EPUUniversité de Tours
|
|
- Flavien Beaudet
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 DI 3ème nnée EPUUniversité de Tours Déprtement Informtique ANALYSE NUMERIQUE Chpitre 3 Intégrtion numérique résumé du cours 1 Introduction Il s git d une mniére générle de déterminer, le mieux possible, pour l essentiel, une vleur pprochée de l intégrle u sens de Riemnn I = f(x)dx (1) où et b sont des réels. Les problèmes de qudrture (intégrtion) numérique se rencontrent lorsque l fonction f est continue mis n ps de primitive explicite connue, ou lorsque l fonction f n est donnée que pr un nombre fini de couples (x i, y i ), 1 i n. Une idée importnte consiste à utiliser les méthodes d interpoltion polynomile, puisque les primitives des fonctions polynômes sont fciles à clculer. On fréquement recours à ces techniques de qudrture numérique pour obtenir des solutions pprochées d équtions différentielles (E.D.O. et E.D.P.). Intégrtion de type interpoltion [, b] un intervlle, on note (x i ) i une subdivision ordonnée : = x 0 < x 1 <... < x n = b.1 Générlités Définition.1 Une formule d intégrtion à n + 1 points pour clculer une vleur pprochée de I est une reltion de l forme J n (f) = k=n k=0 A nk f(x k ) REMARQUE : Les coefficients A nk ne dépendent bien sûr ps de f, ils servent pour tous les clculs d intégrles reltifs à cet intervlle et à ces points de subdivision. 0 Jen Fbbri Cours d Anlyse Numérique -version 3.0 jnvier 008 1
2 Polynôme d interpoltion de Lgrnge Lorsque f est connue u moins en n + 1 points(distincts) de subdivision et est de clsse C n+1, on écrit fcilement le polynôme d interpoltion de Lgrnge P n de f et l erreur e, i=n 1 f(x) = P n (x) + e(x) = L i (x)f(x i ) + (n + 1)! L(x)f (n+1) (ζ x ) vec L i (x) = j=n j = 0 j i i=0 x x j x i x j et L(x) = 0 i n Ainsi l intégrle du polynôme de Lgrnge donne : i=n P n (x)dx = ( i=0 L i (x)dx)f(x i ) = J n (f) (x x i ) oú ζ x [, b] Définition. L formule J n (f) est une formule de qudrture de type interpoltion pour (1) On mesure l précision des qudrtures numériques à l ide des notions : Définition.3 L erreur d intégrtion est le réel E(f) = I J n (f) Une formule de qudrture est dite excte sur F s.e.v. de C 0 [, b], si g F E(g) = 0 Une formule de qudrture un degré de précision p IN si elle est excte sur l espce vectoriel des polynômes IP p (de degré p), vec E(x p+1 ) 0. Ces définitions sont reliées entre elles! Proposition.1 L erreur d intégrtion, pour une formule de type interpoltion peut se clculer en E(f) = f (n+1) (θ) b L(x)dx (n + 1)! pour un certin θ, lorsque le polynôme L reste de signe constnt sur [, b]. Théorème.1 Une formule de qudrture à n + 1 points est excte sur IP n si et seulement si elle est de type interpoltion. REMARQUE : Les énoncés ci-dessus peuvent ussi s écrire vec un poids d intégrtion µ 0 sur [, b], pour des vleurs pprochées de µ(x)f(x)dx.
3 . Qudrtures simples On retrouve les formules clssiques (FAIRE DES FIGURES!): Méthode des rectngles : on utilise l vleur de f en un seul point, voici deux exemples (b ) I = (b )f() + f (b ) (θ) = (b )f(b) + f ( θ) Méthode des trpèzes : formule de qudrture à points f() + f(b) (b )3 I = (b ) f () (ˆθ) 1 Ces formules (illustrer pr quelques figures) s obtiennent, pr exemple, pr l méthode des coefficients indéterminés (pour les coefficients A nk ), et en utilisnt l Proposition ci-dessus ou un développement de Tylor judicieux (pour l erreur)...en supposnt l régulrité déqute des fonctions f..3 Formules de Newton-Côtes Ce sont des formules de qudrture de type interpoltion vec subdivision régulière. Si les deux extrémités de l intervlle sont des points d interpoltion il s git de Newton-Côtes fermé (méthodes des trpèzes, de Simpson...) Si les deux bornes de l intervlle d intégrtion ne sont ps des points d interpoltion il s git de Newton-Côtes ouvert (méthode de Poncelet...) L régulrité de l subdivision permet d obtenir des formules qui sont très générles. Théorème. Pour une subdivision régulière en n prties de l intervlle [, b], l formule générle de Newton-Cotes fermé pour où les coefficients sont f(x)dx est : j=n I n (f) = (b ) B n,j f( + jh) vec h = b n j=0 B n,j = ()n j n (t k)dt = B n,n j j!(n j)!n 0 k j Proposition. Dns les formules de Newton-Côtes fermé de ps h = (b )/n, le degré de précision est n + 3 si n est pir n + si n est impir. CONSEQUENCE : si on le choix une formule vec un nombre impir de points (c est à dire une formule centrée ) est préférble. 3
