COMMUNIQUÉ DE PRESSE Bruxelles, le 29 janvier 2015

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1 COMMUNIQUÉ DE PRESSE Bruxelles, le 29 janvier 2015 Indice des prix à la consommation de janvier 2015 Janvier 2015 : inflation à -0,65 % Premier taux sur la base de la nouvelle actualisation annuelle Indice des prix à la consommation de janvier 2015 o En janvier, l'inflation a reculé de -0,38 % à -0,65 %. o Ce mois-ci, l'indice des prix à la consommation a baissé de 0,13 point, soit de 0,13 %. o L inflation sur la base de l indice santé a progressé de -0,01 % à 0,01 %. o L'inflation des produits énergétiques s'établit à -12,04 % et atteint ainsi son niveau le plus bas depuis octobre 2009, lorsqu'elle s'élevait à -17,27 %. o L'inflation sous-jacente (hors énergie et produits alimentaires frais) s'élève à 1,14 % en janvier. o Ce mois-ci, l'indice a reculé principalement en raison des baisses de prix des carburants, du gasoil de chauffage et du gaz naturel. L'électricité, les légumes, la collecte et l'assainissement des eaux usées, les services médicaux et l'habillement ont, par contre, exercé un effet haussier sur l'indice. Actualisation annuelle de l'indice des prix à la consommation o o o o Actualisation de l'indice des prix à la consommation sur la base d'un avis unanime de la Commission de l'indice, approuvé par le Ministre de l'économie. Outre les relevés de prix classiques effectués par des enquêteurs et les relevés de prix centraux, le calcul de l'indice a recours pour la première fois aux scanner data des supermarchés. Le panier de l'indice est légèrement modifié. Certains produits moins actuels ont été supprimés du panier, tandis que de nouveaux ont été ajoutés. À partir de 2015, le panier se compose de 623 témoins contre 611 en Toutes les pondérations ont été actualisées afin de refléter le comportement d'achat actuel des consommateurs.

2 2/11 Indice des prix à la consommation de janvier 2015 L indice des prix à la consommation de janvier 2015 s établit à 99,85 points. L'indice accuse une baisse de 0,13 point. L inflation passe de -0,38 % à -0,65 %. L indice santé augmente de 0,21 point et atteint 100,61 points. L inflation calculée sur la base de l indice santé a augmenté de -0,01 % à 0,01 %. Les baisses de prix des carburants, du gasoil de chauffage et du gaz naturel ont principalement freiné l'indice en janvier. Les hausses de prix de l'électricité, des légumes, de la collecte et l'assainissement des eaux usées, des services médicaux et de l'habillement ont permis de compenser partiellement ces baisses de prix. En janvier 2015, l indice des prix à la consommation a baissé de 0,13 point, soit de 0,13 %, et s élève désormais à 99,85 points contre 99,98 points en décembre (2013 = 100). En janvier, l indice santé a progressé de 0,21 point, passant à 100,61 points, contre 100,40 points en décembre. La moyenne arithmétique des quatre derniers mois s élève en janvier à 100,39 points, contre 100,26 points en décembre. L indice-pivot pour la fonction publique et les allocations sociales, fixé à 101,02 points, n est pas dépassé ce mois-ci. Le dernier dépassement de l indice-pivot remonte à novembre 2012.

