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1 DOSSIER DE PRESSE

2 2 Visitez l intérieur de l intestin pour tout comprendre du cancer colorectal et le prévenir! Le vendredi 10 avril 2015, de 10h à 18h, le Comité du Rhône de la Ligue contre le Cancer, l Adémas- 69, la Mission Santé de la Ville de Lyon et la Mairie du 8 ème arrondissement organisent, à l occasion d une étape du Côlon Tour 2015 à Lyon au cœur du Quartier des Etats-Unis (Lyon 8 ème ), une journée prévention-santé autour d un côlon géant de 12m, d un village de stands d information et d une conférence dédiée aux professionnels de la santé. Avec nouveaux cas chaque année, le cancer colorectal représente, par sa fréquence, le troisième cancer chez l'homme comme chez la femme. Il tue, chaque année, près de personnes. Pourtant, détecté à un stade précoce, il se guérit dans 9 cas sur 10! Cet événement contribuera à lever les tabous, à rappeler l importance du dépistage, à informer sur les facteurs de risque et de prévention, et à présenter le nouveau test de dépistage du cancer colorectal, plus simple et plus performant. Le vendredi 10 avril 2015, de 10h à 18h. Visite VIP (partenaires, élus et presse) : 9h30. Halle de la Place du 8 mai 1945, Quartier des États-Unis (Lyon 8 ème ). Entrée libre. Organisateurs nationaux : Ligue nationale contre le Cancer, Fondation ARCAD, SFED Organisateurs locaux : Comité du Rhône de la Ligue contre le Cancer, Adémas-69, Mission Santé de la Ville de Lyon, Mairie du 8 ème arrondissement Avec le soutien de la Bibliothèque Municipale de Lyon, du Centre Léon Bérard, de la Camieg, de la section Activité Physique Adaptée de l'ufr STAPS de l Université Lyon 1 et de la Mutualité française Rhône-Alpes

3 3 1. Le Côlon Tour : une approche ludique et pédagogique du dépistage Pour la quatrième année consécutive, la Ligue nationale contre le cancer organise un Côlon Tour, en partenariat avec la fondation ARCAD (Aide et recherche en cancérologie digestive) et la SFED (Société française d'endoscopie digestive), dans les villes et les villages de France. Grâce à une structure gonflable d une longueur de 12 mètres représentant l intérieur du côlon, la Ligue contre le cancer et ses partenaires proposent une information ludique et pédagogique pour mieux appréhender les techniques de dépistage et la maladie. Rendre accessible l information sur le développement d un cancer colorectal : visualiser et parcourir l'intérieur d un côlon pour comprendre comment est fait notre corps et les différentes lésions : diverticules, polypes, adénomes plans, sessiles ou pédiculés et cancer. Expliquer concrètement le nouveau test immunologique de dépistage du cancer colorectal : Quelles modalités de dépistage, en fonction des risques et de l âge? À qui dois-je m adresser? Le test est-il payant? Comment se déroule un test de dépistage? Quelles anomalies peuvent être révélées? Est-il systématiquement accompagné d une coloscopie? Quels sont les avantages à pratiquer le dépistage organisé et pourquoi le refaire régulièrement? Toutes les réponses aux questions que se posent les personnes concernées directement ou indirectement par le dépistage. Informer sur la coloscopie et son rôle : grâce à la présence de médecins gastroentérologues qui permettent de mieux comprendre à qui s adresse cet examen, pourquoi et comment il se pratique.

4 4 Sensibiliser sur les traitements et les chances de guérison : le diagnostic à un stade précoce garantit des traitements plus courts, moins douloureux, moins mutilants et accroît fortement les chances de guérison. Changer l image du dépistage organisé et lever les tabous. Le Comité du Rhône de la Ligue contre le cancer a souhaité, en partenariat avec Adémas-69, la Mission santé de la Ville de Lyon et la Mairie du 8 ème arrondissement, que le Côlon Tour fasse une étape à Lyon, dans le 8 ème arrondissement où la problématique du dépistage organisé et plus globalement de la prévention-santé est prégnante. Le souhait de tous les partenaires était que l événement puisse avoir lieu au cœur d un quartier populaire. Le choix s est donc porté sur la halle de la place du 8 mai 1945, point central du quartier des Etats-Unis. Les partenaires ont élaboré un programme autour de cette étape du Côlon Tour afin de proposer aux habitants comme aux professionnels de santé une véritable journée prévention-santé, avec visites du côlon géant, village de stands et conférence dédiée aux professionnels. Retrouvez toutes les étapes 2015 du Côlon Tour sur