4 .4 Noyu de Peno Pour évluer l erreur de qudrture E(f) d une méthode d ordre n, on commence pr en donner une représenttion intégrle. Définition.4 x réel de [, b], on note x (x t) + l fonction qui vut x t si ce réel est positif et 0 sinon, et E((x t) n +) l erreur de qudrture liée à s puissnce n-ième. Le noyu de Peno de l méthode de qudrture est l fonction K(t) = 1 n! E((x t)n +) Pour des fonctions ssez régulières, grce à un développement de Tylor, on montre que Théorème.3 Si f C n+1 [, b] lors E(f) = f (n+1) (t)k(t)dt EXEMPLE : Clcul de l erreur dns l formule de Simpson sur [, 1] (formule de Newton-Côtes fermé à 3 points) On I(f) = f(x)dx et pr Simpson J 3 (f) = 1 [f() + 4f(0) + f(1)] 3 Ainsi E(f) = I(f) J 3 (f), et en prticulier le noyu de Peno est K(t) = 1 6 E((x t)3 +) = 1 6 [ (x t) 3 +dx 1 3 (( t)3 + + (4( t) (1 t) 3 +)] K(t)dt intervient dns l expression de l erreur pour n importe quelle fonction de clsse C n+1...on peut donc fire pprître ce terme en rélisnt le clcul de l erreur pour l fonction prticulière φ : x x n+1 Proposition.3 Avec les hypothèses et nottions précédentes E(φ) = (n + 1)! K(t)dt C est une conséquence du précédent Théorème. Pour n = 3, on évlue donc E(φ) = E(x x 4 ). E(φ) = x 4 dx 1 3 (()4 + 4(0) 4 + (1) 4 ) = 4 15 Ce qui permet d écrire l formule de Simpson sous l forme f(x)dx = 1 3 [f() + 4f(0) + f(1)] 1 90 f (4) (ζ).5 Formules composites (générlisées) Comme pour ugmenter l précision de l qudrture pprochée on ugmente le nombre de points...les clculs se compliquent. Aussi on prtique plutôt des méthodes composites qui reposent sur l utilistion de formules simples, de degré de précision q (1, ou 3), sur des sous-intervlles réguliers de [, b] liés à une subdivision régulière de ps h (vec Nh = b ). 4
5 On note x i = + ih pour 0 i N METHODE COMPOSITE DES TRAPEZES (q = 1) I = h( 1 i=n f() + f(x i ) + 1 f(b)) + ε(n, f) () où ε(n, f) Nh3 1 mx f (x). x [,b] METHODE COMPOSITE DE SIMPSON (q = ) et N = p I = h i=p 3 (f() + 4 où E(N, f) Nh5 90 mx x [,b] f (4) (x). i=p f(x i ) + f(x i ) + f(b)) + E(N, f) (3) 3 Autres méthodes d intégrtion numérique 3.1 Formules de Guss On suppose ici f connue pour tout x [, b], on cherche s il existe un choix optiml de n points (x i ) 1 i n dns [, b] tels que, pour l fonction poids continue et positive w fixe, i=n w(x)f(x)dx = α i f(x i ) (4) pour tout polynôme f de degré inférieur ou égl à m -ce nombre étnt le plus grnd possible. Autrement dit, on recherche un bon choix des x i qui rende l formule (4) excte sur IP m (Bien sûr, m > n). L idée est d utiliser des polynômes orthogonux P k pour le produit sclire < f, g >= w(x)f(x)g(x)dx. Théorème.4 Pour tout entier n > 0 fixé, il existe n réels positifs α i et n réels x i tels que Q IP n i=n w(x)q(x)dx = α i Q(x i ) De plus le choix des x i et celui des α i est le seul possible : les x i sont les rcines du n eme polynôme orthogonl P n. L preuve se décompose en 4 prties : existence, positivité des α i, unicité et exctitude du degré de précision n 1. On utilise l interpolé de Lgrnge en les x i de Q. Les x i sont donnés à priori puisque ce sont les rcines du polynôme orthogonl P n. Selon l intervlle et le poids, on utilise les polynômes de Tchebychev, Legendre, Lguerre EXEMPLES de POLYNÔMES ORTHOGONAUX On donne ici, dns quelques cs usuels, le produit sclire qui définit l norme 5
6 hilbertienne et deux crctéristions de l suite de polynômes orthogonux ssociés dont un procédé itértif constructif (voir dtils en TD). 1)LEGENDRE : pour le produit sclire sur [, 1] défini pr: < f, g >= vec P 0 (x) = 1. f(x)g(x)dx P n (x) = 1 d n n n! dx n (x 1) n P n (x) = n 1 xp n (x) n 1 n n P n (x) )LAGUERRE : pour le produit sclire sur [0, + [ défini pr < f, g >= + e x f(x)g(x)dx 0 L n (x) = e x dn dx n (e x x n ) L n (x) = (n x 1)L n (x) (n 1) L n (x) 3)TCHEBYCHEV : pour le produit sclire sur [, 1] dfini pr : 1 < f, g >= f(x)g(x)dx 1 x ˆT n (x) = cos(n rccos x) 3. Méthode de Romberg Il s git d ppliquer à l formule des trpèzes une méthode générle d ccélértion de l convergence. Principe générl : l méthode de Richrdson On combine plusieurs développements de Tylor d une fonction v u voisinge de 0 pour déterminer u mieux v(0). EXEMPLE : Si v(h) = v(0) + c 1 h + O(h ), on ussi pour un réel r ]0, 1[ fixé (souvent r = 0.5) v(rh) = v(0) + c 1 rh + O(h ), et lors v(rh) rv(h) 1 r = v(0) + O(h ) utrement dit cette combinison linéire simple offre une meilleure vleur pprochée de v(0). Ce qui s méliore encore vec des développements d ordres plus élevés. Appliction u clcul intégrl On initilise le procédé à prtir des pproximtions T h de l intégrle de f pr l méthode composite des trpèzes () pour les ps h, h/, h/4... et de l formule d Euler-McLurin qui permet d écrire l erreur de qudrture sous l forme: Proposition.4 Si f C m+ [, b], il existe des constntes c k telles que c 0 = f(x)dx = T h + 6 k=m k=1 c k h k + O(h m+ ) (5)
