Unité d enseignement n 7. Item 189 : Les vascularites
|
|
- Georgette Roux
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1
2 Les vascularites Pr. Patrick MERCIÉ Service de Médecine Interne et Immunologie clinique Centre de compétence des maladies auto-immunes rares Hôpital Saint-André CHU de Bordeaux INSERM U897 ISPED et UMFCS Université de Bordeaux
3 Unité d enseignement n 7 Item 189 : Les vascularites Connaître : les principaux types de vascularite systémique les organes cibles les outils diagnostiques et les moyens thérapeutiques Les vascularites
4 Introduction Les vascularites
5 Généralités Histologie Inflammation et altération des vaisseaux sanguins Clinique Ischémie des tissus vascularisés par les vaisseaux ainsi oblitérés Ce processus inflammatoire peut atteindre tous les vaisseaux, quelles qu en soit la taille et leur localisation, d où l existence d un large spectre d atteintes, regroupées dans le syndrome de vascularites Les vascularites
6 Généralités La vascularite et ses conséquences peuvent être la première et unique manifestation de la maladie Toutefois, une vascularite peut être secondaire à une autre affection Une vascularite peut atteindre un seul organe comme la peau ou être une maladie systémique Les vascularites
7 Classification des vascularites Les vascularites
8 Les vascularites
9 Descriptions anciennes Les vascularites
10 Classification selon la taille des vaisseaux Les vascularites
11 Les vascularites
12 Les vascularites
13 Les vascularites
14 Les vascularites
15 Les vascularites
16 Les vascularites
17 Les vascularites
18 Les vascularites
19 Les vascularites
20 Les vascularites
21 Les vascularites
22 Les vascularites
23 Les vascularites
24 Les vascularites
25 Les vascularites
26 Les vascularites
27 Les vascularites
28 Les vascularites
29 Les vascularites
30 Les vascularites
31 Les vascularites
32 Les vascularites
33 Synthèse Les vascularites
34 Les vascularites
35 Les vascularites
36 Les vascularites
37 Diagnostics différentiels et démarche diagnostique
38 Diagnostics différentiels Principaux diagnostics pouvant mimer une vascularite systémique Fréquents Endocardites infectieuses Embolies de cholestérol Peu fréquents Syndrome des APL Micro-angiopathies thrombotiques Dysplasies fibro-musculaires Les vascularites
39 Diagnostics différentiels Rares Ergotisme Sympathomimétiques, amphétamines Autres toxiques Myxome de l oreillette Lymphome angiotrope Scorbut Syndrome d Ehlers-Danlos Syndrome de Susac ou SICRET Pseudoxanthome élastique Syndrome de Sneddon Les vascularites
40 Démarche diagnostique Des grands principes sont à retenir dans le cadre d une démarche diagnostique au cours d une vascularite Toute suspicion de vascularite systémique, en contexte fébrile, doit faire évoquer une infection et notamment une endocardite infectieuse d Osler Toute évolutivité d une vascularite systémique doit faire écarter la responsabilité d une infection surajoutée avant de conclure à une nouvelle poussée évolutive Toute suspicion de vascularite systémique chez un homme âgé athéroscléreux doit faire envisager le diagnostic d embolies multiples de cholestérol Les vascularites
41 Diagnostic différentiel des différentes formes de vascularites des petits vaisseaux Les vascularites
42 Fréquence des manifestations viscérales au cours de différentes formes de vascularites des petits vaisseaux Les vascularites
43 Diagnostic des vascularites L approche diagnostique d un patient ayant une suspicion de vascularite requiert une bonne connaissance de l ensemble de ces désordres. Il faut en effet : reconnaître les situations cliniques dans lesquelles une vascularite doit être suspectée dans le diagnostic différentiel exclure les maladies avec une présentation similaire et un traitement différent (en particulier les infections) déterminer si la vascularite est primitive ou secondaire estimer les risques immédiats du patient et de l urgence des procédures diagnostiques et thérapeutiques sélectionner les examens ayant la meilleure sensibilitéspécificité pour confirmer le diagnostic et les moins invasifs Les vascularites
