Accès structurés et Interopérabilité
|
|
- Pierre-Yves Guertin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Accès structurés et Interopérabilité Yoann Ricordel, João Prado, Cedric Honnet Robotique et Systèmes Embarqués Telecom ParisTech 24 mars Introduction Avec l avènement du Web 2.0, l Internet est de plus en plus interactif, et l usage des webservices se répand. En effet, comme en témoigne le succès de Facebook ou Twitter, les sites à contenu dynamique ont largement pris la place des pages statiques, et la réactivité et la personnalisation sont des attributs désormais exigés par la plupart des utilisateurs. Parallèlement à cela, le nombre de terminaux connectés à Internet augmente rapidement avec la démocratisation des smartphones, et l émergence de l IPv6 permettra à chaque objet d avoir une adresse publique, ils seront donc susceptibles d héberger des services Web. Une architecture REST offre une grande simplicité à l utilisateur du service Web, que ce soit un humain ou un programme nous discuterons cette architecture dans la première section de cet article. Le protocole CoAP est adapté aux faibles ressources, et sera donc tout indiqué pour l Internet des objets que certains appellent déjà le Web 3.0, il sera détaillé dans une seconde partie. Enfin, pour garantir l interopérabilité à tous les niveaux, il est impératif de représenter les données de manière standardisée, ce sera l objet de la dernière partie de l article. 2 REST 2.1 Prologue REST, acronyme de REpresentational State Transfer, n est pas un protocole ni un standard mais plutôt une définition de bonnes pratiques de création de service Web. Ce style d architecture a été élaboré en an 2000 par Roy Fielding, un des créateurs du protocole HTTP, qui lui-même avait été élaboré une dizaine d années auparavant. 2.2 Concept Pour introduire le sujet il peut être utile d évoquer quelques termes utilisé dans la suite du document : Une ressource" est une chose nommable (ex : un site web) Une représentation" est une séquence d octets (ex : un image) Un composant" est un acteur, il est relié a d autres composants ou ressources par des canaux (ex : un serveur) Le modèle REST peut même être considéré comme la base de l architecture originale du Web, il est bâtie sur quelques principes simples : L architecture client-serveur est le mode de communication utilisé 1
2 Un URI 1 doit suffire pour accéder à une ressource Chaque opération est auto-suffisante : il n y a pas d état relatif au client chez le serveur, condition quasi sine qua none pour le passage à l échelle Le serveur utilise des ressources distribuées en couches, la couche externe répartissant les taches à d autres couches non accessible par le client directement. HTTP fournit toutes les opérations nécessaires : GET, PUT, POST et DELETE, essentiellement (cf illustration ci-après) Les contraintes précédentes peuvent établir la caractérisation d un système respectant le modèle REST. Comme évoqué, ces services se mettent facilement en correspondance avec les opérations de HTTP : Une opération GET permet d obtenir de l information Une opération PUT permet d en envoyer Une opération POST permet d effectuer une mise à jour Une opération DELETE permet d effacer une ressource L illustration suivante résume les requêtes HTTP de bases et leur rôle : Figure 1 Source : figer.com Ces détails peuvent paraître évident mais ils ne sont pas toujours respectés. En effet, il existe par exemple des implémentations moyennement logiques dans lesquelles un GET peut provoquer des modifications sur un serveur. Les ressources doivent donc être catégorisées selon leurs possibilités offertes à l application cliente ; la question suivante se pose donc : ne peut-elle que recevoir une représentation (GET) ou peut-elle modifier/créer une ressource (POST, PUT, DELETE)? 2.3 Épilogue En conclusion, REST établie des conventions architecturales pratiques pour la communication de données de façon générale. Cette méthode est propre" contrairement à bien des pratiques rencontrées dans certains sites fait en php par exemple : pour de nombreux sites commerciaux l URI est inutilisable parce qu un état caché est utilisé par exemple ; on ne peut donc pas marquer une page donnée, envoyer son URI à d autres, etc. L URI a aussi l avantage de permettre l utilisation de cache pour éviter des requêtes inutiles. Cette fonctionnalité améliore considérablement les performances réseaux mais on traitera 1. Uniforme Ressource Locator : URN (Name) ou URL (Locator) 2
3 plus profondément ce sujet dans le chapitre traitant CoAP, une implémentation de REST pour l embarqué. Enfin, REST présente l intérêt d ouvrir l accès à des données de façon plus structurées et donc plus simplement. Des exemples d implémentations seront fournis dans les chapitres suivants mais concrètement un service RESTful doit être facile à lire ou à parser même avec des outils aussi basique que curl 2. Cette interopérabilité présente de nombreux avantages qui seront illustrés dans ce document. 3 CoAP : Constrained Application Protocol 3.1 REST pour l embarqué Comme vu dans la section précédente, REST permet d implémenter des systèmes fiables, flexibles et interopérables. Pourtant, les protocoles qui implémentent cette architecture ne sont pas toujours adaptés au monde des systèmes embarqués. HTTP, par exemple, a des entêtes codées en ASCII, ce qui augmente beaucoup l overhead du protocole quand chaque requête retourne un nombre faible de données c est typiquement le cas, par exemple, dans les réseaux de capteurs sans fil, où chaque message est souvent une seule mesure. C est pour proposer des solutions pour le monde des systèmes embarqués RESTful que le groupe de travail CoRE (Constrained RESTful environments), de l IETF (Internet Engineering Task Force), a été créé. Son objectif est de fournir un framework pour les applications qui s appuient sur des réseaux avec des contraintes de débit, consommation et puissance de calcul. Le protocole CoAP (Constrained Application Protocol), qui sera exposé dans cette section, est le fruit de ces efforts. 3.2 Anatomie du protocole Le premier brouillon de CoAP date de juin 2010, et, au moment de l écriture de cet article, il est toujours en développement. Pour implémenter l architecture REST, CoAP reprend plusieurs concepts d HTTP. En effet, il y a une correspondance directe entre les méthodes des deux protocoles, ce qui simplifie la conception d un proxy pour connecter un réseau CoAP à l Internet usuel. Pourtant, plusieurs optimisations ont été faites pour le rendre plus adapté aux systèmes embarqués. Premièrement, les échanges se font par des messages asynchrones, avec des mécanismes de fiabilité optionnels ; les protocoles de transport par datagramme notamment UDP, qui est utilisé par défaut sont donc privilégiés. En outre, les entêtes sont assez compressées, pour réduire la complexité du décodage et les besoins en bande passante. Finalement, plusieurs fonctionnalités supplémentaires, dont des capacités de proxy et cache simplifiées, de découverte et observation de ressources augmentent l intérêt du protocole pour les réseaux contraints Format des messages Tous les messages CoAP ont le format décrit dans la figure 2. Les champs sont définis comme suit : Version (Ver) : indique le numéro de version de CoAP utilisé. Pour l instant, la seule valeur possible est 1 ; Type (T) : indique si le message est : 1. Confirmable (CON) : message fiable, qui exige un acquittement ; 2. Dans un usage simplifié, curl pourrait se résumer à une combinaison de wget et de less 3
