Résistance aux antituberculeux chez les cas de tuberculose pulmonaire nouveaux ou traités antérieurement au Burkina Faso
|
|
- Eugène Leblanc
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 INT J TUBERC LUNG DIS 14(11): The Union Résistance aux antituberculeux chez les cas de tuberculose pulmonaire nouveaux ou traités antérieurement au Burkina Faso L. Sangaré,* S. Diandé, G. Badoum, B. Dingtoumda, A. S. Traoré * Service de Bactériologie-Virologie, Centre Hospitalière Universitaire (CHU) Yalgado Ouédraogo, Ouagadougou, Unité de Formation et de Recherches (UFR) Sciences de la Santé, Université de Ouagadougou, Ouagadougou, Centre National de Lutte Antituberculeuse, Ouagadougou, UFR-Sciences de la Vie et de la Terre, Université de Ouagadougou, Ouagadougou, Service de Pneumologie-Phtisiologie, CHU Yalgado Ouédraogo, Ouagadougou, Burkina Faso RÉSUMÉ CADRE : Centre National de Lutte Antituberculeuse de Ouagadougou, Burkina Faso. OBJECTIFS : Evaluer la résistance des mycobactéries du complexe Mycobacterium tuberculosis aux antituberculeux chez les cas de tuberculose (TB) pulmonaire nouveaux ou antérieurement traités. MÉTHODE : Les 416 souches de M. tuberculosis isolées chez des patients (323 nouveaux et 93 antérieurement traités) à microscopies positives sous DOTS ont été soumises au test de sensibilité aux antituberculeux selon la méthode des proportions. La sérologie VIH a été réalisée chez 249 nouveaux cas et 67 cas antérieurement traités consentants. RÉSULTATS : Chez les nouveaux cas, 12,4% des souches testées étaient résistantes, 3,4% multirésistantes (TB-MDR). Les taux de résistance aux antituberculeux testés étaient très élevés chez les cas antérieurement traités : isoniazide (66,7%), rifampicine (51,6%), streptomycine (44,1%) et éthambutol (50,5%), ainsi que le taux de TB-MDR (50,5%). La sérologie VIH était positive chez 28,7% des 316 patients consentants. Il n existait pas de lien statistiquement significatif entre le statut VIH et la multirésistance aux médicaments chez les nouveaux cas (P = 0,95) et les cas antérieurement traités (P = 0,5). CONCLUSION : Le taux de la résistance aux médicaments est élevé au Burkina Faso. Le dépistage précoce des malades contagieux et leur traitement jusqu à terme sont indispensables. MOTS-CLÉS : Mycobacterium tuberculosis ; résistance ; antituberculeux ; Burkina Faso L ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ (OMS) estime à 2 milliards d êtres humains infectés par Mycobacterium tuberculosis ; chaque année, 7 à 9 millions d entre eux font une tuberculose (TB) maladie tandis que 3 millions en meurent. 1 Le virus de l immunodéficience humaine (VIH) et la propagation des cas de TB à bacilles résistants aux médicaments en sont les principales causes. 1 La résistance chez les nouveaux cas résulte de la transmission directe de mycobactéries déjà résistantes aux antituberculeux : son taux augmente habituellement lorsque celui des résistances chez les cas antérieurement traités est déjà important et que les conditions de dissémination sont favorables. La surveillance des résistances par utilisation des tests de sensibilité aux médicaments antituberculeux (TSM) peut guider les décideurs à définir des protocoles standardisés de chimiothérapie, ou permettre d apprécier la qualité de la pratique de celle-ci sur le terrain. 2 La mesure du niveau et des tendances des résistances permet en effet de prendre des mesures correctives au niveau organisationnel ou de modifier les régimes de traitement. En Afrique, les TSM ne sont pas courants. Néanmoins, quelques études ont été menées dans certains pays. 2 5 Dans le cas spécifique du Burkina Faso, l équipe de Ben Amor et coll. a estimé le taux de TB résistante aux médicaments à 2,0% (extrêmes 0,4 à 11,0) dans les nouveaux cas, à partir des données de De nos jours, des échecs thérapeutiques cliniques sont en nombre croissant, suggérant l existence des souches multirésistantes (MDR, définie comme une résistance à au moins l isoniazide [INH] et la rifampicine [RMP]) qui mériterait d être confirmée. Cette étude avait pour but d évaluer la résistance du complexe M. tuberculosis aux antituberculeux chez des cas de tuberculose pulmonaire nouveaux ou traités antérieurement. PATIENTS ET MÉTHODES Cadre d étude Entre avril 2005 et septembre 2006, 550 tuberculeux pulmonaires à microscopie positive (TPM+) ont été soumis au questionnaire. Cet effectif a été déterminé à Auteur pour correspondance : Lassana Sangaré, Service de Bactériologie-Virologie, CHU Yalgado Ouédraogo, 03 BP 7022 Ouagadougou 03, Burkina Faso. Tél : (+226) /57. Fax : (+226) sangarel@hotmail.com [Traduction de l article : «Anti-tuberculosis drug resistance in new and previously treated pulmonary tuberculosis cases in Burkina Faso» Int J Tuberc Lung Dis 2010; 14(11): ]
2 2 The International Journal of Tuberculosis and Lung Disease l aide du logiciel Epi Info 6 (Centers for Disease Control and Prevention, Atlanta, GA, États-Unis) comme suit : chez les nouveaux cas, il était prévu 418 TPM+. Les estimations ont été faites à partir du nombre de nouveaux cas de 2003 (1544 malades TPM+ dans tout le Burkina Faso) : la prévalence globale attendue de résistance a été estimée à 10%, la précision fixée à 4%, l effet de grappe à 2, le risque α = 5% et des pertes à 10%. Pour les cas antérieurement traités, nous avons utilisé l échantillonnage à 100% et avions projeté atteindre un effectif de 120 patients. L effectif de l échantillon total des deux types de patients (cas nouveaux et traités antérieurement) était donc de 538 ; nous l avons arrondi à 550 TPM+. Sur 550 TPM+ nouveaux ou traités antérieurement, 416 (75,6%) ont été éligibles et ont été inclus consécutivement dans deux centres spécifiques de référence de lutte antituberculeuse (Centre National de Lutte Antituberculeuse [CNLAT] de Ouagadougou et Centre Régional de Lutte Antituberculeuse [CRLAT] de Bobo-Dioulasso) et dans deux autres centres non spécifiques (Centre Hospitalier Régional de Dori et le Centre Médical avec Antenne chirurgicale de Gorom- Gorom). Les milieux de culture et le TSM ont été préparés au Laboratoire de mycobactéries du Centre Muraz de Bobo-Dioulasso et au Laboratoire de référence