L IMPACT DE LA FORMATION CONTINUE SUR LA PERFORMANCE ET LE TAUX DE ROTATION DES COMMERCIAUX : CAS DES ENTREPRISES AU LIBAN

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L IMPACT DE LA FORMATION CONTINUE SUR LA PERFORMANCE ET LE TAUX DE ROTATION DES COMMERCIAUX : CAS DES ENTREPRISES AU LIBAN"

Transcription

1 L IMPACT DE LA FORMATION CONTINUE SUR LA PERFORMANCE ET LE TAUX DE ROTATION DES COMMERCIAUX : CAS DES ENTREPRISES AU LIBAN Walid ABOU KHALIL - Maître de conférences à la FGM RESUME L objectif de cette recherche est d'étudier l impact de la formation sur la performance du vendeur dans l entreprise libanaise. La revue de littérature réalisée explique et met en évidence le rôle de la formation et sa périodicité dans l'amélioration de certains éléments de cette performance, mais aussi son effet sur la hausse du taux de rotation de la force de vente. Une étude empirique a été menée et les données ont été recueillies au moyen de questionnaires administrés en face à face. Les résultats de cette étude ont montré que deux des quatre hypothèses posées ont été retenues. Les résultats ont permis de suggérer que les responsables et chefs des départements et services commerciaux doivent être plus vigilants quant aux processus, contenus et pertinence des programmes de formation à répondre aux objectifs organisationnels et commerciaux. MOTS CLES : Formation, force de vente, performance du vendeur, taux de rotation, Liban 1. CONTEXTE THEORIQUE ET HYPOTHESES DE LA RECHERCHE La fonction commerciale et plus particulièrement la fonction vente, est devenue de nos jours une fonction fondamentale de l entreprise ; de là vient l importance de la formation de la force de vente qui représente un enjeu important de la gestion des ressources humaines (Wang et al., 2002). À noter que la force de vente se définit comme l ensemble du personnel qui, à l intérieur et à l extérieur de l entreprise, a pour fonction essentielle de vendre les produits de l entreprise. Borman et Motowidlo (1993) ont divisé la performance du vendeur en deux types : celle qui concerne les opérations professionnelles du vendeur c'est-à-dire les activités pertinentes à la fonction qu il exerce dans l entreprise et la performance contextuelle. Nous adoptons le premier type de cette classification et considérons que la performance du vendeur telle que définie par Walker et al. (1979) est «le résultat de l exécution de plusieurs tâches discrètes et spécifiques, qui peuvent varier énormément selon les types de poste et de situations de vente». Bien que la formation reste selon Bélanger et Robitaille (2008) et Cadin et al. (2007), un domaine où le rendement financier des investissements est difficile à évaluer, Rothwell et Kolb (1999) ont considéré qu elle est classée parmi les procédés les plus efficaces pour augmenter la productivité des individus. Elle est aussi capable de les faire 1

2 progresser, ce qui affecte positivement les entreprises qui les emploient par un retour sur investissement en termes de productivité ou de rentabilité (Van Haecht, 2000). De plus, la formation représente un des investissements les plus importants pour l organisation qui en principe, serait prête à l entreprendre, s il devait avoir un effet positif sur ses résultats (Arthur et al., 2003). Par exemple, le fait d éviter par le biais de l investissement en formation, le départ volontaire d un vendeur performant, constitue un effet positif pour l organisation. Nous pouvons déduire donc qu au fur et à mesure que le vendeur est formé, il sera capable de procurer un meilleur travail à l'entreprise, son rendement s'élèvera d'une manière remarquable et la rentabilité de l'entreprise sera sensiblement améliorée. D où notre première hypothèse : H1 : La formation professionnelle du vendeur contribue fortement à rendre celui-ci plus productif. Dans le contexte d une étude exploratoire sur la rétention des vendeurs, Mills (2007) a montré que les coûts de recherche d un candidat qualifié sont plus importants qu ils le sont pour retenir un employé ayant les mêmes qualifications et déjà présent au sein de l organisation. Dans le même ordre d idées, Kapur (2010) fait apparaître un lien entre la formation et la rétention des vendeurs. Ainsi, la présence et le développement de la formation sont des pratiques associées à une meilleure rétention des employés et spécifiquement des vendeurs. Cependant, un vendeur formé peut facilement demander une augmentation de salaire comme il peut accepter plus rapidement un emploi mieux rémunéré, éventuellement chez les concurrents du métier. Il s agit, selon Sullivan (2005) du «braconnage». L auteur a expliqué cette action par le recrutement de la part d un concurrent d un employé sur lequel la firme a investi dans la formation et ceci dans l intention de se procurer rapidement des compétences surtout que le recrutement des vendeurs représente un enjeu important pour l entreprise et doit être mis en œuvre de façon structurée. Dans la même lignée, Macquin (1999) a considéré que la possibilité de l'échec dans ce domaine est élevée compte tenu des frais de recrutement ainsi que du manque à gagner résultant d une mauvaise exploitation du territoire de vente. Cependant, le recrutement qui est un élément essentiel dans le management de la force de vente, s avère insuffisant et requiert des actions de formation pour le maintien et le développement des performances (Hamon et al., 1993). Nous supposons donc que les entreprises désirant recruter de nouveaux vendeurs seront prêtes à mieux payer les candidats formés qui travaillent déjà dans une autre entreprise du fait de leur compétence et capacité professionnelles. Nous déduisons d après ce qui précède que les vendeurs séduits par une meilleure rémunération auront tendance à quitter l'emploi actuel et changer d'entreprise. Les programmes de formation contribuent donc fortement et indirectement à hausser le taux de rotation des vendeurs dans l'établissement dans lequel ils travaillent. Notre deuxième hypothèse sera donc : H2 : La formation professionnelle des vendeurs contribue à hausser le taux de rotation de ces derniers dans l'entreprise. En dépit de ce lien formation-rétention, les auteurs s accordent sur les effets bénéfiques de la formation des vendeurs. Ces effets, peuvent concerner, en plus de l amélioration 2

3 des compétences techniques des personnes formées, le développement de leur personnalité. Ainsi, il ne suffit pas que le vendeur connaisse parfaitement les produits qu'il propose aux clients et qu il soit capable de faire des démonstrations devant ces derniers, il faut aussi qu il ait une personnalité particulière. Les vendeurs formés se distinguent des autres qui ne le sont, pas par un meilleur moral, un épanouissement et un comportement confiant et ferme (Dubar et al., 1981). Nous pouvons énoncer donc que les vendeurs soumis à une formation dans leur domaine éprouvent habituellement un sentiment de contentement et de confiance en soi. Cet état d'esprit affecte positivement le comportement du vendeur qui devenant plus sûr de lui-même et de ses capacités, agit plus activement. De là, notre troisième hypothèse : H3 : La formation professionnelle des vendeurs contribue fortement à leur procurer un meilleur moral. Enfin, selon Van der Linden (1997), la formation professionnelle continue de la force de vente améliore la qualité et la nature de l'information disponible et la véhicule convenablement dans les deux sens : de l interne à l externe et de l externe à l interne. Il s agit, toujours selon l auteur, d une «information positive» considérée pertinente pour l évaluation des goûts, des besoins et même des plaintes des consommateurs. De plus, une équipe de vente bien formée véhicule une image positive de l'entreprise auprès de ses clients. Basés sur ce qui précède, nous pouvons donc dire que grâce au développement de ses connaissances techniques et stratégiques acquises durant les séances de formation; le vendeur saura transmettre le message de l'entreprise au client et mieux comprendre l'évolution de ses besoins, véhiculant ainsi la bonne information qui a pour but d'adapter les produits offerts aux désirs des consommateurs. La quatrième hypothèse sera donc formulée comme suit : H4 : La formation professionnelle du vendeur contribue fortement à faire mieux circuler les informations entre l entreprise et le marché. 2. METHODOLOGIE DE LA RECHERCHE La littérature pertinente a aidé à développer le problème de la recherche et à formuler les hypothèses à tester tandis que la recherche de terrain a servi à confirmer ou infirmer les propositions hypothétiques par déduction. La méthode générale de travail est la méthode hypothético - déductive. Figure 1 Les relations hypothétiques entre les variables de l'étude 3