3 Les produits qui ont exercé le plus fort effet baissier par rapport au mois dernier sont les carburants, le gasoil de chauffage et le gaz naturel. Les produits ayant exercé l'impact haussier le plus significatif en janvier sont l'électricité, les légumes, la collecte et l'assainissement des eaux usées, les services médicaux et l'habillement. Les principales fluctuations observées en janvier sont : 3/11 À la hausse : Électricité Légumes (y c. pommes de terre) Collecte et assainissement des eaux usées Services médicaux Habillement Influence : +0,110 point +0,070 point +0,060 point +0,030 point +0,030 point À la baisse : Carburants Gasoil de chauffage Gaz naturel Influence : -0,350 point -0,075 point -0,055 point Les prix des carburants ont diminué de 9,0 % par rapport au mois précédent. Le gasoil de chauffage a connu, quant à lui, une baisse de prix moyenne de 4,3 %. En janvier, le gaz naturel a coûté en moyenne 2,9 % de moins. Par contre, le prix de l'électricité a progressé de 4,0 % par rapport au mois précédent, en raison principalement de la hausse des tarifs des réseaux de distribution. Les légumes (y compris les pommes de terre) ont coûté en moyenne 4,8 % de plus en janvier. Les plus fortes augmentations concernent la laitue, les tomates et les poivrons. Par contre, les choux de Bruxelles, les chicons et les brocolis affichent une baisse de prix. En janvier, la collecte et l'assainissement des eaux usées ont coûté 10,4 % plus cher. Le prix des services médicaux a également augmenté de 11,0 % à la suite de l'adaptation du ticket modérateur. L'habillement affiche une hausse de prix moyenne de 0,6 % par rapport au mois précédent. Lors de l'interprétation de ce chiffre, il convient de prendre en compte que l'effet des soldes est réparti systématiquement sur une période de six mois. Par conséquent, cette hausse de prix signifie principalement que les réductions observées étaient en moyenne moindres que durant les soldes de juillet L inflation s élève désormais à -0,65 % contre -0,38 % le mois dernier et -0,11 % en novembre. Sur la base de l indice santé, l inflation a progressé en janvier et atteint actuellement 0,01 %, contre -0,01 % en novembre et en décembre. L'inflation des produits énergétiques reste négative et continue de baisser à -12,04 %, contre -9,19 % le mois dernier et -6,43 % en novembre. Le taux d inflation hors produits énergétiques a grimpé en janvier pour atteindre 0,85 %, contre 0,81 % le mois passé et 0,74 % en novembre. L'inflation de l'alimentation reste négative, mais augmente à -0,72 % contre -0,76 % le mois dernier et -0,88 % en novembre. L'inflation sous-jacente, qui ne tient pas compte de l'évolution des prix des produits énergétiques et des produits alimentaires non transformés, atteint 1,14 % ce mois-ci, contre 1,06 % en décembre et 1,01 % en novembre. L'inflation négative de -0,65 % s'explique donc principalement par l'inflation négative de l'énergie (-12,04 %) et de l'alimentation (-0,72 %). Le secteur des services et les loyers affichent, par contre, une inflation de 1,85 % et de 1,38 %. L'inflation négative des produits alimentaires résulte de l'inflation négative des fruits (-6,84 %) et des légumes (-5,32 %). Parmi les légumes, les pommes de terre coûtent 22,4 % moins cher qu'en janvier de l'année dernière. Bien que les prix de l'électricité et du gaz naturel aient augmenté globalement ces derniers mois, ils restent nettement moins élevés qu'un an plus tôt. Le gaz naturel a vu son prix diminuer de 7,64 % en glissement annuel, contre de 7,26 % pour l'électricité. Le gasoil de chauffage enregistre, quant à lui, une baisse de prix à

4 hauteur de 11,8 % (moyenne mobile lissée sur douze mois). Les carburants coûtent 11,2 % de moins qu'en janvier de l'année dernière. 4/ = 100 Octobre 2014 Novembre 2014 Décembre 2014 Janvier 2015 Indice des prix à la consommation 100,22 100,09 99,98 99,85 Inflation 0,09 % -0,11 % -0,38 % -0,65 % Indice santé 100,28 100,28 100,40 100,61 Indice lissé 100,23 100,19 100,26 100,39

