Pour améliorer notre cadre de vie, zéro pesticide dans les espaces publics!

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1 Pour améliorer notre cadre de vie, zéro pesticide dans les espaces publics!

2 DÉMARCHE COMMUNALE ZÉRO PESTICIDE Réunion publique d information Lundi 1er juin 2015 Sommaire : 1. Qu est-ce qu un pesticide? 2. Où sont les pesticides? 3. Leurs effets sur la santé 4. Leurs effets sur l environnement 5. Gestion différenciée des espaces publics 6. Conclusion

3 NOS SOURCES : PESTICIDES ET ENGRAIS EN MILIEU URBAIN COMMENT S EN PASSER? DEMAIN, NOS JARDINS SANS PESTICIDES Livrets du Syndicat Mixte des Etangs Littoraux, en partenariat avec la Région Languedoc-Roussillon et l Agence de l eau Rhône Méditerranée et Corse PROTÉGEONS L EAU DES NAPPES DU ROUSSILLON du Syndicat Mixte pour la protection et la gestion des nappes souterraines et la Commission Locale de l Eau (CLE) de la plaine du Roussillon ZÉRO PESTICIDE / VILLES ET VILLAGES FLEURIS, LE PETIT GUIDE TECHNIQUE POUR GÉRER DURABLEMENT NOS COMMUNES SOUS LE PAVÉ, LES FLEURS. Cédric ANSART et Emmanuel BOUTEFEU

4 1. QU EST-CE QU UN PESTICIDE? ON PARLE DE PRODUITS PHYTOSANITAIRES OU PHYTOPHARMACEUTIQUES Ce sont des substances chimiques utilisées : Pour repousser ou tuer des organismes que l on considère nuisibles (insectes, champignons, acariens, rongeurs ) Pour détruire les adventices. ADVENTICE : Herbes qui poussent spontanément dans nos jardins et sur nos trottoirs et que l on appelle souvent «mauvaises herbes». Un pesticide = Matière active + Adjuvants (surfactants, synergisants ) qui renforcent son efficacité et sont tout aussi nocifs que la matière active elle-même. UNE RÉGLEMENTATION TRÈS STRICTE Homologation des produits : Depuis 1993, de nombreux produits autorisés en France ont été interdits ou font l objet de restrictions d usage. Sont également réglementés : - la spécificité des produits à employer selon l usage, - les zones de traitement autorisées (notamment près des point d eau (distance minimale : à 5 mètres du bord), - les conditions de stockage, - la formation des agents applicateurs, - les conditions d application, - l élimination des effluents, - l agrément et la protection de l agent applicateur, - la protection du public (délais de rentrée à respecter : «durée pendant laquelle il est interdit aux personnes de pénétrer sur ou dans les lieux où a été appliqué un produit.»), - le contrôle du matériel. TRISTE RECORD : LA FRANCE SUR LE PODIUM! Avec tonnes de pesticides par an, Nous sommes le premier consommateur en Europe et le 4 ème au niveau mondial! ARRÊTONS DE CROIRE QUE LES PESTICIDES SONT INDISPENSABLES!

5 2. OÙ SONT LES PESTICIDES? DANS NOS MAISONS On les utilise l été pour exterminer les moustiques dans la chambre et les fourmis dans la cuisine L hiver pour se débarrasser des araignées Dans le garage contre les rongeurs qui grignotent nos cartons Dans la salle de bain contre les poux Sur nos animaux contre les puces DANS NOS JARDINS Pour détruire les pucerons des rosiers Pour éloigner les limaces des salades Pour tuer les «mauvaises herbes» dans la pelouse, les allées et sur la terrasse DANS NOS ALIMENTS 50 % des fruits et légumes vendus contiennent des résidus de pesticides dont 5 sont classés cancérogènes, mutagènes ou perturbant le système hormonal. «PESTICIDES PASSIFS» Si votre commune, vos voisins ou vos amis utilisent des pesticides, sans le vouloir, vous êtes exposés à ces produits. DANS LES RUES DE LA VILLE Pour nettoyer les caniveaux Pour se débarrasser des «mauvaises herbes» dans la pelouse et sur les trottoirs Pour nettoyer les espaces verts Pour tuer les chenilles dans les arbres