4 Circulation de l informatio n H4 (+) H1 (+) Productivit é du vendeur Formation du vendeur H3 (+) H2 (+) Moral du vendeur Taux de rotation 2.1. Le procédé d'enquête Les données de cette étude proviennent d'une enquête à l'échelle nationale menée en face à face durant l année 2014 avec les directeurs de vente et autres cadres supérieurs d une variété d entreprises auprès d un échantillon aléatoire constitué originellement de 400 entreprises de différentes tailles (petite, moyenne et grande), appartenant à différents secteurs (industriel, commercial et des services) et opérant sur le territoire libanais. Nous avons estimé que les réponses seraient beaucoup plus proches de la réalité si les interviewés étaient interrogés en milieu réel. Pour cette raison toutes les entrevues ont été menées dans les entreprises et les résultats de l'enquête ont été obtenus par le biais d interviews qui ont duré approximativement vingt minutes chacun. Les noms et adresses des compagnies ont été retirés de l annuaire des entreprises «5 index». Tous les rendez-vous ont été confirmés par appels téléphoniques antérieurs aux interviews. Vingt dirigeants d entreprises ou directeurs de vente ont refusé d accorder des interviews pour des raisons inconnues. Durant l entretien, une question qualifiante a permis de déceler que 60 entreprises des 380 n assuraient aucune formation à leurs commerciaux. Finalement 320 de 400 questionnaires ayant pour objectif de connaître l effet de la formation sur la performance des vendeurs et destinés aux directeurs de vente, ont été retournés dûment remplis. Vingt et un questionnaires n étaient cependant pas totalement remplis mais étaient toujours considérés comme valides vu le faible nombre de questions auxquelles nulle réponse n a été donnée. Les valeurs manquantes ont été ultérieurement remplacées par la valeur moyenne des réponses obtenues aux mêmes questions. Il est possible 4

5 que la nature confidentielle de certaines questions de recherche ait été la raison de la réduction du taux de réponse (Good et Stone 1995), et Il est raisonnable de conclure que par conséquent certains répondants peuvent avoir été découragés de remplir le questionnaire en entier. 78 % de l échantillon se composent des directeurs des ventes, 16 % des dirigeants d entreprise et 6 % de responsables divers pratiquant plusieurs fonctions à la fois dont la direction de l équipe de vente Le questionnaire L'instrument de base pour le recueil des données primaires était le questionnaire d'enquête. Celui-ci fut construit pour recueillir des informations sur les effets de la formation sur l activité des vendeurs. Le questionnaire a été organisé selon un agencement de questions dans un ordre rigoureusement étudié. L'ordre des questions a été maintes fois bouleversé jusqu'à l'obtention d'une suite logique et organisée de questions comprenant une question de transition. Les questions étaient dichotomiques, à choix forcé et à échelle d évaluation de type Likert et étaient divisées en trois parties : une partie de quatre questions firmographiques devait nous informer sur la nature de l activité de l entreprise, sur sa taille, sur la taille de sa force de vente ainsi que sur la fonction qu exerce le répondant au questionnaire. La seconde partie du questionnaire composée de deux questions était destinée à connaître l aspect socioculturel du vendeur. La troisième partie de trois questions concernait la formation et devait nous aider à savoir si l entreprise assurait de la formation à ses vendeurs, selon quelle périodicité, et le cas échéant si ces formations contribuaient aux objectifs organisationnels de l entreprise, objet de notre recherche. Le questionnaire a été testé et quelques changements ont été effectués sur la formulation des questions et le choix des termes pour que le langage soit clair et compréhensible par tous. Par ailleurs, les responsables interviewés dans leur majorité ont demandé de garder l anonymat dans la diffusion des résultats. 3. ANALYSE DES RESULTATS Les réponses aux questions ont été analysées statistiquement par le bais des logiciels Excel version 2010 et SPSS version Le profil firmographique Comme le montre le tableau 1, 33,50 % des entreprises appartiennent au secteur industriel, 46,50 % au secteur commercial et 20 % au secteur des services. 5

6 Par ailleurs le tableau 2 montre que les employés de ces entreprises sont distribués comme suit : 7597 employés travaillant dans les entreprises industrielles avec une moyenne de 71 employés par usine, 5364 employés dans les entreprises commerciales avec une moyenne d'employés de 36 par entreprise et 3200 employés dans les entreprises de service avec une moyenne d'employés de 50 salariés par entreprise. Le nombre total de tout le personnel travaillant dans toutes les entreprises sondées est de employés avec une moyenne globale d'employés de 51 par firme. Tableau 1: Total et pourcentage des entreprises par secteur Type d'activité Total % Industrie ,50 Commerce ,50 Service Total Tableau 2 : Total et pourcentage des employés dans les entreprises étudiées Type d'activité Personnel Moyenne des employés / Entreprise Industrie Commerce service Total Par ailleurs, nous avons adopté la classification de Khalifé (2014) pour les tailles des entreprises au Liban et avons obtenu les résultats exposés dans le tableau 3 : Tableau 3: Nombre des entreprises par taille Taille de l entreprise Catégorie Total % 1 à 49 employés Petite ,40 50 à 200 employés Moyenne 86 26,90 > 200 employés Grande 12 3,80 Total Nous remarquons d après le tableau précédent que le total des PME dans l échantillon choisi s élève à 308 entreprises de 320, soit un pourcentage de 96,3 % de PME. Ceci correspond parfaitement aux résultats du recensement effectué par l Administration Centrale des Statistiques et qui a montré que 94,7 % d entreprises emploient entre une et 99 personnes 1. 1 Administration Centrale de la Statistique, ACS. (2006). République Libanaise Statistical Yearbook. In Khalifé (2014). 6

7 3.2. Le profil socioculturel des vendeurs Le tableau 4 expose les chiffres correspondants au nombre des vendeurs dans les entreprises industrielles, commerciales et de service. Ainsi, dans les premières 1222 vendeurs exercent leur activité professionnelle avec une moyenne de 12 vendeurs par firme industrielle tandis que le nombre des vendeurs opérant dans les entreprises commerciales ne dépasse pas 2239 vendeurs avec une moyenne de 15 vendeurs par entreprise. Le nombre moyen dans les entreprises est de 9 totalisant ainsi 576 vendeurs dans les 64 entreprises de services. Le total général des vendeurs opérant dans les trois types d'entreprises s'élève à 4037 avec une moyenne de 13 vendeurs par entreprise. Tableau 4: Total et pourcentage des vendeurs dans les entreprises étudiées Type d'activité vendeurs Moyenne des vendeurs / entreprise Industrie Commerce Service Total L'âge des vendeurs est donné par le tableau 5 où 42 % de ceux-ci ont un âge variant entre 18 et 30 ans; 32,20 % entre 31 et 40 ans; 20,66 % entre 41 et 50 ans ; 4 % entre 51 et 60 ans et 1,14 % seulement, un âge supérieur à 60 ans. Tableau 5: Répartition des vendeurs par tranche d'âge Classe d'âge Total % ans ans , ans , ans (+) 60 ans Total Le niveau d'éducation est montré par le tableau 6 où 10,70 % des vendeurs sont du niveau primaire; 29,33 % du niveau secondaire ou technique et 59,97 % du niveau universitaire. Tableau 6: Répartition des vendeurs par niveau d'éducation Niveau d'éducation Total % Primaire /complémentaire ,70 Secondaire /technique ,33 Universitaire ,97 Total

