Afrique subsaharienne Tendances récentes
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- Ariane St-Cyr
- il y a 8 ans
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1 Afrique subsaharienne Tendances récentes Le taux de croissance des économies d Afrique subsaharienne est passé de 5,7 % en 2006 à 6,1 % en 2007, ce qui constitue la progression la plus soutenue que cette région ait connue depuis plus de trois décennies (figure A21). Cet essor s est appuyé sur une robuste croissance du PIB de 8,1 % pour les pays exportateurs de pétrole et sur un taux de 5,3 % pour les pays importateurs à l exclusion de l Afrique du Sud. Dans le premier de ces deux groupes, le renchérissement du pétrole et l entrée en service de nouvelles capacités de production, en Angola et au Soudan notamment, ont contribué à propulser la croissance à son plus haut niveau depuis près de 35 ans. Dans le second, l essor des prix des produits de base non pétroliers conjugué à une plus grande ouverture des économies et à un meilleur niveau de stabilité macroéconomique s est traduit par un niveau de croissance sans précédent depuis dix ans (tableau A11). L Afrique du Sud, principale économie de la région, semble destinée à voir l essor de sa production fléchir à 5,0 % en 2007, contre 5,4 % en Les chiffres trimestriels dénotent une solide expansion, la croissance étant passée de 4,4 à 4,6 % entre les deuxième et troisième trimestres de l année (en taux annuel corrigé des variations saisonnières), mais des éléments laissent penser que la hausse du coût des emprunts a eu pour effet de tempérer le rythme de progression de la consommation, et que la hausse des taux d intérêt et le renforcement du rand affectent l essor du secteur manufacturier. Cependant, la formation brute de capital fixe continue de progresser à un rythme soutenu, et il faut s attendre à ce que cela soit encore le cas au cours des trimestres à venir sous l effet des dépenses d infrastructure engagées dans la perspective de la Coupe du monde de football, en Au niveau du compte courant, l affaiblissement de la croissance de la consommation privée et une légère amélioration des termes de l échange ont contribué à ramener le déficit à 6,5 % du PIB au deuxième trimestre de 2007, contre 6,9 % au trimestre précédent. Mais en dépit de ce tassement de la consommation privée, le déficit du compte courant est destiné à se creuser sous l effet d une augmentation des importations de biens d équipement et de matériaux de construction, ainsi que d une nouvelle détérioration des termes de l échange (tableau A12). Les remous qui ont récemment agité les marchés financiers internationaux ont entraîné une légère dépréciation du rand par rapport au dollar, mais cela faisait suite à une période de forte appréciation de la monnaie sud-africaine qui tenait notamment aux anticipations d afflux de capitaux liées aux activités de fusion et d acquisition. Le rand est depuis retourné à ses niveaux antérieurs à juillet et à cette période d intenses perturbations sur les marchés financiers. L instabilité et les baisses des marchés financiers des pays à revenu élevé ont dans une certaine mesure affecté ceux d Afrique du Sud, mais leur incidence a été limitée. Le pays a évité des cessions massives d actifs, et l indice des valeurs de la bourse de Johannesburg a établi de nouveaux records. Pour l avenir, on s attend à des retombées limitées au niveau de la consommation et de l investissement. Pour les exportateurs de pétrole de la région, le niveau de croissance affiché s est appuyé sur des résultats exceptionnels dans des pays comme l Angola et le Soudan 28
2 (figure A22). En Angola, qui est l économie la plus dynamique et le deuxième plus gros producteur de pétrole d Afrique subsaharienne, la croissance reste exceptionnellement solide, le secteur pétrolier et le secteur non pétrolier affichant l un et l autre des taux de progression à deux chiffres. La production de diamants est également en hausse, ce qui vient s ajouter aux recettes pétrolières et contribue à accroître l excédent du compte courant. Mais l essor de la production de pétrole s est situé à un niveau impressionnant de 18,7 % sur les neuf premiers mois de 2007 (en valeur d une année sur l autre), après avoir atteint 26 % en 2005 et 13 % en Les nouveaux gisements appelés à entrer en production entre 2007 et 2009 assureront une forte croissance dans ce secteur, mais le rythme de l activité dans le secteur non pétrolier approchera un niveau de 20 % sous l effet d une robuste croissance dans quatre domaines : agriculture, industrie manufacturière, construction et électricité. Un élément qui mérite également d être souligné au sujet des pays exportateurs de pétrole de la région est l amélioration de leur stabilité macroéconomique, l inflation se relâchant en dépit du niveau élevé des recettes et de l accélération des dépenses publiques. De plus, le récent resserrement monétaire intervenu en Angola devrait contribuer à réduire encore les pressions inflationnistes. Les soldes budgétaires et courants se sont considérablement améliorés dans ce groupe de pays, du fait de la manne pétrolière. Le solde budgétaire non