Chutes sujet âgé. Intervention Gestionnaires de cas 13 janvier 2015 Dr Catherine Coat/Couturier
|
|
- Martine Pageau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Chutes sujet âgé Intervention Gestionnaires de cas 13 janvier 2015 Dr Catherine Coat/Couturier
2 CHUTE -Définitions La chute est définie comme le fait de se retrouver involontairement sur le sol ou dans une position de niveau inférieur par rapport à sa position de départ. le caractère répétitif des chutes est considéré à partir du moment où la personne a fait au moins 2 chutes sur une période de 12 mois. Evaluation et prise en charge des personnes âgées faisant des chutes Recommandations HAS 2009
3 EPIDEMIOLOGIE
4 2 millions de plus de 65 ans chutent par an (30%) 50% des plus de 80 ans chutent par an Risque de décès x 4 dans l année suivant la chute Risque de rechuter x 20 après une chute Accidents = 5ème cause de décès, chute = 2/3 des accidents chez les sujets âgés
5 Banalité des chutes Tendance à sous-estimation Réel problème de santé publique
6 3 x plus de chutes en institution qu à domicile 50% des personnes âgées institutionnalisées chutent au moins une fois par an le nombre de chute en institution est inversement proportionnel à l effectif du personnel
7 Population plus fragile La chute est une cause d entrée en institution (40% d institutionnalisation dans l année suivant une chute) Inadéquation entre effectif en personnel et dépendance des pensionnaires Formation du personnel insuffisante
8 30 à 40% des sujets âgés adressés aux urgences seront hospitalisés pour une durée moyenne de 8 à 15 jours 2.2% des sujets âgés hospitalisés aux urgences pour chute décèdent à court terme 50% de ceux immobilisés au sol plus de une heure décèdent dans les 6 mois
9 Un coût très important 3 cause d'admission en médecine aiguë gériatrique. ( séjours hospitaliers/an) Une des 1 ère cause d entrée en institution 1 milliard 34 millions d euros par année
10 Faut-il et quand les hospitaliser? Population déjà fragile à forte comorbidité : importance du dépistage notamment en ville et de la prévention primaire. Education de la population et formation des médecins généralistes et des paramédicaux Ne pas négliger le relever du sol dans la rééducation...
11 CIRCONSTANCES
12 sujets fragiles: Critères : fatigue, lenteur à la marche, perte de poids, sédentarité, troubles de la mémoire ou difficultés de se déplacer. - chute à l intérieur du domicile lors d activités de la vie quotidienne, marche, lever, dans les toilettes ou la SDB ou à l extérieur trébuchement sur trottoir - 50% chutent dans l année -6% font des chutes graves -2,5 femmes pour 1 homme
13 sujets vigoureux - plus jeunes - chutent moins, 10% dans l année -20% font des chutent graves - lors d activités extérieures exigeantes
14 Dans 50 à 70% des cas il n y a pas de malaises ou de perte de connaissances Il s agit d un trébuchement : finalité d un enchaînement d événements
15 CONSEQUENCES
16 Immédiates : Fractures, hématomes, dermabrasions Hypothermie Rhabdomyolyse Escarres Thrombophébites et embolie pulmonaire Déshydratation Rétention aiguë d urines
17 Immédiates : Non prise des médicaments utiles et de ceux dont l arrêt brutal est dangereux (BZD) Pneumopathie Infection urinaire Troubles psychocomportementaux : désorientation temporo-spatiale confusion inversion du cycle nycthéméral anxiété
18 Immédiates et à moyen terme: Peur de la chute Désadaptation psychomotrice : -sidération des automatismes acquis de l équilibre - tendance à la rétropulsion -augmentation du polygone de sustentation, genoux fléchis voire incapacité à la station debout -peur de la chute pouvant aboutir à une véritable phobie de la marche
19 Syndrome post-chute: Risque d évolution vers un tableau de régression psychomotrice et de perte d autonomie définitive URGENCE
20 A moyen terme et à long terme : perte d autonomie re chute (s) difficultés au maintien à domicile institutionnalisation décès
21 FRACTURE de l extrémité supérieure DU FEMUR
22 1% des chutes en en % des survivants ont une perte d autonomie 20 à 30% de ceux qui vivaient à domicile vont entrer en institution 12 à 25% de mortalité dans l année qui suit
23 Coût d un FESF coût annuel chirurgie + post-op immédiat = 2,8 milliards de Francs coût avec la rééducation = 3,5 à 4 milliards de Francs coût avec les complications immédiates = X 3