7 On cherche ici une bonne v.. de c 0. (5) s écrit sous l forme T h = c 0 c h c 4 h c m h m + 0(h m+ ) On met lors en oeuvre le procédé de Richrdson vec r = 0.5. L méthode de Romberg débute pr le clcul des pproximtions intégrles de f pour les ps h, h 4, h,... que l on dispose dns une colonne. On remrque 8 que l on psse fcilement de T l à T l (où Nl = b ) en rjoutnt les imges des bscisses intermédiires situées u milieu ds intervlles de subdivision: T l = 1 [T l + M l ] où M l = l(f( + l 3l ) + f( + (N 1)l ) f( + )). Le tbleu de l méthode de Romberg s édifie à prtir de s première colonne dont les éléments sont notés : T 00 = T h, T 10 = T h... et de l récurrence ce qui donne T m,n+1 = T m,n + T m,n T m,n 4 n+1 1 T 00 T 11 T 10 T T 1 T 33 T 0 T 3 T 31 T 30 D près ce qui précède on obtient vec T 33 une vleur pprochée de I = c 0 à l précision h 8 u moins. 3.3 Intégrtion sur un intervlle infini On retient deux méthodes: ) Le clcul pproché suppose que l intégrle générlisée est convergente, on décompose donc + f(x)dx = + vec A choisi de sorte que A A f(x)dx + + A f(x)dx f(x)dx < ε... puis on utilise une des formules de qudrtures numériques vues ci-dessus dns l intervlle borné [, A] pour une précision ε. b) Dns les situtions où on connit une fmille de polynômes orthogonux (ceux de Lguerre, pr exemple pour le poids w(x) = e x sur [0, + [), on utilise les formules de Guss. 7
8 4 Intégrtions numériques spécifiques 4.1 Intégrles de fonctions non bornées Il s git d une sitution différente du cs d un intervlle non borné. L sitution type se présente vec f(x) = Φ(x) vec 0 µ < 1 sur [, b] (x ) µ lorsque Φ est borné, Φ() 0. Les conditions ci-dessus grntissent bien l existence de cette intégrle mis ps son clcul. Deux méthodes sont envisgebles : l première correspond un découpge de l intervlle en [, + η] et [ + η, b] comme dns l prtie précédente on utilise dns l méthode générlisée des trpèzes pour l prtie régulière. Une utre voie est d un emploi plus simple si l fonction Φ dmet un développement de Tylor u voisinge de Φ(x) = Σ n k=0φ k) (x )k () +... k! en notnt P n (x) ce polynôme, l écriture Φ = Φ P n + P n permet le clcul intégrl I(f) = Φ(x) b (x ) dx = Φ(x) P n (x) b P n (x) dx + µ (x ) µ (x ) dx µ et sous cette forme l dernière intégrle devient P n (x) (x ) dx = (b µ )1 µ Σ n k=0φ k) (b ) k () k!(1 + k µ) lors que l première n est ps singulière en et peut s évluer vi une méthode composite quelconque. cos x Exemple : Intégrle de Fresnel dx x 4. Intégrles multiples 0 On envisge des domines Ω de IR de bords réguliers et pour une fonction F définie sur l dhérence de Ω, le clcul pproché de F (x, y)dxdy. Un tel clcul dépend de l forme du domine et de s prmétristion. Cs simple : Ω norml pr rpport ux bscisses I = deux formules d intégrtion pprochée G(x) = Ψ(x) Φ(x) F (x, y)dy et I = G(x)dx Ω Ψ(x) Φ(x) F (x, y)dxdy on emboite et pour chcun des clculs, une méthode numérique simple. Cs des géométries polygonles : Pour un rectngle, on peut utiliser une interpoltion bidimensionnelle, obtenue pr le produit des polynômes de Lgrnge en chcune des vribles, si l fonction à intègrer est connue ux noeuds d un réseu rectngulire régulier. Pour un domine polygonl quelconque. C est importnt pour les clculs liés ux tringultions dmissibles des méthodes d éléments finis utilisées dns l résolutions pprochée d équtions ux dérivées prtielles... voir cours ultérieurs. 8
ANALYSE NUMERIQUE NON-LINEAIRE
Université de Metz Licence de Mthémtiques - 3ème nnée 1er semestre ANALYSE NUMERIQUE NON-LINEAIRE pr Rlph Chill Lbortoire de Mthémtiques et Applictions de Metz Année 010/11 1 Tble des mtières Chpitre
Plus en détailThéorème de Poincaré - Formule de Green-Riemann
Chpitre 11 Théorème de Poincré - Formule de Green-Riemnn Ce chpitre s inscrit dns l continuité du précédent. On vu à l proposition 1.16 que les formes différentielles sont bien plus grébles à mnipuler
Plus en détailChapitre 2 Le problème de l unicité des solutions
Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mthémtiques nnée 2009-2010 Chpitre 2 Le prolème de l unicité des solutions 1 Le prolème et quelques réponses : 1.1 Un exemple Montrer que l éqution différentielle :
Plus en détailCorrection de l épreuve CCP 2001 PSI Maths 2 PREMIÈRE PARTIE ) (
Correction de l épreuve CCP PSI Mths PREMIÈRE PARTIE I- Soit t u voisinge de, t Alors ϕt t s = ϕt ρt s ρs Pr hypothèse, l fonction ϕt ϕt est lorsque t, il en est donc de même de ρt s ρt s ρs cr ρ s est
Plus en détailSynthèse de cours (Terminale S) Calcul intégral
Synthèse de cours (Terminle S) Clcul intégrl Intégrle d une onction continue positive sur un intervlle [;] Dns cette première prtie, on considère une onction continue positive sur un intervlle [ ; ] (
Plus en détailsemestre 3 des Licences MISM annnée universitaire 2004-2005
MATHÉMATIQUES 3 semestre 3 des Licences MISM nnnée universitire 24-25 Driss BOULARAS 2 Tble des mtières Rppels 5. Ensembles et opértions sur les ensembles.................. 5.. Prties d un ensemble.........................
