Maître d Ouvrage DEPARTEMENT DE LA SAVOIE ASSAINISSEMENT DES EAUX USEES. Schéma directeur d assainissement RAPPORT DE PHASE 5

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Maître d Ouvrage DEPARTEMENT DE LA SAVOIE ASSAINISSEMENT DES EAUX USEES. Schéma directeur d assainissement RAPPORT DE PHASE 5"

Transcription

1 Maître d Ouvrage DEPARTEMENT DE LA SAVOIE COMMUNE DE SAINT-PANCRACE Chef-lieu SAINT-PANCRACE Tél Fax Nature des Ouvrages ASSAINISSEMENT DES EAUX USEES Schéma directeur d assainissement RAPPORT DE PHASE 5 Phase 5 : Etudes complémentaires Date Chargé d affaires Désignation de la pièce 08/11/2007 J. ROSSELET A73-267EU061-PH5-b Maître d œuvre 129 avenue de Genève ANNECY Tél fax ped@profilsetudes.fr - Site :

2 SOMMAIRE 1. Introduction Rappel des résultats du diagnostic des réseaux Mesures de débit en temps sec Recherche fine des apports d eaux parasites sur le réseau des Bottières Apports ponctuels d eaux parasites Apports diffus Définition des inspections caméra sur le secteur des Bottières Mesures par temps de pluie Lotissement «Le Panorama» et village des Bottières Le chef-lieu Les Colonnes / Les Côtes Résultats des inspections télévisées des réseaux Principe de l inspection caméra Linéaire inspecté Résultats des inspections Le village des Bottières Le chef-lieu Le réseau des Colonnes / des Côtes Coût des travaux de réhabilitation Conclusion PHASE 5 1/23

3 1. INTRODUCTION La commune de Saint-Pancrace, dans le département de la Savoie, a engagé une réflexion sur la mise en conformité et l amélioration des performances de son assainissement. Par le biais de cette étude, elle tient à assurer une protection durable du milieu récepteur tout en maîtrisant son budget. Le Schéma Directeur d Assainissement permet de répondre à cet objectif. Il propose un scénario cohérent de traitement et de gestion des effluents de l ensemble de la commune permettant de répondre à l ensemble des contraintes : Protection du milieu récepteur Respect de la réglementation Adaptation technique aux contraintes locales Coût d investissement et charge d exploitation adaptés L étude se déroule selon les quatre phases principales suivantes : Phase 1 : Diagnostic de la situation existante, Phase 2 : Diagnostic du réseau d assainissement, Phase 3 : Elaboration de plusieurs scénarios et étude comparative, Phase 4 : Elaboration du Schéma Directeur d Assainissement. Auxquelles s ajoutent les phases complémentaires suivantes : Phase 5 : Etudes complémentaires (inspection caméra, tests à la fumée), Phase 6 : Réalisation des plans du réseau. La phase 2 de cette étude a permis de mettre en évidence un certain nombre de dysfonctionnements des réseaux, en particulier : Des entrées d eaux claires parasites permanentes dans le réseau des Bottières Des apports post pluvieux sur le réseau du chef-lieu Les défauts constatés ont été quantifiés et hiérarchisés dans le rapport de présentation de phase 2 (Diagnostic du réseau d assainissement). A l issu de cette phase de la phase 2, nous avons proposé de réaliser des inspections télévisées des réseaux. L objectif de ces investigations est de localiser précisément l origine des désordres et de proposer des solutions de réhabilitation adaptées. PHASE 5 2/23

4 Ce document présente les résultats de ces investigations complémentaires. Il est organisé de la façon suivante : Rappel des conclusions des mesures Présentation des résultats des inspections caméra PHASE 5 3/23

5 2. RAPPEL DES RESULTATS DU DIAGNOSTIC DES RESEAUX Deux campagnes de mesure ont été réalisées en mars 2007 et juillet 2007 sur les réseaux d assainissement de la commune. Ces mesures ont permis de dresser un état du fonctionnement des réseaux et d orienter les investigations complémentaires. Les principaux résultats obtenus relatifs aux apports d eaux claires parasites, permanentes ou de temps de pluie, sont rappelés ciaprès MESURES DE DEBIT EN TEMPS SEC La synthèse des mesures de temps sec est présentée ci-après. Tableau 2-a : Valeurs caractéristiques de temps sec Point de mesure Collecteur Débit minimum (m 3 /h) Débit maximum (m 3 /h) Débit moyen (m 3 /j) en m 3 /h en m 3 /j 1 Lotissement "Le Panorama" 0,0 0,9 0,3 7,2 2 Les Bottières 1,7 2,9 2,1 50,4 4 Chef-Lieu Le Chosalet 0,0 0,8 0,2 5,8 Total 1,7 4,6 2,6 63,4 Le volume global collecté par les réseaux de la commune de Saint-Pancrace en période de temps sec est de l ordre de 63,4 m 3 /j. Nous constatons que le réseau des Bottières collecte une part relativement importante d eaux parasites de temps sec : 1,7 m 3 /h, soit environ 40 m 3 /j. PHASE 5 4/23

6 2.2. RECHERCHE FINE DES APPORTS D EAUX PARASITES SUR LE RESEAU DES BOTTIERES Pour localiser plus précisément les zones d apport préférentiel, nous avons réalisé une inspection nocturne des réseaux du secteur des Bottières. Celles-ci ont pour but : De visualiser et quantifier les apports ponctuels (sources, drains, fontaines, ) raccordés au réseau d eaux usées De repérer les tronçons d infiltration préférentielle Apports ponctuels d eaux parasites Un apport ponctuel a été identifié dans la partie haute du réseau des Bottières, en amont du regard R102. Le débit mesuré s élève à 0,2 l/s, soit 17 m 3 /j. L apport semble provenir d une source ou d une fontaine Apports diffus Le tableau suivant présente les zones d apports diffus les plus importantes. PHASE 5 5/23

7 Tableau 2-b : Récapitulatif des zones d apport diffus Localisation Apport (l/s) Apport (m 3 /j) Linéaire concerné (m) Apport spécifique (l/m/j) R69 à R167 0,25 21, ,0 R47 à R50 0,05 4, ,2 R50 à R167 0,05 4, ,5 R65 à R90 0,05 4, ,9 R67 à R210 0,01 0, ,7 Total 0,4 35, ,8 Au total, ces apports diffus représentent 0,4 l/s, soit 35 m 3 /j environ Définition des inspections caméra sur le secteur des Bottières Les inspections nocturnes ont permis de localiser et de hiérarchiser les tronçons responsables des principaux apports d eaux claires diffus. Pour définir exactement l origine des défauts et définir des éventuelles opérations de réhabilitation à mener pour la suppression de ces apports diffus, il est nécessaire d avoir recours à l inspection télévisée des réseaux (ITV). Celle-ci est réalisée après un hydrocurage soigné des collecteurs afin de visualiser les défauts responsables des apports. A partir des défauts constatés (casse, fissure, absence de joints, ), il peut être défini la nature et l importance des travaux de réhabilitation à mettre en œuvre : remplacement ponctuel, chemisage, injection ponctuelle, Nous avons ainsi proposé le passage de la caméra dans les tronçons qui présentaient des zones d apport diffus. PHASE 5 6/23

8 Fig. 2-a : Cartographies du programme d inspection initialement prévu (surlignage rouge) Sur ce secteur, le linéaire de réseau à inspecter s élevait à environ 1460 ml. Les résultats de ces inspections télévisées sont présentés au chapitre 3 du présent rapport. PHASE 5 7/23

9 2.3. MESURES PAR TEMPS DE PLUIE Les mesures en continu réalisées sur le réseau d eaux usées nous ont permis d enregistrer l impact de plusieurs évènements pluvieux significatifs sur les débits Lotissement «Le Panorama» et village des Bottières Les résultats des mesures par temps de pluie sont synthétisés ci-après pour le lotissement «Le Panorama» et le village des Bottières. Tableau 2-c : Bilan qualitatif des apports d eaux parasites de temps de pluie Durée totale de la période de temps de pluie retenue : Hauteur totale de précipitation lors de la période de temps de pluie : Collecteur Débit moyen de temps sec (m 3 /j) Débit moyen de temps de pluie (m 3 /j) Survolumes moyens collectés lors de la période de temps de pluie (m 3 ) 71 h 16,8 mm Surface active APPROXIMATIVE Lotissement "Le Panorama" 7,2 9,6 7 0,04 ha Très faible Les Bottières 50,4 57,6 21 0,13 ha Faible Ces deux collecteurs sont très peu sensibles aux précipitations Le chef-lieu Tableau 2-d : Bilan qualitatif des apports parasites d eaux pluviales Durée totale de la période de temps de pluie retenue : Hauteur totale de précipitation lors de la période de temps de pluie : 240 h 53,8 mm Collecteur Débit moyen de temps sec (m 3 /j) Débit moyen de temps de pluie (m 3 /j) Survolumes moyens collectés lors de la période de temps de pluie (m 3 ) Surface active en ne considérant pas les apports postpluvieux Chef-lieu 5,8 16, ,21 ha Faible Le réseau du chef-lieu montre également une faible réaction du réseau aux précipitations. Par contre, le phénomène de ressuyage des sols (drainage de sols humides après une période de précipitations) est à priori non négligeable sur ce réseau. Les observations de visu confirment cette hypothèse : PHASE 5 8/23