24 POURQUOI CHUTENT ILS?
25 MULTIFACTORIELLE
26 Il chute parce qu il vieillit parce qu il a peur de tomber parce qu il est malade parce qu il prend des médicaments à cause de son environnement
27 Modifications de la posture Accentuation de la cyphose Flexion Rotation antérieure bassin Diminution de la flexion plantaire >>>> même initiation de la marche mais le déroulé du pas est modifié
28 Modification de la marche Diminution de la longueur du pas >>> diminution de la vitesse Le sujet âgé lève moins les pieds Diminution du balancement des bras Discrète tendance à la rétropulsion
29 Le vieillissement affecte l équilibre Vue Fonction vestibulaire Conduction nerveuse Proprioception Sarcopénie
30 Le vieillissement affecte l équilibre Vue Diminution de l AV Diminution de la vision des contrastes Conduction nerveuse: ralentissement des vitesses de conduction, augmentation des temps de réactions
31 Le vieillissement affecte l équilibre Proprioception : diminution des récepteurs sensitifs au niveau de la voute plantaire Sarcopénie : Déficit hormones anabolisantes et excès d hormones catabolisantes Dénutrition +++
32 Il chute parce qu il vieillit parce qu il a peur de tomber parce qu il est malade parce qu il prend des médicaments à cause de son environnement
33 Peur de chuter Chez la moitié des chuteurs Chez un quart des non chuteurs
34 Il chute parce qu il vieillit parce qu il a peur de tomber parce qu il est malade parce qu il prend des médicaments à cause de son environnement
35 10% des chutes révèlent une affection aiguë (selon Beauchet 68% : étiologie médicale aigue : neuro>cv>infection>iatrogène)
36 Il chute parce qu il vieillit parce qu il a peur de tomber parce qu il est malade parce qu il prend des médicaments à cause de son environnement
37 Les médicaments Un des principaux facteurs de risque (Kamel 2002; Oliver et al et 2006) Risque : x 1.4 pour 1 médicament à x 2.4 pour > 2 médicaments Effets primaires et secondaires (cas des antihypertenseurs et neuroleptiques)
38 Médicaments cardio-vasculaires Diurétiques Digoxine Antiarythmiques de la classe IA
39 Risque de chute traumatisante Opiacés Anti-épileptiques Antidépresseurs
40 Il chute parce qu il vieillit parce qu il a peur de tomber parce qu il est malade parce qu il prend des médicaments à cause de son environnement
41 L environnement est une cause dans 30 à 50% des chutes Lieux privilégiés : Chambre Salle de bain escaliers
42 Les questions à poser Peut-on circuler facilement chez vous? Quels sont les revêtements du sol? L éclairage est-il suffisant? Avez-vous des objets rangés en hauteur? Disposez-vous de points d appui pour vous soutenir ou vous relever en cas de fatigue ou de chute?
43 Déclin cognitif et chutes Incidence x 3 > risque en fonction de la sévérité de la démence > risque en cas de démence parkinsonnienne < de la vitesse de marche < de la longueur du pas (Shaw BMJ 2003) Relation avec une atteinte des fonctions exécutives (Shéridan Jags 2003) Atteinte corticale : défaut d interprétation et de traitement des informations
44 Chutes à répétition : 4 facteurs de gravité Ostéoporose Traitement anticoagulant Isolement social Impossibilité de se relever du sol (HAS 2009)
45 PRISE EN CHARGE
46 Prise en charge précoce, active et globale Traiter les conséquences traumatiques Traiter les facteurs précipitants Traiter les facteurs de risque
47 Compiler les facteurs favorisants pathologies médicaments vue environnement Détecter les troubles de l équilibre spécifiques non spécifiques
48 Suivi ophtalmologique annuel DMLA : éclairage suffisant domicile rééducation orthoptique verres grossissants Canne information
49 Traitement fonctionnel Verticalisation (quelques soient les possibilités de participation du patient) Nécessité parfois de plusieurs personnes Enseigner au patient à se relever du sol
50 Soutien psychologique Anxiété, peur du vide antérieur Prise de conscience de la fragilité Perte de confiance en soi Démotivation, restrictions des activités Aggravation par l attitude de l entourage (surprotection) Négocier avec la famille et la personne
51 Evaluation médico-sociale Communication entre évaluateurs et réseaux de soutien sanitaire et sociaux de proximité Adaptation du domicile
52 Eclairage : interrupteur plafonnier auprès du lit lumière automatique dans les couloirs Prévenir : téléphone auprès du lit téléalarme
53 Toilettes : barres d appui, réhausseurs chaise percée SDB : tapis antidérapants, barre d appui, chaise de jardin planche de baignoire
54 Cuisine : «tout doit être à porter de main» Encombrement: tapis : fixer Accessibilité :marche d accès = rampe d accès
55 Ne pas hésiter à faire appel aux ergothérapeutes Penser aux aides financières pour l aménagement du domicile
56 Penser au chaussage Hauteur de tige prolongée Talon large et plat Fermeture montante par laçage ou velcro Matériau souple et sans couture intérieure Semelle fine et ferme, anti-dérapante Largeur suffisante
57 Chute chez le sujet âgé dément Eviter les situations à risque Pas de contention physique ou chimique Adapter l environnement matériel et humain Supprimer les obstacles
58 Chute chez le sujet âgé dément Eviter le stress Eviter de les faire parler en marchant Eviter de les interpeller brutalement Maintenir un bon état nutritionnel Faire accepter de l entourage la prise de risque liée à la déambulation
59 Savoir repérer la personne à risque Savoir demander une évaluation Repérer les risques du domicile Encourager l activité physique Rééducation
60 Conclusion Situation fréquente en gériatrie Multifactorielle Entraine souvent une cascade d événements Affecte la qualité de vie de la PA Prévention ++ en collaboration avec les différents acteurs de santé
