Thème. Les effets envisageables de la hausse du prix du pétrole

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1 1 Thème Les effets envisageables de la hausse du prix du pétrle Après une baisse des prix du pétrle au premier semestre jusqu'à $ (firent sl t), l'année 19 a été marquée par leur remntée en deux temps : d'abrd un palier à 1 $ suite à la cnférence des membres de l'opep de fin juillet ; puis une rapide mntée d'aût à ctbre suite à l'invasin du Kweit par l'irak avec un prix myen de 3 $ en ctbre. L'évlutin de cette crise est délicate à prévir : la plupart des instituts retiennent cependant, cmme l'insee, un retur des prix du pétrle vers un niveau de l'rdre de 5 $ curant 1991 cmpte tenu du ralentissement de la demande et des hausses de prductin de certains pays. En tute hypthèse, l'année 1991 v,, s'uvrir sur des prix du pétrle plus élevés que l'année 19 : il a paru utile dc: revenir ici sur les cnséquences de cu renchérissement. Les deux études présentées utilisent des travaux réalisés à la demande du "Grupe anti-crise" lancé par le Premier ministre en aût dernier ainsi que des analyses macr- écnmiques déjà publiées par l'insee (cf la bibligraphie placée à la fin de ce thème). Le but visé n'est pas de faire euvre riginale mais plutôt d.; rappeler les éléments dispnibles puv.nt cntribuer à la synthèse cnjncturelle publiée dans cette Nte de Cnjncture. Dans "Les chcs pétrliers : l'expérience du passé", Eric CHANEY* mntre que le chc pétrlier de 1973 a eu un ir.-pact sur le revenu natinal très différant d'un pays imprtateur de pétrle à l'autre : à un extrême, le Japn pâtissait de sa frte dépendance pétrlière et d'une baisse de sa mnnaie, tandis que la RFA bénéficiait grâce à sn charbn d'un tux de dépendance énergétique mdéré (que la France n'a pu atteindre qu'aujurd'hui par le nucléaire), et limit<<it le renchérissement de ses achats d'énergie par une appréciatin du Mark. Les impacts du deuxième chc pétrlier nt été mins vilents et plus hmgènes entre pays. Japn et RFA nt eu une caractéristique cmmune en ce qui cncerne les effets inflatinnistes du secnd chc pétrlier : l'augmentatin des prix a pu être limitée à l'impact mécanique de la hausse des prix pétrliers parce que les salaires nminaux nt été peu, vire pas du tut relevés. La France s'est distinguée de ces deux pays par une évlutin des salaires réels peu ralentie à curt terme, cnduisant à une diminutin durable du taux de marge et de l'investissement des entreprises. L'étude se termine sur un tableau du cas présent plus favrable : les pays dévelppés snt devenus plus écnmes en énergie ; tutefis les Etats-Unis suffrent de la baisse de leur prductin natinale du pétrle. Ensuite, les entreprises eurpéennes nt retruvé une situatin financière slide et les liens directs entre prix et salaires nt été affaiblis. Par cntre, le pids de la dette, publique dans la plupart des pays de l'ocde a réduit leurs marges de maneuvre. Les écnmies les plus tuchées purraient cependant être celles des pays en dévelppement nn pétrliers et d'eurpe centrale en raisn de la frte intensité énergétique de leurs écnmies. Seln la même prblématique, Jean BENSAII)* analyse "L'impact sur l'écnmie française en d'une hausse de 5 % des prix du pétrle" à l'aide des mdèles macr-écnmétriques de l'insee. L'effet inflatinniste peut varier frte- * ~ lépartement de la Cnjncture NOTE DE CONJONCTURE DE L'INSEE. DECEMBRE 19 * Jépartement des Etudes écnmiques d'ensemble 11

