Perspectives d investissement 2015

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1 (traduction d extraits de la version anglaise Investment Perspectives 2015 ) Janvier 2015

2 PERSPECTIVES D INVESTISSEMENT 2015 Table des matières Pages RESUME SYNTHETIQUE 1 REVUE DE NOS THEMES D INVESTISSEMENT PERSPECTIVES ECONOMIQUES POUR ALLOCATION D ACTIFS Obligations 6 Actions 6 Matières premières 7 Or 7 Fonds alternatifs 7 Construction de portefeuilles FFG 8 Gérants de fonds alternatifs 9 Grille d allocation d actifs 10

3 RESUME SYNTHETIQUE La croissance économique globale a été décevante en 2014 du fait de faiblesses observées dans de nombreuses régions. La zone euro, y compris l'allemagne, a été impactée par un ralentissement de son activité économique et par le contrecoup des sanctions contre la Russie, suite à son annexion de la Crimée en mars. De manière contrastée, la croissance de l'économie américaine a été vigoureuse. Cette dispersion des taux de croissance entre les Etats-Unis et le reste du monde s est également traduite par une divergence des politiques monétaires des grandes banques centrales. En 2014, les marchés financiers ont été caractérisés par la hausse inattendue des emprunts d Etats en raison de l'absence d'inflation et des politiques accommodantes des banques centrales. Au cours du second semestre, le dollar a finalement répondu aux attentes du marché en s appréciant de manière sensible contre l ensemble des devises. A l instar de 2013, les actions américaines ont surperformé les actions des autres marchés développés et, encore davantage, celles des marchés émergents. Les prix des matières premières ont subi de fortes pressions vendeuses à partir de juin, accentuées par le ralentissement chinois, et les prix du pétrole ont plongé de plus de 50%. La croissance économique mondiale devrait légèrement rebondir en 2015, mais les risques augmentent. L'Europe devra composer avec une sortie potentielle de la Grèce et un calendrier électoral chargé, ainsi qu avec des attentes de marché élevées envers le programme d'assouplissement monétaire de la BCE. La Réserve fédérale devra agir de manière prudente afin d éviter de déstabiliser les marchés, alors que les pays producteurs de pétrole devront faire face à une diminution importante de leurs recettes, compte tenu de prix se traitant à leur plus bas niveau depuis plus de 5 ans. Un certain nombre de décisions d'investissement ont affecté le profil de nos portefeuilles en 2014, bien que les allocations aux différentes classes d'actifs soient restées relativement constantes. En janvier, nous avons vendu le solde de nos positions en dette émergente en monnaies locales et en or physique; en mars, nous avons réduit notre allocation aux actions des marchés émergents. D'autres transactions notables ont consisté à partiellement remplacer notre exposition en dette à haut rendement européenne par des emprunts sécurisés européens et à augmenter les actions des marchés développés en mai; en été, nous avons remplacé les obligations à haut rendement américaines par une stratégie obligataire flexible aux Etats-Unis et recommandé les actions japonaises. En ce début d année, nous avons quelque peu réduit notre surpondération sur les actions, mais conservé notre préférence pour les actions des marchés développés par rapport à celles des marchés émergents. Au cours de 2015, les actions devraient bénéficier des politiques accommodantes des banques centrales et de valorisations plus attractives que celles des obligations. En outre, la quête de rendement continuera à attirer les investisseurs vers les dividendes élevés distribués par des sociétés de premier ordre. Notre allocation obligataire reste sous-pondérée, compte tenu d un profil risque/rendement plus asymétrique que jamais. Notre source de revenus se concentrera sur la dette souveraine «investment-grade» hors de l'europe et des États-Unis, ainsi que sur le crédit et les emprunts sécurisés européens. Malgré le consensus du marché, nous restons haussiers sur le dollar. Nous continuons d'éviter les matières premières du fait d un ralentissement de la demande chinoise, d une offre excédentaire, d un dollar plus cher et d une faible inflation. Finalement, les perspectives ne semblent pas très positives pour l'or du fait d un affaiblissement de certains facteurs de soutien au cours des dernières années; un dollar ferme et le risque d'une hausse des taux d'intérêt réels représentent des obstacles qui sont difficiles à ignorer. 1