10 présence d'eaux claires en quantité au moment de la pose du matériel présence de sables fins noirs dans le canal venturi tout au long des mesures Nous avons donc proposé donc de réaliser des inspections télévisées de la branche principale du réseau du chef-lieu pour éventuellement localiser des casses et ou des déboîtements qui pourraient être des axes préférentiels de drainage. Le linéaire de réseau à contrôler sur le chef-lieu est de l ordre de 1300 ml. Les résultats de ces tests sont présentés au chapitre 3 du présent rapport Les Colonnes / Les Côtes Le volume global mesuré lors de la visite nocturne s élève à 0,1 l/s, soit 8,6 m 3 /j pour le collecteur des Côtes (débit d eaux claires parasites permanentes). Les débits ponctuels mesurés le 8 mars 2007 en période de fonte des neiges sont très élevés (175 m 3 /j). Le réseau des Colonnes semble très sensible aux apports pluvieux (ou neigeux). Ces apports peuvent s expliquer par : Le raccordement de surfaces imperméables au réseau (chenaux ou de grille de collecte des eaux pluviales) le phénomène de ressuyage des sols (drainage des sols humides par des réseaux non étanches). La commune pense connaître le point d entrée des eaux pluviales. Elle est intervenue sur une portion du réseau située en fond de combe qui à priori représentait une zone d infiltration des effluents. Pour vérifier l étanchéité de cette portion suite aux travaux, nous avons proposé une inspection télévisée du réseau depuis le hameau La Fontanette et l exutoire du réseau, soit 350 ml. PHASE 5 9/23

11 3. RESULTATS DES INSPECTIONS TELEVISEES DES RESEAUX Les inspections caméras ont eu lieu dans le courant des mois d août et septembre 2007, sur les secteurs suivants : soit 3110 ml au total. Village des Bottières : 1460 ml (cf. figure présentée en ) Chef-lieu : 1300 ml sur la branche principale du réseau Les Colonnes / Les Côtes : 350 ml entre La Fontanette et l exutoire, Les résultats des inspections sont récapitulés dans les documents établis par la SCAVI qui a réalisé ces inspections sous notre contrôle. Ce document ainsi que les DVD correspondants seront remis au maître d ouvrage PRINCIPE DE L INSPECTION CAMERA Les inspections télévisées des réseaux se déroulent après un hydrocurage systématique des canalisations. La caméra est ensuite montée sur un chariot automoteur. Elle est équipée d un objectif articulé qui lui permet des rotations de 360 dans un plan vertical. L opérateur en surface dirige la progression de la caméra dans la conduite par l intermédiaire d un moniteur TV. A chaque défaut constaté, une photo est réalisée. La distance depuis le point de départ de l inspection est notée, ainsi que la pente du collecteur. A l issu de l inspection vidéo, l ensemble des défauts constatés est récapitulé dans le rapport photographique. L ensemble de l inspection est également enregistré sur une bande vidéo numérisée sur un DVD. Cette technique permet de localiser précisément l origine des désordres et de définir dans un second temps les travaux de réhabilitation adaptés LINEAIRE INSPECTE Le linéaire réellement inspecté s élève à 2720 ml, soit 383 ml de moins que le programme prévisionnel. Cette différence s explique par les nombreux obstacles rencontrés lors de l inspection télévisée empêchant la progression de la caméra. PHASE 5 10/23

12 Nous citerons parmi ces obstacles : Des écrasements verticaux et latéraux Des réseaux trop pentus Des poinçonnements Des coudes Le tableau suivant présente les tronçons ne pouvant être inspectés totalement avec les causes de non inspection. Ces tronçons sont sans doute à renouveler. Tableau 3-a : Récapitulatif des tronçons non inspectés entièrement Secteur Les Bottières Chef-lieu Note : Tronçon Linéaire inspecté Linéaire réel (en m) (en m) Cause de non inspection R215 à R66 39,2 82 Poinçonnement R69 à R68 0,9 47 Réseau trop pentu, inspection vers l'aval impossible R108 à R108b 25,7 29 Réseau trop pentu, inspection vers l'aval impossible R211b à R211 30,7 60 Déboîtement R48 à R49 38,3 81 Ecrasement vertical R49 à R49a 1,6 14 Ecrasement vertical R62 à R61a 26,6 42 Réseau trop pentu, inspection vers l'aval impossible R12 à R11 54,2 56 Coude R14 à R15 13,7 30 Coude R15 à R16 6,8 17 Coude R18 à R Poinçonnements R29 à R30 23,2 35 Ecrasement vertical R30 à R31 5,7 55 Poinçonnement R33 à R32b 0,7 27 Réseau trop pentu, inspection vers l'aval impossible R34 à R33b 0 20 Réseau trop pentu, inspection vers l'aval impossible Dans les tableaux de synthèse présentés dans le paragraphe suivant, les sections non inspectées complètement sont repérées en surlignage turquoise RESULTATS DES INSPECTIONS L analyse des résultats des inspections caméras doit tenir compte de deux facteurs : Le nombre d anomalies ramené à la longueur de la canalisation qui est le ratio le plus pertinent pour classifier les collecteurs inspectés les plus affectés quantitativement. Ainsi il est considéré que : Lorsque le collecteur présente moins d une anomalie tous les 5 mètres, soit moins de 0,2 anomalies / ml, nous pouvons considérer qu il est sujet à des anomalies ponctuelles Lorsque le collecteur présente plus d une anomalie tous les 5 mètres, soit plus de 0,2 anomalies / ml, nous pouvons considérer qu il est sujet à des anomalies généralisées La nature des anomalies rencontrées : en effet, il est indispensable d évaluer la gravité des anomalies. Pour cela, nous proposons une échelle d urgence et de gravité présentée page suivante. PHASE 5 11/23

13 Tableau 3-b : Echelle d urgence et de gravité Risque / Gravité Risque le plus grave Risque très important Risque important pouvant évoluer Risque potentiel Risque modéré Sans gravité Exemples Effondrement total Fontis en surface Arrêt de l'écoulement Effondrement partiel Déboîtement ou casse avec arrivée de sables Affaissement de tuyaux avec arrivée de sables Obstruction importante réduisant la capacité d'écoulement Vides de l'encaissant Infiltrations d'eaux parasites avec entraînement de terrain Fissures, cassures, emboîtements défectueux avec ou sans infiltration Perforation Racines, joints pendants, obstruction partielle Erosion, corrosion Infiltrations d'eaux parasites sans entraînement de terrain Contrepente Fissures apparemment non évolutives Défauts de profil Joints sortis, branchements pénétrants Petites obstructions : radicelle, légers dépôts Emboîtement douteux Signes de vétusté générale sans point particulier Poinçonnements Petits défauts de profil Défauts de détail apparemment non évolutifs Quelques exemples d anomalies sont présentés dans le tableau ci-après. PHASE 5 12/23

14 Tableau 3-c : Description des principales anomalies rencontrées Fissure / Eclatement Conséquences : - Ruine structurelle de la conduite sous l'effet des charges - Infiltration d'eaux parasites, avec entraînement de fines et décompression des terrains adjacents ou exfiltrations des effluents selon le niveau de la nappe - Pénétration des racines facilitée Dégradation du radier Conséquences : - Possibilité d'infiltration / exfiltrations selon le niveau de la nappe - Perturbation des écoulements - Pénétration des racines facilitée Joint pendant Conséquences : - Perte d'étanchéité de l'ouvrage - Infiltrations / Exfiltrations selon le niveau de la nappe - Perturbation (limitée) des écoulements PHASE 5 13/23

15 Ecrasement latéral (+ joint sorti) Conséquences : - Rupture quand les tolérances du matériau sont dépassées - Possibilité d'infiltrations / exfiltrations selon le niveau de la nappe Poinçonnements multiples Conséquences : - Décompression du terrain au droit du poinçonnement - Apparition de microfissures - Evolution souvent rapide vers une perforation avec perte d'étanchéité Déboitement longitudinal Conséquences : - Infiltrations d'eaux parasites / exfiltrations abondantes - Entraînement de fines et décompression des terrains adjacents - Obstrcution et perturbation de l'écoulement PHASE 5 14/23

16 L analyse conjointe de ces deux paramètres (nombre de d anomalies et gravité) permet de définir l état de la canalisation et le type de réhabilitation adapté. Les tableaux ci-après présentent la synthèse des inspections télévisées. Le détail de ces investigations est présenté dans le rapport et le DVD établi par la SCAVI et remis au maître d ouvrage. Note pour le Chef-lieu : Les numéros des regards utilisés pour le tableau de synthèse ci-après correspondent à la numérotation utilisée dans le plan des réseaux joint à la phase 1 du présent dossier. Ces numéros ne correspondent pas forcément à ceux utilisés par la SCAVI, qui préfère généralement numéroter les regards au fur et à mesure de l inspection. Le tableau ci-après présente la correspondance entre les numéros utilisés par la SCAVI et nos numéros de regards. Tableau 3-d : Correspondance entre les numéros de regard du réseau du chef-lieu Saint-Pancrace - Inspection ITV du chef-lieu Numérotation SCAVI Numérotation Profils Etudes Numérotation SCAVI Numérotation Profils Etudes b A b 12B b b PHASE 5 15/23