2 ment (entre un demi pint et un pint de hausse des prix supplémentaire) seln le degré de flexibilité des salaires : si l'affaiblissement du lien entre les salaires et les prix cnstaté en France depuis 1983 prévalait, la sensibilité inflatinniste de ntre écnmie serait réduite et se rapprcherait de celle mise en évidence dans l'étude précédente pur le Japn et la IRA. La prbabilité de cette hypthèse stra d'autant plus grande que les entreprises pincernt leurs marges afin de préserver leurs parts de marché. Parallèlement à ces effets macr-écnmiques, le relèvement du prix du pétrle cnduit à des phénmènes de substitutin qui snt peu sensibles à curt terme et qui ne snt que très partiellement pris en cmpte par les mdèles utilisés. Les parts respectives des anticipatins de demande et de la prfitabilité dans la déterminatin de l'investissement snt délicates à apprécier (FAZZARI et alii 1988) : plus la prfitabilité est un facteur imprtant, plus la flexibilité salariale est à même de préserver l'investissement à curt terme et la crissance à myen terme et plus, au cntraire, l'absence de flexibilité salariale cnduit à une cntractin de l'activité puvant atteindre plus d'un demi-pint la première année. Les scénaris présentés fnt l'hypthèse que la plitique budgétaire n'est pas rendue plus restrictive : maintien de l'évlutin en termes réels des dépenses. Par cntre ils suppsent que la plitique mnétaire n'est pas accmdante : hausse dus taux d'intérêt nminaux laissant la hausse des taux réels inchangée. Cet ensemble de mesures de plitique écnmique vise à ne pas accentuer l'impact rccessif du relèvement des prix du pétrle tut en limitant les anticipatins inflatinnistes. Le ralentissement de l'activité dégrade dnc le slde budgétaire, mais minre la détériratin du slde extérieur en diminuant le déficit hrs énergie. La hausse récente des prix du pétrle ne cnstitue pas la seule altératin de ntre envirnnement écnmique : la baisse du Dllar par rapprt aux mnnaies du SME et le ralentissement de l'écnmie mndiale amrcés en 1989 cnstituent des difficultés pur l'eurpe vis-à-vis desquelles la crise du Glfe a pu juer le rfle de révélateur tut en accrissant l'incertitude. L'ampleur de ce ralentissement dépendra en particulier de l'investissement ; celui-ci serait d'autant plus tr,uchés que les mécanismes d'accélératin j( Lieraient alrs en négatif. Les chcs pétrliers : l'expérience du passé Une augmentatin frte et durable du prix du pétrle cnstitue une mdificatin du prix relatif d'un bien qui est à la fis un facteur de prductin et un bien de cnsmmatin utilisé par les ménages pur leurs transprts et leurs lgements. La thérie écnmique suggère les effets a priri suivants Nature des enchaînements Ce qui les mdule Demande - Baisse des termes de l'échange : Baisse du revenu réel des agents Baisse de la demande intérieure Offre -Renchérissement d'un facteur de prductin : Baisse de la prductin et de l'empli Part des! mprtatins de pétrle dans le PIB, Variatin de change, Cmprtement d'épargne, Intensité pétrlière et énergétique du PIB, Substitutin énergie/capital Mnnaie -Hausse du prix du PIB : Hausse des prix à la cnsmmatin Hausse des taux d'intérêt Baisse de la demande Bucle prix/salaires, Plitique mnétaire, Sensibilité de la demande au taux d'intérêt 1 NOTE DE CONJONCTURE DE L'INSEE. DECEMBRE 19

3 crissaince (Taux de crissance en vlume du PNB/PIB '%) Surce : OCs xvass ^ Dans ce thème, les znes grisées des graphiques désignent les pérides des pétrliers passés. chcs et du cntre-chc Facture pétrlière nette /nopurcentage y du PNB/PIPA 3 1 Surce : AIE, Ocs La facture pétrlière représente les imprtatins nettes de pétrle brut et de prduits raffinés NOTE DE CONJONCTURE DE CONQBD'DDCDMBRE 19 13

4 i Outre les cnditins initiales qui les distinguent lrs d'un chc pétrlier, les écnmies diffèrent par la frmatin des anticipatins, ainsi que par les plitiques écnmiques. Les guvernements peuvent intervenir par leurs plitiques mnétaires et ses effets cmbinés sur le taux de change et les anticipatins inflatinnistes, par leurs plitiques budgétaires et leurs chix fiscaux, qui peuvent mdifier le partage du revenu entre les agents. Une diminutin du revenu natinal La baisse des termes de l'échange se traduit par une baisse du revenu natinal des pays imprtateurs nets de pétrle, au prfit des exprtateurs. Celle-ci se retruve dans l'aggravatin de la facture pétrlière en part de PIB. i Le Japn et la RFA présentent deux situatins extrêmes : lrs des deux chcs pétrliers, la baisse des termes de l'échange a été très frte au Japn et cnsidérablement atténuée pur In P VA. Le schéma est inversé lrs du cntre-chc, mais le cntraste est le même. Plusieurs facteurs expliquent cette ppsitin : tut d'abrd, l' àcnmie japnaise était très dépendante des imprtatins de pétrle, alrs que la Rf A était prductrice de charbn ; le Mark a pu s'apprécier à chaque chc pétrlier, alrs que le Yen s'est déprécié. Ces facteurs snt liés, car les marchés des changes nt pu anticiper la réactin des écnmies en fnctin de leur dépendance pétrlière, et juger que la répartitin gégraphique des imprtatins japnaises augmentait les risques. Enfin, la plitique mnétaire a également eu sn influence : avant même le premier chc pétrlier, la RFA s'était engagée dans une plitique anti-inflatinniste. La Bundesbank a sutenu des taux d'intérêt réels à curt terme psitifs lrs du chc, mrs qu'ils devenaient négatifs dans la plupart des autres pays, sus l'effet de l'inflatin et d'un ajustement seulement partiel des taux nminaux. Termes de l'échange ( : myenne sur la péride) Mrffl m'lm MI Surce : OCDE Les termes de l'échange snt le rapprt des prix à l'exprtatin et à l'imprtatin pur les biens et services 1 NOTE DE CONJONCTURE DE L'INSEE - DECEMBRE 19

