Les technologies énergétiques fossiles
|
|
- Brigitte Couture
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Les technologies énergétiques fossiles Les combustibles fossiles les plus couramment utilisés dans le monde pour produire de l électricité sont le charbon et le gaz. Le pétrole est toujours utilisé quand les autres combustibles ne sont pas facilement accessibles, par exemple dans les îles ou les sites isolés, où quand il fait partie des ressources locales. Ensemble, le gaz et le charbon représentent actuellement plus de la moitié de l approvisionnement électrique mondial. Technologies au charbon Dans une centrale au charbon conventionnelle, du charbon pulvérisé (en poudre fine) est injecté dans une chambre de combustion où il est brûlé à haute température. Les gaz chauds et la chaleur générés transforment de l eau en vapeur qui passe dans des conduits autour de la chaudière. Cela fait tourner une turbine à vapeur qui génère de l électricité. Plus de 90% de la capacité mondiale de génération au charbon utilise ce système. La capacité des centrales au charbon peut varier de quelques centaines de mégawatts à plusieurs milliers. Un certain nombre de technologies ont été introduites pour améliorer la performance environnementale de la combustion de charbon conventionnelle. Cela comprend la purification du charbon (pour réduire la quantité de cendres) et diverses technologies de «bout de chaîne» ou «à rajouter» (bolt-on) servant à réduire les émissions de particules, de dioxyde de souffre et d oxyde d azote, les principaux polluants issus de la combustion du charbon en dehors du dioxyde de carbone. La désulfuration des effluents gazeux (FGD), par exemple, implique généralement le filtrage des effluents gazeux au travers d un sorbant alcalin, le plus souvent à base de chaux ou de calcaire. Des changements plus fondamentaux ont été apportés dans la façon dont le charbon est brûlé à la fois pour améliorer le rendement et pour réduire davantage les émissions polluantes. Cela comprend : La gazéification intégrée à un cycle combiné (GICC) : le charbon n est pas brûlé directement mais après avoir réagi avec de l oxygène et de la vapeur pour former un «syngaz» composé principalement d hydrogène et de monoxyde de carbone, qui est purifié puis brûlé dans une turbine à gaz pour produire de l électricité ainsi que de la vapeur qui va faire tourner une turbine à vapeur. La GICC améliore le rendement de la combustion du charbon de % à 50 %. La combustion supercritique ou ultra-supercritique : ces centrales fonctionnent à des températures plus élevées que pour la combustion conventionnelle, améliorant ainsi le rendement d environ 50 %. La combustion sur lit fluidisé : le charbon est brûlé dans un réacteur constitué d un lit dans lequel est injecté du gaz pour maintenir le combustible dans un état turbulent. 1
2 Cela améliore la combustion, le transfert de chaleur et la récupération des déchets. En élevant la pression à l intérieur du lit, on peut créer un flux de gaz sous haute pression pour faire tourner une turbine à gaz et générer de l électricité. Les émissions de dioxyde de souffre et d oxyde d azote peuvent être réduites de façon importante. La combustion de charbon pulvérisé sous pression : principalement développée en Allemagne, cette technologie s appuie sur la combustion d un nuage de particules de charbon finement broyé et génère de la vapeur à haute température et haute pression pour produire de l électricité. Les effluents gazeux chauds sont utilisés pour générer de l électricité comme dans un système à cycle combiné. D autres futures technologies potentielles impliquent une utilisation accrue de la gazéification du charbon. La gazéification souterraine du charbon, par exemple, implique la transformation du charbon non exploité se trouvant profondément sous terre en gaz combustible pouvant être utilisé pour le chauffage industriel, la génération d électricité ou la production d hydrogène, de gaz naturel synthétique ou d autres substances chimiques. Ce gaz peut être traité pour en extraire le CO 2 avant de le livrer aux utilisateurs finaux. Des projets pilotes sont en cours en Australie, en Europe, en Chine et au Japon. Technologies au gaz Le gaz naturel peut servir à générer de l électricité soit avec des turbines à gaz, soit avec des turbines à vapeur. Pour une quantité de chaleur équivalente, le gaz produit environ 45 % de dioxyde de carbone de moins lors de sa combustion que le charbon. Les centrales à turbine à gaz utilisent directement la chaleur du gaz pour faire tourner la turbine. Les turbines au gaz naturel peuvent démarrer rapidement, et sont par conséquent souvent utilisées pour fournir un appoint énergétique lors des périodes de consommation de pointe, mais à un coût supérieur par rapport aux centrales à charge de base. Des rendements particulièrement élevés peuvent être obtenus en combinant une turbine à gaz et une turbine à vapeur en cycle combiné. Dans une centrale à turbine à gaz en cycle combiné (TGCC), un générateur à turbine à gaz génère de l électricité, puis les effluents gazeux de la turbine à gaz sont utilisés pour produire de la vapeur et générer davantage d électricité. Le rendement des centrales à TGCC modernes peut être supérieur à 50 %. La plupart des nouvelles centrales au gaz construites depuis les années 1990 sont de ce type. Au moins jusqu à la récente augmentation des cours mondiaux du gaz, les centrales à TGCC ont été l option de génération électrique la moins coûteuse dans de nombreux pays. Les coûts d investissement étaient fortement inférieurs à ceux des centrales au charbon et des centrales nucléaires, et les délais de construction plus courts. Technologies de réduction des émissions de carbone Quand on brûle du charbon ou du gaz, on produit inévitablement du dioxyde de carbone (CO 2 ). Selon le type de centrale, une quantité plus ou moins grande de ce gaz va se disperser dans l atmosphère et contribuer aux changements climatiques. Une centrale 2