4 2. Non-confirmable (NON) : message asychrone, qui n a pas besoin d être acquitté ; 3. Acknowledgement (ACK) : message d acquittement, réponse à une requête CON ; 4. Reset (RST) : message qui indique qu un serveur a bien reçu la requête, mais n a pas le contexte nécessaire pour fournir une bonne réponse (suite à un redémarrage, par exemple) ; Option count (OC) : contient le numéro d options transmises dans l entête Code : indique si le message est une requête, une réponse ou un message vide. Dans le cas d une requête, indique également la méthode utilisée (GET, POST, PUT ou DELETE) ; pour une réponse, contient un code qui permet d identifier la nature de la réponse ; Message ID : numéro de série, utilisé pour détecter les messages dupliqués et pour faire la correspondance entre un message CON et son ACK respectif ; Options : contiennent des informations supplémentaires, reliées ou non au type du message. Par exemple, ce champ peut contenir un paramètre Max-Age pour définir la validité des données transmises (rendant ainsi possible l utilisation d un cache), ou bien un Token qui peut être utilisé par le serveur pour identifier une réponse différée (cf. section 3.3.2) ; Payload : contient les données transmises par l application. 3.3 Exemples Message confirmable et réponse immédiate La figure 3 contient un exemple basique de l utilisation des messages du type CON. Le client demande, par une requête du type GET, la température chez le serveur. Le serveur répond immédiatement, avec un réponse ACK, la valeur lue par ses capteurs. Il y a trois points importants à souligner sur ce premier exemple : 1. La requête (CON) et l acquittement (ACK) ont le même message ID. Cela permet l implémentation d un mécanisme de fiabilité : le client peut retransmettre un message confirmable jusqu à ce qu il reçoit l acquittement correspondent ou qu il excède une limite maximum de tentatives (MAX_RETRANSMIT, qui vaut 4 pour la version actuelle de CoAP). L intervallle entre les retransmissions croît exponentiellemnent en fonction du nombre de tentatives échouées ; 2. Le message d acquittement contient déjà les données de la réponse : CoAP utilise donc la technique du piggybacking pour optimiser les transferts ; 3. Le ticket permet d identifier univoquement une requête ; son utilité peut être mieux comprise dans le prochain exemple. Figure 2 Format d un message CoAP (extrait de [I-D.ietf-core-coap]) 4
5 Client Serveur CON [0xbc90] GET /temperature (Token 0x71) ACK [0xbc90] 2.00 OK (Token 0x71) "22.5 C" Figure 3 Message confirmable et réponse immédiate (extrait de [I-D.ietf-core-coap]) Message confirmable et réponse différée Un autre cas d utilisation est possible pour les messages confirmables. Si le serveur n est pas en mésure de répondre immédiatement à une requête, il peut envoyer un acquittement vide au client, pour signaler qu il a bien reçu le message et qu il essaye d obtenir la réponse. Une fois qu il aura les données nécessaires, il les enverra au client dans un message contenant le même ticket (qu il aurait sauvegardé lors du premier message) : de cette manière, le client peut identifier la requête d origine et interpréter correctement la réponse. Une représentation graphique de cette dynamique est présente sur la figure 4. Client Serveur CON [0x7a10] GET /temperature (Token 0x73) ACK [0x7a10] CON [0x23bb] 2.00 OK (Token 0x73) "22.5 C" ACK [0x23bb] Figure 4 Message confirmable et réponse différée (extrait de [I-D.ietf-core-coap]) 3.4 Observation de ressources Une extension intéressante à CoAP proposée par CoRE (et présentée en [I-D.ietf-core-observe]) permet d observer les changements d état d un serveur dans le temps. Cela se fait par un mécanisme de souscription : le client envoie au serveur une requête du type GET contenant une option temps de vie (Lifetime) ; le serveur, à son tour, envoie une réponse indiquant l état actuel et enregistre l abonnement, pour qu à chaque changement d état une notification soit 5
6 envoyée au client, et ce jusqu à l expiration du temps de vie. Cette option permet, d un côté, d optimiser l utilisation de la bande passante, vu que les multiples requêtes ne sont plus nécessaires. De l autre côte, la possibilité de n envoyer des messages que lors d un changement d état rend possible une sensible économie d énergie chez le serveur un facteur important lorsque l on considère les réseaux de capteurs sans fil, dans lesquels l intérêt est d avoir les nœuds les plus énergétiquement efficients pour minimiser les coûts et les inconvénients liés à l échange des batteries (quand il est possible). 4 Interopérabilité et représentation des informations 4.1 Position du problème Nous savons maintenant comment créer une architecture flexible grâce à REST, et nous connaissons un protocole applicatif adapté aux faibles ressources, et donc tout indiqué pour l embarqué. Nous avons donc tout le nécessaire pour que nos applications puissent s envoyer des messages, et pour créer facilement de nouvelles interfaces utilisant les services REST fournis. Cependant, il y a encore un problème que nous n avons pas abordé : nos applications doivent se comprendre. Si j envoie une lettre en Français à un ami Chinois qui ne parle pas Français, la lettre arrivera sans problème mais ne lui sera d aucune utilité. Il en va de même pour les applications : pour pouvoir échanger des données, l application émettrice doit les représenter d une manière compréhensible pour l application réceptrice. Il est donc nécessaire de définir des normes, ou au minimum d avoir des standards de fait, de préférence ouverts, concernant le format d échange de données. Aujourd hui, deux formats sortent du lot pour remplir cette tâche : XML et JSON. Dans la suite, nous nous intéresseront à ces deux standards en essayant de montrer les forces et les faiblesses de chacun. 