4 REVUE DE NOS THEMES D INVESTISSEMENT 2014 Une préférence pour les actions des marchés développés Au début de 2014, nos principales décisions en termes d'allocation d'actifs ont été les maintiens d une surpondération en actions, avec un biais favorable aux actions des marchés développés, et d un positionnement prudent à l'égard de la dette souveraine bien notée et du crédit «investment-grade». Tandis que notre biais favorable aux actions des marchés développés par rapport aux actions des marchés émergents s est avéré adéquate, la forte performance des emprunts d Etats du G-7 en 2014 a été contraire à nos prévisions (et à celles des marchés) d une hausse modérée des taux d'intérêt à long terme. L'absence de toute exposition à la dette des marchés émergents libellée en monnaies locales a été une décision constructive compte tenu de la forte dépréciation de certaines devises. Notre prévision clé sur les devises était pour une hausse du dollar En 2014, notre principale prévision monétaire consistait en une appréciation du dollar, en particulier contre l'euro et le yen; il aura fallu attendre l'été pour que cette tendance s installe de manière durable, mais l'impact de la divergence des politiques monétaires et la croissance plus élevée de l'économie américaine ont provoqué une forte dépréciation de ces deux devises. Comme prévu, la parité EUR/CHF a évolué dans une fourchette relativement étroite ; une pression haussière persistante sur le franc au cours du deuxième semestre s est toutefois traduite par un rapprochement significatif du plancher de 1,20 francs pour un euro fixé par la Banque nationale suisse. Nous avions évité toute exposition directe aux matières premières A première vue, notre absence d exposition aux matières premières a pu paraître comme une mauvaise décision du fait des gains inattendus enregistrés par la classe d'actifs au premier semestre, en raison notamment de la hausse des prix de l'énergie et de l'or. Cette tendance s est toutefois avérée transitoire, et l ensemble des matières premières ont perdu leurs gains initiaux, avec une correction des prix de l'énergie de plus de 50% par rapport aux pics annuels observés en juin. Les performances des fonds alternatifs ont quelque peu déçu Nous devons admettre que les performances générées par l'industrie des fonds alternatifs en 2014 nous ont quelque peu déçu; les interventions des principales banques centrales, les importantes rotations sectorielles et un régime de faible volatilité figurent parmi les principaux facteurs ayant impacté le niveau des performances. 2

5 PERSPECTIVES ECONOMIQUES POUR 2015 Une modeste amélioration de l'économie mondiale est attendue pour 2015 Suite à une année de croissance économique décevante, les perspectives anticipent une légère amélioration de l'activité économique mondiale en L'économie américaine a fait preuve de vigueur et devrait rester le principal moteur de la croissance au cours des trimestres à venir; cette amélioration résulte d une économie domestique plus forte bénéficiant de la baisse du chômage, d une reprise du marché de l immobilier ainsi que d une réduction des coûts énergétiques. La zone euro devra affronter de nombreux obstacles L'économie européenne devrait quelque peu rebondir grâce à une devise plus compétitive, un soutien additionnel de la BCE et une modeste reprise du cycle de crédit. L'année à venir sera cependant difficile en raison des risques politiques d un calendrier électoral chargé, caractérisé par la montée du populisme et des partis extrémistes; les divisions au sein de la BCE et l'opposition à son programme d'assouplissement quantitatif ainsi que l'absence de réformes structurelles en France et en Italie représentent d autres risques. Certains pays émergents espèrent un rebond des prix du pétrole L'économie mondiale et la majorité des pays, y compris des marchés émergents clé tels que la Chine et l'inde, devraient bénéficier de l'effondrement des prix du pétrole. Parmi les grandes économies avancées, les principaux bénéficiaires seront le Japon, et dans une moindre mesure, les Etats-Unis, la zone euro et le Royaume-Uni. Mis à part les pays producteurs du Golfe, les pays les plus pénalisés figurent le Nigeria, le Venezuela et la Russie. Indicateurs macro-économiques avancés: les indices des directeurs d achats Ce graphique montre le renforcement de l'économie américaine tout au long de 2014, tandis que l'activité dans la zone euro a décliné, reflétée par la baisse de l indice PMI composite régional de 53,8 en juillet à 51,1 en novembre. La même tendance a été observée en Chine où l'indice PMI manufacturier a baissé de 51,7 à 50,3 au cours de la même période. 3