5 5 2. Le cancer colorectal Le côlon et le rectum constituent la dernière partie du tube digestif, appelée aussi gros intestin. Leur paroi intérieure est tapissée d une muqueuse, qui peut développer des excroissances nommées polypes ou adénomes. Bénins, ces adénomes peuvent grossir et dégénérer avec le temps. Leurs cellules se modifient et deviennent cancéreuses. On estime que 10 % des adénomes atteignent 1 cm de diamètre. Parmi ceux-ci, environ un quart deviennent des cancers. La séquence adénome-cancer dure en moyenne 10 ans. On distingue au moins trois étapes évolutives de l adénome : la genèse, la croissance et la transformation maligne. 10 ans Sur 1000 adénomes adénomes On distingue ensuite quatre stades de développement du cancer colorectal, en fonction du degré d extension du cancer : Stade 1 : atteinte superficielle de la paroi intestinale Stade 2 : atteinte de la paroi intestinale au-delà de la couche musculeuse Stade 3 : atteinte des ganglions 100 atteignent une taille > 1cm Stade 4 : métastase (propagation à d autres organes) 25 -> cancer En 2012, on estimait à le nombre de nouveaux cas de cancer colorectal en France. Le cancer colorectal se situe ainsi au 3 ème rang des cancers les plus fréquents, derrière le cancer de la prostate et le cancer du sein. Près de 95 % des cas de cancers colorectaux surviennent après l âge de 50 ans.

6 6 Nombre estimé de nouveaux cas de cancers en France 2012 Localisation du cancer Incidence Hommes Femmes 2012* Prostate Sein Colo rectal Poumon Col de l utérus Source Binder-Foucard F, Belot A, Delafiosse P, Remontet L, Woronoff A-S, Bossard N. Estimation nationale de l incidence et de la mortalité par cancer en France entre 1980 et Etude à partir des registres des cancers du réseau Francim Partie 1 Tumeurs solides - InVS Responsable de plus de décès par an, le cancer colorectal est, en France, la deuxième cause de décès par cancer après le cancer du poumon. Nombre estimé de décès par cancer en France selon la localisation, 2010 Localisation du cancer Mortalité Hommes Femmes Prostate Sein Colo rectal Poumon Col de l utérus Source Binder-Foucard F, Belot A, Delafiosse P, Remontet L, Woronoff A-S, Bossard N. Estimation nationale de l incidence et de la mortalité par cancer en France entre 1980 et Etude à partir des registres des cancers du réseau Francim Partie 1 Tumeurs solides - InVS

7 7 Le cancer colorectal est un cancer dit «de pronostic intermédiaire». Selon une étude des registres de cancers du réseau Francim, le taux de survie relative 5 ans après le diagnostic est estimé à 56%. Le pronostic est étroitement lié au stade de développement de la maladie au moment de son diagnostic. Ainsi, selon les données américaines les plus récentes, le taux de survie à 5 ans des patients diagnostiqués en est de 90,8 % pour un cancer colorectal diagnostiqué à un stade local (I ou II), contre 69,5 % pour le stade régional (III) et 11,3 % pour le stade métastatique (IV). Détectés à un stade précoce, plus de 9 cas de cancer colorectal sur 10 peuvent être guéris. Toutefois, le cancer colorectal est encore trop souvent diagnostiqué tardivement. Cela s explique notamment par le fait qu il évolue dans un premier temps sans donner de symptômes. Un dépistage régulier du cancer colorectal peut permettre d identifier la maladie à un stade très précoce de son développement ou de détecter des adénomes avant qu ils n évoluent vers un cancer. Plusieurs études ont démontré qu un tel dépistage, basé sur un test de recherche de sang occulte dans les selles tous les deux ans, suivi d une coloscopie en cas de positivité, permet une réduction de la mortalité par cancer colorectal : de 15 à 20 % dans la population totale ; de 33 % dans la population ayant réalisé le test ; dans la mesure où la participation de la population cible atteint 50 %.

