le mésothéliome : des données surprenantes
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- Laure Malenfant
- il y a 8 ans
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1 révention L AMIANTE Nouvelles réalités On pourrait croire que la question des maladies de l amiante est résolue ou à tout le moins bien documentée au Québec. Mais détrompez-vous! Des données inexpliquées et de toutes nouvelles réalités surviennent dans le dossier de l amiante Ce bulletin vous présente des outils pour vous aider à : Suspecter les expositions à l amiante en dehors du secteur des mines. Établir une histoire professionnelle afin de documenter ces situations. Considérer l amiante comme une cause possible du cancer pulmonaire de votre patient qui est un fumeur. Quelques faits saillants Le mésothéliome : des données surprenantes Les grandes revues de littérature sur l amiante relatent que l on retrouve une exposition à l amiante chez environ 80% des cas de mésothéliome. On s attend donc à ce que les cas de mésothéliome d origine professionnelle reconnus comme tels à la CSST représentent une proportion importante des cas diagnostiqués dans la population générale du Québec. Or les cas vus à la CSST ne représentent que 22% des cas de mésothéliome diagnostiqués dans la population. Dans la population générale, les taux de mésothéliome de la plèvre ont augmenté de 5% par année entre 1982 et 1996 chez les Québécois et de 3% par année chez les Québécoises. Comment expliquer cette différence? Les analyses effectuées suggèrent que cette augmentation pourrait être observée encore pendant plusieurs années. Mais bien sur, ce phénomène résulte d une exposition passée. Présentement, le Québec contrôle difficilement l exposition à l amiante dans les secteurs de la construction et de la transformation de l amiante qui génèrent un fort pourcentage des cas de mésothéliome reconnus d origine professionnelle à la CSST. Une surveillance étroite de la situation est nécessaire, car l augmentation de ces cancers pourrait persister plus longtemps que prévu. Il faut aussi bien identifier l exposition à l amiante chez les personnes souffrant de mésothéliome, notamment en tentant de reconnaître, au moyen d une histoire professionnelle poussée, des expositions en dehors du secteur bien connu des mines. L amiantose : des données à explorer Entre 1981 et 1996, 116 Québécois et Québécoises sont décédés d amiantose. Entre 1987 et 1996, personnes ont été hospitalisées au Québec avec un diagnostic principal et secondaire d amiantose. Entre 1988 et 1997, 378 travailleurs québécois ont reçu un diagnostic d amiantose dont l origine professionnelle a été reconnue. Ils proviennent principalement du secteur de la construction et de celui de la rénovation et de l entretien. Entre 1988 et 1996, il y a presque 4 fois plus de Québécois et de Québécoises hospitalisés une première fois avec un diagnostic d amiantose. Encore une fois, quels sont les facteurs qui expliquent une telle disparité? Le cancer du poumon : une maladie professionelle sous-estimée Au Québec, en 1998, environ nouveaux cas de cancer du poumon ont été diagnostiqués chez les hommes. Entre 1988 et 1997, 209 travailleurs québécois ont eu un diagnostic de cancer du poumon relié à l exposition à l amiante et reconnu d origine professionnelle. La majorité de ces travailleurs (62%) ont été exposés à l amiante dans les mines, contrairement aux cas de mésothéliome et d amiantose qui proviennent principalement de la construction et de l entretien. Par conséquent il y a probablement une sous-estimation des cas de cancer du poumon consécutifs à l exposition à l amiante dans d autres secteurs, notamment dans le secteur de la construction et dans celui de la rénovation et de l entretien. Les 209 travailleurs avec un cancer pulmonaire d origine professionnelle ne représentent que 0,3% des cas de cancer du poumon de la population générale du Québec, alors qu ils devraient représenter entre 0,5% et 15% des cas. Comment expliquer cette différence? 1