17 Schéma directeur d'assainissement Localisation Conduite Anomalies Etat général Mesures de réfections Réhabilitation ponctuelle En HT Réhabilitation généralisée En HT Remplacement canalisation En HT Secteur Regard à regard Diamètre (mm) Nature Longueur inspectée (m) Nombre Nombre / m Type Curage Collecteur Échéance par anomalie 300 par ml 250 par ml Les Bottières R215 à R PVC 39,2 4 0,102 Poinçonnement, Flache ponctuel Ovalisation, changement de direction sans regard Oui Moyen Long terme Les Bottières R66 à R PVC 26,4 3 0,114 Joint sorti, Emboîtement large Pénétration de racines Oui Moyen Long terme Joint sorti, Déboîtement longitudinal Les Bottières R65 à R65a 150 PVC 20,1 4 0,199 Ecrasement vertical Oui Mauvais Court terme Eclatement avec pénétration ECPP Les Bottières R65a à R PVC 32,3 4 0,124 Emboîtement large, Emboîtement insuffisant Abscence de joint, Oui Mauvais Court terme Déboitement longitudinal (pénétration d'ecpp) Les Bottières R69 à R PVC 0,9 Inspection non réalisée Oui Les Bottières R109 à R PVC 34,5 5 0,145 Ecrasement vertical, joints sortis Oui Moyen Long terme Les Bottières R108 à R108b 150 PVC 25,7 4 0,156 Joints sortis Oui Moyen Long terme Les Bottières R108b à R0 150 PVC 40,0 3 0,075 Joint pendant, joint sorti, Flache ponctuel Oui Moyen Long terme Les Bottières R90 à R PVC 33,3 0 0,000 - Oui Bon - Les Bottières R100 à R PVC 30,8 13 0,422 Emboîtements insuffisants, Flache ponctuel Abscence de joint, Déboîtement longitudinal Joint apparent, Pénétration de racines (2) Oui Mauvais Court terme Poinçonnements multiples Coquille de réparation sur fissure biaise Les Bottières R101 à R PVC 19,4 3 0,155 Emboîtements insuffisants, Abscence de joint Oui Moyen Long terme Les Bottières R102 à R102b 150 PVC 30,6 7 0,229 Poinçonnements, Embôitements insuffisants Abscence de joint Oui Moyen Long terme Les Bottières R208 à R PVC 49,6 1 0,020 Poinçonnement Oui Bon - Les Bottières R210 à R PVC 72,9 10 0,137 Dégradation du revêtement au radier Emboîtements insuffisants, Abscence de joint Poinçonnements, Pénétration de racines, Oui Mauvais Court terme Emboîtement avec déviation angulaire, traces d'infiltrations Les Bottières R209 à R PVC 55,6 10 0,180 Poinçonnements multiples, Emboîtement insuffisant Joint apparent, Effondrement total Oui Mauvais Court terme Les Bottières R211b à R PVC 30,7 4 0,130 Traces d'infiltrations Emboîtement large, Déboîtement désaxé Oui Mauvais Court terme Les Bottières R211b à R PVC 49,1 3 0,061 Emboîtement insuffisant, joint apparent, Poinçonnements multiples Oui Moyen Long terme Les Bottières R212 à R212b 150 PVC 43,0 4 0,093 Poinçonnements, Ovalisation, Joint apparent Oui Moyen Long terme Les Bottières R212b à R PVC 32,1 4 0,125 Poinçonnements multiples Oui Moyen Long terme Les Bottières R213 à R PVC 43,4 0 0,000 - Oui Bon - Les Bottières R214 à R PVC 51,5 3 0,058 Déboîtement longitudinal, Pénétration de racines Emboîtement large Oui Moyen Moyen terme Les Bottières R215 à R PVC 58,0 0 0,000 - Oui Bon - Les Bottières R216 à R PVC 27,4 1 0,036 Réseau en charge Oui Bon - Les Bottières R48 à R PVC 28,9 3 0,104 Joint apparent, poinçonnement, Ecrasement vertical Oui Moyen Moyen terme Les Bottières R48 à R PVC 38,3 9 0,235 Poinçonnements, Flaches ponctuels, Ecrasement verticaux, ovalisation Oui Moyen Moyen terme Les Bottières R49 à R49a 160 PVC 1,6 1 0,625 Ecrasement vertical Oui Moyen Long terme Synthèse des inspections télévisées des réseaux

18 Schéma directeur d'assainissement Localisation Conduite Anomalies Etat général Mesures de réfections Réhabilitation ponctuelle En HT Réhabilitation généralisée En HT Remplacement canalisation En HT Secteur Regard à regard Diamètre (mm) Nature Longueur inspectée (m) Nombre Nombre / m Type Curage Collecteur Échéance par anomalie 300 par ml 250 par ml Les Bottières R50 à R49a 160 PVC 22,4 2 0,089 Contrepentes Oui Moyen Long terme Les Bottières R50 à R PVC 37,9 4 0,106 Emboîtement insuffisant, Abscence de joint, Manchon sur casse, poinçonnement Oui Moyen Long terme Les Bottières R61 à R61a 200 PVC 35,1 0 0,000 - Oui Bon - Les Bottières R62 à R61a 200 PVC 26,6 4 0,150 Coquille de réparation sur casse, Poinçonnements, Flache ponctuel Oui Moyen Long terme Les Bottières R62 à R PVC 43,2 0 0,000 - Oui Bon - Les Bottières R166 à R PVC 40,2 0 0,000 - Oui Bon Les Bottières R167 à R PVC 33,3 9 0,270 Abscences de joints, Emboîtements larges Déboîtements longitudinaux, Infiltrations Oui Mauvais Court terme Pénétrations de radicelles Les Bottières R63 à R PVC 29,6 0 0,000 - Oui Bon - Les Bottières R64 à R PVC 36,6 7 0,191 Joints sortis, Poinçonnements, Emboîtements larges Oui Moyen Moyen terme Les Fontaines R224 à R PVC 39,9 2 0,050 Poinçonnement Fissures multiples ouvertes (casse) Oui Mauvais Court terme Les Fontaines R225 à R PVC 52,9 0 0,000 - Oui Bon - Les Fontaines R226 à R PVC 34,9 3 0,086 Poinçonnements Oui Moyen - Les Fontaines R227 à R PVC 65,2 0 0,000 - Oui Bon - Les Fontaines R228 à R228b 150 PVC 23,9 0 0,000 - Oui Bon - Les Fontaines R228b à R PVC 35,0 0 0,000 - Oui Bon - Les Fontaines R229 à R PVC 38,6 4 0,104 Poinçonnements, Poinçonnements éclaté Oui Les Fontaines R230 à R PVC 23,7 1 0,042 Déboîtement désaligné avec pénétration de racines Oui Mauvais Court terme Chef-lieu R2 à R1 150 PVC 27,4 0 0,000 - Oui Bon - Chef-lieu R2 à R3 150 PVC 12,0 1 0,083 Joint pendant Oui Moyen Long terme Chef-lieu R3 à R4 150 PVC 30,6 4 0,131 Poinçonnements, Ovalisation, Branchement par culotte Oui Mauvais Moyen terme Chef-lieu R4 à R5 150 PVC 19,2 3 0,156 Flache ponctuel, Poinçonnements multuiples Oui Mauvais Moyen terme Chef-lieu R5 à R6 150 PVC 12,9 2 0,155 Flache ponctuel, ovalisation Oui Mauvais Moyen terme Chef-lieu R6 à R7 150 PVC 19,2 4 0,208 Branchement par culotte Poinçonnements, Joint sorti Oui Mauvais Moyen terme Chef-lieu R7 à R8 150 PVC 11,2 1 0,089 Flache ponctuel Oui Moyen Moyen terme Chef-lieu R8 à R9 150 PVC 2,3 1 0,435 Poinçonnement Oui Moyen Moyen terme 575 Chef-lieu R9 à R PVC 19,7 5 0,254 Branchements par culotte, Poinçonnements, Fissure biaise ouverte (casse) Oui Mauvais Court terme Flache ponctuel Chef-lieu R10 à R PVC 42,0 6 0,143 Coude, Emboîtement insuffisant, Poinçonnements, Flache ponctuel, Oui Mauvais Moyen terme Joint pendant Chef-lieu R12 à R PVC 54,2 8 0,148 Poinçonnements, 2 coudes, Manchon, Joint rompu Oui Moyen Moyen terme Chef-lieu R12 à R PVC 52,5 3 0,057 Poinçonnements Oui Moyen Long terme Chef-lieu R502 à R PVC 6,2 0 0,000 - Oui Bon - Chef-lieu R503 à R PVC 9,6 2 0,208 Ecrasement vertical Coquille de réparation Oui Mauvais Moyen terme Chef-lieu R504 à R PVC 14,4 2 0,139 Ovalisation, Flache Ponctuel Oui Mauvais Moyen terme Chef-lieu R505 à R PVC 13,6 1 0,074 Poinçonnement Oui Moyen Long terme Chef-lieu R506 à R PVC 17,8 2 0,112 Poinçonnement, Joint sorti Oui Moyen Moyen terme Chef-lieu R508 à R PVC 11,8 0 0,000 - Oui Bon - Chef-lieu R511 à R PVC 6,9 1 0,145 Branchement pénétrant Oui Moyen Moyen terme Synthèse des inspections télévisées des réseaux