pétrolier s est également amélioré, mais en grande partie du fait de contraintes de capacités qui limitent la hausse des dépenses publiques. En ce qui concerne le Nigéria, qui est en importance la deuxième économie de la région, ses résultats se sont légèrement améliorés en Son PIB a modérément progressé, de 5,6 % en 2006 à 5,9 %, de fortes avancées dans le secteur non pétrolier ayant compensé des résultats sensiblement inférieurs à la normale dans le secteur pétrolier. Sous l effet de solides performances dans le domaine de l agriculture et celui des services financiers, le secteur non pétrolier a ainsi connu une expansion de 9,5 % au troisième trimestre de 2007 (en valeur d une année sur l autre), ce qui a porté le niveau de croissance globale à 6,1 %, contre 5,7 % au trimestre précédent. Dans le secteur pétrolier, la production de brut, condensats et liquides de gaz naturel compris, a baissé de 7,1 % au troisième trimestre (sur un an), ce qui a réduit le niveau global de production de 4,2 % pour les neuf premiers mois de l année, et ce résultat défavorable vient s ajouter à une contraction de la production de 5,3 % en Le tout nouveau pays producteur de pétrole de la région, à savoir la Mauritanie, a également affiché des résultats décevants en termes de croissance économique, avec un niveau de progression modéré qui tient en grande partie à ce que sa production pétrolière a été amputée de moitié du fait d une refonte des équipements en place. Les pays membres de la Communauté économique et monétaire de l Afrique centrale ont pour leur part affiché des résultats économiques contrastés. Au Gabon, par exemple, une forte croissance dans le secteur non pétrolier a engendré une considérable accélération du PIB en dépit d une baisse de la production pétrolière. Le rythme de croissance s est également accru au Cameroun, soutenu par une forte demande intérieure et, au niveau de l offre, de solides performances dans les secteurs des transports et des télécommunications. Dans le même temps, la République du Congo a vu son niveau de performance diminuer sous l effet d un fléchissement du rythme d expansion dans le secteur pétrolier et de retards dans le programme d investissement public qui ont affecté 29
3 la croissance dans le secteur non pétrolier. Et au Tchad, une nouvelle baisse prononcée de la production de pétrole et une décélération continue de la croissance dans le secteur non pétrolier ont entraîné une contraction de l économie dans le courant de l année. Parmi les pays importateurs de pétrole de la région, de solides taux de progression du PIB ont été réalisés, surtout pour les pays qui sont à un stade plus avancé de leur processus de réforme, ceux qui sont parvenus à un plus grand degré d ouverture en matière commerciale et ceux qui ont atteint un meilleur niveau de stabilité macroéconomique (figure A23). Dans plusieurs d entre eux, c est une hausse des exportations de produits non traditionnels qui a contribué à alimenter la croissance. En Afrique de l Est, la Tanzanie a enregistré une plus forte croissance dans le secteur agricole et obtenu également de meilleurs résultats au niveau des activités manufacturières, minières et de construction, ce qui a porté la progression globale de son PIB en 2007 à 7,1 %. Au Kenya, la croissance devrait atteindre 6,3 % et dépasser ainsi le niveau record sur 30 ans de 6,1 % établi en 2006, une performance à mettre au compte de meilleurs chiffres de fréquentation et de recettes touristiques, d avancées plus marquées dans les secteurs des transports et des communications, et d un meilleur niveau de production agricole. Au deuxième trimestre de 2007, le niveau de croissance a atteint 7,1 % (d une année sur l autre) grâce une expansion de 8,6 % dans le secteur manufacturier, de 11,1 % dans l hôtellerie et la restauration, et de 11,8 % dans le domaine des communications. À Madagascar, d importants apports d investissement direct étranger (IDE) dans le secteur minier sont aujourd hui à l origine d une importante modification de la structure de l économie. Quant à l économie ougandaise, elle bénéficie d une expansion soutenue dans les secteurs de la construction, des transports et des communications, ainsi que d une reprise de l activité agricole. Au niveau de l Union économique et monétaire ouest-africaine, le rythme de croissance s est également accéléré en 2007 ; il a gagné près de 1 point de pourcentage pour s établir à 3,7 %, à la faveur de taux de croissance du PIB supérieurs à 4 % dans cinq des huit pays membres. Mais un niveau insuffisant d approvisionnement en énergie dans beaucoup de ces pays ainsi que des difficultés dans plusieurs sous-secteurs agricoles ont empêché ces taux d atteindre des niveaux encore plus élevés. Et dans plusieurs pays de l union où les inondations ont causé d importants dégâts, la production agricole et la consommation privée mettront encore un certain temps à se redresser, ce qui ralentira la croissance vers la fin de 2007 et à l amorce de l année Au Mozambique, l expansion se maintient, avec une production en hausse de 8,8 % sur les six premiers mois de l année, mais les dégâts dus aux cyclones et aux inondations ont néanmoins causé un ralentissement par rapport au taux de progression de 10 % (sur un an) affiché un an plus tôt. Dans ce pays, un coup de pouce a été donné au PIB dans la première moitié de 2007 par des investissements de 1,4 milliard de dollars dans le projet charbonnier de Moatize et de 390 millions de dollars dans d autres projets. Perspectives à moyen terme La croissance des économies d Afrique subsaharienne est destinée à se maintenir à un rythme dynamique au regard de ses niveaux historiques, avec un taux proche de 6 % sur le court et moyen terme, et ce en dépit d un affaiblissement de la demande dans la zone 30
