CAISSE D EPARGNE ALSACE

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1 CAISSE D EPARGNE ALSACE RAPPORT DE L'EXPERT COMPTABLE DÉSIGNÉ PAR LE COMITÉ D'ENTREPRISE SUR L'EXERCICE CLOS LE 31 DÉCEMBRE 2001

2 Mesdames, Messieurs, Nous avons l'honneur de vous présenter le rapport que nous avons établi dans le cadre de la mission que vous nous avez confiée. Nous analyserons ainsi : Les moyens financiers, humains et matériels de la Caisse, L'activité commerciale avec l évolution de la collecte des ressources et de la distribution des crédits, tout en situant ces résultats dans ceux du Réseau, Le contentieux et son impact sur les résultats, L'exploitation et notamment l'évolution des produits bancaires et la formation des résultats au travers des charges engagées et des provisions dotées, et ce, en retraitant les éléments comptables des produits et charges non récurrents Nous avons voulu ce document le plus complet possible en présentant les principales données qui permettent de suivre l'évolution de votre Caisse et de ses résultats. UN ENVIRONNEMENT FINANCIER DEFAVORABLE A LA CAISSE L année 2001 a marqué une rupture avec les précédentes années caractérisées par une croissance et une accélération technologique. Le ralentissement commencé aux Etats Unis avec la chute de l investissement et le fort destockage des entreprises, s est propagé dans la zone Euro avec retard. De plus, la mauvaise conjoncture de l Allemagne a accentué le ralentissement de la croissance européenne. Face à cet environnement, la croissance en France a été soutenue par la consommation des ménages qui est demeurée à un niveau élevé, avec une progression supérieure à 2 %.

3 Les ménages ont ainsi joué le rôle de moteur de la croissance malgré le contexte économique et surtout la remontée du chômage, qui ont fortement entamé la confiance. Néanmoins, compte tenu de la baisse des prélèvements et malgré un affaiblissement de la masse salariale, le revenu disponible des ménages a permis tout à la fois de consommer et de maintenir un taux élevé d épargne. Sur les taux d intérêts, on observe une forte détente du court terme dans le sillage des assouplissements des politiques monétaires orchestrées par les Banques Centrales, notamment américaine (11 baisses consécutives de taux). Sur l année, le 3 mois américain abandonne au 31 décembre plus de 400 points de base à 1,88 %. En Europe, les taux 3 mois ont baissé d environ 150 points de base à 3,29 %. Ainsi, même si l année se termine à un niveau de taux nettement inférieur au début d exercice, en moyenne les taux courts sont restés stables entre 2000 et 2001, ce qui s est traduit par un effet quasiment neutre sur la transformation et les refinancements.

4 L évolution, sur la période, des taux à 10 ans de risque souverain a été fort contrastée démontrant, une fois de plus, que la gestion obligataire pouvait être sujette à une volatilité importante. Après avoir enregistré une tension dans le courant du second semestre, les taux se sont progressivement détendus durant l été. Les évènements de septembre ont concouru à une accélération de la baisse des rendements de par l arrivée de flux significatifs en quête de placements alternatifs aux actions. En fin d année, les espérances de reprises économiques couplées la montée des marchés actions ont orienté les taux à la hausse. Si sur un an les taux des emprunts d Etat ont peu varié (- 7 centimes pour le 10 ans US, + 10 centimes et + 5 centimes respectivement pour les emprunts de l Etat allemand et l OAT 10ans), les écarts entre les rendements les plus bas et les rendements les plus élevés atteignent 130 points de base aux Etats-Unis et 90 points de base en France. Les emprunts du secteur privé, comte tenu des problèmes rencontrés par certains secteurs de l économie (automobile, semi-conducteurs, téléphonie ) ont connu un élargissement de leurs marges (spreads) par rapports aux emprunts d Etat ans 6 10 ans 5 5 en % mois 3 mois O N D D J F M M A M M J J J A S S O N N D J J F M A A M J J J A A S O N N D J J F M M A M M J J A A S O En ce qui concerne l évolution des différents marchés actions, l année 2001 a, une fois encore, été marquée par une forte volatilité des cours ainsi que par d importantes rotations sectorielles. Avec les attentats du 11 Septembre, les mouvements de panique sur les marchés boursiers ont amplifié la baisse.