19 Schéma directeur d'assainissement Localisation Conduite Anomalies Etat général Mesures de réfections Réhabilitation ponctuelle En HT Réhabilitation généralisée En HT Remplacement canalisation En HT Secteur Regard à regard Diamètre (mm) Nature Longueur inspectée (m) Nombre Nombre / m Type Curage Collecteur Échéance par anomalie 300 par ml 250 par ml Chef-lieu R511 à PVC 6,0 1 0,167 Flache ponctuel Oui Moyen Long terme Chef-lieu R512 à R PVC 26,2 4 0,153 Coudes, Poinçonnements multiples Oui Moyen Long terme Chef-lieu R513 à R PVC 14,0 2 0,143 Poinçonnement, emboîtement large Oui Moyen Long terme Chef-lieu R514 à R PVC 15,9 6 0,377 Coudes, Poinçonnements, Emboîtement large, Joint sorti Oui Moyen Long terme Chef-lieu R12 à R PVC 1,5 0 0,000 - Oui Bon - Chef-lieu R13 à R PVC 32,6 0 0,000 - Oui Bon - Chef-lieu R14 à R PVC 13,7 2 0,146 Coude, Poinçonnement Oui Moyen Long terme Chef-lieu R15 à R PVC 6,8 1 0,147 Coude Oui Moyen Long terme Chef-lieu R16 à R PVC 15,0 1 0,067 Poinçonnement Oui Moyen - Chef-lieu R18 à R PVC 53,0 2 0,038 Poinçonnements multiples Oui Moyen - Chef-lieu R18 à R PVC 41,8 5 0,120 Poinçonnements multiples, Emboîtement avec déviation angulaire Oui Moyen Long terme Chef-lieu R19 à R PVC 52,3 10 0,191 Poinçonnements multiples, Coquille sur casse, Emboîtement avec déviation angulaire, Oui Mauvais Moyen terme Ecrasement latéral, Eclatement Chef-lieu R27 à R PVC 25,2 2 0,079 Poinçonnements Oui Moyen - Chef-lieu R28 à R PVC 38,7 8 0,207 Poinçonnements multiples, Flache Oui Moyen Moyen terme Chef-lieu R29 à R PVC 23,2 13 0,560 Poinçonnements multiples, Ovalisation, Pénétration de radicelles, Oui Mauvais Moyen terme Ecrasement vertical Chef-lieu R30 à R PVC 5,7 3 0,526 Eclatement, coudes Oui Mauvais Moyen terme Chef-lieu R31 à R31b 150 PVC 31,7 2 0,063 Emboîtements défectueux, Poinçonnements multiples Oui Moyen Long terme Chef-lieu R31b à R PVC 4,1 0 0,000 - Oui Bon - Chef-lieu R32 à R32b 150 PVC 10,0 2 0,200 Coude, poinçonnement Oui Moyen Long terme Chef-lieu R33 à R32b 150 PVC 0,7 0 0,000 - Oui Chef-lieu R33 à R33b 150 PVC 36,7 1 0,027 Poinçonnement Oui Bon - Chef-lieu R34 à R33b 150 PVC 0,0 0 Oui Chef-lieu R34 à R PVC 33,8 6 0,178 Coquille de réparation, Poinçonnements Oui Moyen Long terme Chef-lieu R41 à R PVC 26,6 8 0,301 Poinçonnement multiples, Flache ponctuel, Joint sorti, Eclatement Oui Mauvais Court terme Chef-lieu R514 à R PVC 10,1 0 0,000 - Oui Bon - Chef-lieu R514 à R PVC 84,6 21 0,248 Emboîtement large, Poinçonnements multiples, Coquille de réparation, Ovalisation, Oui Mauvais Court terme Fissures multiples ouvertes (casse) Chef-lieu R517 à R PVC 2,2 1 0,455 Poinçonnement Oui Moyen Long terme 550 Chef-lieu R518 à R PVC 75,8 7 0,092 Poinçonnements multiples, Joint pendant Oui Moyen Long terme Chef-lieu R522 à R PVC 10,5 1 0,095 Emboîtement large Oui Moyen Long terme Chef-lieu R519 à R PVC 51,1 5 0,098 Emboîtement large, Poinçonnements, Joint sorti Oui Moyen Long terme Chef-lieu R528 à R PVC 27,6 1 0,036 Poinçonnement Oui Moyen - Chef-lieu R529 à R PVC 37,4 2 0,053 Coudes Oui Moyen Long terme Total linéaire inspecté (en m) 2732 Totaux des coûts de réhabilitation Synthèse des inspections télévisées des réseaux

20 Le village des Bottières La figure ci-après superpose les résultats des recherches nocturnes d eaux claires parasites permanentes sur le secteur des Bottières (voir rapport de phase 2) aux anomalies les plus graves repérés par inspection télévisée. Fig. 3-a : Synthèse des apports d ECPP sur les Bottières (recherche nocturne + ITV) Les principaux apports d ECPP repérés lors de visites nocturnes ont été confirmés par l inspection télévisée, notamment : L apport ponctuel de 0,2 l/s en amont du R102 qui est du à un déboîtement longitudinal et à des fissures biaises ouvertes Les apports diffus de 0,25 l/s entre les regards 167 et 67 qui sont dus à des déboitements longitudinaux et à un éclatement Quelques apports repérés lors de la visite nocturne n ont pas été expliqués suite à l inspection télévisée. Ils peuvent provenir des branchements particuliers, non diagnostiqués lors de l inspection. PHASE 5 19/23

21 Le chef-lieu La figure suivante localise les anomalies repérées par inspection télévisée et susceptibles de rainer des eaux parasites de temps de pluie par ressuyage des sols. Fig. 3-b : Localisation des principales anomalies sur le chef-lieu Globalement, le réseau du chef-lieu est moins sujet à des anomalies structurelles graves que celui des Bottières (moins de mouvement de terrains). Par contre, les canalisations en PVC présentent de nombreuses anomalies légères (poinçonnements, écrasements, ) qui ne remettent pas en cause l étanchéité de la canalisation actuellement mais qui pourraient évoluer à long terme vers des ruptures et des éclatements Le réseau des Colonnes / des Côtes Le linéaire inspecté réellement inspecté sur ce réseau s élève à 309 ml. Sur ces 309 mètres, deux anomalies importantes ont été constatées (une casse et un déboitement). Cette inspection ne nous permet pas de conclure sur l état général du réseau (linéaire total de 1300 mètres). Les canalisations de ce réseau sont majoritairement en PVC. Il y a donc fort à penser que les anomalies rencontrées sur ce tronçon, dues à la fragilité du matériau, soient également présentes sur le reste du réseau. La réutilisation de ce réseau pour implanter un ouvrage d assainissement collectif en aval semble être difficile sans travaux de réhabilitation et de déconnexion des eaux pluviales (voir phase 2). Ces PHASE 5 20/23

22 travaux ne peuvent être chiffrés à ce stade. Seuls les travaux de réhabilitation du secteur inspecté ont été chiffrés à Coût des travaux de réhabilitation Pour chaque réseau inspecté, nous préconisons une réhabilitation adaptée aux anomalies rencontrées : Note : Réhabilitation ponctuelle (réhabilitation par robot multifonctions, injection d étanchement ou chemisage partiel) pour les secteurs où les anomalies sont peu graves et peu denses Réhabilitation généralisée (chemisage continu ou tubage) lorsque les anomalies sont soit peu graves (non structurelles) mais denses Renouvellement de la canalisation pour toutes les anomalies structurelles (écrasement, ovalisations, effondrement) Pour tous les renouvellements de canalisation, nous préconisons l utilisation de canalisation de matériaux plus résistants aux mouvements de terrain (polyéthylène ou polypropylène). En effet, ces canalisations ont l avantage d offrir une bonne résistance aux surcharges et aux poinçonnements, à l inverse des canalisations PVC (très nombreux poinçonnements et déformations repérés lors de l inspection télévisées). En fonction de la gravité des anomalies détectées, nous proposons un échéancier des travaux de réhabilitation : Travaux à court terme pour les anomalies les plus graves, notamment toutes les anomalies représentant un risque d infiltration d eaux claires parasites (permanentes ou de temps de pluie) Travaux à moyen terme pour des anomalies mois graves Travaux à long terme pour les secteurs les moins endommagés L échéancier devra être défini plus précisément en fonction du budget annuel que la commune peut allouer à la réhabilitation de ces réseaux. A l issu des travaux à court terme, la quantité d eaux claires parasites permanentes drainées sur le réseau des Bottières devrait diminuer d environ 0,45 l/s, soit 0,15 l/s en situation future contre 0,6 l/s actuellement. Le tableau ci-dessous synthétise les coûts estimatifs de la réhabilitation des réseaux de la commune sur les secteurs inspectés. PHASE 5 21/23

23 Tableau 3-e : Récapitulatif des coûts de réhabilitation des réseaux Coût des travaux de réhabilitation Récapitulatif (Totaux arrondis) Court terme Moyen terme Long terme Total Coûts des installations de chantier et travaux préparatoires (A rajouter pour chaque opération de réhabilitation) Réhabilitation ponctuelle (Fraisage, Manchette, ) Réhabilitation généralisée (chemisage, gainage, ) Renouvellement de canalisation PHASE 5 22/23

24 4. CONCLUSION Les inspections complémentaires ont permis de déterminer l état des branches du réseau les plus pénalisantes identifiées en phase 2 (infiltrations préférentielles d eaux parasites permanentes ou intrusion d eaux pluviales). L inspection télévisée des réseaux confirme les diagnostics établis lors de la phase 2, notamment les apports d eaux parasites les plus importants ont été localisés précisément. Aucun test à la fumée n avait été proposé sur la commune, les réseaux de collecte sont tous de type séparatif et sont peu réactifs aux évènements pluvieux (sauf le réseau des Colonnes et des Côtes). PHASE 5 23/23

service des réseaux D assainissement : mettre en place une stratégie efficace Quels sont les enjeux d une bonne gestion PAtrimoniALe des réseaux

service des réseaux D assainissement : mettre en place une stratégie efficace Quels sont les enjeux d une bonne gestion PAtrimoniALe des réseaux Les cahiers Supplément technique du magazine eau service N 6 / novembre 2010 Eau service gestion PATRIMoniALE des réseaux D assainissement : mettre en place une stratégie efficace P. 2 Quels sont les enjeux

Plus en détail

Sommaire INTRODUCTION... 2. 1/ Le contexte général de la commune...3. 2/ L état des réseaux...3. 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...

