NUTRITIONNISTES, DIÉTÉTICIENS : QUEL AVENIR? LE POINT DE VUE DU NUTRITIONNISTE
|
|
- Baptiste Michel
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 45 ème J.A.N.D. 28 janvier 2005 NUTRITIONNISTES, DIÉTÉTICIENS : QUEL AVENIR? LE POINT DE VUE DU NUTRITIONNISTE M. Krempf Clinique d Endocrinologie, Maladies Métaboliques et Nutrition - Hôtel Dieu, Nantes.
2 Résumé Les rapports médecins nutritionnistes et diététiciens sont déjà établis de longue date. Au-delà de la réflexion actuelle consistant à déléguer un certain nombre de tâches habituellement médicales vers les paramédicaux et notamment les diététiciens, il apparaît plus important de redéfinir les différents contours des métiers de la nutrition et d établir une formation commune avec des déclinaisons spécifiques à chaque tâche. Il s agit très certainement d un enjeu important de la nutrition pour les prochaines années et devrait être un objectif prioritaire à très court terme. 1
3 Envisager les relations diététiciens/nutritionnistes revient aujourd hui à définir les métiers de la nutrition dans le futur proche. Il est certain que le moment est venu pour cette réflexion. Le contexte nous y incite et notamment l intérêt croissant des consommateurs pour une alimentation sûre et de qualité, respectant et protégeant leur santé pousse l industrie agroalimentaire et la grande distribution à se saisir de cette nouvelle dimension dans le critère de choix des achats. De plus, l émergence forte des pathologies métaboliques dans un contexte de croissance de l obésité de l adulte et de l enfant impressionnante alerte bien sûr le monde médical mais aussi les responsables de santé publique. Il y a ainsi aujourd hui de grands enjeux pour l alimentation et la nutrition des populations avec l apparition de problèmes de santé jusqu alors inconnus auxquels tentent de répondre aujourd hui certains états ou des organisations internationales comme l OMS. Le Programme National Nutrition et Santé (PNNS) en France représente un exemple remarqué au niveau européen. Dans toutes les actions du PNNS, les problèmes sont bien posés et des solutions sont proposées. Cependant les acteurs et leur organisation sont encore très mal définis. En d autres termes, ses programmes définissent ce qu il faudrait faire, recherchent des stratégies pour répondre aux objectifs mais n indiquent pas clairement quels sont les acteurs des tâches. La situation en France sur ce point est remarquable. Des médecins d horizons multiples et de formation très diverse se réclament «nutritionnistes», d ailleurs en toute légalité jusqu à ce jour puisque la spécialité médicale (nutrition) n existe pas, même si elle est enseignée depuis une dizaine d années dans les Facultés de Médecine. Des chercheurs scientifiquement de tous horizons issus de la recherche fondamentale ou de l épidémiologie ont également rejoint cette «cohorte» de nutritionnistes, imités en cela plus récemment par des ingénieurs issus des écoles de formation agroalimentaire ou des filières universitaires. Bref, aujourd hui il y a beaucoup de «nutritionnistes» d activités et de compétences très diverses à l origine de beaucoup d incohérence et de confusion. Les diététiciens échappent encore peut-être à cet amalgame mais pour peu de temps tant la tentation donnée par leurs compétences est forte et surtout par la confusion si fréquente des patients et des consommateurs. Le terme nutritionniste quitte ainsi le champ du nom commun pour rejoindre celui de l adjectif dans une confusion impressionnante. Il est temps indiscutablement de repenser les tâches et les fonctions de tous ces acteurs et de définir leur formation ainsi que leur titre en conséquence. La situation actuelle résulte d une évolution empirique, historique et opportuniste qui finalement aujourd hui finit par plus nuire au système que le servir. Nous devons donc penser à organiser les métiers de la nutrition si nous voulons être efficace et le débat qui nous est proposé aujourd hui ne doit pas être réduit aux médecins et diététiciens. La réflexion devrait être conduite autour de quatre grands axes concernant tout d abord la recherche, soit sur l aliment soit la physiologie ou physiopathologie humaine voire animale. Le deuxième axe concerne plus spécifiquement la santé publique avec notamment la forte implication des agences telles que l AFSSA ou l Institut de Veille Sanitaire. Mais ce champ d action est certainement beaucoup plus large et doit impliquer les organisations politiques. Le troisième axe concerne le soin, qu il soit primaire durant les échanges patients/soignants, ou dans l organisation de l intervention des différents acteurs. Enfin bien sûr le dernier axe concerne l industrie au sens très large incluant notamment la production, la grande distribution mais aussi la restauration collective sous toutes ses formes. Dans ces différents axes, et en fonction des tâches clairement définies, les différents métiers doivent s organiser. Nous ne pourrons pas faire l économie de cette réflexion si nous souhaitons acquérir de l efficacité et une meilleure lisibilité. Elle fait intervenir beaucoup de partenaires, Education Nationale, Santé, Agriculture, 2