4 euro en 2008 et de corrections au niveau des prix des produits de base non pétroliers, en particulier les métaux, sur le moyen terme (tableau A11). Pour beaucoup de pays, cette croissance s appuiera en partie sur une solide demande intérieure, et en particulier sur une forte progression de l investissement fixe public et privé (figure A24). On s attend à ce que le niveau d investissement fixe reste soutenu, en dépit du resserrement du crédit sur les marchés financiers internationaux et du relâchement des prix des produits de base non pétroliers. De vastes projets d équipement stratégiques lancés par de grandes économies en développement qui connaissent un essor rapide, comme la Chine et l Inde, contribueront probablement au maintien d un fort courant d investissements. Un exemple notable de projet de ce type est l accord de prêt d un montant de 5 milliards de dollars récemment conclu entre la Chine et la République démocratique du Congo, en vertu duquel quelque 3 milliards de dollars seront consacrés à de grands projets d infrastructures, notamment la construction de liaisons ferroviaires et routières d une longueur respective de et kilomètres. Le projet financera également la construction de 31 hôpitaux, 145 centres de santé et deux universités. Les 2 milliards de dollars restants serviront à mettre en place une société minière dans le cadre d un accord de coentreprise entre les deux pays. Madagascar et le Mozambique sont deux autres pays dont l économie bénéficie d importants apports d IDE. La vigueur affichée depuis plusieurs années par les prix des produits de base non pétroliers ainsi que la hausse des apports de capitaux privés et envois de fonds des travailleurs expatriés sont deux éléments qui soutiennent la consommation privée, bien qu un tassement des dépenses soit à prévoir sur le moyen terme à mesure que s atténuera la progression des revenus. En Afrique du Sud, il faut s attendre à ce qu une hausse des taux d intérêt et une érosion des revenus réels réduisent le niveau des dépenses réelles. Un autre élément qui contribuera à freiner l essor de la consommation est la forte baisse subie par les revenus des agriculteurs dans les pays récemment victimes d inondations, quoique les transferts provenant d entités publiques et privées et de bailleurs de fonds en atténueront probablement en partie les effets. Selon les dernières estimations, les pays les plus gravement touchés sont le Burkina Faso, le Ghana et l Ouganda. Les répercussions négatives de cette situation sur les dépenses individuelles continueront de se faire sentir pendant une bonne partie de l année Dans d autres pays, le redressement opéré à la suite des sécheresses se traduit par une amélioration des résultats dans le secteur agricole, ce qui donne un coup de pouce supplémentaire à la croissance, tandis que l effet sur les revenus des années successives de niveaux de prix élevés pour les produits de base non pétroliers continue de stimuler la consommation privée. Au niveau des pays de la région exportateurs de pétrole, on s attend à ce que la croissance tombe à un niveau de 6,9 % en 2009, sous l effet de la baisse des prix pétroliers prévue pour cette année et du fait que les grands projets d investissement commenceront à prendre fin. Mais cela fera suite à un niveau record de progression du PIB de 9 % en 2008, lequel aura pour éléments moteurs le maintien des hausses de production de pétrole brut en Angola et au Soudan et une reprise attendue de la production au Nigéria. Le fléchissement des prix pétroliers en 2009 pourrait entraîner des réactions au niveau de l offre, en faisant au moins baisser le rythme de la production de pétrole dans un grand nombre de pays producteurs de moindre envergure, où les coûts de 31
5 production restent élevés. Pour les gros producteurs de la région, en revanche, on s attend à ce que la production continue d augmenter. Au Nigéria, on prévoit une accélération prononcée de la croissance en 2008, sous l effet d une reprise dans le secteur pétrolier et de fortes progressions dans le secteur non pétrolier. La stabilisation de la situation dans le delta du Niger devrait permettre à la production de pétrole de se redresser progressivement pour atteindre des niveaux supérieurs à ceux de 2005, entraînant dans ce secteur des niveaux de croissance de près de 10 % après la contraction de l activité enregistrée en L essor des investissements devrait cependant s atténuer, en dépit du fait que l État prévoit d investir des montants substantiels dans ses infrastructures