Plus en détailTout ce qu il faut savoir en math
Tout ce qu il fut svoir en mth 1 Pourcentge Prendre un pourcentge t % d un quntité : t Clculer le pourcentge d une quntité pr rpport à une quntité b : Le coefficient multiplicteur CM pour une ugmenttion
Plus en détailLICENCE DE MATHÉMATIQUES DEUXIÈME ANNÉE. Unité d enseignement LCMA 4U11 ANALYSE 3. Françoise GEANDIER
LICENCE DE MATHÉMATIQUES DEUXIÈME ANNÉE Unité d enseignement LCMA 4U ANALYSE 3 Frnçoise GEANDIER Université Henri Poincré Nncy I Déprtement de Mthémtiques . Tble des mtières I Séries numériques. Séries
Plus en détailCours d Analyse IV Suites et Séries de fonctions
Université Clude Bernrd, Lyon I Licence Sciences, Technologies & Snté 43, boulevrd 11 novembre 1918 Spécilité Mthémtiques 69622 Villeurbnne cedex, Frnce L. Pujo-Menjouet pujo@mth.univ-lyon1.fr Cours d
Plus en détailLicence M.A.S.S. Cours d Analyse S4
Université Pris I, Pnthéon - Sorbonne Licence MASS Cours d Anlyse S4 Jen-Mrc Brdet (Université Pris 1, SAMM) UFR 27 et Equipe SAMM (Sttistique, Anlyse et Modélistion Multidisiplinire) Université Pnthéon-Sorbonne,
Plus en détailUniversité Paris-Dauphine DUMI2E. UFR Mathématiques de la décision. Notes de cours. Analyse 2. Filippo SANTAMBROGIO
Université Pris-Duphine DUMI2E UFR Mthémtiques de l décision Notes de cours Anlyse 2 Filippo SANTAMBROGIO Année 2008 2 Tble des mtières 1 Optimistion de fonctions continues et dérivbles 5 1.1 Continuité........................................
Plus en détailCOURS D ANALYSE. Licence d Informatique, première. Laurent Michel
COURS D ANALYSE Licence d Informtique, première nnée Lurent Michel Printemps 2010 2 Tble des mtières 1 Éléments de logique 5 1.1 Fbriquer des énoncés........................ 5 1.1.1 Enoncés élémentires.....................
Plus en détailANALYSE : FONCTIONS D UNE VARIABLE RÉELLE
Jen-Pierre Dedieu, Jen-Pierre Rymond ANALYSE : FONCTIONS D UNE VARIABLE RÉELLE Institut de Mthémtiques Université Pul Sbtier 31062 Toulouse cedex 09 jen-pierre.dedieu@mth.univ-toulouse.fr jen-pierre.rymond@mth.univ-toulouse.fr
Plus en détailChapitre 1 : Fonctions analytiques - introduction
2e semestre 2/ UE 4 U : Abrégé de cours Anlyse 3: fonctions nlytiques Les notes suivntes, disponibles à l dresse http://www.iecn.u-nncy.fr/ bertrm/, contiennent les définitions et les résultts principux
Plus en détailSéquence 8. Probabilité : lois à densité. Sommaire
Séquence 8 Proilité : lois à densité Sommire. Prérequis 2. Lois de proilité à densité sur un intervlle 3. Lois uniformes 4. Lois exponentielles 5. Synthèse de l séquence Dns cette séquence, on introduit
Plus en détailIntégrale et primitives
Chpitre 5 Intégrle et primitives 5. Ojetif On herhe dns e hpitre à onstruire l opérteur réiproue de l opérteur de dérivtion. Les deux uestions suivntes sont lors nturelles. Question : Soit f une pplition
Plus en détailMéthodes de quadrature. Polytech Paris-UPMC. - p. 1/48
Méthodes de Polytech Paris-UPMC - p. 1/48 Polynôme d interpolation de Preuve et polynôme de Calcul de l erreur d interpolation Étude de la formule d erreur Autres méthodes - p. 2/48 Polynôme d interpolation
Plus en détailChapitre 11 : L inductance
Chpitre : inductnce Exercices E. On donne A πr 4π 4 metn N 8 spires/m. () Selon l exemple., µ n A 4π 7 (8) 4π 4 (,5) 5 µh (b) À prtir de l éqution.4, on trouve ξ ξ 4 3 5 6 6,3 A/s E. On donne A πr,5π 4
Plus en détailModule 2 : Déterminant d une matrice
L Mth Stt Module les déterminnts M Module : Déterminnt d une mtrice Unité : Déterminnt d une mtrice x Soit une mtrice lignes et colonnes (,) c b d Pr définition, son déterminnt est le nombre réel noté
Plus en détailChapitre VI Contraintes holonomiques
55 Chpitre VI Contrintes holonomiques Les contrintes isopérimétriques vues u chpitre précéent ne sont qu un eemple prticulier e contrintes sur les fonctions y e notre espce e fonctions missibles. Dns ce
Plus en détail/HVV\VWqPHVFRPELQDWRLUHV
/HVV\VWqPHVFRPELQDWRLUHV I. Définition On ppelle système combintoire tout système numérique dont les sorties sont exclusivement définies à prtir des vribles d entrée (Figure ). = f(x, x 2,,, x n ) x x
Plus en détailSTI2D Logique binaire SIN. L' Algèbre de BOOLE
L' Algère de BOOLE L'lgère de Boole est l prtie des mthémtiques, de l logique et de l'électronique qui s'intéresse ux opértions et ux fonctions sur les vriles logiques. Le nom provient de George Boole.