2 Exposition à l amiante et populations à risque Petit rappel sur l amiante... Il existe deux types principaux d amiante : les serpentines et les amphiboles. Le Québec produit du chrysotile, une serpentine, mais il a importé des amphiboles, ce qui explique que l on en retrouve dans les résidences et les édifices publics construits avant la fin des années 1970 ou encore dans les produits manufacturés par le passé. Le risque de développer un mésothéliome varie selon le type de fibres d amiante : il serait plus élevé suite à l exposition aux amphiboles. Maladies, diagnostic et conduite Les trois principales maladies reliées à l exposition à l amiante sont l amiantose, le mésothéliome et le cancer du poumon. Elles apparaissent habituellement de 20 à 40 ans après la première exposition à l amiante et ces maladies présentent la caractéristique de se développer après une forte exposition à l amiante. Cependant le mésothéliome peut aussi apparaître après une exposition moins importante en termes de durée et d intensité. 1. L amiantose L amiantose est une fibrose interstitielle diffuse du poumon, conséquence d une exposition antérieure à l amiante. Le diagnostic d amiantose repose sur une histoire d exposition antérieure à l amiante ou sur la présence de fibres d amiante dans le tissu pulmonaire ou encore sur la présence de corps amiantosiques en excès par rapport à la population générale. Les symptômes sont principalement de la dyspnée et de la toux. On retrouve fréquemment des râles inspiratoires aux bases et moins souvent du clubbing aux doigts (hippocratisme digital). Les anomalies fonctionnelles peuvent inclure des anomalies des échanges gazeux, un syndrome restrictif et des anomalies obstructives dues à l atteinte des petites voies aériennes. A la radiographie, on retrouve de petites opacités 1/0 (voir la classification du Bureau International du Travail dans la Chronique PPM intitulée : La silicose une maladie pulmonaire du passé? sur le site Internet de la santé publique de Montréal). Une tomographie à haute résolution peut confirmer les images radiologiques de l amiantose et elle peut aussi montrer des changements précoces non vus à la radiographie. 2. Le cancer du poumon Les signes et symptômes de cancer du poumon relié à l exposition à l amiante ne diffèrent pas de ceux du cancer du poumon associé à d autres causes. Les types histologiques ne diffèrent pas plus, ni la localisation anatomique. La présence d amiantose est un indicateur de forte exposition antérieure à l amiante. 3. Le mésothéliome Le mésothéliome de la plèvre se présente souvent par une effusion pleurale, de la dyspnée et de la douleur thoracique. Pour faire le lien entre un mésothéliome et l exposition à l amiante, l un ou l autre des éléments suivants devrait suffire : Le décompte de fibres dans les poumons dépassant le bruit de fond La présence radiologique ou pathologique d amiantose La présence de plaques pleurales La présence d anomalies histologiques comme les corps amiantosiques En l absence de ces éléments, une histoire d exposition à l amiante (professionnelle, domestique ou environnementale) devrait suffire pour attribuer un cas à l exposition. Quoi faire en tant que médecin face à un cas? Documenter l exposition à l amiante par une histoire professionnelle détaillée (voir l Aide-mémoire pour une histoire professionnelle). Donner de l information aux patients qui sont encore exposés à l amiante sur leur propre protection en milieu de travail en les référant aux ressources identifiées à la dernière page. Informer les patients qu ils peuvent contaminer leur famille en ramenant des vêtements et des accessoires contaminés par l amiante à la maison. Soyez à l affût! Un patient avec une amiantose, un mésothéliome ou un cancer du poumon a fort probablement été exposé à l amiante en dehors du secteur bien connu des mines, soit dans le secteur de la construction et dans celui de la rénovation et de l entretien. Penser, en tant que médecin, à rechercher une exposition professionnelle en dehors des mines d amiante! Un patient avec un cancer du poumon et qui fume peut avoir été exposé à un cancérigène pour le poumon durant sa carrière, notamment à l amiante. La cigarette n est peut-être pas la seule responsable du cancer de votre patient. L histoire professionnelle est donc un bon moyen de documenter ces situations. L Aide-mémoire pour une histoire professionnelle peut vous aider à poser les questions appropriées. La prévention est de mise! Les maladies reliées à l exposition à l amiante peuvent être prévenues puisque l exposition peut être évitée ou contrôlée par : - L élimination du risque à la source - Le respect des lois et règlements existants qui visent à protéger les travailleurs exposés - L identification des sources et des lieux d exposition à l amiante - L éducation et l information aux travailleurs, aux employeurs et aux médecins - La sensibilisation de la population générale aux dangers d être exposé à l amiante La surveillance et le suivi des sources et des maladies reliées à l exposition à l amiante deviennent plus que jamais nécessaires. En effet, la société québécoise contrôle difficilement l exposition actuelle à l amiante. Mais de plus, de futures expositions pourraient être générées par la Politique d utilisation accrue et sécuritaire de l amiante chrysotile adoptée par le gouvernement du Québec en juin 2002, si les conditions de protection des travailleurs et de la population n étaient pas respectées. 2