4 Recherche, Commerce et il est certainement indispensable de trouver un cadre d organisation qui pourrait être le PNNS ou, mais là l ambition est certainement trop grande, un Institut National de la Nutrition. C est à partir de la définition du contour des tâches et des responsabilités dans ce cadre général que devrait être organisée la formation selon un schéma général actuellement souhaité au niveau européen de licence, master et doctorat. Cette formation générale aura des déclinaisons spécifiques en fonction des métiers prédéfinies et pourra être rejointe par des étudiants formés dans d autres filières et à différents niveaux tels que la Médecine, les écoles d ingénieurs agroalimentaires, d autres filières de formation universitaire, etc. La formation de diététique devrait s inscrire dans ce schéma général, notamment le titre de diététicien ne devrait pouvoir être acquis qu au terme de la licence, avec le cas échéant une spécialisation vers le soin ou la santé publique ou l industrie par exemple. La possibilité restera bien sûr ouverte de poursuivre la formation commune dans le cadre de masters également spécialisés, voire de doctorats. Ce schéma général aurait l avantage de proposer une formation commune et permettre ainsi des passerelles entre les différents métiers. Voici une projection qui pourrait être faite dans un futur proche mais aujourd hui comment avancer? La formation de diététicien est toujours sur 2 ans ce qui est bien sûr insuffisant, notamment dans le contexte européen. L intégration dans un tronc commun des études médicales apparaît aujourd hui problématique et d autres solutions à court terme pourraient être recherchées pour atteindre un objectif de formation de 3 ans correspondant à une licence. La redéfinition des tâches est également en cours de discussion. La réduction de la démographie médicale doit effectivement encourager le transfert de tâches sous la responsabilité médicale vers des paramédicaux. La nutrition et plus spécifiquement la diététique relèvent normalement d une prescription et d un suivi médical mais il peut être envisagé, suivant des expériences pilotes qui vont être conduites, de démontrer qu il est possible de déléguer, selon des schémas clairement définis, un certain nombre de tâches de diététique vers les diététiciens avec une efficacité identique. Cette délégation de tâches devrait avoir un effet très positif sur le gain de temps de consultation médicale. Ce premier pas devrait être utile pour repositionner la place des diététiciens dans la filière de soins et sa définition dans le Code de Santé Publique. Mais tous ces aspects, s ils sont certes très pragmatiques, restent encore très parcellaires et ne devraient pas permettre d éviter de mener une réflexion plus large sur l ensemble des métiers de la nutrition. 3
5 NOTES 4
6 NOTES 5
7 NOTES 6
1 er MASTER CONCEPT «UN MONDE UNE SANTE»
1 er MASTER CONCEPT «UN MONDE UNE SANTE» In Partnership with Le Master 2 MAN-IMAL c est : Formation innovante et interdisciplinaire (Médecins, Véto, Ingénieurs agro/iaa, Biologistes ) Double compétence
Plus en détailCharte nutritionnelle
Charte nutritionnelle NOTRE MISSION : CONSTRUIRE ET PRESERVER LE CAPITAL SANTE L équilibre alimentaire est un enjeu majeur de santé publique. De ce contexte, Nutrisens s engage à maintenir et à renforcer
Plus en détailLes débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie
Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Pour quel métier vous êtes fait? Des doutes sur ta formation actuelle : faut-il poursuivre? Vous avez une idée de métier mais est-ce
Plus en détailCursus de Master en Ingénierie de la Production Alimentaire. Une autre façon d accéder au métier d ingénieur
Cursus de Master en Ingénierie de la Production Alimentaire Une autre façon d accéder au métier d ingénieur Un Réseau National de 28 CMI Le réseau FIGURE Formation en InGenierie par des Universités de
Plus en détailFaculté des Sciences Mathématiques, Physiques et Naturelles de Tunis
UNIVERSITE TUNIS EL MANAR Faculté des Sciences Mathématiques, Physiques et Naturelles de Tunis Campus Universitaire-2092-EL MANAR2 Tél: 71 872 600 Fax: 71 885 350 Site web: www.fst.rnu.tn Présentation
Plus en détailRapport d évaluation du master
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Droit des affaires européen et comparé de l Université du Littoral Côte d Opale - ULCO Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014
Plus en détailMention : STAPS. Sport, Prévention, Santé, Bien-être. Objectifs de la spécialité
Mention : STAPS Sport, Prévention, Santé, Bien-être Objectifs de la spécialité L'objectif de la spécialité «Sport, Prévention, Santé, Bien être» est de doter les étudiants de compétences scientifiques,
Plus en détailBienvenue à l UCL, dans une
Bienvenue à l UCL, dans une des 9 universités de la Communauté française des 3300 universités de l Union européenne des 4000 universités européennes (4194 aux USA) des 17000 universités dans le monde Bologne
Plus en détailGuide de l étudiant 2014-2015
Guide de l étudiant 2014-2015 Université Hassan II Casablanca www.univcasa.ma Sommaire Offre de formation. Dates importantes. Modalités d inscription.. Cycle Licence : nouvelle approche. Cycle Licence
Plus en détailRéférentiel métier de Directeur des Soins en établissement et en institut de formation mars 2010
Référentiel métier de Directeur(trice) des soins Ce référentiel intègre à la fois le métier Directeur(trice) des soins en établissement et celui de Directeur(trice) des soins en institut de formation paramédicale.
