PREMIER BILAN DU FORUM MONDIAL DE LA NATURE 2012 (6-11 septembre 2012) (première partie du 5 ème Congrès mondial de la nature)
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- Gabrielle Simoneau
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1 PREMIER BILAN DU FORUM MONDIAL DE LA NATURE 2012 (6-11 septembre 2012) (première partie du 5 ème Congrès mondial de la nature) Vous trouverez ci-dessous un premier bilan des événements du forum mondial de la nature, suivis par l équipe du Comité français de l UICN, sur les principales thématiques de notre programme. Aires protégées Parce qu elles contribuent à la préservation du «capital naturel», les aires protégées constituent un des outils fondamentaux pour relever les défis mondiaux des changements climatiques, de la lutte contre pauvreté, de la sécurité alimentaire et de la croissance verte. Pour ce faire, les participants ont rappelé la nécessité d assurer leur bonne gestion conformément aux objectifs d Aichi et de mieux communiquer auprès des populations sur leur multifonctionnalité, au-delà de leur objectif premier de conservation de la biodiversité. Les principales thématiques abordées pendant le forum ont donc porté sur les changements globaux, le renforcement de l efficacité de gestion, le développement des aires marines protégées, les modes de gouvernance et le renforcement de la convention du patrimoine mondial. Ces thématiques ont été abordées dans 75 évènements (ateliers, campus de la conservation, café des connaissances, posters). Jeju a également été l occasion d échanger sur les thématiques du prochain congrès mondial des parcs (2014). L UICN a joué un rôle pionnier dans la reconnaissance du rôle des aires protégées comme outils d adaptation et d atténuation des changements climatiques. Plusieurs cas d intégration réussie des changements climatiques dans la planification et la gestion des aires protégées ont été présentés, avec des degrés variables selon les pays. Au Kenya, les aires protégées constituent des zones tampons pour les populations locales confrontées à l intensification des épisodes de sécheresse, et leur dégradation impacte fortement leur potentiel d adaptation écosystémique (EbA). Aux Etats-Unis comme au Canada, l intégration se limite à une reconnaissance du rôle des aires protégées dans les rapports nationaux des Conventions de Rio (UNFCC, CDB) mais elle tarde à se concrétiser à l échelle locale. En revanche, plusieurs pays latino-américains dont le Mexique et plus encore la Colombie ont défini des plans spécifiques de gestion adaptative, incluant principalement des actions de restauration écologique. Le secrétaire exécutif de la Convention sur la Diversité Biologique a rappelé que seulement 24% des aires protégées au niveau mondial sont considérées comme étant bien gérées. Parallèlement au développement surfacique des aires protégées (actuellement, 12,7% de la superficie terrestre et 1,6% du domaine marin sont protégés selon les données actualisées et présentées dans le nouveau rapport «Planète protégée / Protected Planet»), l efficacité de la gestion apparaît comme une priorité à l échelle internationale. L UICN a développé de nombreux outils de référence dont les retours d expérience ont fait l objet de plusieurs ateliers et campus de conservation : (a) le processus d assignation des catégories de gestion, qui dispose désormais de lignes directrices adaptées au domaine marin ; (b) un cadre méthodologique d évaluation de l efficacité de gestion, appliqué avec succès en Colombie, en Corée, dans la réserve des Galapagos, en Afrique, en Inde pour les réserves de tigres ; (c) la liste verte des aires protégées, qui vise à améliorer les critères de gestion conformément à l objectif n 11 d Aichi, de mesurer et de reconnaître les progrès réalisés, et de partager les bonnes
2 pratiques. Cette méthodologie, qui fait l objet d études pilotes en Colombie et en Inde, sera validée officiellement en La France est intégrée au panel des prochains pays pilotes. Le Congrès a également été l occasion de rappeler la nécessité de diversifier les structures de gouvernance des aires protégées, en assurant notamment une plus grande intégration des populations locales et autochtones dans toutes les étapes de leur développement, et en reconnaissant légalement les aires de gestion communautaire (ICCA). La célébration du quarantième anniversaire de la Convention du patrimoine mondial a permis d engager une réflexion sur les évolutions négatives observées au cours de dernières années concernant la politisation des procédures de nomination. L UICN doit contribuer à préserver la crédibilité du processus du patrimoine mondial, qui consacre les sites les plus emblématiques à l échelle internationale. Parmi les pistes envisagées au cours des échanges, il a