6 Indicateurs macro-économiques avancés: les indicateurs avancés de l OCDE Ce graphique montre les tendances observées dans différentes régions; la bonne santé de l'économie américaine s est traduite par une progression régulière de ses indicateurs avancés et par un rattrapage avec l'économie brésilienne. En 2015, la croissance globale bénéficiera davantage des contributions des économies les plus avancées, à savoir les États-Unis et le Royaume-Uni, relativement aux contributions des pays émergents. Tandis que les indicateurs avancés de toutes les régions signalaient une amélioration à la fin 2013, les récents développements ont été moins positifs en Europe et au Japon, reflétés par l'aplatissement des pentes de leurs indicateurs avancés respectifs. Les marchés de l emploi: les créations d emplois non agricoles aux Etats-Unis Les conditions des marchés de l emploi se sont améliorées aux Etats-Unis, avec une augmentation du nombre moyen d'emplois non agricoles créés par le secteur privé de 197'000 en 2013 à 234'000 en Cette progression n a cependant pas été accompagnée par une hausse du taux de participation (part des personnes en âge de travailler dans la population active) qui termine 2014 à un niveau de 62.7%. 4

7 Les marchés de l emploi: les taux de chômage aux Etats-Unis et en Europe Ce graphique montre que les taux de chômage aux États-Unis et en Europe se situaient à des niveaux proches en Depuis lors, le taux de chômage des États-Unis s est contracté à 5,8% et a encore reculé de 1,2% au cours de l'année écoulée. Le marché du travail ne s est toutefois pas encore complètement rétabli, compte tenu d une progression très modérée des salaires. En Europe, le taux de chômage a n a que légèrement baissé (11.5% par rapport au pic de 12% en 2013), tandis que le pourcentage du nombre de chômeurs de longue durée continue d'augmenter. Conclusions La baisse des prix du pétrole présente certains risques La baisse des prix du pétrole représente un effet positif pour l'économie mondiale, mais il constitue une menace pour la stabilité politique de certains pays producteurs. Les banques centrales de nombreux pays émergents bénéficieront d une plus grande marge de manœuvre pour leur politique monétaire, compte tenu du poids important de l'énergie dans les paniers utilisés pour mesurer l'inflation. Les risques géopolitiques ont augmenté au cours de l'année écoulée et les tensions restent élevées dans plusieurs régions. Les prévisions de la croissance économique mondiale ont à nouveau été révisées à la baisse par le FMI et se situent désormais à 3,8% pour L'économie américaine sera le principal moteur de la croissance et les grandes banques centrales devront satisfaire aux attentes élevées des investisseurs et éviter de rompre le fragile équilibre des marchés. Une modeste reprise de la croissance mondiale en 2015 Nous aurions préféré pouvoir exprimer un degré d'optimisme plus élevé, mais la perspective d une nouvelle année balbutiante pour l économie mondiale apparaît comme la plus probable ; l Europe demeure un maillon faible, une véritable amélioration de l économie japonaise est encore éloignée, la Chine peine à ajuster son modèle économique et les rythmes de croissance des pays émergents ralentissent. Les principaux risques sont représentés par les retombées des problèmes des pays exportateurs de pétrole, les risques politiques en Europe, la menace de déflation, un atterrissage brutal en Chine et les erreurs des politiques des banques centrales les plus influentes. 5

8 ALLOCATION D ACTIFS 2015 Obligations Nous sous-pondérons les obligations Notre allocation aux titres à revenu fixe restera sous-pondérée du fait d un profil risque/rendement des emprunts d Etat bien notés plus asymétrique que jamais; à partir de rendements à des niveaux bas record, les obligations semblent être très vulnérables à une correction si la croissance économique devait surprendre de manière positive ou si la BCE ne parvenait pas à satisfaire aux attentes portant sur un assouplissement quantitatif de grande envergure. Nous privilégions le crédit européen à celui des Etats- Unis Notre source de revenu se concentre sur la dette souveraine «investment-grade» en dehors de l'europe et des Etats-Unis ainsi que sur le crédit, la dette à haut rendement et les prêts bancaires européens. Au cours de 2014, nous avons vendu notre exposition aux obligations américaines à haut rendement en raison de valorisations élevées et de la faible liquidité. Nous continuons à éviter la dette des marchés émergents libellée en monnaies locales en raison des anticipations d'un dollar fort et des tensions régnant dans plusieurs régions. Actions Notre surpondération en actions a été réduite Nous avons réduit notre surpondération en actions, mais maintenons notre préférence pour les actions des marchés développés par rapport à celles des marchés émergents. Les récents développements dans la zone euro (risque de sortie de la Grèce, pression sur la BCE) nous ont conduits à réduire une partie de notre exposition aux actions européennes, d un point de vue tactique, et à accroître nos liquidités. Au cours de 2015, les actions devraient bénéficier de meilleures valorisations par rapport aux obligations et des politiques accommodantes des banques centrales. En outre, la quête de revenu continuera à attirer les investisseurs vers les dividendes élevés distribués par des sociétés de premier ordre. Les actions émergentes pourraient encore sous-performer Une baisse de productivité, de l'instabilité politique et un ralentissement de la croissance en Chine représentent des éléments qui pourraient peser sur les prix des actions des marchés émergents, malgré des valorisations légèrement inférieures aux actions des marchés développés. Pour notre exposition à ce segment, nous préférons la région asiatique à l'amérique latine et à l Europe de l Est. Nous privilégions les actions des marchés développés Nous maintenons une allocation diversifiée aux actions des marchés développés; envers les États-Unis en raison d une bonne croissance et de la stabilité, envers l'europe en raison d un potentiel de rattrapage si aucun évènement grave ne vient impacter la région et envers le Japon en raison du soutien de sa banque centrale, des mouvements de flux et des valorisations attractives. 6