Plus en détailBaccalauréat S Asie 19 juin 2014 Corrigé
Bcclurét S Asie 9 jui 24 Corrigé A. P. M. E. P. Exercice Commu à tous les cdidts 4 poits Questio - c. O peut élimier rpidemet les réposes. et d. cr les vecteurs directeurs des droites proposées e sot ps
Plus en détailNotes de révision : Automates et langages
Préprtion à l grégtion de mthémtiques 2011 2012 Notes de révision : Automtes et lngges Benjmin MONMEGE et Sylvin SCHMITZ LSV, ENS Cchn & CNRS Version du 24 octore 2011 (r66m) CC Cretive Commons y-nc-s
Plus en détail3- Les taux d'intérêt
3- Les tux d'intérêt Mishkin (2007), Monnie, Bnque et mrchés finnciers, Person Eduction, ch. 4 et 6 Vernimmen (2005), Finnce d'entreprise, Dlloz, ch. 20 à 22 1- Mesurer les tux d'intérêt comprer les différents
Plus en détailLANGAGES - GRAMMAIRES - AUTOMATES
LANGAGES - GRAMMAIRES - AUTOMATES Mrie-Pule Muller Version du 14 juillet 2005 Ce cours présente et met en oeuvre quelques méthodes mthémtiques pour l informtique théorique. Ces notions de bse pourront
Plus en détailI. Polynômes de Tchebychev
Première épreuve CCP filière MP I. Polynômes de Tchebychev ( ) 1.a) Tout réel θ vérifie cos(nθ) = Re ((cos θ + i sin θ) n ) = Re Cn k (cos θ) n k i k (sin θ) k Or i k est réel quand k est pair et imaginaire
Plus en détailFonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre
IUFM du Limousin 2009-10 PLC1 Mathématiques S. Vinatier Rappels de cours Fonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre 1 Fonctions de plusieurs variables
Plus en détailL'algèbre de BOOLE ou algèbre logique est l'algèbre définie pour des variables ne pouvant prendre que deux états.
ciences Industrielles ystèmes comintoires Ppnicol Roert Lycée Jcques Amyot I - YTEME COMBINATOIRE A. Algère de Boole. Vriles logiques: Un signl réel est une grndeur physique en générl continue, on ssocie
Plus en détailAUTOUR D UN MÉMOIRE INÉDIT : LA CONTRIBUTION D HERMITE AU DÉVELOPPEMENT DE LA THÉORIE DES FONCTIONS ELLIPTIQUES. Bruno BELHOSTE (*)
Revue d histoire des mthémtiques, 2 (1996), p. 1 66. AUTOUR D UN MÉMOIRE INÉDIT : LA CONTRIBUTION D HERMITE AU DÉVELOPPEMENT DE LA THÉORIE DES FONCTIONS ELLIPTIQUES Bruno BELHOSTE (*) RÉSUMÉ. Dns cet rticle,
Plus en détailAlgorithmes sur les mots (séquences)
Introduction Algorithmes sur les mots (séquences) Algorithmes sur les mots (textes, séquences, chines de crctères) Nomreuses pplictions : ses de données iliogrphiques ioinformtique (séquences de iomolécules)
Plus en détailGuide d'utilisation Easy Interactive Tools Ver. 2
Guide d'utilistion Esy Interctive Tools Ver. 2 Guide d'utilistion Esy Interctive Tools Ver.2 Présenttion de Esy Interctive Tools 3 Crctéristiques Fonction de dessin Vous pouvez utiliser Esy Interctive
Plus en détailMagister en : Génie Mécanique
الجمهورية الجزاي رية الديمقراطية الشعبية République Algérienne Démocrtique et Populire وزارة التعليم العالي و البحث العلمي Ministère de l enseignement supérieur et de l recherche scientifique Université
Plus en détailToyota Assurances Toujours la meilleure solution
Toyot Assurnces Toujours l meilleure solution De quelle ssurnce vez-vous besoin? Vous roulez déjà en Toyot ou vous ttendez s livrison. Votre voiture est neuve ou d occsion. Vous vlez les kilomètres ou
Plus en détailCCP PSI - 2010 Mathématiques 1 : un corrigé
CCP PSI - 00 Mathématiques : un corrigé Première partie. Définition d une structure euclidienne sur R n [X]... B est clairement symétrique et linéaire par rapport à sa seconde variable. De plus B(P, P
Plus en détailTechniques d analyse de circuits
Chpitre 3 Tehniques d nlyse de iruits Ce hpitre présente différentes méthodes d nlyse de iruits. Ces méthodes permettent de simplifier l nlyse de iruits ontennt plusieurs éléments. Bien qu on peut résoudre
Plus en détailInfluence du milieu d étude sur l activité (suite) Inhibition et activation
Influence du milieu d étude sur l ctivité (suite) Inhibition et ctivtion Influence de l tempérture Influence du ph 1 Influence de l tempérture Si on chuffe une préprtion enzymtique, l ctivité ugmente jusqu
Plus en détailPartie 4 : La monnaie et l'inflation
Prtie 4 : L monnie et l'infltion Enseignnt A. Direr Licence 2, 1er semestre 2008-9 Université Pierre Mendès Frnce Cours de mcroéconomie suite 4.1 Introduction Nous vons vu dns l prtie introductive que
Plus en détailDifférentiabilité ; Fonctions de plusieurs variables réelles
Différentiabilité ; Fonctions de plusieurs variables réelles Denis Vekemans R n est muni de l une des trois normes usuelles. 1,. 2 ou.. x 1 = i i n Toutes les normes de R n sont équivalentes. x i ; x 2
Plus en détailTurbine hydraulique Girard simplifiée pour faibles et très faibles puissances
Turbine hydrulique Girrd simplifiée pour fibles et très fibles puissnces Prof. Ing. Zoltàn Hosszuréty, DrSc. Professeur à l'université technique de Kosice Les sites hydruliques disposnt de fibles débits
Plus en détailThéorème du point fixe - Théorème de l inversion locale
Chapitre 7 Théorème du point fixe - Théorème de l inversion locale Dans ce chapitre et le suivant, on montre deux applications importantes de la notion de différentiabilité : le théorème de l inversion
Plus en détailPour développer votre entreprise LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI!