61 Merci de votre attention!
CHUTES DE LA PERSONNE AGEE. «Protection Escaliers motorisée»
CHUTES DE LA PERSONNE AGEE «Protection Escaliers motorisée» Ehpad «Les Magnans» St Martin de Valgagues Dr Sylvie Andre Allheilig Médecin coordonnateur La Chute n est pas une «Fatalité» L âge, la poly morbidité
Plus en détailFORUM EHPAD PREVENTION DES CHUTES 2013. Définition de la chute
FORUM EHPAD PREVENTION DES CHUTES 2013 Définition de la chute 1 Plan Une chuteuse.. 1 ère partie: PEC initiale du chuteur: Place du soignant Place du gériatre Place de kinésithérapeute 2ème partie : Prévention
Plus en détailPROCEDURE D EVALUATION ET DE PREVENTION DU RISQUE DE CHUTE ET DE MAINTIEN DE LA MOBILITE
PROCEDURE D EVALUATION ET DE PREVENTION DU RISQUE DE CHUTE ET DE MAINTIEN DE LA MOBILITE Nb de pages : 8 Date de création 03/12/2013 Rédaction : Dr Robert ABADIE Dr Jean FAVAREL Date d application Vérification
Plus en détailPrévention des chutes
Notre mission Dispensateur de services de première ligne et de services spécialisés, le CSSS du Suroît a la responsabilité de maintenir et d améliorer la santé et le bien-être de la population de son territoire
Plus en détailDOCUMENTATION CLINIQUE D UNE CHUTE D UN PATIENT
Jacques Butel - Nadiat Donnat - Jeanne Forestier - Céliane Héliot - Anne Claire Rae Forum prévention des chutes 2010 DOCUMENTATION CLINIQUE D UNE CHUTE D UN PATIENT 1 Recueil données Formulaire de signalement
Plus en détailLa reprise de la vie active
Prothèse de hanche Les conseils de votre chirurgien La reprise de la vie active Vous êtes aujourd hui porteur d une prothèse de hanche ; elle va vous permettre de reprendre vos activités sans gène ni douleur.
Plus en détailVivre avec une prothèse du genou. Conseils pratiques
Vivre avec une prothèse du genou Conseils pratiques Introduction Pourquoi cette brochure? Avant la pose de votre prothèse de genou, vous avez bénéficié d un cours. L objectif de ce document est de résumer
Plus en détailde hanche Votre chirurgien vous a posé une prothèse de hanche...
Prothèse de hanche Votre chirurgien vous a posé une prothèse de hanche... Afin de limiter les risques de luxation de prothèse, vous devez éviter certains gestes, pendant une durée minimum de trois mois.
Plus en détailLA PROTHESE TOTALE DE GENOU
LA PROTHESE TOTALE DE GENOU Introduction : La destruction du cartilage est fréquente au niveau du genou qui est une articulation très sollicitée et soumise à tout le poids du corps. La conséquence de cette
Plus en détailPrévention des chutes. Un guide à l intention des patients et leur famille
Prévention des chutes Un guide à l intention des patients et leur famille 1 Qu est-ce qu une chute? Une chute survient lorsque vous tombez soudainement sur le plancher ou par terre. Une blessure peut ou
Plus en détailListe de contrôle à utiliser pour les ménages privés
Examen de l habitat à des fins de prévention des chutes Liste de contrôle à utiliser pour les ménages privés 1. Aspects d ordre général Ces points sont à examiner pour chaque pièce du logement utilisée
Plus en détailIFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015. M. BLOT Ergothérapeute. CHU de NIMES
IFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015 M. BLOT Ergothérapeute CHU de NIMES Introduction Définition de l hémiplégie Causes Evolution Conséquences Description Prise en charge du patient en fonction de l activité
Plus en détailVivre avec une prothèse de hanche: mode d emploi. Information destinée aux patients
Information destinée aux patients Vivre avec une prothèse de hanche: mode d emploi Service de chirurgie orthopédique et traumatologie de l appareil moteur Sommaire Introduction... 3 Préparation musculaire...
