Communication PME et création d emploi en Algérie : Quelles réalités?

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1 Communication PME et création d emploi en Algérie : Quelles réalités? Présentée par: Aimad Datoussaid 1 Résumé : entreprise algérienne et en particulier, les PME (petites et moyennes entreprises) occupent une position de premier plan dans le processus de développement économique algérien, ce qui explique un phénomène démographique important dépassant la barre de entreprises en A partir de l année 2000, le poids de la PME/PM dans le tissu national a fortement augmenté par l émergence du secteur privé, le nombre a plus que doublé et la densité a presque quadruplé, les statistiques existantes indiquent que plus de la moitié des PME a été créée entre 2001/2007, suite à la loi d orientation sur les PME de 2001, soit PME. A la fin de 2010 le nombre des PME privées a connu une évolution remarquable et a enregistré le nombre de entreprises alors qu en début de 2003 elles étaient à entreprises ; contrairement au nombre des PME publiques qui a enregistré une diminution de 228 entreprises en sept (07) années. En matière de densité, le secteur enregistre un taux de dix sept PME pour mille Habitants (17/1000) comme plafond en 2010, un taux qui reste très loin des normes internationales ou le taux le plus faible est de l ordre de quarante cinq PME/PM pour mille habitants (45/1000) et en terme de créations pour 1000 habitants, l Algérie affiche 3.15 en 2008 alors que ce nombre varie entre 4 et 8 dans les pays développés. En terme d emploi, la création est éphémère suite à l absence de croissance extensive et intensive. Mots clés : PME, d entreprise, d Emploi, Densité, Productivité, Rentabilité, contraintes. 1 Doctorant en économie à la Faculté des sciences économiques et de gestion et sciences commerciales, U. Sidi Bel Abbes (Algérie); Tel ; ; datou_imad@yahoo.fr 1

2 ntroduction Face à la mondialisation qui est actuellement une réalité économique, le défi de la compétitivité s impose. es entreprises qui arrivent donc à relever ce pari ne peuvent être que des petites et moyennes entreprises (PME) car la PME est le champ élargi de l investissement privé auquel aspire les différents opérateurs dans les diverses économies. Ce type d entreprise devient ainsi le moteur essentiel de la création d emplois. Créer davantage d emplois viables et pérennes demeure une priorité majeure pour l Algérie qui a connue une mutation très importante en raison du passage de l économie administrée à l économie du marché ou les PME doivent prendre de l importance pour absorber les flux croissants de main d œuvre. Et c est dans ce cadre qu une revue de la littérature ayant trait à la croissance des PME et à la création d emploi sera exposée en premier lieu et qui sera suivi en second lieu d un aperçu sur la croissance des PME algériennes par secteurs et en dernière section, la croissance des PME algériennes et la création d emploi réellement réalisés seront révélés à travers l élaboration des indicateurs économiques appropriés. Revue de la littérature orsqu'on parle de la création d emploi, la question de la croissance des entreprises est cruciale en particulier la croissance des petites et moyennes entreprises (PME), car ce type d entreprise devient le moteur essentiel de développement et de la croissance économique : c'est un point central pour en assurer sa survie à long terme et créer davantage d emplois viables et durables. es auteurs qui ont abordé cette question sont: Kaplan (1948), dans le livre «Small Business: ts place and problems», tient compte des spécificités des PME et de leur non profitabilité présumée. l rappelle que les petits profits dans une PME ne signifient pas que l entreprise n'est pas efficace. Selon l'auteur, le propriétaire d'une petite entreprise peut décider de maintenir la petite taille de son entreprise parce que celleci lui permet d'avoir plus de contrôle sur tous les processus de l organisation. Situation qui ne favorise point la création d emploi. l en est de même pour Edith Penrose (1959) qui, après étude de la croissance des entreprises et lors de l examen du comportement des PME a constaté que la plupart des entreprises demeurent petites 1, tout en soutenant qu'il existe des propriétaires qui ne veulent pas faire grandir leur entreprise, parce qu'ils ne veulent pas perdre leur contrôle sur celleci ou parce qu'ils n'ont pas d'ambition (en dépit du fait qu'ils démontrent des grandes habiletés managériales). l a signalé que les petites entreprises doivent affronter les grandes entreprises dans les marchés qui intéressent ces dernières. Toutefois, pour ce même auteur qui soutient que la croissance de l'entreprise dépend de trois facteurs: des dispositions des propriétaires des PME, des caractéristiques de 1'organisation (comme la coopération entre les différents secteurs et la planification) et des conditions du marché 2 ; les PME peuvent tout de même 1 Penrose (1959) a avance quatre raisons principales a la non croissance des entreprises, a savoir: (1) il y a des activités que les grandes entreprises ne peuvent pas faire; (2) il existe des secteurs d'activité dans lesquels il est très facile de lancer une nouvelle entreprise, ce qui ne veut toutefois pas dire que les entreprises de ces secteurs survivront longtemps; (3) il subsiste des segments de marche que les grandes entreprises laissent aux PME a la condition qu'elles ne dépassent pas certaines limites de prix et de taille; 2 faut signaler encore que la littérature sur la croissance des PME ne fait pas l'unanimité. De plus, il existe toujours des chercheurs qui étudient les conditions de la croissance des PME et ce qui la caractérise : Robinson 2