Sommaire INTRODUCTION... 2. 1/ Le contexte général de la commune...3. 2/ L état des réseaux...3. 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration... 1 Sommaire INTRODUCTION... 2 1/ Le contexte général de la commune...3 2/ L état des réseaux...3 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...3 4/ Les solutions retenues par la commune...5 CONCLUSION Carte

Plus en détail

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un

Plus en détail

Règlement numéro LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT. Avril 2011

Règlement numéro LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT. Avril 2011 Règlement numéro 346 LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT Avril 2011 VOS RESPONSABILITÉS LIÉES AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT DE VOTRE IMMEUBLE Protection

Plus en détail

DIAGNOSTIC DU RESEAU D ALIMENTATION EN EAU POTABLE SCHEMA DIRECTEUR

DIAGNOSTIC DU RESEAU D ALIMENTATION EN EAU POTABLE SCHEMA DIRECTEUR COMMUNE DE LA VALLA EN GIER Le Bourg 42131 La Valla-en-Gier DIAGNOSTIC DU RESEAU D ALIMENTATION EN EAU POTABLE SCHEMA DIRECTEUR Rapport de Phase III Juin 2012 ICA ENVIRONNEMENT 6 Rue Emile Noirot - 42300

Plus en détail

RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.

RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes

Plus en détail

Les outils de la gestion patrimoniale Le logiciel «Casses»

Les outils de la gestion patrimoniale Le logiciel «Casses» Les outils de la gestion patrimoniale des réseaux r d eau. d Le logiciel «Casses» Eddy RENAUD Périgueux le 3 septembre 2008 L équipe «Réseaux» du Cemagref CEMAGREF Groupement de Bordeaux Unité «Réseaux,

Plus en détail

COMMUNE DE GORGIER. Madame la Présidente, Mesdames et Messieurs, 1. Préambule

COMMUNE DE GORGIER. Madame la Présidente, Mesdames et Messieurs, 1. Préambule COMMUNE DE GORGIER RAPPORT DU CONSEIL COMMUNAL AU CONSEIL GENERAL CONCERNANT LA DEMANDE DE CREDIT DE Fr. 32'700.- POUR LE REMPLACEMENT D'UN COLLECTEUR D'EAUX USEES AU CHEMIN DE LA PAYAZ Madame la Présidente,

Plus en détail

Quelles pistes pour rendre vos réseaux plus intelligents?

Quelles pistes pour rendre vos réseaux plus intelligents? Quelles pistes pour rendre vos réseaux plus intelligents? Maeve de France (Direction Technique, chef de projet métier SIG) Simon Le Grand (Direction Technique régionale IDF, service SIG/gestion patrimoniale)

Plus en détail

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,

Plus en détail

CANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR SOMMAIRE

CANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR SOMMAIRE CAHIER DES CHARGES AFG CANALISATIONS A L AIR LIBRE OU DANS LES PASSAGES COUVERTS, OUVERTS SUR L'EXTERIEUR RSDG 5 15 décembre 2002 SOMMAIRE 1. - REGLES GENERALES 2 1.1. - Objet du cahier des charges 2 1.2.

Plus en détail

Plan Local d Urbanisme - AEU

Plan Local d Urbanisme - AEU Plan Local d Urbanisme - AEU Maître d ouvrage Ville de Dieppe Parc Jehan Ango - BP 226 76203 DIEPPE Cedex 7.1 - Les annexes sanitaires Arrêté le : 23 mai 2013 Approuvé le : Elaboration du PLU de la ville

Plus en détail

RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE

RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE Des règles différentes peuvent s appliquer dans le cas d un commerce. Informez-vous

Plus en détail

STANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RACCORDS DE

STANDARD DE CONSTRUCTION CONDUITS, ATTACHES ET RACCORDS DE , ATTACHES ET RACCORDS DE PARTIE 1 - GÉNÉRALITÉS 1.1 EMPLACEMENT DES 1.1.1 Les conduits posés devraient être indiqués sur les plans. Ils devraient être installés perpendiculairement aux lignes du bâtiment.

Plus en détail

Systèmes de stockage simples à installer et économiques

Systèmes de stockage simples à installer et économiques Systèmes de stockage simples à installer et économiques Parallèlement à l accroissement et à l ampleur des événements pluviométriques, l accélération et l augmentation des débits de pointe accentuent de

Plus en détail

Auscultation, diagnostic et surveillance des sols, structures et réseaux

Auscultation, diagnostic et surveillance des sols, structures et réseaux Auscultation, diagnostic et surveillance des sols, structures et réseaux Des ingénieurs spécialisés enrichissant depuis plus de 15 ans une expérience unique du Géoradar et des techniques non destructives.

Plus en détail

Comment bien utiliser votre assurance «Dommages-Ouvrage»

Comment bien utiliser votre assurance «Dommages-Ouvrage» Comment bien utiliser votre assurance «Dommages-Ouvrage» Ce document est édité par l Agence Qualité Construction, association dont la mission est d améliorer la qualité des constructions. Il a été rédigé

Plus en détail

Gestion et pérennité des réseaux d assainissement Evolutions normatives en matière de contrôle et conséquences. Jeudi 4 décembre 2014 POLLUTEC LYON

Gestion et pérennité des réseaux d assainissement Evolutions normatives en matière de contrôle et conséquences. Jeudi 4 décembre 2014 POLLUTEC LYON Gestion et pérennité des réseaux d assainissement Evolutions normatives en matière de contrôle et conséquences Jeudi 4 décembre 2014 POLLUTEC LYON Intervenant René-Claude Fouilloux Accompagner les maîtres

Plus en détail

GUIDE TECHNIQUE DE REALISATION DES BRANCHEMENTS PARTICULIERS AUX RESEAUX D ASSAINISSEMENT ET D EAU POTABLE

GUIDE TECHNIQUE DE REALISATION DES BRANCHEMENTS PARTICULIERS AUX RESEAUX D ASSAINISSEMENT ET D EAU POTABLE Communauté d Agglomération Carcassonne Agglo DIRECTION EAU POTABLE & ASSAINISSEMENT 1, rue Pierre GERMAIN 11890 CARCASSONNE CEDEX 9 GUIDE TECHNIQUE DE REALISATION DES BRANCHEMENTS PARTICULIERS AUX RESEAUX

Plus en détail

OUTIL D AUTO-ÉVALUATIOn POUR LES RÉSERVES DE MUSÉE

OUTIL D AUTO-ÉVALUATIOn POUR LES RÉSERVES DE MUSÉE OUTIL D AUTO-ÉVALUATIOn POUR LES RÉSERVES DE MUSÉE À quoi sert cet outil? Les musées obtiennent une image instantanée de la situation actuelle de leur réserve et bénéficient d un diagnostic préliminaire.

Plus en détail

GESTION ET ASSAINISSEMENT DES EAUX PLUVIALES Q-BIC PLUS CONNECT TO BETTER Q-BIC PLUS 1. #LesRèglesOntChangé CONNECT TO BETTER CONNECT TO BETTER

GESTION ET ASSAINISSEMENT DES EAUX PLUVIALES Q-BIC PLUS CONNECT TO BETTER Q-BIC PLUS 1. #LesRèglesOntChangé CONNECT TO BETTER CONNECT TO BETTER GESTION ET ASSAINISSEMENT DES EAUX PLUVIALES Q-BIC PLUS #LesRèglesOntChangé Q-BIC PLUS 1 LES NOUVELLES RÈGLES DE LA GESTION DES EAUX PLUVIALES COMMENCENT ICI Wavin Q-Bic Plus, nouveau système de rétention/infiltration

Plus en détail

Toitures et charpentes

Toitures et charpentes Toitures et charpentes 1/7 Toiture-terrasse Domaine d application Cette fiche vise à établir les principales interfaces au niveau des toitures-terrasses, accessibles ou non. Les ouvrages considérés sont

Plus en détail

Point n 3 de l ordre du jour. Monsieur le président, Mesdames et Messieurs les Conseillers généraux,

Point n 3 de l ordre du jour. Monsieur le président, Mesdames et Messieurs les Conseillers généraux, Point n 3 de l ordre du jour Rapport du Conseil communal au Conseil général concernant une demande de crédit de Fr. 111'456.- pour la réfection des pieux du débarcadère d Auvernier Monsieur le président,

Plus en détail

Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013

Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier

Plus en détail

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».