44 Examens complémentaires pour l'évaluation diagnostique des vascularites Non spécifique : numération formule sanguine complète, vitesse de sédimentation, protéine réactive C, fibrinogène Atteinte des organes-cibles : créatinine plasmatique, sédiment urinaire, protéinurie, électrocardiogramme, créatine phosphokinase (CPK), troponine, radiographie de thorax, radiographie de sinus, électromyographie, vitesse de conduction nerveuse Agents étiologiques : sérologie de l'hépatite B, de l'hépatite C, du VIH, anticorps antinucléaires (ACAN), anticorps anti-dna, Ac anti-antigène nucléaire soluble (anti-ena/ect), cryoglobulinémie, complément sérique (CH50, fractions C3 et C4), facteurs rhumatoïdes, hémocultures, anticorps anti-membrane basale, anticorps anti-cytoplasme des polynucléaires neutrophiles (ANCA). Les vascularites
45 Principales présentations des vascularites par organe Signes généraux : fièvre, amaigrissement, faiblesse, fatigue, Musculo-squelettique : arthralgies, myalgies, arthrite, Cutané : purpura palpable, nodule, urticaire, livedo reticularis, phlébite superficielle, lésions ischémiques, Neurologique : céphalées, accident ischémique cérébral, mononévrite ou multinévrite, Tête et cou : sinusite, chondrite, autite, iridocyclite, Poumons : hémorragies alvéolaires, hémoptysies, cavités, nodules, infiltrat. Reins : glomérulonéphrite, infarctus, hypertension, Les vascularites
46 Causes de purpura palpable polyartérite nouseuse systémique ou cutanée, granulomatose de Wegener, angéite de Churg et Strauss, polyangéite microscopique, purpura rhumatoïde, maladie de Behcet, connectivites, cryoglobulinémie, polychondrite atrophiante, certains cancers, certaines hépatites chroniques, fibrose rétropéritonéale, cirrhose biliaire primitive. Les vascularites
47 Les outils diagnostiques Outils d orientation Les signes cliniques Les examens biologiques standards Outils de certitude Biopsie et examen anatomopathologique Bilan auto-immun (anticorps anti-cytoplasme des polynucléaires) Les vascularites
48 Purpura palpable vascularitique Les vascularites
49 Physiologie et pathogénie générale Les vascularites
50 Physiologie et pathogénie Plusieurs hypothèses font intervenir, au moins en partie, des mécanismes immunologiques. Seuls des arguments indirects font suspecter ce type de mécanisme En réalité, ils ne sont peut être qu un épiphénomène, et non la cause authentique Le dépôts de complexes immuns (CI) dans les tissus est le mécanisme classiquement invoqué dans la pathogénie des vascularites La responsabilité de ces CI n a jamais été clairement démontrée dans la plupart d entre elles Les vascularites
51 Physiologie et pathogénie La vascularite n est pas nécessairement secondaire à des dépôts de complexes immuns: de nombreux patients présentent une vascularite active et n ont pas de complexes immuns, circulants ou déposés, décelables En fait, l antigène composant les CI n a que rarement été identifié dans les vascularites L antigène de l hépatite B a été identifié dans les CI circulants ainsi que les dépôts de CI, dans uns sousgroupe de patients présentant une vascularite systémique du type de la périartérite noueuse (PAN). Les vascularites
52 Mécanismes immunopathogéniques Formation in situ de dépôts de complexes immuns dans la paroi des vaisseaux Lésions directement induites par des anticorps dirigés contre les cellules endothéliales ou d autres éléments des tissus Cytotoxicité cellulaire anticorps-dépendante (ADCC) dirigée contre les vaisseaux sanguins Lymphocytes T cytotoxiques dirigés contre les composants du vaisseau sanguin Formation de granulomes dans la paroi des vaisseaux sanguins ou périvasculaires Induction par des cytokines (IL-1 et TNFα) de l expression de molécules permettant l adhésion des leucocytes sur les cellules endothéliales Les vascularites
53 Mécanismes non immunopathogéniques Infiltration de la paroi des vaisseaux sanguins et des tissus environnants par des agents microbiens Invasion directe de la paroi des vaisseaux sanguins par des cellules néoplasiques Autres mécanismes Les vascularites
54 Physiopathologie des vascularites Les vascularites
55 Les vascularites
56 Les vascularites
57 Exemples de formes cliniques de vascularites
