La Ferme de la Berceuse UNE PASSION PARTAGÉE!

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1 La Ferme de la Berceuse UNE PASSION PARTAGÉE!

2 La culture du savoir-faire et du satisfaire

3 Pourquoi cette conférence? - Demande de Jonathan - Ma réponse - Le contexte, ma démarche - Le résultat, c est comme une visite guidée, mais dans mon bureau. Un ami maraîcher me demande comment tu t y prends?

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5 Comment je m y prends? Quels sont les buts et les moyens mis en oeuvre afin d assurer 26 semaines de production en maraîchage diversifié?

6 5 GRANDS PÔLES ABORDÉS 1 Le Portrait de La Ferme de la Berceuse 2 La planification 3 La production 4 La mise en marché 5 L évaluation

7 Durer dans le temps. BUTS CE QUI M ANIME Être viable économiquement. Produire des légumes de qualité, de bon goût et qui répondent au standard de la certification biologique et de l industrie agroalimentaire. Obtenir du rendement (légumes, employés, $$$) Que celles et ceux qui participent au coeur de l opération en vivent convenablement. Rechercher la satisfaction des clients, des employés et de moi-même.

8 1 - QUI SOMMES-NOUS? En production depuis 1998 Certifié biolgique depuis 2000 Une ferme agroforestière de 30 hectares Une deuxième ferme de 5 hectares depuis hectares en légumes variés La production de plus de 235 variétés certifiés biologiques 3 hectares en engrais verts 3 serres individuelles 3 serres jumelées 1 acre de grand tunnel La vente dans 3 marché publique 300 paniers en ASC Un peu de semi-gros 12 employés en haute saison Participation à plusieurs projets de recherche Une volonté marquée par le partenariat et l innovation.

9 LE REVENU

10 Revenu Faits saillants Plus de $ d investissement depuis 2010 La masse salariale moyenne est de 44% du chiffre d affaire près de heures travaillées en 2014 (inclus les heures bénévoles). Les profits après impôts sont plus ou moins de 5 % 92% du chiffre d affaire représente la vente de légumes dont 2.66% en subventions, 2.66% en revenu de loyer, 2.66% en vente d autres produits (oeufs, huile farine). Les paniers ASC représentent 48.1% des ventes Les marchés publiques représentent 35.6% des ventes Le semi-gros représentent 16.2% des ventes Nous visons un chiffre d affaire de $ en

11 2 - La Planification Les outils privilégiés - L évaluation de l année précédente (producteur et employés) - Le bilan financier (Comptable) - Prévisions budgétaires (producteur et comptable) - Plan de rotation ((producteur et bras droit) - Plan de fertilisation (Anne Weill) - Calendrier de semis (producteur et bras droit) - Plan de production végétale (certificateur) - Plan de champs (mise à jour) - Autre registres (Plan de serre, Phyto contrôle, plaintes, registres de nettoyages, fertilisation et amendement, inventaires semences,autres produits, pesticides et machineries, travail de sol, plan de préparation, formation, travaux de serres

12 BILAN 2014 Légumes par légumes Légumes Rendements Problèmes Solutions / notes 2015 Ail Bon Baissière pourriture Bette à carde Mauvais Bord de champ Améliorer séchage, mieux contrôler inventaire Analyser bord de champ (Weill) Équiterre et marchés publiques Équiterre et marchés publiques

13 BILAN 2014 par sphère d activité Ressources humaines Situation : Manque de temps, trop de temps supplémentaire, patron trop absent pour cause de livraison, employés étudiants sous performants, organisation du travail obsolète dû à la croissance de l'entreprise, manque d'encadrement de certains employés, manque de travail d'équipe Conséquences : épuisement de certains employés, retard dans l'entretien de certaines cultures causant des pertes, dépistage négligé, mauvais suivi de certaine culture, mauvais contrôle des inventaires aux champs, registres manquant aux serres, entrées de données aux registres en retard Solutions : réorganiser les tâches et le temps de travail, embaucher de nouveaux employés, réduire le travail étudiants, se doter d'outils de gestion du travail, dépistage, récolte et inventaire, travailler plus en équipe, revisiter les méthodes, améliorer et mécaniser si possible Les autres sont : Production, mise en marché, récolte et chaîne de froid, Infrastructure et machinerie et enfin la gestion adminstrative.