8 3.3. Vérification des hypothèses Des tests statistiques non paramétriques devaient être menés et ce en raison des résultats principaux qui étaient présentés dans un ordre de catégories de données (Très faible, faible, moyenne, élevée, très élevée). De surcroît, dans le tableau 7 le test de Kolmogorov-Smirnov (p-value < 0,05 = α) a confirmé l asymétrie dans les distributions des variables principales à mesurer. Par le fait même l analyse statistique non paramétrique a été justifiée. Tableau 7: Tests de normalité de Kolmogrov - Smirnov Kolmogorov-Smirnov(a) Shapiro-Wilk Statistic df Sig. Statistic df Sig. Productivité Rotation_vendeurs Moral_vendeurs Information (a) Lilliefors Significance Correction Suite à ces résultats, un test de χ² était effectué afin d évaluer la signification statistique des quatre hypothèses formulées dans la revue de littérature. Pour ce faire, nous avons procédé à combiner les catégories de réponse des questions relatives à la périodicité de la formation et à la contribution de celle-ci à atteindre les objectifs. Les raisons de ce choix sont essentiellement la nature logique de la relation entre les deux ensembles d items des deux variables. Les premières catégories de réponse ont été combinées et recodées de manière à avoir trois catégories au lieu de cinq et les secondes catégories de réponse (échelle de type Likert) ont été combinées et recodées pour obtenir également trois à la place de cinq catégories comme l indique le tableau 8. Le test d indépendance de χ2 effectué entre ces ensembles de variables a permis de rejeter les hypothèses H1 et H4 et de retenir les hypothèses H2 et H3. Dans les tableaux 9, 10 et 12 les résultats ont montré des p-value > 0,05 = α ce qui indique qu il y a indépendance totale entre la variable périodicité de la formation et les variables productivité, rotation des vendeurs et circulation de l information. Il est toutefois utile de noter que la question à échelle relative à la seconde hypothèse était posée de manière inversée. Le but était de savoir si les programmes de formation aidaient à baisser le taux de rotation des vendeurs et non à le hausser. De ce fait, nous considérons suite au résultat obtenu (p-value = 0,65) que ces programmes ont un effet qui permet d augmenter le taux de rotation et non l inverse car il s est avéré qu il y a indépendance totale entre la baisse du taux de rotation et la périodicité de la formation. Par contre, le tableau 11 montre une p-value < 0,05 = α qui permet de déduire qu il est probable qu il y ait une certaine relation entre les variables «périodicité» et «meilleur moral des vendeurs». 8

9 Tableau 8: Tableau de recodage Question Code Catégories de réponses originales 1 Une fois par an Périodicité de la formation Importance de la contribution des programmes de formation sur la performance des vendeurs Nouveau code Nouvelles catégories de réponses 2 Deux fois par an 1 Faible périodicité 3 Quatre fois par an 2 Périodicité moyenne 4 Six fois par an 5 Plus que 6 fois par an 1 Contribution très faible 2 Contribution faible Contribution moyenne 3 4 Contribution élevée 5 Contribution très élevée 3 Forte périodicité 1 Contribution faible 2 Contribution moyenne 3 Contribution élevée Afin de mesurer l intensité de cette relation, nous avons calculé l indice V de Cramer dans le tableau 13 qui est égal au radical du χ² divisé par le χ² maximal. Le résultat montre une valeur de 0,125 ce qui indique une dépendance plutôt faible. Tableau 9: Tests de χ² (Périodicité combinée * Productivité combinée) Value df Asymp. Sig. (2-sided) Pearson Chi-Square 3.622(a) Likelihood Ratio Linear-by-Linear Association N of Valid Cases 320 (a) 0 cells (.0%) have expected count less than 5. The minimum expected count is Tableau 10: Tests de χ² (Périodicité combinée * Rotation vendeurs combinée) Value df Asymp. Sig. (2-sided) Pearson Chi-Square 2.507(a) Likelihood Ratio Linear-by-Linear Association N of Valid Cases 320 (a) 0 cells (.0%) have expected count less than 5. The minimum expected count is

10 Tableau 11: Tests de χ² (Périodicité combinée * Moral vendeurs combinée) Value df Asymp. Sig. (2-sided) Pearson Chi-Square 9.955(a) Likelihood Ratio Linear-by-Linear Association N of Valid Cases 320 (a) 0 cells (.0%) have expected count less than 5. The minimum expected count is Tableau 12: Tests de χ² (Périodicité combinée * information combinée) Value df Asymp. Sig. (2-sided) Pearson Chi-Square 2.848(a) Likelihood Ratio Linear-by-Linear Association N of Valid Cases 320 (a) 0 cells (.0%) have expected count less than 5. The minimum expected count is Tableau 13: Mesures symétriques Approx. Sig. Value Phi Cramer's V Nominal by Nominal N of Valid Cases 320 (a) Not assuming the null hypothesis. (b) Using the asymptotic standard error assuming the null hypothesis. 4. DISCUSSION ET CONCLUSION Les résultats de l enquête mettent en évidence la présence d une relation entre la hausse du taux de rotation des vendeurs dans l'entreprise et la périodicité de la formation ainsi qu une relation faible entre cette dernière variable et le moral du vendeur, sans pour autant que cette variable ait un effet quelconque sur l amélioration de la productivité ou de la capacité du vendeur libanais à s acquitter du rôle d informateur entre le marché et l entreprise. Ceci peut être expliqué par le fait que dans un pays en situation de crise comme le Liban, la formation du vendeur n est pas un facteur suffisant de motivation pour le rendre plus productif ni pour le transformer en informateur. Par contre, la formation pourrait aider à améliorer le moral du vendeur en milieu de travail et lui donner plus de confiance en soi, et également à l encourager à changer de carrière ou d entreprise. 10

11 L interprétation logique de ces résultats est que les commerciaux travaillant dans un pays où règne un climat d insécurité provenant essentiellement d une crise politique et/ou sécuritaire ne peuvent malgré leur formation continue, être plus productifs car l activité commerciale se ralentit dans un tel climat. Le cycle économique total qui est affecté d une telle situation aura un impact négatif sur la demande des biens qui est également freinée (Corm, 2004). Le vendeur sûr de ses capacités est alors plus enclin à rechercher d autres opportunités en dehors de l entreprise dans laquelle il travaille. Ces résultats convergent tout à fait d ailleurs avec la littérature existante sur le sujet. De surcroît la fréquence des programmes de formation n est pas le seul facteur décisif pour améliorer la performance du vendeur et ses capacités de communication. La qualité de ces programmes est aussi un élément à considérer. Il se peut fort bien que le contenu des formations dispensées ne soit pas conforme au niveau des vendeurs ou aux requis de l entreprise. Nos recommandations aux dirigeants et chefs de vente dans les entreprises libanaises est de revoir alors le processus de formation au sein de leurs entreprises et d examiner la qualité et le niveau des formations assurées à leurs commerciaux pour s assurer que celles-ci sont conformes aux objectifs organisationnels et répondent aux exigences et aux attentes du département marketing, et si par ailleurs elles peuvent aboutir à une optimisation du partage des informations marchés et clients. La cohérence entre le marketing et la vente est de rigueur pour améliorer les résultats, et la formation continue du vendeur devrait l aider à comprendre l homogénéité des deux visions dans une perspective de satisfaction du client. Les dirigeants doivent donc focaliser sur un processus complet de formation qui pourrait aider à traduire la stratégie marketing en actions sur le terrain et à apporter sur le long terme les outils opérationnels et les bonnes pratiques. Pour cela, il serait utile de prévoir des sessions d initiation aux avantages des formations fournies en vue de familiariser et motiver davantage les vendeurs et exploiter au maximum les connaissances acquises. Il y a certainement d autres facteurs qui pourraient motiver encore plus le vendeur et le pousser à donner de meilleurs résultats. Ceci devrait faire l objet d une nouvelle recherche du type causal qui permettra de découvrir les facteurs de motivation des commerciaux au Liban. Nous proposons donc une nouvelle étude empirique portant sur le même échantillon et dont l objectif sera de déterminer si d autres facteurs tels la rémunération et la promotion pourraient également motiver le vendeur et si celles-ci pourraient contribuer à améliorer sa performance professionnelle. BIBLIOGRAPHIE Arthur, W., Bennett, W., Edens, P., Bell, S. (2003), Effectiveness of Training in Organizations: A Meta-Analysis of Design and Evaluation Features, Journal of Applied Psychology, Vol. 88, No. 2, Belanger P. et Robitaille M. (2008), La formation en entreprise au Québec, un portait, rapport CSAMT, CIRDEP / UQAM, Montréal. Borman W.C., Motowidlo S.J., (1993), Expanding the criterion domain to include elements of contextual performance, in N. Schmitt, W.C. Borman, 11