Plus en détailRapport d évaluation du master
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Management et organisation de l Université Paris-Dauphine Vague D 2014-2018 Campagne d évaluation 2012-2013 Section des Formations
Plus en détailL IDEX DE TOULOUSE EN BREF
L IDEX DE TOULOUSE EN BREF Pourquoi des Initiatives D EXcellence (IDEX)? Depuis 18 mois, les universités, les grandes écoles et les organismes de recherche ont travaillé ensemble pour répondre à l appel
Plus en détailSite(s) (lieux où la formation est dispensée, y compris pour les diplômes délocalisés) :
Evaluation des diplômes Masters Vague D Académie : Paris Etablissement déposant : Académie(s) : / Etablissement(s) co-habilité(s) : / Mention : Economie managériale et industrielle Domaine : Economie,
Plus en détailLogiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Université d été E-Santé Castres-Mazamet 4, 5, 6 juillet 2012 «Des supports numériques au service de l éducation thérapeutique des patients» Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Plus en détailPossibilités offertes après la L2?
Possibilités offertes après la L2? Licence Pro Licence Générale Formation professionnel Diplôme Bac +3 Diplôme Bac +3 Master Vie Active : Technicien Assistant Ingénieur Laboratoire Public et Privé Master
Plus en détailUniversité Saint-Joseph
Université Saint-Joseph Faculté de pharmacie Actuellement, le métier de pharmacien est un métier polyvalent, ouvert à plusieurs activités dans le domaine de la santé individuelle et publique. Mis à part
Plus en détailAllocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins
Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,
Plus en détailTable ronde n 1 Ateliers de Giens 2013
Table ronde n 1 Ateliers de Giens 2013 Comment promouvoir la place des paramédicaux dans la recherche clinique: type d activités, place et statuts, reconnaissance, formations La recherche clinique fait
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailL évolution (révolution) du métier d enseignant-chercheur est-elle favorable à une plus grande employabilité?
1 L évolution (révolution) du métier d enseignant-chercheur est-elle favorable à une plus grande employabilité? Prof. Gérard CLIQUET Président de la CIDEGEF IGR-IAE, Université de Rennes 1, FRANCE L année
Plus en détailPhilosophie. Parcours d études proposés à l Institut Catholique de Paris Métiers associés
Institut Catholique de Paris Service Communication Fiche Filière / parcours Philosophie Parcours d études proposés à l Institut Catholique de Paris Métiers associés Collection «Orientation à l ICP : Fiches
Plus en détailAnnonce. Beyrouth, le 4/6/2013. La Doyenne. Nina SAADALLAH. UNIVERSITE LIBNAISE Faculté de Santé Publique Décanat
UNIVERSITE LIBNAISE Faculté de Santé Publique Décanat Annonce La Doyenne de la Faculté de Santé Publique annonce le début du dépôt des dossiers de candidature pour les différents Masters Professionnels
Plus en détailAugmenter l impact économique de la recherche :
Augmenter l impact économique de la recherche : 15 mesures pour une nouvelle dynamique de transfert de la recherche publique, levier de croissance et de compétitivité Partout dans le monde, la recherche
Plus en détailOFFRE DE FORMATION SCIENCES PHARMACEUTIQUES ET BIOLOGIQUES PHARMACIE 2015/2016 WWW.UMONTPELLIER.FR
OFFRE DE FORMATION SCIENCES PHARMACEUTIQUES ET BIOLOGIQUES PHARMACIE 2015/2016 WWW.UMONTPELLIER.FR OFFRE DE FORMATION / PHARMACIE Sous réserve d accréditation (Licences et Masters) LISTE DES FORMATIONS
Plus en détailPrésentation Générale
Mars 2009 Présentation Générale 1- Le Master Recherche en Sciences de la Vie et de la Santé à Nice Objectifs, environnement scientifique, organisation Enseignements, les spécialités, les cours et les stages
Plus en détailMASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE)
MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE DES PLANTES
Plus en détailles télésoins à domicile
Hiver 2013 Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Innovation en matière de prestation des soins de santé : les télésoins à domicile Au Canada comme ailleurs dans
Plus en détailwww.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie
www.u-bordeaux3.fr Master 2 professionnel Soin, éthique et santé Mention Philosophie Une formation approfondie à la réflexion éthique appliquée aux secteurs du soin et de la santé En formation continue,
Plus en détailBiarritz Côte basque, territoire pilote du Sport Santé sur ordonnance
Communiqué de presse 19 mai 2015 INNOVATION SANTE INNOVATION TERRITOIRE Biarritz Côte basque, territoire pilote du Sport Santé sur ordonnance Alors que la loi santé votée le 14 avril 2014 met en avant
Plus en détailLES ENJEUX DE L ADAPTATION DE LA FORMATION UNIVERSITAIRE AUX IMPÉRATIFS DE LA SÉCURITÉ SANITAIRE DES ALIMENTS
20 ème Session du CCAFRICA Yaoundé, Cameroun, 29 janvier - 1 er Février 2013 LES ENJEUX DE L ADAPTATION DE LA FORMATION UNIVERSITAIRE AUX IMPÉRATIFS DE LA SÉCURITÉ SANITAIRE DES ALIMENTS Robert NDJOUENKEU
Plus en détailRéférentiel Officine
Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine
Plus en détailPROGRAMME RÉGIONAL DE RÉADAPTATION POUR LA PERSONNE ATTEINTE DE MALADIES CHRONIQUES. Sommaire de la démarche de réorganisation
PROGRAMME RÉGIONAL DE RÉADAPTATION POUR LA PERSONNE ATTEINTE DE MALADIES CHRONIQUES Sommaire de la démarche de réorganisation SOMMAIRE Le programme régional Traité santé offre des services de réadaptation
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détail«Politique des ARS pour les seniors»
«Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service
Plus en détailDomaine : Sciences, Technologies et Santé Mention : Nutrition, Sciences des aliments, Agroalimentaire
Contexte Domaine : Sciences, Technologies et Santé Mention : Nutrition, Sciences des aliments, Agroalimentaire Fédération des spécialités de Master des 5 pôles universitaires partenaires de la région Nord-Pas-de-Calais
Plus en détailLes dossiers de l enseignement scolaire. l Éducation nationale et la formation professionnelle en France
Les dossiers de l enseignement scolaire 2010 l Éducation nationale et la formation professionnelle en France ministère éducation nationale L Éducation nationale et la formation professionnelle en France
Plus en détailPrévention des conduites addictives : des sciences sociales aux pratiques locales
Colloque régional de prévention des addictions Mardi 31 mars 2015 Clermont-Ferrand Prévention des conduites addictives : des sciences sociales aux pratiques locales Appels à communication Le Pôle de référence
Plus en détailRapport d évaluation du master
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Finance de l Université de Strasbourg Vague C 2013-2017 Campagne d évaluation 2011-2012 Section des Formations et des diplômes Evaluation
Plus en détailPascal LACHAISE Paul TORNER. Matthieu PICARD
La communication médecins/ pharmaciens/patients Enquête sur les attentes des différents acteurs. Quelles solutions pour améliorer la concertation médecin/pharmacien pour le bénéfice du patient? Pascal
Plus en détailwww.u-bordeaux3.fr Master recherche Histoire des mondes moderne et contemporain
www.u-bordeaux3.fr Master recherche Histoire des mondes moderne et contemporain Objectif de la formation Ce master propose une formation de haut niveau en histoire moderne et contemporaine. Il a pour objectif
Plus en détailSERVICES À LA PERSONNE DES OPPORTUNITÉS DE PARCOURS PROFESSIONNELS POUR LES JEUNES
SERVICES À LA PERSONNE DES OPPORTUNITÉS DE PARCOURS PROFESSIONNELS POUR LES JEUNES 2 SOMMAIRE Les services à la personne.... 6 Une palette de 18 métiers.... 7 Près de 60 diplômes ou titres... 8 Des parcours
Plus en détailQu est-ce que la PACES?