3 au charbon noir rejette environ 720 grammes de dioxyde de carbone par kilowattheure, une centrale au gaz moderne environ 370 g CO 2 /kwh. Pour qu aucun CO 2 ne sorte de la cheminée d une centrale, ce gaz doit être capturé avant d être stocké quelque part. Ces deux opérations (la capture et le stockage) ont leurs limites. Même en employant les technologies de capture proposées, une quantité résiduelle de dioxyde de carbone (entre 60 et 150 g CO 2 /kwh) va continuer d être émise. Stockage du dioxyde de carbone Le CO 2 qui est capturé au point d incinération doit être stocké quelque part. Il est actuellement envisagé de le séquestrer au fond des océans ou à plus de pieds sous terre. Comme dans le cas des déchets nucléaires, la question se pose de savoir si cela ne fait pas que déplacer le problème. Les dangers du stockage océanique Le stockage océanique pourrait provoquer l acidification (réduction du ph) accélérée de grandes zones marines à proximité des sites d injection, ce qui nuirait à de nombreux organismes, si ce n est à des écosystèmes entiers. Le CO 2 ainsi supprimé est susceptible de retourner dans l atmosphère en un temps relativement court. Les océans sont à la fois des ressources productives et le patrimoine naturel commun de notre génération et des générations futures et valent la peine d être préservés. Compte tenu des nombreuses autres possibilités envisageables pour régler le problème des émissions de CO 2, le stockage direct au fond des océans, des mers, des lacs et autres réservoirs ouverts est une option à écarter. Les dangers du stockage géologique Les gisements pétroliers et gaziers vides sont criblés de trous qui ont été forés lors des phases de prospection et de production. Pour stocker le CO 2, ces trous doivent être scellés. Un ciment spécial est normalement utilisé, mais le dioxyde de carbone réagit assez facilement avec l eau et attaque le ciment et les métaux, ce qui fait que même des trous de forage scellés présentent peu de garanties de sûreté. Pour de nombreux experts la question n est pas de savoir si des fuites auront lieu, mais quand. Du fait du manque d expérience en matière de stockage du CO 2, la sûreté de cette pratique est souvent comparée à celle du stockage de gaz naturel, une technologie expérimentée et testée depuis des dizaines d années et présentée par l industrie comme comportant peu de risques. Greenpeace ne partage pas ce point de vue. Un certain nombre de fuites graves depuis des installations de stockage de gaz ont déjà eu lieu un peu partout dans le monde, et ont parfois nécessité l évacuation des riverains. Une fuite soudaine de CO 2 peut être fatale. Le dioxyde de carbone en lui-même n est pas toxique et est présent (environ 0,04 %) dans l air que nous respirons. Mais à mesure que sa concentration augmente, il remplace l oxygène qui nous est vital dans l air. Respirer de l air dont 7 à 8 % du volume est composé de CO 2 entraîne la mort par asphyxie en 30 à 60 minutes. Il y a également du danger pour les personnes quand une forte concentration de CO 2 provoque une explosion. Bien que normalement le gaz se disperse assez vite après avoir fui, il peut aussi s accumuler dans des dépressions ou des bâtiments fermés, le 3
4 dioxyde de carbone étant plus lourd que l air. Il est également dangereux quand il s échappe lentement, sans être remarqué, dans des zones résidentielles, par exemple dans des caves. Les dangers de telles fuites sont connus par le biais du dégazage naturel de CO 2 par les volcans. En 1986, du gaz échappé du cratère du lac Nyos au Cameroun, en Afrique, a tué plus de personnes. Au moins dix personnes sont mortes dans la région du Latium en Italie au cours des 20 dernières années à cause de rejets de CO 2. Stockage du carbone et objectifs climatiques Le stockage du carbone peut-il contribuer aux objectifs de lutte contre les changements climatiques? Pour éviter une dangereuse perturbation du climat, il nous faut réduire les émissions mondiales de CO 2 de 50 % d ici Les centrales qui stockent le CO 2 ne sont encore qu en cours de développement et pourraient ne devenir une réalité que d ici une quinzaine d années au minimum. Cela signifie qu elles ne contribueront en aucune façon à la protection du climat avant Elles sont par conséquent sans intérêt pour la poursuite des objectifs du Protocole de Kyoto. Le stockage du CO 2 n est pas non plus d une grande utilité pour atteindre l objectif de 80% de réduction d ici 2050 dans les pays de l OCDE. Si jamais l usage de cette technique devient possible en 2020, la plupart des centrales à travers le monde auront déjà été renouvelées. La seule chose qui pourrait encore être faite à ce moment-là serait de rééquiper des centrales existantes pour capturer le CO 2 de leurs effluents gazeux. Comme cela coûte très cher, il faudrait un prix élevé des permis d émission de carbone pour que ce soit