Plus en détailRééducation gériatrique
Rééducation gériatrique Conjuguer l art du gériatre et du rééducateur! Formation spécifique de chacun Vision globale du patient Projet de vie tenant compte des fonctions retrouvées et des limitations Dr
Plus en détailMoteur de recherche : Daniel Goutaine Page d'accueil Rubrique : contentions
Les contentions Moteur de recherche : Daniel Goutaine Page d'accueil Rubrique : contentions Les contentions Quatre types de contentions : - physiques (ou mécaniques) : au fauteuil ou au lit du résident,
Plus en détailÉchelles et autres aides à monter
Échelles et autres aides à monter Utiliser des aides à grimper et des échelles inadaptées est une des causes les plus fréquentes des chutes d une certaine hauteur. Par commodité, économie mal placée ou
Plus en détailLivret personnalisé de suivi rééducatif et d entretien physique
Les numéros d urgence : Entourage : Voisin : Votre médecin : Samu : 15 Pompiers : 18 Police : 17 Les numéros de votre suivi rééducatif : Livret personnalisé de suivi rééducatif et d entretien physique
Plus en détailMPR et Maladies neuromusculaires
MPR et Maladies neuromusculaires DES de MPR - Séminaire Nerf-Muscle MERCREDI 14 Mars 2012 Salle des congrès- Pôle Recherche Faculté de Médecine Lille Aurélie BETTRANCOURT ergothérapeute Centre de référence
Plus en détailPrésentation 2007. pour. Observatoire Vieillissement et Société
Présentation 2007 pour Observatoire Vieillissement et Société Stéphane Tremblay Directeur de Territoire Région de l Est Qu est-ce que Lifeline? Argus? Philips? Lifeline est un service de télésurveillance
Plus en détailPrévention du déclin fonctionnel en EHPAD : rôle du massokinésithérapeute. Dr K.Sudres février 2015
Prévention du déclin fonctionnel en EHPAD : rôle du massokinésithérapeute Dr K.Sudres février 2015 Les résident d EHPAD sont majoritairement dépendants : aide complète pour l habillage (52.9%) et pour
Plus en détailTORDEZ LE COU À 6 IDÉES REÇUES
REÇUES TORDEZ LE COU À 6 IDÉES pour bien vieillir chez vous Bien vieillir chez soi, c est possible! Adapter son logement à ses nouveaux besoins ne nécessite pas forcément beaucoup de moyens et d investissements.
Plus en détailAssister un proche dans ses déplacements
2012 Assister un proche dans ses déplacements Remerciements : Merci au Ministère de la famille et des aînés du Québec pour le soutien financier ayant permis la réalisation de ce document. Merci à Josée
Plus en détailPROTHÈSE TOTALE DE LA HANCHE - RÉÉDUCATION
PROTHÈSE TOTALE DE LA HANCHE - RÉÉDUCATION Service Orthopédie www.cliniquesdeleurope.be Site St-Michel 2 COMMENT MARCHER AVEC DES BÉQUILLES COMMENT MARCHER AVEC DES BÉQUILLES? AVEC 2 BÉQUILLES Pendant
Plus en détailPrise en Charge de la Fracture du Col du Fémur. Dr Christine LAFONT Service de Gériatrie C.H.U. TOULOUSE
Prise en Charge de la Fracture du Col du Fémur Dr Christine LAFONT Service de Gériatrie C.H.U. TOULOUSE Épidémiologie «Problème médical, social et économique» Incidence : France : 50/100 000 hab. Augmente
Plus en détailQuestions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées
Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines
Plus en détailRésultats des 3 focus groups réalisés en 2007 avec 38 personnes âgées de 65 ans et + vivant à domicile dans la région de Charleroi Educa - Santé
Résultats des 3 focus groups réalisés en 2007 avec 38 personnes âgées de 65 ans et + vivant à domicile dans la région de Charleroi Educa - Santé PARTIE 1 : GRILLES D ENTRETIEN POUR LE RECUEIL DE DONNEES
Plus en détailGuide de l Accessibilité. des Etablissements. Recevant du Public
Guide de l Accessibilité des Etablissements Recevant du Public Direction du Développement Commerce Tourisme Réaliser un projet qui garantit l égalité d accès : S assurer que les entrées principales soient
Plus en détailPOUR BIEN VIEILLIR CHEZ MOI, MON DOMICILE EN TOUTE SÉCURITÉ
POUR BIEN VIEILLIR CHEZ MOI, MON DOMICILE EN TOUTE SÉCURITÉ Ce livret est offert par la Carsat Nord-Picardie à : Nom, prénom :... Adresse :......... Pour bien vieillir chez moi, mon domicile en toute
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailLe service public hospitalier et la vulnérabilité : Les équipes mobiles de gériatrie. Pr Nathalie Salles Pôle de Gérontologie CHU Bordeaux
Le service public hospitalier et la vulnérabilité : Les équipes mobiles de gériatrie Pr Nathalie Salles Pôle de Gérontologie CHU Bordeaux Plan Vulnérabilité et fragilité de la personne âgée Filière de
Plus en détailComment éviter les chutes. La prévention des chutes chez la personne âgée à domicile
Comment éviter les chutes La prévention des chutes chez la personne âgée à domicile Sommaire 1. Introduction p.4 2. Définition, causes et conséquences p.4 2.1 Définition p.4 2.2. Causes p.5 2.3 Conséquences
Plus en détailVous accueille et vous informe. Service de Rééducation Médico-technique Plateau technique de Salies du Salat
L équipe de soins Vous accueille et vous informe Service de Rééducation Médico-technique Plateau technique de Salies du Salat Professeur Philippe MARQUE, Chef de Service La Fontaine Salée 15 bis avenue
Plus en détailManuel de l ergonomie au bureau
Manuel de l ergonomie au bureau 1 Manuel préparé par le Service environnement, santé et sécurité de l Université Concordia. Pour tout complément d information sur l ergonomie, les étirements et les autres
Plus en détailPLAN RÉÉDUCATION POUR LES UTILISATEURS DE L'ARTICULATION. Contrôle de la phase pendulaire. Par Jos DECKERS
PLAN de RÉÉDUCATION POUR LES UTILISATEURS DE L'ARTICULATION Contrôle de la phase pendulaire Par Jos DECKERS 02 Sommaire LA RÉÉDUCATION Objectifs : Pour que le patient puisse utiliser correctement l articulation,
Plus en détailLes contentions. Moteur de recherche : Daniel Goutaine www.geriatrie-albi.fr Page d'accueil Rubrique : contentions
Les contentions Moteur de recherche : Daniel Goutaine www.geriatrie-albi.fr Page d'accueil Rubrique : contentions Les contentions Quatre types de contentions : - physiques (ou mécaniques) : au fauteuil
Plus en détailTravaux d adaptation du logement pour les personnes âgées
Fiche pratique Personnes âgées Travaux d adaptation du logement pour les personnes âgées Accéder à son logement - utiliser les escaliers - prendre l ascenseur - accéder aux équipements Profiter de son
Plus en détailAccidents de la vie courante. Comment aménager sa maison pour éviter les chutes?