été recommandé de réviser les critères de sélection, de s assurer de l intégrité des processus d évaluation et de contribuer plus fortement au renforcement de la gestion des sites. Les autres propositions sont : - mobiliser l ensemble du réseau UICN et en particulier les bureaux régionaux et les comités nationaux - pour organiser un suivi proactif de l état de conservation des sites - mieux intégrer les populations locales, en reconnaissant l apport des connaissances traditionnelles dans la gestion (exemple du projet COMPAC financé par le GEF) - restaurer l importance de la préservation et en faire la raison d être de la convention. Jeju a également été l occasion d annoncer officiellement, en présence du Secrétaire exécutif de la CDB, la tenue du prochain Congrès mondial des parcs, qui aura lieu à partir du 12 novembre 2014 à Sydney (Australie). Gestion des écosystèmes Concernant les services écologiques, plusieurs pays travaillent déjà sur la thématique des services écologiques et leur intégration dans les politiques. En Afrique du Sud par exemple, une étude a permis d évaluer l état des services de régulation de la qualité de l eau de différentes parcelles cultivées et d estimer si ces services étaient suffisants pour les habitants du territoire (eau potable de qualité) ; des propositions ont été faites pour mettre en place des mesures incitatives ou des législations pour garantir ce service. Un autre exemple concerne Fidji où les entreprises privées de tourisme financent les communautés locales pour maintenir une rivière de bonne qualité. Aux Etats- Unis, le service des forêts a déjà mis en place un système de paiement pour service écologique concernant la forêt et son bénéfice sur la qualité de l eau. Une priorisation des territoires à protéger pour la ressource en eau a été faite sur SIG grâce au croisement de nombreuses bases de données. Un atelier sur la prise en compte des services écologiques dans l aménagement du territoire a permis d appréhender la méthode développée par la GIZ (agence de coopération allemande). Celle-ci se décompose en 6 phases : définir la portée et le contexte, identifier et prioriser les services écologiques, identifier l état des services et leurs évolutions, connaitre le contexte institutionnel et culturel, proposer des options d aménagement différentes et un cadre législatif adapté, mettre en place des changements. L évaluation économique des services écologiques a été inclue comme un élément permettant d appuyer un changement de paradigme vis-à-vis des élus et décideurs. Concernant la liste rouge mondiale des écosystèmes, depuis 2009, 18 projets ont testé dans le monde la méthode élaborée pour constituer la liste rouge des écosystèmes. Parmi les écosystèmes évalués, on peut citer les lagunes en France, les milieux aquatiques en Afrique et tous les écosystèmes aux Etats-Unis. La présentation de plusieurs études de cas a permis de montrer que ce concept est applicable et réalisable à diverses échelles et pour différents écosystèmes. Combinée avec la liste rouge mondiale des espèces, cette liste permettra de mieux évaluer l état de la biodiversité et les menaces qui pèsent sur elles. Les prochaines étapes consistent en la poursuite des projets tests afin d aboutir à une méthode robuste et de pouvoir mettre en place la liste rouge des écosystèmes dans le monde entier. Les objectifs de cette liste sont aussi d être pris en compte dans des domaines extérieurs à la conservation de la biodiversité, et pour ce faire, la notion de services écosystémiques, intégrée dans la méthodologie, est importante. Enfin les points principaux qui ressortent des discussions et sur lesquels la commission gestion des écosystèmes souhaite approfondir son travail sont les suivants : créer des liens plus forts entre les
3 différentes commissions et produits de connaissance (liste rouge, aires protégées, aires clés pour la biodiversité); prendre en compte les communautés et les populations locales dans les projets et prendre conscience de la dépendance des humains par rapport à la nature. Espèces Les dernières informations livrées par la Liste rouge mondiale des espèces menacées ont été présentées en détails, ainsi que les priorités de connaissance et d action qui en résultent pour les stratégies de conservation au niveau mondial. Avec plus de espèces évaluées ces 4 dernières années ( nouvelles évaluations et réévaluations), la Liste rouge va continuer dans les prochaines années à s étoffer dans toutes les directions, sur les invertébrés, les plantes, les espèces marines ou les champignons en particulier. De nouveaux outils associés à la Liste rouge mondiale ont été développés et seront lancés dans les prochains mois. Ces outils ont été présentés au cours de différents ateliers : - un nouveau système de