rentable. La capture du CO 2 va aussi augmenter le prix de l électricité produite à partir de combustibles fossiles. Bien que le coût du stockage dépende de nombreux facteurs, notamment le type de technologie utilisée pour la capture, le transport et le type d installations de stockage, les membres du Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat des Nations unies ont calculé des coûts supplémentaires compris entre 3,5 et 5,0 centimes d euro par kwh d électricité. Etant donné que les coûts de production avec des éoliennes modernes bien exposées au vent les rendent déjà compétitives aujourd hui par rapport aux nouveaux modèles de centrales au charbon, la capture du CO 2 représentera probablement la plus coûteuse de toutes les options, cette technologie doublant les coûts de production par rapport à aujourd hui. Conclusion Des sources d énergie renouvelables sont déjà disponibles, et sont dans bien des cas moins coûteuses et dépourvues des impacts environnementaux négatifs liés à l exploitation, au transport et à l utilisation des combustibles fossiles. Ce sont ces énergies renouvelables, combinées à l efficacité énergétique et aux économies d énergie (et NON la capture et le stockage du carbone), qui doivent croître mondialement pour faire disparaître la cause principale des changements climatiques : l utilisation de combustibles fossiles comme le charbon, le pétrole et le gaz. Greenpeace s oppose à tous les projets de capture et de stockage du carbone (CSC) qui ont pour effet : 4
5 De saper ou menacer les réglementations mondiales et régionales existantes concernant l immersion des déchets en mer (qu il s agisse de déposer le CO 2 sur le plancher océanique ou de l enfouir au dessous). De prolonger ou accroître le financement du secteur des combustibles fossiles au détriment des énergies renouvelables et de l efficacité énergétique. De faire stagner les énergies renouvelables, l efficacité énergétique et les économies d énergie. De faire passer cette éventuelle technologie future comme la seule vraie solution contre les changements climatiques, ce qui pourrait favoriser un renouveau des combustibles fossiles (en particulier les centrales à la lignite et au charbon noir) et donc une augmentation des émissions à court et moyen terme. 5
SOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailCapture et stockage du CO2 (CCS)
European Technology Platform for Zero Emission Fossil Fuel Power Plants (ZEP) Capture et stockage du CO2 (CCS) Une solution majeure pour combattre le changement climatique 50% de réduction des émissions
Plus en détailResponsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON
Responsabilité sociale et environnementale POLITIQUE SECTORIELLE PRODUCTION D ELECTRICITE A PARTIR DU CHARBON P.1/11 Sommaire Préambule... 3 1. Politique sectorielle... 4 1.1 Objectif... 4 1.2 Portée...
Plus en détailI. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable.
DE3: I. Introduction: L énergie consommée par les appareils de nos foyers est sous forme d énergie électrique, facilement transportable. Aujourd hui, nous obtenons cette énergie électrique en grande partie
Plus en détailPiegeage et stockage du CO 2
Piegeage et stockage du CO 2 Résumé du rapport spécial du GIEC, le Groupe d experts intergouvernemental sur l évolution du climat Un résumé réalisé par: LE PIÉGEAGE ET STOCKAGE DU DIOXYDE DE CARBONE (PSC)
Plus en détailNOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES
CHAPITRE 1 NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1 suite Chapitre 1 : NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1.1 Généralités 1.2 L'énergie dans le monde 1.2.1 Qu'est-ce que l'énergie? 1.2.2 Aperçu sur
Plus en détailC3. Produire de l électricité
C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres
Plus en détailBilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre
Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour
Plus en détailLes Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S»
Les Énergies Capter et Stocker le Carbone «C.C.S» La lutte contre le changement climatique Initiative concertée au niveau mondial Pour limiter à 2 à 3 C l élévation moyenne de la température, il faudrait
Plus en détailProduction mondiale d énergie
Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détailComment réduire les émissions de CO 2? Les réponses de l'ifp
Septembre 2005 Comment réduire les émissions de CO 2? Les réponses de l'ifp L'IFP inscrit les travaux sur la réduction des émissions de CO 2 au cœur de ses programmes de recherche. La stratégie de l'ifp
Plus en détailProduction électrique : la place de l énergie éolienne
Production électrique : la place de l énergie éolienne I Production électrique : principes de base L énergie électrique n est pas un fluide que l on pourrait «mettre en conserve», l énergie électrique
Plus en détailL échelle du ph est logarithmique, c està-dire
Le ph Qu est-ce que le ph? Le ph mesure l acidité d un liquide. Sa valeur s exprime sur une échelle graduée de 0 à 14 où 1 désigne une substance fortement acide, 7, une substance neutre, et 14, une substance
Plus en détailBilan GES Entreprise. Bilan d émissions de Gaz à effet de serre
Bilan GES Entreprise Bilan d émissions de Gaz à effet de serre Conformément à l article 75 de la loi n 2010-788 du 12 Juillet 2010 portant engagement national pour l environnement (ENE) Restitution pour
Plus en détailQue sont les sources d énergie renouvelable?