58 Les vascularites d hypersensibilité Les vascularites
59 Les vascularites d hypersensibilité Définition Décrites par Zeek en 1948, elles désignaient initialement les vascularites atteignant les vaisseaux de petit calibre (artérioles, capillaires, veinules) attribuées à une hypersensibilité à un allergène médicamenteux ou infectieux Par extension, le terme de vascularite d hypersensibilité a été employée pour regrouper les vascularites des petits vaisseaux liées à une exposition antigénique à l origine de dépôts de complexes immuns Les vascularites
60 Anatomopathologie La vascularite est leucocytoclasique avec un infiltrat périvasculaire composé de polynucléaires neutrophiles Secondairement, les cellules mononuclées, notamment les lymphocytes, prédominent De la nécrose fibrinoïde est fréquemment observée Les vascularites
61 Purpura et vascularite leucocytoclasique Purpura des membres inférieurs chez un patient présentant une agéite leucocytoclasique à la biopsie cutanée. On observe des zones sombres de nécrose. (Photograph kindly provided by Robert A. Briggaman.) Angéite leucocytoclasique sur une biopsie cutanée chez un patient présentant un purpura. On observe une caryorrhexie extensive des leucocytes vasculaires et intravasculaires (leucocytoclasie). (H&E, x500.) J. Charles Jennette, M.D., and Ronald J. Falk, M.D. Small-Vessel Vasculitis. N Engl J Med 1997;337: Les vascularites
62 Vascularite leucocytoclasique Les vascularites
63 Purpura vasculaire induit par la pénicilline Les vascularites
64 Diagnostic étiologique des glomérulonéphrites nécrosantes focales et segmentaires granulomatose de Wegener, polyangite microscopique, angéite de Churg et Strauss, artérite giganto-cellulaire, purpura rhumatoïde, maladie de Behcet, lupus érythémateux systémique, cryoglobulinémie mixte essentielle, vascularite de l'arthrite rhumatoïde, polychondrite atrophiante, endocardite subaiguë bactérienne, maladie à anticorps anti-membrane basale glomérulaire. Les vascularites
65 La périartérite noueuse (PAN) Les vascularites
66 Mécanismes pathogéniques de la PAN Les CI sont responsables de l atteinte inflammatoire des modèles animaux Dans certains cas, la PAN est due au VHB et s apparente alors à une maladie par dépôts de CI dont l antigène HBs est l antigène déclenchant Les CI déclenchent l activation du complément dont les fragments activés interviennent dans la migration et l activation des PNN Les vascularites
67 Les ANCA sont exceptionnellement décelés dans la PAN, alors qu ils sont beaucoup plus fréquent au cours de la MPA Les AACE ne sont pas spécifiques Leur signification pathogénique est incertaine Les cytokines ont un rôle dans la pathogénie des vascularites Taux élevés d IL-2 et d IFNα (PAN et SCS) Taux moins élevés de TNFα et IL-1β l infiltrat inflammatoire est essentiellement constitué de macrophages et de lympho T (CD8+) Un mécanisme cellulaire médié par le LT dans le développement et/ou l entretien des lésions de la PAN est actuellement retenu Les vascularites
68 Artérite nécrosante dans une petite artère épineural observée sur une biopsie de nerf d un patient affecté d une PAN La musculeuse est totalement détruite par une nécrose fibrinoide qui s étend au niveau du tissu (Hématoxyline and éosine, x300) J. Charles Jennette, M.D., and Ronald J. Falk, M.D. Small-Vessel Vasculitis. N Engl J Med 1997;337: Les vascularites
69 PAN étiologie et facteurs favorisants Bien que les Ag viraux ou des CI n aient que rarement été mis en évidence dans la paroi des vaisseaux lors de la PAN, il existe une relation étroite entre VHB et PAN La vaccination contre le VHB a permis une diminution importante de la prévalence de la PAN liée à l HVB Depuis 1997, moins de dix nouveaux cas par an sont diagnostiqués en France Les vascularites
70 PAN autres étiologies Au cours de l infection par le VHC, une vascularite type PAN est beaucoup moins fréquente qu une vascularite liée à la cryoglobulinémie mixte Hépatite G non liée Quelques cas décrits avec le parvovirus B 19, l herpes zoster, l herpes virus 68 Leucémie à tricholeucocytes et sd myélodysplasiques (LMMC, anémies réfractaires) Les vascularites