3 AMIANTE Aide-mémoire pour une histoire professionnelle L exposition à l amiante responsable d une amiantose, d un mésothéliome ou d un cancer du poumon remonte en général de 20 à 40 ans dans le passé. Il est important de penser à recueillir de l information sur le travail de votre patient dans les métiers à risque, les milieux à risque ou les activités et opérations à risque actuels et passés. La durée de l exposition à l amiante est aussi importante à documenter puisque la probabilité de développer l une ou l autre de ces maladies augmente avec l exposition. Ne pas oublier que les premières manifestations radiologiques de l amiantose sont rarement visibles avant 15 ans depuis l année de la première exposition à l amiante. Activités ou opérations à risque : Pose de matériaux isolants contenant de l amiante autour de tuyaux (calorifugeage) Flocage d amiante (amiante giclé ou pulvérisé sur des structures) Démolition de vieux édifices Rénovation de vieux édifices Entretien, réparation de vieux édifices Construction d édifices ou de maisons avant 1978 Pose ou fabrication de fibro-ciment Enlèvement d amiante Milieux à risque : Raffineries Papetières Chantiers navals et maritimes Chantiers ferroviaires Édifices commerciaux Édifices industriels Édifices institutionnels Mines d amiante Fabrication et entretien de freins Fabrication de tuiles, de carreaux ou de bardeaux d amiante Fabrication de tuyaux d amiante ciment Fabrication de panneaux en amiante Fabrication de portes coupe-feux contenant de l amiante Fabrication de papiers et cartons d amiante Exposition indirecte par des collègues qui travaillent avec de l amiante Métiers à risque : Calorifugeur Tuyauteur-plombier-soudeur Tôlier-ferblantier Manœuvre en démolition ou en enlèvement d amiante Électricien Menuisier Mécanicien d ascenseur Mécanicien en protection des incendies Chaudronnier Frigoriste Câbleur Poseur d appareil de chauffage Autres : De (année) À (année) Durée 3
4 Pour en savoir plus Organismes et fonctions Grandes revues de littérature : Health Effects Institute-Asbestos Research. Asbestos in public and commercial buildings: a literature review and synthesis of current knowledge - Final report. Cambridge: Health Effects Institute - Asbestos Research; INSERM. Effets sur la santé des principaux types d exposition à l amiante. Paris: Les Éditions INSERM; Ressources Les inspecteurs de la Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST) mènent des enquêtes suite à des plaintes. Tél : (514) (24 heures). Les équipes de santé au travail des CLSC désignés par la CSST effectuent un suivi médico-environnemental dans les milieux de travail. Rapport de consensus : Consensus report. Asbestos, asbestosis, and cancer : the Helsinki criteria for diagnosis and attribution. Scand J Work Environ Health 1997; 23 : Aspects cliniques : Newman LS. Occupational illness. New Engl J Med 1995 ; 333(17) : Gauthier JJ, Ostiguy G, Malo JL, Cormier Y. Maladies pulmonaires professionnelles et environnementales. In : Gauthier JJ, Bolduc P, Cormier Y, Nadeau P, eds. Pneumologie clinique. Montréal: Les Presses de l Université de Montréal; P Guidelines for use of ILO international classification of radiographs of pneumoconioses, revised edition Occupational safety and health series, no.22, International Labour Office, Geneva Chronique Prévention sur la silicose sur le site Internet de la santé publique à l adresse suivante : Aspects épidémiologiques : Épidémiologie des maladies reliées à l exposition à l amiante au Québec. Rapport du Sous-comité sur l épidémiologie des maladies reliées à l exposition à l amiante au Québec du Comité aviseur sur l amiante au Québec et présenté au Ministère de la santé et des services sociaux du Québec. Septembre révention C est aussi une chronique bimensuelle Internet L équipe de Santé au travail et environnementale de la Direction de santé publique