12 eds, Personnel Selection in Organizations, San Francisco, Jossey-Bass, Cadin Guerin et Pigeyre (2007), Gestion des ressources humaines, pratiques et éléments de théorie, 3e édition, Dunod. Corm, G. (2004). La situation économique du Liban et ses perspectives de développement dans la région. Confluences Méditerranée, 49. Dubar C., Debuchy F., Delaunay Q., Feutrie M., Gadrey N. et Verschave E. (1981), Besoin de formation continue et crise économique, Lille, Presses universitaires de Lille. Good, David J., and Robert W. Stone (1995), Computer Technology and the Marketing organization: An Empirical Investigation, Journal of Business Research, 34 (November), Hamon C., Lezin P., Toullec A. (1993), Gestion commercial et Management de la force de vente, Edition DUNOD, Paris,, page 38. Kapur S. (2010), Call for rethink on staff retention strategies, Emirates Business, vol.24, n 7, p Khalifé, E. (2014), Le management des PME dans un contexte de crise : le cas du Liban. Thèse de doctorat en Sciences de Gestion, Université Paris- Dauphine. Macquin, A. (1999), Vendre : Stratégie, Hommes, Négociation, Edition Publi- Union, Paris, p Mills, G. (2007), Transformational leadership and employee retention: An exploratory investigation of the four characteristics, Master II, Capella University. Rothwell, W. et Kolb, J. (1999), Major workforce and workplace trends influencing the training and development field in the USA, International Journal of Training and Development, vol. 3, no 1. Sullivan, J. (2005), Poaching the Best Talent Worldwide ; Tools and approaches ranging from aggressive to passive, Journal of Corporate Recruiting Leadership, Nov. 21. Van der Linden, B. (1997), Effets des formations professionnelles et des aides à l'embauche exploitation d'une enquête auprès d'employeurs belges. In: Économie & prévision. Numéro 131, Vol.5. pp Van Haecht, A. (1997), Pour une sociologie de l action publique, Bruxelles, Revue de l Institut de Sociologie, Vol. 1-4, ULB, Walker, O.C., Churchill G.A., Ford N.M., (1979), Where Do We Go From Here? Selected Conceptual and Empirical Issues Concerning the Motivation and Performance of the Industrial Salesforce, in Critical Issues in sales Management: Sate-of-the-Art and Future Research Needs, Gerald Albaum G. & Churchill Jr. G.A., Eugene (eds), Wang, Greg G., Dou, Zhengxia, LI, Ning. (2002) «A Systems Approach to Measuring Return on Investment for HRD Interventions», Human Resources Development Quarterly, 13:

Présentation du programme de Master en gestion

Présentation du programme de Master en gestion Présentation du programme de Master en gestion Faculté de Gestion et de Management Université Saint Joseph 2015-2016 Le Concours d entrée se passera le Samedi 9 Mai Cette présentation se trouve aussi sur

Plus en détail

PLAN DE COURS. Département de sociologie Université du Québec à Montréal

PLAN DE COURS. Département de sociologie Université du Québec à Montréal PLAN DE COURS Département de sociologie Université du Québec à Montréal Sigle : SOC 1011 Groupe : 10 Titre : Méthodes de recherche en sociologie I Session : Hiver 2015 Enseignant : Romain Paumier Téléphone

Plus en détail

EVALUATION DE LA QUALITE DES SONDAGES EN LIGNE : CAS D UN SONDAGE D OPINION AU BURKINA FASO

EVALUATION DE LA QUALITE DES SONDAGES EN LIGNE : CAS D UN SONDAGE D OPINION AU BURKINA FASO EVALUATION DE LA QUALITE DES SONDAGES EN LIGNE : CAS D UN SONDAGE D OPINION AU BURKINA FASO Auteur Baguinébié Bazongo 1 Ingénieur Statisticien Economiste Chef de l Unité de recherche à l Institut national

Plus en détail

Rédiger et administrer un questionnaire

Rédiger et administrer un questionnaire Rédiger et administrer un questionnaire Ce document constitue une adaptation, en traduction libre, de deux brochures distinctes : l une produite par l American Statistical Association (Designing a Questionnaire),

Plus en détail

distribution quelconque Signe 1 échantillon non Wilcoxon gaussienne distribution symétrique Student gaussienne position

distribution quelconque Signe 1 échantillon non Wilcoxon gaussienne distribution symétrique Student gaussienne position Arbre de NESI distribution quelconque Signe 1 échantillon distribution symétrique non gaussienne Wilcoxon gaussienne Student position appariés 1 échantillon sur la différence avec référence=0 2 échantillons

Plus en détail

Comité sectoriel de la Sécurité sociale et de la Santé Section «Sécurité sociale»

Comité sectoriel de la Sécurité sociale et de la Santé Section «Sécurité sociale» Comité sectoriel de la Sécurité sociale et de la Santé Section «Sécurité sociale» CSSS/09/102 DÉLIBÉRATION N 09/055 DU 1 ER SEPTEMBRE 2009 RELATIVE À LA COMMUNICATION DE DONNÉES À CARACTÈRE PERSONNEL PAR

Plus en détail

FOTO - L OMNIBUS MENSUEL DE CROP LE NOUVEAU CROP-EXPRESS

FOTO - L OMNIBUS MENSUEL DE CROP LE NOUVEAU CROP-EXPRESS FOTO - L OMNIBUS MENSUEL DE CROP LE NOUVEAU CROP-EXPRESS 550, RUE SHERBROOKE OUEST MONTRÉAL (QUÉBEC) H3A 1B9 BUREAU 900 TOUR EST T 514 849-8086, POSTE 3064 Réflexions méthodologiques Depuis des années,

Plus en détail

LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING

LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING LE PLAN D'AMÉLIORATION DE LA FONCTION MARKETING Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Michel Coutu, F. Adm.A., CMC Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications

Plus en détail

,,ÉTUDES ET RECHERCHES SUR LA DISTRIBUTION, LA PROMOTION ET LA VALORISATION DES PRODUITS DE BOULANGERIE DANS LE MUNICIPE DE CONSTANŢA

,,ÉTUDES ET RECHERCHES SUR LA DISTRIBUTION, LA PROMOTION ET LA VALORISATION DES PRODUITS DE BOULANGERIE DANS LE MUNICIPE DE CONSTANŢA RESUMÉ Mots clés : marketing, produits alimentaires, stratégies La thèse de doctorat intitulée,,études ET RECHERCHES SUR LA DISTRIBUTION, LA PROMOTION ET LA VALORISATION DES PRODUITS DE BOULANGERIE DANS

Plus en détail

"La démarche marketing, le système d information marketing et l étude de marché"

La démarche marketing, le système d information marketing et l étude de marché ECOLE DES HAUTES ETUDES COMMERCIALES Module : Marketing Fondamental Année Académique : 2014/2015 Niveau : 1 ère année Master (TC) Enseignant : KHERRI Abdenacer Groupes : 12, 13, 14, 15 et 16 Site web :

Plus en détail

Comment réaliser votre étude de marché. Pascale GARNIER - MCP MARKETING Estelle DELABRE - SILOUET

Comment réaliser votre étude de marché. Pascale GARNIER - MCP MARKETING Estelle DELABRE - SILOUET Comment réaliser votre étude de marché Pascale GARNIER - MCP MARKETING Estelle DELABRE - SILOUET Sommaire Objectifs de la conférence Préambule Méthode pour organiser votre réflexion Quelques conseils Partie

Plus en détail

Décembre 2011. Nord-du-Québec

Décembre 2011. Nord-du-Québec Enquête sur les besoins de main-d œuvre et de formation des entreprises du secteur de l industrie de l information, de l industrie culturelle, des finances, des assurances, des services immobiliers et

