L actualité rhumatologique : 58 es Journées du Centre Viggo Petersen, mars 2013 Un résumé de ce grand rendez-vous
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- Angèline Breton
- il y a 8 ans
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1 ÉCHO DES CONGRÈS L actualité rhumatologique : 58 es Journées du Centre Viggo Petersen, mars 2013 Un résumé de ce grand rendez-vous n Résumer ces 2 journées en quelques pages mission impossible, tellement le contenu est riche et dense, tellement les sujets abordés sont variés! Cette année, les communications, toujours focalisées sur des sujets d actualité, ont été regroupées par thèmes et non panachées sur l ensemble des deux journées. Cet exercice est délicat, pas toujours apprécié des auditeurs d après les premières réactions à chaud et laisse de toute façon une large place à la variété. Pr Philippe Orcel* L OSTÉOCYTE, AU CENTRE DES DÉBATS Cette cellule est redécouverte depuis quelques années. Emmurée dans la matrice osseuse, elle a été longtemps ignorée, négligée. L ostéocyte a pourtant un rôle physiologique capital de mécanosenseur, permettant d orchestrer la séquence de remodelage osseux. Il est une cible de développements thérapeutiques prometteurs, visant notamment la sclérostine. Il pourrait aussi jouer un rôle important dans le vieillissement du cartilage du fait de sa situation stratégique dans l os sous-chondral, à l interface os-cartilage. BISPHOSPHONATES ET FRACTURES SOUS- TROCHANTÉRIENNES Un point détaillé sur les fractures atypiques sous-trochantériennes, à partir d une dizaine de travaux *Chef du service de rhumatologie, CHU Lariboisière, Paris épidémiologiques récents, a permis de mettre en avant le rôle primordial d un traitement prolongé par bisphosphonates, même si les mécanismes pathogéniques ne sont pas connus. Le risque augmente après 8 ans de traitement, ce qui a modifié récemment notre conduite pratique. SUPPLÉMENTATION EN VITAMINE D La revue des nouvelles récentes en pathologie osseuse a mis en avant des travaux, souvent provocateurs ou polémiques, issus de grandes revues de médecine interne et sur plusieurs articles concernant le calcium et la vitamine D : métaanalyse soulignant que la prévention des fractures non vertébrales nécessitait un apport quotidien minimum de 800 UI de vitamine D3, bonne sécurité de l administration des suppléments en vitamine D, absence d effet de la vitamine D sur l incidence des infections des voies aériennes ni sur les symptômes ou l évolution de la gonarthrose dans des études originales d intervention, augmentation de la mortalité d origine vasculaire artérielle en cas d apports excessifs (> mg/j) ou très insuffisants (< 600 mg) en calcium, diminution du risque d hyperparathyroïdie en cas d apports en calcium supérieurs à 1 g/jour. OSTÉOLYSE TUMORALE L efficacité des bisphosphonates et du dénosumab pour prévenir et traiter les complications associées à l ostéolyse tumorale, notamment aux métastases osseuses de cancers solides, a été analysée, en particulier à la lumière d une revue Cochrane très récente. Cette efficacité démontrée doit être mise en perspective avec les risques de ces traitements. Les principaux concernent des baisses de calcémie, transitoires et rarement symptomatiques après les injections de 124 Rhumatos Avril 2013 vol. 10 numéro 87
2 58 es JOURNÉES DU CENTRE VIGGO PETERSEN dénosumab et surtout le risque d ostéonécrose de la mâchoire. Ce risque, important dans cette situation de traitement, impose des mesures préventives et de surveillance, ainsi qu une inter-action étroite avec les spécialistes de la cavité buccale. Une autre communication a souligné l intérêt potentiel du dénosumab dans la prise en charge de certaines tumeurs osseuses à cellules géantes. Dans certains cas, lorsqu une résection chirurgicale s avère impossible ou très lourde, un traitement par dénosumab semble avoir l intérêt de diminuer considérablement le volume tumoral, perspective prometteuse pour certains patients. UN GROS PAVÉ DE MÉDECINE INTERNE MALADIE DE HORTON La maladie de Horton est encore capable de livrer des secrets, notamment dans le domaine physiopathologique. Depuis que je fréquente les services de médecine, j entends parler d une possible origine infectieuse de cette artérite gigantocellulaire des grosses artères Des travaux récents, mais non encore publiés, évoquent l implication possible d une nouvelle bactérie, répondant au nom gracieux et facile à retenir de Burkholderia pseudomallei-like, ce qui