9 Matières premières La détérioration des fondamentaux des matières premières Les fondamentaux des matières premières se sont détériorés au cours de l année écoulée en raison d un ralentissement de la demande, d une offre excédentaire, d un dollar plus fort et d une faible inflation. L'effondrement des prix du pétrole va réduire le coût de production des matières premières et ainsi encore accentuer la baisse de leurs prix. Les prix du pétrole vont se stabiliser à des niveaux plus élevés en 2015 Nous pensons que les prix du pétrole devraient se stabiliser à des niveaux plus élevés du fait que les prix actuels ne sont pas viables à long terme pour la majorité des producteurs; l'impact sur la production américaine de pétrole de schiste se fera progressivement ressentir car le financement de projets moins rentables deviendra difficile. A court terme, le marché devrait rester instable et difficile à prévoir en raison de la grande influence des décisions géopolitiques et stratégiques. Nous évitons une exposition aux matières premières La conclusion de ce qui précède est que nous évitons toute exposition directe à cette classe d'actifs dans le court terme. Or Nous ne détenons pas d or physique A présent, nous continuons de ne pas investir dans l'or physique. Les principaux vecteurs du prix du métal jaune, soit le dollar et les taux d'intérêt réels, sont susceptibles d'agir comme des vents contraires au cours des trimestres à venir. La dépréciation de nombreuses devises des marchés émergents se traduira probablement par une demande plus faible pour l'or et la joaillerie. Pour certains portefeuilles, nous restons investis en actions minières aurifères à des fins de diversification et à cause de valorisations attrayantes et d une consolidation du secteur. Fonds alternatifs Les fonds alternatifs devraient contribuer davantage en termes relatifs Les fonds alternatifs continuent de jouer un rôle clé de diversification à l intérieur des portefeuilles, surtout du fait des faibles rendements obligataires et des performances modestes attendues sur les actions. La gestion active des fonds alternatifs contribue à la diversification des portefeuilles et leurs rendements sont moins corrélés à ceux des actifs traditionnels. Notre exposition aux fonds alternatifs se concentre sur les stratégies liquides Nous privilégions toujours les stratégies liquides telles que «Long/ Short» et «Global Macro» et nous investissons également dans des fonds alternatifs à même d exploiter des inefficiences de marché auxquelles nous n avons pas d accès. Notre recherche pour des fonds alternatifs de qualité inclue la nécessité de trouver ceux qui bénéficient des structures et des modalités répondant aux exigences règlementaires dont la complexité ne cesse d augmenter. 7

10 CONSTRUCTION DE PORTEFEUILLES FFG La construction d un portefeuille d investissement et la sélection de ses composantes individuelles sont le résultat d un processus d investissement clairement défini. Celui-ci débute par l établissement du profil de risque du client et de la stratégie d investissement choisie. Il se poursuit par la détermination du positionnement tactique du portefeuille à l intérieur des fourchettes définies pour chaque classe d actifs, dans le cadre de l allocation stratégique. Le choix de la devise de base revêt une importance particulière car il affecte la manière dont la stratégie d'investissement sera mise en œuvre; tout d'abord, par la détermination du niveau le plus approprié de la couverture des risques de change (le cas échéant) et, ensuite, par la sélection des investissements sous-jacents les mieux adaptés. La détermination de l allocation aux différentes classes d actifs est le moteur principal de la performance du portefeuille et sert de clé de voûte sur laquelle reposent toutes les autres décisions d investissement. Le rôle de votre gérant au sein de Forum Finance Group est de construire des portefeuilles à partir d une analyse pertinente de l information ainsi qu à travers la sélection de produits d investissement provenant d un univers préalablement déterminé et approuvé. Chaque investissement individuel doit jouer un rôle spécifique. La sélection de tout produit repose à la fois sur ses qualités propres et sur sa complémentarité avec les autres positions du portefeuille. Il est indispensable de bien analyser chaque produit afin de pouvoir anticiper, au mieux, son comportement selon les différents scénarios de marché, et de mieux évaluer sa raison d être vis-à-vis des autres actifs. Pour cette raison, la performance d un investissement spécifique ne peut être comparée à ses concurrents directs sans tenir compte de l ensemble des autres actifs du portefeuille. D une manière générale, le budget risque du portefeuille sera consacré aux actifs de type directionnels comme les actions, les matières premières et les emprunts à haut rendement. La partie du portefeuille dédiée à la préservation du capital sera investie dans des actifs moins corrélés aux tendances des marchés. Dans cette catégorie figurent notamment les fonds de fonds alternatifs, les obligations "Investment Grade ainsi que certains produits structurés. 8