Plus en détail

MODÈLE DE TRANSFORMATION ORGANISATIONNELLE CONDUISANT À L AUGMENTATION DES VENTES PAR UNE MEILLEURE PRODUCTIVITÉ

MODÈLE DE TRANSFORMATION ORGANISATIONNELLE CONDUISANT À L AUGMENTATION DES VENTES PAR UNE MEILLEURE PRODUCTIVITÉ MODÈLE DE TRANSFORMATION ORGANISATIONNELLE CONDUISANT À L AUGMENTATION DES VENTES PAR UNE MEILLEURE PRODUCTIVITÉ TRANSACTIONNELLE ET EXPÉRIENTIELLE DU PERSONNEL DE PREMIÈRE LIGNE EN RESTAURATION : RÉSULTATS

Plus en détail

La pratique du coaching en France. Baromètre 2010

La pratique du coaching en France. Baromètre 2010 SFCoach : crée du lien entre le monde du travail et les professionnels de l accompagnement La pratique du coaching en France Baromètre 2010 Fondée en 1996 22, Bd Sébastopol 75004 Paris Association 1901

Plus en détail

LA GESTION DE LA FORCE DE VENTE ABORDEE SOUS L ANGLE DE LA REMUNERATION

LA GESTION DE LA FORCE DE VENTE ABORDEE SOUS L ANGLE DE LA REMUNERATION LA GESTION DE LA FORCE DE VENTE ABORDEE SOUS L ANGLE DE LA REMUNERATION Depuis quelques années, on constate une grande évolution de la fonction vente ; avec le passage de la notion de l acte de vente à

Plus en détail

La mobilité professionnelle revêt

La mobilité professionnelle revêt Mobilité professionnelle 17 Du changement de poste au changement d entreprise, en passant par la promotion : la mobilité des Franciliens Les salariés franciliens, notamment les cadres, ont une propension

Plus en détail

Chapitre trois : Etude Empirique CHAPITRE TROIS ETUDE EMPIRIQUE Section I : Méthodologie de l étude 100 Section II : Analyse des résultats de recherche.. 106 99 Chapitre trois : Etude Empirique 100 Après

Plus en détail

Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi

Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi Version 4.7 Simulation d Entreprise «Artemis» Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi p. 1 1. Objectifs et Contexte Général L objectif de la simulation d entreprise «Artemis» est

Plus en détail

MAÎTRISE ÈS SCIENCES EN GESTION. MICROPROGRAMMES Exploitation de données en intelligence d affaires Analytique d affaires - Énergie 2014 ANNUAIRE

MAÎTRISE ÈS SCIENCES EN GESTION. MICROPROGRAMMES Exploitation de données en intelligence d affaires Analytique d affaires - Énergie 2014 ANNUAIRE MAÎTRISE ÈS SCIENCES EN GESTION MICROPROGRAMMES Exploitation de données en intelligence d affaires Analytique d affaires - Énergie 2014 2015 ANNUAIRE Dépôt légal IMPORTANT En complément de cet annuaire,

Plus en détail

CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO-

CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- ALIMENTAIRE AU QUÉBEC RÉSULTATS D UNE CONSULTATION DES ACTEURS DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE AU SUJET DE LEUR CONFIANCE ENVERS LEURS PERSPECTIVES FUTURES Préparé pour l Union

Plus en détail

Guide de rédaction d un protocole de recherche clinique à. l intention des chercheurs évoluant en recherche fondamentale

Guide de rédaction d un protocole de recherche clinique à. l intention des chercheurs évoluant en recherche fondamentale V E R S I O N A V R I L 2 0 1 2 C E N T R E D E R E C H E R C H E C L I N I Q U E É T I E N N E - L E B E L D U C H U S Guide de rédaction d un protocole de recherche clinique à l intention des chercheurs

Plus en détail

Quand le bâtiment va, tout va

Quand le bâtiment va, tout va Quand le bâtiment va, tout va Citation de Martin Nadeau en 1849 à l Assemblée législative de la France Martin Nadeau Ancien ouvrier maçon Député à l Assemblée législative Les sots font bâtir les maisons

Plus en détail

Does it pay to improve Corporate Governance? An empirical analysis of European Equities

Does it pay to improve Corporate Governance? An empirical analysis of European Equities Does it pay to improve Corporate Governance? An empirical analysis of European Equities Joseph GAWER NATIXIS Asset Management Université Paris Dauphine joseph.gawer@am.natixis.com Association Française

Plus en détail

Lignes directrices de 2004 pour des sondages sur la satisfaction des demandeurs dans le cadre de l assurance-automobile

Lignes directrices de 2004 pour des sondages sur la satisfaction des demandeurs dans le cadre de l assurance-automobile Financial Services Commission of Ontario Commission des services financiers de l Ontario Lignes directrices de 2004 pour des sondages sur la satisfaction des demandeurs dans le cadre de l assurance-automobile

Plus en détail

ETUDIER, TRAVAILLER ET VIVRE AUX EMIRATS ARABES UNIS.

ETUDIER, TRAVAILLER ET VIVRE AUX EMIRATS ARABES UNIS. ETUDIER, TRAVAILLER ET VIVRE AUX EMIRATS ARABES UNIS. Les Emirats Arabes Unis ; notamment Dubaï et Sharjah, offrent un cadre idéal pour poursuivre les études universitaires aux différents niveaux, licence,

Plus en détail

La formation. La session 2010. Comment candidater? Le label Docteur pour l entreprise

La formation. La session 2010. Comment candidater? Le label Docteur pour l entreprise APPEL À CANDIDATURE La formation p. 2 La session 2010 p. 3 Comment candidater? p. 5 Le label Docteur pour l entreprise p. 6 Plus de renseignements sur: http://institutdoctoral.paristech.fr et www.paristech.fr

Plus en détail

Méthodes de la gestion indicielle

Méthodes de la gestion indicielle Méthodes de la gestion indicielle La gestion répliquante : Ce type de gestion indicielle peut être mis en œuvre par trois manières, soit par une réplication pure, une réplication synthétique, ou une réplication

Plus en détail

Nobody s Unpredictable

Nobody s Unpredictable Connaissance qu a le public de la Banque du Canada (Comparaison des résultats de l enquête téléphonique et de l enquête en ligne) Enquête de décembre 2010 commandée par la Banque du Canada Nobody s Unpredictable

Plus en détail

DES INDICATEURS DE PERFORMANCE UTILES ET PERTINENTS

DES INDICATEURS DE PERFORMANCE UTILES ET PERTINENTS DES INDICATEURS DE PERFORMANCE UTILES ET PERTINENTS Marthe HURTEAU, professeure - Université du Québec à Montréal Gilles RAÎCHE, professeur - Université du Québec à Montréal RÉSUMÉ Les indicateurs de performance

Plus en détail

PIERRE MARTELL PRéSIDENT MARTELL HOME BUILDERS

PIERRE MARTELL PRéSIDENT MARTELL HOME BUILDERS 2012 Indice BDC de la nouvelle activité entrepreneuriale PIERRE MARTELL PRéSIDENT MARTELL HOME BUILDERS Résumé --------------------------------------------------------------------------------------------------

Plus en détail

Master Gestion des Ressources Humaines

Master Gestion des Ressources Humaines Master Gestion des Ressources Humaines BAC+5 Domaine : Droit, Economie, Gestion Mention : Management Organisation : Ecole Universitaire de Management Lieu de formation : ClermontFerrand Niveau d'entrée

Plus en détail

«L INTEGRATION DU WEB 2.0 AUX RESSOURCES HUMAINES CONDUITE DU CHANGEMENT ET RESISTANCE»

«L INTEGRATION DU WEB 2.0 AUX RESSOURCES HUMAINES CONDUITE DU CHANGEMENT ET RESISTANCE» «L INTEGRATION DU WEB 2.0 AUX RESSOURCES HUMAINES CONDUITE DU CHANGEMENT ET RESISTANCE» BENZIANE Abdelbaki : Professeur - Directeur de l ENPO - Directeur du LAREEM Tél : 213.41.29.07.76 Fax : 213.41.29.07.72