Qu est-ce que la PACES? Depuis la rentrée 2010, et selon l arrêté du 28 octobre 2009 publié au journal offi ciel du 17 novembre 2009, les premières années de médecine et de pharmacie, ainsi que celles
Plus en détailProgramme international de formation
Programme international de formation La science n a pas de patrie, car la connaissance appartient à l humanité, c est un flambeau qui illumine le monde. Louis Pasteur Le Réseau International des Instituts
Plus en détailUniversité libre. École de SantÉ Publique. Économie et Gestion de la santé. Épidémiologie et Biostatistique. Médecine du travail. politique et santé
Économie et Gestion de la santé Épidémiologie et Biostatistique Médecine du travail politique et santé internationale Promotion de la Santé Université libre de Bruxelles École de SantÉ Publique Santé environnementale
Plus en détailRapport d évaluation du master
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Informatique de l Université Paris 7 Denis Diderot Vague D 2014-2018 Campagne d évaluation 2012-2013 Section des Formations et des
Plus en détailMESURER LA VALEUR ET LE ROI D UN PROJET DE RÉSEAU SOCIAL D ENTREPRISE
Livre Blanc MESURER LA VALEUR ET LE ROI D UN PROJET DE RÉSEAU SOCIAL D ENTREPRISE Une méthode opérationnelle proposée par un groupe de professionnels (DSI et experts des RSE) pour analyser la valeur d
Plus en détailDocument d information 1. Principaux aspects de la proposition de la Commission COM (2000) 716 du point de vue de l alimentation animale
Proposition de la Commission COM (2000) 716 établissant les principes généraux et les prescriptions générales du droit alimentaire, instituant l Autorité Alimentaire Européenne et fixant des procédures
Plus en détailContribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé. Tours
Contribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé Tours Débat régional du 13 février 2014 Chantier n 1 du programme Gaspar : développer les conventionnements tiers payant
Plus en détailOFFRE DE FORMATION ISEM 2015/2016 WWW.UMONTPELLIER.FR
OFFRE DE FORMATION ISEM 2015/2016 WWW.UMONTPELLIER.FR OFFRE DE FORMATION / ISEM Sous réserve d accréditation LA LICENCE GESTION Certification de niveau II (Bac+3) : 6 Semestres - 180 crédits (ECTS) Conditions
Plus en détailActions prévues pour l année à venir & synthèse des actions menées durant l'année écoulée
Actions prévues pour l année à venir & synthèse des actions menées durant l'année écoulée Fiche à envoyer pour le 31 décembre de chaque année à l Agence Régionale de Santé (ARS), à l attention du correspondant
Plus en détailREMISE A NIVEAU SCIENTIFIQUE Accessible à tous les baccalauréats
CHIMIE CONDUITE DE PROJETS PHYSIQUE MATHÉMATIQUES SCIENCES EN QUESTIONS BIOLOGIE REMISE A NIVEAU SCIENTIFIQUE Accessible à tous les baccalauréats Université Catholique de Lille 1 La FLST, au cœur du campus
Plus en détailRapport d évaluation du master
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Marketing et vente de l Université Montpellier 1 UM1 Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section des Formations et des
Plus en détailMaster recherche. Spécialité «Savoirs et Expertises de l Activité Physique» Master
Master recherche Spécialité «Savoirs et Expertises de l Activité Physique» 3 parcours de spécialisation : Physiologie et biomécanique de l exercice, Sciences humaines et sociales appliquées aux APS Didactique
Plus en détailEquipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)
Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,
Plus en détailCOLLOQUE ARY BORDES. Investir dans les ressources humaines pour reconstruire un système de santé performant. Bilkis Vissandjée, PhD 24 mars 2011