11 GERANTS DE FONDS ALTERNATIFS Les gérants de Forum Finance Group investissent dans le domaine de la gestion dite alternative à travers des fonds de fonds alternatifs et, pour les clients ayant approuvé cette classe d actifs dans leurs mandats, des fonds «single managers». Les fonds de fonds alternatifs offrent de la diversification et une faible volatilité, tandis que les fonds «single managers» se concentrent sur des stratégies spécialisées avec un accent mis sur la gestion du risque. Nous considérons ces fonds «single managers» comme étant une véritable alternative aux actifs traditionnels et le meilleur moyen d accéder à des gérants exceptionnels permettant d améliorer le profil risque/rendement du portefeuille. Alors que les fonds de fonds alternatifs continueront d être classés comme une classe d actifs distincte, la majorité des fonds single managers entreront dans les classes d actifs traditionnels. Pour cette raison, l exposition actions comprendra non seulement les positions en direct, les fonds mutuels actions mais aussi les fonds aux stratégies de type Long/Short ou Event-Driven. PRODUITS STRUCTURES Selon nous, les produits structurés présentent aussi une alternative aux investissements traditionnels que sont les actions, les obligations et les matières premières. La structure de ces produits peut varier considérablement. Le choix d une structure spécifique ne sera pas uniquement fonction des conditions de marché et des perspectives des différents sousjacents sélectionnés, mais également fonction de la capacité du produit à réduire le niveau de risque du portefeuille. Les produits structurés sont classés à l intérieur des classes d actifs les plus pertinentes à un moment donné. Ceci nous permet de mieux évaluer le risque global de chaque classe d actifs que si ces produits étaient classés à part. Les produits structurés sont, par nature, des produits hybrides et, suivant l évolution de leurs différentes composantes, il peut devenir nécessaire de les reclasser à l intérieur d une autre classe d actifs. 9

12 GRILLE D ALLOCATION D ACTIFS 2015 Pour les comptes standard (gestion équilibrée), nous appliquons la répartition suivante: Allocation Janvier 2015 Dépôts à court terme 0 20% 13% Obligations 15 55% 27% Obligations Investment Grade 5 45% 8% Dette émergente et haut rendement 0 20% 10% Autres obligations 0 15% 9% Actions 20 60% 45% Marchés développés 15 50% 40% Marchés émergents 5 30% 5% Matières premières 0-15% 0% Or physique 0-5% 0% Autres matières premières 0-10% 0% Fonds alternatifs 0 25% 15% 100% 10

13 Contact The Forum Finance Group S.A. 6, rue de la Croix d Or C.P CH-1211 Genève 3 Suisse Téléphone : Fax : info@ffgg.com Web : Malgré la grande attention que Forum Finance Group (FFG) porte à la justesse des informations diffusées dans ce document, FFG ne peut en aucune façon endosser une quelconque responsabilité quant à l exactitude, à l actualité, à la fiabilité et à l intégralité de ces informations. En aucun cas, notamment en cas de négligence, FFG ne pourra être tenu pour responsable de pertes ou de dommages de quelque nature que ce soit, qu'il s'agisse, entre autres, de dommage direct, indirect ou consécutif, lié à l'accès à ce document et à sa consultation. L'ensemble du document de FFG est couvert par le droit d'auteur (tous droits réservés). Vous ne pouvez ni reproduire (en tout ou en partie) ni transmettre (électroniquement ou de quelque autre manière) ni modifier, ni utiliser ce document à des fins publiques ou commerciales, ni créer des liens avec celui-ci, sans l'autorisation écrite préalable de FFG. Veuillez vous référer à notre site Internet pour une décharge complète.

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