régionale de Cotonou. Considérations éthiques Le consentement éclairé de chaque patient a été obtenu et ses données démographiques et l histoire de sa maladie recueillies à l aide d un questionnaire structuré. Leur anonymat a été respecté. L étude a été effectuée avec l approbation du Comité de révision du CHU Yalgado Ouedraogo et du Comité National d Éthique en santé. Critères d inclusion Les malades inclus étaient des cas de TB pulmonaire consentants, nouveaux ou déjà traités, avec au moins une microscopie de crachat positive, ayant été confirmés tuberculeux par la culture et dont le profil du TSM pour le complexe M. tuberculosis a été établi. Les patients non consentants, ceux dont l histoire du traitement antituberculeux n a pas permis de les classer en «jamais traités» ou «déjà traités», ceux infectés par les mycobactéries non tuberculeuses (MNT) ainsi que les patients bacillaires au profil bactériologique inconnu n ont pas été inclus dans l étude. Culture et tests de sensibilité aux médicaments Un échantillon d expectoration à microscopie positive de chaque patient a été décontaminé avec du NaOH 4%, 7 et le culot de centrifugation ensemencé sur milieu de Löwenstein-Jensen (LJ), sur LJ additionné de pyruvate et LJ contenant de l hydrazide thiophène-2-carboxylique (TCH) 5 mg/l. Les isolats de mycobactéries ont été identifiés par la coloration des bacilles acido-alcoolo-résistants (BAAR), le délai de croissance des colonies, la résistance au TCH et les tests biochimiques habituels (niacine, nitrate réductase, activité de la catalase à 22 C et 70 C). 8 Des TSM contre l INH 2 mg/l ; la RMP 40 mg/l ; streptomycine (SM) 4 mg/l et l éthambutol (EMB) 2 mg/l ont été effectués selon la méthode des proportions. 9 Une souche est déclarée résistante à un médicament si sa croissance en milieu contenant cet antituberculeux était 1% par rapport au témoin. Le contrôle de qualité externe des examens bactériologiques a été effectué au Centre de référence des mycobactéries de Borstel, Borstel, Allemagne. Définitions des types de résistance La résistance dans les nouveaux cas a été définie par la présence de souches résistantes du complexe M. tuberculosis chez les malades de TB n ayant jamais été traités par les médicaments antituberculeux ou qui l ont été pendant moins d un mois. La résistance dans les cas traités antérieurement a été déterminée chez les cas d échecs, chroniques, de rechutes et de reprises de traitement antituberculeux. Sérologie VIH Après l obtention d un consentement éclairé des patients, la sérologie VIH a été réalisée selon les recommandations de l ONUSIDA/OMS. 10 Analyses statistiques Les données ont été analysées sur SPSS version 15.0 (Statistical Package for the Social Sciences, Chicago, IL, États-Unis). Le test de χ 2 a été utilisé pour évaluer les liens statistiques entre le VIH et la multirésistance. Le seuil de signification était P < 0,05. RÉSULTATS Caractéristiques des patients Au total, 550 malades interviewés ont fourni chacun trois expectorations pour la microscopie. Les cultures ont été positives pour 467 (84,9%), négatives pour 25 (4,5%), contaminées pour 36 (6,5%) et les milieux ont été abîmés pour les 22 (4%) autres. Parmi les 467 cultures positives, l étude bactériologique a montré 416 (89,1%) souches du complexe M. tuberculosis, 28 (6%) MNT, dont neuf souches identifiées au «National Reference Center for Mycobacteria» de Borstel comme suit : M. avium (n = 5), M. intracellulare (n = 2), M. intracellulare sérotype (n = 1) et M. lentiflavum (n = 1) ; 23 (4,9%) mycobactéries n ont pas été classifiées dans un groupe mycobactérien. Au regard de la méthodologie, 416 (75,6%) des 550 malades interviewés ont été inclus pour les TSM. L âge moyen était de 37,1 ± 12,7 ans (extrêmes 11 76) et 300 (72,1%) étaient âgés entre 11 et 44 ans ; 283 (68%) étaient de sexe masculin, 323 étaient nouveaux cas et 93 des cas traités antérieurement, dont
3 Résistance aux antituberculeux au Burkina Faso 3 Tableau 1 Résistance aux médicaments antituberculeux dans les cas nouveaux ou traités antérieurement Cas traités Nouveaux antérieurement cas Total Médicaments Echec Retour* Rechute Total testé 323 (100) (100) Sensibilité à tous médicaments 283 (87,6) (33,3) N importe quelle résistance 40 (12,4) H 28 (8,7) (66,7) R 12 (3,7) (51,6) E 12 (3,7) (50,5) S 20 (6,2) (44,1) Monorésistance H 12 (3,7) (3,2) R E 1 (0,3) S 10 (3,1) (1,1) Total 23 (7,1) (4,3) Résistance à H+R (TB-MDR) HR 3 (0,9) (8,6) HRE 1 (0,3) (5,4) HRS (1,1) HRES 7 (2,2) (35,5) Total 11 (3,4) (50,5) Autres résistances HE 3 (0,9) (5,4) HS 2 (0,6) (3,2) HES (3,2) RE RS 1 (0,3) RES ES Total 6 (1,8) (11,8) Résistance à 1 médicament 23 (7,1) (4,3) 2 médicaments 9 (2,8) (17,2) 3 médicaments 1 (0,3) (9,7) 4 médicaments 7 (2,2) (35,5) * Retour au traitement après abandon. H = isoniazide ; R = rifampicine ; E = éthambutol ; S = streptomycine ; TB-MDR = tuberculose multirésistante. 22 (23,7%) rechutes, 11 (11,8%) retours au traitement après abandon et 60 (64,5%) échecs (Tableau 1). Ces cas d échecs incluaient 34 chroniques, 26 échecs au 5ème et 7/8ème mois. Résistance chez les nouveaux cas Le profil phénotypique de résistance des 323 souches du complexe M. tuberculosis chez les nouveaux cas est présenté au Tableau 1 : 14 (12,4%) souches étaient résistantes à n importe quel médicament et 11 (3,4%) étaient MDR. Des monorésistances ont été observées pour l INH (3,7%), la SM (3,1%) et l EMB (0,3%) ; aucune souche n était résistante à la RMP seule. Résistance chez les cas traités antérieurement Les types de résistance sont présentés au Tableau 1 : les taux de résistance globale et de MDR sont respectivement de 66,7% à 50,5%. Le Tableau 2 montre que les cas chroniques étaient plus résistants à la RMP et à la SM que les échecs aux 5ème et 7/8ème mois (P = 0,031 et P = 0,042, respectivement), et également plus résistants à un médicament que les cas de rechutes et d abandons de traitement (P = 0,0001). Par ailleurs, le sexe n était statistiquement significativement associé ni à la MDR (P = 0,75) ni à la résistance à tout médicament (P = 0,96). De même, ni la résistance globale (P = 0,41), ni la MDR (P = 0,39) n étaient liées à l âge. Résistance et infection par le VIH Parmi les 316 malades TB ayant accepté la sérologie VIH (249 nouveaux et 67 traités antérieurement), 91 (28,7%) étaient VIH-positifs. Parmi les nouveaux cas, 78 (31,3%) étaient VIH-positifs, au sein desquels le taux de MDR était de 1,3% versus 1,2% chez les VIH-négatifs (P = 0,95). Dix (13%) VIH-positifs et 17 (10%) VIH-négatifs étaient résistants à tout médicament (P = 0,52). Treize (19,4%) des 67 patients antérieurement traités étaient VIH-positifs. Parmi eux, quatre (30,8%) étaient MDR versus 22 (40,7%) des VIH-négatifs (P = 0,50). DISCUSSION Les centres de diagnostic ayant participé à l étude détectent plus des deux tiers des malades par an au niveau national. Ils ont été ciblés suivant un choix raisonné. La même procédure a été utilisée au Bénin. 