COLLOQUE ARY BORDES Investir dans les ressources humaines pour reconstruire un système de santé performant Bilkis Vissandjée, PhD 24 mars 2011 Faculté des sciences infirmières Faculté des sciences infirmières
Plus en détailCAMPUS SANTÉ OUTAOUAIS : UNE SYNERGIE REMARQUABLE POUR PRENDRE SOIN DE LA SANTÉ DE L OUTAOUAIS
Communiqué CAMPUS SANTÉ OUTAOUAIS : UNE SYNERGIE REMARQUABLE POUR PRENDRE SOIN DE LA SANTÉ DE L OUTAOUAIS Gatineau, le 14 septembre 2009. Campus santé Outaouais, le consortium créé en juin 2008 et dont
Plus en détailREMBOURSEMENTS DES MUTUALITES DES PRESTATIONS DU DIETETICIEN
REMBOURSEMENTS DES MUTUALITES DES PRESTATIONS DU DIETETICIEN En Belgique, chaque mutuelle est libre de choisir sa "politique de remboursement". Tout dépend donc de la mutualité à laquelle vous (votre patient)
Plus en détailTableau: Offres de formations professionnelles et doctorales de l'uac
Tableau: Offres de formations professionnelles et doctorales de l'uac ETABLISSEMENTS, TYPES DE FORMATION ET FILIERES CEFORP Populations et Dynamique Urbaines CEFRI Technologie de l'information pour la
Plus en détailSanté, bien-être et plaisir par l alimentation et la cuisine
LICENCE PRO Santé, bien-être et plaisir par l alimentation et la cuisine Carte d identité de la formation Diplôme Licence professionnelle Spécialité Santé, bien-être et plaisir par l alimentation et la
Plus en détail2013-2014. psychologie. UFR des Sciences de l Homme
2013-2014 DU LYCÉE À L UNIVERSITÉ psychologie UFR des Sciences de l Homme OBJECTIFS de la formation Vous êtes intéressé par les études de psychologie? A l Université Bordeaux Segalen, cette formation s
Plus en détail«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY
«Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration
Plus en détailUNIVERSITÉ 66,8 C.P.G.E. 74,8 % D.U.T. B.T.S. 13,4 % 2,3 11,1 Autres formations 9,7. Total : 97,5 % 7,8 0,2. Lettres Economiques
APRES LE BAC UNIVERSITÉ 66,8 C.P.G.E. Lettres Economiques 8 7,8 0,2 74,8 % D.U.T. B.T.S. 2,3 11,1 Autres formations 9,7 Ecoles de commerce, vente, gestion Ecoles artistiques (y compris archi) Ecoles paramédicales
Plus en détailS T E DELTA-C FORMATION UNIVERSITAIRE. Centre de Formation et d Appui Conseil pour le Développement Local
DELTA-C Centre de Formation et d Appui Conseil pour le Développement Local FORMATION UNIVERSITAIRE ETABLI EN 2009 PROGRAMMES DE LMD (LICENCES-MASTERS-DOCTORATS) Fiche Scientifique et Pédagogique DOMAINE
Plus en détailRapport d évaluation du master
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Biologie cellulaire, physiologie, pathologies de l Université Paris 7 Denis Diderot Vague D 2014-2018 Campagne d évaluation 2012-2013
Plus en détailImpact de l Apparition de l Hyper-Connectivite sur la Banque de De tail
Impact de l Apparition de l Hyper-Connectivite sur la Banque de De tail 2012 Financial Breakthroughs - Ver-2012-02-06 - Document sous licence CC-BY-NC-ND I FICHE RESUME DE CE LIVRE BLANC... 1 II INTRODUCTION...
Plus en détailFORMATIONS STAGES INSERTION PROFESSIONNELLE. UFR Sciences Orsay. Isabelle DEMACHY
FORMATIONS STAGES INSERTION PROFESSIONNELLE UFR Sciences Orsay Isabelle DEMACHY Les étudiants à la faculté des Sciences 9000 étudiants (1/3 de l ensemble de l université) 800 enseignants-chercheurs, 800
Plus en détailEtudiants et jeunes diplômés : les aspirations professionnelles
et jeunes diplômés : les aspirations professionnelles Sondage de l Institut CSA pour LinkedIn Février 203 Sommaire Fiche technique du sondage p 3 Des jeunes optimistes pour eux-mêmes malgré un contexte
Plus en détailMASTER RECHERCHE CINEMA : APPROCHES INTERCULTURELLES
MASTER RECHERCHE CINEMA : APPROCHES INTERCULTURELLES Mention : Arts Spécialité : Cinéma et audiovisuel, approches interculturelles du cinéma Contacts Composante : UFR Humanités Contact(s) administratif(s)