cartes dynamiques pour visualiser la répartition des espèces en lien avec de nombreuses autres informations, - un outil de recherche spatialisée des espèces (par pays, par aire protégée, par localité ), - un site internet destiné au grand public pour consulter les informations de la Liste rouge à partir d une interface simple et conviviale, - un outil de formation en ligne sur la méthodologie de l UICN pour l évaluation des espèces, - et un nouveau site internet dédié aux résultats des Listes rouges nationales. Au cours de l atelier consacré aux Listes rouges nationales, co-organisé avec le Comité français, l UICN a mis en avant l importance de poursuivre le développement des Listes rouges dans tous les pays, pour appuyer les politiques nationales et atteindre l objectif 12 d Aichi. Rappelant leur engagement à soutenir le développement de ces listes sur la base de la méthodologie de référence, l UICN et son Groupe de spécialistes des Listes rouges nationales se mobiliseront dans les quatre ans à venir pour renforcer l appui global apporté aux projets nationaux. Parmi les événements sur les espèces exotiques envahissantes, la réunion co-organisée par le Groupe de spécialistes des espèces envahissantes et le Comité français de l UICN était consacrée à la gestion des invasions biologiques dans les aires protégées et les sites du Patrimoine mondial. Au vu de l importance de l enjeu, les participants ont conclu à la nécessité de compléter les lignes directrices existantes sur ce sujet. En première étape, un guide sera réalisé dans les deux ans à venir, alimenté notamment par les informations et les expériences tirées des collectivités françaises d outremer. Au rang des arguments en faveur des espèces, le rapport «Priceless or worthless?», présenté lors du Congrès et publié par la Société Zoologique de Londres et l UICN, a plaidé pour une position morale claire : si les arguments utilitaristes peuvent se révéler très utiles, ils viennent en complément d arguments éthiques à maintenir au premier plan. En résumé, selon le rapport, «nous avons besoin d'une société qui souscrive à la position éthique voulant que toutes les espèces ont le droit inhérent d'exister». Politiques de la biodiversité Les événements avec le secteur privé et concernant le sujet de la biodiversité et de l économie ont été très présents pendant le Forum (1 pavillon économie et biodiversité, 1 journée business, des dizaines d ateliers, des cafés des connaissances, des stands d entreprises ), notamment grâce à la collaboration entre l UICN et le WBSCD (World Business Council for Sustainable Development). Plusieurs entreprises du WBCSD sont venues montrer leurs actions en faveur de la biodiversité et la réduction de leurs impacts. Elles demandent à ce que les autres entreprises qui ne font pas encore bien les choses, les suivent pour avoir un mouvement beaucoup plus large. Le WBCSD demande pour cela l appui de l UICN afin d influencer les Etats à prendre des décisions renforçant les exigences de prise en compte de la biodiversité par les entreprises, ainsi qu à harmoniser les normes et standards dans tous les pays. La nécessité de développer le système de paiement pour services écosystémiques (PES) a aussi été souligné à plusieurs reprises.
4 La table-ronde organisée par le Comité néerlandais de l UICN, avec la collaboration du Comité français, a souligné l importance et la nécessité de travailler davantage avec le secteur privé selon différentes modalités (plateforme, convention de partenariat, expertise ) en fonction des entreprises (multinationale, PME, entreprise avec impacts directs/indirects, entreprises engagées pour la biodiversité / mise en conformité avec la réglementation, association d entreprises) et des entités du réseau de l UICN. Concernant la compensation pour les atteintes à la biodiversité, les débats ont permis de conforter les positions de l UICN France dans son étude sur la compensation : participation des parties prenantes, additionalité, évaluation des mesures compensatoires, pérennité, respect du tryptique éviter/réduire/compenser, pas de perte nette de biodiversité. Les points à approfondir sont également similaires : compensation à l identique, question des ratios, compenser un habitat alors que c est une espèce qui a été détruite? quel état zéro? compensation à proximité ou pas? Une motion demande la création d un groupe de travail afin que l UICN adopte une politique/position (avec des normes) sur la compensation pour les atteintes à la biodiversité. Un dialogue des Leader mondiaux sur «Nature + développement : croissance verte, mythe ou réalité?» était aussi un des temps forts du forum. Concernant les collectivités locales, très peu de collectivités étaient présentes au congrès à l exception de la France (Ile-de-France, PACA, Aquitaine, ARF), Espagne (Catalogne) et de la Corée du Sud (Province de Jeju). L atelier sur la collaboration entre les collectivités territoriales et l UICN pour répondre aux enjeux de la biodiversité a permis de montrer la diversité des initiatives déjà existantes (support de la CDB, projets de l UICN Europe, actions LAB de ICLEI, travaux de la WCPA sur les aires protégées péri-urbaines, travaux de l UICN France ). Les expériences présentées par les collectivités territoriales (Ile de France, PACA, Aquitaine, Catalogne, ARF) et les besoins qu elles ont exprimées ont clairement montré que le renforcement de la collaboration entre les différentes entités de l UICN (secrétariat, membres, comités nationaux, bureaux régionaux) était nécessaire. C est l objet d une motion du Comité français et d une proposition d amendements aux statuts qui ont commencé à être discutées. Coopération internationale Un événement francophone a été organisé par les Comités français et néerlandais de l UICN, le Critical Ecosystem Partnership Fund et la Fondation MAVA pour favoriser les échanges entre les membres francophones de l UICN présents à Jéju. Le Chef de la délégation française, le Secrétaire Général du Fonds Français pour l Environnement Mondial étaient présents ainsi que des représentants des gouvernements africains et d institutions et acteurs clé comme l Institut Congolais de Conservation de la Nature de la RDC. La soirée a été l occasion de rappeler aux participants l existence de ces quatre sources de financement pour la société civile des pays francophones, en particulier celle d Afrique francophone, très représentée au Congrès. Les ONG de l Ouest et du Centre du continent ont pu rencontrer et échanger avec celles de l Est et du Sud pour partager leurs pratiques et leçons apprises dans la mise en œuvre des projets, tels que ceux financés par le Programme de Petites Initiatives. La présence au Congrès de plusieurs ONG bénéficiaires des fonds du FFEM a permis de faire le point sur les difficultés rencontrées et les avancées de chaque projet. Des ateliers ont concerné la faune sauvage (atelier sur l établissement d un nouvel outil de wildlife management proposé par la CBD et atelier sur le braconnage des éléphants en Afrique de l ouest et centrale, 9 septembre). Les récentes attaques portées à la faune du Parc National de Bouba-N Djida en mars 2012 au Cameroun ne sont pas un cas isolé : l Afrique de l Est et du Sud sont en moindre mesure mais tout aussi touchées menaçant encore plus l état des populations d éléphants africains. En effet, l ivoire est aussi exporté des pays de cette région vers l Ethiopie, plaque tournante du commerce de l ivoire qui part par voie aérienne ou terrestre vers Djibouti puis par la mer, vers les marchés asiatiques, un commerce géré par les mêmes réseaux criminels que ceux de la drogue, des armes Pour mettre un terme au braconnage, les systèmes d alerte actuels, les réseaux d information et monitoring tels que TRAFFIC sont utiles mais doivent être accompagnés par le
5 renforcement des moyens mis à disposition des gardes des parcs et par une meilleure coopération avec les opérateurs touristiques et de chasse ; surtout, seul un engagement politique précis et fort des services des douanes éthiopiennes et des autres pays concernées décidés à stopper ce commerce pourra arrêter ce fléau. Des échanges ont aussi eu lieu entre ONG et bailleurs. Des ONG venues d Arménie, Pakistan, Ouganda, Bangladesh et Cuba ont échangé sur les difficultés rencontrées dans le reporting, l évaluation des impacts des petits ou grands projets sur la biodiversité et le renforcement des capacités que ce soit au niveau des individus ou des organisations bénéficiaires des subventions. Des échanges ont aussi eu lieu sur les actions et stratégies des fondations philanthropiques œuvrant pour la conservation. Le «Consultative Groupe on Biological Diversity» financé par USAID regroupe 120 fondations qui échangent sur leurs modes opératoires. 3 axes ont été proposés pour le futur pour intervenir en Afrique : marché du carbone, migrations (dues aux sécheresses, conflits), culture (préservation des savoirs traditionnels). Etaient présentes la Fondation Christensen Fund, MAVA, Good Energies Foundation, Synchronicity Earth, Mohamed bin Zayed Foundation, Biolab Foundation and Ivey Foundation. Enfin, un atelier présentant les résultats de l accord cadre France/UICN, suivi d un débat sur la crise de la biodiversité en Afrique, a été organisé par le gouvernement français et le secrétariat de l UICN. Cela a été l occasion de discuter des problèmes rencontrés et d identifier les solutions les plus appropriées, en soulignant l importance des petites initiatives portées par les ONG locales.
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