6 Les pesticides, un mal pour nous? LE SAVIEZ-VOUS? STÉRILITÉ Des études ont révélé que les pesticides sont impliqués dans la baisse de fertilité. Cela entraîne des difficultés pour avoir des enfants et génère des malformations chez le nouveau-né. 92 matières actives sont classées cancérogènes! 27 fois plus de risque d infertilité pour les femmes! 20 % des cancers seraient liés aux produits chimiques diffusés dans l environnement! 14 % des cas de couples qui ont des difficultés à concevoir peuvent être liés aux pesticides! EFFET NEUROLOGIQUE Une faible exposition aux pesticides augmente de 70 % le risque de développer des troubles neurologiques tels que les maladies de Parkinson et d Alzheimer. CANCERS ET PESTICIDES Il a été clairement établi que les pesticides ont une responsabilité majeure dans plusieurs cas de cancer : Leucémie Tumeur ganglionnaire Cancer de la prostate, du rein, du sein, du cerveau... ET CHEZ L ENFANT? Le simple fait que les parents aient été exposés au moment de sa conception suffit à mettre l enfant en danger! Le sang, le liquide amniotique et le lait maternel peuvent être contaminés par des pesticides. Une exposition occasionnelle et passive (sans utiliser soi-même le produit) suffit à accroître ces risques.

7 Les pesticides, un mal pour l environnement? PAPILLONS, HIRONDELLES, ABEILLES... Beaucoup d animaux qui visitent nos jardins se font de plus en plus rares. Les produits que nous utilisons en sont l une des causes. OISEAUX Les pesticides rendent les coquilles des œufs plus molles et l on observe une augmentation de la mortalité des jeunes. Certains pesticides peuvent agir comme un poison pour les adultes et décimer des colonies entières. ET DANS LES LAGUNES? Baisse de fertilité chez les amphibiens et malformations des têtards. Régression des herbiers, qui servent de gîte et de nurserie à de nombreux poissons. QUELQUES CHIFFRES CLÉS 50 % des eaux du bassin versant Rhône Méditerranée et Corse sont contaminés par les pesticides! 30 ans après son interdiction, on retrouve encore du DDT, un insecticide autrefois utilisé contre les moustiques, dans les lagunes! AVEC LES PESTICIDES, EN LUTTANT CONTRE les adventices : on détruit les plantes qui contribuent à produire l oxygène que l on respire, les insectes ravageurs : on détruit ceux que nous aimons observer (coccinelles, libellules, papillons de petits rongeurs : on tue d autres animaux qui nous sont bien utiles (hérissons, lézards, rapaces ) C est tout l écosystème qui est touché.

8 LA RESSOURCE EN EAU EST MENACÉE

9 NOS LAGUNES EN DANGER LES REJETS POLLUANTS MENACENT NOS LAGUNES Les lagunes piègent les polluants toxiques que nous rejetons (hydrocarbures, rejets de station d épuration, engrais et fertilisants, pesticides ). Ces polluants d origine humaine s accumulent dans nos lagunes et menacent l homme et les organismes aquatiques. << EUTROPHISATION Enrichissement du milieu en phosphore et azote issus en partie de l activité humaine (stations d épuration, agriculture, fertilisants, lessives, produits de jardinage) qui perturbe l équilibre écologique des lagunes. En milieu urbain, près de 40 % des produits utilisés atteignent les rivières, puis les lagunes par dérive ou mauvaise manipulation!