5 Le C.A.C. 40 a chuté de près de 17 % entre le 11 et le 21 septembre. Puis les bourses ont rebondi de près de 30 % grâce aux mesures de relance des Etats-Unis mais également, à la faveur d un arbitrage des investisseurs qui ont considéré que les actions atteignaient alors des niveaux de valorisation particulièrement bas. Malgré une progression des diverses places boursières sur le dernier trimestre, les performances 2001 restent négatives. Pour l année 2001, les principaux indices ont fortement chutés, le C.A.C. 40 diminuant ainsi de - 21,97 % et le DJ Euro Stoxx 50 de - 20,25 %. Cette baisse s est accentuée en 2002 dans un contexte de scandales à répétitions sur la sincérité des comptes de grands groupes outre atlantique. Ainsi, à ce jour le C.A.C. 40 a de nouveau reculé depuis le 1 er Janvier 2002 de 27 % et le S.B.F. 250 de 24 %. Cette évolution des cours boursiers a eu moins d impact sur les résultats 2001 de votre Caisse que sur la moyenne du Réseau. En effet, le portefeuille actions de votre Caisse représentait, fin 2001, 0,2 % du portefeuille total contre 2,13 % en moyenne au niveau du Réseau (avec un maximum de 6,8 % pour le Pas de Calais et 6,5 % pour la Bourgogne). Toutefois, en cas de baisse des marchés boursiers de 20 %, l impact défavorable sur le résultat est estimé à 2,3 millions d, sauf allègement ou renforcement du portefeuille. Le P.N.B. publiable de l activité financière autonome ressort bénéficiaire de 2,4 millions après correction des éléments non récurrents. Dans le prolongement de ce contexte économique et financier, le secteur bancaire, enregistre un net ralentissement sur la banque d investissement, et, les grands réseaux ont fortement réorienté leur activité et leurs moyens vers la banque de détail soutenue par le développement du crédit immobilier. Ainsi, les ouvertures d agences s accélèrent et les réseaux commerciaux sont renforcés.

6 Le Crédit Lyonnais prévoit l ouverture de 150 agences d ici 2004 pour un réseau actuel de agences, la BNP-Paribas a ouvert 100 agences en 2002 sur un parc de agences, et le CIC poursuit ses ouvertures dans ses différentes banques régionales, et notamment dans la Banque C.I.A.L. Par ailleurs, la concurrence qui est demeurée forte sur la distribution du crédit, s étend désormais à l activité de collecte avec l apparition de nouveaux intervenants bancaires. Ainsi à titre indicatif, ING Direct, filiale de la banque néerlandaise aurait collecté 2,5 milliards d en un an sur son Livret Orange rémunéré à 4,70 % brut (3,25 % net) et ce alors que le flux du Livret A, Poste et Ecureuil, s élèverait à 2,7 milliards. UNE COLLECTE FORTEMENT PENALISEE PAR LE MARCHE DE L ECONOMIE LOCALE ET NOTAMMENT DES P.M.E.-P.M.I. UN RECUL DE L ACTIVITE CREDIT AUPRES DE LA CLIENTELE 280,0 260,0 240,0 220,0 200,0 180,0 160,0 140,0 120,0 100,0 80,0 60,0 40,0 20,0 0,0-20,0 Collecte de Ressources Dont parts sociales Versements de crédits 700,0 600,0 500,0 400,0 300,0 200,0 100,0 0, La correction des marchés actions et l aversion du risque, conjuguées à un effet «bas de laine» lié à l introduction de l Euro fiduciaire ont entraîné en 2001, un retour vers l épargne liquide au détriment de l épargne longue. Dans un contexte plutôt porteur pour les Caisses d Epargne, le Réseau a enregistré, en 2001, une nette reprise de la collecte, avec un résultat de millions, hors comptes de dépôts, contre 857,9 millions en 2000 et une décollecte de 560,0 millions en 1999.