8 8 3. Le dépistage organisé du cancer colorectal en pratique Le dépistage est l identification, par des tests ou des examens, des personnes susceptibles d avoir une maladie alors même qu elles ne présentent aucun symptôme. Le programme de dépistage organisé s adresse aux hommes et aux femmes âgés de 50 à 74 ans qui présentent un risque «moyen» de cancer colorectal, autrement dit sans symptôme apparent ni antécédents familiaux ou personnels. Le test de recherche de sang occulte dans les selles La recherche de sang dans les selles s explique par le fait que la plupart des cancers ou des gros polypes saignent de façon intermittente. Le test utilisé jusqu en janvier 2015 était un test au gaïac (Hémoccult). Un nouveau test, plus simple et plus performant Une nouvelle étape sera franchie dans ce dépistage avec la mise à disposition du test immunologique de détection de sang occulte dans les selles, dont la sensibilité accrue permet une meilleure détection des cancers et des lésions précancéreuses. En effet, ce test dépiste 2 à 2,5 fois plus de cancers et 3 à 4 fois plus d adénocarcinomes avancés. Un prélèvement sur une seule selle est nécessaire désormais, à l aide d un bâtonnet ensuite introduit dans un tube où se trouve un liquide conservateur. Le tube est glissé dans une enveloppe T à adresser au centre de lecture par le patient lui-même. Ce test, à la fois plus performant et plus simple d utilisation, sera diffusé progressivement auprès des 17 millions de personnes de 50 à 74 ans concernées par le programme national de dépistage, par leur médecin traitant. En cas de positivité du test (4%) : la coloscopie La coloscopie est actuellement l examen de référence pour mettre en évidence d éventuelles anomalies du côlon ou du rectum. Elle permet en outre de retirer les polypes. Si elles restent rares, les complications liées à la coloscopie ne doivent pas être ignorées, ce qui justifie la stratégie en deux temps pour les sujets à risque moyen. Outre les risques inhérents à l anesthésie, les principales complications sont la perforation et l hémorragie, estimées de 1 à 2 pour examens.

9 9 Une autre technique existe : la coloscopie virtuelle, ou coloscanner. Elle nécessite la même préparation que la coloscopie classique et recourt au scanner pour fournir une image radiographique en 3D du côlon. Il est ainsi possible de visualiser d éventuels polypes. Dans ce cas, il faut ensuite pratiquer une coloscopie classique pour en réaliser l ablation. Plusieurs acteurs du monde de la santé interviennent dans le dispositif de dépistage organisé du cancer colorectal. L Adémas-69 L Adémas-69 est une association loi Elle met en œuvre, dans le département du Rhône, le programme national de dépistage organisé des cancers : cancer du sein, cancer colorectal. Elle bénéficie d un financement assuré conjointement par l État (Agence Régionale de Santé Rhône- Alpes), la CPAM, la Métropole de Lyon, le Département du Rhône, le RSI et la MSA. Elle réunit parmi ses partenaires des représentants d usagers, des médecins généralistes, des radiologues, des gynécologues, des anatomopathologistes et des gastroentérologues. Ses missions sont les suivantes : participer à la sensibilisation et à l information des hommes et femmes de 50 à 74 ans ; organiser l information des professionnels de santé sur le dépistage organisé ; garantir les aspects réglementaires et notamment la confidentialité ; gérer les fichiers des personnes concernées par le dépistage, conformément à la loi relative à l informatique, aux fichiers et aux libertés ; se charger de l envoi des lettres d invitation au dépistage organisé du cancer du sein et du cancer colorectal, et des courriers de relance ; veiller au suivi des patients par le recueil des comptes-rendus d'examen, d anatomopathologie et éventuellement de chirurgie ; veiller à l assurance qualité du dispositif, en lien avec les différents professionnels impliqués ; se charger de la collecte de données pour le pilotage et l évaluation du programme de dépistage. C est donc l Adémas-69 qui invite par courrier les personnes concernées à consulter leur médecin généraliste. Ces personnes sont identifiées à partir des fichiers des organismes d Assurance Maladie.