5 Taux de change effectif ( : myenne de la péride) 1 Raitunis 1 ~~n ~~ r ~' lm 1 Surce : OCDE Les taux de change effectifs snt les taux de change vis-à-vis des mnnaies des principaux partenaires cmmerciaux de chaque pays. ) Taux d'intérêt réels à curt terme ~ e u ~ y * ~ - - u u ~ -8 Surce : OCDE Les taux dlndrôt à tris snt nets de l'augmentatin des prix à la cnsmmatin NOTE DE CONJONCTURE DE L'INSEE 'D8CEMBR819

6 La baisse ex pst du revenu natinal imputable aux chcs pétrliers dépend de la variatin effective des termes de l'échange, mais aussi de la réactin de l'écnmie réelle : une baisse de la quantité de pétrle imprtée, qu'elle sit due au recurs à d'autres surces d'énergie u à la cntractin de l'activité, atténue la dégradatin du déficit énergétique. Cmparer les baisses de revenu natinal ex ante et ex pst, permet d'apprécier la façn dnt les écnmies nt amrti u amplifié le chc sur les termes de l'échange Impact ex ante des chcs pétrliers sur le revenu natinal et résultat ex pst (en % du PNB/PIB) Hausse du prix du pétrle en $ +5% + 1 ex ante ex pst ex ante ex pst Etats-Unis -1, -1, -,9-1, Japn -5, -5,3 -, -3,5 RFA -,1 -,8-3,7 -, France -. -3,7-3,7 -,8. Surce : OCDE, FMI La variatin ex ante est, au signe près, la part dans le PNB/PIB de l'année de base de l'augmentatin de la facture pétrlière, en suppsant invariants le taux de change vis-à-vis du dllar et la quantité de pétrle imprtée. Le résultat ex pst rapprte la variatin cnstatée de la facture pétrlière au PNB/PIB de l'année de base et prend en cmpte l'ensemble des buclages écnmiques ainsi que les facteurs hrs pétrle Par exemple, la hausse de 5 % du prix du pétrle en dllar imprté par la France entre 197 et 197 aurait représenté, % de sn PIB de 197, si la parité franc-dllar n'avait pas changée, et si les quantités imprtées étaient restées les mêmes. L'augmentatin cnstatée de la facture pétrlière a en fait représenté 3.7 % du PIB de 197. / Prix à la cnsmmatin (Taux de crissance annuel - %) Prix à la prductin (Prduits manuf.taux de crissance annuel - %) Imm 5 France Surce : OCDE, INSEE t 1 NOTE DE CONJONCTURE DE L'INSEE - DECEMBRE 19 I

7 Lrs du premier chc pétrlier, seule la RFA est parvenue à limiter significativement le prélèvement, alrs que la France, dnt la mnnaie s'est dépréciée, et qui ne dispsait pas encre d'énergie de substitutin, l'a aggravé. Lrs du secnd chc, les quatre pays nt nettement. limité le prélèvement. L'impact a cependant été d'autant plus frt que le chc G'" s t prduit à partir d'un niveau de prix relatif auquel les écnmies ne s'étaient cumplétement pas adaptées. L :,s prix et les salaires : inflatin persistante en France, rv.pidement maîtrisée en RFA et au Japn L'augmentatin des prix d'imprtatin cnsécutive à la hausse du prix du pétrle affecte directement les entreprises, dnt le prix des cnsmmatins intermédiaires s'accrît. A très curt terme, lrs des chcs pétrliers passés, une augmentatin du prix des autres matières premières a amplifié cet effet. Pur éviter de perdre des parts de marché, et sus la pressin de la cncurrence, les entreprises ne répercutent que partiellement la hausse des cûts sur leurs prix de vente. Dans un premier temps, l'inflatin cnstatée par les cnsmmateurs est amrtie par le cmprtement de marge de entreprises et, éventuellement, par la fiscalité indirecte. Par la suite, le lien entre le prix et les salaires devient déterminant clams l'évlutin des prix : une frte indexatin des salaires et la diffusin d'amie ;pari 'n' inhilinnistes (qui peuvent trf' ni iplifiées par des anticipatins de dévaluai i' 'n u, : ni nt les cûts de prductin -I se cumulent à l'effet mécanique de la perte de ternies de l'échange pur entretenir d irablement la hausse des prix. La hausse des prix de prductin a dépassé % lrs du premier chc pétrlier, sauf en RFA ù l'appréciatin du Mark limita l'inflatin imprtée. Les différences de réactin snt apparues lrs du secnd chc : l'inflatin était revenue à un niveau reltivement bas en RFA et au Japn, et sn augmentatin fut mdérée. Dans ces deux pays, l'évlutin des salaires nminaux est restée à peu près stable lrs du secnd chc, permettant ainsi de limiter l'augmentatin des prix à l'impact mécanique de la h usse de prix des prduits pétrliers. Dans les deux cas, le rôle des syndicats et la Etats-Unis Taux de salaire réel (Evlutin en myenne annuelle - %) ---- v wlslll wi - 1 R.F.A. 8 - Surce : OCDE, INSEE Le taux de salaire est crrigé de l'évlutin des prix à la cnsmmatin. Cncernant la RFA, la frte crissance en 19 crrespnd à un rattrapage des salaires cmparable à celui de 198 en France ; la crissance devrait être de, % en 19. NOTE DE CONJONCTURE DE L'INSEE - DECEMBRE 19 17

