Grippe. Bilan de la saison /05/2015

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1 Taux d'incidence pour 1 habitants Grippe Bilan de la saison /5/215 L Institut de veille sanitaire, dans le cadre de ses missions de surveillance, de vigilance et d alerte dans les domaines de la santé publique, analyse les données de la grippe issues de son réseau de partenaires et publie les indicateurs résultant de l analyse de ces données dans ce bulletin mis en ligne chaque semaine sur son site internet. L InVS s appuie sur un réseau d acteurs pour assurer la surveillance de la grippe : médecins libéraux, urgentistes, laboratoires, réanimateurs et épidémiologistes Epidémie forte de grippe, dominée par le virus A(H3N2) 9 semaines d épidémie 2,9 millions de consultations pour syndrome grippal 55% de virus A(H3N2) Impact important Près de 3 passages aux urgences pour grippe 3133 hospitalisations parmi ces passages dont 47% chez les 65 ans et plus 1558 cas graves de grippe admis en réanimation Excès de 18 3 décès toutes causes pendant l épidémie de grippe, concernant à 9% les sujets âgés de plus de 65 ans Cet excès de mortalité est lié à la grippe et à d autres facteurs hivernaux Excès de 9 décès également observé dans 13 des 15 pays participant à la surveillance européenne de la mortalité hivernale Poursuite de la baisse de la couverture vaccinale des populations à risque avec 53% de personnes à risque non vaccinées contre la grippe. Taux de consultations pour syndrome grippal en médecine générale saison Incidence Seuil épidémique Semaine Page 1

2 Epidémie d une ampleur forte et d une gravité importante 2,9 millions de consultations pour syndrome grippal Cette saison, l épidémie de grippe, qui s est étendue sur 9 semaines (semaine 3 à 11/215), a été forte avec une estimation de près de 2,9 millions de consultations pour syndromes grippaux en médecine générale (Figure 1). Au pic de l activité en semaine 6/215, on a dénombré 834 consultations pour syndromes grippaux pour 1 habitants et 24% des visites de SOS Médecins étaient attribuées à la grippe. Comparé aux données historiques de Sentinelles et rapporté à la population, le nombre de consultations pour syndromes grippaux, au moment du pic ou sur l ensemble de la période épidémique, est au 14 eme rang des valeurs les plus élevées observées ces 3 dernières saisons, confirmant une épidémie d une ampleur forte (Figure 1). Figure 1 Réseau Sentinelles, Syndromes grippaux, France métropolitaine, semaine 19/1984 à 19/215 Fort impact de l épidémie chez les personnes âgées Comme à l accoutumé, les enfants ont beaucoup consulté, avec des taux d incidence de 7233/1 chez les moins de 5 ans et de 693/1 chez les 5-14 ans alors que ce taux était 3 fois moindre chez les personnes de 65 ans et plus (214/1 ). A l inverse, ce sont les seniors qui représentent la majorité des hospitalisations pour grippe. En effet, pendant l épidémie, le réseau OSCOUR a rapporté près de 3 passages aux urgences pour grippe tous âges confondus, dont ont donné lieu à une hospitalisation. Parmi ces hospitalisés, - 28% appartenaient à la tranche d âge des ans, - 19% étaient âgés de 85 ans et plus. Ces groupes d âge représentent respectivement 15% et 3% de la population française soit un risque d hospitalisation multiplié par 2 pour les ans et par 6 pour les 85 ans et plus. La proportion d hospitalisations parmi les passages aux urgences pour grippe pendant l épidémie a été de 11%, alors qu elle variait, selon les saisons, entre 6% et 9% depuis la pandémie 29. Cette proportion est montée à 47% pour les personnes de 65 ans et plus. Cette valeur est plus élevée que celles observées depuis la pandémie (entre 33% et 41%), à l exception de , saison où le virus A(H3N2) dominait également. Page 2