71 Livedo étendu au cours de la PAN Les vascularites
72 Anatomie pathologie La lésion élémentaire histologique de la PAN Vascularite nécrosante segmentaire des artères de moyen et de petit calibre (plus rarement dans les artérioles et les veinules) Toutes les artères de l organisme peuvent être touchées (atteinte de l aorte et/ou des artères pulmonaires n est qu exceptionnellement décrite) Les vascularites
73 Anatomie pathologie PHASE AIGUE Nécrose fibrinoïde de la média Infiltration par des cellules polymorphes (PNN à noyaux pycnotiques associés à des lymphocytes et des éosinophiles) Les structures élastiques (LEI) sont progressivement envahies par la nécrose fibrinoïde (matériel homogène, prenant un aspect éosinophile sur les colorations à l éosine et d aspect analogue à celui de la fibrine) Des anévrysmes et des thromboses peuvent compliquer les lésions vasculaires inflammatoires Les vascularites
74 Anatomie pathologie PHASE DE REPARATION CICATRICIELLE Endartérite fibreuse pouvant conduire à l occlusion vasculaire et les anévrysmes régressent habituellement Coexistence de lésion de vascularite d âges différents (des lésions fraîches côtoyant des lésions cicatricielles au sein du même tissu ou de tissus différents) L atteinte est segmentaire imposant l épuisement des blocs de tissus prélevés à visée diagnostique en l absence de vascularite visualisée sur les premières coupes Les vascularites
75 Nodules plantaires au cours d une PAN Les vascularites
76 Artériographie rénale montrant des macroanévrismes au cours d une PAN macroscopique Les vascularites
77 Microanévrismes artériels rénaux au cours d une PAN macroscopique Les vascularites
78 Lésions d artérite nécrosante d une petite artère rénale au cours d une PAN Les vascularites Inflammation marquée de l'adventice et rétrécissement de la lumière artérielle. L'atteinte d'une artère de ce calibre est inhabituelle au cours des micropolyangéites à ANCA.
79 Capillarite alvéolaire hémorragique pulmonaire chez un patient affecté d une vascularite des petits vaisseaux associés à des ANCA et présentant une hémorragie alvéolaire De nombreux neutrophiles sont présents dans les septa alvéolaires et l hémorragie s étend aux septa alvéolaires (H&E x 400) Les vascularites
80 La micropolyangéite (MPA) Les vascularites
81 La micropolyangéite (MPA) Définition La MPA se définie comme une vascularite nécrosante systémique qui touche cliniquement et histologiquement les vaisseaux de petite taille Atteinte rénale Hémorragies alvéolaires Dans des formes moins sévères, le rein et le poumon peuvent être épargné, il peut être impossible de la différencier de la PAN Les vascularites
82 MPA - Pathogénie La MPA est une vascularite liée à la présence d ANCA Des p-anca avec une spécificité anti-mpo sont observés chez 75% des patients Des c-anca dirigés contre la protéinase-3 sont rares au cours de la MPA, contrairement à la maladie de Wegener Le rôle des ANCA (anti-mpo) dans la pathogénie de la MPA fait appel au même mécanisme que ceux mis en évidence dans la GW (anti-pr3) Les vascularites
83 Hémorragie pulmonaire massive par capillarite alvéolaire au cours d une micropolyangéite Les vascularites
84 La granulomatose avec polyangéite ou maladie de Wegener Les vascularites
85 Granulome nécrosant avec inflammation, vascularite et cultures négatives au cours d une maladie de Wegener (Biopsie pulmonaire H&E x 100) Les vascularites
86 Glomérulonéphrite nécrosante avec un croissant cellulaire extracapillaire au cours d une maladie de Wegener Cette atteinte n'est pas totalement spécifique et peut se rencontrer au cours du syndrome de Churg et Strauss et surtout au cours de la micropolyangéite. Les vascularites
87 Glomérulonéphrite à croissant avec nécrose fibrinoïde segmentaire et rupture de la membrane basale. Immunofluorescence négative. Coloration argent de Jones x 400 Les vascularites
88 Glomérulonéphrite nécrotique à croissants: intense infiltration de monocyte-macrophage localisés dans le croissantcd68, immunoperoxidase x 205 Les vascularites
89 Sclérite nécrosante au cours d une maladie de Wegener Les vascularites