Que sont les sources d énergie renouvelable? Comme leur nom l indique, il s agit de sources qui se renouvellent et ne s épuiseront donc jamais à l échelle du temps humain! Les sources non renouvelables
Plus en détailContribution des industries chimiques
Contribution des industries chimiques au débat national sur la transition énergétique Les entreprises de l industrie chimique sont des acteurs clés de la transition énergétique à double titre. D une part,
Plus en détailL ENERGIE CORRECTION
Technologie Lis attentivement le document ressource mis à ta disposition et recopie les questions posées sur une feuille de cours (réponds au crayon) : 1. Quelles sont les deux catégories d énergie que
Plus en détailPlate-forme énergie. Filière de la biomasse forestière
Plate-forme énergie Filière de la biomasse forestière Mars 2013 Table des matières 1. Principes généraux... 0 2. Ce qu on entend par économie d énergie... 1 3. Réflexion sur les sources d énergie à privilégier...
Plus en détailPour l environnement. Strength. Performance. Passion.
Strength. Performance. Passion. Pour l environnement Réduire les émissions de CO 2 en optimisant les matériaux de construction et les méthodes de production Holcim (Suisse) SA Les fondements de notre avenir
Plus en détailMatériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre. Secteur de l'energie Combustion de Combustibles
Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques Matériels de Formation du GCE Inventaires Nationaux de Gaz à Effet de Serre Secteur de l'energie Combustion de Combustibles Version du
Plus en détaill entretien des chaudières
Préservez et améliorez les performances de votre installation de chauffage : l entretien des chaudières L H A B I T A T I N D I V I D U E L pour un chauffage sûr et efficace Votre logement est équipé d
Plus en détailles années quatre-vingt - l ère nucléaire
Grue à benne traînante Maid Marion de 50 m 3 L aspect le plus mémorable des années est l entrée d Énergie NB dans l ère nucléaire signalée par l inauguration de la centrale nucléaire de Point Lepreau.
Plus en détailCONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE. Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières
CONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières 1. CONSOMMATION FINALE D ELECTRICITE...2 1.1 EVOLUTION SUR LA PERIODE 2000-2013... 2 1.2 ENTRE 2010
Plus en détailCORRIGE. CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE
Thème : L eau CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 Domaine : Eau et énergie CORRIGE 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE 2.1. Enoncé L'alimentation électrique d'une navette spatiale
Plus en détailQuelques chiffres clés de l énergie et de l environnement
Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement GSE 2011-2012 I.1 Que représente : - 1 kcal en kj? : 1 kcal = 4,187 kj - 1 frigorie (fg) en kcal? : 1 fg = 1 kcal - 1 thermie (th) en kcal? : 1
Plus en détailLes tendances du marché de. la production d électricité. dans le monde. participation d entreprises privées locales ou internationales
Les tendances du marché de la production d électricité dans le monde Samir Allal La globalisation économique a favorisé une plus grande expression des mécanismes concurrentiels. Désormais la concurrence
Plus en détailla climatisation automobile
Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous
Plus en détail1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ
1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT NOR : SOCU 00611881A ARRÊTÉ relatif au diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments existants proposés à
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailOrigine du courant électrique Constitution d un atome
Origine du courant électrique Constitution d un atome Electron - Neutron ORIGINE DU COURANT Proton + ELECTRIQUE MATERIAUX CONDUCTEURS Électrons libres CORPS ISOLANTS ET CORPS CONDUCTEURS L électricité
Plus en détailMaximum Yield Technology. Maximum Yield Technolog technologie à rendement maximal
MYT Business Unit Zweckverband Abfallbehandlung Kahlenberg (ZAK) Bergwerkstraße 1 D-77975 Ringsheim Téléphone : +49 (0)7822 8946-0 Télécopie : +49 (0)7822 8946-46 E-mail : info@zak-ringsheim.de www.zak-ringsheim.de
Plus en détailLivret de chaufferie
Livret de chaufferie Edition 2011 Livret de chaufferie ÉTABLI LE ADRESSE DE LA CHAUFFERIE CACHET Apave P R É A M B U L E La tenue de ce livret est demandée par la réglementation sur l utilisation de l
Plus en détailCENTRALES HYDRAULIQUES
CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des
Plus en détailLES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE?