4.2 XML : extensible Markup Language Forme du langage La syntaxe d XML contient deux éléments principaux permettant de structurer les informations : les balises, et les attributs. Cette syntaxe est en fait familière à toute personne ayant déjà manipulé du HTML 3 : une balise peut contenir un ou plusieurs attributs dont chacun possède une valeur, puis on trouve le contenu, et enfin la balise fermante : <balise attribut_1="valeur_1" attribut_2="valeur_2"> Contenu de la balise </balise> On peut organiser hiérarchiquement un document à l aide de plusieurs balises différentes, en les imbriquant les unes dans les autres (en prenant soin de les fermer dans l ordre). On pourrait par exemple décrire un article de la manière suivante : <article auteur="jean Dupont"> <titre>titre de l article</titre> <sommaire> <chapitre id="1">chapitre 1</chapitre>... <chapitre id="n">chapitre n</chapitre> <sommaire> 3. même si HTML n est pas strictement un langage XML, excepté les deux versions de XHTML 6
7 <contenu> <chapitre id="1"> Contenu du chapitre, qui peut encore être divisé en sous sections, contenir des listes... </chapitre>... <chapitre id="n"> Contenu du chapitre </chapitre> </contenu> </aticle> Pas un langage, un métalangage XML n est en réalité pas un langage, mais un métalangage. Il définit un certain nombre de règles, mais ne définit pas de vocabulaire (les mots-clés). Ainsi, dans l exemple précédent, on utilise les mots article, auteur, chapitre, qui ne sont pas définis dans la norme XML. Tout langage XML est accompagné de la définition de son vocabulaire, définition qui peut prendre plusieurs formes, comme une DTD 4 ou un schéma XML. XML permet donc la définition d un langage adapté à une utilisation spécifique, comme la représentation de pages web (XHTML 5 ), de documents bureautique (OpenDocument), ou encore d images vectorielles (SVG 6 ). Cette propriété rend XML très utile pour la conception de documents structurés de taille importante, et offre aux documents une forte valeur sémantique, utile par exemple pour des opérations d indexation automatique. Par ailleurs, XML gère les espaces de noms, permettant d utiliser plusieurs vocabulaires différents dans un même document Utilisation dans des applications REST Ce qui existe Un bon exemple d implémentation de REST est le protocole HTTP, et l une de ses utilisations grandissante est la méthode AJAX 7. Cette technologie, comme son nom l indique, se repose à la base sur JavaScript et XML. Son principe est simple : un script JavaScript côté client envoie une requête HTTP à un serveur, qui lui renvoie les informations demandées en XML, puis le script utilise ces informations comme il le souhaite. Cette technique est souvent utilisée pour mettre à jour une page web sans avoir à la recharger entièrement, utile par exemple pour de l auto-complétion dans un formulaire. Limites Généralement, les retours venus du serveur sont assez réduits en volume (par exemple une liste ordonnée de 5 auto-complétions possibles). Il paraît alors un peu démesuré d utiliser un format XML avec un vocabulaire précis (qui doit être connu du programme traitant les données), de la même manière qu il serait démesuré de créer un document L A TEX pour faire sa liste de courses. De plus, XML est relativement verbeux et peu économe en nombre de caractères nécessaires, notamment à cause des balises fermantes obligatoires, ce qui est gênant si l on a des ressources limitées (n oublions pas qu un paquet CoAP doit obligatoirement tenir dans un paquet IP, une représentation des données trop peu compacte peut donc être handicapante). 4. Document Type Definition 5. extensible HyperText Markup Language 6. Scalable Vector Graphics 7. Asynchronous JAvascript and XML 7
8 Si XML est très adapté à la représentation de documents structurés, il semble l être moins pour la représentation de petites quantités d information, ce qui nous amène à considérer une représentation plus adaptée : JSON. 4.3 JSON JSON (prononcer «Jason»), acronyme pour JAvascript Object Notation, propose une alternative agréable à XML pour la transmission de données. Apparu vers le début des années 2000, il a mis quelques années à se démocratiser, mais est aujourd hui assez répandu et utilisé comme substitut à XML en AJAX 4.4 Syntaxe de JSON JSON reprend la syntaxe du langage JavaScript, et se base sur deux structures de données : L Array : un liste ordonnée de valeurs, entre crochets et séparées par des virgules : [Valeur_1, Valeur_2,..., Valeur_n] L Object : un tableau associatif ou hashtable, associant des clés (uniques) à des valeurs : { "Clé_1" : Valeur_1, "Clé_2" : Valeur_2,... "Clé_n" : Valeur_n} Une valeur peut être un objet, un array, une chaine de caractères, un nombre flottant, ou encore les valeurs true, false et null. Voici en détails la grammaire du langage JSON, présenté sous forme graphique, plus agréable à lire qu une vraie grammaire EBNF (source : json.org) : Figure 5 Grammaire des objets Figure 6 Grammaire des tableaux 8
9 Figure 7 Grammaire des valeurs Figure 8 Grammaire des chaînes de caractères 9
10 Figure 9 Grammaire des flottants 4.5 Points forts Parsage Nous venons de voir que la grammaire de JSON est très simple, puisque 5 règles suffisent à la décrire. Certaines seraient éclatées en plusieurs s il fallait écrire une grammaire BNF lisible (la description des chaînes ou nombres ne se ferait peut-être pas en une seule règle), mais même dans ce cas, elles resteraient en nombre raisonnable. Même si ces cinq règles devaient se séparer en vingt lors de l implémentation d un analyseur syntaxique, on serait encore loin derrière les 89 utilisées pour décrire la grammaire d XML 8. Le parsage de données représentées en JSON apparaît donc comme étant plus léger, plus simple que pour du XML, ce qui est intéressant en particulier sur des systèmes à ressources limitées, comme les systèmes embarqués Proximité avec les langages de programmation JSON se repose sur deux structures de données qui existent nativement dans un grand nombre de langages, ce qui permet de passer rapidement d une donnée interne au programme à une donnée JSON à transmettre, et inversement. Le tableau est une structure native de presque tous les langages «mainstream» (tableaux de C, C++, Java, Python,...). En ce qui concerne les tableaux associatifs, ils sont natifs en Python (dictionnaires) ou Java (hashtable), et présents dans les conteneurs standards C++ (map). En ce qui concerne C, il n y a rien de natif mais on trouve des implémentations de hashtables, notamment dans la glib. Cette proximité rend JSON adapté à la sérialisation d objets, en particulier en JavaScript où la désérialisation consiste en une simple lecture de la chaîne de caractères 9, mais aussi pour de nombreux autres langages. 4.6 JSON en pratique Pour ceux qui auraient d ores et déjà décidé d opter pour l utilisation de JSON, voici quelques pistes pour démarrer plus vite Cette pratique est cependant très peu sécurisée car du code malicieux pourrait facilement être exécuté, et ne devrait donc être utilisée que sur des systèmes dont on a le contrôle complet 10