Plus en détail

Introduction à la méthodologie de la recherche

Introduction à la méthodologie de la recherche MASTER DE RECHERCHE Relations Économiques Internationales 2006-2007 Introduction à la méthodologie de la recherche geraldine.kutas@sciences-po.org Les Etapes de la Recherche Les étapes de la démarche Etape

Plus en détail

Le rôle croissant de la mobilité au travail

Le rôle croissant de la mobilité au travail Un profil du choix de technologie personnalisée commandé par Cisco Systems Février 2012 Les initiatives liées à la mobilité des entreprises se développent Les employés sont de plus en plus mobiles et une

Plus en détail

Fonds Jantzi RBC. Investissement. Des choix socialement responsables pour votre portefeuille de placements

Fonds Jantzi RBC. Investissement. Des choix socialement responsables pour votre portefeuille de placements Investissement Pour plus de renseignements sur les fonds Jantzi RBC, veuillez vous adresser à votre conseiller ou visiter www.rbc.com/jantzifonds Fonds Jantzi RBC Des choix socialement responsables pour

Plus en détail

Doctorate of Business Administration Programme francophone

Doctorate of Business Administration Programme francophone Mis à jour le 11-10-13 Doctorate of Business Administration Programme francophone 1. Présentation du programme DBA(F) Le programme Doctorate of Business Administration (DBA) assuré à distance par l American

Plus en détail

TERMES DE RÉFÉRENCE AXE : FORMATION CREATION ET GESTION DE BASES DE DONNEES

TERMES DE RÉFÉRENCE AXE : FORMATION CREATION ET GESTION DE BASES DE DONNEES REPUBLIQUE TUNISIENNE --*-- MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE, DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION TERMES DE RÉFÉRENCE AXE : FORMATION CREATION ET

Plus en détail

La crise économique vue par les salariés français

La crise économique vue par les salariés français La crise économique vue par les salariés français Étude du lien entre la performance sociale et le contexte socioéconomique Baggio, S. et Sutter, P.-E. La présente étude s intéresse au lien entre cette

Plus en détail

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 211 15 1 5-5 -1-15 -2 - -3-35 21 22 23 24 26 27 28 29 21 211 Série dessaisonalisée

Plus en détail

LE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE

LE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE LE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE Un problème de recherche est l écart qui existe entre ce que nous savons et ce que nous voudrions savoir à propos d un phénomène donné. Tout problème de recherche

Plus en détail

RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES ASSISTANT DE GESTION DE PME / PMI

RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES ASSISTANT DE GESTION DE PME / PMI RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES ASSISTANT DE GESTION DE PME / PMI CONTEXTE PROFESSIONNEL L'évolution actuelle des emplois montre que le rôle des petites et moyennes entreprises s'est considérablement

Plus en détail

TERMES DE RÉFÉRENCE AXE : FORMATION MANAGEMENT DES SYSTEMES D INFORMATION WINDOWS SERVER 2012

TERMES DE RÉFÉRENCE AXE : FORMATION MANAGEMENT DES SYSTEMES D INFORMATION WINDOWS SERVER 2012 REPUBLIQUE TUNISIENNE --*-- MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE, DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION TERMES DE RÉFÉRENCE AXE : FORMATION MANAGEMENT

Plus en détail

Manuel de recherche en sciences sociales

Manuel de recherche en sciences sociales Résumé de QUIVY R; VAN CAMPENHOUDT L. 95, "Manuel de recherches en sciences sociales", Dunod Cours de TC5 du DEA GSI de l intergroupe des écoles Centrales 11/2002 Manuel de recherche en sciences sociales

Plus en détail

Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi?

Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi? Emploi 3 Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi? François Brunet* Inévitablement les générations nombreuses du baby-boom nées entre 1946 et 1973 s approchent de l âge légal

Plus en détail

MODÈLE CROP DE CALIBRATION DES PANELS WEB

MODÈLE CROP DE CALIBRATION DES PANELS WEB MODÈLE CROP DE CALIBRATION DES PANELS WEB 550, RUE SHERBROOKE OUEST MONTRÉAL (QUÉBEC) H3A 1B9 BUREAU 900 TOUR EST T 514 849-8086, POSTE 3064 WWW.CROP.CA Le Protocole CROP de calibration des panels en ligne

Plus en détail

DES CHASSEURS DE TÊTES EXPERTS EN DÉVELOPPEMENT ORGANISATIONNEL

DES CHASSEURS DE TÊTES EXPERTS EN DÉVELOPPEMENT ORGANISATIONNEL DES CHASSEURS DE TÊTES EXPERTS EN DÉVELOPPEMENT ORGANISATIONNEL Secteur Financier Hautes Technologies Manufacturier Int. Identification Performance et Développement Rémunération Sondages Recherche Publications

Plus en détail

Il y a trois types principaux d analyse des résultats : l analyse descriptive, l analyse explicative et l analyse compréhensive.

Il y a trois types principaux d analyse des résultats : l analyse descriptive, l analyse explicative et l analyse compréhensive. L ANALYSE ET L INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS Une fois les résultats d une investigation recueillis, on doit les mettre en perspective en les reliant au problème étudié et à l hypothèse formulée au départ:

Plus en détail

Avenant Avenant du 28 avril 2014 à l accord du 6 juillet 2010 relatif aux certificats de qualification professionnelle

Avenant Avenant du 28 avril 2014 à l accord du 6 juillet 2010 relatif aux certificats de qualification professionnelle Le 24 juillet 2015 Avenant Avenant du 28 avril 2014 à l accord du 6 juillet 2010 relatif aux certificats de qualification professionnelle Article 1er L article 5 du chapitre II, titre Ier, relatif à la

Plus en détail

Finance et performance des jeunes viticulteurs : les conséquences pour l installation

Finance et performance des jeunes viticulteurs : les conséquences pour l installation Finance et performance des jeunes viticulteurs : Julien Cadot, ISG Paris 1 Introduction A un moment ou un autre, le candidat à l installation en viticulture doit se poser la question du revenu qu il va

Plus en détail

Motiver les équipes commerciales

Motiver les équipes commerciales Motiver les équipes commerciales Nouvelle recherche sur les facteurs de motivation des commerciaux les plus performants. par Colleen O Sullivan & Greg McDonald Developing the 21st century workforce TM

Plus en détail

1 Objectifs. Traitement statistique des données d enquête avec introduction à SPSS. Plan

1 Objectifs. Traitement statistique des données d enquête avec introduction à SPSS. Plan 1 Objectifs Traitement statistique des données d enquête avec introduction à SPSS Gilbert Ritschard Département d économétrie, Université de Genève gilbert.ritschard@themes.unige.ch Bamako, 7-11 octobre

Plus en détail

Industrial Phd Progam

Industrial Phd Progam Industrial Phd Progam Catalan Government: Legislation: DOGC ECO/2114/2012 Modification: DOGC ECO/2443/2012 Next: Summary and proposal examples. Main dates March 2013: Call for industrial Phd projects grants.

Plus en détail

Vancouver Calgary Winnipeg Toronto Ottawa Montréal Québec Halifax. Voie Réservée MC. Le défi de la gestion de l invalidité.

Vancouver Calgary Winnipeg Toronto Ottawa Montréal Québec Halifax. Voie Réservée MC. Le défi de la gestion de l invalidité. Vancouver Calgary Winnipeg Toronto Ottawa Montréal Québec Halifax Voie Réservée MC Le défi de la gestion de l invalidité Guide du preneur Table des matières INTRODUCTION L absentéisme au 21 e siècle...

Plus en détail

ISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009

ISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009 REMERCIEMENTS AUX PARTENAIRES Cette étude a été réalisée grâce à la participation financière de la Commission des partenaires du marché du travail et du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport.