8 i 1 prise en cmpte d'bjectifs de myen terme dans la plitique cntractuelle permettant de cmprendre la sagesse des salaires. Le puvir d'achat des salaires s'en est truvé temprairement affecté, mais a pu reprendre assez rapidement sa prgressin. En revanche, en France, l'arbitrage a été favrable dans un premier temps aux salaires, frtement indexés sur les prix, et défavrable aux entreprises. La rupture dans le mécanisme d'indexatin est intervenue après le changement de plitique écnmique de Un impact durable sur la situatin financière des entreprises. Les situatins initiales des quatre pays au début des années 19 se distinguent nettement : la part des salaires dans le revenu primaire était très faible au Japn, et ei curs d'ajustement à la hausse. Elle était la plus élevée aux Etats-Unis. Le premier chc pétrlier a amplifié la dégradatin du taux de marge des entreprises ae Japn, et l'a prvqué en France, ù les salaires réels cntinuaient à crître. Le secnd chc a cmprimé à nuveau le taux de marge des entreprises, de façn plus prnncée en RFA. Taux de marge des entreprises (%) t France Surce : OCDE Le taux de marge est défini cmme l'excédent brut d'explitatin rapprté à la valeur ajutée. Les champs cuverts diffèrent seln les pays. Les niveaux ne snt dnc pas cmparables. A nuveau, la spécificité de la France est manifeste : alrs que le taux de marge sr stabilisait u se redressait rapidement après les chcs pétrliers aux Etats-Unis u en RFA, il restait nettement en dessus de sn niveau de 19 jusqu'au cntre-chc pétrlier en France. L'investissement s'est truvé durablement affecté ne bénéficiant ni de la reprise mndiale de 197, ni de celle de 198. La situatin financière des entreprises s'est amélirée dans tus les pays à la suite de la baisse du prix du pétrle de 198, mais ne s'est traduite qu'en France par un relèvement significatif du taux de marge, crllaire de sa frte dégradatin de 19 et NOTE DE CONJONCTURE DE L'INSEE. DECEMBRE 19

9 Investissements des entreprises (Crissance annuelle en vlume - %) Surce : OCDE Une adaptatin de l'empli plus rapide à l'étranger qu'en France. La baisse d'activité qui a suivi les deux chcs pétrliers, due à une demande mins frte et à une cntractin de l'ffre rentable, a entrainé dans tus les pays une détériratin de l'empli et une augmentatin du chômage, à l'exceptin du Japn, dnt le marché de l'empli est structurellement très différent de ceux des autres pays industrialisés. Les situatins initiales étaient cependant très différentes pur le premier et le secnd chc : en 1973, les écnmies étaient prches du plein empli. Les plitiques écnmiques tentèrent alrs de cmpenser la détériratin de l'empli eïi stimulant la dépense publique aggravant par la même l'inflatin et l'équilibre extérieur dans les pays à frte indexatin des salaires sur les prix. A cntrari, le secnd chc a été suivi de plitiques mnétaires restrictives, qui nt favrisé l'ajustement et cntraint la crissance mndiale. Les plitiques budgétaires nt divergé : la France a pratiqué une plitique de relance budgétaire en , alrs que ses partenaires réduisaient leurs déficits. En revanche, lrsque l'augmentatin des d,'penses militaires et la baisse du taux d'impsitin aggravèrent le déficit public américain et stimulèrent l'écnmie américaine en , la plitique budgétaire de la France prenait l'rientatin ppsée. L'écnmie française a été ainsi plus lngue à s'ajuster que celles de ses partenaires : la reprise de l'empli n'a été significative qu'après le cntre-chc pétrlier de 198, à la différence des tris autres pays. En cnséquence, le taux de chômage a augmenté régulièrement jusqu'en 1987, alrs qu'il diminuait après les récessins de 1.9 et de aux Etats-Unis et en RFA. NOTE DE CONJONCTURE DE L'INSEE - DECEMBRE 19 19

10 (Taux de crissance annuel - %) * u wàl m! v - - m Frame - - Surce : Ocs Taux de chômage (myenne amuit - 1 Etats-Unis 1 Japn France 1 RF.A P.pM'» u u Surce : OCDE (taux de chômage standardisés) NOTE DE CONJ8NCRI8DD[N888'D8CDMBR8l9