LES CHAUFFERIES COLLECTIVES AU BOIS : QUELS POINTS DE VIGILANCE? Jean-Pierre SAWERYSYN 1 Matthieu OGET 2 Corinne SCHADKOWSKI 3 Judith TRIQUET 3 1 Professeur honoraire de l Université de Lille I, vice-président
Plus en détailENJEUX ENERGETIQUES. Le Monde et la France. L énergie dans les territoires
ENJEUX ENERGETIQUES Le Monde et la France L énergie dans les territoires * Bernard LAPONCHE (Données statistiques : Enerdata) 1 Monde : Consommation d énergie primaire (2008 : 12,2 milliards de tep) Energies
Plus en détailPrésentation générale des principales sources d énergies fossiles.
Présentation générale des principales sources d énergies fossiles. Date : 19/09/2012 NOM / Name SIGNATURE Etabli / Prepared Vérifié / Checked Approuvé /Approved G J-L & R-SENE R.SENE R.SENE Sommaire 1.
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailRESEAUX DE CHALEUR FLEXIBILITE ENERGETIQUE ET DEVELOPPEMENT
RESEAUX DE CHALEUR FLEXIBILITE ENERGETIQUE ET DEVELOPPEMENT Dans un avenir marqué par : des incertitudes importantes de nature économique, énergétique et technologique, à l échelle mondiale, européenne
Plus en détailÉpreuve collaborative
Épreuve collaborative Épreuve collaborative 1. Faire une présentation de quelqu idé fort relativ au mix énergétique (ou bouquet énergétique). (Exposé de 5 minut maximum) 2. Faut-il encore brûler le charbon?
Plus en détailallianceautopropane.com
allianceautopropane.com QUI EST ALLIANCE AUTOPROPANE? LE PLUS GRAND RÉSEAU D AUTOPROPANIERS EN AMÉRIQUE Alliance AutoPropane est un réseau de propaniers qui se consacre à la distribution et à la vente
Plus en détailPhénomènes dangereux et modélisation des effets
Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE
Plus en détailLe contenu en CO2 du kwh électrique : Avantages comparés du contenu marginal et du contenu par usages sur la base de l historique.
Final le 08/10/2007 Le contenu en CO2 du kwh électrique : Avantages comparés du contenu marginal et du contenu par usages sur la base de l historique. - NOTE DETAILLEE - 1- Le contexte Le calcul du contenu
Plus en détailLe réchauffement climatique, c'est quoi?
LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre
Plus en détailChauffage à granulés de bois
0 Chauffage à granulés de bois Alliance pour le Climat Luxembourg Protection du climat à la base En partenariat avec plus de 00 villes et communes européennes, plusieurs communes de l Alliance pour le
Plus en détailLe défi énergétique. Exercices. Correction. 1. Le charbon est une ressource renouvelable. Il s puise. 2. L énergie s exprime en Watt (W).
1L/1ES Exercice.1 : QCM Cochez vrai ou faux. Exercices Correction 1. Le charbon est une ressource renouvelable. Il s puise. 2. L énergie s exprime en Watt (W). En Joule V F Le défi énergétique 3. L énergie
Plus en détail«Résoudre les problèmes de l'énergie, une clé pour la survie de l'humanité»
Fédération mondiale des travailleurs scientifiques World Federation of scientifique Workers 85ème session du Conseil exécutif Symposium «Résoudre les problèmes de l'énergie, une clé pour la survie de l'humanité»
Plus en détailL énergie en France et en Allemagne : comparaisons
L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les
Plus en détailEnsemble nous aurons l air meilleur!