11 Parseurs JSON : en bas de la page json.org se trouvent de nombreux liens vers des bibliothèques JSON en C, Python, C++, Lua, ou presque tout autre langage qui pourrait vous intéresser Type MIME : que ce soit pour HTTP ou CoAP, il est nécessaire de préciser dans l en-tête du paquet que la charge utile est du JSON (pour que l application distante puisse savoir comment la décoder). En HTTP, il s agit de préciser le type MIME application/json à la section Content-Type. Pour CoAP, par souci d économie de taille, les options ont un ordre fixe, et leurs valeurs sont encodées. On s intéresse ici à l option n 1 correspondant au champ Content-Type, dont la valeur correspondant au type application/json est Des hash-tables en C : contrairement à Python et C++ (via la stdlib), le C ne possède pas de structure native pour les tableaux associatifs. Néanmoins, des implémentations existent, on peut notamment regarder du côté de la GLib 11, ou simplement se débrouiller avec des struct. Références [BORTZMEYER] [BORDERIE] [I-D.ietf-core-coap] Bortzmeyer, Stephane, Programmation réseau avec REST Borderie, Xavier, L architecture REST rest1a.shtml Shelby, Z., Hartke, K., Bormann, C., and B. Frank, Constrained Application Protocol (CoAP), draft-ietf-core-coap-04 (travaux en cours), janvier [I-D.ietf-core-observe] Hartke, K. and Shelby, Z. Observing Resources in CoAP, draft-ietf-core-observe-01 (travaux en cours), février [JSON] [GLib] [MACTECH] JSON site officiel json.org GLib documentation officielle html Mactech, How to Harness the Power of Associative Arrays. AssociativeArrays/index.html 10. Pour plus d informations, se reporter au dernier draft de l IETF : draft-ietf-core-coap
4. SERVICES WEB REST 46
4. SERVICES WEB REST 46 REST REST acronyme de REpresentational State Transfert Concept introduit en 2000 dans la thèse de Roy FIELDING Est un style d architecture inspiré de l architecture WEB En 2010,
Plus en détailXML, PMML, SOAP. Rapport. EPITA SCIA Promo 2004 16 janvier 2003. Julien Lemoine Alexandre Thibault Nicolas Wiest-Million
XML, PMML, SOAP Rapport EPITA SCIA Promo 2004 16 janvier 2003 Julien Lemoine Alexandre Thibault Nicolas Wiest-Million i TABLE DES MATIÈRES Table des matières 1 XML 1 1.1 Présentation de XML.................................
Plus en détailINTERNET est un RESEAU D ORDINATEURS RELIES ENTRE EUX A L ECHELLE PLANETAIRE. Internet : interconnexion de réseaux (anglais : net = réseau)
CS WEB Ch 1 Introduction I. INTRODUCTION... 1 A. INTERNET INTERCONNEXION DE RESEAUX... 1 B. LE «WEB» LA TOILE, INTERCONNEXION DE SITES WEB... 2 C. L URL : LOCALISER DES RESSOURCES SUR L INTERNET... 2 D.
Plus en détailLangage HTML (2 partie) <HyperText Markup Language> <tv>lt La Salle Avignon BTS IRIS</tv>
Langage HTML (2 partie) «Je n'ai fait que prendre le principe d - hypertexte et le relier au principe du TCP et du DNS et alors boum! ce fut le World Wide Web!» Tim Berners-Lee
Plus en détailPetite définition : Présentation :
Petite définition : Le Web 2.0 est une technologie qui permet la création de réseaux sociaux, de communautés, via divers produits (des sites communautaires, des blogs, des forums, des wiki ), qui vise
Plus en détailArchitecture Orientée Service, JSON et API REST
UPMC 3 février 2015 Précedemment, en LI328 Architecture générale du projet Programmation serveur Servlet/TOMCAT Aujourd hui Quelques mots sur les SOA API - REST Le format JSON API - REST et Servlet API
Plus en détailLes Architectures Orientées Services (SOA)
Les Architectures Orientées Services (SOA) Ulrich Duvent Guillaume Ansel Université du Littoral Côte d Opale 50, Rue Ferdinand Buisson BP 699 62228 Calais Cedex Téléphone (33) 03.21.46.36.92 Télécopie
Plus en détail18 TCP Les protocoles de domaines d applications
18 TCP Les protocoles de domaines d applications Objectifs 18.1 Introduction Connaître les différentes catégories d applications et de protocoles de domaines d applications. Connaître les principaux protocoles
Plus en détailSIP. Plan. Introduction Architecture SIP Messages SIP Exemples d établissement de session Enregistrement
SIP Nguyen Thi Mai Trang LIP6/PHARE Thi-Mai-Trang.Nguyen@lip6.fr UPMC - M2 Réseaux - UE PTEL 1 Plan Introduction Architecture SIP Messages SIP Exemples d établissement de session Enregistrement UPMC -
Plus en détailIntroduction à. Oracle Application Express
Introduction à Oracle Application Express Sommaire Qu est-ce que Oracle Application Express (APEX)? Vue d ensemble des fonctionnalités et des différents composants d Oracle APEX Démonstration de création
Plus en détailArchitectures Web Services RESTful
Architectures Web Services RESTful Alexandre Denis Alexandre.Denis@inria.fr Inria Bordeaux Sud-Ouest France ENSEIRB PG306 REST REST Representational State Transfer Roy Fielding (2000) Décollage vers 2006-2007
Plus en détailBES WEBDEVELOPER ACTIVITÉ RÔLE
BES WEBDEVELOPER ACTIVITÉ Le web developer participe aux activités concernant la conception, la réalisation, la mise à jour, la maintenance et l évolution d applications internet/intranet statiques et
Plus en détailProgrammation Internet Cours 4
Programmation Internet Cours 4 Kim Nguy ên http://www.lri.fr/~kn 17 octobre 2011 1 / 23 Plan 1. Système d exploitation 2. Réseau et Internet 3. Web 3.1 Internet et ses services 3.1 Fonctionnement du Web
Plus en détailProgrammation Web. Madalina Croitoru IUT Montpellier
Programmation Web Madalina Croitoru IUT Montpellier Organisation du cours 4 semaines 4 ½ h / semaine: 2heures cours 3 ½ heures TP Notation: continue interrogation cours + rendu à la fin de chaque séance
Plus en détailBien architecturer une application REST
Olivier Gutknecht Bien architecturer une application REST Avec la contribution de Jean Zundel Ce livre traite exactement du sujet suivant : comment faire pour que les services web et les programmes qui
Plus en détailLa VOIP :Les protocoles H.323 et SIP
La VOIP :Les protocoles H.323 et SIP PLAN La VOIP 1 H.323 2 SIP 3 Comparaison SIP/H.323 4 2 La VOIP Qu appelle t on VOIP? VOIP = Voice Over Internet Protocol ou Voix sur IP La voix sur IP : Le transport