Plus en détail

Attentes et transitions vers les études postsecondaires : sondage auprès des élèves de 12 e année des Maritimes

Attentes et transitions vers les études postsecondaires : sondage auprès des élèves de 12 e année des Maritimes : sondage auprès des élèves de 12 e année des Maritimes Introduction Collaboration CESPM N.-B. N.-É. Î.-P.-É. Description du projet Dans le cadre de son programme de sondages auprès des diplômés, la Commission

Plus en détail

Exploitation et analyse des données appliquées aux techniques d enquête par sondage. Introduction.

Exploitation et analyse des données appliquées aux techniques d enquête par sondage. Introduction. Exploitation et analyse des données appliquées aux techniques d enquête par sondage. Introduction. Etudes et traitements statistiques des données : le cas illustratif de la démarche par sondage INTRODUCTION

Plus en détail

SONDAGES RELATIFS AUX SERVICES D INFORMATION ET DE RÉFÉRENCE OFFERTS PAR LA DIRECTION GÉNÉRALE DE LA DIFFUSION DE BANQ

SONDAGES RELATIFS AUX SERVICES D INFORMATION ET DE RÉFÉRENCE OFFERTS PAR LA DIRECTION GÉNÉRALE DE LA DIFFUSION DE BANQ SONDAGES RELATIFS AUX SERVICES D INFORMATION ET DE RÉFÉRENCE OFFERTS PAR LA DIRECTION GÉNÉRALE DE LA DIFFUSION DE BANQ RÉSULTATS DE L ÉTÉ 2008 JUMELÉS À CEUX DE L HIVER 2008 RAPPORT VERSION FINALE Daniel

Plus en détail

C. Cohen, Inf. M.Sc. Professeure HEdS La Source & Intervenante à l IUFRS

C. Cohen, Inf. M.Sc. Professeure HEdS La Source & Intervenante à l IUFRS 3ème Séminaire européen du SIDIIEF «Les maladies chroniques : Formation, recherche et leadership clinique en soins infirmiers» 26 mars 2015 Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV), Lausanne, Suisse

Plus en détail

PROFILS METIERS (Semestre 9)

PROFILS METIERS (Semestre 9) ENSEIGNEMENTS ACADEMIQUES DU DEPARTEMENT Management et Entrepreneuriat (2014-2015) PROFILS METIERS (Semestre 9) Ancré au cœur des connaissances transversales en sciences de gestion issues des deux premières

Plus en détail

- 08 - PREVISION DU BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT - PRINCIPES

- 08 - PREVISION DU BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT - PRINCIPES - 08 - PREVISION DU BESOIN EN FONDS DE ROULEMENT - PRINCIPES Objectif(s) : o o Pré-requis : o Modalités : Relation Besoin en Fonds de Roulement (B.F.R.) et Chiffre d'affaires (C.A.), Eléments variables

Plus en détail

LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE

LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de

Plus en détail

Filière «Économie et Entreprise» 2015/2016

Filière «Économie et Entreprise» 2015/2016 Filière «Économie et Entreprise» 2015/2016 1. Présentation de la filière Économie et Entreprise La filière «Economie et entreprises» de quatrième année de SciencesPo Strasbourg donne aux étudiants, dans

Plus en détail

Écoutez ce qui se dit sur l épargne-retraite au Canada

Écoutez ce qui se dit sur l épargne-retraite au Canada MARS 2014 ÉCHEC ET MAT! LES RÉGIMES D ÉPARGNE EN MILIEU DE TRAVAIL : UNE SOLUTION GAGNANTE POUR LES CANADIENS EN VUE DE LA RETRAITE Notre 6 e sondage annuel Indice canadien de report de la retraite montre

Plus en détail

DEMARCHE MARKETING MODULE : Aouichaoui Moez BTS : Conseiller d apprentissage. moez.aouichaoui@atfp.tn. Démarche Marketing

DEMARCHE MARKETING MODULE : Aouichaoui Moez BTS : Conseiller d apprentissage. moez.aouichaoui@atfp.tn. Démarche Marketing 2012/2013 Démarche Marketing MODULE : BTS : DEMARCHE MARKETING Aouichaoui Moez Conseiller d apprentissage moez.aouichaoui@atfp.tn - Janvier 2014 www.logistiquetn.me.ma, Tunis Aouichaoui Moez 1 Plan N.B

Plus en détail

Principe de symétrisation pour la construction d un test adaptatif

Principe de symétrisation pour la construction d un test adaptatif Principe de symétrisation pour la construction d un test adaptatif Cécile Durot 1 & Yves Rozenholc 2 1 UFR SEGMI, Université Paris Ouest Nanterre La Défense, France, cecile.durot@gmail.com 2 Université

Plus en détail

285, avenue Laurier Est, suite # 608 Montréal (QC) H2T 3E7 T 514-750-3567 louiseleonard@leonardcoaching.com www.leonardcoaching.

285, avenue Laurier Est, suite # 608 Montréal (QC) H2T 3E7 T 514-750-3567 louiseleonard@leonardcoaching.com www.leonardcoaching. 285, avenue Laurier Est, suite # 608 Montréal (QC) H2T 3E7 T 514-750-3567 louiseleonard@leonardcoaching.com www.leonardcoaching.com Formation de coach RCC * Développez votre plein potentiel et celui de

Plus en détail

Plan de la présentation

Plan de la présentation Évaluation de la Grille d identification des risques psychosociaux en entreprise : l importance des déterminants individuels et organisationnelles. Michel Vézina Carole Chénard JASP 27 novembre 2013 Plan

Plus en détail

Rapport d'expérience final

Rapport d'expérience final Rapport d'expérience final Ricci Arnaud et Garretas Victor 1 juin 2015 Table des matières Introduction Problématique Cadre théorique et résultats précédents Hypothèses générales Méthodologie Participants

Plus en détail

La formation p. 2. Les doctorants témoignent p. 3. Le programme 2010 p. 5. Comment candidater? p. 6. Le label Docteur pour l entreprise p.

La formation p. 2. Les doctorants témoignent p. 3. Le programme 2010 p. 5. Comment candidater? p. 6. Le label Docteur pour l entreprise p. N ATTENDEZ PLUS POUR VOUS INSCRIRE! Le nombre de places est limité à 50! Le dossier de candidature doit être transmis avant le 5 février 2010 à l adresse suivante : La formation p. 2 Les doctorants témoignent

Plus en détail

RAPPORT EXÉCUTIF DE LA FIRME DE CONSULTANTS GARTNER

RAPPORT EXÉCUTIF DE LA FIRME DE CONSULTANTS GARTNER A Demande R-3491-2002 RAPPORT EXÉCUTIF DE LA FIRME DE CONSULTANTS GARTNER HYDRO-QUÉBEC ÉVALUATION DU PROJET SIC ET RECOMMANDATIONS, 7 AOÛT 2002 Original : 2002-09-20 HQD-2, Document 1 (En liasse) Rapport

Plus en détail

Annexe A : tableau des Indicateurs GRI

Annexe A : tableau des Indicateurs GRI Annexe A : tableau des Indicateurs GRI Ce tableau présente les indicateurs de la Global Reporting Initiative (GRI) ayant été utilisés dans la préparation de notre rapport. Symboles I Inclus P Partiellement

Plus en détail

Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées

Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Ligne directrice Objet : Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Date : Introduction La simulation de crise

Plus en détail

Certification Appreciative Inquiry Accompagnement des Transformations dans les Organisations

Certification Appreciative Inquiry Accompagnement des Transformations dans les Organisations Certification Appreciative Inquiry Accompagnement des Transformations dans les Organisations Ce programme a été conçu par les professeurs de la Weatherhead School of Management de la Case Western Reserve

Plus en détail

Description du marché de l interim management

Description du marché de l interim management Description du marché de l interim management en Belgique Etude réalisée à la demande de a division of Septembre 2008 Market Probe Europe guy.morre@askbmi.com Sommaire 1. Objectifs de l étude 2. Méthodologie

Plus en détail

à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011

à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011 observatoire régional #41 Synthèse régionale août 2014 à Master professionnel Enquête sur le devenir au 1 er décembre 2013 des diplômés de Master professionnel promotion 2011 2 899 diplômés de M2 professionnel