5 5/11 En quoi consiste l'actualisation de l'indice des prix à la consommation de janvier 2015? À partir de cette année, l'indice des prix à la consommation (IPC) sera actualisé chaque année en janvier. L'indice des prix à la consommation de janvier s'appuie pour la première fois sur les scanner data des supermarchés. Par ailleurs, le panier de l'indice a été adapté : certains produits moins actuels ont disparu du panier, tandis que d'autres ont fait leur apparition. Enfin, les pondérations ont été actualisées. L'année de base ou de référence change-t-elle aussi? Lors de la dernière réforme de l'indice en janvier 2014, l'indice à base fixe a été remplacé par un indice en chaîne. L'année de référence reste toujours 2013 = 100 et reste d'application pour les années à venir. Les actualisations annuelles ne nécessitent donc pas de modifier l'année de référence choisie. L'actualisation annuelle est-elle nécessaire? Les actualisations annuelles doivent maintenir la représentativité de l'indice au fil du temps et faire en sorte que l'inflation mesurée ne soit pas biaisée à mesure que l'indice vieillit. Ces actualisations peuvent se faire par le biais d'une actualisation du panier de produits, un ajustement des méthodes de calcul, l'intégration de nouvelles sources de prix et la représentativité de l'échantillon de magasins. Quel est le rôle de la Commission de l'indice en la matière? La Commission de l'indice est composée, de manière paritaire, des organisations patronales et syndicales et des représentants du monde académique. La Commission bénéficie du soutien de statisticiens de la Direction générale Statistique. Cette Commission conseille le ministre de l'économie sur l'ensemble des questions relatives à l'indice des prix à la consommation et émet chaque mois un avis sur l'indice calculé par la Direction générale Statistique - Statistics Belgium. Le 16 janvier 2015, la Commission a rendu un avis unanime sur l'actualisation de l'indice au Ministre de l'économie. Ce dernier a dès lors approuvé pleinement cet avis. L'administration a ensuite procédé au calcul de l'indice selon les nouvelles modalités fixées. En quoi consistent les scanner data ou les données scannées à la caisse? Par «scanner data», il faut entendre les données scannées à la caisse des supermarchés, agrégées jusqu'au niveau des produits. Il ne s'agit donc pas des tickets de caisse individuels par client. À l'heure actuelle, l'administration reçoit, chaque semaine, ces données de vente agrégées au niveau des produits, soit par code-barres, de trois grandes chaînes de supermarchés (Carrefour, Colruyt et Delhaize). Par la suite, l'objectif sera de collecter également les scanner data d'autres chaînes.

6 6/11 À quels groupes de produits s'appliquent les scanner data? Les scanner data seront intégrées à l'ipc en plusieurs étapes. Dans un premier temps, les scanner data sont introduites pour neuf groupes de produits en janvier Il s'agit des groupes suivants : «riz», «farines et autres céréales», «autres produits de boulangerie», «pâtes alimentaires», «lait entier», «lait écrémé et demiécrémé», «fromage», «œufs» et «sucre». Ensemble, ces produits représentent 3 % du poids du panier de l'indice. À partir de 2016, les autres produits alimentaires ainsi que d'autres produits vendus couramment dans les chaînes de supermarchés viendront compléter cette liste. Quels sont les avantages des scanner data? Ces données contribuent à renforcer la précision de l'ipc, étant donné que les scanner data au niveau des produits, soit par code-barres, fournissent des informations sur le nombre d'unités vendues et le chiffre d'affaires. Il est donc possible de calculer un prix moyen par produit pour chaque mois. Par code-barres, il suffit de diviser le chiffre d'affaires par le nombre d'unités vendues. Il n'est donc plus nécessaire de baser l'indice de prix d'un groupe de produits sur un nombre limité de produits pour lesquels il convient ensuite d'estimer la représentativité pour l'ensemble du groupe. Grâce à cette nouvelle méthode, l'indice reflète plus fidèlement le comportement d'achat réel des consommateurs. En ce qui concerne les autres chaînes de supermarchés pour lesquels les scanner data ne sont pas encore disponibles et les petits détaillants, il convient toujours d'effectuer partiellement les relevés de prix classiques en magasin pour obtenir une image fidèle de l'évolution de prix totale en Belgique. L'année dernière, 28 produits au total faisaient l'objet d'un suivi pour les neuf groupes de produits. Ces produits devaient en outre répondre à une définition relativement stricte. Pour ces neuf groupes de produits, un suivi mensuel est désormais effectué depuis janvier 2015 pour tous les produits réalisant des ventes représentatives, augmentant ainsi considérablement la représentativité de ces groupes. Prenons un exemple tout simple : dans le groupe «farines et autres céréales», seul un produit faisait l'objet d'un suivi jusqu'à la fin de l'année dernière (certes pour différentes marques et différents points de vente). Il s'agissait de la farine de pâtisserie non fermentante en emballage d'un kilo. Depuis janvier 2015, un suivi de l'évolution des prix est réalisé pour toutes les farines atteignant un chiffre de vente représentatif. En d'autres termes, outre l'évolution des prix de la farine de pâtisserie, un suivi est également réalisé et pris en compte dans le sous-indice du groupe «farines et autres céréales» pour les témoins suivants : la farine fermentante, la farine à pain, la chapelure, les graines de sésame, les graines de courge, les graines de lin, etc. Ce suivi de l'évolution des prix s'applique aux différents emballages (500 g, 750 g, 1 kg, 2 kg, 5 kg ). Il est dès lors évident que cette méthode contribue fortement à améliorer la représentativité de l'indice de ce groupe.