Plus en détail(structure des entêtes)
Aide mémoire HTTP (structure des entêtes) Fabrice HARROUET École Nationale d Ingénieurs de Brest http://www.enib.fr/~harrouet/ enib 1/10 Structure générale d une requête Requête HTTP méthode ressource
Plus en détailXML par la pratique Bases indispensables, concepts et cas pratiques (3ième édition)
Présentation du langage XML 1. De SGML à XML 17 2. Les bases de XML 18 2.1 Rappel sur HTML 18 2.2 Votre premier document XML 19 2.3 Les avantages de XML 21 3. La syntaxe XML 21 3.1 La première ligne du
Plus en détailTechnologies pour Web Services faciles : REST, JSON
Technologies pour Web Services faciles : REST, JSON Pierre Gambarotto INPT DSI, ENSEEIHT Département Informatique ENSEEIHT, 2 rue Charles Camichel, B.P. 7122 31071 Toulouse CEDEX7 FRANCE Résumé Cet article
Plus en détailApplication Web et J2EE
Application Web et J2EE Servlet, JSP, Persistence, Méthodologie Pierre Gambarotto Département Informatique et Math appli ENSEEIHT Plan Introduction 1 Introduction Objectfis
Plus en détailInstallation d un serveur HTTP (Hypertext Transfer Protocol) sous Débian 6
Installation d un serveur HTTP (Hypertext Transfer Protocol) sous Débian 6 1 BERNIER François http://astronomie-astrophotographie.fr Table des matières Installation d un serveur HTTP (Hypertext Transfer
Plus en détailL3 informatique TP n o 2 : Les applications réseau
L3 informatique TP n o 2 : Les applications réseau Sovanna Tan Septembre 2009 1/20 Sovanna Tan L3 informatique TP n o 2 : Les applications réseau Plan 1 Transfert de fichiers 2 Le Courrier électronique
Plus en détailModule http MMS AllMySMS.com Manuel d intégration
Module http MMS AllMySMS.com Manuel d intégration Objectif du document... 3 1 Envoi de MMS par requête http... 4 1.1 Format de la requête utilisée... 4 1.2 Arborescence et explication des balises du flux
Plus en détailExploration des technologies web pour créer une interaction entre Mahara et les plateformes professionnelles et sociales
Exploration des technologies web pour créer une interaction entre Mahara et les plateformes professionnelles et sociales D 1.3.2 Rapport d analyse Auteurs: Johann Luethi, Laurent Opprecht, Patrick Roth
Plus en détailInternet. DNS World Wide Web. Divers. Mécanismes de base Exécution d'applications sur le web. Proxy, fire-wall
Internet DNS World Wide Web Mécanismes de base Exécution d'applications sur le web Divers Proxy, fire-wall 1 Les services usuels de l Internet Services principaux (applications) disponibles sur l Internet
Plus en détailApplications et Services WEB: Architecture REST
Applications et : Erick Stattner Laboratoire LAMIA Université des Antilles et de la Guyane France erick.stattner@univ-ag.fr Guadeloupe 2014-2015 Erick Stattner Applications et : 1 / 90 Description du cours
Plus en détailWEB & DÉVELOPPEMENT LES BASES DU WEB LE LANGAGE HTML FEUILLES DE STYLES CSS HISTORIQUE D INTERNET ET DU WEB LES DIFFÉRENTS LANGAGES
WEB & DÉVELOPPEMENT LES BASES DU WEB HISTORIQUE D INTERNET ET DU WEB LES DIFFÉRENTS LANGAGES LE LANGAGE HTML STRUCTURE D UNE PAGE En-tête et corps Syntaxe INSÉRER DES CONTENUS Texte : formatage (titre,
Plus en détailEvolution et architecture des systèmes d'information, de l'internet. Impact sur les IDS. IDS2014, Nailloux 26-28/05/2014 pascal.dayre@enseeiht.
Evolution et architecture des systèmes d'information, de l'internet. Impact sur les IDS IDS2014, Nailloux 26-28/05/2014 pascal.dayre@enseeiht.fr 1 MVC et le web 27/05/14 2 L'évolution des systèmes informatiques
Plus en détailMise en œuvre des serveurs d application
Nancy-Université Mise en œuvre des serveurs d application UE 203d Master 1 IST-IE Printemps 2008 Master 1 IST-IE : Mise en œuvre des serveurs d application 1/54 Ces transparents, ainsi que les énoncés
Plus en détailServeurs de noms Protocoles HTTP et FTP
Nils Schaefer Théorie des réseaux (EC3a) Serveurs de noms Protocoles HTTP et FTP Théorie des réseaux (EC3a) Séance 7 Pourquoi DNS? Internet est une structure hiérarchique et arborescente de réseaux et
Plus en détailCOMPRENDRE L ARCHITECTURE DES WEB SERVICES REST. Amosse EDOUARD, Doctorant
COMPRENDRE L ARCHITECTURE DES WEB SERVICES REST Amosse EDOUARD, Doctorant Organisation Cours Magistral 24/11/2014 26/11/2014 01/12/2014 Travaux Dirigés 26/11/2014 28/11/2014 01/11/2014 08/11/2014 Evaluation
Plus en détailTIC. Réseau informatique. Historique - 1. Historique - 2. TC - IUT Montpellier Internet et le Web
Réseau informatique TIC TC - IUT Montpellier Internet et le Web Ensemble d'ordinateurs reliés entre eux et échangeant des informations sous forme de données numériques But : Rendre disponible l information
Plus en détailActivité sur Meteor. Annexe 1 : notion de client-serveur et notion de base de données
Activité sur Meteor Annexe 1 : notion de client-serveur et notion de base de données Notion de client-serveur Que se passe-t-il lorsque vous tapez dans la barre d'adresse de votre navigateur «http://www.google.fr»?
Plus en détailTechnologies du Web. Créer et héberger un site Web. Pierre Senellart. Page 1 / 26 Licence de droits d usage
Technologies du Web Créer et héberger un site Web Page 1 / 26 Plan Planification Choisir une solution d hébergement Administration Développement du site Page 2 / 26 Cahier des charges Objectifs du site
Plus en détailDévelopper des Applications Internet Riches (RIA) avec les API d ArcGIS Server. Sébastien Boutard Thomas David
Développer des Applications Internet Riches (RIA) avec les API d ArcGIS Server Sébastien Boutard Thomas David Le plan de la présentation Petit retour sur les environnements de développement ArcGIS Server
Plus en détailMagento. Magento. Réussir son site e-commerce. Réussir son site e-commerce BLANCHARD. Préface de Sébastien L e p e r s
Mickaël Mickaël BLANCHARD BLANCHARD Préface de Sébastien L e p e r s Magento Préface de Sébastien L e p e r s Magento Réussir son site e-commerce Réussir son site e-commerce Groupe Eyrolles, 2010, ISBN
Plus en détailIntroduction aux. services web 2 / 2
Introduction aux services web 2 / 2 1 Calendrier 2 x CM A 107 mercredi 7 janvier 2015, 08 h 00 10 h 00 : introduction sur la théorie des services web mercredi 28 janvier 2015, 08 h 00 10 h 00 : introduction
Plus en détailles techniques d'extraction, les formulaires et intégration dans un site WEB
les techniques d'extraction, les formulaires et intégration dans un site WEB Edyta Bellouni MSHS-T, UMS838 Plan L extraction des données pour un site en ligne Architecture et techniques Les différents
Plus en détailDevenez un véritable développeur web en 3 mois!