11 Excédent u déficit public (en purcentage du PNB/PIB) I l I - France. Une J i i Surce : OCDE, INSEE Le terme public désigne l'ensemble des administratins publiques, centrales et lcales 19 versus 1973/1979 : une situatin plus saine, mais de nuveaux risques. Plusieurs pints distinguent la situatin actuelle des écnmies des grands pays industrialisés de ce qu'elle était lrs des précédents chcs pétrliers. Tut d'abrd, leur dépendance vis à vis du pétrle s'est réduite : malgré le dublement du prix relatif du p.'trle entre 197 et le premier semestre de 19, la part des imprtatins nettes de pétrle dans le PIB de la France u de la RFA était en 1989 la même qu'en 197, d'envirn 1 et même réduite de mitié au Japn. Seuls les Etats-Unis snt dans une situatin de plus frte dépendance, en raisn du déclin de leur prductin intérieure. L«impact sur les termes de l'échange de la hausse actuelle est plus faible que lrs du secnd chc, même dans un scénari ù le prix du pétrle mnterait à $, et a frtiri pur une augmentatin de 5 %. Impact ex-ante sur le revenu natinal d'une hausse du prix du pétrle en purcentage de PIB Hausse du prix du pétrle* en $ Etats-Unis Japn RFA France Ryaume-Uni % -1, -5, -,1 -, -3, % -,9 -, -3,7-3,7-1, % -,5 -, -, -, +,1 Surce : FMI Wrld Ecnmic Outlk Octbre 19 * La hausse du prix du pétrle en $ de + 5 % sur la péride crrespnd au chiffre retenue cmme hypthèse cnventinnelle dans ce thème. NOTE DE CONJONCTURE DE L'INSEE - DECEMBRE 19 1

12 D'autre part, la cnsmmatin d'énergie par unité de PIE a cnsidérablement diminu1é, grâce à la substitutin capital/énergie massive qui suivit le secnd chc Cnsmmatin d'énergie par unité de PNB/PIB (en %) Etats-Unis,7,,9,8 Japn,8,5, 1,8 RFA 3,8 3,5 3,1.7 France 3,5 3..8, L. Surce : FMI Wrld Ecnmic Outlk Octbre 19. Les ratis snt calculés sur les vlumes aux prix de 1989 Les marchés du travail nt évlué vers une plus grande utilisatin de persnnels qualifiés. Le lien entre salaires et prix s'est relâché, et les entreprises eurpéennes nt en général retruvé une situatin financière slide. Le chc inflatinniste purrait dnc rester du même rdre que l'effet mécanique asscié à la hausse du prix du pétrle. De plus, l'écnmie mndiale est depuis 1989 dans une phase de ralentissement. La crissance en vlume du PNB mndial est passée de,1 % en 1988 à 3, % en 1989 et se situerait à, % en 19. Ce ralentissement est particulièrement prnncé aux Esats-Unis et au Ryaume-Uni. Les chcs pétrliers passés snt survenus dans des phas(es de haute cnjncture, ù, précisément, la demande crissante de pétrle avait c induit à la saturatin des capacités de prductin des prducteurs d'appint de la péninsule arabique. La tensin apparue sur le marché du pétrle au curs de l'hiver était transitire, étant dnnées les capacités de prductin inemplyées de 1' 8irabie Saudite. En revanche, les déficits publics mesurés en part de PIB se snt frtement accentués dans la plupart des pays de l'ocde et snt rendus plus inertes par le pids de la dette publique. Les déséquilibres extérieurs tendent à se réduire depuis deux ans, sus l'effet des ajustements de taux de change et de la crissance de la demande intérieure jp.,,)naise, mais restent plus prnncés qu'au début des années 19. Enfin, les taux d intérêts réels snt à un niveau histriquement élevés, et purraient même encre crître, les plitiques mnétaires demeurant en général anti-inflatinnistes et le besin dp financement de l'eurpe de l'est impliquant une frte sllicitatin de l'épargne m~jndiale. Actuellement, un chc pétrlier durable tucherait bien plus durement les pays en dévelppement nn exprtateurs de pétrle, dnt l'industrialisatin se traduit par une cnsmmatin d'énergie par unité de P1B crissante, et les pays d'eurpe centrale, dr - rrt le niveau de cnsmmatin spécifique est très élevé, et qui divent désrmais payer leurs imprtatins de pétrle en devises frtes. L'effet en retur sur les pays industrialisés est défavrable : mindre demande extérieure -réduisant l'effet psitif d'un surcrît de demande en prvenance des pays exprtateurs de pétrle- situatins dt. cessatin de paiement aggravant les tensins sur le système financier, et pressin à la hausse sur les taux d'intérêt. NOTE DE CONJONCTURE DE L'INSEE - DECEMBRE 19