14 Panier Asc Sondage de satisfaction 2014 Excellente Bonne Moyenne Décevante Très décevante Ne s applique pas total Qualité % % Quantité % % % 1.97 % Diversité % % 6.58 % 1.32 % Fraicheur % 138 Aspect % % % Offre % % % 0.66 % 1.32 % % 152 Produits supp

15 SUITE Excellente Bonne Moyenne Décevante Très décevante Ne s applique pas total Possibilité d échange % % % % % Flexibilité vacance % % % % % Récupérer panier en cas d oubli % % % % % % Saveur des aliments % % % Communication avec le fermier % % % % % Ensemble de la formule % % %

16 PLAN DE ROTATION 2015 CHAMP MAISON cm de long x 10600cm de large = 8480m Long rang Entre plant Total plant Variété Grand total 1 Pois Zucc engrais Herbes cm 223/223 2 Pois Zucc vert 1 à 62 Herbes /223 3 Pois Zucc Herbes /223 4 Joichoi Zucc Herbes /223 5 Laitue Zucc Herbes /223 6 Laitue Zucc Oignon vert cm Chou-rave Concombre Oignon vert Chou-rave Concombre Oignon vert Betterave Concombre Oignon vert Betterave Concombre Laitue cm Bett à carde Concombre Laitue Chou-été Concombre Laitue Chou-été Cardes Laitue Laitue Herbes Laitue Laitue Herbes Chou mi-saison cm

17 PLAN DE ROTATION Indique les rotations sur 4 années Indique les grandeurs de champs et le nombres de plates-bandes Indique les quantités à semer ou transplanter de chaque variété correspond aux rendements nécessaires à notre mise en marché

18 CALENDRIER DE SEMIS 2015 # LÉGUMES VARIÉTÉS QUANT SEMER DATE SEMIS BIO N.T TOTAL PLANTS NOTE

19 3 - La Production Séquences des activités Régistres à jour (octobre) Évaluations faites (novembre) Bilan financier (décembre) Budget, rotation (décembre, janvier) Plan de fertilisation (février) Début de production serre de transplants (janvier) Embauche nouveau employé (janvier, février) Employés, salaires, tâches, responsabilités (mars) Fournisseur achat (décembre à mimars) Machinerie (mars à mi-avril) formule 1 Ouverture de champs (fin avril et mai) Ouverture grands tunnels (mi-mai) Implantation, entretient, tuteurage, récolte et mise en marché (mai à octobre) Ouverture serre tomates

20 3 - La Production Nos faiblesses Principalement dû à une croissante rapide de l entreprise et de ses activités Des conséquences se reflètent sur l organisation du travail, manque de travail d équipe, manque de temps et la négligence de d autres activités importantes telles que la réparation et l entretien ou l amélioration des bâtiments, des serres et l entretien des fossés. Des équipements deviennent trop petits ou obsolètes

21 3 - La Production Nos forces Mixte de serres, grands tunnels et champs Une équipe de base qui a de l expérience Une planification détaillée Des outils et des équipements de qualité et en bon état Un partenariat avec plusieurs spécialistes L utilisation de technologie performante De l ordre sur l ensemble de la ferme

22 4 LA MISE EN MARCHÉ Tout producteurs est condamné à pratiquer l art de commercer!

23 C est très tôt qu il faut s y mettre

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33 4 - MISE EN MARCHÉ Deuxième activité la plus importante La raison pour lequel nous produisons 1. Plus les légumes sont beaux, plus c est facile de les vendre 2. Plus les légumes sont bons, plus c est facile de les vendre 3. Plus les prix sont bas, plus c est facile de les vendre 4. Le volume et une grande variété de légumes sont attractifs 5. Plus le producteur est fin, plus c est facile de les vendre 6. Le point de vente est déterminant dans l atteinte des objectifs de vente 7. La situation de marché où il y a de la concurrence 8. L environnement (les vendeurs, milieu, installation, propreté, ordre ) L amalgame de ces attributs contribuent à l augmentation des ventes et la fidélisation de la clientèle.

34 4 - MISE EN MARCHÉ CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES La mise en marché des légumes biologiques est très peu contrôlée par les agriculteurs. L absence de leader dans le domaine rend difficile une possible coordination des activités dans son ensemble. L arrivée de la CAPÉ va peut-être changer la donne Les prix entre les légumes conventionnels et biologiques tendent à se rejoindre. Pas de veille de prix constante. La compétition est de plus en plus forte. La volonté de regroupement est faible chez les maraîchers. Les politiques alimentaires gouvernementales sont timides ou inexistantes (étiquettage, achat institutionnel, promotion, accès des terres à la relève, syndicalisation, l autosuffisance alimentaire). Les consommateurs mangent de plus en plus de légumes. Les consommateurs dépensent de plus en plus consciemment. Les contrôles de qualité et de standard sont inexistants. Il se fait encore très peu de transformation.