3 décider de l'orientation qu'elles veulent donner à leur croissance: soit pour devenir une grande entreprise sur le marché, soit pour devenir la meilleure dans le domaine. Selon Moore (1959), la manière d'aborder la croissance des PME se transforme. l a proposé un modèle explicatif de la croissance des petites entreprises qui a fait école : l entreprise commence par une phase ou elle est très dépendante de 1'entrepreneur, de ses pensées et intentions particulières; puis, la stratégie de l'entreprise se rationalise, des spécialistes sont engagés et la gestion devient plus professionnalisée et moins personnalisée; dans la troisième et dernière phase, l'entreprise s'organise, se bureaucratise et commence à présenter des spécialisations en marketing et en production, se dirigeant vers le modèle rationnel et bureaucratique de la grande entreprise. Par la suite, plusieurs chercheurs ont travaillé sur les modèles de croissance des PME. Steinmetz (1969) a crée un modèle base sur les épreuves de contrôle et Greiner (1972) a proposé une typologie des évolutions et révolutions pendant la croissance d'une entreprise, reposant sur l'idée qu'une phase de croissance mène à une crise dont la résolution est le début d'une autre phase de croissance. Mais c'est à Starbuck (1965) qui revient le mérite d'avoir suggéré que le changement de taille implique un changement dans le comportement stratégique de l'entreprise. 'auteur fait une recension de la littérature jusqu'au début des années 1960 en abordant les raisons attribuées à la croissance d'une entreprise. a croissance étant le changement dans la taille de l organisation, il examine les modèles qui expliquent la croissance, les changements de structure nécessaires dans les entreprises qui grandissent, et la relation entre la croissance et l'adaptation de l'entreprise à son environnement. Starbuck (1965) fait le lien entre la formalisation, la flexibilité et le changement de comportement stratégique dans la mesure que l'entreprise croit. A partir de la fin des années 1970, la diversification devient une des stratégies les plus conseillées pour les petites entreprises qui veulent croître (Tyebjee, Bruno et Mclntyre, 1983; Watts, Cope et Hulme, 1998; Qian, 2002; ichtenthaler, 2005; acobucci et Rosa, 2005). Toutefois, les auteurs qui s'intéressent à la diversification dans les PME estiment cette strategic plutôt laborieuse pour ces entreprises. (Parks, 1977; Tyebjee, Bruno et Mclntyre, 1983; ynn et Reinsch Jr, 1990; Watts, Cope et Hulme, 1998; Qian, 2002; acobucci et Rosa, 2005). Pour Parks (1977), la croissance des PME se fait à travers le dépassement de onze obstacles, dont la diversification est le huitième. D'après l'auteur, un processus de diversification est presque égal au processus de création d'une nouvelle entreprise, en ce qu'il implique autant de difficultés. Dans le cas de l entreprise algérienne, à la lumière de quelques recherches (Gillet 2003, Hamed 2003, Melbouci 2004) ; Khalil.A. (2006) a pu mettre en évidence quelques caractéristiques et singularités des PME algériennes : les PME sont plutôt concentrées dans des niches ou des créneaux que le secteur public a délaissés, ce qui leur a donné des positions confortables de monopole. Elles sont de ce fait rentières et peu génératrices d innovation et d emploi jusque là. et al.(1984), Olson et Bokor (1995), Mien (2000), Baurn, ocke et Smith (2001), Havnes et Senmeseth (2001), Davidsson et al.(2002) et Delmar, Davidsson et Gartner (2003). 3