7 Or, selon les données «Performance», la collecte tous marchés de la Caisse sur cette même base, donc hors compte de dépôts, ressortirait négative de 2,0 millions, alors que la Caisse représente 2,4 % de l encours du Réseau. En fait, sur le seul marché des Particuliers, la collecte, hors compte de dépôts, ressortirait à 32,8 millions soit 0,9 % de la collecte du Réseau. Ainsi, contrairement à l exercice 2000 au cours duquel la Caisse enregistrait une collecte de 43,4 millions sur ce marché contre une collecte de 858 millions au niveau du Réseau, l année 2001 marque donc une nette contreperformance. Au 31 Mai 2002, selon les données «Performances», la situation semble s inverser avec une collecte pour votre Caisse de 37,0 millions soit 2,46 % de la collecte du Réseau. Compte tenu d un flux sur le compte de dépôt, la collecte globale ressort au 31 Décembre à 36,5 millions en net recul sur les précédents exercices. Toutefois, une part de ce résultat résulte du développement important des encours comptes de dépôts, en fin d exercice, les ménages utilisant leurs derniers francs fiduciaires pour assurer leurs dépenses de consommation. Sur la base du flux de l encours moyen du compte de dépôts, mesure plus significative de l activité de ce support compte tenu de l importance des mouvements saisonniers, la collecte ressortirait à 25,7 millions, très inférieure aux résultats nationaux du Réseau. Alors que la Caisse a développé son activité crédit, elle enregistre, de nouveau, une décollecte sur les ressources transformables (décollecte plus importante si l on retient l encours moyen du compte de dépôts) malgré le développement du compte de dépôt et une moindre décollecte sur les P.E.P Ressources centralisées -19,2-36,7-118,4-41,0-7,6 Ressources affectées 1,4 1,1-1,9-0,5 1,7 Sous total -17,8-35,6-120,3-41,6-5,9 Ressources pour compte de tiers 48,1 156,2 129,4 175,9 87,5 Epargne commissionnée 30,2 120,6 9,1 134,3 81,6 Ressources transformables 77,0-0,7 91,4-101,1-51,7 Collecte globale hors Parts Sociales 107,2 120,0 100,5 33,2 29,9 Parts sociales 34,2 6,6 COLLECTE GLOBALE 67,4 36,5

8 Compte tenu de l évolution des différents produits, la structure des ressources transformables, a été modifiée, avec une augmentation de la part du compte de dépôts et un recul de la part des P.E.P Livrets 10,17% 9,97% 9,87% 10,04% Libre emploi 27,60% 28,49% 28,72% 28,38% P.E.L. 31,15% 31,94% 32,84% 33,45% Bons 1,50% 1,13% 0,75% 0,55% PEP 14,93% 12,58% 7,99% 5,84% Dépôts à terme 3,33% 3,76% 6,38% 7,57% Compte de dépôts 11,32% 12,12% 13,45% 14,18% 100,00% 100,00% 100,00% 100,00% Malgré cette modification conjuguée aux arrivées à échéance des P.E.P. et des P.E.L. à taux plus élevés, le coût moyen de la ressource clientèle enregistrerait une hausse de 7 points de base en 2001 compte tenu de l effet en année pleine de la remontée des taux réglementés enregistrée en Livrets 3,32% 2,96% 2,75% 3,01% Libre emploi 3,98% 3,43% 3,90% 4,31% P.E.L. 4,34% 4,22% 4,08% 3,95% Bons 3,78% 3,31% 3,47% 2,92% PEP 6,60% 6,36% 5,33% 5,38% Dépôts à terme 4,52% 3,96% 4,36% 4,60% Compte de dépôts 0,09% 0,08% 0,09% 0,08% 3,99% 3,62% 3,47% 3,54% La part du compte de dépôts dans les ressources clientèle transformables (14,18%) demeure inférieure à la part dans les autres banques à réseau (40 % à plus de 50 %) et conduit donc à un coût moyen des ressources supérieur, minorant ainsi le P.N.B. et faussant ainsi les comparaisons de coefficient d exploitation. Ainsi, la Banque Scalbert Dupont affiche un coût de ressource de 2,40 % contre 2,37 % en 2000, soit un différentiel de près de 110 points de base avec la Caisse, soit un coût financier supplémentaire pour la Caisse de plus de 30 millions.