Accidents de la vie courante Comment aménager sa maison pour éviter les chutes? À chaque âge ses problèmes et les moyens de les prévenir. Chaque année, environ une personne de plus de 65 ans sur trois
Plus en détailQUELS OUTILS SONT UTILISES POUR LES ACTIVITES DE REHABILITATION EN ESAD
QUELS OUTILS SONT UTILISES POUR LES ACTIVITES DE REHABILITATION EN ESAD UN TRAVAIL D ÉQUIPE 14.04.14 E. Orer, ergothérapeute M.Delhaye, ASG C.Germonprez, ASG M.Ladeiro, ASG POURQUOI CRÉER, ADAPTER OU PERSONNALISER
Plus en détailaccessibilité des maisons individuelles neuves
accessibilité des maisons individuelles neuves Conseil d Architecture, d urbanisme et de l environnement du Gard 2012 Depuis la loi de Février 2005, toutes les constructions neuves de type logement individuel
Plus en détailActivité physique et prévention des chutes chez les personnes âgées
Activité physique et prévention des chutes chez les personnes âgées Activité physique et prévention des chutes chez les personnes âgées Dans la même collection Les éditions Inserm, 2014 101 rue de Tolbiac,
Plus en détailDémence et fin de vie chez la personne âgée
Démence et fin de vie chez la personne âgée Dr C le Provost Gériatre C.H.B.A Vannes Dr M Michel Gériatre C.H.U Rennes Démence et fin de vie Sujet grave: la mort la «de mens» = être privé de son esprit
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Une nouvelle activité vient de voir le jour. «Le BTP Gériatrique»
DOSSIER DE PRESSE Une nouvelle activité vient de voir le jour «Le BTP Gériatrique» Adapt 06 est une société de travaux tout corps d état, spécialisée dans l adaptation des logements pour les personnes
Plus en détailLes risques professionnels en EHPAD Carsat-am, juin 2013
Les risques professionnels en EHPAD Carsat-am, juin 2013 Principaux risques professionnels Risques liés aux manutentions /mobilisation de personnes, lombalgie, TMS Déplacements, mobilisation de personnes
Plus en détailVous vous occupez d une personne âgée malade. vous êtes son. aidant naturel
Vous vous occupez d une personne âgée malade vous êtes son aidant naturel Avant-propos Cette brochure est conçue pour vous informer vous et votre famille sur le rôle, les devoirs et les droits d un «aidant
Plus en détailVotre logement est-il adapté à vos besoins?
Version française Votre logement est-il adapté à vos besoins? Vivez chez vous le plus longtemps possible de manière confortable et sûre Introduction : adaptez maintenant votre logement pour plus tard Conseils
Plus en détailKIT D AIDE A LA MISE EN ACCESSIBILITE DES ETABLISSEMENTS DE TOURISME ET DES COMMERCES Édition Février 2015 FICHE N 2A RENDRE MON HÔTEL ACCESSIBLE
KIT D AIDE A LA MISE EN ACCESSIBILITE DES ETABLISSEMENTS DE TOURISME ET DES COMMERCES Édition Février 2015 FICHE N 2A RENDRE MON HÔTEL ACCESSIBLE RAPPEL : Pour les ERP classés 1, 2, 3, 4e catégorie : Ces
Plus en détailLes troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson
Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson Comprendre la maladie de Parkinson La maladie de Parkinson se définit classiquement par des troubles moteurs. Néanmoins, de nombreux autres symptômes,
Plus en détailI. Qu est ce qu un SSIAD?