4 es entreprises sont plutôt familiales et peu enclines à l ouverture du capital aux étrangers. es techniques de croissance (cession, fusion, regroupement..) sont non maîtrisées et non utilisées. es PME algériennes possèdent des ressources sous utilisées faute d un environnement propice aux affaires. Une partie des activités de l entreprise se pratique dans l informel (financement, production, commercialisation, approvisionnement). e marché des entreprises est principalement local et national très rarement international. Dans toute économie, la PME permet et contribue à la croissance et au développement économique. Selon Aliouat.B. (2011), Djeflat (2007), leur capacité à générer l emploi est supérieure aux autres types d entreprise, et ce malgré leurs ressources financières limitées pour supporter l effort des activités des recherches et de développement Rothwell (1989). D après Aliouat.B et Nekka.H. (2011), en Algérie, actuellement la croissance est principalement tirée par un seul moteur, celui de la dépense publique qui est financée par la fiscalité pétrolière ce qui n est pas favorable aux PME et à leur croissance. Selon Khalil.A (2006), «dans la structure du parc des PME algériennes, la très petite entreprise (TPE) est largement prédominante, elle représente en 2005 plus de 95% du total des entreprises». «En terme d emploi la répartition est globalement équitable entre chacune des catégories qui emploient environ le tiers des salariés» Bouyakoub (2003). Et dans le cadre de la globalisation, «l emploi créé en Algérie ne serait que de l emploi précaire ou comme le qualifient certaines analyses d emploi politique» Ahmed.T (2007). la croissance des PME Algériennes ouverture économique de l Algérie amorcée dès 1989 a entraîné un développement important du parc des entreprises privées. Ce développement concerne aussi bien le nombre de nouvelles entreprises que leur poids dans les différents secteurs d activité. Depuis l adoption d un nouveau code des investissements en qui se veut être la pierre angulaire de la volonté d ouverture de l économie renforcées par les dispositions relatives au développement des investissements en a tendance à la croissance des PME algériennes connaît une évolution positive telle que rapportée dans les tableaux suivants: Tableau n 1: évolution des PME algériennes durant la période Année PME privée PME publique Artisans Total Source : Ministère de la Petite et Moyenne Entreprise et de l Artisanat 1 Décret législatif du 05/10/1993 relatif à la promotion de l investissement. 2 oi n 0118 du 12 décembre oi d orientation sur la petite et moyenne entreprise (PME). Celleci définit et fixe, entre autres, les mesures de facilitation administratives dans la phase de création de l entreprise qui pourraient être mises en œuvre. Elle prévoit également la création d un fonds de garantie des prêts accordés par les banques en faveur des PME. 4