Les bons gestes au quotidien pour préserver la qualité de notre air Ensemble nous aurons l air meilleur! Saviez-vous que nous avons besoin d un litre et demi d eau et de 14 000 litres d air par jour pour
Plus en détailUNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT
UNE MEILLEURE CROISSANCE, UN MEILLEUR CLIMAT The New Climate Economy Report EXECUTIVE SUMMARY La Commission Mondiale sur l Économie et le Climat a été établie pour déterminer s il est possible de parvenir
Plus en détailU N I O N D E S P R O F E S S E U R S D E P H Y S I Q U E E T D E C H I M I E 719 Les voitures électriques
U N I O N D E S P R O F E S S E U R S D E P H Y S I Q U E E T D E C H I M I E 719 Les voitures électriques par 78310 Maurepas michel.meallet@orange.fr RÉSUMÉ Pourquoi se poser des questions sur les voitures
Plus en détailRéduction des consommations d hydrocarbures par pré-traitement physique
Réduction des consommations d hydrocarbures par pré-traitement physique Florent PERRIN Responsable région Rhône Alpes CleanTuesday Rhône-Alpes Juin 2010 CONTEXTE ENVIRONNEMENTAL Le GIEC a confirmé que
Plus en détailCONCEPT H 2 ZERO ENERGY ZERO EMISSION
CONCEPT H 2 ZERO ENERGY ZERO EMISSION Concept H 2 : L idée est de produire, de stocker et d assurer 100% des besoins énergétiques d un immeuble résidentiel sans aucun rejet de CO 2 et sans frais énergétiques.
Plus en détailLe pétrole fournit 40% de l énergie mondiale. C est lui qui a régulé jusqu à présent le prix de l énergie.
² Le pétrole fournit 40% de l énergie mondiale. C est lui qui a régulé jusqu à présent le prix de l énergie. La production mondiale d énergie exprimée en équivalent tonnes de pétrole (TEP) est de plus
Plus en détailL École nationale des pompiers du Québec. Dans le cadre de son programme de formation Pompier I
L École nationale des pompiers du Québec Dans le cadre de son programme de formation Pompier I QUATRIÈME ÉDITION MANUEL DE LUTTE CONTRE L INCENDIE EXPOSÉ DU PROGRAMME D ÉTUDES POMPIER 1 SUJET 4 Énergie
Plus en détailQuelle place pour le. bois énergie. dans le logement social? Réalisé par : En collaboration avec :
Quelle place pour le bois énergie dans le logement social? Réalisé par : En collaboration avec : Quelle place pour le bois énergie dans le logement social? UN OUTIL pour la maîtrise des charges locatives
Plus en détailRéduction de la pollution d un moteur diesel
AUBERT Maxime SUP B Professeur accompagnateur : DELOFFRE Maximilien SUP B Mr Françcois BOIS PAGES Simon SUP E Groupe n Réduction de la pollution d un moteur diesel Introduction L Allemand Rudolf Diesel
Plus en détailPARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE PRODUCTION DE CHALEUR
PARTENAIRE VERS UNE GESTION DURABLE ET PERFORMANTE DE VOTRE ÉNERGIE PRODUCTION DE CHALEUR 2014 ACTIVITE DE CORETEC Notre principal objectif est de réduire la facture énergétique de nos 450 clients au travers
Plus en détailQuel avenir pour l énergie énergie nucléaire?
Quel avenir pour lénergie l énergie nucléaire? Origine de l énergie nucléaire État critique du réacteur Utilité des neutrons retardés Quel avenir pour le nucléiare? 2 Composant des centrales nucléaires
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailla Contribution Climat Energie
Paris le 05/09/2009 la Contribution Climat Energie 1. Quelle assiette aura la CCE? a. Assiette : La CCE serait une contribution additionnelle aux taxes intérieures (TIPP, TICGN, TICC), assise sur l ensemble
Plus en détailSolutions de mesure pour le raffinage
Solutions de mesure pour le raffinage Débitmétrie et densimétrie de précision Les meilleures des mesures en ligne «Il est difficile de répondre à la demande de façon efficace, économique et responsable.»