Plus en détail

R A P P O R T. Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs, Bref historique

R A P P O R T. Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs, Bref historique Commune de Peseux Conseil communal R A P P O R T du Conseil communal au Conseil général relatif à une demande de crédit de CHF 1'910'000.- pour la rénovation des conduites d'eau, de gaz, d'électricité,

Plus en détail

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca

Plus en détail

MERLIN GESTION PATRIMONIALE. Groupe GESTION PATRIMONIALE. Définition d un programme de renouvellement

MERLIN GESTION PATRIMONIALE. Groupe GESTION PATRIMONIALE. Définition d un programme de renouvellement Groupe MERLIN Une tradition d innovations au service des hommes GESTION PATRIMONIALE GESTION PATRIMONIALE Définition d un programme de renouvellement Indépendance - Expériences - Expertises - Proximité

Plus en détail

Immeuble collectif AQC

Immeuble collectif AQC AQC Immeuble collectif Comment bien utiliser votre assurance construction «Dommages-Ouvrage»? Ce document est édité par l Agence Qualité Construction, association dont la mission est d améliorer la qualité

Plus en détail

- Tente de réception louée complète (structure, bâches de toit et cotés, piquets)

- Tente de réception louée complète (structure, bâches de toit et cotés, piquets) Location tente de réception 5x10 état neuf gris clair et blanc La tente de réception est conçue pour une utilisation lors des fêtes et autres événements est, en tant que tels, uniquement destiné à un montage

Plus en détail

Logiciel pavages drainants mode d emploi

Logiciel pavages drainants mode d emploi Logiciel pavages drainants mode d emploi FEBESTRAL a développé, en collaboration avec le Centre de Recherches Routières (CRR), un logiciel de calcul pour pavages drainants. Ce programme vous guide lors

Plus en détail

Commune de La Chapelle d Abondance Bilan hydraulique du réseau d eau potable. Page n 1. Départementale d' Assistance

Commune de La Chapelle d Abondance Bilan hydraulique du réseau d eau potable. Page n 1. Départementale d' Assistance Commune de La Chapelle d Abondance Bilan hydraulique du réseau d eau potable. Page n 1 Régie Départementale d' Assistance Commune de La Chapelle d Abondance Bilan hydraulique du réseau d eau potable. Page

Plus en détail

APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc.

APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc. APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS Gilles Rivard, ing. M. Sc. Québec 15 mars 2012 PRÉSENTATION Particularités des petits bassins

Plus en détail

Municipalité de la Commune d'arzier - Le Muids. Préavis No 15/2013 Au Conseil communal

Municipalité de la Commune d'arzier - Le Muids. Préavis No 15/2013 Au Conseil communal Municipalité de la Commune d'arzier - Le Muids Préavis No 15/2013 Au Conseil communal Demande de crédit de CHF 371'500. concernant la mise en séparatif de la partie inférieure du chemin Prés-du-Marguiller

Plus en détail

Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide.

Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide. Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES Guide d entretien Aillevans - Athesans Etroitefontaine - Autrey Le Vay - Beveuge - Bonnal

Plus en détail

La souplesse d'une entreprise régionale, la performance d'un leader!

La souplesse d'une entreprise régionale, la performance d'un leader! 1 2 La souplesse d'une entreprise régionale, la performance d'un leader! Créée en 1972, SCAVI à su se hisser au meilleur rang de performance tout en conservant les atouts d'une entreprise familiale. Nous

Plus en détail

Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino

Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino RAPPORT TECHNIQUE Evacuation des eaux et alimentation en eau potable Dossier 10N026 Version 001 26 novembre 2010 RWB Holding SA Aménagement du territoire

Plus en détail

Commune d Aillevillers et Lyaumont CC du Val de Semouse

Commune d Aillevillers et Lyaumont CC du Val de Semouse Commune d Aillevillers et Lyaumont CC du Val de Semouse Département de la Haute Saône Zonage d assainissement Renaud LADAME Chargé d Affaires Géoprotech Agence Franche Comté Hôtel dentreprises ZA les Charrières

Plus en détail

Comptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004

Comptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004 Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)

Plus en détail

Les Produits MURPHCO Ltée

Les Produits MURPHCO Ltée DESCRIPTION Les Produits MURPHCO Ltée Le drain de toit Murphco est constitué d'un tablier de cuivre plein et d'un manchon en cuivre rigide sans joint ni soudure verticale. Il se distingue par sa conception

Plus en détail

P.L.H Patrick Leleu Humiditologue

P.L.H Patrick Leleu Humiditologue P.L.H Patrick Leleu Humiditologue Depuis notre création, en 1989, à Montpellier, nous pensons que la Qualité du Service naît de la Compétence des Hommes. Si la Compétence reste le Privilège de l Expérience,

Plus en détail

Drainage de maches anti-remontée à l humidité. Pour la pose de carreaux en céramique et de pierres naturelles/dalles sur des escaliers extérieurs.

Drainage de maches anti-remontée à l humidité. Pour la pose de carreaux en céramique et de pierres naturelles/dalles sur des escaliers extérieurs. Drainage de maches anti-remontée à l humidité Pour la pose de carreaux en céramique et de pierres naturelles/dalles sur des escaliers extérieurs. Goutte par goutte, le désastre prend forme. Comme ils ne

Plus en détail

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS

MISE EN DÉCHARGE. Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Une entreprise de Bayer et LANXESS MISE EN DÉCHARGE Introduction INTRODUCTION La mise en décharge, dans le respect de l environnement, de certains types de déchets est un complément important

Plus en détail

Rapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6)

Rapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6) Rapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6) ler semestre 2002 Renault O. Juiilei ZOO2 Ri-51786 Rapport de suivi du système de

Plus en détail

4.2 C.C.T.P. GROUPE SCOLAIRE LES GENETS RENOVATION DES SANITAIRES INTERIEURS. Cahier des Clauses Techniques Particulières LOT 2 : PLOMBERIE

4.2 C.C.T.P. GROUPE SCOLAIRE LES GENETS RENOVATION DES SANITAIRES INTERIEURS. Cahier des Clauses Techniques Particulières LOT 2 : PLOMBERIE MAITRE D OUVRAGE / MAITRE D OEUVRE : VILLE DE NICE DIRECTION GENERALE DES SERVICES TECHNIQUES, DE L AMENAGEMENT, DES TRAVAUX, ET DU DEVELLOPEMENT DURABLE DIRECTION DES BATIMENTS COMMUNAUX SERVICE MAINTENANCE

Plus en détail

association française du gaz

association française du gaz association française du gaz RECOMMANDATIONS TECHNIQUES POUR LES TRAVAUX A PROXIMITÉ DES OUVRAGES DE DISTRIBUTION DU GAZ Partie 1 : prescriptions générales Article 10 du décret n 91-1147 du 14.10.1991

Plus en détail

PROFIL DE VULNERABILITE DES EAUX DE BAIGNADE Plage Boulevard de la Plage à VER-sur-MER RAPPORT DE SYNTHESE

PROFIL DE VULNERABILITE DES EAUX DE BAIGNADE Plage Boulevard de la Plage à VER-sur-MER RAPPORT DE SYNTHESE Département Calvados Institution Interdépartementale du Bassin de l Orne PROFIL DE VULNERABILITE DES EAUX DE BAIGNADE Plage Boulevard de la Plage à VER-sur-MER RAPPORT DE SYNTHESE RT DSD 10015EZ phase1-017

Plus en détail

REGARDS KERAPORT. ÉTANCHÉITÉ ET RÉSISTANCE À LA CORROSION.

REGARDS KERAPORT. ÉTANCHÉITÉ ET RÉSISTANCE À LA CORROSION. REGARDS KERAPORT. ÉTANCHÉITÉ ET RÉSISTANCE À LA CORROSION. 2 Vue dans un regard KeraPort DN 1000 STEINZEUG-KERAMO SITES DE PRODUCTION Allemagne : Frechen et Bad Schmiedeberg Belgique : Hasselt EFFECTIF

Plus en détail

MISAPOR verre cellulaire

MISAPOR verre cellulaire MISAPOR verre cellulaire Remblai allégé pour ouvrage en génie civile 2015-03 Suisse: Allemagne: France: MISAPOR AG Löserstrasse 2 CH-7302 Landquart Téléphone +41 81 300 08 08 Fax +41 81 300 08 09 info@misapor.ch

Plus en détail

Plancher chauffant avec revêtement de sol

Plancher chauffant avec revêtement de sol Équipements E.2 1/6 Plancher chauffant avec revêtement de sol Domaine d application Cette fiche vise à établir les principales interfaces au niveau des planchers chauffants, à eau chaude ou électriques,

Plus en détail

Atelier B : Maintivannes

Atelier B : Maintivannes Atelier B : Maintivannes BMA03 : Procédure de réglage de la vanne de régulation CAMFLEX BMA03 : Procédure de réglage de la vanne CAMFLEX Page 1 Buts de l exercice : - Réaliser la manutention d un élément

Plus en détail

ENCASTREZ UN EVIER ET POSEZ UN MITIGEUR A DOUCHETTE

ENCASTREZ UN EVIER ET POSEZ UN MITIGEUR A DOUCHETTE ENCASTREZ UN EVIER ET POSEZ UN MITIGEUR A DOUCHETTE ETAPE 1 LE PLAN DE TRAVAIL 1.a Repères Repères Mettez en place provisoirement le plan de travail et tracez au crayon effaçable deux repères qui correspondent

Plus en détail

François Dussault, T.P. Inspecteur en bâtiment. Repentigny, le 31 août 2010

François Dussault, T.P. Inspecteur en bâtiment. Repentigny, le 31 août 2010 Repentigny, le 31 août 2010 Monsieur François Dussault, propriétaire 76 rue Vinet Repentigny, Qc. J6A 1K9 Objet : Infiltration dans la salle de bains au 76 Vinet Monsieur Dussault, C est avec plaisir que

Plus en détail

GUIDE D'INSTALLATION. Lave-Vaisselle

GUIDE D'INSTALLATION. Lave-Vaisselle GUIDE D'INSTALLATION Lave-Vaisselle SOMMAIRE 1/ CONSIGNES DE SECURITE Avertissements importants 03 2/ INSTALLATION DE VOTRE LAVE-VAISSELLE Appareil non encastré 04 Appareil encastré 04 Appareil encastré