35 4 - MISE EN MARCHÉ CONSIDÉRATIONS SPÉCIFIQUES La formule ASC apporte une base économique appréciable La formule ASC est très exigente, beaucoup de variétés et plusieurs contraintes (vacances, oublis, fruitages, ville) La compétition est de plus en plus forte (LUFA, Jardins des Anges) La formule Marché permet une relation directe avec le consommateur La formule Marché exige du volume et de la variété La compétition est de plus en plus forte La formule Marché se passe les fins de semaines La formule vente au semi-gros réduit considérablement les étapes de manipulation Elle exige souvent d assez bon volume La plupart ne sont pas pressé de payer

36 4 - MISE EN MARCHÉ ORIENTATIONS ET OBJECTIFS 2015 Augmenter les ventes de 10% Consolider notre offre de panier ASC Maintenir notre offre actuelle et la raffiner, ouvrir une boutique en ligne d autres produits et surplus de légumes Augmenter le volume dans les Marchés, raffiner la présentation des étales, maintenir une grande variété, viser le juste prix. Augmenter les ventes de semi-gros, mieux connaître ces marchés, développer des relations de confiance Vendre la totalité de la production (processus permanent)

37 4 - MISE EN MARCHÉ Outils utilisés Contrat de vente ASC Fichier clients par point de chute Feuille de chou Site internet (commandes en ligne 2015) Bon de commande (semi-gros) Relevé de vente (marchés publiques) État des résultats (hebdomadaire) Évaluation légumes de champs prêt à être mis en marché

38 CONCLUSION

39 CONCLUSION LE SAVOIR-FAIRE Il n y a pas de véritable talent, il n y a que du savoir-faire. Le savoir-faire est la connaissance des moyens qui permettent l accomplissement d une tâche. L ensemble des moyens mis ensemble donne la réussite. La prise de données, la tenue des registres et l évaluation de toutes les activités grandes ou petites apportent l expérience, créent une histoire. Enfin le partenariat et l esprit d innovation contribuent à l enrichir. curiosité

40 CONCLUSION LE SATISFAIRE Le mot vient du latin satis qui signifie suffisamment, autant qu il faut. Action de contenter, de satisfaire (un besoin, un désir). D emblée la satisfaction réfère au bonheur, le sien d abord puis celui de sa famille, des employés et des clients. Travailler à la satisfaction des autres, c est contribuer au bonheur de tous et toutes.

41 MERCI BEAUCOUP! À VOUS TOUS ET TOUTES MAPAQ et organisateurs de cette journée et Jonathan Roy

42 PARTAGER MES CONNAISSANCES

43 L innovation, c est un état d esprit. L innovation, c est la recherche d une variété inédite d un produit conventionnel, une amélioration de qualité ou le lancement d une mode, c est l utilisation particulière d un produit conventionnel, la mise au point d un matériau nouveau ou une façon de procéder qui réduits les coûts ou améliore la qualité. Jacques Parizeau

44 L Entrepreneuriat ou entreprenariat est l action de créer de la richesse et/ou de l'emploi par la création ou la reprise d'une entreprise. Un entrepreneur c est donc, une personne qui s engage dans un effort visant à transformer ses idées et innovations en biens économiques. Cela peut aboutir à de nouvelles organisations ou peut-être à la revitalisation de certains secteurs des organisations en réponse à une opportunité perçue.

45 COMBIEN ÇA COÛTE $$$ Éléments Spécifications Coûts Tunnel 1 acre, modèle renforcé Formeur d ancrage Inclus Fixeur d ancrage Inclus Mini-Pépine / heure Main-d oeuvre 150 heures Excavation Incluant drains Puits creusage 212 pieds de profond Pompe et installation 2.5 hp Électricien Main d oeuvre Électricien Fil souterrain Matériaux divers Bois, outils VALEUR 2009 TOTAL avant taxes

46 CONCLUSION Observations générales depuis 15 ans Certification: producteurs, CARTV, loi Canadienne Semences: non-traités à biologiques Conseil: Bioaction, répondant Mapaq Recherche: CÉTAB+, R&D, IRDA, Université Produits: très peu à plusieurs Technologie: divers systèmes, GPS, Tensio.. Mise en marché: marché fermier, supermarché Subvention: de quasiment rien à Financement: FADQ, Caisse Information: réseau phyto, journée d info

47 MON RÔLE Planifier, établir des objectifs, passer à l action Organiser, mettre en place et animer un environnement de productions et de mise en marché où les gens (employés, clients et fournisseurs) participent, se sentent bien et se réalisent. Mettre à contribution les experts agronomique afin de développer et raffiner notre capacité de produire. Mettre à contribution les experts économique afin d assurer la santé financière de l entreprise.

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