10 LOI LABBE du 6 février 2014 Echéance 2016 pour l interdiction des produits phytosanitaires dans les espaces verts, les forêts et promenades accessibles ou ouverts au public Par un amendement au projet de loi sur la biodiversité, le Gouvernement a avancé du 1 er janvier 2020 au 1 er mai 2016 l'interdiction d'utilisation des produits phytopharmaceutiques par les collectivités publiques. Le projet de loi, ainsi modifié, a été adopté le 26 juin 2014 par la Commission du développement durable de l'assemblée nationale. La commercialisation et la détention de produits phytosanitaires à usage non professionnel (jardinage amateur) seront interdites à partir du 1 er janvier DES ROUTES SANS PESTICIDES DANS LES P.O.! Dans le cadre de la démarche globale de Développement Durable du Conseil Général, l'assemblée Départementale a lancé une politique de lutte contre les pollutions des êtres vivants et des milieux naturels par les produits phytosanitaires (délibération du 16 juin 2008). Cette politique se décline en trois axes : Supprimer progressivement l'usage des pesticides au sein des services du Conseil Général, Mener une politique d'incitation à une diminution de l'utilisation des pesticides sur le territoire départemental, Protéger la santé des utilisateurs. Pour l entretien du patrimoine routier du département (bords de routes : 2158 km (x2), 1470 ponts, murs de soutènement : m²), des pratiques alternatives aux pesticides ont été mises en place. Le fauchage raisonné est privilégié. Les actions engagées et la forte implication des agents ont apporté des résultats concluants. L EXPÉRIENCE DES PYRÉNÉES-ORIENTALES EST SUIVIE DANS D AUTRES DÉPARTEMENTS : L HÉRAULT, L AUDE, LE GARD A LAROQUE, AUJOURD HUI : ENTRETIEN DES ESPACES PUBLICS SANS PESTICIDES Cette démarche entraîne nécessairement un changement des habitudes d entretien et la réorganisation des tâches des équipes communales. Les équipes doivent élaborer un plan de gestion différenciée des espaces verts et tester des pratiques alternatives.

11 5. GESTION DIFFÉRENCIÉE LES ALTERNATIVES AUX PESTICIDES : 1. ACCEPTATION DE LA VÉGÉTATION SPONTANÉE 2. MÉTHODES PRÉVENTIVES - PAILLAGE - PLANTATIONS 3. MÉTHODES CURATIVES : DÉSHERBAGE

12 LA GESTION DIFFÉRENCIÉE, C EST QUOI? L entretien des espaces publics sans pesticides demande davantage de temps de travail aux équipes communales. Il est donc nécessaire de gérer les espaces différemment selon leurs situations et leurs fonctions. La démarche d une gestion différenciée des espaces verts conduit à définir des zones à valoriser et d autres qui garderont un cachet plus naturel. Zones de prestige : espaces soignés où l intervention est importante Zones de confort : espaces gérés afin d en minimiser l entretien Zones naturelles : espaces gérés afin qu une flore et une faune naturelles et spontanées puissent s installer Les secteurs sont à répertorier... À L ÉCHELLE DE LA COMMUNE au niveau : Des voiries Des espaces verts Des équipements communaux (stade, camping municipal ) Les objectifs d entretien permettront d adapter les moyens à mettre en œuvre. OU À L ÉCHELLE DE L ESPACE VERT Au sein même d un espace vert, des espaces peuvent être différenciés : Les allées et chemins Les pieds d arbres Les espaces engazonnés Les espaces où la végétation spontanée est tolérée LES OBJECTIFS Rationaliser la gestion des espaces verts, Améliorer la qualité de vie des riverains, Restaurer, préserver et gérer l environnement en limitant l artificialisation et les pollutions et en favorisant la biodiversité.