11 Tableau 2 Comparaison des cas traités antérieurement selon la résistance de M. tuberculosis aux médicaments Anciens cas H R E S HRES Mois 5* 20 (33,3) 13 (28,3) 14 (31,1) 10 (25,0) 6 (18,8) Mois 7/8* 4 (6,7) 4 (8,7) 4 (8,9) 2 (5,0) 2 (6,3) Chronique 32 (50,0) 30 (60,9) 26 (57,8) 24 (60,0) 23 (71,9) Rechute 4 (6,7) 1 (2,2) 1 (1,2) 2 (5,0) 1 (3,1) Reprise de traitement 2 (3,3) (5,0) 0 Total * Echec du traitement : malade dont les frottis redeviennent ou sont encore positifs au 5ème mois de traitement, ou au-delà. Patient en échec après deux cures de chimiothérapie antituberculeuse. Malade traité antérieurement, déclaré guéri ou ayant terminé son traitement et qui présente à nouveau une tuberculose pulmonaire à frottis positif. Malade qui avait été traité pendant au moins 1 mois, qui avait interrompu son traitement pendant plus de 2 mois consécutifs et qui présentait des frottis positifs lorsqu il avait été reçu. H = isoniazide ; R = rifampicine ; E = éthambutol ; S = streptomycine.
4 4 The International Journal of Tuberculosis and Lung Disease L effectif de l échantillon dont la détermination a été basée sur celui de la population tuberculeuse nationale à microscopie positive de 2003 (n = 1544) était représentatif. Il était composé majoritairement d adultes jeunes à prédominance masculine (68%), dont la proportion était supérieure à celle de tous les cas masculins nationaux avec des frottis positifs en 2007 (66,4% ; n = 2614). 12 En matière d épidémiologie de la TB, la prédominance masculine a été rapportée par d autres travaux ; elle pourrait résulter de différences d exposition entre les hommes et les femmes dans leur rôle sociétal, c est-à-dire de différences en rapport avec leurs activités ; 13 les hommes occupent différents secteurs d activité, ce qui facilite la transmission du bacille tuberculeux. 14 Dans les cas jamais traités, 12,4% des isolats étaient résistants à tout médicament et 3,4% étaient MDR. Lorsque les recommandations de l OMS sont bien appliquées dans les «nouveaux cas», le taux de résistance à au moins un médicament antituberculeux est inférieur à 10% et celui de la MDR à moins de 3%. 15 Contrairement à nos résultats, un taux de MDR de 2,1% a été rapporté par l OMS. 16 Des taux de MDR supérieurs à 3,4% ont été rapportés au Ghana (3,6%) 5 et au Rwanda (7%). 17 Des taux plus faibles ont été aussi observés en l Algérie (2,7%) 2 et Egypte (2,2%). 18 Des taux de résistance globale plus élevés ou plus faibles 17 que 12,4% ont été obtenus dans d autres pays africains (Tableau 3). 11,17 N importe quelle résistance a été plus fréquente pour l INH (8,5%) et la SM (6,1%) : ceci peut être expliqué par la forte utilisation de ces médicaments dans le passé, surtout la SM, qui a été utilisée pour traiter d autres maladies infectieuses. Il est également probable que ces taux élevés de résistance à ces deux antituberculeux soient la conséquence de la forte résistance à ces médicaments dans les anciens cas dans le pays, le taux de résistance dans les nouveaux cas étant le reflet de l importance de l infection par les souches résistantes parmi les cas déjà traités. 15 Les résistances à l EMB et la RMP n ont été observées que chez 3,5% des souches pour chacun des médicaments. Le taux de la monorésistance à l INH (3,2%) était inférieur à ceux observés au Ghana (4,2%) 5 et en Côte d Ivoire (7,2%). 18 Pour la SM (3,1%), des taux plus et moins élevés ont été rapportés d autres pays africains (Tableau 3) Les résultats obtenus au Burkina Faso montrent que la résistance à l EMB (0,3%) est faible relativement à ceux obtenus au Rwanda (1%). 17 Aucune souche n était résistante à la RMP seule. Les patients avec antécédents de traitement antituberculeux étaient sous DOTS. Ceux qui étaient devenus chroniques (échec après deux cures de chimiothérapie) étaient pris en charge au CNLAT de Ouagadougou ou au CRLAT de Bobo-Dioulasso, les deux centres de référence au Burkina Faso. La prédominance des cas chroniques peut expliquer le taux élevé des résistances observées (Tableau 1) : la MDR a été Tableau 3 Comparaison des taux de résistance aux médicaments antituberculeux de la présente étude avec les résultats d études africaines Polyrésistance %* Réference Toute résistance, % Monorésistance, % TB-MDR % H R E S Total H R E S Résistance % Sensibilité % Total testé n Pays Année Nouveaux cas Notre étude ,6 12,4 8,7 3,7 3,7 6,2 7,1 3,7 0 0,3 3,1 3,4 1,9 Côte d Ivoire ,3 23,8 12,2 3,1 6,9 10,1 16,6 7,2 0 4,1 5,3 2,5 4,7 18 Ethiopie ,1 26,9 7,7 2,7 2,4 23,3 20, ,1 17,4 1,6 4,7 18 Madagascar ,7 6,3 4,6 0,5 0,5 3,2 5,5 3, ,5 0,5 0,6 18 Sénégal ,5 10,5 4,2 2,1 3,4 7,6 7,6 1,3 0 1,3 5,1 2,1 0,8 18 Tanzanie ,8 6,2 4,3 1,1 0,8 3,3 4,1 2, ,9 1,1 1,1 18 Rwanda ,3 13,7 3,5 0, ,3 7 3,1 18 Bénin ,6 2,9 0,1 20,1 32,4 3,7 0,8 0 14,8 4 4,1 16 Cas antérieurement traités Notre étude ,6 66,7 66,7 51,6 50,5 44,1 4,3 3, ,1 50,5 11,8 Côte d Ivoire Bénin ,9 18,1 7,1 34,5 30,5 9,3 2,2 0,4 18,6 11,1 12,4 16 Ethiopie ,3 48, ,5 14,5 38,2 27,6 5,3 1,3 0 21,1 11,8 6,2 18 Rwanda ,2 39,8 11,2 0 8,1 0 3,1 25,5 3,1 12 Botswana ,4 22,6 14,2 12,3 8,5 16 6, ,9 4,5 10,4 5,7 18 Madagascar ,2 11,8 9,8 5,9 0 3,9 3,9 3, ,9 3,9 18 Sénégal ,8 16,7 16,7 28,6 9,5 2, ,1 16,7 4,8 18 Tanzanie ,7 16,3 16,3 0 4,1 4,1 10,2 10, ,1 18 * Toute résistance sauf à H et R. H = isoniazide ; R = rifampicine ; E = ethambutol ; S = streptomycine ; TB-MDR = tuberculose multi-résistante.