13 L'impact sur l'écnmie française en 1991 d'une hausse du prix du pétrle de 5 On a simulé à l'aide des mdèles écnmétriques natinaux dispnibles** à l'insee les cnséquences à l'hrizn d'un an d'une hausse de 5 h, du prix du pétrle imprté par la France. Le renchérissement de l'énergie affecte les autres cmpsantes de l'envirnnement internatinal de l'écnmie française : le PIB étranger et la demande mndiale baissent de, pint par rapprt à la simulatin de référence, tandis que les prix étrangers augmentent de, pint. Les résultats quantifiés des simulatins snt exprimés, sauf mentin cntraire, en écart par rapprt à une simulatin de référence avec indexatin cmplète des salaires sur les prix, sans hausse du prix du pétrle ; les taux de change snt suppsés inchangés. L'impact inflatinniste dépend des cmprtements d'indexatin Un renchérissement de 5 % du pétrle peut exercer dès la première année un impact inflatinniste ntable sur l'ensemble des prix français. Au delà de l'effet mécanique de la hausse des prix du pétrle, le surcrît d'inflatin dépendra fndamentalem :'nt des mécanismes d'indexatin des salaires et du cmprtement de marge adpté par les entreprises pur la fixatin de leurs prix. De plus, le renchérissement de l'énergie se traduit par une mdificatin de la structure des prix relatifs entre les prduits, qui peut engendrer des cmprtements de substitutin à plus u mins lng terme. La hausse des prix du pétrle se transmet directement (au prrata de la part des prduits pétrliers dans le ttal des imprtatins) aux prix d'imprtatin, puis aux prix des divers emplis de la prductin et ntamment aux prix des cuiismmatins interméd'aires et finales. Puis les mécanismes d'indexatin des salaires aux prix de cnsmmatin et de fixatin des prix de prductin par les entreprises entrent en jeu : seln le cmprtement des agents et les cntraintes auxquelles ils fnt face, l'impact inflatinniate final sera plus u mins sensible. En effet, dans les simulatins réalisées, les entreprises fixent leur prix en appliquant un taux de marge aux cûts de prductin (cût salarial et cût des cnsmmatins intermédiaires). Mais le taux de marge est lui même fnctin d'une cntrainte de demande (résumée par le taux d'utilisatin des caps i,.ités de prductin) et d'une cntrainte financière (à travers le taux d'endettement). P.usieurs hypthèses de frmatin des salaires, crrespndant à différents degrés de rr' actin des salaires aux prix, nt été intrduites dans les simulatins. Dans le scénari de référence, la répercussin de l'inflatin sur les salaires nminaux est cmplète, tut, en intervenant avec retard. Cette hypthèse crrespnd au cmprtement myen bservé en France durant les vingt dernières années. L'impact inflatinniste est alrs prche de un pint au but d'un an. La deuxième hypthèse traduit la mdificatin du cmprtement de fixatin des salaires bservée depuis 1983 dans le sens d'une plus grande flexibilité salariale (BALLE 19). L'élasticité des salcires au prix de la cnsmmatin est alrs réduite, en rupture avec l'indexatin unitaire prévalant lrs de chcs pétrliers précédents. Dans ce cas 1/, l'effet inflatinn=.;te du renchérissement pétrlier est réduit à un demi-pint. Le cmprtement de marge des entreprises est également déterminant pur apprécier le surcrît d'inflatin dû à la hausse des prix du pétrle. Dans un cntexte de ralentissement générai de l'activité et de la demande mndiale, les entreprises des scr.teurs les plus expsés à la cncurrence (industrie manufacturière) suhaiteraient maintenir leur vlume de ventes sur les marchés intérieurs et extérieurs, c'est-à-dire cmprimer leurs marges, plutôt que de répercuter rapidement la hausse du cût de l'énergie dans leurs prix, au risque de perdre des parts de marché difficilement acquis(s. C'est ntamment un des enseignements de "l'enquête spéciale sur les cnséquences *Cette étude est issue d'un travail réalisé par l'auteur, C. LEROY et F. MAUREL et présenté dans INSEE Première N" -ctbre 19. **'vaétric, mdèle à pas trimestriel ; Amadeus, mdèle à pas annuel. 1 :' Simulatin d'une hausse du prix du pétrle lrsque l'indexatin est de,7 cmparée à une situatin de référence sans hausse pétrlière et avec indexatin unitaire. NOTE DE CONJONCTURE DE L'INSEE - DECEMBRE 19 3