ne change pas la prise en charge actuelle. Des données de travaux immunologiques suggèrent aussi le rôle physiopathologique central de la cellule dendritique adventitielle, d une polarisation Th1 et Th17 des lymphocytes T recrutés, de l absence d expansion des lymphocytes Treg et d un rôle des récepteurs Toll-like, dont l expression différentielle par les parois des grosses artères pourrait rendre compte de la répartition de prédilection des atteintes sur l aorte descendante et ses branches à destinée encéphalique. AMYLOSE AL L amylose AL est la conséquence de dépôts de chaînes légères d immunoglobulines sous forme de fibrilles dans différents organes. Les cibles responsables de la mise en jeu du pronostic vital sont le rein et le cœur. Le diagnostic histologique reste fondé sur la mise en évidence des dépôts par le Rouge Congo. Le rhumatologue peut être concerné par des atteintes variées : canal carpien, polyarthrite, dépôts intramusculaires, fragilité osseuse avec fractures. Le pronostic reste mauvais, mais les progrès des stratégies de traitement et la prise en charge en centre de référence ont amélioré la médiane de survie, actuellement de 5 ans. MALADIE À IGG4 La maladie à IgG4 est une maladie multiorganes de présentation pseudo-tumorale associée à une augmentation de production d IgG4. Les manifestations touchent principalement le pancréas et les voies biliaires, les ganglions, les glandes salivaires et lacrymales, le rein. Le diagnostic est histologique et le traitement repose en 1 re intention sur une corticothérapie à forte dose. Mais où est le rhumatologue dans cette maladie? Certes, il n existe pas d atteinte articulaire décrite, mais cette atteinte systémique peut mettre en valeur les compétences internistes de notre spécialité! HTAP DES CONNECTIVITES L HTAP des connectivites concerne principalement la sclérodermie systémique (SSc), dont elle assombrit considérablement le pronostic, et le lupus, où elle a généralement des conséquences moins sévères. La médiane de survie de l HTAP associée à la SSc est de 12 mois. Des facteurs de risque ont été identifiés (femmes ayant une SSc diagnostiquée en post-ménopause et évoluant depuis plus de 10 ans, avec une atteinte cutanée limitée mais un Raynaud sévère, des ulcérations digitales et télangiectasies multiples, une diminution de la DLCO sans pneumopathie infiltrante), qui doivent servir pour un dépistage précoce visant à orienter les patients vers une stratégie thérapeutique adaptée dans un centre de référence. LUPUS SYSTÉMIQUE Le traitement du lupus systémique (LES) reste l affaire d une prise en charge spécialisée, individualisée, adaptée à la présentation clinique et au terrain de chaque patient. Hydroxychloroquine et cortisoniques y gardent une place centrale, à côté des immunosuppresseurs dans les formes les plus sévères, notamment neurologiques et rénales. Des traitements biologiques ont émergé ces dernières années : de façon un peu provocante, les deux biothérapies utilisées dans le LES sont opposées, soulignant leur place mal définie : le rituximab a des indications, mais pas d AMM alors que le belimumab a une AMM mais pas d indication! D autres thérapeutiques biologiques ciblées sont en cours de développement. VIRUS HÉPATITE C L infection chronique par le virus de l hépatite C est fréquente et concerne en France près de personnes. Elle doit être connue du rhumatologue car elle est responsables de manifestations qui peuvent mener les patients à nous consulter : arthralgies, myalgies, neuropathies, syndrome sec, fatigue chronique La présence d une cryoglobulinémie mixte est une caractéristique fréquente et importante pour le diagnostic : elle Rhumatos Avril 2013 vol. 10 numéro
3 ÉCHO DES CONGRÈS est la conséquence d une stimulation lymphocytaire B entretenue par la réplication virale. Ceci a des conséquences importantes pour le traitement : l éradication virale est la première étape indispensable, faisant maintenant appel à une association ribavirine et Peginterféron α. Une immunomodulation par une faible dose d interleukine 2 pourrait apporter une efficacité supplémentaire chez certains patients. Par contre, les corticoïdes, immunosuppresseurs classiques et rituximab ne devraient plus être utilisés que dans certaines formes particulièrement sévères et menaçantes, en milieu très spécialisé. Le mot de la fin concernait la fatigue chronique : dans certains cas, il faut savoir penser au virus C car un traitement adapté est susceptible d améliorer la