Devenez un véritable développeur web en 3 mois! L objectif de la 3W Academy est de former des petits groupes d élèves au développement de sites web dynamiques ainsi qu à la création d applications web
Plus en détailArchitecture N-Tier. Ces données peuvent être saisies interactivement via l interface ou lues depuis un disque. Application
Architecture Multi-Tier Traditionnellement une application informatique est un programme exécutable sur une machine qui représente la logique de traitement des données manipulées par l application. Ces
Plus en détailFORMATION PcVue. Mise en œuvre de WEBVUE. Journées de formation au logiciel de supervision PcVue 8.1. Lieu : Lycée Pablo Neruda Saint Martin d hères
FORMATION PcVue Mise en œuvre de WEBVUE Journées de formation au logiciel de supervision PcVue 8.1 Lieu : Lycée Pablo Neruda Saint Martin d hères Centre ressource Génie Electrique Intervenant : Enseignant
Plus en détailModule BD et sites WEB
Module BD et sites WEB Cours 8 Bases de données et Web Anne Doucet Anne.Doucet@lip6.fr 1 Le Web Architecture Architectures Web Client/serveur 3-tiers Serveurs d applications Web et BD Couplage HTML-BD
Plus en détailCréation, analyse de questionnaires et d'entretiens pour Windows 2008, 7, 8 et MacOs 10
modalisa Création, analyse de questionnaires et d'entretiens pour Windows 2008, 7, 8 et MacOs 10 8 Fonctionnalités de mise en ligne de questionnaires Vous trouverez dans cet opuscule les informations nécessaires
Plus en détailAutour du web. Une introduction technique Première partie : HTML. Georges-André SILBER Centre de recherche en informatique MINES ParisTech
Autour du web Une introduction technique Première partie : HTML Georges-André SILBER Centre de recherche en informatique MINES ParisTech silber@cri.ensmp.fr http://www.cri.ensmp.fr/people/silber/cours/2010/web
Plus en détailPrincipales failles de sécurité des applications Web Principes, parades et bonnes pratiques de développement
Guillaume HARRY l Contenu sous licence Creative Commons CC-BY-NC-ND Principales failles de sécurité des applications Web Principes, parades et bonnes pratiques de développement P. 2 1. Introduction 2.
Plus en détailA. Architecture du serveur Tomcat 6
Administration du serveur A. Architecture du serveur Tomcat 6 La compréhension de l architecture interne du serveur Tomcat 6 est un pré-requis indispensable pour bien en maîtriser l administration et la
Plus en détailGlossaire. www.themanualpage.org ( themanualpage.org) soumises à la licence GNU FDL.
Glossaire Ce glossaire contient les termes techniques et de spécialité les plus employés dans cette thèse. Il emprunte, pour certaines d entre elles, les définitions proposées par www.themanualpage.org
Plus en détailNFA016 : Introduction. Pour naviguer sur le Web, il faut : Naviguer: dialoguer avec un serveur web
NFA016 : Introduction O. Pons, S. Rosmorduc Conservatoire National des Arts & Métiers Pour naviguer sur le Web, il faut : 1. Une connexion au réseau Réseau Connexion physique (câbles,sans fils, ) à des
Plus en détailLes services usuels de l Internet
Les services usuels de l Internet Services principaux (applications) disponibles sur l Internet Courrier électronique (mail) - protocole SMTP (Simple Mail Transfer Protocol) inclut maintenant tous types
Plus en détailTP JEE Développement Web en Java. Dans ce TP nous commencerons la programmation JEE par le premier niveau d une application JEE : l application web.
ASTRIUM - Toulouse JEE Formation 2013 TP JEE Développement Web en Java Dans ce TP nous commencerons la programmation JEE par le premier niveau d une application JEE : l application web. Figure 1 Architecture
Plus en détailHébergement de site web Damien Nouvel
Hébergement de site web Plan L'hébergeur Le serveur web Apache Sites dynamiques 2 / 27 Plan L'hébergeur Le serveur web Apache Sites dynamiques 3 / 27 L'hébergeur L'hébergeur sous-traite l'architecture
Plus en détailDéveloppement des Systèmes d Information
Développement des Systèmes d Information Axe ISI Camille Persson Institut Fayol / LSTI / ISCOD École Nationale Supérieure des Mines de Saint-Etienne 158 cours Fauriel, 42000 Saint-Etienne persson@emse.fr
Plus en détailFileMaker Server 11. Publication Web personnalisée avec XML et XSLT
FileMaker Server 11 Publication Web personnalisée avec XML et XSLT 2007-2010 FileMaker, Inc. Tous droits réservés. FileMaker, Inc. 5201 Patrick Henry Drive Santa Clara, Californie 95054 FileMaker est une
Plus en détailServices Réseaux - Couche Application. TODARO Cédric
Services Réseaux - Couche Application TODARO Cédric 1 TABLE DES MATIÈRES Table des matières 1 Protocoles de gestion de réseaux 3 1.1 DHCP (port 67/68)....................................... 3 1.2 DNS (port
Plus en détailAJAX. (Administrateur) (Dernière édition) Programme de formation. France, Belgique, Suisse, Roumanie - Canada
AJAX (Administrateur) (Dernière édition) Programme de formation Microsoft Partner France, Belgique, Suisse, Roumanie - Canada WWW.SASGROUPE.COM Formez vos salariés pour optimiser la productivité de votre
Plus en détailWordPress Référencement naturel (SEO) Optimiser. son référencement. Daniel Roch. Préface d Olivier Andrieu
Daniel Roch Optimiser son référencement WordPress Référencement naturel (SEO) Préface d Olivier Andrieu Groupe Eyrolles, 2013, ISBN : 978-2-212-13714-9 Index 404 Notifier (erreurs 404) 62 A Adwords 148
Plus en détailLes outils de création de sites web
Tuto 1ère séance - p1 Les outils de création de sites web Sources : Réalisez votre site web avec HTML5 et CSS3 de Mathieu Nebra (Edition Le Livre du Zéro) site fr.openclassrooms.com (anciennement «site
Plus en détailMobile OGSI.NET: Grid Computing on Mobile Devices
Mobile OGSI.NET: Grid Computing on Mobile Devices David C.Chu Université de Californie, Berkeley Marty Humphrey Université de Virginie Publié en Novembre 2004 lors de la 5ième conférence IEEE/ACM International
Plus en détailSIP. Sommaire. Internet Multimédia