14 1 des évènements du Glfe" réalisée par l'1nsee entre le septembre et le ctbre (DUREAU 19). En d'autres termes, si l'effrt de maîtrise des cûts salariaux et de cmpressin des marges se cncrétisait, l'impact inflatinniste du renchérissement actuel de l'énergie purrait être faible u nul. La hausse des prix du pétrle cnduit à des substitutins La hausse du prix du pétrle mdifie la structure des prix relatifs des différentes énergies. Tutes chses égales par ailleurs, elle incite à l'utilisatin de surces d'énergie alternatives, dans le secteur prductif et chez les utilisateurs finals. Elle favrise les, écnmies d'énergie et dnc l'activité des branches cncernées. C'est ainsi que les branches industrielles frtement cnsmmatrices d'énergie (chimie, IAA, ciment, verre,,...) nt cnsidérablement réduit leur dépendance vis à vis du pétrle à la suite des deux chcs pétrliers précédents. Elles snt dnc mins vulnérables dans la péride présente ; mais elles nt aussi épuisé une partie de leurs pssibilités d'écnmies d'énergie. De même, les branches prduisant des biens u services cnsmmant de l'énergie d'rigine pétrlière (autmbile, transprt aérien,...) vnt être incitées à dévelpper d- prduits plus écnmes en énergie, tandis que le transprt ferrviaire et la cnstructin du matériel apprprié sernt favrisés. L'ensemble de ces effets micrécnmiques entraînant des substitutins n'est pas explicitement pris en cmpte dans les mdèles écnmétriques agrégés et nécessite sans dute plusieurs années pur se faire pleinement sentir. Les effets d'ffres cnduisent à des scénaris plus tranchés Une hausse du prix du pétrle diminue les termes de l'échange (les prix des imprtatins snt plus augmentés que les prix des exprtatins) et dnc le puvir d'achat du revenu natinal. Cette réductin peut être grssièrement évaluée ex ante par le surcrît d'imprtatins nettes de pétrle en valeur, à vlume dnné, cnsécutif au renchérissement de l'énergie imprtée. É 1 Les agents écnmiques intérieurs vnt réagir à ce renchérissement tut d'abrd en réduisant leurs dépenses (cnsmmatin, investissement), en tentant d'accrître leurs revenus extérieurs par leurs exprtatins et en essayant de préserver le puvir d'achat de leur revenu intérieur par des cmprtements d'indexatin des salaires et de fixatin des prix. Au cntraire, les agents écnmiques des pays exprtateurs nets de pctrle sernt incités à accrître leurs dépenses. Au ttal, la demande glbale des agents intérieurs et extérieurs est réduite (l'activi té chez ns principaux partenaires cmmerciaux de l'ocde est également affectée et c(ja n'est pas cmpensé par l'accrissement de la demande des pays pétrliers) et exerce un effet récessif sur l'activité. L'ampleur de l'inflexin de la crissance dépend d(fs mdificatins de la répartitin du revenu cnsécutives au chc et, de ses cnséquences sur l'investissement. Deux éléments paraissent à cet égard essentiels pur explrer les cheminements pssibles de l'activité écnmique suite au chc : l'indexatin des salaires et la sensibilité de l'investissement des entreprises aux variables de rentabilité. Le scénari le plus favrable en termes de maintien de l'ffre cmpétitive de myen terme cmbine maîtrise des cûts salariaux et frte influence des prfits sur l'investissement. Dans ce cas, le renchérissement du pétrle détérire peu le cmpte des entreprises et préserve la capacité à investir à myen terme au delà de l'effet négatif de curt terme. L'impact inflatinniste est faible à curt terme et à myen terme, facteur favrable à la cmpétitivité-prix et au slde extérieur en vlume. Ce snt les ménages qui pâtissent à curt terme de la hausse du prix du pétrle : le sah'ire réel et l'empli se cntractent significativement. La cnsmmatin suit partiellement la baisse du puvir d'achat du revenu dispnible mais les ménages cherchent à préserver le niveau de leurs dépenses en puisant dans leur épargne. A myen terme ci -pendant, le suci de maintenir le puvir d'achat de leurs encaisses érdé par le NOTE DE CONJONCTURE DE L'INSEE DECEMBRE 19