qualité de vie de ces patients. SANS OUBLIER LES RHUMATISMES INFLAMMATOIRES LE RÔLE DU TABAC Le tabac joue un rôle central comme facteur d environnement associé à la PR. Cette association est maintenant bien connue mais ses mécanismes pathogéniques et conséquences cliniques sont de mieux en mieux connus. Le tabac induit l expression et l activation dans le poumon de l enzyme PAD qui catalyse la citrullination et permet donc la production de protéines citrullinées et, par là, d anticorps de type ACPA. Ce mécanisme est amplifié par le développement, favorisé par le tabac, de follicules lymphoïdes tertiaires dans les parois bronchiques, lesquels contribuent à cette production d anticorps. Le tabac est aussi un facteur de mauvais pronostic des PR ACPA-positives, peut-être avec un phénotype plus érosif, et avec une moins bonne réponse aux traitements de fond, y compris biologiques. De plus, le tabac aggrave bien sûr la sur morbidité et surmortalité cardiovasculaire déjà influencées négativement par la maladie elle-même. Au delà de la PR, il semble que d autres rhumatismes inflammatoires puissent être aussi la cible du rôle néfaste du tabac : cela a été suggéré récemment pour la SpA, dont le mauvais pronostic serait plus fréquent chez les fumeurs. MICROBIOTE INTESTINAL Le microbiote intestinal peut être assimilé à un véritable organe, participant à la digestion, aux apports énergétiques, mais aussi à l éducation du système immunitaire et à la défense vis à vis des entéropathogènes. Un déséquilibre du microbiote intestinal a été associé il y a plusieurs années aux maladies inflammatoires chroniques intestinales (MICI : maladie de Crohn, RCH). Des travaux plus récents suggèrent un rôle dans les arthrites : tout a commencé par la démonstration dans des modèles d arthrites inflammatoires de la présence, au sein du microbiote digestif normal, de bactéries proinflammatoires et de bactéries tolérogènes, protégeant contre le développement d une arthrite. Les données cliniques sont encore parcellaires et préliminaires. Quant à l impact thérapeutique, il reste encore du domaine de l imaginaire! IMPACT SUR LE FOIE Le foie est, à de multiples titres, une cible chez les patients atteints de PR. Les atteintes spécifiques existent (hyperplasie nodulaire régénérative), aux côtés d atteintes auto immunes touchant les hépatocytes (hépatites auto-immunes) ou les voies biliaires (cirrhose biliaire primitive, cholangites autoimmunes). Ces diagnostics doivent rester d élimination : devant une cytolyse ou une cholestase chez des patients atteints de PR, il faut d abord penser à une toxicité médicamenteuse, à une stéatose, à une hépatite virale. UNE PINCÉE DE MICROCRISTAUX AUTOUR DES TRAITEMENTS DE LA GOUTTE Parmi les pathologies microcristallines, la goutte est actuellement au centre des débats d actualité. A côté des progrès des connaissances physiopathologiques, l amélioration de l évaluation par l imagerie et les avancées thérapeutiques sont également significatives. La prise en charge de l hyperuricémie reste focalisée sur l allopurinol en 1 re intention mais le fébuxostat et la pégloticase doivent maintenant être intégrés à nos stratégies thérapeutiques. Le fébuxostat est un inhibiteur non-purinique de la xanthine oxydase : il a l avantage de pouvoir être utilisé en cas d intolérance à l allopurinol et chez les patients avec une insuffisance rénale modérée (clairance > 30 ml/min). La pégloticase, uricase pégylée, agit non pas en amont de l accumulation d urate mais en aval, favorisant sa dégradation en allantoïne. Son efficacité a été évaluée dans 2 essais multicentriques contre placebo chez des patients ayant une goutte tophacée en échec ou avec une contre indication de l allopurinol. Ce produit induit un pourcentage significatif de réponse biologique (diminution de l uricémie) et clinique (disparition des tophus, amélioration de la qualité de vie et des douleurs), avec une bonne tolérance d ensemble, le principal effet secondaire étant une réaction 126 Rhumatos Avril 2013 vol. 10 numéro 87