1 Plan Introduction I. Qu est ce qu un SSIAD? II. L accompagnement du SSIAD III. Présentation du SSIAD de Meyssac et de Beynat IV. Les personnes prises en soin dans le SSIAD V. Présentation d une situation
Plus en détailConsulter le Modèle d Accessibilité de référence. Le modèle a considéré quatre types de diversité fonctionnelle :
Consulter le Modèle d Accessibilité de référence. Le modèle a considéré quatre types de diversité fonctionnelle : Personnes ayant une diversité fonctionnelle physique Personnes ayant une diversité fonctionnelle
Plus en détailLA VIE QUOTIDIENNE APRÈS UN AVC AVC
AVC LA VIE QUOTIDIENNE APRÈS UN AVC 7 SOMMAIRE Rappel 3 Quels professionnels pour le retour à domicile? 4 Une journée type 5 L aménagement du domicile 8 Les loisirs 8 Les vacances 9 La sexualité 10 Mettre
Plus en détailen s entraînant avec le Stability Trainer Votre guide professionnel d entrainement journalier
En forme, en s entraînant avec le Stability Trainer Votre guide professionnel d entrainement journalier DEMANDEZ L O R I G I N A L www.thera-band.de Contenance Introduction...2 Le Stability-Trainer...3
Plus en détailEvaluation gériatrique standardisée
Evaluation gériatrique standardisée Dr Karim GALLOUJ Service de médecine gériatrique Pôle de gérontologie CH Dron Tourcoing Capacité de gérontologie Lille, le 7 décembre 2012 EGS ou Comprehensive Geriatric
Plus en détailPROTHÈSE TOTALE DU GENOU - RÉÉDUCATION
PROTHÈSE TOTALE DU GENOU - RÉÉDUCATION Service Orthopédie www.cliniquesdeleurope.be Site St-Michel 2 COMMENT MARCHER AVEC DES BÉQUILLES COMMENT MARCHER AVEC DES BÉQUILLES? AVEC 2 BÉQUILLES Après l opération
Plus en détailPRÉVENIR DOMICILE QUELQUES CONSEILS UTILES PROJET CONJOINT
245, Curé-Majeau, Joliette, Qc J6E 3Z1 PRÉVENIR LES CHUTES À DOMICILE QUELQUES CONSEILS UTILES PROJET CONJOINT CLSC JOLIETTE ET DIRECTION DE LA SANTÉ PUBLIQUE RÉGIE RÉGIONALE DE LA SANTÉ ET DES SERVICES
Plus en détailLa hernie discale Votre dos au jour le jour...
La hernie discale Votre dos au jour le jour... Votre dos est fragile. Ce document va vous aider à le préserver au jour le jour. Si vous venez de vous faire opérer, certaines activités vous sont déconseillées
Plus en détailEvaluation gériatrique standardisée. Dr Karim GALLOUJ Service de médecine gériatrique Pôle de gérontologie CH Dron Tourcoing
Evaluation gériatrique standardisée Dr Karim GALLOUJ Service de médecine gériatrique Pôle de gérontologie CH Dron Tourcoing DESC,Capacité de gérontologie Lille, le 18 décembre 2014 EGS ou Comprehensive
Plus en détailKIT D AIDE A LA MISE EN ACCESSIBILITE DES ETABLISSEMENTS DE TOURISME ET DE COMMERCE Édition Janvier 2015 FICHE N 2D RENDRE MON COMMERCE ACCESSIBLE
KIT D AIDE A LA MISE EN ACCESSIBILITE DES ETABLISSEMENTS DE TOURISME ET DE COMMERCE Édition Janvier 2015 FICHE N 2D RENDRE MON COMMERCE ACCESSIBLE RAPPEL : Pour les ERP classés 1, 2, 3, 4e catégorie :
Plus en détailGuide de l Accessibilité des ERP
Guide de l Accessibilité des ERP Comment rendre votre établissement accessible aux handicapés et assurer la continuité de votre accueil du public pendant les travaux de mise aux normes. Sommaire 1. Introduction
Plus en détail- Grille d'autodiagnostic Restaurant
- Grille d'autodiagnostic Restaurant L objectif de ce document est de permettre aux exploitants de se forger un aperçu du niveau d accessibilité de leur établissement face aux obligations de mise en conformité
Plus en détailRetours d expériences ATELIER EQUILIBRE. Viviane Granseigne Animatrice et formatrice d Ateliers Equilibre et Prévention des Chutes
Retours d expériences ATELIER EQUILIBRE Viviane Granseigne Animatrice et formatrice d Ateliers Equilibre et Prévention des Chutes Soirée- Débat Sport-Santé - DRJSCS Poitou-Charentes 23/02/2012 viviane.granseigne@gmail.com
Plus en détailMATÉRIEL MÉDICAL ORTHOPÉDIE SANTÉ BIEN-ÊTRE CONFORT
MATÉRIEL MÉDICAL ORTHOPÉDIE SANTÉ BIEN-ÊTRE CONFORT Le meilleur pour votre santé à domicile RETROUVEZ VOTRE MAGASIN : 265 route de La Ciotat - 13400 Aubagne Confort et bien-être RÉÉDUCATION ET DÉTENTE
Plus en détailConseils de sécurité. Pour les bénévoles qui accompagnent des personnes avec mobilité réduite
Conseils de sécurité Pour les bénévoles qui accompagnent des personnes avec mobilité réduite Conseils de sécurité Pour les bénévoles qui accompagnent des personnes à mobilité réduite Auteures Vanessa Fedida,
Plus en détailOutil d autodiagnostic du niveau d accessibilité - Les cabinets médicaux -