15 surcrft d'inflatin ainsi que l'accrissement de l'incertitude liée au dévelppement du chômage purraient cnduire à un dévelppement de l'épargne. Ce scénari permet à terme une crissance plus frte et créatrice d'emplis : la flexibilité salariale mdifie le partage du surcût pétrlier au bénéfice des entreprises, ce qui atténue le chc d'ffre si l'investissement répnd favrablement à des perspectives de rentabilité plus élevée. Lrsque le renchérissement du pétrle ne s'accmpagne pas d'une plus grande flexibilité salariale, la cntractin de l'activité et de l'empli est plus frte si l'investissement réagit à la baisse du taux de prfit. En effet, la rentabilité du capital est affectée par le ralentissement de la crissance de la prductivité du travail (l'empli s'adapte avec retard aux variatins de la prductin), par la hausse plus frte des prix à la cnsmmatin (qui incrprent la hausse du prix des imprtatins) par rapprt aux prix de valeur ajutée, par l'alurdissement des charges d'intérêt (les taux d'intérêt nminaux suivent l'inflatin). L'incertitude qui demeure sur les déterminants véritables de l'investissement des entreprises dans la péride présente rend fragile le diagnstic sur les effets de curt terme d'un renchérissement du pétrle. La cntractin de l'activité purrait atteindre, à,7 pint au but d'un an, seln les hypthèses retenues (vir tableau). En utre, une rérientatin de la destinatin des investissements purrait accmpagner leur repli quantitatif. Dans un cntexte de crissance ralentie, les entreprises seraient incitées à privilégier les investissements de prductivité au détriment de l'extensin des capacités de prductin (DUREAU 19). Variante hausse du prix du pétrl e de 5 le,cnrt.s par rapprt au cmpte de référence"* en Indexatin cmplète Flexibilité salariale METRIC AMADEUS METRIC AMADEUS Année 1 Année 1 Année 1 Année 1 Prix cncurrents.,,, Prix cnsmmatin 1, 1,,9, Puvir d'achat du revenu dispnible ménages -,7 -, -1,1-1, Demande adressée à la France -, -, -, -, PIB -, -,7 -, -, Cnsmmatin -. -, -,5 -,7 Investissement -.5 -,5 -,5-1, Exprtatins -,7 -,7 -, -,3 Imprtatins -,5-1, -, -1, Slde échanges extérieurs (Biens et Services) (en Mds de F) Capacité de financement des Administratins publiques (en Mds de F) Taux d'épargne des ménages -,3 -, -,5 -,3 Taux de marge des entreprises -, -, -,1,1 * Le cmpte de référence incrpre une indexatin ttale (mais retardée des salaires sur les prix NOTE DE CONJONCTURE DE L'INSEE - DECEMBRE 19 5 J

16 Les sldes extérieur et public se détérirent Dans les simulatins effectuées, n a suppsé les dépenses publiques réelles et la fi.,calité inchangées par rapprt à la situatin sans renchérissement de l'énergie. Cette hypthèse ne va pas dans un sens restrictif. On aurait pu imaginer l'alternative d'un maintien en valeur des dépenses publiques, ce qui. cmpte tenu du regain d'inflatin. n'irait eu un effet restrictif nn négligeable. La première année, la hausse du prix du pétrle entraine un accrissement du besin de financement des administratins de, à, pint de PIE : les dépenses publiques (cûts salariaux, charges d'intérêt. prestatins sciales) snt mécaniquement revalrisées en fnctin de ].'inflatin tandis que la baisse d'activité et l'accrissement du chômage nécessitent titi accrissementt des prestatins versées. En ce qui cncerne les recettes des administratins, les effets prix et les effets vlume vnt en sens inv.-,t-se : les ctisatins sciales et les rentrées de TVA prfitent du regain d'inflatin mais pâtissent de la baisse d'activité. La plitique mnétaire a été suppsée nn accmdante, c'est-à-dire que les taux d'intérêt réels snt fixes. Ce dernier élément apparaît déterminant dans la perspective du maintien de la parité du Franc par rapprt au Mark, et permet de limiter l'inflatin imprtée. De plus, elle apaise les anticipatins inflatinnistes des agents écnmiques, et tutes chses égales par ailleurs, favrise la cmpétitivité prix. Une plitique mnétaire nn accmdante est d'autant plus crédible que la flexibilité salariale est frte. Après buclage macrécnmique et prise en cmpte des effets induits sur l'envirnnement internatinal, la détériratin du slde extérieur serait de,5 % à 1 % du PIB seln l'ampleur du ralentissement de l'activité. La hausse des prix du pétrle afff,cte également l'activité écnmique et le niveau des prix chez ns principaux partenai.res cmmerciaux de l'ocde. En cnséquence, la demande mndiale adressée à la France se cntracte par rapprt à la situatin de référence malgré une augmentatin de la demande des pays pétrliers, et l'inflatin imprtée est stimulée, utre l'effet prpre de la hausse des prduits pétrliers. Plus la baisse de l'activité en France est frte par rapprt à l'étranger, mins le slde extérieur se dégrade, tutes chses égales par ailleurs. En utre, un effet d'ffre peut renfrcer ce phénmène : lrsque l'activité baisse plus en France qu'à l'étranger, cela libère des capacités de prductiun dispnibles pur l'exprtatin u pur se substituer aux imprtatins. A curt terme, cet effet d'ffre jue favrablement sur le déficit manufacturier. BIBLIOGRAPHIE BENSAID J., LEROY C., MAUREL F. (19) "Cnséquences d'une hausse du prix du pétrle sur l'écnmie in INSEE Première N, ctbre. française" D"IREAU G. (19) "La crise du glfe : le suci d'un ajustement rapide" in INSEE Première N 8, ctbré. FAZZARI S., HUBBARD G. et PETERSEN B. (1988) "Financing cnstraints and crprate investment" in Brkings papers I-1988 RALLE P. et TOUJAS-BERNATE J. (19) "Les salaires désindexés : une réalité depuis 1983" in INSEE Première N 59, avril NOTE DE CONJONCTURE DE L'INSEE. DECEMBRE 19

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