Plus en détail

PARTICIPATIONS FINANCIERES H.T. DES ADHERENTS POUR L ANNEE 2010 ADOPTEES PAR LE COMITE SYNDICAL DU 19 FEVRIER

PARTICIPATIONS FINANCIERES H.T. DES ADHERENTS POUR L ANNEE 2010 ADOPTEES PAR LE COMITE SYNDICAL DU 19 FEVRIER ANNEXE COMPETENCES A LA CARTE DE LA BRANCHE EAU PARTICIPATIONS FINANCIERES H.T. DES ADHERENTS POUR L ANNEE 2010 ADOPTEES PAR LE COMITE SYNDICAL DU 19 FEVRIER 2010 Page 1 /14 26/02/2010 OPTION MAINTENANCE

Plus en détail

Installations de plomberie

Installations de plomberie Service de l urbanisme, des biens et de l aménagement Installations de plomberie Guide à l intention des propriétaires pour l interprétation des règlements municipaux de la ville de Winnipeg concernant

Plus en détail

FCT. Robinet à tournant sphérique FCT - type HPA - 150# à 1500# Instructions d installation et de maintenance. Pour les robinets à axe nu :

FCT. Robinet à tournant sphérique FCT - type HPA - 150# à 1500# Instructions d installation et de maintenance. Pour les robinets à axe nu : FCT Robinets à tournant sphérique pour toutes applications avec axe anti-éjection, conception sécurité feu et cavité de corps à décompression automatique. 1. Généralités Nous vous recommandons de respecter

Plus en détail

SAUVEGARDE DES PERSONNES ET LUTTE CONTRE L INCENDIE DANS LES BATIMENTS D HABITATION DE LA 3ème FAMILLE INC/HAB COL 3/1986-2

SAUVEGARDE DES PERSONNES ET LUTTE CONTRE L INCENDIE DANS LES BATIMENTS D HABITATION DE LA 3ème FAMILLE INC/HAB COL 3/1986-2 1. CLASSEMENT ET GENERALITES : 1.1. Classement Sont classées dans la 3ème famille les habitations collectives dont le plancher bas du logement le plus haut est situé à 28 mètres au plus au-dessus du sol

Plus en détail

accessibilité des maisons individuelles neuves

accessibilité des maisons individuelles neuves accessibilité des maisons individuelles neuves Conseil d Architecture, d urbanisme et de l environnement du Gard 2012 Depuis la loi de Février 2005, toutes les constructions neuves de type logement individuel

Plus en détail

Drainage linéaire & stockage des eaux ACO DRAIN. Un tout nouveau concept de drainage. Q-max, drainage et réseau d égouttage en 1!

Drainage linéaire & stockage des eaux ACO DRAIN. Un tout nouveau concept de drainage. Q-max, drainage et réseau d égouttage en 1! Drainage linéaire & stockage des eaux ACO DRAIN Un tout nouveau concept de drainage Q-max, drainage et réseau d égouttage en 1! 1 drain Nous nous occupons du drainage Partout dans le monde, le groupe ACO

Plus en détail

Plan de modernisation des installations industrielles

Plan de modernisation des installations industrielles Plan de modernisation des installations industrielles 1 Sommaire 1 - Contexte - Introduction 2 - Réglementation 3 - Périmètre 4 - Guides techniques 5 - Synthèse : périmètre-actions 2 1 Contexte - Introduction

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES. 1- Historique... 1. 2- Types de ventilateurs et leurs différents usages... 1

TABLE DES MATIÈRES. 1- Historique... 1. 2- Types de ventilateurs et leurs différents usages... 1 LA VENTILATION DES COUVERTURES 01-01-1998 TABLE DES MATIÈRES Page 1- Historique... 1 2- Types de ventilateurs et leurs différents usages... 1 3- Recommandations et investigations avant réfection... 3 4-

Plus en détail

RÈGLEMENT #2005-08 RELATIF AUX BRANCHEMENTS À L'ÉGOUT ET À L AQUEDUC

RÈGLEMENT #2005-08 RELATIF AUX BRANCHEMENTS À L'ÉGOUT ET À L AQUEDUC RÈGLEMENT #2005-08 RELATIF AUX BRANCHEMENTS À L'ÉGOUT ET À L AQUEDUC RÈGLEMENT NUMÉRO 2005-08 RELATIF AUX BRANCHEMENTS À L ÉGOUT ET À L AQUEDUC Type Règlement # Résolution # Date adoption Date d entrée

Plus en détail

Quels travaux confier à un professionnel?

Quels travaux confier à un professionnel? CONSEILS AUX PARTICULIERS Travaux dangereux dans votre logement Quels travaux confier à un professionnel? Vous voulez réaliser des travaux chez vous, attention, certains présentent des risques importants!

Plus en détail

Etanchéité. Edition 3/2013. Drain. Systèmes de drainage des eaux d enrobés

Etanchéité. Edition 3/2013. Drain. Systèmes de drainage des eaux d enrobés Drain Systèmes de drainage des eaux d enrobés Edition 3/2013 Etanchéité La philosophie de notre entreprise s exprime par la formule : idées + aluminium = dani alu idées : Recherche de solutions pratiques

Plus en détail

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers

Plus en détail

RAPPORT D INTERVENTION. Résidence Les Hauts de Fontsainte Allée Louis Benet & chemin du Baguier 13600 LA CIOTAT

RAPPORT D INTERVENTION. Résidence Les Hauts de Fontsainte Allée Louis Benet & chemin du Baguier 13600 LA CIOTAT R PRESTATAIRE DE SERVICES RAPPORT D INTERVENTION N 738-739-7331 Intervention du 6/0/010 Rédigé par Eric TANGUY Opération Affaire Résidence Les Hauts de Fontsainte Allée Louis Benet & chemin du Baguier

Plus en détail

La conception d un réseau collectif

La conception d un réseau collectif Chapitre 3 La conception d un réseau collectif 3.1 - Les principaux documents de référence 3.2 - La conception hydraulique 3.3 - La conception mécanique 3.4 - L implantation des ouvrages de visite, de

Plus en détail

eau service Optimiser les performances des réseaux d eau potable Les cahiers p. 2 quel cadre réglementaire? une réglementation en pleine évolution

eau service Optimiser les performances des réseaux d eau potable Les cahiers p. 2 quel cadre réglementaire? une réglementation en pleine évolution Les cahiers supplément technique du magazine eau service N 11 / NOvembre 2010 eau service Optimiser les performances des réseaux d eau potable p. 2 quel cadre réglementaire? une réglementation en pleine

Plus en détail

RAPPORT D INTERVENTION

RAPPORT D INTERVENTION R PRESTATAIRE DE SERVICES RAPPORT D INTERVENTION N 7445 Rédigé par Eric TANGUY Céline LETORT Intervention du 23/07/2010 Affaire Nature de l intervention Toiture contrôlée Intervention à la demande de Résidence

Plus en détail

Le chantier compte 4 étapes :

Le chantier compte 4 étapes : 02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton

Plus en détail

ÉTUDES SUR L EAU N 86 MODALITÉS TECHNIQUES DU CONTRÔLE DES INSTALLATIONS D ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF DES HABITATIONS INDIVIDUELLES

ÉTUDES SUR L EAU N 86 MODALITÉS TECHNIQUES DU CONTRÔLE DES INSTALLATIONS D ASSAINISSEMENT NON COLLECTIF DES HABITATIONS INDIVIDUELLES É D I T O R I A L assainissement non collectif concerne les immeubles, et notamment les L maisons d habitation individuelles, non raccordés à un réseau public de collecte des eaux usées. La directive européenne

Plus en détail

«Grâce à BELFOR, la fuite a été immédiatement localisée. Des résultats certifiés. et le dégât des eaux évité» Des prestations associées

«Grâce à BELFOR, la fuite a été immédiatement localisée. Des résultats certifiés. et le dégât des eaux évité» Des prestations associées INSTALLATIONS TECHNIQUES DANS LA MAISON Conduites d eau froide et d eau chaude Conduites de chauffage/ chauffage au sol Conduites d eaux usées Inspection de cavités Problèmes de condensation Moisissure

Plus en détail

COMMUNE DE CALVISSON

COMMUNE DE CALVISSON 3. CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (C.C.T.P) ET ANNEXES COMMUNE DE CALVISSON SCHEMA DIRECTEUR ET ZONAGE D ASSAINISSEMENT INFRAMED INGENIEURS CONSEILS L orée des mas Bâtiment les Lauriers Avenue

Plus en détail

Thierry Gallauziaux David Fedullo. La plomberie

Thierry Gallauziaux David Fedullo. La plomberie Thierry Gallauziaux David Fedullo La plomberie Deuxième édition 2010 Sommaire Sommaire Les bases de la plomberie Les matières synthétiques...16 Les dangers du gaz et de l eau...16 La plomberie...9 L eau...10

Plus en détail

RAPPORT D AUDIT SOLIDITE

RAPPORT D AUDIT SOLIDITE RAPPORT D AUDIT SOLIDITE Parking Centre commercial Carrefour Nice Lingostière Réalisé par : Pour le compte de : Date Indice 20/03/2012 A SARL 1GBTP 1796 Rte de Gattières 06510 Carros Tel : 06.62.41.42.62

Plus en détail

TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE

TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE L'objectif de ce tutorial est de décrire les différentes étapes dans CASTOR Concept / FEM permettant d'effectuer l'analyse statique d'une