7 7/11 Le comportement d'achat volatil des consommateurs a-t-il un impact sur l'ipc avec l'utilisation des scanner data? Comme c'était le cas auparavant, l'indice des prix sur la base des scanner data reflétera toujours l'évolution de prix d'un produit identique (p.ex. un cannette de limonade de 33 cl de la marque A dans un supermarché X) pour un moins déterminé par rapport à son prix durant le moins précédent. Dans l'indice, un suivi est toujours réalisé tant pour les produits premier prix que pour les produits de marque distributeur ou encore pour les produits de marque, pour autant qu'ils atteignent des ventes représentatives durant la période considérée. Il serait, cependant, erroné de conclure que l'utilisation des scanner data entraînerait une baisse de l'indice dans le cas d'une plus forte consommation de produits meilleur marché au détriment de produits plus chers ou engendrerait une hausse de l'indice dans le cas de l'exemple inverse. Les changements dans le comportement d'achat des consommateurs n'auront aucun impact sur l'évolution des prix mesurée. Au niveau des produits (niveau des codes-barres), il n'est en effet pas tenu compte des volumes vendus, ni des chiffres d'affaires lors de l'agrégation de différents produits pour aboutir à un indice pour un groupe de produits. L'agrégat s effectue donc via une moyenne géométrique non pondérée. À quoi servent les chiffres d'affaires au niveau des produits? Étant donné que les différentes évolutions de prix des produits sont agrégées sur la base d'une moyenne géométrique non pondérée au niveau agrégé inférieur, aucun chiffre d'affaires n'est utilisé à ce niveau. Les chiffres d'affaires sont néanmoins utilisés pour sélectionner des produits pertinents au sein de chaque chaîne de supermarchés, pour combiner les indices de différents groupes de produits au sein d'une même chaîne de supermarchés (p.ex. combinaison de l'évolution des prix du fromage râpé, du gouda, du brie, du camembert, etc. pour aboutir à un indice du fromage dans la chaîne de supermarchés X) et pour combiner les indices de différentes chaînes de supermarchés et de différents détaillants. Toutefois, ces pondérations restent stables tout au long de l'année. Étant donné qu'un indice en chaîne est utilisé (dans lequel le mois de décembre de l'année précédente sert de période de référence pour l'ensemble de l'année suivante), il est possible de procéder à une évaluation de ces pondérations sur base annuelle. L'avantage de cette méthode est d'assurer la représentativité de l'ipc au fil du temps et de refléter fidèlement le comportement d'achat des consommateurs. La stabilité des pondérations durant l'année permet également de mesurer toujoursl'évolution pure des prix. Ainsi, le comportement volatil des consommateurs n'a aucun impact direct sur la mesure de l'inflation. Pourquoi le calcul se base-t-il sur une moyenne géométrique au lieu d'une moyenne arithmétique? La moyenne géométrique ou la formule d'indice de Jevons est utilisée pour agréger des indices élémentaires, comme il s'agit d'une agrégation au sein de groupes de produits hétérogènes. Par conséquent, cela concerne les groupes qui sont composés de produits différents au niveau de l'emballage (emballages au sein du même groupe par litre, par kilo, à la pièce, en boîte, etc.) ou au niveau des prix (produits premier prix, de marque distributeur, de marque au sein du même groupe).