5 Résistance aux antituberculeux au Burkina Faso 5 plus fréquente parmi eux que dans les échecs au 5ème ou au 7ème mois et les rechutes (Tableau 2). Le taux de 13% rapporté par l OMS est inférieur à celui obtenu dans cette étude ; il peut provenir de pratique de routine et non d une étude. 16 Pour comparaison, des taux de résistance globale et de MDR plus faibles ont été rapportés de certains pays africains (Tableau 3) : 18 39,2% au Rwanda 17 et 54,2% au Bénin 11 pour la résistance globale et respectivement 25,5% et 11,1% pour la MDR dans ces mêmes pays. 15,18 Des valeurs plus élevées ont été rapportées d Egypte (68,2%) 2 et de la Côte d Ivoire 17 (79%). L INH et la RMP ayant été utilisés en phase intensive et au retraitement des malades du Burkina Faso, les monorésistances à ces deux molécules pourraient être à l origine d une résistance additionnelle. Certains auteurs font ce constat et relèvent qu un tel schéma thérapeutique équivaut à une monothérapie chez un patient TB-MDR en retraitement. 17 Bien que le taux de la co-infection TB-VIH soit élevé parmi nos malades, la TB-MDR n était pas corrélée par l infection à VIH : ceci corrobore les résultats d autres études africaines. 11,14,19 La réponse au traitement antituberculeux est habituellement similaire chez les patients avec et sans VIH : la guérison des cas contagieux est toujours possible, excepté que les patients VIH-positifs présentent un risque plus élevé de souffrir de la toxicité des médicaments et d en mourir pendant le traitement Ceci est bien illustré par l étude réalisée au Kwazulu Natal en Afrique du Sud. 20,22 La logistique et les conditions climatiques ont été des limites dans cette étude ; elles ont contribué à ce que les patients ne soient pas enrôlés dans d autres centres du pays. Ces centres ont rarement des malades en échec de traitement, mais lorsqu ils en ont ils les référent à l un des deux centres de référence. L insuffisance évoquée a été compensée par l effectif représentatif de l échantillon de l étude. CONCLUSION Les taux de 12,4% de résistance globale et 3,4% de MDR chez les nouveaux cas de M. tuberculosis versus 66,7% et 50,5% chez les cas traités antérieurement constituent pour le Programme National Tuberculose des motifs sérieux de dépistage précoce et de traitement jusqu à la guérison des cas contagieux, ainsi que de poursuite d une surveillance continue et réactive dans le temps. Les cultures et les TSM pour les malades en échec thérapeutique, de même que la notification des cas aux systèmes de surveillance dès la mise en évidence de la MDR, sont désormais indispensables pour aider à identifier les phénomènes émergents et d optimiser la prise en charge des patients. L utilisation des tests moléculaires rapides pour détecter des gènes de mutation dans les expectorations des malades positives pour les BAAR au 3ème ou 5ème mois de traitement est à recommander. La fréquente association TB-VIH suggère que la lutte contre la TB soit élargie aux activités de collaboration TB-VIH recommandées par l OMS. Ceci permet d améliorer la coordination entre les programmes de lutte anti-vih et anti-tb, notamment pour endiguer les TB pharmacorésistantes. 23 Remerciements Les auteurs remercient «Sécuriser Le Futur/Secure The Future» de la Fondation Bristol-Myers-Squibb (BMS) pour le financement du projet ; le personnel du laboratoire de mycobactérie de Centre National de Lutte Antituberculeuse (CNLAT) de Ouagadougou, du Centre Muraz de Bobo-Dioulasso pour leur contribution ; et le laboratoire des mycobactéries de Borstel en Allemagne pour le contrôle de qualité microbiologique. Références 1 Dye C. Global epidemiology of tuberculosis. Lancet 2006; 367: World Health Organization. The WHO/The Union Global- Project on Anti-Tuberculosis Drug Resistance Surveillance. Antituberculosis drug resistance in the world. Report no. 3. WHO/ CDS/TB/ : Geneva, Switzerland: WHO, Kuaban C, Bercion R, Jifon G, et al. Acquired anti-tuberculosis drug resistance in Yaounde, Cameroon. Int J Tuberc Lung Dis 2000; 4: Warndorff D K, Yates M, Ngwira B, et al. Trends in antituberculosis drug resistance in Karonga, Malawi, Int J Tuber Lung Dis 2000; 4: Owusu-Dabo E, Adjei O, Meyer C, et al. Mycobacterium tuberculosis drug resistance, Ghana. Emerg Infect Dis 2006; 12: Ben Amor Y, Nemser B, Singh A, et al. Underreported threat of multidrug-resistant tuberculosis in Africa. Emerg Infect Dis 2008; 14: Petroff S A. A new and rapid method for the isolation and cultivation of tubercle bacilli directly from the sputum and feces. J Exp Med 1915; 21: El Helali N, Vergez P. Identification des mycobactéries. Feuillets de Biologie, 1993; XXXIV: [French] 9 Canetti G, Rist N, Grosset J. Mesure de la sensibilité du bacille tuberculeux aux drogues antibacillaires par la méthode des proportions. Rev Tuberc Pneumol 1963; 27: [French] 10 Joint United Nations Programme on HIV/AIDS (UNAIDS)- WHO. Revised recommendations for the selection and use of HIV antibody tests. Wkly Epidemiol Rec 1997; 72: Affolabi D, Adjagba O A B G, Tanimomo-Kledjo B, Gninafon M, Anagonou S Y, Portaels F. Anti-tuberculosis drug resistance among new and previously treated pulmonary tuberculosis patients in Cotonou, Benin. Int J Tuberc Lung Dis 2007; 11: World Health Organization. Global tuberculosis control: epidemiology, strategy, financing. WHO report WHO/HTM/ TB/ Geneva, Switzerland: WHO, Holmes C B, Hausler H, Nunn P. A review of sex differences in the epidemiology of tuberculosis. Int J Tuberc Lung Dis 1998; 2: Kouassi B, Horo K, N Douba K A, et al. Profil épidémiologique et microbiologique des malades tuberculeux en situation d échec ou de rechute à Abidjan. Bull Soc Exot 2004; 97: [French] 15 Boulahbal F, Chaulet P. La tuberculose en Afrique, épidémiologie et mesure de lutte. Med Trop 2004; 64: [French] 16 World Health Organization. TB country file: Burkina Faso.