9 En 2001, comme précisé précédemment, selon les statistiques de la C.N.C.E., la Caisse a enregistré un nouvel effritement de sa part de marché de 0,31 point sur le marché des Ménages. Ainsi, sur la période , la part de marché de la Caisse se serait effritée de 0,57 point alors que celle des Caisses hors Ile de France aurait régressé de 0,02 point. Ainsi la Caisse représente une part de marché nettement inférieure à la moyenne nationale avec une part de 10,06 % fin 2001 contre 13,85 % en moyenne pour les Caisses hors Ile de France. PARTS DE MARCHE MARCHE DES MENAGES CAISSE RESEAU / France de Province CAISSE RESEAU / France de Province CAISSE RESEAU / France de Province TOTAL BILAN 17,30% 22,27% 16,35% 21,75% 15,95% 21,55% OPCVM 6,74% 7,42% 12,74% 8,58% 13,05% 9,11% Autres valeurs mobilières 6,33% 9,11% 3,37% 9,36% 0,80% 10,90% Assurance vie 5,10% 7,32% 5,24% 7,43% 5,34% 7,77% TOTAL 10,63% 13,87% 10,37% 13,56% 10,06% 13,85% Evolution -0,26% -0,31% -0,31% 0,29% Ecart Caisse / Réseau -0,05% -0,60% L activité crédit en 2001 se caractérise par un recul des engagements et des versements sur tous les marchés.

10 EVOLUTION DES VERSEMENTS DE CREDIT Caisse d'epargne Alsace (en millions d' ) Prêts personnels 38,3 50,4 48,0 56,5 58,2 78,4. Satellis Aurore 7,5 9,4 10,0 10,2 10,9 10,7 Prêts à la consommation 45,8 59,8 58,0 66,7 69,1 89,1. Prêts épargne logement 41,8 26,8 9,4 5,8 7,8 12,5. Prêts Habitat 65,3 64,7 42,5 30,0 25,8 26,3. Prêts PRIMO + PRIMO Jeunes 30,6 70,6 123,2 206,3 207,6 126,8. Prêts 0 % 7,0 6,3 6,8 7,2 8,7 4,6. EUROPLAN 3,6 8,1 16,2 20,6 29,7 29,0 148,3 176,5 198,1 269,8 279,6 199,2. Prêts conventionnés 16,3 11,5 8,6 9,2 13,4 2,1. Crédits en devises 10,6 14,2 29,4 28,6 8,7 Prêts immobiliers 164,6 198,6 221,0 308,3 321,6 210,0 Particuliers 210,4 258,4 279,0 375,1 390,7 299,1. Prêts aux collectivités / associations 87,7 78,9 92,9 119,4 172,7 110,7. Prêts aux professionnels 84,6 70,1 57,7 81,4 130,8 135,0 Economie Locale 172,2 149,0 150,7 200,8 303,5 245,7 VERSEMENTS 382,6 407,4 429,6 575,9 694,2 544,7 Sur le marché des Particuliers, et notamment sur le marché des crédits immobiliers, les versements (210,0 millions) sont en recul de 34,7 % sur A titre comparatif, le C.I.A.L., sur une zone d activité non limitée à l Alsace, enregistre une hausse de 13,8 % des réalisations de crédits immobiliers auprès des Particuliers, et de + 9,9 % sur les crédits à la consommation aux Particuliers. Néanmoins, compte tenu de la production de ces derniers exercices, la Caisse a renforcé sa part de marché sur les crédits immobiliers, mais également sur les crédits de trésorerie. PARTS DE MARCHE SUR LES CREDITS MARCHE DES MENAGES CAISSE RESEAU / France de Province Trésorerie 2,45% 2,86% 3,20% 4,98% 5,59% 5,69% Evolution 0,41% 0,34% 0,61% 0,10% Total Immobilier 7,97% 8,70% 8,65% 11,73% 12,41% 12,93% Evolution 0,73% -0,05% 0,68% 0,52% Total Crédits 6,57% 7,21% 7,26% 9,91% 10,56% 10,99% Evolution 0,64% 0,05% 0,65% 0,43%