Plus en détailLOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1. Construire vert ne devrait pas être un casse-tête
LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1 Construire vert ne devrait pas être un casse-tête LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 2 6/4/08 11:53 AM Page 2 LOG 8869 Residential
Plus en détailLA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE : UNE COMPARAISON INSTRUCTIVE
LA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE : UNE COMPARAISON INSTRUCTIVE Bernard LAPONCHE 18 mai 2011 www.global-chance.org LA CONSOMMATION D ENERGIE EN ALLEMAGNE ET EN FRANCE UNE COMPARAISON
Plus en détailLa gestion à long terme des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie. Options
La gestion à des déchets de haute activité et/ou de longue durée de vie Options Options possibles pour la gestion à 2 Option zéro ou statu quo : maintien de la situation actuelle Mise en forages profonds
Plus en détailTraçant le chemin vers l Electrification de l Automobile - Les Véhicules à Pile à Combustible de GM
Traçant le chemin vers l Electrification de l Automobile - Les Véhicules à Pile à Combustible de GM Congrès SATW, Yverdon 29-30 août 2008 G. Planche Directeur Déploiement HydroGen4, Berlin 1 Agenda La
Plus en détail3CB La Centrale à Cycle Combiné de Bayet
3CB La Centrale à Cycle Combiné de Bayet Table des matières 07 3CB : une centrale nouvelle génération développée et exploitée par Alpiq 09 Historique du projet 11 Le cycle combiné : une technologie moderne,
Plus en détailEnergie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015
Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la
Plus en détailPlan d actions Bilan Carbone. Périmètres d étude Sources d émissions Nbre d actions
Plan d actions Bilan Carbone Périmètres d étude Sources d émissions Nbre d actions Patrimoine et services communaux Territoire d Uccle 1) Energie 8 2) Déplacements de personnes 5 3) Transport de marchandise
Plus en détailÉCOCONCEPTION ET ÉTIQUETAGE ÉNERGÉTIQUE
ÉCOCONCEPTION ET ÉTIQUETAGE ÉNERGÉTIQUE 2 1 LE CONTEXTE LES OBJECTIFS DES DIRECTIVES ÉCOCONCEPTION ET ÉTIQUETAGE ÉNERGÉTIQUE Protéger l environnement (1), sécuriser l approvisionnement énergétique (2)
Plus en détailQuestions fréquemment posées au sujet de la sortie du nucléaire en Allemagne
Traduction Questions fréquemment posées au sujet de la sortie du nucléaire en Allemagne Pour quelles raisons décisives le gouvernement fédéral veut-il sortir complètement du nucléaire d ici à 2022? Décisif
Plus en détailA) Les réactions de fusion nucléaire dans les étoiles comme le Soleil.
INTRODUCTION : Un enfant qui naît aujourd hui verra s éteindre une part importante de nos ressources énergétiques naturelles. Aujourd hui 87% de notre énergie provient de ressources non renouvelables (Charbon,
Plus en détailSMA Solar Technology AG Avenir Solaire pour les enfants. À la maison
À la maison Combien d énergie consommons-nous réellement à la maison? Comment la mesurer? Solarine et L Ourson Soleil vont te donner quelques astuces pour faire des économies d énergie chez toi, afi n
Plus en détailIngrédients No cas % Contrôlé par SIMDUT. Propane 74-98-6 >90 Oui Propylène 115-07-1 <5 Oui Hydrocarbures, C4+ 68476-44-8 <2.5 Oui
FICHE SIGNALÉTIQUE 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA COMPAGNIE NOM COMMERCIAL : PROPANE SYNONYMES : Diméthylméthane UTILISATION DU PRODUIT : Carburant NUMÉRO DE LA FS : 251-300 NOM DU FOURNISSEUR NUMÉROS
Plus en détailLE CHAUFFAGE À LA BIOMASSE:
LE CHAUFFAGE À LA BIOMASSE: État de situation et opportunités Michel Lachance CQVB 7 décembre 2012 East Angus PLAN Contexte la biomasse : une source d énergie pour le Québec Systèmes de chauffage Chauffage
Plus en détailFiche de données de sécurité
Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION
Plus en détailEfficience énergétique et électricité solaire
Efficience énergétique et électricité solaire Pictet-Clean Energy investit dans des entreprises innovantes Juin 2015 Désormais compétitive, la production d énergie solaire croît fortement. Face au réchauffement
Plus en détailLe nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques
Le nouveau système de surveillance continue des émissions atmosphériques à l'incinérateur Mars 2010 Travaux publics Gestion des matières résiduelles CONTENU DE LA PRÉSENTATION 1. L incinérateur 2. Obligations
Plus en détailJean-Yves RICHARD ADEME
«Matériau de structure,isolant et biocombustible, le bois, une matière au service de la construction durable» - le 12 janvier 2009 Les enjeux environnementaux du bâtiment Jean-Yves RICHARD ADEME Le réchauffement
Plus en détailLES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Les pneus sont dangereux dans des piles, pas dans des Earthships.