6 6 The International Journal of Tuberculosis and Lung Disease Geneva, Switzerland: WHO, atlas/predefinedreports/tb/pdf_files/bfa.pdf Accessed August Umubyeyi A N, Rigouts L, Zissis G, et al. Résistance primaire et acquise aux antituberculeux des souches de Mycobacterium tuberculosis isolées au Rwanda. Med Trop 2007; 67: [French] 18 World Health Organization. Anti-tuberculosis resistance in the world. Report no. 4. WHO/HTM/TB/ Geneva, Switzerland: WHO, Asiimwe B B, Ghebremichael S, Kallenius G, Koivula T, Joloba M L. Mycobacterium tuberculosis spoligotypes and drug susceptibility pattern of isolates from tuberculosis patients in periurban Kampala, Uganda. BMC Infect Dis 2008; 8: Enarson D A, Rieder H L, Arnadottir T, Trébucq A. Management of tuberculosis: guide for low-income countries, 5th ed. Paris, France: International Union Against Tuberculosis and Lung Disease, Gandhi N R, Moll A, Sturm A W, et al. Extensively drugr esistant tuberculosis as a cause of death in patients co-infected with tuberculosis and HIV in a rural area of South Africa. Lancet 2006; 368: Zager E M, McNerney R. Multidrug-resistant tuberculosis. BMC Infect Dis 2008; 8: Laserson K F, Wells C D. Reaching the targets for tuberculosis control: the impact of HIV. Bull World Health Organ 2007; 85:
Evaluation de la lutte antituberculeuse par des tests de sensibilité périodiques ou en routine dans les cas traités antérieurement
Int J Tuberc Lung Dis ; 5(4): 329-338 2001 IUATLD Evaluation de la lutte antituberculeuse par des tests de sensibilité périodiques ou en routine dans les cas traités antérieurement A. Van Deun,* A. Hamid
Plus en détailRapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde
Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Résumé d orientation La tuberculose reste l une des maladies transmissibles causant le plus de décès dans le monde. En 2013, selon les estimations,
Plus en détailRESUME. C. Crampin,* S. B. Floyd, F. Mwaungulu, * G. Black, * R. Ndhlovu, * E. Mwaiyeghele, * J. R. Glynn, D. K. Warndorff, P. E. M.
Int J Tuberc Lung Dis 2001 ; 5(11) : 994-999 2001 IUATLD Comparaison entre deux et trois frottis pour l'identification des patients atteints de tuberculose à culture positive dans un contexte rural africain
Plus en détailTUBERCULOSE Nouveautés 2009
TUBERCULOSE Nouveautés 2009 Dr Grégoire Gex Rencontres Genevoises de Pneumologie Avril 2010 Introduction 6044 articles dans PubMed avec Tuberculose dans titre en 2009 Stratégie de recherche : Sélections
Plus en détailCours sur la tuberculose multirésistante (TB-MR)
Cours sur la tuberculose multirésistante (TB-MR) COURS SUR LA TUBERCULOSE MULTIRÉSISTANTE (TB-MR) Association Médicale Mondiale L Association Médicale Mondiale (AMM) est une organisation internationale
Plus en détailNormes canadiennes pour la lutte antituberculeuse
Normes canadiennes pour la lutte antituberculeuse 7 ième édition Chapitre 10 : La tuberculose et le virus de l immunodéficience humaine Normes canadiennes pour la lutte antituberculeuse, 7 ième édition
Plus en détailConsensus Scientifique sur la. Tuberculose
page 1/17 Consensus Scientifique sur la Tuberculose Source : OMS (2008) Résumé & Détails: GreenFacts Niveau 2 - Détails sur la Tuberculose 1. Qu est-ce que la tuberculose et en quoi constitue-t-elle une
Plus en détailD A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S
REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les
Plus en détailPrise en charge des patients infectés par le VIH atteints de TB-MDR et de TB-XDR dans les contextes à ressources limitées
Int J Tuberc Lung Dis; 12(12): 1370-1375 The Union 2008 PROBLèMES NON RéSOLUS Prise en charge des patients infectés par le VIH atteints de TB-MDR et de TB-XDR dans les contextes à ressources limitées F.
Plus en détailDétection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux
Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux Jean Ruelle, PhD AIDS Reference Laboratory, UCLouvain, Bruxelles Corata 2011, Namur, 10 juin 2011 Laboratoires de référence SIDA (Belgique)
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détailLettre à l éditeur. Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles. perspectives?
Lettre à l éditeur Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles perspectives? HIV Antiretroviral Drug Resistance: What s new in Mali? What is the future? Maiga AI 1,2, Sangare
Plus en détailCONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?
CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille
Plus en détailComment la recherche peut-elle aider à la maîtrise de la tuberculose?