4 58 es JOURNÉES DU CENTRE VIGGO PETERSEN à la perfusion contrôlée par un traitement symptomatique (antihistaminique, corticoïdes). D autres molécules sont en cours de développement : lesinsurad (uricosurique par inhibition de URAT1), BCX4208 (hypouricémiant par inhibition de l enzyme PNP) Les modalités de traitement des accès aigus goutteux sont également revisités avec de nouvelles modalités d utilisation de la colchicine, l avènement des inhibiteurs de l IL1 dans cette indication (anakinra, canakinumab). L éducation thérapeutique, enfin, doit prendre une place croissante dans ces stratégies d optimisation. IMAGERIE L imagerie de la goutte et des arthropathies microcristallines a été bouleversée par l introduction de l échographie depuis une dizaine d années. Outre l intérêt de faciliter la localisation d un épanchement, l échographie permet d évoquer un accès microcristallin devant un aspect dit de tempête de neige, de faire un diagnostic de goutte devant un double contour, de visualiser des calcifications méniscales ou cartilagineuses en mottes en cas de CCA, d affirmer la présence de tophus, de chercher des érosions. L imagerie des tophus goutteux peut aussi faire appel au scanner à double énergie qui permet de distinguer tissu mou, dépôt de calcium et dépôt d urate : il s agit plutôt pour l instant d une technique de recherche. QUID DES CRISTAUX DANS L ARTHROSE? Les microcristaux calciques ont-ils un rôle dans l arthrose? Cette question polémique continue de faire débat. Ou bien, en d autres termes : qui est l œuf et qui est la poule! Si la présence de calcifications cartilagineuses est favorisée par le vieillissement mais aussi par le développement de l arthrose, elles sont aussi identifiées au sein de cartilages sains de sujets jeunes Ces calcifications, essentiellement composées de cristaux de pyrophosphate de calcium (comme la CCA) et de phosphate de calcium basique (comme dans le rhumatisme à apatite) sont identifiées dans les articulations arthrosiques et sont capables, dans des modèles expérimentaux, d induire des altérations chondrocytaires telles que celles observées au cours de l arthrose. Dans des études épidémiologiques, leur présence est associée à une destruction plus sévère du cartilage chez les arthrosiques. Ces données ont récemment abouti à l élaboration d un modèle de stress microcristallin au cours de l arthrose. ENCORE UN ZESTE D ARTHROSE! TRAITEMENTS MÉDICAUX Les traitements médicaux de l arthrose sont marqués soit par une efficacité insuffisante (ampleur d effet du paracétamol de 0,14, très faible) soit par des risques importants (plus de morts par an aux USA avec les AINS ), ce qui souligne la nécessité de développer de nouvelles approches. Les thérapeutiques biologiques ciblées suscitent, dans ce domaine aussi, beaucoup d intérêt. Après l échec d approches visant à inhiber les voies de cytokines pro inflammatoires (IL1, TNFα), le Nerve Growth Factor (NGF) semble prometteur, malgré un développement un peu chaotique. Un anticorps monoclonal anti-ngf améliore la douleur et la fonction chez des patients atteints de gonarthrose sévère. Il reste à trouver l explication et la parade pour les arthropathies évolutives et destructrices ayant conduit à une arthroplastie totale rapide chez certains des patients de cette étude ARTHROPLASTIE DE HANCHE L arthroplastie totale de hanche (PTH) reste le traitement de choix des coxarthroses évoluées et invalidantes. Le choix de la prothèse et de la voie d abord dépend du chirurgien, de sa pratique, de ses habitudes, de facteurs liés au patient ou à la structure de soins. L engouement récent suscité par les voies dites «mini-invasives» ou dites «anatomiques» doit être relativisé au regard de la pression marketing dont elles font l objet par contraste avec les données objectives qui suggèrent des avantages modestes La prise en charge globale et coordonnée du patient est probablement un facteur de réussite plus important, prenant en compte à la fois des objectifs d efficience (amélioration de la durée de séjour), mais aussi des objectifs qualitatifs, tels que la satisfaction de patients et des personnels. L amélioration considérable de la prise en charge anesthésique a contribué à réduire la mortalité mais aussi la morbidité péri opératoire des arthroplasties grâce notamment à une évaluation soigneuse des facteurs de risque liés au patient, déterminants dans l incidence des complication graves ou fatales. CLICHÉS POUR LA COXARTHROSE L imagerie de 1 re intention de la coxarthrose est simplissime! Dans la plupart des cas, 3 clichés suffisent : bassin de face debout et les deux faux-profils, en étant vigilant sur ce dernier. Il doit en effet prendre les 2 hanches, permettant sur les clichés de voir le faux profil de l une et le contre faux profil de Rhumatos Avril 2013 vol. 10 numéro