13 1. L HERBE N EST PAS UN FLÉAU! Avec l utilisation systématique des pesticides, nous nous sommes habitués à l absence de toute herbe non maîtrisée dans nos rues. Une gêne réelle peut apparaître pour l écoulement des eaux dans les caniveaux. Mais l enherbement au pied des murs ne pose aucun problème de salubrité. Il s agit avant tout d un problème de perception. Dans bien des cas, la végétation spontanée peut être mise en valeur et contribuer au fleurissement de la commune. De plus en plus de collectivités font preuve de discernement et ne s attaquent à l herbe que là où elle pose un réel problème. Pourquoi tolérer l herbe en ville? Cette tolérance sur certains espaces permettra de diminuer considérablement les pratiques de désherbage et de concentrer les efforts sur des espaces qui demandent plus d attention. Où tolérer l herbe? Il existe de nombreux sites dans une commune où l on peut laisser s épanouir la végétation spontanée tout en la contrôlant : Joints entre les pavés, Sur le trottoir, Aux pieds des arbres. Les plantes spontanées Les plantes spontanées, souvent assez mal connues, sont inoffensives et possèdent de réelles qualités. Elles accueillent les insectes, dont beaucoup de pollinisateurs, et nourrissent les oiseaux. Certaines sont même comestibles. L AVIS DU SIEL Laissez de la place pour la végétation spontanée en ville! Par exemple sur un parking, le passage régulier des véhicules suffit à en limiter la pousse.

14 Un nouveau regard sur la végétation spontanée! Partout en France, les communes font campagne pour promouvoir la nature en ville... et dans les cimetières.

15 2. COMMENT EMPÊCHER L HERBE DE POUSSER? Où trouve-t-on des adventices en ville? Dans les friches, En bordure des massifs fleuris, Aux pieds des équipements de voirie, Sur les terrains stabilisés peu fréquentés, Dans les cuvettes d arbres et massifs, Entre les pavés, Sur les pelouses, Dans les caniveaux Pourquoi trouve-t-on des adventices à ces endroits? Les matières organiques s accumulent, constituant un substrat favorable. Ce sont des zones d infiltration de l eau de ruissellement. Les interstices créent des zones d accumulation des graines. Il y a peu de compétition avec d autres plantes. Ce sont des espaces peu fréquentés par le public. LES ADVENTICES POUSSENT LÀ OÙ LA PLACE ET LE SUBSTRAT SONT FAVORABLES. POUR PRÉVENIR LEUR IMPLANTATION, IL FAUT LES PRIVER DE CETTE PLACE, SOIT EN LA SUPPRIMANT, SOIT EN L OCCUPANT. MÉTHODES PRÉVENTIVES Valériane 1. PAILLAGES 2. PLANTATIONS

16 PAILLAGES Où? Dans les massifs, aux pieds des arbres... Avantages communs à tous les paillages Empêchent la pousse des adventices en les privant de support et de lumière Limitent la concurrence avec les plantes installées volontairement Limitent l évapotranspiration Favorisent la biodiversité Il existe des Paillages de récupération Paillages organiques Paillages minéraux Paillages synthétiques (bâches ) Pour obtenir un aspect plus esthétique et pour éviter une augmentation trop importante de la température due à l exposition lumineuse, il est conseillé de recouvrir les paillages synthétiques d une couche de paillis organique. L avis du SIEL Dans une démarche de gestion raisonnée, il est préférable d utiliser des paillages naturels car trop de contraintes écologiques existent avec des paillages synthétiques (recyclage coûteux et nuisible à l environnement). Les paillages organiques naturels vont enrichir le sol en se décomposant et créer une couche organique favorable à l implantation d une microfaune auxiliaire. De plus, ils permettent un recyclage par valorisation des déchets verts issus de l élagage des arbres, des tontes de pelouses et sont donc très intéressants sur le plan économique. L utilisation de bois raméal fragmenté (BRF) en paillage est intéressant : - sur le plan agronomique (favorise l activité biologique du sol, maintient l humidité), - sur le plan économique (valorise les déchets de taille). L aspect esthétique est un critère de choix important dans les espaces verts. Le grand choix de paillis (couleur, texture; taille) permet d apporter une finition soignée aux espaces verts.