90 Ulcération linguale au cours d une maladie de Wegener Les vascularites
91 Ulcération digitale au cours d une maladie de Wegener Les vascularites
92 Déformation en selle du nez à la suite d une destruction du septum nasal au cours d une maladie de Wegener Les vascularites
93 Opacités sinusiennes témoignant de lésions granulomateuses au cours d une maladie de Wegener La confirmation histologique est indispensable car les lésions ne sont pas spécifiques Les vascularites
94 Diagnostic différentiel des sinusites destructives granulomatose de Wegener, angéite de Churg et Strauss, polychondrite atrophiante, granulome malin de la face, granulomatose lymphomatoïde, sarcoïdose, cocaïnomanie, cancer, infections bactérienne ou fungique. Les vascularites
95 Pneumopathie excavée au cours d une maladie de Wegener Les vascularites
96 Pneumopathie excavée: aspect scannographique au cours d une maladie de Wegener Les vascularites
97 Les anticorps anti-cytoplasme des polynucléaires Les vascularites
98 ANCA périnucléaires Démonstration d'anticorps anticytoplasme des polynucléaires neutrophiles par immunofluorescence indirecte sur des PN normaux. La fixation est limitée au zones périnucléaire mais ne concerne pas le cytoplasme. Ces anticorps sont souvent dirigés contre la myéloperoxydase mais aussi plus rarement contre d'autres antigènes dont la lactoferrine et l'élastase. Les vascularites
99 ANCA cytoplasmiques Démonstration d'anticorps anticytoplasme des polynucléaires neutrophiles par immunofluorescence indirecte sur des PN normaux. Fixation forte du cytoplasme mais pas du noyau multilobé. Ces anticorps sont généralement dirigés contre la protéinase 3 et la plupart des patients ont une maladie de Wegener. Les vascularites
100 Signification des ANCA Les anticorps anti-cytoplasme des polynucléaires neutrophiles (ANCA) sont spécifiques pour les antigènes contenus dans les granules des polynucléaires neutrophiles et les lysosomes monocytaires. Les ANCA sont détectés par immunofluorescence indirecte en utilisant comme substrat des polynucléaires fixés dans l alcool. Deux principaux types de fixation (qui semblent résulter d un artéfact de fixation).sont ainsi reconnus : ANCA cytoplasmique et ANCA périnucléaire. Les examens immunochimiques mettent en évidence deux types principaux de spécificités antigéniques chez les patients atteints de vascularite : anti-myéloperoxidase (MPO ANCA) et anti-protéinase 3 (PR3 ANCA). Les vascularites
101 Pathologies associées Chez les patients atteints de vascularite, environ 90% des ANCA cytoplasmiques sont des PR3 ANCA et environ 90% des ANCA périnucléaires sont des MPO ANCA. Chacune des spécificités d ANCA peut survenir au cours de tous les types de microvascularites associées aux ANCA. Cependant la plupart des patients atteints de maladie de Wegener ont des PR3 ANCA alors que la plupart de patients atteints de syndrome de Churg & Strauss ou de polyangéite microscopique ont des MPO ANCA. Les vascularites
102 Les vascularites
103 L artérite à cellules géantes Les vascularites
104 Nécrose linguale par oblitération d une artère linguale au cours d une artérite gigantocellulaire Les vascularites
105 Dilatation de la carotide primitive gauche sur une artériographie au cours d une maladie de Takayashu Les vascularites
106 Modèle pathogénique de l artérite à cellules géantes Il s agit d une pan-artérite avec une infiltration par des cellules mononucléées pénétrant toute la paroi de l artère (Fig. 1A) Les lymphocytes T activés et les macrophages forment des granulomes. Les cellules géantes multinucléées lorsqu elles sont présentes, sont habituellement situées au niveau de la LEI fragmentée (Fig.1B) Souvent, la couche interne est hypertrophiée entraînant une occlusion concentrique de la lumière du vaisseau Les vascularites
107 Artérite à cellules géantes Etape 1. l artérite à cellule géante est une maladie dépendante des cellules lymphocytaires T Les lymphocytes T CD4+ orchestrent l atteinte des tissus et sont des éléments incontournables du processus vascularitique Etape 2. L activation des cellules T dans l environnement non lymphoïde du mur artériel nécessite l activation des cellules présentatrices d antigène spécialisées, les cellules dendritiques L activation des monocytes et des macrophages est responsable du syndrome inflammatoire systémique dans la maladie de Horton et la PPR Les vascularites