routières, ferroviaires et électriques, ainsi que pour le dragage du fleuve Niger. Les investissements en question semblent en effet faire beaucoup appel aux importations, celles-ci représentant entre 75 et 80 % des sources de dépenses, ce qui en limitera par là même les effets positifs directs sur la croissance de l économie nigériane. Dans plusieurs pays d Afrique de l Ouest, les difficultés que connaissent le secteur du coton et celui des arachides ont des répercussions négatives sur la croissance, et, parmi les pays importateurs de pétrole, ce sont les pénuries d électricité et le niveau élevé des coûts énergétiques qui ont pour effet de brider l expansion de l économie. Certains pays voient leur facture d importations pétrolières augmenter de façon considérable, notamment parce que beaucoup de leurs entreprises utilisent des groupes électrogènes fonctionnant au fuel pour compléter leur approvisionnement en électricité sur le réseau. Dans les pays de l Union économique et monétaire ouest-africaine, la croissance s appuiera sur une amélioration des résultats dans le secteur primaire et une augmentation des dépenses publiques d investissement financée grâce aux économies réalisées dans le cadre des initiatives en faveur des pays pauvres très endettés et d allégement de la dette multilatérale. Et pour les pays importateurs de pétrole, la croissance devrait tirer parti d un fort niveau de progression des investissements, ainsi que d une demande toujours soutenue de produits de base non pétroliers de la part de marchés émergents en plein essor. Risques Un des principaux risques pesant sur la croissance des économies d Afrique subsaharienne est que le niveau d expansion économique et de demande d importations des pays à revenu élevé baisse plus que prévu. Une telle baisse pourrait être liée à des problèmes persistants sur les marchés financiers, ou provoquée par des niveaux de croissance plus faibles dans les grands pays émergents, tels que la Chine et l Inde, ce qui pourrait entraîner un fléchissement de l essor des exportations pour tous les pays de la région d une manière générale, et pour les importateurs de pétrole en particulier. Il existe également un risque palpable de montée des pressions inflationnistes. Si les prix pétroliers devaient augmenter encore, ou des situations de sécheresse affecter l approvisionnement alimentaire, cela pourrait entraîner de l inflation. Des hausses des prix internationaux de produits agricoles de première nécessité comme les céréales et les huiles végétales, qui sont en grande partie une perspective d ores et déjà inéluctable, 32
6 risqueraient d attiser des tensions sur les prix intérieurs, en particulier dans les pays fortement tributaires des importations de blé et d huiles végétales. Dans certains pays, une forte demande intérieure et des ajustements à la hausse des salaires dans le secteur public ont déjà commencé à engendrer des tensions inflationnistes. Pour d autres, en particulier les pays producteurs de pétrole, des contraintes de capacités et une surchauffe de l économie font peser des risques supplémentaires à cet égard. L Afrique du Sud est elle-même confrontée à un ensemble d éléments haut degré de confiance, fort niveau de dépenses intérieures, hausse de l emploi, vigueur du marché du crédit, augmentation des prix des actifs qui contribuent à doper la consommation par le jeu des effets de richesse positifs, et qui soulèvent nettement le spectre d une montée supplémentaire des pressions inflationnistes. L Afrique du Sud est également confrontée à un facteur de risque particulier, de par la façon dont elle a choisi de financer son important déficit courant, qui est censé dépasser un niveau équivalant à 7 % de son PIB en 2008 et 2009 : elle a en effet beaucoup compté pour cela sur les investissements de portefeuille, dont le cours pourrait éventuellement s inverser. Et pour ses responsables, une dépréciation marquée du rand en cas de cession massive d actifs sud-africains par des non-résidents présenterait une autre série de problèmes de gestion financière à traiter, en plus des pressions inflationnistes. Enfin, des chocs négatifs sur les termes de l échange (une baisse des prix des produits de base non pétroliers, ou d autres hausses des prix pétroliers, ou les deux) pourraient venir affecter les revenus disponibles dans les pays importateurs de pétrole, ce qui exercerait un effet de sape sur leur consommation privée tout en aggravant leur soldes extérieurs. Inversement, une hausse des prix pétroliers aurait des effets bénéfiques pour la croissance dans les pays exportateurs de pétrole. Les tensions sociopolitiques restent également un facteur de risque pour la croissance économique dans des pays comme la Côte d Ivoire, l Éthiopie, la Guinée, la Guinée-Bissau, la République démocratique du Congo, la Somalie et le Togo. Quant au Nigéria, il reste confronté aux risques substantiels que soulèvent les activités de groupes militants dans le delta du Niger, sa production de pétrole étant encore inférieure d environ 25 % à sa capacité journalière de 2,9 millions de barils. 33
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