Pour développer votre entreprise Gestion Commercile Gérez le cycle complet des chts (demnde de prix, fcture fournisseur), des stocks (entrée, sortie mouvement, suivi) et des ventes (devis, fcture, règlement,
Plus en détailExercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer
Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy
Plus en détailDualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies
Chapitre 6 Dualité dans les espaces de Lebesgue et mesures de Radon finies Nous allons maintenant revenir sur les espaces L p du Chapitre 4, à la lumière de certains résultats du Chapitre 5. Sauf mention
Plus en détailConseils et astuces pour les structures de base de la Ligne D30
Conseils et stuces pour les structures de bse de l Ligne D30 Conseils et stuces pour l Ligne D30 Ligne D30 - l solution élégnte pour votre production. Rentbilité optimle et méliortion continue des séquences
Plus en détailRégression multiple : principes et exemples d application. Dominique Laffly UMR 5 603 CNRS Université de Pau et des Pays de l Adour Octobre 2006
Régression multiple : principes et eemples d ppliction Dominique Lffly UMR 5 603 CNRS Université de Pu et des Pys de l Adour Octobre 006 Destiné à de futurs thémticiens, notmment géogrphes, le présent
Plus en détailCommun à tous les candidats
EXERCICE 3 (9 points ) Commun à tous les candidats On s intéresse à des courbes servant de modèle à la distribution de la masse salariale d une entreprise. Les fonctions f associées définies sur l intervalle
Plus en détailImage d un intervalle par une fonction continue
DOCUMENT 27 Image d un intervalle par une fonction continue La continuité d une fonction en un point est une propriété locale : une fonction est continue en un point x 0 si et seulement si sa restriction
Plus en détailExercices - Polynômes : corrigé. Opérations sur les polynômes
Opérations sur les polynômes Exercice 1 - Carré - L1/Math Sup - Si P = Q est le carré d un polynôme, alors Q est nécessairement de degré, et son coefficient dominant est égal à 1. On peut donc écrire Q(X)
Plus en détailPour développer votre entreprise. Compta LES LOGICIELS EN LIGNE, VOUS ALLEZ DIRE OUI!
Pour développer votre entreprise Compt Avec EBP Compt, vous ssurez le suivi de l ensemble de vos opértions et exploitez les données les plus complexes en toute sécurité. Toutes les fonctionnlités essentielles
Plus en détailThèse Présentée Pour obtenir le diplôme de doctorat en sciences En génie civil Option : structure
République Algérienne Démocrtique et Populire Ministère de l enseignement supérieur et de l recherche scientifique Université Mentouri de Constntine Fculté des sciences et sciences de l ingénieur Déprtement
Plus en détailPremière partie. Préliminaires : noyaux itérés. MPSI B 6 juin 2015
Énoncé Soit V un espace vectoriel réel. L espace vectoriel des endomorphismes de V est désigné par L(V ). Lorsque f L(V ) et k N, on désigne par f 0 = Id V, f k = f k f la composée de f avec lui même k
Plus en détaila et b étant deux nombres relatifs donnés, une fonction affine est une fonction qui a un nombre x associe le nombre ax + b
I Définition d une fonction affine Faire l activité 1 «une nouvelle fonction» 1. définition générale a et b étant deux nombres relatifs donnés, une fonction affine est une fonction qui a un nombre x associe
Plus en détailOptimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications
Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications A. Optimisation sans contrainte.... Généralités.... Condition nécessaire et condition suffisante
Plus en détailLITE-FLOOR. Dalles de sol et marches d escalier. Information technique
LITE-FLOOR Dlles de sol et mrches d esclier Informtion technique Recommndtions pour le clcul et l pose de LITE-FLOOR Générlités Cette rochure reprend les règles de se à respecter pour grntir l rélistion
Plus en détailCorrection de l examen de la première session
de l examen de la première session Julian Tugaut, Franck Licini, Didier Vincent Si vous trouvez des erreurs de Français ou de mathématiques ou bien si vous avez des questions et/ou des suggestions, envoyez-moi
Plus en détailUniversité Paris-Dauphine DUMI2E 1ère année, 2009-2010. Applications
Université Paris-Dauphine DUMI2E 1ère année, 2009-2010 Applications 1 Introduction Une fonction f (plus précisément, une fonction réelle d une variable réelle) est une règle qui associe à tout réel x au
Plus en détailCapes 2002 - Première épreuve
Cette correction a été rédigée par Frédéric Bayart. Si vous avez des remarques à faire, ou pour signaler des erreurs, n hésitez pas à écrire à : mathweb@free.fr Mots-clés : équation fonctionnelle, série
Plus en détailRéalisation de sites Internet PME & Grandes entreprises Offre Premium. Etude du projet. Webdesign. Intégration HTML. Développement.
Rélistion de sites Internet PME & Grndes entreprises Offre Premium Etude du projet Réunions de trvil et étude personnlisée de votre projet Définition d une strtégie de pré-référencement Webdesign Définition
Plus en détailCompte rendu de la validation d'un observateur cascade pour la MAS sans capteurs mécaniques sur la plate-forme d'essai de l'irccyn
Compte rendu de l vlidtion d'un oservteur cscde pour l MAS sns cpteurs mécniques sur l plte-forme d'essi de l'irccyn Mlek GHANES, Alin GLUMINEAU et Roert BOISLIVEAU Le 1 vril IRCCyN: Institut de Recherche
Plus en détail16.1 Convergence simple et convergence uniforme. une suite de fonctions de I dans R ou C.