108 Etape 3 Le sang du vaisseau détermine la spécificité du site de l artérite à cellule géante. Les cellules résidentes de la paroi vasculaire répondent uniquement à l atteinte immune médiée par les cellules infiltrant le tissu Le résultat final est une vasculopathie occlusive causée par la rapide prolifération de l intima et la formation d un anévrisme de aortique causé par la destruction de la paroi artérielle Les vascularites
109 Artérite à cellules géantes de l artère temporale Fig. A montre une inflammation transmurale de l artère temporale avec des infiltrats granulomateux de la média et des cellules géantes de la bordure intima-média. (H&E, x100). La lumière est partiellement occluse par une hyperplasie intimale Fig. B montre un segment de la média avec des cellules géantes multinulcéées contre des fragments de la LEI (H&E, x200). Les vascularites
110 Cellules dendritiques au niveau de l adventice artérielle Les vascularites Medium-sized arteries, such as temporal arteries, contain a resident population of dendritic cells that are positioned at the adventitia media border and function as the cellular link between the innate and adaptive immune systems. In normal arteries, S dendritic cells are immature and express the chemokine receptor CCR6. They specialize in antigen uptake and the sensing of cellular injury (Panel A). Dendritic cells in arteries with vasculitis are highly activated, as indicated by the expression of CD83 and CD86, and they can provide the necessary costimulatory signals to trigger T-cell activation (Panel B). Dendritic cells in vasculitic lesions contain interleukin-18 and thus can upregulate the release of interferonfrom T cells. Most important, dendritic cells in inflamed arteries produce large amounts of the homing chemokines CCL19 and CCL21, which bind to CCR7. The expression of CCR7 results in the arrest of activated dendritic cells, and they are no longer able to leave the tissue. Instead, they are trapped in the arterial wall and initiate an aberrant T- cell response.
111 Réponse immune adaptative au cours des vascularites et conséquences de l atteinte de la paroi vasculaire Fig. A: activation et blocage des cellules dendritiques dans l adventice artérielle. Les Lympho CD4+ interagissent avec les DC à l origine d une sécrétion de cytokines (IFN). Intervention des macrophages, de l IL- 1, de l IL-6 et des métalloprotéases Fig. B: nitration des protéines dans les CE favorisant le développement de néocapillaires Fig. C: réponse de l artère à la lésion. Production de PDGF et VEGF à l origine d une hyperplasie intimale et d une occlusion du vaisseau Fig. D: la présentation clinique de la vascularite peut comporter des complications ischémiques Les vascularites
112 Conclusion Les vascularites sont des affections souvent graves, parfois mortelles, polymorphes dans leur présentation clinique à l origine d une morbidité importante Certains marqueurs biologiques sont actuellement connus, d autres restent probablement à découvrir Les grandes voies communes à la plupart des vascularites sont en voie d exploration et commencent à être connues Les mécanismes physiopathologiques sont mal connues Les spécificités dues aux différentes expression de la maladie doivent être mieux définies afin d optimiser la prise en charge thérapeutique future Les vascularites
113 Le traitement des vascularites Le traitement des vascularites est en constante évolution Les corticoïdes et les immunosuppresseurs sont la base du traitement En phase aiguë la voie intraveineuse dit «en bolus» est la voie d administration privilégiée Plusieurs protocoles sont actuellement en cours afin de comparer les différentes stratégies immunosuppressives Depuis quelques années le rituximab (MABTHERA) est largement utilisé dans les vascularites à ANCA Les échanges plasmatiques restent une possibilité thérapeutique Le traitement d attaque tend à être raccourci pour éviter la toxicité médicamenteuse Le traitement au long cours est prolongé plusieurs années (3 à 5 ans) et demande à être précisé dans de futures études Les vascularites