11 Sur les crédits à la consommation, l activité est en forte augmentation (+ 34,7 %) mais s accompagne d une augmentation des créances douteuses (7,0 millions contre 5,9 millions fin 2000). Cette évolution du contentieux s avère plus rapide que les encours. Le taux de contentieux progresse à 3,72 % contre 3,54 % fin 2000, revenant ainsi à des niveaux proches de 1999 (3,79 %). Ce taux de contentieux sur les crédits de trésorerie se situerait plutôt au dessus du taux rencontré dans d autres Caisses (2,45 % en moyenne fin 2000). Par ailleurs, l encours douteux des comptes débiteurs est également en progression à 20,7 millions fin 2001 contre 15,8 millions fin 2000, portant le taux de contentieux de 32,87 % fin 2000 à 35,75 % fin 2001, et ce alors que le taux moyen du réseau ressortait à 20,27 % fin EVOLUTION DU TAUX DE CONTENTIEUX (en millions d' ) Caisse Réseau Caisse Réseau Caisse Réseau Prêts habitat 1,54% 2,87% 1,29% 2,33% 1,18% 1,94% Crédits à l'equipement 2,43% 2,12% 1,95% 1,87% 2,77% 1,63% Crédits de trésorerie 3,68% 2,27% 3,54% 2,18% 3,72% 2,45% Comptes ordinaires débiteurs 21,06% 22,01% 32,87% 19,86% 35,75% 20,27% Après les fortes hausses enregistrées en 1999 et 2000, les versements de crédits aux Collectivités, régressent à 110,7 millions contre 172,7 millions en 2000 et 119,4 millions en Par contre, sur le marché des professionnels, les versements demeurent au même niveau qu en Au global, comparativement au Réseau, et ce dans un environnement concurrentiel plus difficile, la part de la Caisse dans les versements du Réseau se réduit, et ressort inférieure à sa part dans l encours du Réseau.

12 PART DE LA CAISSE DANS LES VERSEMENTS DU RESEAU 1999 Part de 2000 Part de 2001 Part de Ecart CAISSE RESEAU la Caisse CAISSE RESEAU la Caisse CAISSE RESEAU la Caisse de part Total prêts personnels ,37% ,37% ,75% 0,38 Total Prêts immobiliers ,29% ,75% ,37% -1,38 TOTAL PARTICULIERS ,08% ,40% ,47% -0,93 Prêts aux collectivités ,08% ,80% ,67% -1,14 Professionnels et entreprises ,89% ,57% ,69% -0,88 Professionnels de l'immobilier ,31% ,05% Total ,40% ,15% ,35% -0,80 TOTAL ECONOMIE LOCALE ,20% ,54% ,52% -1,02 TOTAL GENERAL ,12% ,82% ,83% -0,99 Compte tenu de l activité commerciale, l encours brut des crédits progresse de 2,8 % à 2,8 milliards. AUGMENTATION DU TAUX DE CONTENTIEUX COMPTE TENU DU CLASSEMENT EN DOUTEUX DE DEUX DOSSIERS IMPORTANTS : GROUPE COCOON POUR 9,5 MILLIONS ET LE GROUPE G. POUR 2,6 MILLIONS. Le stock total des créances douteuses a évolué de + 42 %. Compte tenu de l évolution limitée de l encours brut, le taux de contentieux passe de 2,20 % fin 2000 à 3,04 % fin Cette évolution est due notamment au classement en douteux des dossiers Cocoon et Groupe G. Ainsi les 14 dossiers supérieurs à 152 K entrés au contentieux en 2001, totalisent un encours de 16,1 millions soit 63,4 % de l augmentation des créances douteuses en 2001 et 18,8 % de l encours douteux au TAUX DE CONTENTIEUX Caisse d'epargne Alsace Prêts habitat 1,70% 1,66% 1,73% 1,54% 1,29% 1,18% 1,81% Prêts d'équipement Entreprises 11,02% 9,57% 4,86% 10,63% 8,73% 7,68% 9,53% Crédits de trésorerie Particuliers 4,45% 3,77% 4,09% 4,45% 4,73% 4,37% 4,44% Comptes ordinaires débiteurs Particuliers 19,12% 14,86% 19,65% 23,31% 24,70% 27,62% Entreprises 22,80% 17,11% 21,53% 20,94% 31,42% 35,92% Collectivités et associations 8,43% 1,09% 5,17% 10,45% 21,78% 16,52% 20,91% 21,06% 28,50% 32,87% 35,75% TOTAL 2,51% 2,43% 2,88% 2,76% 2,37% 2,20% 3,04%