Plus en détail

CONVENTION POUR LE RACCORDEMENT DES INDUSTRIELS DE SAINT-BRIEUC AU RESEAU D'ASSAINISSEMENT. Mesdames, Messieurs,

CONVENTION POUR LE RACCORDEMENT DES INDUSTRIELS DE SAINT-BRIEUC AU RESEAU D'ASSAINISSEMENT. Mesdames, Messieurs, Ville de SAINT-BRIEUC ------------------------------- Conseil Municipal ---------------------- Séance du 8 décembre 2000 ----------------- Rapporteur : M. MANGOLD ----------------- N 10 CONVENTION POUR

Plus en détail

ETAT DE L'INSTALLATION INTERIEURE D'ELECTRICITE

ETAT DE L'INSTALLATION INTERIEURE D'ELECTRICITE 250 834 RCS Limoges31/12/2013XFR 0050627LI et XFR0048625FI09A BATIMENT C 1 AVENUE NEIL ARMSTRONG 33700 MERIGNAC Tel : Fax : A ETAT DE L'INSTALLATION INTERIEURE D'ELECTRICITE Articles L 134-7 et R 134-10

Plus en détail

Apports des solutions SIG métiers dans la gestion des réseaux d'assainissement

Apports des solutions SIG métiers dans la gestion des réseaux d'assainissement Rencontres Nationales de l'assainissement Collectif Apports des solutions SIG métiers dans la gestion des réseaux d'assainissement Estelle Burckel Directeur Réseaux & Hubert Lorang Directeur de Projets

Plus en détail

Surveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique

Surveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique Surveillance et Detection des Anomalies Diagnostic d une digue: rappel méthodologique issu de l expérience d EDF Jean-Paul BLAIS Service Géologie - Géotechnique EDF 1 La méthodologie utilisée par EDF,

Plus en détail

Assistance à Maîtrise d Ouvrage Cinéma Jour de Fête

Assistance à Maîtrise d Ouvrage Cinéma Jour de Fête Assistance à Maîtrise d Ouvrage Cinéma Jour de Fête 74 RUE DE VIENNE, 27140 GISORS RAPPORT DE DIAGNOSTIC DES SONDAGES REALISES DANS LA SALLE DE PROJECTION 0. TABLE DES MATIERES 0. Table des matières...

Plus en détail

REGLEMENT D ASSAINISSEMENT PLUVIAL

REGLEMENT D ASSAINISSEMENT PLUVIAL REGLEMENT D ASSAINISSEMENT PLUVIAL Règlement d assainissement pluvial du Grand Toulouse 1 SOMMAIRE CHAPITRE I - DISPOSITIONS GENERALES...3 ARTICLE 1 - OBJET DU REGLEMENT...3 ARTICLE 2 - DEFINITION DES

Plus en détail

LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE

LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE 1 La mairie de Ressons-le-Long souhaite restaurer le lavoir de la Montagne. L opération fait l objet d une souscription «Fondation

Plus en détail

GUIDE D'INSTALLATION Lave-Vaisselle

GUIDE D'INSTALLATION Lave-Vaisselle GUIDE D'INSTALLATION Lave-Vaisselle SOMMAIRE 1 / CONSIGNES DE SECURITE Avertissements importants 03 Dimensions d encastrement 04 Inventaire des pièces livrées 04 Raccordement à l eau 05 Evacuation des

Plus en détail

LA CAMÉRA THERMIQUE GUIDE PRATIQUE DE. pour les activités du bâtiment 4SOMMAIRE

LA CAMÉRA THERMIQUE GUIDE PRATIQUE DE. pour les activités du bâtiment 4SOMMAIRE GUIDE PRATIQUE DE LA CAMÉRA THERMIQUE pour les activités du bâtiment SOMMAIRE 1. DÉFINIR SA MISSION 2 2. CHOISIR SA CAMÉRA THERMIQUE 3 3. PROPOSER UNE INSPECTION AVEC CAMÉRA THERMIQUE À SON CLIENT 5. ANTICIPER

Plus en détail

Système multicouche raccords à sertir et tubes

Système multicouche raccords à sertir et tubes Système multicouche raccords à sertir et tubes 4BONNES RAISONS DE CHOISIR LES SOLUTIONS 4GAMMES COMPLÉMENTAIRES 1 L EFFICACITÉ : pour répondre à toutes les configurations Avec les solutions multiconnect,

Plus en détail

VILLE DE FEYZIN ( Rhône ) Réfection d'un réseau d'évacuation d'eau usée. Place René LESCOT

VILLE DE FEYZIN ( Rhône ) Réfection d'un réseau d'évacuation d'eau usée. Place René LESCOT VILLE DE FEYZIN ( Rhône ) MAITRE D'OUVRAGE VILLE DE FEYZIN Réfection d'un réseau d'évacuation d'eau usée Place René LESCOT CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUE PARTICULIERES (C.C.T.P) SOMMAIRE 1 OBJET DU MARCHE...3

Plus en détail

Prix valables du 01/01/2012 au 31/12/2012* *Les prix sont sujets à changement sans préavis.

Prix valables du 01/01/2012 au 31/12/2012* *Les prix sont sujets à changement sans préavis. ESSENTIALS 2012 Prix valables du 01/01/2012 au 31/12/2012* *Les prix sont sujets à changement sans préavis. microdrain D30 & CA-300 Pour tubes de 30-100mm Peut convenir pour des coudes de 90 à partir de

Plus en détail

Le système Sika Injectoflex type DI-1 est un canal gonflant, injectable ultérieurement, pour l'étanchement de joints de reprise.

Le système Sika Injectoflex type DI-1 est un canal gonflant, injectable ultérieurement, pour l'étanchement de joints de reprise. Fiche technique du produit Edition 15.03.2012 Version no 8 Système Sika Injectoflex type DI-1 Système d'injection hydroexpansif pour l'étanchement de joints Description du produit Emploi Le système Sika

Plus en détail

Sommaire. Références 138. 8 Le diagnostic gaz - Sommaire. Le diagnostic gaz - Sommaire

Sommaire. Références 138. 8 Le diagnostic gaz - Sommaire. Le diagnostic gaz - Sommaire Sommaire Chapitre 1. Qu est-ce qu une installation gaz? 10 Généralités 11 1.1 Comment ça marche? 12 1.2 Définitions 14 1.3 Les appareils 19 Chapitre 2. Les tuyauteries fixes 28 Généralités 29 2.1 Tuyauteries

Plus en détail

Innovations Majeures de la Version 4

Innovations Majeures de la Version 4 Innovations Majeures de la Version 4 Un nouvel environnement SIG avec de puissants outils graphiques. De nouveaux moteurs hydrologiques et hydrauliques plus sûrs et plus performants. De nouveaux modes

Plus en détail

Tout connaître. sur l assurance et les dommages causés par l eau

Tout connaître. sur l assurance et les dommages causés par l eau Tout connaître sur l assurance et les dommages causés par l eau Les dommages causés par l eau : première cause de réclamation en assurance habitation Les dommages causés par l eau représentent environ

Plus en détail

5 STATIQUE. 5.1 Généralités

5 STATIQUE. 5.1 Généralités 5.1 Généralités 5.1.1 Introduction Pour remplir sa mission en tant que conduite d'évacuation il faut qu'une conduite réponde également aux exigences de statique. La statique possède une influence sur le

Plus en détail

N09 Viaduc de Chillon

N09 Viaduc de Chillon Département fédéral de l'environnement, des transports, de l'énergie et de la communication DETEC Office fédéral des routes N09 Viaduc de Chillon Solution innovante en relation avec la RAG Conférence JERI

Plus en détail

Séparateurs d huile/eau

Séparateurs d huile/eau Les Systèmes Customeng, Conception, R&D et manufacturier d équipements spécialisés 10717 Rue Waverly, Montréal, Québec, H3L 2W7, T : 514331-5121, F : 514-331-5292 Séparateurs d huile/eau Préparé par: Gilles

Plus en détail

LES DTU PLOMBERIE SANITAIRE

LES DTU PLOMBERIE SANITAIRE Roger Cadiergues MémoCad ns03.a LES DTU PLOMBERIE SANITAIRE SOMMAIRE ns03.1. Le cadre DTU plomberie ns03.2. Le cadre du DTU 60.1 actuel ns03.3. L application du DTU 60.1 actuel ns03.4. Le cadre du DTU

Plus en détail

SOFI Gestion+ Version 5.4. Echanges de données informatiques Spicers Sofi gestion+ Groupements. SOFI Informatique. Actualisé le 10.09.

SOFI Gestion+ Version 5.4. Echanges de données informatiques Spicers Sofi gestion+ Groupements. SOFI Informatique. Actualisé le 10.09. SOFI Gestion+ SOFI Informatique Version 5.4 Echanges de données informatiques Spicers Sofi gestion+ Groupements Actualisé le 10.09.2004 Table des matières 1. Catalogue et tarifs... 4 1.1 Définition EDI...

Plus en détail

COMMUNE de SAINT-ROCH MARCHE PUBLIC DE TRAVAUX. Passé selon une procédure adaptée en application des articles 26 et 28

COMMUNE de SAINT-ROCH MARCHE PUBLIC DE TRAVAUX. Passé selon une procédure adaptée en application des articles 26 et 28 COMMUNE de SAINT-ROCH MARCHE PUBLIC DE TRAVAUX Passé selon une procédure adaptée en application des articles 26 et 28 Du Code des Marchés Publics CAHIER DES CHARGES TECHNIQUES PARTICULIERES C.C.T.P FOURNITURE

Plus en détail

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti .0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des

Plus en détail