Plus en détailCentre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie et de la diversité des jeunes créateurs
Centre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie MARDI Contact presse Ministère de la Culture et de la Communication Délégation à l information et à
Plus en détailPrésentation du MASTER EN SCIENCES DE LA SANTE PUBLIQUE
UCL Université catholique de Louvain Master en sciences de la santé publique Présentation du MASTER EN SCIENCES DE LA SANTE PUBLIQUE [Master 120 crédits] (ESP 2 M) Année 2010/2011 Clos Chapelle-aux-Champs
Plus en détailIntervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché
XXIII ème Assemblée régionale Europe Erevan, Arménie 3 au 7 mai 2010 Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché Section Belgique/Communauté
Plus en détailLA FORMATION DU DIETETICIEN Constat et souhaits de la profession
SOMMAIRE LA FORMATION DU DIETETICIEN Constat et souhaits de la profession I - LA PROFESSION DE DIETETICIEN page 3 1 DEFINITION 3 2 SECTEURS D'ACTIVITE ET MISSIONS CORRESPONDANTES 4 Le diététicien en établissement
Plus en détail1. PRÉAMBULE 2. BUT 3. PRINCIPES DIRECTEURS CHUS MANUEL DES NORMES ET PRATIQUES DE GESTION SUJET : RECHERCHE NPG N 0 : 4221
CHUS MANUEL DES NORMES ET PRATIQUES DE GESTION SUJET : RECHERCHE NPG N 0 : 4221 OBJET : Politique d attribution des espaces au CRCELB APPROUVÉE PAR : COMITÉ DE DIRECTION ÉMISE LE : 6 novembre 1997 RÉVISÉE
Plus en détailCharte PNNS Groupe CASINO Résultats
Charte PNNS Groupe CASINO Résultats Calendrier En 2008, Casino a signé Les une engagements charte d engagements de la charte de progrès PNNS ont nutritionnel été appréhendés du PNNS. Elle comprenait 10
Plus en détailLes rencontres «Acheteurs de la santé» - Auvergne Opportunités d affaires 2014-2015. Bilan
Les rencontres «Acheteurs de la santé» - Auvergne Opportunités d affaires 2014-2015 Bilan Contexte : Le marché hospitalier est identifié à la fois comme une source de croissance et d emplois pour les entreprises
Plus en détailpas de santé sans ressources humaines
Résumé Une vérité universelle : pas de santé sans ressources humaines + alliance mondiale pour les personnels de santé Résumé Objectif Le présent rapport est destiné à éclairer les débats du troisième
Plus en détailBac après Bac Alternance ou statut étudiant
Guide des formations Bac après Bac Alternance ou statut étudiant EDITO Formations CCI, Bac à Bac + 5 L énergie de la réussite C est une réalité. Avec un diplôme de valeur en poche et reconnu, les jeunes
Plus en détailRapport sur l offre de formation «licence professionnelle»
Section des Formations et des diplômes Rapport sur l offre de formation «licence professionnelle» de l Université de la Réunion Vague E - 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section des Formations
Plus en détailFaculté des Sciences Economiques et de Gestion de Nabeul. Université de Carthage. Master de Recherche Finance des Entreprises et des Marchés
Faculté des Sciences Economiques et de Gestion de Nabeul Université de Carthage Master de Recherche Finance des Entreprises et des Marchés Le mot du responsable Le master de recherche «Finance des Entreprises
Plus en détailOFFRE de FORMATION 2015-2016. {sciences humaines & sociales}
OFFRE de FORMATION 2015-2016 {sciences humaines & sociales} {Organisation des études} L architecture des études de l enseignement supérieur s articule autour de trois diplômes et niveaux de sortie : L
Plus en détailCapitale touristique, cité médiévale, ville impériale et emblème du Maroc à l étranger,
Capitale touristique, cité médiévale, ville impériale et emblème du Maroc à l étranger, Marrakech, envoûtante et mystérieuse, accueillante et attachante est sans doute la ville la plus connue du Royaume.