13 Le taux moyen de provisionnement ressort à 56,25 % contre 51,64 % fin Le stock de provisions augmente, dans ces conditions, que de 17,1 millions compte tenu du provisionnement des intérêts de retard provisionnés à 100 %. (en millions d uros) 31/12/ /12/ /12/2001 Encours brut 2.337, , ,4 Encours douteux 55,3 60,2 85,6 Provisions pour dépréciation 28,5 31,1 48,2 Taux de provisionnement 51,44 % 51,64 % 56,25 % Taux de provisions/encours brut 1,22 % 1,13 % 1,71 % La charge du risque client pénalise encore une fois les résultats de la Caisse. En effet, il a été constaté en pertes 3,7 millions de créances irrécouvrables après 4,2 millions en 2000 et 8,2 millions en 1999, soit 11,5 % du résultat brut d exploitation comptable contre 12,2 % en CHARGE DU RISQUE CLIENT (hors intérêts de retard provisionnés à 100 %) Excédent Brut d'exploitation Récupération sur créances amorties Créances irrécouvrables Mouvement des provisions Charges créances douteuses Excédent Brut d'exploitation 100,00% 100,00% 100,00% 100,00% 100,00% 100,00%. Récupération sur créances amorties 0,27% 0,54% 0,13% 0,19% 0,52% 0,50%. Créances irrécouvrables -18,99% -11,91% -20,00% -19,24% -12,26% -11,55%. Mouvement des provisions 8,54% -3,21% 13,05% 6,19% -6,56% -45,52%. Charges créances douteuses -10,17% -14,58% -6,82% -12,86% -18,30% -56,57%

14 DIMINUTION DES EFFECTIFS C.D.I. E.T.P. ; PROGRESSION DU TURN OVER Au niveau des moyens humains, le nombre de C.D.I. en E.T.P. ressort à 976 salariés en 2001 contre 998 en 2000, avec au cours de l exercice 98 départs et 57 entrées, et donc une diminution de 4,06 % l effectif CDI au 31 décembre. Le nombre de C.D.D. E.T.P., ressort à 59 contre 56 en L analyse détaillée des différents éléments sociaux fait apparaître un turn over important en 2001 avec un taux de départs de 10,11 % contre 7,62 % en 2000 et un taux moyen de 4,26 % au niveau des Caisses. La Caisse enregistre 48 démissions et 21 licenciements, soit un taux cumulé de 6,83 % de l effectif (2,78 % en 2001 en moyenne au niveau des Caisses), et 23 départs en retraite soit un taux de 2,28 % de l effectif (1,13 % en 2001 en moyenne au niveau des Caisses). Sur les sept derniers exercices, les départs de C.D.I. ont concerné 399 salariés et les embauches 283 salariés, pour un effectif au de salariés CDI. LES FLUX D'ENTREES ET DE SORTIES Embauches de CDI Externes au groupe Internes au groupe 1 Transformation CDD en CDI Départs CDI Démissions CDI Licenciements économiques et autres Départs volontaires en retraite Décès Détachement dans le Groupe Mouvement net Si le nombre de salariés entre 45 ans et 49 ans demeure stable entre 2000 et 2001, le nombre de salariés de plus de 50 ans progresse de 22 salariés.

15 Comme l ensemble des sociétés du secteur tertiaire, la Caisse devrait connaître un choc démographique dans les prochaines années avec 189 salariés atteignant l âge de 60 ans entre 2002 et 2011, ce qui représente sur la base d une population de 969 C.D.I. au , 19,5 % des salariés C.D.I. DES ELEMENTS FINANCIERS IMPACTENT FORTEMENT LE COMPTE DE RESULTAT DES COMPARAISONS DIFFICILES AU NIVEAU DU P.N.B.COMPTABLE L appréciation du P.N.B. est, rendue difficile les éléments non récurrents et notamment l impact direct et indirect du portefeuille sur le P.N.B. et les résultats. Les produits financiers rattachés à l activité Banque de Détail, s élèvent, en 2001, à 42,0 millions soit, compte tenu des capitaux moyens de 957,0 millions, un taux de rendement moyen de 4,39 % contre 4,93 % en Ainsi, après imputation du coût des ressources, le portefeuille de la Banque de détail dégagerait un P.N.B. de 4,0 millions contre 14,1 millions en Cette diminution du P.N.B. du portefeuille absorbe, en fait l augmentation du P.N.B. Crédits qui bénéficie d une hausse du taux moyen des crédits supérieure à l évolution du coût moyen des ressources. Ainsi, sur les crédits, l exercice 2001 enregistre une amélioration du taux de marge moyen et le développement des encours moyens. Après imputation des autres produits, le P.N.B. Courant de la Banque de détail ressort à 127,0 millions contre 122,7 millions en 2000, soit une hausse de 3,5 %, alors que l activité financière fait apparaître un P.N.B. courant de 2,4 millions, et l activité de garantie de 1,7 million. P.N.B. Courant En K Variations en % Banque de détail 122,7 127,0 + 3,5 % Activité financière 1,7 2,4 Activité de garantie 0,9 1,7 TOTAL 125,4 131,1 + 4,5 %