Internet Multimédia Le Protocole SIP 2011 André Aoun - Internet Multimédia SIP - 1 Sommaire 1. Présentation 2. Entités SIP 3. Méthodes et réponses 4. User Agent 5. Registrar 6. Proxy 7. Redirect Server
Plus en détailIntroduction. Adresses
Architecture TCP/IP Introduction ITC7-2: Cours IP ESIREM Infotronique Olivier Togni, LE2I (038039)3887 olivier.togni@u-bourgogne.fr 27 février 2008 L Internet est basé sur l architecture TCP/IP du nom
Plus en détailOptimiser les performances d un site web. Nicolas Chevallier Camille Roux
Optimiser les performances d un site web Nicolas Chevallier Camille Roux Intellicore Tech Talks Des conférences pour partager son savoir Le mardi au CICA Sophia Antipolis http://techtalks.intellicore.net
Plus en détailDéveloppement d'applications Web HTML5 L'art et la manière avec Visual Studio 2015 et TFS
Avant de commencer 1. Introduction 15 2. HTML5 oui, mais pas que... 15 2.1 HTML5 16 2.2 JavaScript 17 2.3 CSS 18 3. Les outils 18 Préparation des outils et création du projet 1. Introduction 21 2. Team
Plus en détailINFORMATIQUE & WEB. PARCOURS CERTIFICAT PROFESSIONNEL Programmation de sites Web. 1 an 7 MODULES. Code du diplôme : CP09
INFORMATIQUE & WEB Code du diplôme : CP09 Passionné par l informatique et le web, vous souhaitez obtenir une certification dans un domaine porteur et enrichir votre CV? PARCOURS CERTIFICAT PROFESSIONNEL
Plus en détailCours d introduction à l informatique. Partie 2 : Comment écrire un algorithme? Qu est-ce qu une variable? Expressions et instructions
Cours d introduction à l informatique Partie 2 : Comment écrire un algorithme? Qu est-ce qu une variable? Expressions et instructions Qu est-ce qu un Une recette de cuisine algorithme? Protocole expérimental
Plus en détailPatrons de Conception (Design Patterns)
Patrons de Conception (Design Patterns) Introduction 1 Motivation Il est difficile de développer des logiciels efficaces, robustes, extensibles et réutilisables Il est essentiel de comprendre les techniques
Plus en détailLES TECHNOLOGIES DU WEB APPLIQUÉES AUX DONNÉES STRUCTURÉES
LES TECHNOLOGIES DU WEB APPLIQUÉES AUX DONNÉES STRUCTURÉES 1e partie : encoder et structurer les données Gautier Poupeau Antidot http://www.lespetitescases.net Twitter @lespetitescases Emmanuelle Bermès
Plus en détailIntroduction aux «Services Web»
Introduction aux «Services Web» Sana Sellami sana.sellami@univ-amu.fr 2014-2015 Modalité de contrôle de connaissances Note de contrôle de continu Note projet Evaluation du projet la semaine du 17 novembre
Plus en détailLe stockage local de données en HTML5
Le stockage local HTML5, pourquoi faire? Dans une optique de réduction des couts de maintenance, de déploiement, beaucoup d'entreprises ont fait le choix de migrer leurs applicatifs (comptables, commerciales,
Plus en détailProjet 2. Gestion des services enseignants CENTRE D ENSEIGNEMENT ET DE RECHERCHE EN INFORMATIQUE. G r o u p e :
CENTRE D ENSEIGNEMENT ET DE RECHERCHE EN INFORMATIQUE Projet 2 Gestion des services enseignants G r o u p e : B E L G H I T Y a s m i n e S A N C H E Z - D U B R O N T Y u r i f e r M O N T A Z E R S i
Plus en détailFonctionnement et mise en place d un reverse proxy sécurisé avec Apache. Dimitri ségard 8 mai 2011
Fonctionnement et mise en place d un reverse proxy sécurisé avec Apache. Dimitri ségard 8 mai 2011 Sommaire 1 Un peu de théorie 3 1.1 Qu est-ce qu un reverse proxy?................. 3 1.1.1 Généralités........................
Plus en détailCette application développée en C# va récupérer un certain nombre d informations en ligne fournies par la ville de Paris :
Développement d un client REST, l application Vélib 1. Présentation L application présentée permet de visualiser les disponibilités des vélos et des emplacements de parking à la disposition des parisiens
Plus en détailHébergement de sites Web
Hébergement de Solutions complètes et évolutives pour l hébergement de sites Web dynamiques et de services Web sécurisés. Fonctionnalités Serveur Web Apache hautes performances Apache 1. et.0 1 avec prise
Plus en détailSurveiller et contrôler vos applications à travers le Web
Surveiller et contrôler vos applications à travers le Web Valérie HELLEQUIN Ingénieur d application Internet permet aujourd hui la diffusion d informations et de ressources que chaque utilisateur peut
Plus en détailLes sites Internet dynamiques. contact : Patrick VINCENT pvincent@erasme.org
Les sites Internet dynamiques contact : Patrick VINCENT pvincent@erasme.org Qu est-ce qu un site Web? ensemble de pages multimédia (texte, images, son, vidéo, ) organisées autour d une page d accueil et
Plus en détailLe Web de Données Dan VODISLAV Université de Cergy-Pontoise Master Informatique M2 Plan
Le Web de Données Dan VODISLAV Université de Cergy-Pontoise Master Informatique M2 Plan RDF sur le Web Micro-formats Micro-données RDFa Vocabulaires communs Dublin Core, FOAF, SKOS Linked Open Data Architecture
Plus en détailAlfstore workflow framework Spécification technique
Alfstore workflow framework Spécification technique Version 0.91 (2012-08-03) www.alfstore.com Email: info@alfstore.com Alfstore workflow framework 2012-10-28 1/28 Historique des versions Version Date
Plus en détailLE CONCEPT DU CMS CHAPITRE 1
CHAPITRE 1 LE CONCEPT DU CMS Techniques traditionnelles de construction de sites... 14 Les principes des CMS... 18 Le langage HTML... 26 Check-list... 41 11 Même s il est d usage de comparer Internet
Plus en détailAlgorithmique et langages du Web
Cours de Algorithmique et langages du Web Jean-Yves Ramel Licence 1 Peip Biologie Groupe 7 & 8 Durée totale de l enseignement = 46h ramel@univ-tours.fr Bureau 206 DI PolytechTours Organisation de la partie
Plus en détailCompte Rendu d intégration d application
ISMA 3EME ANNEE Compte Rendu d intégration d application Compte Rendu Final Maxime ESCOURBIAC Jean-Christophe SEPTIER 19/12/2011 Table des matières Table des matières... 1 Introduction... 3 1. Le SGBD:...