Plus en détail

Etude de marché. Idée de depart. Etude de l environnement et des offres existantes. Clients. actuels. Choix de la cible précise

Etude de marché. Idée de depart. Etude de l environnement et des offres existantes. Clients. actuels. Choix de la cible précise Etude de marché Selon l Agence Pour la Création d Entreprise (APCE), 70% des cas de défaillance ont pour origine la mauvaise qualité des études de marché, que celles-ci soient mal réalisées ou de manière

Plus en détail

Nécessité d un «électrochoc» fiscal

Nécessité d un «électrochoc» fiscal Les Analyses du Centre Jean Gol Nécessité d un «électrochoc» fiscal Janvier 2014 Administrateur délégué : Richard Miller Directrice : Laurence Glautier Directeur scientifique : Corentin de Salle Les analyses

Plus en détail

Investissement dans la construction de nouveaux bâtiments résidentiels (travaux mis en place) Méthodologie

Investissement dans la construction de nouveaux bâtiments résidentiels (travaux mis en place) Méthodologie Investissement dans la construction de nouveaux bâtiments résidentiels (travaux mis en place) Méthodologie Division de l investissement et du stock de capital Méthodologie L'investissement dans la construction

Plus en détail

Le système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie

Le système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie Système d accreditation des organismes de formation Origine, objectifs et méthodologie du système d accréditation Carlos Capela Coordinateur du projet INOFOR - Institut pour l innovation dans la formation

Plus en détail

Faits et chiffres. Résultats de la recherche sur l emploi. Conditions de travail exceptionnelles

Faits et chiffres. Résultats de la recherche sur l emploi. Conditions de travail exceptionnelles RECHERCHE ORMIT 412 Avenue de Tervueren 1150 Bruxelles Telefoon: 02/533 98 90 Site Web: www.ormit.be E-mail: info@ormit.be Faits et chiffres Secteur: Prestations de services Chiffre d affaires annuel (national):

Plus en détail

NEW YORK Business School in Manhattan

NEW YORK Business School in Manhattan NEW YORK Business School in Manhattan Fiche Technique 2013 Admission : à partir d un Bac+2 avec ou sans TOEL INTERNATIONAL BUSINESS PROGRAM DIPLOMA IN BUSINESS ADMINISTRATION PRE-MBA and MBA Un programme

Plus en détail

Dernière mise à jour : septembre 2014

Dernière mise à jour : septembre 2014 Crédit d impôt remboursable pour l édition de livres TABLE DES MATIÈRES Société admissible....... 1 Société exclu... 2 Maison d édition reconnue.. 2 Ouvrages admissibles...... 2 Ouvrages exclus. 3 Auteur

Plus en détail

CONSEILS POUR LA REDACTION DU RAPPORT DE RECHERCHE. Information importante : Ces conseils ne sont pas exhaustifs!

CONSEILS POUR LA REDACTION DU RAPPORT DE RECHERCHE. Information importante : Ces conseils ne sont pas exhaustifs! CONSEILS POUR LA REDACTION DU RAPPORT DE RECHERCHE Information importante : Ces conseils ne sont pas exhaustifs! Conseils généraux : Entre 25 et 60 pages (hormis références, annexes, résumé) Format d un

Plus en détail

Gestion et planification de carrière 2003-2004

Gestion et planification de carrière 2003-2004 Gestion et planification de carrière 2003-2004 Un plus pour votre organisation www.ocaq.qc.ca/formation Le marché du travail offre un éventail de possibilités d emploi. Bien gérer et planifier sa carrière

Plus en détail

Master Etudes françaises et francophones

Master Etudes françaises et francophones Master Etudes françaises et francophones 1. modèle scientifique et profilage des contenus de la filière / Présentation et spécificités de la filière Les études romanes à Leipzig sont considérées comme

Plus en détail

L évaluation du transfert des apprentissages suite à un programme de perfectionnement

L évaluation du transfert des apprentissages suite à un programme de perfectionnement L évaluation du transfert des apprentissages suite à un programme de perfectionnement Johann Jacob, M.A.P. et Richard Marceau, Ph. D. Centre de recherche et d expertise en évaluation (CREXE) Colloque annuel

Plus en détail

MESURER LA VALEUR ET LE ROI D UN PROJET DE RÉSEAU SOCIAL D ENTREPRISE

MESURER LA VALEUR ET LE ROI D UN PROJET DE RÉSEAU SOCIAL D ENTREPRISE Livre Blanc MESURER LA VALEUR ET LE ROI D UN PROJET DE RÉSEAU SOCIAL D ENTREPRISE Une méthode opérationnelle proposée par un groupe de professionnels (DSI et experts des RSE) pour analyser la valeur d

Plus en détail

Observatoire Economique et Statistique d Afrique Subsaharienne

Observatoire Economique et Statistique d Afrique Subsaharienne Observatoire Economique et Statistique d Afrique Subsaharienne Termes de référence pour le recrutement de quatre (4) consultants dans le cadre du Projet «Modules d initiation à la statistique à l attention

Plus en détail

Intelligence d Affaires 101 Capital Humain. Université Laval Cours Intelligence économique 4 mars 2013

Intelligence d Affaires 101 Capital Humain. Université Laval Cours Intelligence économique 4 mars 2013 Intelligence d Affaires 101 Capital Humain Université Laval Cours Intelligence économique 4 mars 2013 SYNTELL Inc. Le leader au Québec des solutions BI pour les RHs Firme québécoise Spécialisée en Intelligences

Plus en détail

E-monitoring : intégrer l émotionnel dans votre «balanced scorecard»

E-monitoring : intégrer l émotionnel dans votre «balanced scorecard» E-monitoring : intégrer l émotionnel dans votre «balanced scorecard» Par Daniel Held, Dr. Es Sc. écon. et Benoit Moransais, lic. ès Sc. écon., associés du cabinet Qualintra SA, Genève Le «balanced scorecard»

Plus en détail

SEMINAIRES INTERNATIONAUX

SEMINAIRES INTERNATIONAUX n, Conseil Formation Placement SEMINAIRES INTERNATIONAUX Programmes de Formation de Certification Conçus et Dispensés Entièrement en Français Par Illinois State University et GSBO Niamey - Abidjan - Ouagadougou

Plus en détail

1. Les types d enquêtes

1. Les types d enquêtes La conduite d une enquête par questionnaire La conception d un questionnaire ne doit pas être réalisée de façon hasardeuse. Elle suit une méthodologie stricte qui permet d atteindre des résultats utilisables

Plus en détail

Master Marketing et Pratiques Commerciales Formation continue

Master Marketing et Pratiques Commerciales Formation continue Master Marketing et Pratiques Commerciales Formation continue 2014/2015 UE1 MARKETING OPÉRATIONNEL/CONCEPTS ET MÉTHODES Ouidade Sabri Familiariser les étudiants aux principaux concepts marketing; Comprendre

Plus en détail

Sondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire -

Sondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire - Sondage auprès des employés du réseau de la santé et des services sociaux du Québec - Rapport sommaire - Juin 2009 1 Objectifs Réalisée par CROP pour le compte de l Association québécoise d établissements

Plus en détail

Chapitre I : Introduction

Chapitre I : Introduction Chapitre I : Introduction 1.1) Problématique A partir des années soixante, l environnement des entreprises a connu une mutation capitale, sans précédant historique dans le climat des affaires. Ces changements

Plus en détail

FORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc)

FORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc) 87 FORMATION CONTINUE SUR L UTILISATION D EXCEL DANS L ENSEIGNEMENT Expérience de l E.N.S de Tétouan (Maroc) Dans le cadre de la réforme pédagogique et de l intérêt que porte le Ministère de l Éducation

Plus en détail

ENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE

ENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE ENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE CONSIDÉRANT les réels problèmes d accessibilité aux services

Plus en détail

Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications

Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications La présente annexe au document de politique du Procureur

Plus en détail