8 Contrairement à la moyenne arithmétique, la moyenne géométrique veille à ce qu'une même hausse de prix en pourcentage tant pour un produit bon marché que pour un produit onéreux se traduise par une évolution identique de l'indice. Par contre, une même hausse de prix en pourcentage pour un produit onéreux pèserait plus lourd dans l'indice que celle d'un produit bon marché si l'on utilisait la moyenne arithmétique (ou formule d'indice de Dutot). En appliquant une moyenne arithmétique, une même variation de prix en pourcentage au niveau d'une bouteille de lait d'un litre et d'un emballage de six bouteilles se traduirait également par une évolution de prix plus significative pour ces six bouteilles que pour la bouteille unique, ce qui est illogique puisque l'évolution de prix de ces deux conditionnements est identique. 8/11 Comment s'effectue le calcul concrètement? Pour chaque code-barres (soit au niveau de chaque produit), un prix relatif ou une évolution de prix est calculé(e). Ces prix relatifs sont agrégés sur la base d'une moyenne géométrique non pondérée. Les mêmes codes-barres sont comparés systématiquement entre deux mois. Ils ne sont jamais «mélangés» entre eux. Le tableau suivant fournit un exemple simplifié pour le lait entier. Il s'agit uniquement d'un exemple pour illustrer le calcul au moyen de prix fictifs. Prix 12/14 Prix 01/15 Prix 01/15 Prix 02/15 Prix 02/15 Prix 03/15 Marque A 1 l Marque B 1 l Marque C 1 l Marque A 50 cl Marque B 50 cl Marque C 50 cl Marque D 25 cl Marque B 10 g (cups) Ind 12/14 Ind 01/15 Ind 01/15 Ind 02/15 Ind 02/15 Ind 03/15 Marque A 1 l Marque B 1 l Marque C 1 l Marque A 50 cl Marque B 50 cl Marque C 50 cl Marque D 25 cl Marque B 10 g (cups) Moyenne géométrique Enchaînement (12/2014=100)

9 9/11 Quels ajustements ont-ils été apportés au panier de l'indice? Certains produits moins actuels ont disparu du panier de l'indice, d'autres ont fait leur apparition. Ainsi, ces ajustements permettent au panier de l'indice de «coller» davantage au mode de consommation actuel. À partir de 2015, le panier se compose de 623 témoins contre 611 en COICOP Intitulé Nouveaux témoins Laine à tricoter Parc pour bébé Chaise pour bébé Vélo électrique Casque audio Répéteur Wifi Playmobil Pâte à modeler Puzzle Vaccination contre la rage (chien) Implantation d'une puce électronique (chien) Partie de bowling Cotisation à un club sportif Valise de cabine Trousse à maquillage Frais délivr. d'une carte identité Permis de conduire Annonce nécrologique Témoins supprimés Tissu pour robe Lecteur MP3/MP Modem/router WIFI Location château gonflable Impression de photos numériques (photographe) Photocopie Il convient toutefois de noter que les 623 témoins représentent une importante sous-estimation des produits suivis dans la réalité, en raison de la transition aux scanner data pour neuf groupes de produits. En effet, les relevés de prix classiques pour 28 témoins au total, qui étaient répartis sur neuf groupes de produits, sont désormais remplacés partiellement par des scanner data. Ainsi, le nombre de produits suivis pour ces neuf groupes est devenu largement supérieur à 28.