16 Parmi les fondamentaux du P.N.B. il convient donc de noter : Un redressement du taux de marge sur les crédits qui se conjugue aux effets du développement commercial, Une augmentation des services bancaires. Au niveau des charges d exploitation, l exercice se caractérise, sur les seuls éléments récurrents, par une diminution des charges externes de 7,80 %, et de 4,35 % des frais de personnel. L excédent brut d exploitation Courant s élève, en 2001, à 29,6 millions contre 16,5 millions en 2000, et 20,0 millions en 1999 et ce après prise en compte des amortissements. en milliers d' 2000 % 2001 % Variations BANQUE DE DETAIL PNB Courant ,00% ,00% 3,47% Services extérieurs ,79% ,84% -7,14% Frais de personnel ,62% ,44% -3,74% Impôts et taxes ,53% ,20% -6,28% ,93% ,48% -5,11% RESULTAT BRUT ,07% ,52% 33,76% Dotation aux amortissements ,12% ,62% -2,89% RESULTAT BRUT après amortissements ,94% ,90% 55,10% Charge du risque clientèle ,22% ,00% ,72% ,91% 79,13% Résultat exceptionnel ,35% ,32% CAPACITE BENEFICIAIRE COURANTE avant I.S ,37% ,59% 65,38% Gain ou perte sur immobilisations ,25% 439 0,35% Eléments non récurrents ,14% ,38% Impôt sur les sociétés 714 0,58% ,17% RESULTAT AVANT PROVISIONS ,06% ,38% Provisions FRBG et réglementées 622 0,51% ,74% RESULTAT NET ,57% 818 0,64% Cette très forte hausse de l excédent brut d exploitation Banque de détail résulte donc de l augmentation du P.N.B. du fait de l augmentation de l activité commerciale et d une amélioration des marges, et de la réduction des charges notamment des frais de personnel dont le poids sur le P.N.B. se réduit de près de 3,2 points. Cette augmentation de la productivité se confirme dans l analyse des frais sur les volumes. Ainsi, le taux de frais de personnel sur les volumes d épargne gérée et de crédits distribués passe de 0,619 % à 0,606 % soit un gain financier évaluable à 1,1 million.

17 La capacité bénéficiaire de la Caisse (résultat net avant éléments non récurrents, gains sur actif immobilisé, impôt sur les sociétés) passe, sur la Banque de Détail, de 6,6 millions à 10,9 millions malgré la hausse de la charge du risque client. Le résultat de l activité financière autonome vient majorer l augmentation du résultat de la Banque de Détail. CAPACITE BENEFICIAIRE COURANTE avant I.S Dont Banque de détail ,38% Activité de garantie ,95% Activités financières La situation de la collecte demeure préoccupante, notamment comparativement aux autres Caisses, et ce compte tenu de l impact de cette activité sur le PNB (commissions et coût de la ressource). De même, l évolution de la production de crédit pourrait pénaliser les P.N.B. et les résultats futurs. Nous analyserons, d une manière plus détaillée ces différents éléments dans la suite de notre rapport. En vous remerciant pour la confiance que vous nous avez témoignée, nous restons à votre disposition pour toutes explications complémentaires sur le présent rapport ou pour examiner certains points particuliers. Saint-Ouen, le 12 Octobre 2002 S. FLAGE - J. LE MEUR - D. PELERBE - L.J. RINGUET

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