INT J TUBERC LUNG DIS 13(5):558 568 2009 The Union ETAT DE LA QUESTION SERIE ETAT DE LA QUESTION Tuberculose Edité par I. D. Rusen NUMERO 7 DE LA SERIE Comment la recherche peut-elle aider à la maîtrise
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE
MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE AVIS DU COMITE TECHNIQUE DES VACCINATIONS / DU CONSEIL SUPERIEUR D HYGIENE PUBLIQUE DE FRANCE relatif à la vaccination par le vaccin
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailANRS-FUNDED RESEARCH IN THE DEVELOPING WORLD
ANRS-FUNDED RESEARCH IN THE DEVELOPING WORLD Brazil Burkina Faso (Bobo Dioulasso) Cambodia (Phnom Penh) Cameroon (Yaounde) Côte d Ivoire (Abidjan) Senegal (Dakar) Vietnam (Ho Chi Minh City) South Africa,
Plus en détailRecommandations de la Société de Pneumologie de Langue Française sur la prise en charge de la tuberculose en France
Recommandations de la Société de Pneumologie de Langue Française sur la prise en charge de la tuberculose en France Conférence d experts texte court Société de Pneumologie de Langue Française La Société
Plus en détailABL and Evivar Medical for Strategic Partnership and Alliance in HIV and Hepatitis
ABL and Evivar Medical for Strategic Partnership and Alliance in HIV and Hepatitis Conférence de Presse ABL SA - Chambre de Commerce de Luxembourg - Mardi 29 Septembre 2009, 18h Annonce de Presse ABL and
Plus en détailLieux de stage des étudiants du Master 2 en Santé Internationale 2010-2015
Lieux de stage des étudiants du Master 2 en Santé Internationale 2010-2015 Lieux de stage, structures d accueil et sujets de stage des étudiants du Master 2 en Santé Internationale 2010-2015 Pays Structure
Plus en détailIn 1996 a consensus statement on the surveillance of tuberculosis
Vol. 5 N 4 AVRIL / APRIL 2000 BULLETIN EUROPÉEN SUR LES MALADIES TRANSMISSIBLES / EUROPEAN COMMUNICABLE DISEASE BULLETIN FINANCÉ PAR LA DG SANTÉ ET PROTECTION DU CONSOMMATEUR DE LA COM- MISSION DES COMMUNAUTÉS
Plus en détailTests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé
Tests de détection de l interféron γ et dépistage des infections tuberculeuses chez les personnels de santé Réunion GERES du 6 juillet 2007 : D Abiteboul,, E Bouvet, A Buonaccorsi,, G Carcelain,, M Domart-Rançon,
Plus en détailWorking Group du Sénégal sur les HIVDR Presenté par Dr. Adama NDIR
Suivi de l emergence des résistances aux ARV et facteurs associés au Sénégal Working Group du Sénégal sur les HIVDR Presenté par Dr. Adama NDIR HIV Drug Resistance Programme de TARV Résistance Transmise
Plus en détailACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030
ACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030 Mettre fin à l épidémie de sida ces mots renferment de tels espoirs et de telles promesses. Grâce à des engagements mondiaux et à des objectifs précis,
Plus en détailFP2020 Estimations pour les Indicateurs de base CAMEROUN
FP2020 Estimations pour les Indicateurs de base CAMEROUN Publié en novembre 2014 Afin de bien former des interventions, évaluer les progrès, et selon le cas, raffiner leurs stratégies, les décideurs ont
Plus en détailRendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte
Rendre les résultats d un test VIH, communiquer les messages pour refaire le test et fournir un conseil à l adulte Il est prévu que les recommandations contenues dans ce document resteront valables jusqu
Plus en détailLa résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens
DECLARATION COMMUNE DES ACADEMIES DU G SCIENCE 2013 La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens Une menace globale pour l'humanité Depuis l introduction dans les années 40 du premier
Plus en détailQuantiFERON TB Gold in tube
Qu est-ce que le QuantiFERON? Test sanguin de dépistage de l infection tuberculeuse. QuantiFERON TB Gold in tube Test ELISA qui mesure la réponse immunitaire à médiation cellulaire à l infection tuberculeuse.
Plus en détailCONNAÎTRE LA TUBERCULOSE
Health CONNAÎTRE LA TUBERCULOSE Ce que tout le monde devrait savoir Nous sommes tous en relation par l air que nous respirons Table des matières Connaître la tuberculose Qu est-ce que la tuberculose et
Plus en détailConnaissances et compétences requises : coordonnées géographiques, réflexion critique, recherche de documentation, rédaction, support cartographique.
Activité : «Mais où est donc..?» Afrique Géographie : problématique de la faim. Age : 10-13 ans Outil pédagogique développé par l équipe jeunesse du PAM. Résumé Connaissances et compétences requises :
Plus en détailFINANCEMENT DE L OFFRE DE SOINS EN AFRIQUE. Prof DIE-KAKOU
1 FINANCEMENT DE L OFFRE DE SOINS EN AFRIQUE Prof DIE-KAKOU 2 PLAN INTRODUCTION I- SITUATION II- FINANCEMENT IV- COUVERTURE MALADIE V- DEFIS CMU CONCLUSION 3 INTRODUCTION Services de santé offerts avec
Plus en détailRestitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME
Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Modérateur : Dr Didier Koumavi Ekouevi INSERM U-897, Université Bordeaux Segalen, PACCI, Abidjan et Université de Lomé
Plus en détailLES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris
LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients
Plus en détailEVALUATION DE LA QUALITE DES SONDAGES EN LIGNE : CAS D UN SONDAGE D OPINION AU BURKINA FASO
EVALUATION DE LA QUALITE DES SONDAGES EN LIGNE : CAS D UN SONDAGE D OPINION AU BURKINA FASO Auteur Baguinébié Bazongo 1 Ingénieur Statisticien Economiste Chef de l Unité de recherche à l Institut national
Plus en détailde plus de moitié, particulièrement dans les pays où la mortalité infantile est élevée 39.