16 Suites de foctios Suf précisio cotrire, I est u itervlle réel o réduit à u poit et les foctios cosidérées sot défiies sur I à vleurs réelles ou complexes. 16.1 Covergece simple et covergece uiforme
Plus en détail1. 1.1. 1.2. 1.3. 1.4. 1.5. 1.6. 2. 2.1.
T/TR 01-01 Pge 3 r+ 1. EQUIPMENT CONCERNE L interconnexion numerique interntionl pour le service visiophonique et de visioconf&ence necessite l stndrdistion des principux prmttres num&iques tels que d~it,
Plus en détailElectrovanne double Dimension nominale Rp 3/8 - Rp 2 DMV-D/11 DMV-DLE/11
Electrovnne double Dimension nominle 3/8 - DMV-D/11 DMV-DLE/11 7.30 M Edition 11.13 Nr. 223 926 1 6 Technique L électrovnne double DUNGS DMV intère deux électrovnnes dns un même bloc compct : - vnnes d
Plus en détailLogique. Plan du chapitre
Logique Ce chapitre est assez abstrait en première lecture, mais est (avec le chapitre suivant «Ensembles») probablement le plus important de l année car il est à la base de tous les raisonnements usuels
Plus en détailIntégrales doubles et triples - M
Intégrales s et - fournie@mip.ups-tlse.fr 1/27 - Intégrales (rappel) Rappels Approximation éfinition : Intégrale définie Soit f définie continue sur I = [a, b] telle que f (x) > 3 2.5 2 1.5 1.5.5 1 1.5
Plus en détailChapitre 2 Le problème de l unicité des solutions
Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)
Plus en détailChapitre 7 : Intégration sur un intervalle quelconque
Universités Paris 6 et Paris 7 M1 MEEF Analyse (UE 3) 2013-2014 Chapitre 7 : Intégration sur un intervalle quelconque 1 Fonctions intégrables Définition 1 Soit I R un intervalle et soit f : I R + une fonction
Plus en détailFonctions de plusieurs variables. Sébastien Tordeux
Fonctions de plusieurs variables Sébastien Tordeux 22 février 2009 Table des matières 1 Fonctions de plusieurs variables 3 1.1 Définition............................. 3 1.2 Limite et continuité.......................
Plus en détailCours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables
Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........
Plus en détailEspérance conditionnelle
Espérance conditionnelle Samy Tindel Nancy-Université Master 1 - Nancy Samy T. (IECN) M1 - Espérance conditionnelle Nancy-Université 1 / 58 Plan 1 Définition 2 Exemples 3 Propriétés de l espérance conditionnelle
Plus en détailLOGICIEL FONCTIONNEL EMC VNX
LOGICIEL FONCTIONNEL EMC VNX Améliortion des performnces des pplictions, protection des données critiques et réduction des coûts de stockge vec les logiciels complets d EMC POINTS FORTS VNX Softwre Essentils
Plus en détailChapitre 2. Eléments pour comprendre un énoncé
Chapitre 2 Eléments pour comprendre un énoncé Ce chapitre est consacré à la compréhension d un énoncé. Pour démontrer un énoncé donné, il faut se reporter au chapitre suivant. Les tables de vérité données
Plus en détailINSTRUCTIONS POUR L INSTALLATION ET LE FONCTIONNEMENT DES SERRURES À POIGNÉE BÉQUILLE
INSTRUCTIONS POUR L INSTALLATION ET LE FONCTIONNEMENT DES SERRURES À POIGNÉE BÉQUILLE POUR LES SERRURES D ENTRÉE À CLÉ EXTÉRIEURES VERROUILLABLES, À POIGNÉE DE BRINKS HOME SECURITY. POUR LES PORTES DE
Plus en détailALGORITHMIQUE II NOTION DE COMPLEXITE. SMI AlgoII
ALGORITHMIQUE II NOTION DE COMPLEXITE 1 2 Comment choisir entre différents algorithmes pour résoudre un même problème? Plusieurs critères de choix : Exactitude Simplicité Efficacité (but de ce chapitre)
Plus en détailMaster Modélisation Aléatoire Paris VII, Cours Méthodes de Monte Carlo en nance et C++, TP n 2.
Master Modélisation Aléatoire Paris VII, Cours Méthodes de Monte Carlo en nance et C++, TP n 2. Techniques de correction pour les options barrières 25 janvier 2007 Exercice à rendre individuellement lors
Plus en détailAmphi 3: Espaces complets - Applications linéaires continues
Amphi 3: Espaces complets - Applications linéaires continues Département de Mathématiques École polytechnique Remise en forme mathématique 2013 Suite de Cauchy Soit (X, d) un espace métrique. Une suite
Plus en détailStatuts ASF Association Suisse Feldenkrais
Sttuts ASF Assocition Suisse Feldenkris Contenu Pge I. Nom, siège, ojectif et missions 1 Nom et siège 2 2 Ojectif 2 3 Missions 2 II. Memres 4 Modes d ffilition 3 5 Droits et oligtions des memres 3 6 Adhésion
Plus en détailModification simultanée de plusieurs caractéristiques d un bien hédonique : une nouvelle méthode de calcul de la variation de bien-être des ménages
Modifiction simultnée de plusieurs crctéristiques d un bien hédonique : une nouvelle méthode de clcul de l vrition de bien-être des ménges Trvers Muriel * Version provisoire Résumé : De nombreuses situtions
Plus en détailManSafe. pour les Utilitiés. La Protection antichute pour les Industries de l'energie. Français. TowerLatch LadderLatch
MnSfe pour les Utilitiés L Protection ntichute pour les Industries de l'energie Frnçis TowerLtch LdderLtch Les questions de protection nti-chute Les chutes de huteur sont l cuse de mortlité l plus importnte
Plus en détailCHAPITRE V SYSTEMES DIFFERENTIELS LINEAIRES A COEFFICIENTS CONSTANTS DU PREMIER ORDRE. EQUATIONS DIFFERENTIELLES.