5 A l exception du pic en 2005 et après une stagnation entre , la PME publique n a pas cessé d enregistrer des régressions à partir de 2006 jusqu à Contrairement à cette dernière, a PME privée a connu une évolution progressive durant la période Tableau n 2 : Répartition des projets d investissement par secteur d activités (10 6 DA) Année BTP Commerce Transport Service ndustrie Tourisme Agriculture TOTA Source : Agence Nationale de Développement des nvestissement Sur les sept (07) secteurs essentiels (voir tableau n 2) sur lesquels s appuie a PME algérienne : la plus grande part en matière d investissement est destinée à trois (03) secteurs : e Transport ; industrie et le BTP 1. l est à noter qu en 2003 le transport a atteint un montant pic de es secteurs de l industrie et du BTP ont affiché respectivement les montants de et de en 2007 ; tandis que les autres secteurs ont pris une faible part des projets d investissement. Situation qui nous pousse à constater que la PME algérienne n arrive pas à se diversifier. Tableau n 3: Evolution de la valeur ajoutée durant la période : la valeur ajoutée (10 6 ) Année BTP Commerce Transport Service ndustrie Tourisme Agriculture TOTA Source : établi à partir des données du ministère de la PME On constate à travers le tableau n 3 cidessus que les sept (07) secteurs contribuent d une manière progressive dans la valeur ajoutée mais avec des degrés différents. agriculture et le Commerce occupent la première position, tant attendue des secteurs qui ont bénéficiés des grands projets d investissement.résultat qui mérite une ample réflexion. 1 BTP : Bâtiments et travaux publics 5

6 le réel : a croissance des PME et la création d emploi au niveau de l économie algérienne ne seront réellement mesurées que sur la base des résultats à travers l élaboration d indicateurs économiques appropriés: Tableau n 4 : la création et la densité des PME pour 1000 habitants durant la période Année Taux de % / PME/1000 Habitants Densité PME/1000 Habitants / Source : Calcul effectué d après les données du tableau n 1 Après le calcul des ratios en termes de création ( PME/1000 habitants), il nous a été donné de constater que les taux sont restés très faible et en matière de densité la PME algérienne affiche un taux modeste ayant atteint 17 comme plafond en Tableau n 5: Répartition et création des PME selon les secteurs d activités durant Année BTP Taux de / Commerce Taux de / Transport Taux de / Service Taux de / ndustrie Taux de / Tourisme Taux de / Agriculture Taux de / TOTA Taux de / Source : Calcul effectué d après les données du ministère de la PME 1 Alors que les pays développés en terme de création ce nombre varie entre 40 et 80 entreprises pour 1000 habitants et en matière de densité les pays développés affichent des taux évoluant entre 45 et 80. 6

7 Toutes les PME réparties à travers les sept (07) secteurs présentent un taux de création très faible n ayant pas connu de progression durant la période arrêtée ( ) et qui reste loin des normes internationales. En 2005, le secteur d agriculture a enregistré un taux culminant de 25 %. BTP et le secteur du commerce après avoir respectivement enregistré en 2002 les taux de 35% et 20% ont régressé pour arriver à un taux de 11% et 10%. Tableau n 6: Répartition et création d emploi selon les projets d investissement durant Année BTP Taux de / % Commerce Taux de / Transport Taux de / Service Taux de / ndustrie Taux de / Tourisme Taux de / Agriculture Taux de / TOTA Taux de / Source : Calcul effectué d après les données du ministère de la PME et l Agence Nationale de Développement des nvestissements Selon les projets d investissement, l emploi officiellement déclaré au niveau total a été positif durant la période étudiée et ce à l exception des années 2002 et A titre comparatif, il nous a été donné de remarquer que tous les secteurs ont enregistré des résultats perturbés, tantôt négatifs, tantôt positifs. A l exception du commerce en 2006, les taux de création importants enregistrés par l ensemble des secteurs ont un rapport avec les projets d investissement déclarés. année suivante nonobstant nous restons pessimiste car au lieu d observer des taux proportionnellement élevés à cause de la croissance des projets d investissement nous avons constaté un déficit en matière de création d emploi. es résultats atteints révèlent que les secteurs sur lesquels s appuient la PME algérienne a connu peut être une croissance intensive. Chose qui nécessite l entrée en jeu à partir des relations de la productivité et la rentabilité du travail. 7