Plus en détailAPRES LA SECONDE. Choisir une série de Baccalauréat
APRES LA SECONDE Choisir une série de Baccalauréat Permanences des Conseillères d Orientation Psychologues Au lycée: Mme REY Moeragi Le lundi: 7h30-14h Mme HUYEZ Sylvie Le jeudi de 7h15 à 15h Prendre RDV
Plus en détailOFFRE DE FORMATION ÉCONOMIE 2015/2016 WWW.UMONTPELLIER.FR
OFFRE DE FORMATION ÉCONOMIE 2015/2016 WWW.UMONTPELLIER.FR OFFRE DE FORMATION / ÉCONOMIE Sous réserve d accréditation LA LICENCE EN ÉCONOMIE Certification de niveau II (Bac+3) : 6 Semestres - 180 crédits
Plus en détailLe soin diététique réalisé par un diététicien en établissement de santé
Recommandations pour la pratique clinique Le soin diététique réalisé par un diététicien en établissement de santé Recommandations Mai 2011 Association Française des Diététiciens Nutritionnistes 35 allée
Plus en détailBienvenue dans la Génération C
Bienvenue dans la Génération C La chimie c est le monde d aujourd hui, mobile, connecté, ouvert mais aussi celui de demain, plus vert, plus beau et plus performant! L industrie chimique, c est un monde
Plus en détailFès. Licences Fondamentales. Filière SMC : Sciences de la Matière Chimie Coordonnateur : Pr. Mohammed KHALDI
Université Sidi Mohammed Ben Abdellah Faculté des Sciences Dhar El Mahraz Fès LICENCES FONDAMENTALES Licences Fondamentales Filière SMC : Sciences de la Matière Chimie Coordonnateur : Pr. Mohammed KHALDI
Plus en détailson offre Executive Education
Destinée aux cadres supérieurs, dirigeants d entreprises et entrepreneurs menée en partenariat avec CentraleSupélecParis Lancée en Octobre 2015 Casablanca, le 2 juin 2015 L Ecole Centrale Casablanca annonce
Plus en détailSchéma des études post-bac
Schéma des études post-bac Concours enseignement Master 2 Master 1 Licence professionnelle Licence 3 BTS DUT DEUST Lice nce 2 CPGE Lice nce 1 Écoles d Ingénieurs / de Commerce Accès aux concours CPGE Écoles
Plus en détailLa Vache qui rit. CHARTE D ENGAGEMENT VOLONTAIRE DE PROGRÈS NUTRITIONNELS - Résultats -
La Vache qui rit CHARTE D ENGAGEMENT VOLONTAIRE DE PROGRÈS NUTRITIONNELS - Résultats - Le Groupe Bel, conscient du rôle à jouer par l industrie agroalimentaire dans la lutte contre les problèmes de santé
Plus en détailInsuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III
Insuffisance cardiaque et télémédecine: Exemple du Projet E care : prise en charge à domicile des insuffisants cardiaques en stade III de la NYHA Emmanuel ANDRES et Samy TALHA Service de Médecine Interne,
Plus en détailOFFRE de FORMATION 2015-2016. {arts, Lettres, Langues}
OFFRE de FORMATION 2015-2016 {arts, Lettres, Langues} {Organisation des études} L architecture des études de l enseignement supérieur s articule autour de trois diplômes et niveaux de sortie : L : licence
Plus en détail2) Qu est-ce que la cohésion sociale et l inclusion?
Chantier sur la cohésion sociale et l inclusion dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés JUIN 2013 1) Mise en contexte Dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés à Saint-Camille, 4 chantiers
Plus en détailL EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE
L EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE Depuis plus de 10 ans, l association Actis dentaire formation a pour objectif de former des praticiens à la chirurgie orale, parodontale et implantaire. L expérience pour
Plus en détailPRESENTATION DU LIVRE BLANC 2013 I TELEMEDECINE 2020
PRESENTATION DU LIVRE BLANC 2013 I TELEMEDECINE 2020 Modèles économiques pour le télésuivi des maladies chroniques Colloque Industries Numérique & Santé + Autonomie 5 juillet 2013 Introduction Jean-Bernard
Plus en détailRapport d évaluation du master
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Droits de l'homme de l Université de Strasbourg Vague C 2013-2017 Campagne d évaluation 2011-2012 Section des Formations et des diplômes
Plus en détailDes métiers et des études de langues. Service d Information et d Orientation Universitaire. Octobre 2012
Des métiers et des études de langues Service d Information et d Orientation Universitaire Octobre 2012 Quelques chiffres sur l insertion professionnelle Schéma des études Les secteurs professionnels :
Plus en détailQuels masters envisageables après un BA en Psycho/Éd à Neuchâtel?
Quels masters envisageables après un BA en Psycho/Éd à Neuchâtel? Présentation des masters de Genève, Lausanne, Fribourg et Neuchâtel Association des étudiants en psychologie/ éducation, en psychologie
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailSecrétariat général de la cshep, Thunstr. 43a, 3005 Berne, tél.: 031 350 50 20, fax: 031 350 50 21
Secrétariat général de la cshep, Thunstr. 43a, 3005 Berne, tél.: 031 350 50 20, fax: 031 350 50 21 Recommandations de la CSHEP et de la CRUS pour la mise en œuvre coordonnée de la déclaration de Bologne
Plus en détail«Cette femme réduit le grain en farine grâce à une pierre à moudre (metate) et un broyeur cylindrique (mano)». 1 LA PROBLEMATIQUE
Proposition de réglementation spécifique de la production et de la commercialisation de produits agricoles et alimentaires traditionnels en Amérique latine ( ) - Propositions «Metate» - Marlen LEON GUZMAN
Plus en détail