114 CONCLUSION Les vascularites sont des maladies inflammatoires graves Leur évolution est imprévisible Le pronostic vital peut être rapidement engagé dans la phase inaugurale mais aussi au cours d une poussée Le traitement d attaque est agressif à la mesure de la gravité de la maladie La durée du traitement au long cours mérite d être encore précisé Les biothérapies font leur entrée dans l arsenal thérapeutique Les vascularites
115 Chapitre 2
VASCULARITES NÉCROSANTES SYSTÉMIQUES
GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE VASCULARITES NÉCROSANTES SYSTÉMIQUES Protocole national de diagnostic et de soins Novembre 2007 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailLa maladie de Horton Artérite temporale Artérite à cellules géantes
Artérite temporale Artérite à cellules géantes La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est
Plus en détailLa périartérite noueuse Maladie de Küssmaul-Maier
Maladie de Küssmaul-Maier La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailMécanisme des réactions inflammatoires
01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan
Plus en détailLa maladie de Wegener La granulomatose de Wegener
La granulomatose de Wegener La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous
Plus en détailItem 116 : Maladies autoimmunes
Item 116 : Maladies autoimmunes COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Définition du concept d'auto-immunité...3
Plus en détailMaladies systémiques et auto-immunes rares. Actes du Colloque de la Fondation Groupama pour la santé Paris, le 12 mai 2009
Maladies systémiques et auto-immunes rares Actes du Colloque de la Fondation Groupama pour la santé Paris, le 12 mai 2009 Éditeur : Fondation d entreprise Groupama pour la santé Siège social : 8-10 rue
Plus en détailDERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES
DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES I ECZEMA ET LESIONS ECZEMATIFORMES II LICHEN PLAN III LICHEN SCLERO-ATROPHIQUE IV MALADIE LUPIQUE V PSORIASIS VI AUTRES Parapsoriasis Kératodermies
Plus en détailConférence De néphrologie. Lille Internat DCEM3 E. Faure
Conférence De néphrologie Lille Internat DCEM3 E. Faure 219 : Anomalies du bilan de l eau et du sodium (DCEM3 conf 2) 219 : Anomalies du bilan du potassium (DCEM3 conf 1) 219 : Désordres de l équilibre
Plus en détailSyndrome de Churg et Strauss
Syndrome de Churg et Strauss Auteurs : François Lhote*, Pascal Cohen**, Philippe Guilpain**, Loïc Guillevin** * Service de médecine interne, centre hospitalier de Saint-Denis, 93200 Saint-Denis. ** Département
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailLa maladie de Takayasu
La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Takayasu. Elle ne se substitue
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailCompte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique
Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailPhysiopathologie des vascularites nécrosantes
Physiopathologie des vascularites nécrosantes Luc Mouthon Pôle de Médecine Interne, Centre de référence pour les vascularites nécrosantes et la sclérodermie systémique, hôpital Cochin, Assistance Publique-
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailPROGRAMME. Qu est ce que la sélection? Médicale Non médicale. Tarification et compensation Mortalité, surmortalité Loi des grands nombres
COMPRENDRE LA SELECTION ET LA TARIFICATION DES RISQUES B1 Durée : 1 journée Niveau Retenir les principes et définitions de base Comprendre les raisons de la sélection et les principes de tarification Faciliter
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailLa maladie de Berger Néphropathie à IgA
Néphropathie à IgA La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailCibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines
Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines Jean Daniel Lelièvre, Yves Lévy, Pierre Miossec I-Introduction... 2 II-Les interférons... 2 II-1.L interféron... 3 II-1-a.