8 Tableau n 7 : la productivité du travail (moyenne et marginale) : Effectif : 10 6 DA Année cumulée productivité BTP Commerce Transport Service ndustrie Tourisme Agriculture TOTA v2007v Source : Calcul effectué d après les données du tableau n 3 et 6 Comme le montre le tableau cidessus, la productivité durant a été faible pour l ensemble des secteurs, instable pour le transport et le tourisme et négative parfois pour l agriculture. Quant aux commerces et le BTP, elle a été constante. industrie a fait usage d une productivité décroissante. Cette observation explique la croissance des taux de création d emploi. Concernant la productivité marginale on constate que pour tous les secteurs est inférieure à la productivité moyenne et parfois négative ; chose qui explique que la production totale a en effet augmentée mais avec un taux décroissant, car la création du poste de travail supplémentaire enregistré et cumulé durant la période arrêtée, au lieu de contribuer au niveau de la valeur ajoutée a défavorisé la production. Cette remarque laisse supposer que la création de l emploi est fictive. 8

9 Tableau n 8 : Rentabilité (moyenne et marginale) durant (10 6 DA) Année cumulée Rentabilité v2007v BTP Commerce Transport Service ndustrie Tourisme Agriculture TOTA Source : Calcul réalisé sur la base des données du tableau n 2 et 3. A travers les résultats, on déduit que l investissement additionnel cumulé non seulement n a pas engendré un gain mais il n est même pas égalé et ce suite à la faible contribution annuelle dans la valeur ajoutée. l a été parfois négatif. Situation qui ne laisse pas l entreprise s accroître et donc elle ne permet pas la création d emploi. Tableau n 9: Evolution de l investissement individuel (10 6 ) Année nvestissement/ BTP Commerce Transport Service ndustrie Tourisme Agriculture TOTA Source : Calcul réalisé sur la base des données du tableau n 2 et 6. A travers le tableau on constate que l investissement individuel moyen (la part du travailleur de l investissement) et l investissement individuel marginal varie d un secteur à un autre et d une année à une autre. Après examen de chaque secteur, il y a lieu de remarquer que l investissement individuel marginal n est pas stable par rapport à l investissement individuel moyen. Un doute en terme de création d emploi et sa croissance plane sur cette situation. Chose qui exige la comparaison de l investissement individuel marginal et de la productivité marginale. Voir tableau ci dessous. 9

10 Tableau n 10 comparatif : investissement individuel et rentabilité individuelle (10 6 DA) Année Ratios BTP Commerce Transport Service ndustrie Tourisme Agriculture TOTA Source : Calcul effectué sur la base des résultats du tableau n 9 et 7. A titre comparatif, pour tous les secteurs, chaque année la rentabilité individuelle a été inférieure par rapport à l investissement individuel ; résultat qui handicape l entreprise de connaître une croissance extensive lui permettant de générer la création rationnelle d emploi et ce malgré l augmentation des compétences technique et technologique comme facteurs de production. Tableau n 11 comparatif: le capital cumulé et rentabilité ( ) Année Ratios BTP Commerce Transport Service ndustrie Tourisme Agriculture TOTA K K K K K K Source : Calcul réalisé sur la base des données du tableau n 2 ;6 et 7. a fonction de CobbDouglas est une fonction qui s appuie sur le capital (K) et le travail () comme facteur de production. Si on applique la fonction de CobbDouglas (de degré 1), on a : Y = K. Y/ = K/./ Y/ = K/ Position : Bonne pour l entreprise. es résultats atteints sont inquiétants sachant que pour tous les secteurs la rentabilité est nettement inférieure au capital cumulé (l augmentation des compétences technique et 10