de Montréal-Centre. Tél : (514) La Clinique interuniversitaire de santé au travail et santé environnementale offre des services de consultation et de suivi post-exposition sur référence du médecin traitant. Tél : (514) révention Un bulletin de la Direction de la santé publique de Montréal-Centre publié avec la collaboration de l Association des médecins omnipraticiens de Montréal dans le cadre du programme Prévention coordonné par le docteur Jean Cloutier. Ce numéro est une réalisation de l unité Santé au travail et Santé environnementale. Responsable de l unité : D r Louis Drouin Rédacteur en chef : D r Louis Patry Édition : Anne Marie Comparot Infographie : Manon Girard Rédacteurs : D r Louise De Guire Collaborateurs : D r Monique Letellier, D r Jean-Pierre Villeneuve 1301, rue Sherbrooke Est, Montréal (Québec) H2L 1M3 Téléphone : (514) Dépôt légal 2 e trimestre 2003 Bibliothèque nationale du Québec Bibliothèque nationale du Canada ISSN : Numéro de convention : Association des Médecins Omnipraticiens de Montréal 4
5 LA CAMPAGNE «PRUDENCE AVEC LE SANG» : Des outils pour informer vos patients En milieu de travail, certaines situations peuvent exposer les travailleurs à du sang contaminé par des agents pathogènes comme les virus de l hépatite B et de l hépatite C ainsi qu au VIH. L ensemble des travailleurs de la santé, les policiers, les pompiers, les agents de services correctionnels et les secouristes sont renseignés sur les mesures à prendre pour se protéger. Pourtant d autres secteurs sont moins bien informés. Les statistiques du Centre régional de prophylaxie post-exposition de Montréal, qui se spécialise dans les soins aux personnes exposées accidentellement au sang et autres liquides biologiques, démontrent qu entre mars 1999 et mars 2003, personnes ont été évaluées pour une exposition s étant produite en milieu de travail. De ce nombre environ 300 travailleurs provenaient des secteurs d activités suivants : hôtels, restaurants, commerces et autres services. Ces accidents impliquant un contact avec le sang peuvent survenir que se soit : À l hôtel en nettoyant une salle de bain Chez le nettoyeur en manipulant des vêtements imbibés de sang Dans un parc en taillant un arbuste Dans un club de golf en nettoyant une voiturette Dans une station-service en vidant une poubelle Dans un restaurant en nettoyant les toilettes Ainsi, les expositions accidentelles avec le sang peuvent survenir en milieu de travail, par une piqûre avec des seringues à la traîne, par une coupure avec des objets coupants-tranchants, en portant secours à des clients ou à des collègues de travail. Les travailleurs doivent donc être informés des risques, des mesures de prévention à utiliser et des gestes à poser suite à une exposition au sang et autres liquides biologiques. La campagne de sensibilisation La campagne «Prudence avec le sang», lancée en février 2003 par la Direction de santé publique de Montréal-Centre, a été conçue pour rejoindre ces travailleurs et leurs employeurs afin de prévenir les accidents impliquant une exposition au sang en milieu de travail. Une pochette contenant de nombreuses informations sur les risques d infection suite à un contact avec le sang, sur les méthodes sécuritaires de travail et sur les gestes à poser suite à une exposition est maintenant disponible pour tous les employeurs et les travailleurs concernés. Dans cette pochette, on retrouve : Un dépliant d information à l intention des travailleurs Un dépliant à l intention des employeurs Une affiche «Danger avec le sang» La carte des CLSC en santé au travail Un bon de commande 8 affichettes : - Le lavage des mains - L entretien ménager - La manipulation des ordures - La manipulation de la literie - La manipulation des objets coupants, piquants ou tranchants - Secours à une personne blessée - Contact accidentel avec du sang - Aide mémoire aux gestionnaires Cette pochette a été diffusée à l ensemble des hôtels, des restaurants et des commerces de la région de Montréal. Vous pouvez, en tant que médecin, vous en procurer pour vos patients qui pourraient bénéficier de ces informations. Ces outils de sensibilisation sont disponibles à la Direction de santé publique de Montréal-Centre en remplissant le bon de commande sur le site Internet : Auteure : Michèle Dupont, M.D., M.Sc., médecin-conseil Unité santé au travail et environnementale Direction de santé publique de Montréal-Centre
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