10 10/11 Quels critères sont-ils utilisés pour supprimer ou ajouter des témoins? L'ajout ou la suppression de témoins ne s'effectue pas de manière arbitraire. Différentes raisons justifient cette décision : remplacement sur la base du comportement d'achat des consommateurs. Par exemple, la «laine à tricoter» a fait son apparition dans le groupe «tissus et laine», à la place de «tissu pour robe», car la laine à tricoter est de nouveau très en vogue ; extension sur la base de l'importance relative du groupe de produits dans lequel se trouve le produit : s'il existe relativement peu de témoins dans le panier pour un poids élevé, des témoins peuvent être ajoutés. C'est notamment le cas pour le groupe «jouets», qui compte désormais huit témoins à la place de quatre (idem pour le groupe «services vétérinaires», qui passe de deux à quatre témoins) ; désuétude de certains produits en raison de l'évolution technologique : les lecteurs MP3/MP4 ne sont plus représentatifs étant donné que les smartphones (repris dans l'indice depuis un certain temps) sont principalement utilisés aujourd'hui pour écouter de la musique ; plus grande représentativité de certains témoins pour un groupe de produits : par exemple, la «location d'un château gonflable» ne fait plus partie du groupe «services récréatifs et sportifs», mais deux témoins supplémentaires ont fait leur apparition. Ainsi, la «partie de bowling» et la «cotisation à un club sportif» ont rejoint l'entrée à la «piscine», l'«abonnement de tennis» et l'«abonnement au fitness», qui figuraient déjà dans le panier pour ce groupe. poids très faible pour certains groupes, pour lesquels il n'existait aucun témoin jusqu'à présent. C'est le cas du groupe «autre équipement pour la réception du son», pour lequel le témoin «casque audio» a été ajouté pour garantir l'exhaustivité du panier de produits. Pourquoi le schéma de pondération est-il actualisé? Comme en 2014, le schéma de pondération a été établi selon la nouvelle nomenclature européenne ECOICOP (Classification of Individual Consumption by Purpose). Cette classification européenne se compose de douze groupes principaux. Ce schéma est toujours basé sur l'enquête sur le budget des ménages de 2012, mais les pondérations ont été actualisées à l'année 2014 pour mesurer correctement l'évolution des prix actuelle. Comment le schéma de pondération est-il établi concrètement? Pour obtenir le schéma de pondération de 2015, les nouveaux témoins et les nouveaux groupes éventuels ont été intégrés au schéma de pondération de 2014, tandis que les témoins supprimés ont été retirés. Étant donné qu'un indice en chaîne est utilisé, dans lequel les prix des douze mois de l'année en cours sont comparés systématiquement avec le mois de décembre de l'année précédente, il faut adapter annuellement le schéma de pondération à l'année du mois de référence, et ce, au moyen de l'évolution des prix avec l'année pour

11 laquelle les valeurs sont exprimées. La littérature spécialisée qualifie cette méthode de price update ou actualisation des pondérations. 11/11 Concrètement, l'actualisation du schéma de pondération signifie que les valeurs du schéma de pondération basé sur les dépenses des ménages en 2012 sont actualisées à l'année 2014, et ce, au moyen de l'évolution de l'indice de chaque groupe, puisque décembre 2014 constitue le nouveau mois de référence. Pour chaque groupe, il convient de prendre son poids initial (en 2012), de le multiplier par l'indice du groupe en décembre 2014 et de le diviser par l'indice global de décembre L'énergie (hors gasoil de chauffage, pour lequel un lissage est prévu), les billets d'avion, les légumes frais, les fruits frais et le poisson frais (groupes avec un schéma saisonnier) ne suivent pas cette méthode, puisque les moyennes annuelles de 2012 et de 2014 sont utilisées à la place des indices de décembre 2012 et de décembre Cette méthode permet ainsi d'éviter de biaiser les résultats lors de l'actualisation des prix, à la suite de fortes fluctuations possibles en glissement mensuel. Après cette opération suit une remise à l'échelle pour ramener le poids total à L'annexe au présent communiqué contient le schéma de pondération pour 2015 ainsi que les poids utilisés en Tout comme l'année dernière, le schéma de pondération est publié jusqu'au niveau des groupes de produits les plus bas. Renseignements complémentaires Pour de plus amples renseignements, veuillez contacter Stephan Moens : 02/ statpress@economie.fgov.be Mention de la source Données chiffrées complémentaires Des tableaux contenant des données détaillées sont disponibles sur :

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