Outil d autodiagnostic du niveau d accessibilité - Les cabinets médicaux - 17 septembre 2014 (mis à jour le 31 octobre 2014) Afin d avoir une idée du niveau d accessibilité de son cabinet et des principales
Plus en détailTout ce qu il faut savoir de l opération. Et surtout Ce qu il faut faire ou ne pas faire après l opération
Tout ce qu il faut savoir de l opération Et surtout Ce qu il faut faire ou ne pas faire après l opération Prothèse Radio après l opération Voir l opération Clic ici Conseils pratiques après l opération
Plus en détail- Grille d'autodiagnostic Restaurants
- Grille d'autodiagnostic Restaurants L objectif de ce document est de permettre aux exploitants de se forger un aperçu du niveau d accessibilité de leur établissement face aux obligations de mise en conformité
Plus en détailquestions à vous poser pour rendre votre logement
30 questions à vous poser pour rendre votre logement plus sûr «Jambe cassée! Je me suis pris les pieds dans le tapis en allant répondre au téléphone - Oh, c est bête!» Oui, c est toujours bête, un accident
Plus en détailII.3 - AIDES TECHNIQUES (Fiche 3)
II.3 - AIDES TECHNIQUES () SITES DE VIE AUTONOME (SIVA) Les sites de vie autonome sont des lieux uniques d accueil et de traitement des demandes de personnes handicapées portant sur les aides techniques
Plus en détailDocument de travail «Conduite de l évaluation interne dans les établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes» Mars 2011
Document de travail «Conduite de l évaluation interne dans les établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes» Mars 2011 DOCUMENT DE TRAVAIL Anesm-MARS 2011 1 Sommaire 1. Introduction... 3 Qu
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détail> Présentation du programme... 3. > Peps Eurêka - Mémoire : Pour donner du Peps à ses neurones et à sa vie... 4
2 SOMMAIRE > Présentation du programme... 3 > Peps Eurêka - Mémoire : Pour donner du Peps à ses neurones et à sa vie... 4 > L Équilibre, où en êtes-vous? : Prévenir les chutes et apprendre à se relever
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailMarche normale et marche pathologique
Marche normale et marche pathologique Pr. JM Viton, Dr. L. Bensoussan, Dr. V. de Bovis Milhe, Dr. H. Collado, Pr. A. Delarque Faculté de Médecine, Université de la Méditerranée, Fédération de Médecine
Plus en détailKIT D AIDE A LA MISE EN ACCESSIBILITE DES ETABLISSEMENTS DE TOURISME ET DE COMMERCE Édition Janvier 2015 FICHE N 2B RENDRE MON RESTAURANT ACCESSIBLE
KIT D AIDE A LA MISE EN ACCESSIBILITE DES ETABLISSEMENTS DE TOURISME ET DE COMMERCE Édition Janvier 2015 FICHE N 2B RENDRE MON RESTAURANT ACCESSIBLE RAPPEL : Pour les ERP classés 1, 2, 3, 4e catégorie
Plus en détailProgramme «DoSanté Lycée» Présentation et évaluation
Programme «DoSanté Lycée» Présentation et évaluation 1 1 Contexte - Public ciblé 1/3 des accidents du travail sont dus à des manutentions. Coût annuel : 1,5 milliards d euros. Les lombalgies représentent
Plus en détailMIEUX VIVRE AVEC SON HEMIPLEGIE
Comment aider un hémiplégique COMMENT AIDER UNE PERSONNE HÉMIPLÉGIQUE... - La sortie du lit - Le transfert - Au fauteuil - La marche en deux temps Chaque personne a gardé des capacités et des possibilités
Plus en détailNOM équipement. Notice accessibilité pour les établissements recevant du public
NOM équipement Notice accessibilité pour les établissements recevant du public Textes de référence : Loi n 2005-102 du 11 février 2005 Décret n 2006-555 du 17 mai 2006 Arrêté du 1er Règles en vigueur considérées
Plus en détailDes aides pour se relever
Des aides pour se relever du fauteuil, des toilettes, du lit, de la baignoire Des aides pour se relever - Solival / 1 Des aides pour se relever... L âge qui avance, un affaiblissement temporaire, une maladie,
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailChapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale
Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale 1. Historique. Kegel (1949). Bourcier (1970). 1985 : reconnaissance officielle d acte de MK. Développement de la MK périnéale : facteur éco/p sociale
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008
LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres
Plus en détailINSTITUT DE FORMATION EN MASSO KINESITHERAPIE CHU DE BORDEAUX. Jérémy Bodinier
INSTITUT DE FORMATION EN MASSO KINESITHERAPIE CHU DE BORDEAUX Jérémy Bodinier Etude de faisabilité sur l utilisation d une table de verticalisation pour évaluer la verticale subjective chez des patients