Plus en détailINDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE
INDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE Etude clinique N NCT01988506 Inves9gateur coordinateur
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailMarchés des groupes à affinités
Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailMécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes
Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Sébastien Lacroix-Desmazes INSERM UMRS 1138 Immunopathology and herapeutic Immunointervention CRC - Paris, France Ma connaissance d un patient
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailAnticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions
Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions De quoi se compose le système immunitaire? Chaque jour, des substances étrangères, appelées
Plus en détailHVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI. http://www.infectiologie.org.tn
HVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI LES MOYENS THERAPEUTIQUES Les interférons La ribavirine Les nouveaux produits INTERFERONS 1957: activité antivirale Interférence
Plus en détailSuivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation
SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de
Plus en détailEXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410
EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailProphylaxie infectieuse après exposition professionnelle
1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais
Plus en détailPLACE DU RITUXIMAB DANS LE TRAITEMENT DES VASCULARITES AANCA : ETUDE RETROSPECTIVE MULTICENTRIQUE
ROYAUME DU MAROC UNIVERSITE SIDI MOHAMMED BENABDELLAH FACULTE DE MEDECINE ET DE PHARMACIE FES UNIVERSITESIDI MOHAMMED BENABDELLAH FES PLACE DU RITUXIMAB DANS LE TRAITEMENT DES VASCULARITES AANCA : ETUDE
Plus en détailMécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte.
Mécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte. Marcelo de Carvalho Bittencourt, Christophe Baron, Gilles Blancho, Myriam Labalette, Hélène Moins Teisserenc
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailrhumatoïde DES de Biologie médicale Cours d immunologie 2012-2013 Vincent Elsermans
Polyarthrite rhumatoïde DES de Biologie médicale Cours d immunologie 2012-2013 Vincent Elsermans Plan Notions cliniques Démarche diagnostique Les facteurs rhumatoïdes : techniques, performances Les anticorps
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailSOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat
SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailSysmex Educational Enhancement & Development
Sysmex Educational Enhancement & Development Bulletin d information SEED-Afrique No 6 Le rôle du test D-dimères dans le diagnostic clinique. Introduction à la coagulation L objectif de ce bulletin est
Plus en détailLE SYNDROME DE BUDD CHIARI
CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)
Plus en détailL anémie hémolytique auto-immune
L anémie hémolytique auto-immune La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à
Plus en détailSERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL
SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailDouleurs des mains. Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements. C.Zenklusen septembre 2013
Douleurs des mains Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements C.Zenklusen septembre 2013 Causes de douleurs aux mains Articulations (origine articulaire) Nerfs (origine nerveuse)
Plus en détailDéfinitions. MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe. PROTECTION MULTIPLE pour enfant
Définitions MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe PROTECTION MULTIPLE pour enfant Voici les définitions des maladies graves et non critiques que vous pouvez retrouver dans les garanties
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détail- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à
Information presse Roche, l Agence Nationale de Recherches sur le Sida et les hépatites virales (ANRS), le Baylor Research Institute (BRI) et Inserm Transfert mettent en place une coopération stratégique
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailVaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins
Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie 1977 - Terme utilisé par Jonas Salk. 1983 - Rassemble tous les aspects des vaccinations : biologiques, immunologiques et cliniques ainsi
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailHépatites Auto-Immunes. Critères et Scores Diagnostiques
Hépatites Auto-Immunes Critères et Scores Diagnostiques Olivier CHAZOUILLERES Service d Hépatologie Centre de référence des maladies inflammatoires des voies biliaires Paris Saint Antoine HAI: Modes de
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailChristian TREPO, MD, PhD
PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement
Plus en détailDossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang
Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Maladies du sang Objectif de ce dossier Les demandes des médias portent régulièrement sur les usages
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailCytokines ; Chimiokines
Cytokines ; Chimiokines I. Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l'organisme, des souris déficientes pour le récepteur CCR7 de chimiokine ont été générées par recombinaison
Plus en détailItem 121 : Polyarthrite rhumatoïde
Item 121 : Polyarthrite rhumatoïde COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...5 SPECIFIQUE :...5 I Polyarthrite rhumatoïde
Plus en détailDéfinitions. PrioritéVie Enfant MC. Assurance contre le risque de maladie grave
Définitions PrioritéVie Enfant MC Assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détail