3 Nombre de cas groupés d'ira Taux de consultations pour 1 habitants Nombre de cas graves Cette proportion était alors de 48%, confirmant la fragilité des personnes âgées lorsqu elles sont infectées par le virus A(H3N2). Le fort impact de l épidémie sur les personnes âgées s est également retrouvé parmi les cas admis en réanimation ou dans les collectivités de sujets âgés. En effet, le nombre de cas graves de grippe admis en réanimation a été très élevé (n=1558) et 48% d entre eux étaient âgés de 65 ans et plus (Figure 2). De même, 1328 cas groupés d infections respiratoires aigües en collectivités de personnes âgées ont été signalés cette saison, nombre le plus élevé depuis la mise en place de la surveillance en 26 (Figure 3). Figure 2 Taux hebdomadaire d'incidence des consultations pour syndromes grippaux et du nombre de cas graves en réanimation, semaines 4/21 à 15/215, en France métropolitaine 1 8 Epidémie Cas graves admis en réanimation Consultations pour syndromes grippaux Figure 3 Nombre hebdomadaire d épisodes d infections respiratoires aiguës en collectivités de personnes âgées, semaines 4/21 à 15/215, en France métropolitaine 25 2 Foyers d'ira en collectivités de personnes âgées Etiologie inconnue ou autre Grippe confirmée Page 3

4 14-S4 14-S41 14-S42 14-S43 14-S44 14-S45 14-S46 14-S47 14-S48 14-S49 14-S5 14-S51 14-S52 15-S1 15-S2 15-S3 15-S4 15-S5 15-S6 15-S7 15-S8 15-S9 15-S1 15-S11 15-S12 15-S13 15-S14 Nombre de décès Enfin, sur ces 9 semaines d épidémie, l excès de mortalité calculé sur l échantillon des 1 communes est estimé à 12 3 décès (+18%). Cet échantillon de communes permet d enregistrer près de 7% de la mortalité nationale. L estimation de la surmortalité extrapolée à l échelle nationale (1% de la mortalité) est de 18 3 décès sur cette période (Figure 4). L excès de mortalité s est concentré essentiellement chez les personnes âgées de plus de 65 ans et a touché l ensemble des régions métropolitaines. Il s agit de l excès de mortalité le plus élevé depuis l hiver (Tableau 1). Cet excès a également été observé dans la plupart des 15 pays 1 participant au projet européen de surveillance de la mortalité ( Il a été estimé à 9 décès tous âges confondus et coïncide avec la circulation du virus grippal A(H3N2) mais également avec la survenue d autres facteurs hivernaux. Figure 4: Nombre hebdomadaire observé (noir) et attendu (rouge) de décès au cours de l hiver , tous âges confondus, sur l échantillon des 1 communes suivies en routine. Nombre observé Nombre attendu Borne sup de l'intervalle de fluctuations Période de l'épidémie grippale Semaines Sources : InVS-DCAR / Insee Tableau 1 : Effectifs observés de mortalité et excès de mortalité estimé sur les saisons épidémiques de grippe de à , tous âges et chez les 65 ans ou plus Tous âges confondus Excès extrapolé à la France en- 65 ans ou plus Excès extrapolé à la France entière 3 Saisons épidémiques de Durée en Effectif (Sur 1 com- Effectif (Sur 1 com- Excès 2 Excès 2 grippe semaines Observé munes) tière 3 Observé munes) % % % % % % % % % % % % % % % % % % : Pays/régions avec excès : Belgique, Danemark, Angleterre, Pays de Gales, Ecosse, Grèce, Hongrie, Irlande, Pays-Bas, Portugal, Espagne, Suède, Suisse 2 : Ecart entre le nombre observé et le nombre attendu de décès, calculé sur les données issus des 1 communes participant à la surveillance en routine (près de 7% de la mortalité nationale) 3 : Ecart entre le nombre observé et le nombre attendu de décès, extrapolé à l échelle nationale à partir d un redressement fondé sur les données issues des 1 communes participant à la surveillance en routine Page 4