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailPrise en charge médico-technique d une hémiparesie spastique: Evaluation clinique et instrumentale
Prise en charge médico-technique d une hémiparesie spastique: Evaluation clinique et instrumentale Ould Ouali.A, Amari.A, Lyazidi.O, Benbetka.L, Lakrouf.F, Rachedi.M MPR-HMUS-Staoueli 3eme congrès de la
Plus en détailProthèse Totale de Genou
Hôpital de Martigny Prothèse Totale de Genou Informations patients 2 Impressum Editeur: Hôpital du Valais (RSV), Direction générale, Communication, 1950 Sion Auteur: Hôpital de Martigny, Service d orthopédie
Plus en détailA - Nomenclature des préjudices de la victime directe
ANNEXE NOMENCLATURE DES PREJUDICES RESULTANT D UNE ATTEINTE A LA PERSONNE A - Nomenclature des préjudices de la victime directe 1 ) Préjudices patrimoniaux a) Préjudices patrimoniaux temporaires (avant
Plus en détailassurance collective Denis Gobeille, M.Sc. R.I., CRHA Conseiller en assurance collective
Les forces du changement en assurance collective Denis Gobeille, M.Sc. R.I., CRHA Conseiller en assurance collective La pénurie de main-d œuvre ralentira la croissance D ici 2030, il manquera 363 000 travailleurs
Plus en détailHUMAIN SIMPLE LYON. ACCeSSIBLE FACILE. aménager A TOUS ACCUEILLANT. www.lyon.fr. Janvier 2009. Les clés de la réglementation
Janvier 2009 SIMPLE HUMAIN aménager ACCUEILLANT LYON FACILE A TOUS ACCeSSIBLE DIRECTION DU DÉVELOPPEMENT TERRITORIAL ACCESSIBILITE LOGEMENT COLLECTIF Les clés de la réglementation www.lyon.fr Nos enjeux
Plus en détailw w w. m e d i c u s. c a
www.medicus.ca En appelant la colonne vertébrale «arbre de vie» ou «fleuve sacré qui irrigue tout le corps», les Anciens voyaient juste. De tout temps considéré comme fragile, cet axe du corps se révèle
Plus en détailFAIRE FACE À LA DÉPENDANCE
FAIRE FACE À LA DÉPENDANCE AMÉNAGER SON DOMICILE Les solutions techniques 8 Des aménagements intérieurs peuvent permettre à la personne âgée en perte d autonomie de mieux vivre dans un environnement sécurisé
Plus en détailGL5 GLS5. Lève-personnes mobiles
GL5 GLS5 Lève-personnes mobiles Lève-personnes mobile GL5 Les lève-personnes mobiles GL5 sont les alternatives au sol des appareils de levage fixés au plafond de la gamme de produits Guldmann. Depuis plus
Plus en détailCADRE BATI : ERP NEUFS ET EXISTANTS
3ème RENCONTRE TECHNIQUE DE L'ACCESSIBILITE CADRE BATI : ERP NEUFS ET EXISTANTS Patricia QUOY et Carole ROUGEOLLÉ DDT 91 - STANE 29/06/12 CADRE REGLEMENTAIRE Définition d'un ERP (R.123-2 du CCH) = lieu
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailRetraités NOVembre 2011
Retraités NOVembre 2011 www.lassuranceretraite.fr pour accéder aux informations et services en ligne sur votre retraite et votre dossier Réf. 10058 - Conception / Réalisation : - Crédits photo : Yann Le
Plus en détailL aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009
L aide aux aidants Aude Comberieu Psychologue clinicienne Hôpital Émile Roux Capacité de gériatrie mars 2009 Définition L aidant naturel L aidant non professionnel L aidant familial «L aidant familial
Plus en détailDes moyens auxiliaires pour simplifier le quotidien
Août IB 1632012 F 29 Des moyens auxiliaires pour simplifier le quotidien Les personnes atteintes d Alzheimer peuvent rester actives et indépendantes plus longtemps grâce à certains moyens auxiliaires,
Plus en détailGina Sanders. Troubles du sommeil : banal... mais pas fatal!
Gina Sanders Troubles du sommeil : banal... mais pas fatal! Tous concernés! De quoi s agit-il? encontrer ponctuellement des dif cultés pour s endormir, se réveiller en pleine nuit ou se retrouver debout
Plus en détailAide-mémoire pour assurer l accessibilité de vos événements
Guide pratique d accessibilité des événements Aide-mémoire pour assurer l accessibilité de vos événements Accessibilité extérieure Transport Service de transport collectif régulier, fréquent et à proximité.
Plus en détailLa chirurgie dans la PC
La chirurgie dans la PC GF PENNECOT Marchant ou déambulant Grand handicapé Kinésith sithérapie Appareillage Médicaments Chirurgie neuro ortho LESION NEUROLGIQUE STABLE Spasticité Perte de la sélectivit
Plus en détailLe Kin-AP Évaluation des Aptitudes paramédicales
Le Kin-AP Évaluation des Aptitudes paramédicales Le Kin-AP est une évaluation qui se déroule à travers un parcours comprenant différentes stations qui simulent les tâches que le technicien ambulancier-paramédic
Plus en détail