Plus en détailASP.NET MVC 4 Développement d'applications Web en C# - Concepts et bonnes pratiques
Introduction 1. Introduction 11 2. La plateforme de développement web de Microsoft 11 3. Définition du modèle de programmation MVC 14 4. L'historique d'asp.net MVC 17 4.1 ASP.NET MVC 1 (2008) 17 4.2 ASP.NET
Plus en détailBasile Couëtoux Yves Dubromelle Jean-Pierre Prunaret. Année 2012-2013. Outils Informatique et C2I. B. Couëtoux Y. Dubromelle J-P.
Basile Couëtoux Yves Dubromelle Jean-Pierre Prunaret Année 2012-2013 1/78 Sommaire 1 2 Le modèle OSI, la base du réseau 3 Protocoles et sur Protocoles typiques de 2, 3 et 4 Protocoles typiques de couche
Plus en détailQuels fondements, services fonctionnalités et limites de l intranet?
Quels fondements, services fonctionnalités et limites de l intranet? 1 L intranet est-il incontournable? - 29 septembre 19 Tél : 01 40 08 40 86 pguillaume@atelier.fr Louis-Pierre GUILLAUME Sommaire de
Plus en détailSYSTEME DE GESTION DES ENERGIES EWTS EMBEDDED WIRELESS TELEMETRY SYSTEM
SYSTEME DE GESTION DES ENERGIES EWTS EMBEDDED WIRELESS TELEMETRY SYSTEM Copyright TECH 2012 Technext - 8, avenue Saint Jean - 06400 CANNES Société - TECHNEXT France - Tel : (+ 33) 6 09 87 62 92 - Fax :
Plus en détailGestion Électronique de Documents et XML. Master 2 TSM
Gestion Électronique de Documents et XML Master 2 TSM I n t r o d u c t i o n Les formats de données F o r m a t s d e d o n n é e Format de donnée : manière de représenter des informations dans un document
Plus en détailDéveloppement d'un logiciel VoIP BlackBerry
UNIVERSITE DES SCIENCES, DES TECHNIQUES ET DES TECHNOLOGIES DE BAMAKO (USTTB) Développement d'un logiciel VoIP BlackBerry Par Mlle Kadidiatou Djibo Encadreurs : Mme Sogoba Jacqueline Konate, Maître-Assistant,
Plus en détailFormation : WEbMaster
Formation : WEbMaster Objectif et Description : Centre Eclipse vous propose une formation complète WebMaster, vous permettant de : Utiliser dès maintenant les nouveautés du web2, ainsi alléger les besoins
Plus en détailFICHE PRODUIT COREYE CACHE Architecture technique En bref Plateforme Clients Web Coreye Cache applicative Références Principe de fonctionnement
COREYE CACHE Solution d absorption de charge pour une disponibilité et une performance optimales des applications Web En bref Architecture technique La plateforme Coreye Cache délivre la majeure partie
Plus en détailSéance 1 Introduction aux bases de données
Introduction aux bases de données Séance 1 Introduction aux bases de données Sébastien Combéfis mardi 24 février 2015 Ce(tte) œuvre est mise à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons
Plus en détailLANGAGUE JAVA. Public Développeurs souhaitant étendre leur panel de langages de programmation
ING 01 LANGAGUE JAVA Durée : 21 heures 1090 HT / jour Dates : à définir en 2012 Concevoir et développer des programmes en langage Java Comprendre le fonctionnement de la machine virtuelle S approprier
Plus en détailProxy et reverse proxy. Serveurs mandataires et relais inverses
Serveurs mandataires et relais inverses Qu'est-ce qu'un proxy? Proxy = mandataire (traduction) Un proxy est un service mandataire pour une application donnée. C'est à dire qu'il sert d'intermédiaire dans
Plus en détailArchitectures web/bases de données
Architectures web/bases de données I - Page web simple : HTML statique Le code HTML est le langage de base pour concevoir des pages destinées à être publiées sur le réseau Internet ou intranet. Ce n'est
Plus en détailChapitre 1 Windows Server 2008 11
Chapitre 1 Windows Server 2008 11 1.1. Les fondations du système... 15 1.2. La virtualisation... 16 1.3. La sécurité... 18 1.4. Le Web... 20 1.5. Fonctionnalité disponible dans Windows Server 2008... 21
Plus en détailIPFIX (Internet Protocol Information export)
IPFIX (Internet Protocol Information export) gt-metro, réunion du 20/11/06 Lionel.David@rap.prd.fr 20-11-2006 gt-metro: IPFIX 1 Plan Définition d IPFIX Le groupe de travail IPFIX Les protocoles candidats
Plus en détailSQL Parser XML Xquery : Approche de détection des injections SQL
SQL Parser XML Xquery : Approche de détection des injections SQL Ramahefy T.R. 1, Rakotomiraho S. 2, Rabeherimanana L. 3 Laboratoire de Recherche Systèmes Embarqués, Instrumentation et Modélisation des
Plus en détailABB personnalise son service client avec la plate-forme en ligne One ABB on the Web Jan Anders Solvik, Håkan Wärdell, Nathan Becker
De gré à gré ABB personnalise son service client avec la plate-forme en ligne One ABB on the Web Jan Anders Solvik, Håkan Wärdell, Nathan Becker Pour la plupart d entre nous, l Internet est devenu une
Plus en détailCours Bases de données
Informations sur le cours Cours Bases de données 9 (10) séances de 3h Polycopié (Cours + TD/TP) 3 année (MISI) Antoine Cornuéjols www.lri.fr/~antoine antoine.cornuejols@agroparistech.fr Transparents Disponibles
Plus en détailFileMaker Server 12. publication Web personnalisée avec XML
FileMaker Server 12 publication Web personnalisée avec XML 2007-2012 FileMaker, Inc. Tous droits réservés. FileMaker, Inc. 5201 Patrick Henry Drive Santa Clara, California 95054 FileMaker et Bento sont
Plus en détailTour d horizon des différents SSO disponibles
Tour d horizon des différents SSO disponibles L. Facq, P. Depouilly, B. Métrot, R. Ferrere ANF Les systèmes d authentification dans la communauté ESR : étude, mise en oeuvre et interfaçage dans un laboratoire
Plus en détail