5 Evolution de l épidémie en France et dans les pays voisins Début de l épidémie de grippe au nord-ouest de l Europe Selon les données européennes disponibles sur le site de l ECDC, les premiers pays touchés par l épidémie semblent avoir été l Angleterre et les Pays-Bas en semaine 5, suivis par la Suède en semaine 52 et le Portugal en semaine 1. Le pic des consultations a été franchi en Grande-Bretagne en semaine 2, au Portugal et en Italie en semaine 4 et en Espagne en semaine 5, avant la France (semaine 6). En France La période épidémique , définie par le franchissement du seuil épidémique du réseau Sentinelles, s est étendue entre les semaines 3/215 (12 au 18 janvier 215) et 11/215 (9 au 15 mars 215), soit pendant 9 semaines. Le pic d activité a été observé en semaine 6/215. La diffusion géographique, étudiée à partir des données de SOS Médecins, semble mettre en évidence un gradient géographique du sud vers le nord lors du démarrage de l épidémie et de l ouest vers l est lors de sa décrue (Carte 1). Carte 1 : Evolution de la part hebdomadaire des syndromes grippaux parmi les actes de SOS Médecins par région, saison Page 5

6 Circulation des trois virus grippaux avec une majorité de A(H3N2) En médecine générale, 279 patients ont été prélevés et virus grippaux identifiés. Parmi eux : - 75% étaient des virus grippaux de type A : - 19% de virus A(H1N1)pdm9, - 55% de virus A(H3N2), - 1% de virus A non sous-typés, - 25% étaient des virus grippaux de type B. Tous les virus grippaux A(H1N1)pm9 ainsi que la majorité des virus grippaux de type B caractérisés étaient analogues aux souches vaccinales. Par contre, parmi les virus A(H3N2), un peu moins de la moitié s en distinguait. En conséquence, une majorité des virus grippaux circulant étaient couverts par le vaccin. Couverture vaccinale encore insuffisante cette saison Les premières estimations de couverture vaccinale, calculées à partir des données de la CNAMTS, sont de 47% pour la population à risque, en baisse par rapport à la saison dernière (49%). Cette baisse affecte surtout les personnes de 65 ans et plus (48% versus 52% en ) alors qu elle se maintient à 38% pour les populations à risque de moins de 65 ans. Dans les collectivités de personnes âgées, la couverture vaccinale des résidents était de 83%, valeur comparable à celles observées depuis Cette valeur élevée peut expliquer que les proportions de malades, d hospitalisés et de décès parmi les résidents soient comparables à celles observées les années précédentes. La mise en place de mesures barrière (renforcement des mesures d hygiène, isolement des malades, limitation des visites ) a pu également contribuer à cette protection. Enfin, la couverture vaccinale du personnel des collectivités de personnes âgées reste faible (23%), stable par rapport aux années précédentes. Page 6

7 L épidémie de grippe a été forte cette saison, dominée par le virus A(H3N2). L'impact en termes de mortalité chez les personnes âgées est important. Il confirme que la grippe reste une maladie grave pour les personnes à risque, notamment les seniors. La baisse de la couverture vaccinale dans cette population est inquiétante ; même si cette année l adéquation avec les souches vaccinales n'était pas optimale, il faut tout de même souligner que la majorité des virus grippaux circulant étaient couverts par le vaccin. La prévention repose sur la vaccination, et les mesures barrière (réduction des contacts avec des malades et renforcement de l hygiène) doivent venir la compléter. Un Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH), consacré au bilan final de la saison grippale , sera publié au mois d octobre prochain par l InVS et ses partenaires. Directeur de la publication François Bourdillon Rédactrice en chef Isabelle Bonmarin Comité de rédaction Emmanuel Belchior Vanina Bousquet Christine Campèse Bruno Coignard Anne Fouillet Scarlett Georges Daniel Lévy-Bruhl Marc Ruello Sylvie Quelet Yann Savitch Remerciements aux réseaux de médecine ambulatoire notamment le réseau Sentinelles, les médecins de Grog-Char, SOS Médecins, aux services d urgences du réseau Oscour, aux réanimateurs et à leurs sociétés savantes (SRLF, GFRUP, SFAR), aux ARS, aux laboratoires, au CNR des virus influenzae, aux cliniciens, ainsi qu à l ensemble des professionnels de santé qui participent à la surveillance de la grippe. Contact presse Katel Le Floc h Tél : 33 () presse@invs.sante.fr Diffusion Institut de veille sanitaire 12 rue du Val d Osne Saint-Maurice cedex Tél : 33 () Page 7

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