CHAPITRE V SYSTEMES DIFFERENTIELS LINEAIRES A COEFFICIENTS CONSTANTS DU PREMIER ORDRE EQUATIONS DIFFERENTIELLES Le but de ce chapitre est la résolution des deux types de systèmes différentiels linéaires
Plus en détailRappels sur les suites - Algorithme
DERNIÈRE IMPRESSION LE 14 septembre 2015 à 12:36 Rappels sur les suites - Algorithme Table des matières 1 Suite : généralités 2 1.1 Déition................................. 2 1.2 Exemples de suites............................
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Maths MP Exercices Fonctions de plusieurs variables Les indications ne sont ici que pour être consultées après le T (pour les exercices non traités). Avant et pendant le T, tenez bon et n allez pas les
Plus en détailContinuité en un point
DOCUMENT 4 Continuité en un point En général, D f désigne l ensemble de définition de la fonction f et on supposera toujours que cet ensemble est inclus dans R. Toutes les fonctions considérées sont à
Plus en détailEXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats)
EXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats) On cherche à modéliser de deux façons différentes l évolution du nombre, exprimé en millions, de foyers français possédant un téléviseur à écran plat
Plus en détailSur certaines séries entières particulières
ACTA ARITHMETICA XCII. 2) Sur certaines séries entières particulières par Hubert Delange Orsay). Introduction. Dans un exposé à la Conférence Internationale de Théorie des Nombres organisée à Zakopane
Plus en détailIntégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé
Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé 2012-2013 1 Petites questions 1 Est-ce que l ensemble des ouverts de R est une tribu? Réponse : Non, car le complémentaire de ], 0[ n est pas ouvert.
Plus en détailAnalyse Numérique : SMA-SMI S4 Cours, exercices et examens
Analyse Numérique : SMA-SMI S4 Cours, exercices et examens Boutayeb A, Derouich M, Lamlili M et Boutayeb W. Table des matières Résolution numérique de systèmes linéaires AX = B 5. Méthodes directes de
Plus en détailCalcul fonctionnel holomorphe dans les algèbres de Banach
Chapitre 7 Calcul fonctionnel holomorphe dans les algèbres de Banach L objet de ce chapitre est de définir un calcul fonctionnel holomorphe qui prolonge le calcul fonctionnel polynômial et qui respecte
Plus en détailLimites finies en un point
8 Limites finies en un point Pour ce chapitre, sauf précision contraire, I désigne une partie non vide de R et f une fonction définie sur I et à valeurs réelles ou complees. Là encore, les fonctions usuelles,
Plus en détailCONCOURS D ENTREE A L ECOLE DE 2007 CONCOURS EXTERNE. Cinquième épreuve d admissibilité STATISTIQUE. (durée : cinq heures)
CONCOURS D ENTREE A L ECOLE DE 2007 CONCOURS EXTERNE Cinquième épreuve d admissibilité STATISTIQUE (durée : cinq heures) Une composition portant sur la statistique. SUJET Cette épreuve est composée d un
Plus en détailLa Licence Mathématiques et Economie-MASS Université de Sciences Sociales de Toulouse 1
La Licence Mathématiques et Economie-MASS Université de Sciences Sociales de Toulouse 1 La licence Mathématiques et Economie-MASS de l Université des Sciences Sociales de Toulouse propose sur les trois
Plus en détailLeçon 01 Exercices d'entraînement
Leçon 01 Exercices d'entraînement Exercice 1 Etudier la convergence des suites ci-dessous définies par leur terme général: 1)u n = 2n3-5n + 1 n 2 + 3 2)u n = 2n2-7n - 5 -n 5-1 4)u n = lnn2 n+1 5)u n =
Plus en détailSYSTEME DE TELEPHONIE
YTEME DE TELEPHOIE LE OUVEUTE PTIE MOITEU COULEU Le système de téléphonie comporte un moniteur vec un écrn couleurs de intégré u téléphone. Cette prtie est disponile en lnc, nthrcite et Tech. TLE DE MTIEE
Plus en détailINTENTION LES PROCESSUS MATHÉMATIQUES
INTENTION Adpttios u Cdre commu des progrmmes d études de mthémtiques M-9 telles que reflétées ds le documet Mthémtiques M-9 : Progrmme d études de l Albert (2007) Le coteu du documet Mthémtiques M-9 :
Plus en détailSuites numériques 3. 1 Convergence et limite d une suite
Suites numériques 3 1 Convergence et limite d une suite Nous savons que les termes de certaines suites s approchent de plus en plus d une certaine valeur quand n augmente : par exemple, les nombres u n
Plus en détailChapitre 1 Cinématique du point matériel
Chapitre 1 Cinématique du point matériel 7 1.1. Introduction 1.1.1. Domaine d étude Le programme de mécanique de math sup se limite à l étude de la mécanique classique. Sont exclus : la relativité et la
Plus en détailTransfert. Logistique. Stockage. Archivage
Trnsfert Logistique Stockge Archivge Trnsfert, logistique, stockge Pour fire fce ux nouveux enjeux, il est importnt de pouvoir compter sur l'expertise d'un spéciliste impliqué à vos côtés, en toute confince.
Plus en détailContinuité et dérivabilité d une fonction
DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité
Plus en détailSimulation de variables aléatoires
Chapter 1 Simulation de variables aléatoires Références: [F] Fishman, A first course in Monte Carlo, chap 3. [B] Bouleau, Probabilités de l ingénieur, chap 4. [R] Rubinstein, Simulation and Monte Carlo
Plus en détail