10 10 Le médecin généraliste Il a un rôle central. En effet, c est lui qui remet et explique le test au patient, ou qui l oriente vers une procédure plus adaptée s il présente des facteurs de risque, liés à ses antécédents familiaux ou personnels, ou des signes d alerte. La personne effectue ensuite le test à son domicile et l envoie à l aide d une enveloppe pré-affranchie (T) au centre de lecture des tests. On a pu mesurer lors des expériences pilotes que le taux de participation à la campagne était multiplié par trois quand le médecin remettait le test à son patient. Il joue, par ailleurs, un rôle important en cas de positivité du test du patient (4% des cas) et représente l acteur de santé le plus efficace pour convaincre le patient de réaliser une coloscopie (entre 10 et 15% des patients ne la font pas). En cas de test négatif, le médecin invite la personne à le renouveler deux ans plus tard. Il la sensibilise également aux signes d alerte qui, sans évoquer obligatoirement la présence d un adénome ou d un cancer colorectal, doivent la conduire à consulter son médecin traitant sans attendre ce délai de deux ans : présence de sang dans les selles ; troubles du transit d apparition récente : diarrhée ou constipation inhabituelle, ou alternance de ces deux troubles ; douleurs abdominales inexpliquées et d apparition récente ; amaigrissement inexpliqué. Le gastroentérologue En cas de test positif, le patient est orienté vers un gastroentérologue. Celui-ci effectuera une coloscopie afin de rechercher la présence de lésions dans le côlon ou le rectum. Lorsque la coloscopie révèle la présence d un adénome, celui-ci est retiré, évitant ainsi sa transformation en cancer. Si la coloscopie révèle la présence d un cancer. Celui-ci sera d autant mieux soigné qu il sera détecté tôt. Le gastroentérologue envoie à l Adémas-69 le résultat de toutes les coloscopies réalisées à la suite d un test positif. Ces résultats permettent à l Adémas-69 d évaluer le dispositif et de calculer le nombre de cancers et d adénomes dépistés, ainsi que le nombre de faux positifs et la survenue de complications.

11 11 4. Les résultats du dépistage dans le Rhône Le dépistage organisé du cancer colorectal a débuté dans le Rhône en Jusqu à aujourd hui, malgré le faible taux de participation, le test Hémoccult permettait tout de même de détecter, à chaque campagne biennale, plus de 160 cancers et 1000 polypes susceptibles d évoluer. Il est toutefois possible de faire mieux si la participation au dépistage organisé augmente. En effet, celle-ci reste insuffisante dans le Rhône, comme dans le reste de la France. Ce manque d adhésion révèle que le dépistage organisé du cancer colorectal n est toujours pas ancré dans le parcours de santé des Français. Avec le nouveau test immunologique, plus pratique, moins contraignant, plus performant, l adhésion à ce dépistage devrait réduire davantage l incidence et la mortalité par cancer colorectal, et améliorer les chances de survie. L objectif de chaque campagne de dépistage, est d atteindre un taux de participation de 50%.

12 12 Participation au dépistage organisé du cancer colorectal France : 31,0 % Rhône-Alpes : 32,6 % Rhône : 29,2 % Dépistage organisé du cancer colorectal dans le Rhône Résultats médicaux femmes et hommes âgés de 50 à 74 ans dans le Rhône invités en 2011 et personnes sans facteurs de risque personnes ont réalisé un test de recherche de sang dans les selles personnes ont un test positif personnes ont réalisé une coloscopie 164 cancers détectés polypes (lésions pouvant évoluer dont 451 à risque)

13 13 Références Site internet de l Adémas-69 (dépistage organisé des cancers dans le Rhône) : Dossier de Presse réalisé par l'ars Rhône-Alpes (septembre 2014) : "les dépistages organisés des cancers du sein, du côlon et du col de l'utérus en Rhône-Alpes" Site internet de l Institut National du Cancer, rubrique dépistage :

14 14 Contacts Sandrine ESTRAGNAT Chargée de prévention et de documentation Comité du Rhône de la Ligue contre le Cancer Virginie DE CHARENTENAY Médiatrice en santé publique Adémas

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