5 ÉCHO DES CONGRÈS l autre et ainsi d avoir une exploration de la totalité de l interligne depuis la corne antérieure jusqu à la corne postérieure. En cas de doute, un arthroscanner avec test anesthésique par injection de naropéine peut s avérer utile. L IRM n a pas de place dans cette stratégie. ARTHROSE LOMBAIRE Arthrose aussi lombaire avec des traitements physiques à ne pas négliger! Ces traitements représentent une classe thérapeutique à part entière même si se posent encore beaucoup de questions sur leur efficacité et leur stratégie d utilisation. Des essais thérapeutiques ont validé le recours aux exercices physiques (kinésithérapie, yoga, tai-chi) pour les lombalgies persistantes ou chroniques, en soulignant l importance des exercices d étirements et de renforcement, d une adaptation individuelle et d une supervision. En cas de mauvais pronostic, des interventions pluridisciplinaires plus lourdes et plus coûteuses peuvent être envisagées. TOXICITÉ DU PARACÉTAMOL Si le paracétamol reste le pivot inamovible des traitements antalgiques, ses risques toxiques doivent être bien connus pour être prévenus. Il peut être -rarement- responsable de réactions d hypersensibilité, de cytopénies, d une interaction avec les AVK. Il peut être -plus fréquemment- associé à des cytolyses hépatiques, une augmentation de la toxicité digestive des AINS, un déclenchement de crises d asthme, une aggravation d une HTA, un développement de néphropathies chroniques. Il est donc important de bien peser son indication, de respecter la posologie maximale et de surveiller pression artérielle, transaminases et fonction rénale. FLORILÈGE! PSORIASIS Le rhumatisme psoriasique intéresse le rhumatologue, il est donc utile de connaître aussi les avancées dans le domaine dermatologique sur cette maladie. Les nouveautés concernent la description d une atteinte hépatique spécifique et quelques données physiopathologiques et thérapeutiques. La cholangite neutrophilique, identifiée initialement chez 50 % des patients ayant des poussées de psoriasis pustuleux généralisé, a été récemment décrite au cours du rhumatisme psoriasique. Les anomalies hépatiques chez ces patients ne doivent donc pas être trop hâtivement attribuées à une toxicité médicamenteuse Dans l immense famille des interleukines, la 17 et la 36 semblent avoir un rôle clé dans la pathogénie des lésions cutanées. Cette dernière, apparentée à l IL1, est impliquée dans la réaction inflammatoire dans les kératinocytes mais son effet est modulé par un antagoniste soluble naturel qui empêche sa liaison au récepteur membranaire. La mutation inhibe l action de l IL36-RA et augmente donc la réaction inflammatoire médiée par l IL36. Il pourrait donc s agir d une cible thérapeutique potentielle, encore lointaine. D autres émergent : ustékinumab (anticorps dirigé contre la sous-unité p40 des interleukines 23 et 12), apremilast (inhibiteur de la phosphodiestérase 4), tofacitinib (inhibiteur de la Janus kinase) et, plus récemment, 3 anticorps dirigés contre l IL17. Ceux ci semblent avoir le taux de réponse le plus important : près de 3 patients sur 4 blanchis de leur atteinte cutanée psoriasique. PYODERMA GANGRENOSUM Le pyoderma gangrenosum est une dermatose neutrophilique ulcérative associée à de nombreuses affections que peuvent croiser les rhumatologues : hémopathies, gamma pathies monoclonales, entérocolopathies inflammatoires, connectivites et maladies auto-inflammatoires. Il est donc important pour nous de le connaître et de savoir le reconnaître. Parmi les manifestations auto-inflammatoires associées, le syndrome PAPA (Pyogenic Arthritis, Pyoderma, Acné), maladie rare autosomique dominante, comportant une atteinte articulaire destructrice associée à une hyperproduction d IL1 et souvent améliorée par les anti- IL1. INHIBITEURS DE LA POMPE À PROTONS Les inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) sont largement prescrits, en particulier par les rhumatologues du fait de l utilisation des AINS dans notre pratique. Ils sont utiles dans leurs indications digestives, mais peuvent avoir des effets secondaires systémiques parfois graves : infections digestives (notamment à Clostridium difficile), colites microscopiques (parfois sévères, mais rares), augmentation du risque de fracture (bien documenté dans quelques études épidémiologiques récentes), néphropathies interstitielles aiguës (sévères, mais rares), lupus induits et interactions médicamenteuses diverses Il est donc toujours important de bien respecter les recommandations pour éviter les abus de prescription! LÉSIONS DU BASKETTEUR Les joueurs de basket-ball sont souvent la cible de lésions traumatiques des membres inférieurs, le plus souvent entorses de cheville par glissade ou mauvaise réception d un saut. Les autres lésions des membres inférieurs sont aussi 128 Rhumatos Avril 2013 vol. 10 numéro 87