postes de haut-fonctionnaires sont détenus par des femmes 38. Mais dans l ensemble, les avancées enregistrées par les pays africains dans leur progression vers la réalisation d une meilleure parité entre
Plus en détailManuel de la tuberculose
Manuel de la tuberculose La tuberculose Impressum Edition et Rédaction Ligue pulmonaire suisse Südbahnhofstrasse 14c Case postale 3000 Berne 14 info@lung.ch www.liguepulmonaire.ch Renseignements sur la
Plus en détailDASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006
DASES Réseau tuberculose 10 janvier 2006 Place des Nouveaux Tests de Dosage de L INTERFERON GAMMA dans le diagnostic de la Tuberculose Fadi ANTOUN, Cellule Tuberculose DASES Le Quotidien du Médecin 2005
Plus en détailQue faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012
Que faire devant un résultat positif, négatif ou indéterminé? Elisabeth Bouvet Atelier IGRA VIH JNI Tours 13 Juin 2012 Conclusions provisoires rapport du HCSP juillet 2011 Valeur prédictive positive des
Plus en détailANNEXE I A LA CS12INI202 PLAN D ACTION
ANNEXE I A LA CS12INI202 PLAN D ACTION RESEAU DE FORMATION A LA PRISE EN CHARGE GLOBALE DE L INFECTION VIH PEDIATRIQUE EN AFRIQUE FRANCOPHONE Référence : 12INI202 Porteur de projet : GIP ESTHER Membre(s)
Plus en détailWHA63.12 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5
WHA63/200/REC/ WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins... 9 WHA63.2 Disponibilité, innocuité et qualité des produits sanguins 4,5 La Soixante-Troisième Assemblée mondiale de la
Plus en détailApport d un nouveau test Interféron Gamma
Apport d un nouveau test Interféron Gamma Dr D. Bonnet Service de maladies infectieuses Bichat Claude bernard Tuberculose 1/3 population mondiale infectée par BK Primo infection asymptomatique 90% des
Plus en détailDocteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV
Docteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV 1 CONTEXTE EN ALGERIE Recrudescence des TIA HACCP obligatoire depuis 2010 Mise à niveau
Plus en détailL'éthambutol doit-il être recommandé en traitement de routine de la tuberculose chez l enfant? Une revue de la littérature
INT J TUBERC LUNG DIS 1 (1): 12-15 1997 IUATLD L'éthambutol doit-il être recommandé en traitement de routine de la tuberculose chez l enfant? Une revue de la littérature A. Trébucq UICTMR, 68 Bd Saint
Plus en détailTEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE
TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE 14 TÉTANOS ET LA ROUGEOLE 14.1 INTRODUCTION Soumaïla MARIKO Comme on l a déjà précisé au chapitre 1, des tests de dépistage de l immunité contre le tétanos et
Plus en détailTraitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées
Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones
Plus en détailRÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013
RÉSULTATS DE LA 1ÈRE SÉRIE D ENQUÊTES AFROBAROMÈTRE AU TOGO 3e Dissemination 26 Juin 2013 [Include National Partner logo] www.afrobarometer.org www.crop-africa.org 1 [Include National Partner logo] Afrobaromètre:
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailLe point sur l épidémie de sida
07 Le point sur l épidémie de sida ONUSIDA/07.27F / JC1322F (version française, décembre 2007) Version originale anglaise, UNAIDS/07.27E / JC1322E, décembre 2007 : AIDS epidemic update: December 2007 Traduction
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détailRéseau National de Laboratoires * * * * * * * * * *
République du Sénégal Ministère de la Santé et de l Action Sociale Direction Générale de la Santé Direction des Laboratoires Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * PLAN DE FORMATION DES PERSONNELS
Plus en détailSélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA. Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005
Sélection et Évaluation Quantitative des Médicaments pour la Prise en Charge du VIH/SIDA Sophie Logez, OMS/PSM Addis Abeba, Ethiopie, Février 2005 Sélection et Évaluation Quantitative Références Sélection
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailRévision des besoins non satisfaits: En bref Résumé de l analyse de MEASURE DHS
Révision des besoins non satisfaits: En bref Résumé de l analyse de MEASURE DHS Pourquoi faut-il changer la définition des besoins non satisfaits en matière de planification familiale? Le concept de besoins
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailFONDS EUROPEEN DE FINANCEMENT SOLIDAIRE POUR L AFRIQUE FEFISOL-SA (SICAV-SIF)
FONDS EUROPEEN DE FINANCEMENT SOLIDAIRE POUR L AFRIQUE FEFISOL-SA (SICAV-SIF) 1. MISSION DE FEFISOL Appui financier et technique aux structures en développement ou en consolidation, en Afrique, et qui
Plus en détailQuestions prioritaires de recherche sur la co-infection tuberculose/vih dans les pays prévalents pour le VIH et disposant de ressources limitées
Questions prioritaires de recherche sur la co-infection tuberculose/vih dans les pays prévalents pour le VIH et disposant de ressources limitées TB/HIV Working Group Questions prioritaires de recherche
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailwww.iavs-energie.org
Notes de recherche de l IAVS www.iavs-energie.org ---------------- administration@iavs-energie.org iavsmail@gmail.com ---------------- Cadre de référence indicatif pour la promotion de l efficacité énergétique
Plus en détailLa recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique
2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailCONTRIBUTIONS DES MUTUELLES DE SANTE AUX ACTIVITES DE VACCINATION DE ROUTINE DANS LE DISTRICT DE TONE TOGO : ETUDE CAS TEMOIN
CONTRIBUTIONS DES MUTUELLES DE SANTE AUX ACTIVITES DE VACCINATION DE ROUTINE DANS LE DISTRICT DE TONE TOGO : ETUDE CAS TEMOIN Mémoire de recherche opérationnelle EPIVAC 2009 Présenté par Dr MAKAWA Makawa-Sy
Plus en détailTransplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale
Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la
Plus en détailFAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE
African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance
Plus en détailVaccination et tuberculose en Gériatrie. Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban
Vaccination et tuberculose en Gériatrie Unité de Prévention et de Dépistage: Centre de vaccination et centre de lutte anti tuberculeuse CH Montauban VACCINATIONS 2 Personnes âgées et vaccinations Avec
Plus en détailJOURNEE MONDIALE SIDA 2011 RAPPORT ONUSIDA. Atteindre l Objectif Zéro : Une riposte plus rapide plus intelligente plus efficace
JOURNEE MONDIALE SIDA 2011 RAPPORT ONUSIDA Atteindre l Objectif Zéro : Une riposte plus rapide plus intelligente plus efficace La vision de l ONUSIDA 0 Zéro nouvelle infection à VIH. Zéro discrimination.
Plus en détailwww.fnama.fr Tuberculose Pr. Jean-Louis Herrmann Service de Microbiologie, Hôpital R. Poincaré, Garches jean-louis.herrmann@rpc.aphp.
Tuberculose intérêt des tests sanguins Pr. Jean-Louis Herrmann Service de Microbiologie, Hôpital R. Poincaré, Garches jean-louis.herrmann@rpc.aphp.fr Pouvoir Pathogène : Maladie Granulomateuse Chronique
Plus en détailQU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE?
QU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE? Information pour les patients TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION 1 LA TUBERCULOSE GÉNÉRALITÉS 1.1 Qu est-ce que la tuberculose? 1.2 La tuberculose est-elle toujours contagieuse?
Plus en détailRésistance aux Antimicrobiens: Ensemble, nous pouvons réduire ce risque
Résistance aux Antimicrobiens: Ensemble, nous pouvons réduire ce risque Débats de Santé Publique 2014 Carmem Lúcia Pessoa-Silva, MD, PhD Health Security and Environment, WHO Headquarters, Geneva pessoasilvacl@who.int
Plus en détailSTOP à la Transmission des microorganismes!
STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions
Plus en détail3.1 Mise en évidence d une infection tuberculeuse latente (ITBL)
3. L INFECTION À M. TUBERCULOSIS 3.1 Mise en évidence d une infection tuberculeuse latente (ITBL) Après une infection par des mycobactéries, la plupart des individus développent une réaction immunitaire
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailTermes de référence pour le recrutement d un consultant en communication
Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication A. Contexte La Conférence des Ministres de l Éducation des États et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN) est une organisation
Plus en détailLECTURE CRITIQUE 1 ER PAS
1 LECTURE CRITIQUE D UN ARTICLE SCIENTIFIQUE 1 ER PAS FORUM PCI 20,05,14 MJ Thévenin / Inf. EPIAS/ SMPH BUTS ET ORGANISATION DE LA PRÉSENTATION Utiliser une grille de lecture critique d un article Comprendre
Plus en détailStratégies de dépistage des bactéries multirésistantes. Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA
Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes à l hôpital et en MRS: Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA Prof. Dr. Youri Glupczynski Unité d Hygiène hospitalière & Laboratoire de
Plus en détailINDICATEURS D ALERTE PRÉCOCE DE RÉSISTANCE DU VIH AUX ANTIRÉTROVIRAUX
INDICATEURS D ALERTE PRÉCOCE DE RÉSISTANCE DU VIH AUX ANTIRÉTROVIRAUX Indicateurs de l Organisation mondiale de la Santé pour surveiller la prévention de la résistance du VIH aux antirétroviraux sur les
Plus en détailLe point 2013 de l OMS sur le traitement de l infection à VIH dans le monde : résultats, impact et opportunités. Juin 2013
Le point 2013 de l OMS sur le traitement de l infection à VIH dans le monde : résultats, impact et opportunités Juin 2013 RÉSUMÉ Le point 2013 de l OMS sur le traitement de l infection à VIH dans le monde
Plus en détailPROTOCOLE D'ÉVALUATION DES SYSTÈMES NATIONAUX DE SURVEILLANCE ET DE RIPOSTE CONCERNANT LES MALADIES TRANSMISSIBLES
WHO/CDS/CSR/ISR/2001.2 Distribution: Générale Original: Anglais PROTOCOLE D'ÉVALUATION DES SYSTÈMES NATIONAUX DE SURVEILLANCE ET DE RIPOSTE CONCERNANT LES MALADIES TRANSMISSIBLES DIRECTIVES POUR LES ÉQUIPES
Plus en détailUn Aperçu de la Situation de l'assainissement en Afrique
Un Aperçu de la Situation de l'assainissement en Afrique Extrait de Un Aperçu de la Situation de l Eau Potable et de l'assainissement en Afrique Une perspective régionale s'appuyant sur des données récentes
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailSolthis en 2011 Quels programmes, quels enjeux, quels partenariats? Paris, le 4 février 2011
Solthis en 2011 Quels programmes, quels enjeux, quels partenariats? Paris, le 4 février 2011 Ordre du jour 1. Evolution de nos contextes d intervention 2. Orientations générales de l association Renforcer
Plus en détailRegional Seminar for Certain African Countries on the Implementation and Use of Several Patent-Related Flexibilities
REPUBLIC OF SOUTH AFRICA Regional Seminar for Certain African Countries on the Implementation and Use of Several Patent-Related Flexibilities Topic 9: The Use of Compulsory Licenses Durban, South Africa
Plus en détailL approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé
Trousse d information L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé Novembre 2004 L approche populationnelle : une nouvelle façon de voir et d agir en santé L approche populationnelle
Plus en détailRAPPORT MONDIAL Rapport ONUSIDA sur l épidémie mondiale de sida 2013
RAPPORT MONDIAL Rapport ONUSIDA sur l épidémie mondiale de sida 2013 Copyright 2013 Programme commun des Nations Unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) Tous droits de reproduction réservés. Les appellations employées
Plus en détailPerspectives en sciences sociales et santé publique. Bernard Taverne (CRCF/IRD)
Perspectives en sciences sociales et santé publique Bernard Taverne (CRCF/IRD) Journée scientifique ANRS, Dakar 25 juin 2010 Le devenir des patients au delà d un processus de recherche clinique, Organisation
Plus en détailCommuniqué de presse. Direction Communication Externe/Interne Sylvie Nectoux TEL : 01 44 34 65 73 Email : sylvie.nectoux@boehringeringelheim.
Les données des études pivots de phase III STARTVerso démontrent l'efficacité du faldaprevir * dans des populations de patients difficiles à guérir telles que celles co-infectées par le VIH et celles avec
Plus en détailZ I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor
Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE
Plus en détailBAISSE DE LA FÉCONDITÉ EN AFRIQUE FRANCOPHONE: TENDANCES RÉCENTES ET FUTURES* Soukeynatou Fall** and Pierre Ngom***
UN/POP/PFD/2001/7 10 June 2001 ENGLISH: ONLY WORKSHOP ON PROSPECTS FOR FERTILITY DECLINE IN HIGH FERTILITY COUNTRIES Population Division Department of Economic and Social Affairs United Nations Secretariat
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailDe meilleurs soins :
De meilleurs soins : une analyse des soins infirmiers et des résultats du système de santé Série de rapports de l AIIC et de la FCRSS pour informer la Commission nationale d experts de l AIIC, La santé
Plus en détailGUIDE DE L ANIMATEUR D UNE FORMATION AUX TROIS SYSTÈMES INTÉGRÉS DE SUIVI DU PATIENT POUR LES SOINS VIH/TARV, SMI/PTME ET TB/VIH 2012 GENÈVE
Programme VIH/SIDA GUIDE DE L ANIMATEUR D UNE FORMATION AUX TROIS SYSTÈMES INTÉGRÉS DE SUIVI DU PATIENT POUR LES SOINS VIH/TARV, SMI/PTME ET TB/VIH 3 SYSTÈMES INTÉGRÉS DE SUIVI PATIENT 2012 GENÈVE Catalogage
Plus en détailMécanismes de la résistance aux médicaments chez Mycobacterium tuberculosis
INT J TUBERC LUNG DIS 13(11):1320 1330 2009 The Union ETAT DE LA QUESTION SERIE ETAT DE LA QUESTION Tuberculose à germes résistants aux médicaments Edité par C-Y. Chiang NUMERO 1 DE LA SERIE Mécanismes
Plus en détailCréation de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy
Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan
Plus en détailTITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE)
TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE) PAYS ET REGION DE MISE EN ŒUVRE DU PROJET Ce projet sera mise en
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailRésistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux
14 ème forum SOS Hépatites, Lyon Résistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux Dr. Sylvie LARRAT Laboratoire de Virologie CHU Grenoble Hépatite C chronique 180 millions de porteurs
Plus en détail