les pneus sont sécuritaires LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Réutiliser un vieux pneu dans un Earthship, où il devient une ressource utile et passe le reste de son temps dans
Plus en détailBioénergie. L énergie au naturel
Bioénergie L énergie au naturel Les références d AREVA en bioénergie Plus de 2,5 GW dans le monde : la plus grande base installée de centrales biomasse AREVA développe des solutions de production d électricité
Plus en détailGaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d
Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes à l habitation et aux déplacements d des ménagesm Exemple d un ménage de 3 personnes habitant un logement de 100m² à Lille Métropole Mars
Plus en détailrendement réel de formation et effectivite, examens et contrôles, l enseignement spécifique dans les domaines
Centre de formation de Heftsiba 90 ans d expérience prouvée Introduction Dans un monde en constante évolution, rien ne saurait remplacer l étude. En effet, l importance des ressources humaines au sein
Plus en détailPrévention des intoxications Entretien des chaudières
Journée Information «Monoxyde de Carbone» 18 juin 2012 Clermont-Ferrand Prévention des intoxications Entretien des chaudières Textes réglementaires et pratiques des professionnels Ministère de l'écologie,
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailAbschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence de clôture OUI Biomasse. www.oui-biomasse.info 1 26.06.2015
Umweltauswirkungen durch Biomassenutzung Etude d impact de l utilisation de la biomasse sur l environnement 26.Juni 2015 / 26 juin 2015 Akademiehotel Karlsruhe Abschlusskonferenz OUI Biomasse / Conférence
Plus en détailL énergie nucléaire au sein du mix énergétique belge
L énergie nucléaire au sein du mix énergétique belge 1. Sécurité d approvisionnement Le taux de dépendance énergétique de la Belgique est plus important que la moyenne européenne. Ainsi en 2011, le taux
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre 2010-2011
Bilan des émissions de gaz à effet de serre 21-211 Méthode Bilan Carbone - Rapport final - février 212 II. DESCRIPTION DE LA PERSONNE MORALE Page 6 Sommaire I. CONTEXTE III. ANNÉE DE REPORTING ET ANNÉE
Plus en détailArgumentaires Contre
Parlamentsdienste Services du Parlement Servizi 13.095 del Parlamento Servetschs dal parlament Argumentaires Contre Remplacer la taxe sur la valeur ajoutée par une taxe sur l énergie. Initiative populaire
Plus en détailL eau pour l électricité
À l instar du néologisme américain Watergy, qui met en exergue les liens intrinsèques entre la production d énergie et l eau, et par réciprocité ceux qui lient la production d eau et l énergie, l Eaunergie
Plus en détailGUIDE de L ÉCO CITOYEN. au BUREAU
GUIDE de L ÉCO CITOYEN au BUREAU SUIVEZ LE GUIDE...................................................................... p.03 QUELS BESOINS, QUELS IMPACTS? ce qui est consommé ce qui est rejeté > Transport
Plus en détailComparaison des mix énergétiques allemand et français 2
La transition énergétique vue d Allemagne, un exemple à suivre Briefing. Mai 2011. Grâce au nucléaire, la France serait indépendante d un point de vue énergétique, championne en matière de lutte contre
Plus en détailLA PRODUCTION D ÉLECTRICITÉ AU CANADA. www.canelect.ca PETIT GUIDE
LA PRODUCTION D ÉLECTRICITÉ AU CANADA www.canelect.ca PETIT GUIDE Association canadienne de l électricité, 2006. Tous droits réservés. Aucune partie de ce document protégé par le droit d auteur ne peut
Plus en détailEtude de marché de la gazéification en Languedoc Roussillon Présentation Séminaire BioénergieSud du 26 Novembre 2013
Présentation Séminaire BioénergieSud du 26 Novembre 2013 Document produit par ENEA Consulting I 89 rue Réaumur, 75002 Paris I +33 (0) 1 82 83 83 83 I www.enea-consulting.com Sommaire ENEA : qui sommes-nous?
Plus en détailEvolution du mix électrique en France - Qui paiera?
Evolution du mix électrique en France - Qui paiera? Par Julien Deleuze Senior Manager, Estin & Co Des options environnementales, énergétiques, économiques majeures La France fait face à cinq options environnementales,
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre (BEGES)
Bilan des émissions de gaz à effet de serre (BEGES) BEGES TABLE DES MATIÈRES 1- INTRODUCTION 2 1-1 - OBJET 2 1-2 - LE CADRE REGLEMENTAIRE 2 1-3 - CONTENU DU RAPPORT 3 1-4 - DEFINITIONS 3 2- BILAN DES EMISSIONS
Plus en détailPrix de l énergie dans l habitat
Prix de l énergie dans l habitat Mise à jour février 2013 Fiche réalisée par l ALE de l agglomération lyonnaise - TD Introduction Le prix des énergies n a cessé d augmenter depuis la fin du 20ème siècle.
Plus en détailPosition du secteur électrique français
16 novembre 2010 ENERGIE 2020 Position du secteur électrique français L UFE, Union Française de l Electricité, est l association professionnelle du secteur de l électricité. Elle représente les employeurs
Plus en détailLa voiture électrique. Cliquez pour modifier le style des sous-titres du masque
La voiture électrique Cliquez pour modifier le style des sous-titres du masque I) Introduction II) Composition et Fonctionnement d une voiture électrique III) Gros plan sur les Batteries IV) Conclusion
Plus en détailL observation et le contrôle des sites de stockage de CO 2
L observation et le contrôle des sites de stockage de CO 2 Laurent Jammes, Guillemette Picard Schlumberger Carbon Services Technique Académie des sciences Paris 19 Mai 2009 Plan de la présentation 2 La
Plus en détail