17 PLANTATIONS AVANTAGES : 1. Esthétique : flore ornementale compétitive 2. Économique : peu d entretien 3. Écologique : protection de la biodiversité Pour les parterres, ronds-points, les pieds d arbres, des plantes couvre-sol adaptées au climat méditerranéen (économie d eau) Géranium sanguin Saponaire de Montpellier Erigéron Luzerne marine Délosperma Astérisque maritime Liseron de Mauritanie Ballote de Grèce Millepertuis à grandes fleurs

18 PLANTATIONS Le long des murs, des allées, aux pieds des arbres... remplacer les herbes subies par des plantes choisies Des plantes faciles à vivre Pâquerette Cymbalaire des murailles Belle de jour Chrysanthème des moissons Giroflée Gueule-de-loup Coquelicot Pissenlit Urosperme Nigelle de Damas

19 3. DERNIER RECOURS : DÉSHERBAGE

20 L avis du SIEL Le désherbage manuel est la plus sûre et la plus précieuse de toutes : Très grande sélectivité Peu de contraintes météorologiques, Sans danger pour la biodiversité, sans danger pour l homme. Son côté désuet et pénible peut être compensé par de nouveaux outils qui facilitent le travail (binettes, sarcloirs, couteaux à désherber ) Elle demande une plus grande présence sur l espace vert, ce qui permet d anticiper d éventuels problèmes (ravageurs, déficience des arrosages automatiques ) Inconvénients du désherbage thermique à flamme directe Les graines et les racines ne sont pas atteintes. Les plantes ayant leur point végétatif sous la surface du sol (pissenlit, chiendent ) ne sont pas éliminées. La chaleur réveille des graines en dormance. L efficacité est moindre sur le gravier. La chaleur peut blesser des animaux utiles rampant sur le sol. Ne pas passer après une pluie, qui fait remonter les vers de terre à la surface. Coût du gaz Emission de gaz à effet de serre N.B.: Pour être efficace, il ne faut pas brûler la plante, mais juste la chauffer. Donner un simple "coup de chaud" à la plante abîme ses tissus, ce qui l'affaiblit. S'il s'agit d'une plantule, elle n'aura pas la force de repartir. Si on brûle la plante, les parties restées intactes cicatrisent et repartiront de plus belle.

21 6. CONCLUSION 1. Les pesticides menacent de plus en plus notre santé, notre environnement et la qualité de vie des générations futures. 2. Entre la pollution de l air, du sol, de la petite faune et des milieux aquatiques par les pesticides et la présence de végétation spontanée dans les lieux publics, la municipalité a choisi : ZÉRO PESTICIDE POUR LA SANTÉ DE TOUS. 3. La présence d adventices dans les lieux publics n est pas synonyme de "saleté" contrairement aux produits phytosanitaires polluants, aux déjections canines et aux déchets humains jetés n importe où. 4. La végétation naturelle est un maillon essentiel dans la biodiversité. Elle abrite et nourrit les insectes et la petite faune, directement ou indirectement touchés par les pesticides. Sans les insectes pollinisateurs, nos ressources alimentaires sont fortement menacées. 5. Nous sommes dans une période de transition. Nous devons prendre conscience de notre responsabilité et de l urgence qu il y a à agir en faveur d un développement plus sain, et donc durable, de notre environnement. 6. "Changer de regard", remettre en question nos habitudes, cela demande du temps. Ainsi, la présence d adventices dans le village n est pas un signe de négligence ni d abandon de l entretien des espaces publics : elle correspond à une démarche environnementale indispensable dans une vision globale du développement durable. 7. En tant que simple citoyen, chacun peut contribuer à améliorer l aspect du village en arrachant l herbe qui pousse devant chez soi le long du trottoir et dans le caniveau. Ces petits gestes très simples permettront aux agents d entretien de consacrer plus de temps aux endroits où l entretien doit être plus intense, comme le centre du village, les cimetières, les ronds-points 8. La municipalité remercie tous ceux et toutes celles qui, déjà, participent à cet effort collectif pour le bien de tous. 9. Merci également à toutes les personnes, notamment aux jardiniers amateurs, qui n utilisent pas de pesticides et préservent ainsi la santé de leurs voisins et de tous leurs concitoyens!

22 Ensemble, agissons pour le bien commun! Avec un brin de tolérance... pour la flore spontanée!

23 LA MUNICIPALITÉ VOUS REMERCIE DE VOTRE ATTENTION!

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