11 technologique cumulé comme facteurs de production): conjoncture désastreuse pour l entreprise et qui ne favorise pas la création d emploi. Conclusion : A travers cette étude, on se rend compte que la PME algérienne, est coincée dans une crise, ponctuée par de nombreux problèmes et contraintes, ce qui la rend incapable de connaître une croissance durable, en particulier dans un nouvel environnement qui se distingue par des nouvelles données imposées par des nouveaux concepts dont le plus important est la mondialisation économique. Dans le cadre de cet environnement, Créer d avantage d emplois viables pérennes et pas précaires ne sera atteint qu à travers une croissance biface : a intensive pour bénéficier par des gains de productivité et de la rentabilité qui permettent d augmenter les revenus b et extensive pour tirer profit de l ouverture de nouvelles usines et générer par conséquent la création d emploi. Bibliographie : 1 Ahmed.T (2007), Elément d analyse de l impact de la libéralisation commerciale sur la dynamique de l emploi: le cas Algérien, les Cahiers du Mecas, N 3,pp Bernard.B et Henri.V (2005), nitiation à la microéconomie (Manuel), 2 ème édition, Dunod. 3 Boualem Aliouat, hadj Nekka (2011), dentité, valeurs et légitimité au sein des PME algériennes : une approche conventionnaliste de leur réussite en milieu hostile, Business management review, Vol (2). 4 Bouyakoub.A. (2003), les PME en Algérie : quelles réalités?, Document de travail, GriotCnam Djeflat.A.(2007), les nouvelles exigences dans une économie fondée sur la connaissance : cas des entreprises maghrébines, TC et développement, 21 août. 6 Gillet.A.(2003), les entrepreneurs algériens de petites et moyennes entreprises, un groupe hétérogène entre logiques domestiques et logique économique capitaliste, document du travail 16, Griot, Cnam. 7 Greiner, arry (1972), Evolution and Revolutions as Organizations Grow. Harvard Business Review 50 (JulyAug) pp: Hamed.Y.(2003) le financement de la micro entreprise au Maghreb, cas de 429 micro entrepreneurs algériens, Cahier du Gratis n 22, univ Paris X. 9 acobucci, Donato et Rosa, P. (2005), Growth, Diversification, and Business Group Formation in Entrepreneurial Firms. Small Business Economics 25 (1) pp: Julien.P.A(1997), les PME : Bilan et perspectives, édition économica 11 Kaplan, A. D. H. (1948), Small Business: its place and problems New York: McGraw Hill. 12 Khalil Assala (2006), PME en Algérie : de la création à la mondialisation, 8 ème congrès international, l internalisation des PME et ses conséquences sur les stratégies entrepreneuriales, Haute école de gestion, fribourg, suisse. 13 ichtenthaler, Eckhard (2005), Corporate diversification: identifying new businesses systematically in the diversified firm. Technovation (7 July) pp: ynn, Monty. et ReinschJr, N.. (1990), Diversification Patterns Among Small Business. Journal of Small Business Management 28 (4 Oct) pp: Malbouci..(2004), essor des PME algériennes par la théorie des ressources, 7 ème Congrès international francophone en Entrepreneuriat et PME CFEPME. Vol.1: Moore, D.. (1959), Managerial Strategies n: Warner, W.. and Martin, N. H. (eds) ndustrial Management New York: Haper 17 Parks, George M. (1977), How to Climb a Growth Curve, Eleven Hurdles for the Entrepreneurmanager (parts et ). Journal of Small Business Management 15 (1 et 2) pp: 2529, pp Penrose, Edith (1959), The Theory of the Growth of the Firm Oxford: Basil Blakwell 19 Qian, Gongming (2002), Multinationality, product diversification, and profitability of emerging US smalland mediumsized enterprises. Journal of Business Venturing 17 (6 Oct). 20 Rothwell R. (1989), Small firms innovation and industrial change. Small Business Economics. 21 Starbuck, William (1965) Organizational Growth and Development n: March, James (Ed) Handbook of Organization Chicago, Rand Nyle 11

12 22 Steinmetz, awrence 1969) Critical Stages of Small Business Growth Business Horizons (February) pp: Tyebjee, Tysoon T.: Bruno, A. V. et Mclntyre, S. (1983) Growing Ventures can Anticipate Marketing Stages. Harvard Business Review (Jan/Feb) pp: Watts, Gerald: Cope, J. et Hulme, M. (1998), Ansoff s Matrix, Pain and Gain : Growth strategies and adaptive learning among small food producers. nternational Journal of Entrepreneurial Behaviour et Research 4 (2) pp:

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