6 58 es JOURNÉES DU CENTRE VIGGO PETERSEN fréquentes : genoux (enthésite de la pointe de rotule, lésions méniscales, syndrome rotulien), fractures de fatigue autour de la cheville, traumatismes musculaires, lésions tendino-aponévrotiques (plantaire, Achille). Aux membres supérieurs, les lésions traumatiques des doigts, du poignet ou de l épaule sont les plus fréquentes. Elles sont la source principale du recours à la chirurgie chez le basketteur. FASCIITE PLANTAIRE La fasciite plantaire, bien connue du rhumatologue de par sa fréquence, fait l objet de développements thérapeutiques récents : les ondes de choc n ont jamais démontré une efficacité convaincante et devraient être abandonnées, peut-être remplacées dans le futur par des injections locales de PRP (plasma riche en plaquettes) voire de botox, à condition que leur efficacité soit validée. N oublions pas pour le moment nos bons vieux traitements à l ancienne! FIBROMYALGIE La fibromyalgie reste une énigme, même si on avance! Depuis 2007, de nouveaux critères ont été proposés par l ACR, mais ils restent critiqués et peu utilisés Ceux du CEDR, critères simplifiés de triage clinique reposant sur un questionnaire simple (questionnaire FIRST), semblent plus séduisants. Cette affection reste donc un diagnostic d élimination qui impose d écarter d autres affections douloureuses diffuses. Les traitements sont maintenant encadrés par des recommandations de l EULAR. CONCLUSION Voilà pour ce survol supersonique Si vous souhaitez en savoir plus, approfondir certains sujets, rendez-vous à l automne pour la parution du 50 e volume de l Actualité Rhumatologique (Edition Elsevier Masson), dont les textes reprennent en détail le contenu de ces communications : bonne lecture! (Et si vous l avez raté, vous pouvez encore vous procurer le 49 e volume illustré ci-contre). n Prochain rendez-vous : jeudi 3 et vendredi 4 avril 2014 à la Maison de la chimie à Paris pour les 59 e Journées Annuelles du Centre Viggo Petersen. Mots-clés : Congrès, Traitements, Prise en charge, Recherche, Données, Etudes RENDEZ-VOUS DE L INDUSTRIE RECHERCHE - POLYARTHRITE RHUMATOÏDE L actualité rhumatologique 2013 avec Twiga à Paris détaillant chaque intervention. La présence de Twiga à cette manifestation a permis d augmenter la notoriété auprès des Rhumatologues français de la Campagne des contre la polyarthrite rhumatoïde, menée par GenHotel avec le soutien de la Société Française de Rhumatologie, l Association Française des Polyarthritiques et le Comité d Education en Santé de la Pharmacie Française. n Twiga, la girafe de bataille contre la polyarthrite rhumatoïde de GenHotel (www. genhotel.com), créée par l artiste Yves-Henry (www. yves-henry.com), est venue à INFLAMMATION ARTICULAIRE la Maison de la Chimie, près de l esplanade des Invalides à Paris les 28 et 29 mars Neogil complément nutritionnel contre Elle était invitée aux 58 es Journées annuelles du Centre Viggo-Petersen, organisées par les services de Rhumatologie des utrivercell a annoncé la mise à disposition de Neogil, l inflammation articulaire N hôpitaux Lariboisière et Bichat à Paris. Elle y a rejoint les organisateurs, complément destiné aux patients atteints d inflamma- les Pr Philippe Orcel et Thomas Bardin du Centre tion articulaire en cas de crise aigüe ou en prévention de l ap- Viggo-Petersen de l hôpital Lariboisière, le Pr Marcel-Francis parition des crises, en complément du traitement habituel. Il Kahn, ancien Chef du service de Rhumatologie de l hôpital contient une haute teneur en polyphénols de plantes, à base Bichat à Paris, présent depuis l origine et le Pr Philippe Dieudé, de malvidine (pigment de la peau du raisin rouge) et de propiolis, ancien membre de GenHotel-Evry-EA3886, nouveau Chef de composés pouvant avoir des effets anti-inflammatoires. Il ce service à la suite du Pr Olivier Meyer. Plus de rhumatologues pourrait être préconisé aux personnes susceptibles de déve- français ou francophones bénéficient chaque année lopper ce type de pathologies : personnes en surpoids, diabé- Rhumatos de l enseignement Avril 2013 de vol. ces 10 journées numéro 87 en y assistant et via le livre tiques, sportifs 129 n
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